Project Gutenberg's L'Anti-Justine, by Nicolas-Edmé Restif de la Bretonne This eBook is for the use of anyone anywhere at no cost and with almost no restrictions whatsoever. You may copy it, give it away or re-use it under the terms of the Project Gutenberg License included with this eBook or online at www.gutenberg.org Title: L'Anti-Justine ou, Les Delices de l'amour Author: Nicolas-Edmé Restif de la Bretonne Release Date: October 7, 2008 [EBook #26804] Language: French *** START OF THIS PROJECT GUTENBERG EBOOK L'ANTI-JUSTINE *** Produced by Daniel Fromont [Transcriber's note: Nicolas-Edmé Restif de la Bretonne (Nicolas Restif dit Restif de la Bretonne) (1734-1806), _L'Anti-Justine_ (1978), édition de 1798 A classic French erotic novel of the 18th century Orthographe de l'édition 1798 conservée Il n'y a pas de chapitre 29; il y a deux chapitres 31.] L'ANTI-JUSTINE, OU LES DELICES DE L'AMOUR. Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem. Avec LX Figures. [Première Partie.] AU PALAIS-ROYAL Chez feue la Veuve GIROUARD, très-connue. 1798. Quelle Excuse peut se donner à lui-même, l'Homme qui publie Un Ouvrage, tel que celui qu'On va lire? J'en ai cent, pour Une. Un Auteur doit avoir pour lui le bonheur de ses Lecteurs.. Il n'est rién qui contribue autant au bonheur, qu'Une lecture agréable. Fontenelle disait: "Il n'est point de chagrin qui tiénne contre une heure de lecture". Or, de toutes les lectures la plüs entraînante, est celle des Ouvrages Erotiques, surtout lorsqu'ils sont acompagnés de Figures expressives. Blâsé sur les Femmes depuis longtemps, la JUSTINE de Dsds me tomba sous la main. Elle me mit en feu; je voulus jouir, ét ce fut avec fureur: je mordis les seins de ma Monture; je lui tordis la chair des bras... Honteux de ces excès, effets de ma lecture, je me fis moi-même un Erotikon savoureux, mais nón cruel, qui m'excita au point de me faire enfiler une Bossue-Bancroche, haute de 2 piéds. Prenéz, liséz, ét vous en feréz autant. L'ANTI-JUSTINE. Persone n'a été plus indigné que moi des sales Ouvrages de l'infame DsDs; c'est-à-dire, de Justine, Aline, le Boudoir, la Theorie du Libertinage, que je lis dans ma prison.. Ce Scelerat ne présente les delices de l'amour, pour les Hommes, qu'accompagnées de tourmens, de la mort même, pour les Femmes. Mon but est de faire un Livre plus savoureux que les siéns, et que les Epouses pourront faire lire à leurs Maris, pour en être mieux servies; un Livre où les sens parleront au coeur; où le Libertinage n'ait rien de cruel pour le Sexe des Graces, et lui rende plutôt la vie, que de lui causer la mort; où l'amour ramené à la nature, exempt de scrupules et de préjugés, ne présente que des images riantes et voluptueuses. On adorera les Femmes, en le lisant; on les chérira, en les enconnant: mais l'on en abhorra davantage le Vivodissequeur, le même qui fut tiré de la Bastille avec une Longue Barbe blanche le 14 juillet 1789. Puisse l'Ouvrage enchanteur que je publie, faire tomber les siéns! Mauvais Livre fait dans de bonnes vues. Moi, Jean-Pierre-Linguet, maintenant detenu à la Conciergerie, declare, que je n'ai composé cet Ouvrage, tout savoureux qu'il est, que dans des vues utiles; l'inceste, par exemple, ne s'y trouve, que pour équivaloir, au goût corrompu des Libertins, les affreuses cruautés, par lesquelles Dsds les stimule. Floreal, an 2. I Chapitre. Chapitre De l'Enfant qui bande. Je suis né dans un Village près de Reims, & je me nomme CUPIDONET. Dès mon enfance, j'aimais les jolies Filles. J'avais surtout un faible pour les jolis piéds & les jolies chaussures; en quoi je ressemblais au Grand-Daufin, fils de Louis-XIV, & à Thevenard, acteur de l'Opéra. La première Fille qui me fit bander, fut une jolie Paysane, qui me portait à vêpres la main posée à nû sur mes fesses; elle me chatouillait les couillettes, & me sentant bander, elle me baisait sur la bouche avec un emportement virginal: car elle était chaude, parcequ'elle était sage. La première Fille à laquelle je fis des attouchemens, en-conséquence de mon goût pour une jolie chaussure, fut ma première Puînée, qui s'appelait Jenovefette. J'avais huit Soeurs, cinq aînées d'un premiér lit, & trois puînées. La Seconde de Celles-là, était jolie au-possible; il en sera question: La Quatrième avait le poil du Bijou tellement soyeux, que c'était une volupté seulement de le toucher. Les Autres étaient laìdes. Mes Puînées étaient toutes-trois provoquantes. Or ma Mère préferait Jenovefette, la plus voluptueusement jolie, & dans un voyage qu'elle fit à Paris, elle lui aporta des souliérs delicats. Je les lui vis essayer, & j'eús une violente érection. Le lendemain Dimanche, Jenovefette mit des bas fins blancs & neufs de coton, un corpset qui lui pinçait la tâille; & avec son lubrique tour-de-cùl, elle fesait bander, quoique si jeune, mon Père lui-même; car il dit à ma Mère de la renvoyer. (J'étais caché sous le lit, pour mieux voir le souliér & le bas de la jambe de ma jolie Cadète)... Dès que ma Soeur fut sortie, mon Père renversa ma Mère, & la carillona sur le piéd du lit sous lequel j'étais, en lui disant: -- Hô! prenéz-garde à votre Fille cherie! Elle aura un furieux temperament, je vous en avertis... Mais elle a de quî tenir; car je baise bién! & voila que vous m'en donnéz, du jus de Con, come une Princesse-... Je m'aperçus que Jenovefette écoutait & voyait... Mon Père avait raison. Ma jolie Cadète fut depuis dépucelée par son Confesseur; ensuite foutue par tout le Monde. Mais elle n'en est que plus sage à-présent... Dans l'aprèsdînée, Jenovefette vint au jardin, où j'étais seul. Je l'admiraí; je bandaí. L'ayant abordée, je lui pressaí la tâille, sans parler; je lui touchaí le piéd, les cuisses, un Conin imberbe & joli, s'il en fut jamais! Jenovefette ne disait mot. Alors, je la fis mettre à-quatre; c'est-à-dire, súr les mains & sur les genoux, &, à l'imitacion des chiéns, je la voulais enfiler ainsi, en hennequinant & saccadant de toutes mes forces, comme fait le chién, & lui comprimant fortement les aînes de mes deux mains: je lui fesais cambrer les reins, de sorte que son Conin était aussi à ma portée que le trou de son cùl: je l'atteignis donc & je mis le bout entre les lèvres, en disant: "Hausse, hausse le cùl, que j'entre". Mais On sent aussi qu'un conichon aussi jeune, ne pouvait admettre un vit, qui ne décalotait pas encore: (Il me falait Une Conasse, come je l'auraí biéntôt). Je ne pus qu'entr'ouvrir un peu les lèvres de la fente. Je ne dechargeaí point; je n'étàis pas asséz formé... Ne pouvant enfiler, je me mis, aussi à l'imitacion de mes Modèles, à lècher le jeune Conin... Jenovefette sentit un chatouillement agreable sans-doute; car elle ne s'ennuyàit pas du jeu, & elle me dona cent baisérs sur la bouche, lorsque je fus debout. On l'appela, & elle courut. Come elle n'avàit pas encore de gorge: dès le lendemain elle se mit des tetons postiches, sans-doute parcequ'elle avàit oüi vanter ceux de sa Mère, ou de ses Aînées. Je les remarquaí: je la fis chausser, & l'ayant placée commodément sur son lit, je m'escrimaí près de deux heures. Je crois en-vérité qu'elle émit; car elle s'agitait comme une petite Enragée à mon lèchement de Con... Dès le surlendemain, On l'envoya en apprentissage à Paris, où elle remplit l'horoscope tiré par mon Père. II Chapitre. Chap. Du Con soyeux. Mes autres Soeurs étaient l'Une serieuse; elle me retint dans les bornes; mais j'aí depuis foutu ses deux Filles à Paris: Ma Troisième était encore trop jeune: Ç'a été Une superbe Fille à dixhuit ans! Je me rejetaí neanmoins sur cette Enfant, lorsque je m'aperçus que Cathos, jumelle de Jenovefette, était inabordable. Il me falait un Con, depuis que j'en avais palpé Un: je patinaí Babiche. Enfin un Dimanche, qu'elle était bién arrangée, & que ma Mère l'avait baignée, je la gamahuchaí. Ce fut à cette benigne operation, que je fus surpris par l'ardente Madelène au Con soyeux. Elle nous examina longtemps avant de nous troubler, & voyant que la Petite avait du plaisir, elle fut tentée. Elle parla. Nous nous remimes décemment. Madelène ne dit mot: Elle renvoya Babiche. Puis elle hazarda de badiner avec moi. Elle me renversa sur la pâille de la grange, où j'avais attiré Babiche; & lorsque je fus par-terre, elle me chatouilla, passant par-dessus moi, jambe de-çà, jambe de-là. Par-hazard, je portaí la main sous ses jupes, & j'y trouvaí l'admirable Con soyeux. Ce poil divin determina mon goût pour elle. Je devins fou du Con de Madelène-Lingüet: je lui demandaí à le baiser? -- Petit coquin! (me dit-elle), attens un moment-. Elle ala au puits, tira un seau d'eau, & s'accroupit dessus... Elle revint, & badina encore. Enflâmé, hors de moi, je lui dis, dans ma petite fureur érotique, -- Il faut que je lèche ce joli trou-. Elle se mit sur le dos, les jambes écartées: je léchai; la belle Madelène hocha du cùl: "Darde ta langue dedans, cher petit Ami"! (me disait-elle). Et je dardais, & elle haussait la mote. Je fourgonnais avec rage!... Elle eút tant de plaisir, qu'elle se recria. Je bandais come un petit carme: & come je ne dechargeais pas, j'avais toujours la même ardeur. Aussi m'adorait-elle. Obligée de me quitter, Madelène me dona des friandises, que je mangeaí avec Babiche. Un-soir, ma Soeur au Con soyeux me dit: -- Cupidonnet! ta jolie Broquette est toujours bién roide, quand tu me lèches! Il me semble que si nous étions dans le même lit, tu pourrais la faire entrer dans la bouche de ma petite Marmote, que tu aimes tant à sucer, & dont le poil est si doux! j'aurais sûrement bién du plaisir! & peutêtre toi aussi? Viéns ç'te nuit-... Quand tout le monde fut endormi, je me glissaí dans le lit de ma grande Soeur. Elle me dit: -- J'ai vu mon Pêre, un-jour qu'il venait de caresser ma Soeur la belle Marie, qui partait pour Paris, courir sur ta Mère, sa grosse broche bién roide, & lui fendre la Marmote: je vas te montrer; tu feras comme lui. -- Et moi aussi, je l'aí vu. -- Bon! bon-! Elle se disposa, me plaça sur elle, me dit de pousser, & riposta. Mais elle était pucelle, & quoique bandant roide, je ne pus introduire; je me fesais mal. Pour Madelène-Lingüet, elle déchargea sans-doute; car elle se pâma. Hô! que je regrettaí ce joli Con soyeux, que je léchais & fourgonnais depuis 6 mois! Mon Père, Clôde-Lingüet, qui ne me ressemblait pas, éloignait ses Filles, dès qu'elles l'avaient fait bander. On prétend que Madelène avait tenté de se le faire mettre par lui... Quoi qu'il en soit, trois jours après, elle partit pour la Capitale, où notre Frère-aîné l'Ecclesiastique, lui avait trouvé une place de Gouvernante d'Un Chanoine de Sainthonoré. Ce Caffard ne tarda pas à connaître ce qu'elle valàit: Il y avàit Une porte derobée, de lui-seul connue, qui donnait dans la chambre de ses Gouvernantes, qu'il alait patiner durant la nuit. Mais il n'avait jamais trouvé de con aussi joli, que le Con soyeux de Mlle Lingüet! Il voulut le voir. Sa beauté le ravit, & il n'eút plus de repos, qu'il ne l'eût foutu. Une nuit, qu'elle dormait d'autant plûs fort, qu'elle en fesait semblant, il la gamahucha. Elle déchargea sensiblement. Aussitôt le Chanoine monte sur elle, & l'encone. Elle le pressa dans ses bras, en remuant du cùl. --Hâ! Mignone! (lui dit-il), que tu as le mouvement bon!... Mais n'as-tu pas de mal? car je te crois un-peu Putain-?... Sa chemise & les draps ensanglantés, lui prouvèrent qu'elle était pucelle Il l'adora! Elle foutit saintement avec ce saint Homme pendant deux ans, & le mit au tombeau. Cependant il la dota: Ce qui fit qu'elle épousa le Fils du premiér Mari de ma Mère. III Chapitre. Chap. De la Mère foutue! Comme après le mariage de Madelène, & son retour à Reims j'étais un-peu plüs formé, je desiraí vivement de le lui mettre. Depuis plus de deux ans, j'en étais reduit à patiner & gamahucher ma Soeur Babiche, avec quelques-unes de nos Cousines-germaines. Mais, ou mon vit grossissait, ou tous ces conins imberbes retrécissaient... Je demandaí un rendéz-vous nocturne à la nouvelle Mad. Bourgelat? Elle me l'accorda pour le soir-même: Nous étions à notre Ferme, & son Mari venait de partir, pour se rendre à Reims, où une affaire l'appelait. Je ne sais par quelle avanture, cette même nuit, mon Pére se trouva incomodé. Ma Mère, après l'avoir secouru, craignant de le gêner, ala se mettre auprès de sa Brü. Celle-ci la voyant endormie, se leva doucement, pour venir coucher avec moi, tandis que de mon côté, j'alàis à elle. Nous ne nous rencontrames pas, malheureusement!... Je me mis à-côté de la Femme que je trouvaí dans le lit. Elle était sur le dos: je la montaí, toute-endormie; & l'enconaí. J'étàis surpris d'entrer aussi largement! Elle me serra dans ses bras, hôcha quelques coups-de-cùl, moitié assoupie, en disant: "Jamais! jamais vous ne m'avéz donné tant de plaisir-!... Je dechargeaí aussi: mais je m'évanouis sur ses tetons encore fermes, parcequ'elle n'avàit pas nourri, & qu'On ne les lui avàit jamàis patinés. Mad. Bourgelat revint auprès de nous, au moment où je m'évanouissais. Elle fut bién étonnée des mots que venait de prononcer sa doublement Bellemére! Elle comprit que je l'avais foutue, & elle me reporta dans mon lit encore évanoui... Ainsi donc c'est dans le Con maternel que je venais d'émettre ma premiére semence!... Ma Mére, entiérement éveillée, dit à Madelène: -- Mais, que faites-vous donc, ma Fille-? J'étais revenu à moi. Ma Soeur retourna au lit de ma Mére, qui lui dit tout-bas: -- Ma Brü! vous avéz de drôles de façons? -- Mon Mari (répondit Mad. Bourgelat), me fait souvent mettre dessus; je rêvais, & je l'ai fait. Eveillée, je suis sautée du lit-. Ma Mére crut cela. Cependant le coup porta: Mad. Lingüet devint grosse, & accoucha secrettement d'un Fils, beau come Adonis; & elle eút l'adresse de le substituer à Un Garson de son Fils, cet Enfant étant mort en naissant. C'est de Lui dont il sera un-jour question, sous le surnom de Cupidonnet, dit Petitcoq, mon neveu. Huit jours s'écoulérent. Après quoi, bién remis de mon évanouissement, j'eús un autre rendéz-vous. Mais admiréz mon malheur! Nous avions été entendus d'Une grosse Tetonniére, notre moissonneuse, qui dormait dans la grange. Comme Mad. Bourgelat devait venir dans mon lit, Mammelasse qui m'aimait, car elle se branlait souvent à mon intention, & qui dailleurs n'était pas méchante, se contenta de dire à mon Frère, de fermer les nuits la porte de sa chambre à la cléf, & de la cacher, pour cause... Il le fit. Mais jugéz de mon étonnement, quand aulieu d'un Con soyeux, & de tetons ronds & delicats, je patinaí Une Connasse à crins de cheval, & deux gros ballons bién gonflés. Elle se le mit; je poussaí, & j'eús asséz de plaisir. Mais je fus encore prêt à m'évanouir. Enfin, je le mis à Madelène, dans le greniér-à-foin. J'alais come un fou, en l'enconnant. Mais au troisième coup-de-cùl qu'elle donna, je m'évanouis...... IV Chapitre. Chap. D'un aútre Beaufrére Cocu. Madelène évita de m'accorder des faveurs, dont les suites l'effrayaient! Mais je ne sentis pas longtemps cette privation: Huit jours après la derniére scène, je partis pour venir à Paris. J'y alais pour apprendre: Mais il ne sera pas ici question de mes études. Je fus logé chéz la belle Marie, la seconde de mes Aînées. J'avais, pour mon pucelage, fait cocü mon Pére: j'avais cornifié mon Frére Uterin, en fesant décharger, & foutant enfin avec émission Une Soeur-Paternelle, qu'il avait épousée, & que j'engrossaí: car Bourgelat n'a jamàis eú que cet Enfant, venu au monde 9 mois après ma fouterie au greniér-à-foin. Mais j'avais encore bién de l'ouvrage, avec huit Soeurs, dont six, ou du-moins cinq, étaient souverainement enconables. Mais revenons à Marie, la plûs belle de toutes... Un-jour de Vierge, Marie était parée, chaussée avec cè goût particuliér aux jolies Femmes, & Un superbe bouquet ombrageait ses blancs tetins. Elle me fit bander. J'avais quatorze ans; j'avais deja foutu & engrossé trois Femmes; car Mamelasse avait Une Fille, qu'elle se vantait que je lui avais faite, & qui ressemblait comme deux goutes-d'eau à Jenovefette-Lingüet. Ainsi, je n'eús pas des desirs vagues; je tendais directemt au Con de ma provoquante Aînée. Après le dînér, elle ala dormir, dans Un alcove obscur, & s'étendit sur le lit conjugal. Elle avait vu bander son Mari, dont la culote blanche était juste, & elle voulàit lui donner le plaisir de le lui mettre parée. Je me cachaí, pour les guetter. Mais mon Beau-Frére, après avoir pris les tetons & le Con de ma Soeur, avoir admiré ce derniér, en éclairant l'alcove, se reserva sans-doute pour la nuit suivante: il se retira doucement; je lui vis prendre sa canne, son chapeau, & sortir. J'alaí pousser Un verrou. En revenant, je refermaí les rideaux; le Mari les avait laissés ouverts, & sa Femme troussée. Je me mis sur elle deculoté, bién bandant, & j'enfilaí sa fente, suçant tantôt ses tetons decouverts, tantôt ses lèvres entr'ouvertes. Elle me croyàit son Mari. Un bout de langue me chatouilla. J'étais entré tout caloté. Le filet, que je n'avais pas encore coupé, recourbait mon vit, & le fesait paraître gros comme celui de l'Epoux. Je poussaí. Ma Belle s'agita, & mon long vit atteignit le fond. Alors ma Soeur demi-pâmée, se trémoussa. Je dechargeaí,... & je m'évanouis.... Ce fut ce qui me fit reconaître. La Belle savoura les derniéres oscillations de mon vit. Mais dès qu'elle eút éprouvé tout le charme d'une copieuse decharge, elle se deconna en me jetant sur le côté; elle ouvrit les deux rideaux de l'alcove; & me regardant: "Hâ! Grand-Dieu! c'est Cupidonnet! Il m'a dechargé tout au fond! Il s'est évanoui de plaisir"!... Je revenais à moi. Elle me gronda, en me demandant, Qui m'avait appris cela? -- Ta beauté (lui dis-je), adorable Soeur. -- Mais si jeune-? Je lui racontaí alors toute ma vie: Comme j'avais patiné, léché le conin de Jenovefette: comme j'avais gamahuché, enfin enfilé le con soyeux de Madelène; foutu Mad. Lingüet, la croyant Mad. Bourgelat: comment Mamelasse s'était fait enconner par moi: comment ne pouvant me passer de Con, je léchotais le conichon de Babiche: comment j'avàis engrossé les trois Femmes que j'avàis enconnées. --Hâ-Ciel!... Mais tu es bién indiscret! -- Je ne le suis avec toi, que parceque tu es ma soeur-aînée, que je t'aí foutue (le recit que je venais de débiter, les tetons de ma Soeur, sa chaussure me fesaient rebander), & que je vais, divine Marie, te foutre encore. -- Mais mon Mari... -- J'aí poussé le verrou-... Elle me pressa la tête contre son beau sein, en me disant tout-bas: -- Petit coquin, fais-moi aussi Un Enfant-?... Je la re-enconnaí, j'émis sans m'évanouir. La belle Marie n'avait pas encore eú d'Enfans: je fus pére de Mlle Beauconin, fille Unique de mon Beaufrére de ce nom. [Je passerai toutes les fouteries communes; ce n'est qu'à-force de volupté, de tableaux libidineux, tels que les savoureuses jouissances qui vont suivre, qu'on peut combattre avantageusement dans le coeur & l'esprit des Libertins blâsés, les goûts atroces éveillés par les abominables Productions de l'infame & cruel Dsds! Ainsi, je reserve toute ma chaleur, pour decrire des jouissances ineffables, audessus de tout ce qu'a pu inventer l'imagination esquisement bourrelle de l'Auteur de Justine. V Chapitre. Chap. Du bon Mari spartiate. Il faut néanmoins, avant de passer aux tableaux que je viéns de promettre, rapporter en peu de mots, Une Avanture extraordinaire, que jeús, ruë Sainthonoré, à 20 ans accomplis, en fesant mon droit. J'étais voisin vis-à-vis d'Un vieil Orlogér, qui avait Une Femme jeune et charmante. C'était sa troisième. La Première l'avait rendu parfaitement heureux pendant douze ans; c'était une ivresse. La seconde, durant dix-huit ans, à-l'aîde d'une Soeur plüs jeune, par laquelle la Dame se fesait remplacer au lit dans ses moindres indispositions, pour que son Mari ne foutît jamàis avec dégoût. Cette excellente Epouse ayant cessé de vivre, l'Orlogér avait épousé, âgé de soixante ans, la jolie, la delicieuse FIDELETTE, putative d'Un Architecte, ét fille-naturelle d'Un Marquis. La beauté de cette troisième Femme n'avait pas d'égale, pour le moëlleux ét le provoquant. Son Mari l'adorait; mais il n'était plus jeune! Cependant comme il était riche, il lui prodiguait tout ce qu'elle paraissait desirer. Mais il n'atteignait pas le but, ét Fidelette était chaque jour plûs triste. Enfin un-soir, ce bon Mari lui dit: "Mon Ange! je t'adore, tu le sais? Cependant tu es triste, ét je crains pour tes jours précieux? Tout ce que je fais ne te flatte en rien? Parle? c'est Un Ami tendre qui t'en conjure? Dis-moi ce que tu desires? Tout, tout ce qui sera en mon pouvoir, va t'ètre accordé? "Hô! tout (dit la jeune Femme). "Oui, tout, fût-ce... Est-ce à ton coeur? est-ce à ton divin conin, qu'il manque quelque-chose? "Tu remplis mon coeur, cher Mari! Mais j'ai des sens trop chauds, et quoique blonde-cendrée, mon Bijou a des demangeaisons... terribles! "T'est-il indifferent qui le satisfasse; ou aurais-tu un goût? "Sans aimer, j'ai un goût.. un caprice... Mais je n'aîme que toi. "Qui excite ta main, que je vois en ce moment chercher ton gentil petit Chose? "Tiéns? ce Voisin... qui me regarde... ét dont... je me suis deja plainte... "J'entens!... Tu as dû me trouver bién boûché!... Passe au bain, mon Ange adoré.. je reviéns dans l'instant". Il courut me trouver. "Jeune voisin? On dit que vous aiméz Mad. Folin l'Orlogère? "Ma-foi, On dit vrai; je l'adore. "Venéz. "Il en arrivera ce qu'il pourra. Alons". Il me prit la main, ét nous alames chéz Lui. "Deshabilléz-vous; passéz dans ce bain, que ma Femme quitte: Voila de mon linge. Regaléz-la en Nouvelle mariée- ou menagéz-vous pour differentes nuits; à votre choix ét au sién.... J'adore ma Fidelette: mais pour cette Epouse cherie: Je suis content, dès que je la vois satisfaite, heureuse. Quand vous l'auréz foutue, qúe son petit Connin aura bién dechargé, je l'enconnerai à mon tour, pour lui porter mon petit présent". Et il me fit entrer dans le lit où sa Femme était depuis le bain. Il s'en-alait. "Mon cher Mari! (s'écria cette timide Colombe), tu me laisses seule avec Un Inconnu! Hô! reste! ét si tu m'aimes, sois temoin des plaisirs que je ne devrai qu'à Toi"?... Et elle nous baisa tous-deux sur la bouche... Le Lit était vaste: Le bon Folin s'y mit avec nous... Je grimpai sur le ventre de la jeune Epouse, aux flambeaux alumés, au vu du Mari, ét j'enconnai roide... Elle repercutait avec fureur. "Courage, ma Femme! criait l'excellent Mari, en me chatouillant les bourses)... Decharge, ma Fille! hausse le cùl!.. darde ta Langue... ton Fouteur va t'inonder!... Toi, jeune Vit, plonge.. plonge!... Lime.. Lime-la"... Nous dechargeames comme deux Anges... Je la foutis six-fois dans la nuit, ét les deux Epoux furent très-contens de moi...... J'ai eü cette jouissance celeste ét plûs-qu'humaine, jusques aux coûches de Fidelette, qui perdit la vie, en la donnant au Fruit de notre Fouterie. VI Chapitre. Chap. De l'Epouse qui se fait enculer. Je passerai sous silence mes conilleries avec ma Femme clandestine, puisque je n'ai jamais avoué ce mariage. Conquette-Ellès était Une jolie Grêlée, faite-au-tour, ayant Un Con tellement insatiable, que je fus obligé de lui mettre la bride sur le cou, & de la laisser foutre avec quî elle voudrait. Elle était fille d'Un Traiteur de la ruë Saintjacques, & soeur du libraire PetiteBeauté: Elle est morte syfillisée, longtemps après m'avoir donné deux Filles... Hâ! qu'elle foutait bién! jamais Femme enconnée n'a brouetté son Cavaliér comme Conquète!... Elle est la seule Créature que j'aye enculée, mais sur son invitation, quand sa santé fut douteuse. Elle me donna ensuite le cùl de sa Soeur-cadette, en me disant que c'était encore le sién. Et je le croyais. Mais la jeune Persone se fesant enconer, je m'aperçus de la tricherie, dont je ne témoignaí rién..... Cela fut delicieux! mais ce n'est que de la fouterie ordinaire... Quand ma Bellesoeur fut mariée, ma Femme seduisit sa Coîfeuse, à laquelle elle recomanda bién de se faire enculer, alléguant que j'y étais accoutumé. Mais cette Fille m'ayant averti dans la journée, je l'enconnaí la nuit, sans que Conquette s'en aperçût. J'eús ainsi successivement six Coîfeuses, toutes jolies, pendant douze ans, ma Femme, qui les payait, croyant me cacher par ce moyén, qu'elle avait la verole. Ce fut ainsi que j'attendis les Conins delicieux qui m'étaient destinés par la nature... C'est aprês la derniére Coîfeuse, que Conquette mourante ayant remarqué, qu'Un de mes Cadets courtisait ma fille-nièce-Beauconnin, qu'On ne voulait pas lui donner, & qu'il en était aimé, proposa à Mariette de se le laisser mettre par son Amant? Mais craignant que le Jeunehome ne pût la dépuceler, elle me dit, que la dernière Coîfeuse m'envoyait Une de ses Elèves, qu'il falait enconner, & sans parler, parceque ma Nièce couchant dans la chambre voisine, il y avait des raisons, pour ne pas envoyer l'Elève-coîfeuse dans la miénne... Pourvu que je foutîsse Un jeune Con, que m'importait? J'alaí nu au lit: je trouvaí des tetons naissans, Un Conin qui tressaillait. Je dépucelaí... J'avais enconné trois-fois, lorsqu'on vint me faire retirer. Je crus que c'était la convention. Mais ayant écouté, je fus très-étonné d'entendre éperonner de-nouveau ma Monture, & ma Femme instruire, en les encourageant, son Neveu & sa Nièce?... Je me remis dans mon lit tout-pensif... Le lendemain, je demandaí une explication à Conquette. -- Hé-bién, quoi? (me répondit-elle), vous avéz dépucelé votre Nièce Beauconnin, avant que son Cousin le lui mît; parceque je craignais qu'il ne pût la déflorer-... Je fus enchanté! j'avais eú les prémices de la Fille que j'avais implantée un jour de Vierge dans le Con de la belle Marie-Lingüet. Mais je dissimulaí ma joie. C'était un excellent pronostique pour les plaisirs dont je me flatais de jouir depuis longtemps! & dont le moment approchait. J'y touche enfin. VII Chapitre. Chap. Du Conin au Poil-Follet. On saít que j'avais deux Filles, ou que dumoins ma Clandestine les avait: car je me rappelle qu'elle prétendait, que ses véritables Filles étaient mortes en Nourrice, & que... & que... Elle parlait du Roi... d'une Princesse.... Mais elle était si menteuse, que ç'eût été une folie de la croire. CONQUETTE-INGENUE, ma fille-aînée, me causait des desirs dès l'âge de dix ans. Pendant que sa Mére non encore vérolée couchait & foutait avec Un Galant, elle envoyait Conquette dans mon lit. Cette Enfant avait la plüs jolie conque. Je me fis une règle dèslors de la lui baiser tous les soirs, après lui avoir écarté les cuisses, durant son premiér sommeil. J'introduisais légèrement la langue, mais sans lècher. Je m'endormais ensuite, elle remise sur le côté, ses fesses sur mes cuisses, & mon vit pressé entre les siénnes. Dans le jour, j'enconais, ou la Maîtresse d'Un certain Mivière, Avocat, ou Une jolie Bossue toujours bién chaussée, qui demeurait dans la maison; ou Une Boîteuse des deux côtés, mais d'une delicieuse figure, & prête à se marier: Elle s'était laissée déflorer par son Futur, & depuis ce temps-là, elle ne ménageait plus un très-joli con blond. Quand ces trois Fouteries me laissaient chomer trop longtemps, je fourgonnais le vit serré entre les cuisses de Conquette-Ingénue, qui se sentant gênée, l'empoignait toute-endormie, & me fesait éjaculer. Elle avait onze ans. Elle sentit quelque-chose, & parla. On la mit dans un cabinet fermé. Elle apprit à dessiner. Lorsqu'elle eút treize à quatorze ans, après une interruption de plüs de deux ans, je me trouvaí veuf, & elle revint à la maison. Elle coucha dans une petite chambre à-côté de la miénne.. Elle était grandie, faite-au-tour: elle avait le piéd le plüs parfait. Je la fis chausser par l'Artiste le plüs habile, sur la forme de sa Mére, qui était celle de la Marquise-de-Marigni. Puis je devins éperdúmment amoureux de mon Ouvrage. Mais Persone jamais ne fut plüs chaste que cette celeste Fille; quoique ses Méres, soit réelle ou putative, fússent putains, & soient toutes-deux mortes de la vérole. Conquette-Ingénue ne souffrait pas qu'On prît sur elle la moindre liberté... La Providence le voulut sans-doute, pour qu'elle en fût un-jour plüs desirable & plus voluptueuse... Ainsi je me trouvaí réduit à la gamahucher pendant son sommeil, qu'elle avait profond, heureusement! Je profitais de son premiér somme, pour la decouvrir, admirer son delicieux Connin, qu'un joli Poil-Follet commençait d'ombrager, & la gamahucher moderément. Ce ne fut qu'à la dixième nuit, que je la sentis me riposter: je redoublaí les coups de langue, & elle émit.... La lumiére était éteinte, quand Ingénue s'éveilla, en disant: "Hâ! hâ! hâ! ça me chatouille! hâh!"....... Elle crut qu'elle avait rêvé. Cependant elle dagua sa jeune Soeur, couchée avec elle, de plusieurs coups-de-coude, comme si elle eût pensé que cette Enfant l'avait chatouillée. Je me remis dans mon lit, enchanté que ma Fille eût dechargé. Cette émission me fit esperer, qu'ayant éveillé son tempérament, je pourrais l'enconner biéntôt, en faire ma Maîtresse, & me trouver le plüs heureux des Hommes. Mais que j'étais loin de compte? & combién de Vits devaient tenter de matyriser ce divin Connin, avant le mien! hêlas! il fut prêt d'essuyer Une Iliade de malheurs!..... Quoi qu'il en soit, ç'a été ma véritable inclination, la plüs constante, la plüs voluptueuse, que cette adorable Fille, qui n'a eú de Rivale, que sa Soeur... Non (je le dis, d'après l'expérience), il n'est pas au monde de plaisir comparable à celui de plonger son vit bandant, jusques au fond du Con satiné d'Une Fille cherie, surtout si remuant du cùl avec courage, elle décharge copieusement! Heureux! heureux qui cocuffie, & fait cocuffier Un Gendre également déteste de tous-deux! Conquette-Ingénue eút ses règles la semaine suivante de celle où elle avait enfin déchargé. Ainsi elle était parfaitement nubile. Mais éveillée, je ne pouvais lui ravir aucune faveur essentielle. Ma Soeur Marie, qui me connaissait, la mit en apprentissage de Modes & du commerce de la Bijouterie, chéz Une jolie Marchande, dont le Mari était chef de Bureau; & le Bijou de la belle Conprenant me dedomagea, mais sans m'en consoler, des rigueurs de celui de ma Fille. Je le mis aussi à ma Nièce Beauconnin, alors mariée à son Cousin. Et sans ce double soulagement, aurais-je pu m'empêcher de violer la provocante Conquette-Ingénue? Eperdûment amoureux d'elle, n'osant lui prendre de-jour son joli Poil-Follet, & ne l'ayant pas la nuit, je me contentais de la faire regarder dans la ruë, par une fenêtre à large rebord; ce qui lui mettait à-découvert un piéd exquisement chaussé, une partie de la plüs belle jambe; desorte qu'en me baissant, je voyais la cuisse, & le Connin dans certains mouvemens, ou lorsqu'elle se disposait à descendre. Je bandais comme Un Carme. Mais en ce moment arrivaient à-point-nommé, ou la Maîtresse de Conquette-Ingénue, ou ma jolie Nièce Beauconnin, que j'alais enfiler dans ma chambre, après avoir dit à ma Fille de se remettre à la fenêtre, pour les voir arriver; & au-moyén de ma porte entr'ouverte, je voyais le piéd provoquant, la jambe voluptueuse de Celle qui me fesait bander, en foutant soit sa Maîtresse, soit sa Cousine. Quatre ans s'ecoulérent ainsi; & je n'eús plus de fouteries. Alors, plüs amoureux que jamais de Conquette-Ingénue, qui était superbe à dixhuit ans, je résolus de la faire coucher quelquefois chéz Moi, en la retenant tard, sous prétexte d'une indisposition subite. Elle avait toujours le sommeil aussi profond: Ainsi, dès qu'elle était endormie, je la gamahuchais, & je la faisais copieusemt décharger. Elle avait une Motte superbe, ombragée d'un poil noir doux & soyeux. Je brûlais d'envie de le lui mettre. Mais elle s'éveillait toujours en dechargeant. Aussi me disait-elle: -- Je ne fais que chéz vous de singuliérs rêves, qui me rendent toute je ne saís coment--!... La seule chose que je me permîsse, était de demander à baiser son joli piéd chaussé; quelquefois sa jambe: j'alaí un-jour, en la tourmentant beaucoup, jusqu'à obtenir de toucher le poil-satin de son Bijou: Mais elle fut ensuite si fort effarouchée, craignant que je ne parvînsse à la déflorer avant mariage, qu'elle précipita, aîdée de sa Maîtresse Mad. Conprenant, un mauvais établissement avec Un Infame. Ce fut ce que j'ai eú tant de peine à lui pardonner!... Mais la pauvre Enfant en a trop souffert... elle s'en est asséz répentie... son charmant Connin a depuis trop bién-mérité de Moi, pour que des torts de jeunesse & d'inexperience ne soient pas oubliés. J'y étais obligé dailleurs par un autre motif: c'est que je dois à cet execrable mariage d'indicibles delices (comme On va le voir), ainsi que ma fortune présente. VIII Chapitre. Chap. Des Conditions de mariage. Le Dimanche suivant, Conquette-Ingénue étant chéz moi, suivant son usage, elle ne put s'empêcher de voir, que je bandais à n'en pouvoir plus! Elle tremblait pour sa virginité!... Je lui avàis baisé le piéd, la jambe; mais elle avàit défendu son connin. Tout-à-coup je me lève, & m'appuyant sur le dossiér de sa chaise, je plonge les deux mains dans son corpset; je lui prens les tetons.... Hâ! qu'ils étaient jolis!... petits, mais fermes! & d'une blancheur.... Elle ne put se dérober... Elle me déclara pourlors sérieusemt, qu'elle voulait se marier. A ce mot, je passaí devant elle, le vit à l'air et bién bandant. Elle devint rouge comme une cerise: Elle bouillait. Enflâmé d'amour & de luxure, je lui notifiaí, que je ne signerais rién, qu'à la condition de la dépuceler auparavant. Elle se recria!... Je lui pris le Con par force. Elle se recueillit, & me dit: -- Signéz dumoins pour ceci? -- Oui; si je te gamahuche-. Elle ne m'entendait pas. Je m'expliquaí, ajoutant: -- Et jusqu'à la décharge, ou le plaisir, de ta part, inclusivement-? Elle refléchit... Puis soupirant: -- Hâ! combién vous me l'avéz fait! Mes rêves étaient causés par vous-!.... Elle se mit à la renverse sur le lit, en me disant: -- Satisfaites-vous! &.. ne me.. trompéz pas!... gamahuchéz.. mais je veux être pucelle le jour de mon mariage avec M. Vitnègre; c'est Un Home veuf, & Mad. Conprenant dit qu'il s'y connaît-. Pendant ce discours, je rassasiais mes ïeux dabord de la vue du plüs ravissant des Connins; de celle d'un ventre uni comme l'ivoire; d'une cuisse d'albâtre; d'un cùl de satin. -- Depêchéz-vous? -- J'inventorie ce que nous devons livrer à ce M. Vitnègre, & tout est bién conditionné, une chose que je te diraí exceptée. Gamahuchons-. J'etais enragé! Je la lèchais avec fureur, guettant l'instant de l'émission de sa liqueur virginale, pour me jeter sur elle, & l'enfiler. Elle émit dès le sixième coup de langue; desorte que je ne le pouvais croire. Mais biéntôt ses tremoussemens m'en convainquirent. Alors, quittant le Conin, je me jetaí sur elle. Enivrée de plaisir, il est certain qu'elle m'aurait laissé tout faire: màis son jeune Connichon, quoique bién humecté de son foutre & de ma salive, ne put être penetré. L'experience qu'il faut, pour enfiler certaines Pucelles, de la pomade ou du beurre-fraîs, ne m'était pas encore acquise... A la fin, elle me saisit le vit, pour me debusquer. Pressé de sa main douce & blanche, il déchargea, & couvrit d'Un Foutre azuré, son con, son ventre, ses cuisses & sa main. Propre comme elle le fut toujours, elle se debarrasse, & court se laver. -- Qui ne dirait (m'écriaí-je) en la voyant s'éponger cùl, cuisses & Coniche, que je l'aí enconnée!... -- Hâ! si vous étiéz raisonable!.. (répondit Conquette-Ingénue), ce joli gamahuchage, tant que vous voudriéz; car j'aí eú bién du plaisir! -- Voila un joli mot-! Et je lui fis darder la langue dans ma bouche, Moi lui tenant le Conin. -- Mais (reprit-elle), pas ce qui M'a salie, dans ce que je viéns de laver! je veux étre honnéte-femme. -- Tu dois ton joli Con à ton Père, ma charmante Fille! -- Si vous étiéz plûs riche, je renoncerais au mariage, & je me dévouerais à vos plaîsirs. Mais il me faut Un Mari, pour cesser de vous étre à charge-. Touché, je la baisaí des piéds à la tête, souliér, jambe, front, oeil, bouche, cou, tetons, cuisses, cùl, enfin motte, jusqu'à ce qu'elle déchargeât... Ensuite, je signaí tout ce qu'elle voulut... Elle étàit adorée, en ce moment.. Elle se maria, sans Me revoir, & M'évita pendant trois mois. Une pareille conduite Me rendit furieux contr'elle, & je juraí de la foutre & faire-foutre, si elle retombait entre mes mains, Mille-&-Une-Fois, avant que de lui pardonner!... Mais savais-je alors qu'elle était malheureuse? IX Chapitre. Chap. Des Dedommagemens. VICTOIRE-CONQUETTE, ma seconde Fille, était en Province, depuis la mort de sa Mére, chéz sa Tante Jenovefette, alors mariée avec son derniér Entreteneur. N'ayant plus de Con à ma devotion, je redemandaí Victoire. En attendant qu'elle arrivât, je m'accomodaí de deux petits Conins encore imberbes, ou dumoins à Poil-Follet, que je parvins à perforer, en les pomadant. C'étaient la Soeur & la Maîtresse de mon Secrétaire, qui lui-même Me les livra, comme On le verra par la suite. Nous foutions jusqu'à sa vieille Bellemére; ne voulant pas aler aux Putains. Dès que Victoire fut arrivée, je la fis chausser comme sa Soeur, à talons minces-élevés; & cette Enfant, qui atteignait quinze ans, me fit autant bander que son Aînée. Mais je ne cherchaí pas à la déflorer, elle ne me servàit qu'à Me mettre en humeur, & à me faire enconner plûs vigoureusement & Minone, & Conette, Soeur & Maîtresse de Traìtdamour mon secrétaire, ou leur Bellemére. Pour cela, quand Victoire rentrait parée, chaussée, je la saisissais par la jupe, & je l'asséyàis sur mes genoux, à-crû, Moi deculoté, quand je le pouvais: je me fesais caresser, donner de petits coups de langue. Si j'étais à-crû, mon vit lui alait entre les cuisses comme le batant d'une cloche: si elle n'était pas troussée, comme elle était fort-innocente, je Me fesais empoigner le vit, en lui disant: "Mignone, serre-moi le doigt, fort! fort"! Minone, Conette, ou la Bellemére arrivàient toujours, Traìtdamour en alant chercher Une, dès qu'il me voyait m'enfermer avec Victoire: En les entendant, je remettàis la charmante Enfant dans sa chambre par une porte-derobée; j'ouvràis, & je foutàis delicieusement, les couilles chatouillées par Traìtdamour. Il enconnait ensuite la Même, Soeur ou Bellemére, & je lui maniais les couilles. Je Me seràis contenté de cette vie pendant longtemps, quoique toujours amoureux de Conquette-Ingénue, devenue Mad. Vitnègre, si mes Soeurs Marie & Jenovefette n'eússent trouvé indecent que je gardasse Victoire seule chéz Moi. Elles M'obligérent à la mettre en apprentissage pour le linge, chéz des Devotes qu'elles M'indiquèrent. Mad. Beauconnin l'y conduisit. Heureusement que la chère Fanfant M'avait, depuis quelques jours, donné la conaissance d'Une grande & superbe Femme-separée, son Amoureuse éperdue, sans que la naïve Victoire s'en doutât, & que cette Belle-femme M'en croyant amoureux aussi, foutit sous Moi avec fureur. Car elle M'appelait alors son Papa, & Me disait: -- Enconne; enconne... enconne ta... provocante Victoire! ta... passionnée, ta... tendre Fille-! X Chapitre. Chap. De l'infame Mari. Mais le moment approche, où je dois recouvrer Conquette-Ingénue.. Mon desir le plûs vif, même dans les bras de Mad. Moresquin (l'Amie de Victoire), était de faire Vitnègre cocù! Un-jour, ma Conquette me rencontra sur le pont-Notredame. Elle étàit malheureuse: elle vint se jeter dans mes bras. Je fus si ému, que toute mon anciénne colère s'évapora. Ma delicieuse Fille était encore embellie dans les douleurs. Mon premiér mouvement fut de lui prendre le con. Mais nous étions dans la ruë... J'alaí la voir dès le lendemain-soir, à l'heure où elle M'avait dit que son Mari, ou plütôt son Monstre, n'y était jamais. Je la trouvai seule en-effet; & dès cette premiére visite, elle m'avoua qu'elle avait Un Amant. Ravi de cette confidence, qui M'annonçait le cocúage de Vitnègre, je la flatái, je l'amadouái; je l'engageái à se le laisser mettre par Timori (son Galant). Mais je compris biéntôt que c'était des deux côtés, un amour absolument Platonique, où Conquette-Ingénue se consolait auprès d'un Bandalaise, des brutalites d'un Débaûché. Elle aimait à parler de son Amant: Et comme j'étais le seul, avec quî elle le pût en sûreté, que je promis de leur procurer des entrevues, je fus cheri. A la seconde visite, Conquette me découvrit quelques infamies récentes de Vitnègre. Un-jour qu'elle se baissait, pour ramasser quelque-chose, il lui fit prendre le con par Un de ses Amis. Elle s'écria. -- Ce n'est rién qu'un con de pris (dit froidement Vitnègre)... (à son Ami): -- Ne t'avais-je pas bién dit, qu'elle avait le poil du con plús satiné que de la soie?... Hé-bién, le dedans est plús doux encore-... Conquette voulut se retirer. Il la retint brutalement, la fit mettre sur lui, la troussa jusqu'aux cuisses, & lui tint le con, s'efforçant de le faire voir, ou de la branler, pendant tout le temps qu'il fut à raconter, combién, quand elle le voulait, elle donait de plaisir à son Caresseur. -- Mais (ajouta-t-il), elle est comme les Putains; il faut la rosser, pour lui faire-faire son devoir-. Il voulut ensuite lui decouvrir la gorge. Elle s'échappa. Mais il l'atteignit d'un coup de piéd.... Quelques-jours après, le Meme étant venu dîner, après le caffé, Vitnègre s'étant aperçu que sa Femme, après avoir pissé, avait fait bidet, dit à Culant son ami: -- Voila un con bién propre! il faut le gamahucher tous-les-deux, d'adresse ou de force? Mais dans ce derniér cas, ne t'étonne pas du bruit!... Pour le premiér, voila une cléf; elle ouvre la porte du cabinet qui donne sur le corridor. Tu entreras, quand lassé, je dirai très-haut: -- Alons, Madame, faites-moi beau con, & recommençons-. Et donne-t-en! car je voudrais que toute la Terre foutît la Garse: elle n'est pas asséz large-... Conquette fut rappelée. Le Mari la fit asseoir au milieu devant le feu, mit à l'air son vit, ses couilles de Mulâtre, & dit à son Ami d'en faire autant. Comme il hesitait: -- Decùlote-le tout-à-l'instant, Bougresse, ou je t'arrache les poils du con à la poignee-! Et il y porta la main. Elle fit un cri. Culant mit aussitôt à l'air son vit & ses couilles, en demandant grâce pour elle. -- Alons, Bougresse, branle-nous tous-deux, Un de chaque main?... Je suis son Maître (ajouta le Scelerat); elle m'est abandonnée-. Conquette pleurait. L'Ami demanda encore grâce pour elle... -- Hé-bién, qu'elle me suce le vit, là, à-genoux devant moi, que je lui decharge dans la bouche? Je dechargeais dans celle de ma première Femme, qui en est morte, & c'était mon delice. Culant observa, que ce serait gâter la plús jolie des bouches. -- Hé-bién donc, je vais la gamahucher. -- Je banderais trop! (dit Culant): passéz dans ce cabinet-. Vitnègre y poussa Conquette, & se substitua Culant. Puis il sortit pour aler jouer. Culant gamahucha, & n'osa foutre Conquette, ayant le vit si petit, qu'il ne pouvait être pris pour Vitnègre. Mais il dechargea six fois, & Conquette le double. Il se retira, en lui donnant un coup-de-poing, afin qu'elle fût persuadée que c'était Vitnègre. Mais le soir, à sa rentrée, le Monstre dit à sa Femme: -- Hé-bién, Bougresse? as-tu été asséz gamahuchée? ce n'était pas Moi; je ne t'aurais fait l'honneur de decharger six fois; c'était mon Ami. Mais, Garse, tu l'as reconnu, puisque tu en as dechargé douze, & que tu ne bandes pas pour Moi. Et le bon coup-de-poing qu'il t'a donné, héin? l'as-tu senti? (l'Infame éclata de rire). Alons, Garse de bâtarde d'Avocat, te voila putain; j'entens que ton con me rapporte-. Effrayée, Conquette se promit de le quitter. Ce fut le lendemain qu'elle me rencontra, & de ce moment elle prit de la fermeté contre le Monstre Ce recit de ma Fille, quoique plûs gazé dans sa bouche, m'avait revolté! je lui promis un prompt secours.... Mais en-même-temps il me fesait bander en Carme, comme tous les recits de brutalités libidineuses. Je demandái des faveurs? On rougit; mais On Me laissa baiser un joli souliér vert, qu'On portait pour la premiére-fois. Je M'en tins là. Cependant à la visite du lendemain, je glissái en riant, une main dans son dos; insensiblement j'en vins aux tetons, qu'elle defendit, mais qui me restèrent enfin. Je me fis ensuite donner de ses cheveux; puis voulant voir jusqu'où je pouvais la mener, sans l'effaroucher, je la tourmentaí pour avoir une petite touffe des poils de son con soyeux. Elle me la donna; mais en tremblant que son Mari ne s'en aperçût! Pour la remettre, je la fis parler de son Amant; & pendant cet entretién, de libertés en libertés, je parvins au con. Elle était si parfaitement á son sujet, que je crois en-verité qu'elle s'imagina que c'était Timorì qui lui tenait la motte!... Je lui dis, en la patinant, que je lui avais trouvé une pension, pour quand elle aurait quitté Vitnègre. Elle rougit de plaisir, & m'embrassa. Je lui dardaí ma langue, & elle me fit sentir la sienne... Ravi, j'alais lui demander le Recit de la Maniére dont elle avait été depucelée? Quand Vitnègre s'étant fait entendre, je me jetaí dans le cabinet obscur, me proposant de m'évader par la porte du coridor. Mais je fus étrangement surpris de voir un Moine introduit par cette porte! Il ne m'aperçut pas; je me cachaí derriére un grand sofa. Vitnègre entra aussitôt par la porte de la pièce que je quittais. -- Mon Reverend-Pére, vouléz-vous la foutre avant dîner-? Le Moine, qui devorait des ïeux la belle Conquette à-travërs les vîtrages, parut concentré... Aubout d'un moment, il repondit: XI Chapitre. Chap. Pucelage des iné aux gros Vits, pris par un petit. -- Non: Comme nous en sommes convenus, passéz dans la chambre éclairée; faites-moi voir, en badinant avec elle, tetons, cùl & con: je me reserve pour la nuit. -- Hô! ce coup-ci serait pardessus le marché. -- Non: j'aime à foutre au lit, à suçoter langue & tetons; à enconer, enculer, entetonner, &c. à mordre, arracher les bouts... Aléz... Ayéz le vit à l'air, & qu'elle soit bién chaussée... De la brutalité-! Vitnègre rentra deculoté auprès de sa Femme toujours tremblante devant lui. Alons, Bougresse, il me faut du plaisir? Voi comme je bande, à la vue de ce joli soulier vërt?... J'aí entendu hier un Jeanfoutre derriére toi, qui disait, qu'il aurait voulu decharger dedans... A-bas ce fichu, que je voye tes tetons.. Comme ils sont jolis! blancs!... fermes! Hâ! Garse! j'arracherais ce joli bouton, si je ne craignais de les gâter!... Marche.... Quel tour de croupion foutatif!... Troussée, Putain, audessus des reins & du nombril, que je voye ce mecanisme-là?... Marche en avant, présentant le con... Retourne-t-en montrant le cùl... Hâ! le joli mouvement!... Continue, Garse-à-cul & à con, jusqu'à ce que je te dise, Hôla... (Elle fit ainsi cent tours, montrant alternativement son cùl, son con)... Cependant le Moine disait: -- Ce Bougre là n'a pas le vit si gros que moi, & il n'a pu la depuceler! Hô! comme elle criera cette nuit!... Mais je n'y tiéndrais pas; je la tuerais; elle crierait à faire venir le Voisinage... Je m'en-vais-. Et il sortit doucement, en murmurant: Elle est à tuer; elle le sera-!... Au même instant Vitnègre dit, Hola, Garse engarsée-. Et il vint dans le cabinet. -- Qu'en dites-vous? (dit-il): la vouléz-vous essáyer? Je bandais à n'en pouvoir plus; je répondis bién bas pour le Mone. -- Oui-. Vitnègre ala chercher sa Femme; & la poussant brutalement, -- Alons, de-par-Dieu, Garse, Putain, que je te foute... Hâ! comme tu vas crier! Mais songe, s cré Conin de Poupée, à ne pas faire venir ici les Voisines! ou je les laisse tous entrer, sans me deranger de sur ton sacré ventre-!... En achevant ces mots, il me la renversa troussée sur le foutoir mis là exprès, & se retira. Je me précipitaí sur ma Fille, qui se sentant enfiler presque sans douleur, ne criait pas. -- Crie donc! (lui dis-je bién-bas). Et elle cria à-tue-tête, en se reconnaissant enconnée par un Etrangér. Dès que j'eús dechargé delicieusement, en lui fesant osciller le con, je m'échappaí, avant que les Voisines arrivassent; & comme elle continuait à crier, je les envoyaí à son secours. On la trouva debout. -- C'est ma Femme que je baisais (dit Vitnègre). Regardéz y; il en est encore tout barbouillé. Mais elle est du naturel des Chates; elle mord & crie, quand On la fait bién-aise-. Les Voisines rirent, & se retirèrent. Vitnègre dîna, & fut asséz honnête; il craignait que sa Femme n'eût connu qu'elle était foutue par un Moine, & qu'elle ne parlât.. Je dînais dans un cabaret en face. Je le vis sortir, & aussitôt je retournáí chéz ma Fille, qui me conta tout. Je me tus dabord. Je lui fis raconter la manière dont je croyais qu'elle avait été depucelée; parceque ce recit avait du haut-gout pour moi, & qu'il me ranimerait asséz, pour me la faire foutre encore. Elle le fit, dès que je l'eús mise en goût, en lui rapelant de son Amant. -- Notre première nuit et les trois suivantes, ont valu chacune cinq-cents louis à Vitnègre, à ce qu'il m'a dit par la suite. Dès que nous fumes arrivés à sa demeure, il alluma quatre bougies, qu'il mit autour du lit, sur lequel il me renversa troussée jusqu'aux reins. Il me tourna, retourna, m'examinant, me baisant partout: Il me fesait lever les jambes en l'air, puis mettre debout sur le lit. -- Remue du cul (me disait-il), ainsi, ainsi (me montrant), comme si je te foutais-. Je lui observai, que cela était indecent. -- Bast! une Femme est la Putain de son Mari-... Il me gamahucha. Il s'écria de toutes ses forces: Elle decharge-! Et il me fit empoigner son gros membre, de la couleur & de la grosseur de celui d'un Cheval. -- Alons! alons, que je te foute, à-présent-. Il se jeta sur moi. Mais il ne put rién. -- Foutre! Celles qui disent que ton Père t'a depucelée, sont des Garses! tu es pucelle comme quatre. Je voudrais que tout le monde fût-là, pour en étre temoin-...... Il me pomada... devant, derrière. Il éteignit les bougies (mon pucelage était vendu), & il parut se coucher. Mais ce fut Un-autre; car toute la nuit je fus tourmentée par un gros membre, qui ne put rién-... [Depuis le mot de son recit, Elle decharge! elle decharge! j'avais glissé une main entre les cuisses de ma Fille, sans qu'elle s'en plaignît. Ici, je lui hâpái le Con. -- Hâ! Papa! ne me menagerez-vous donc pas plûs que les Autres, un-jour où... j'a été depucelée! -- Depucelée! hâ! celeste Fille!... Est-il bién vraì? -- Jamais On n'est entré... dans ce que vous me tenéz... qu'aujourd'hui! -- O Fille adorée! je suis un Dieu, & non pas un Home... Mais tu m'as fait trop bandér: ta précieuse faveur?... ou.. j'aurais... une colique spermatique épouvantable-! Et je l'enlevái vivement dans mes bras; je la portai dans le cabinet obscur. XII Chapitre. Chap. Du plus delicieux des Incestes. -- Vous voila tous! (me dit-elle); & mon Papa lui-même ne me rechèrche que pour ce trou-là! -- Et pour ton cùl, tes tetons, ta bouche, tes ïeux, ta tâille voluptueuse, ton tour provocant, ta jambe, ton piéd foutatif, ton âme naïve & virginale, malgré tout ce qu'on a fait, pour te rendre putain-. En parlant ainsi, je la troussais par derrière, courbée qu'elle était sur le foutoir, & je me disposais à le lui mettre en levrète: mais il la falut pomader. Elle reprit: -- Mais c'est ma faute! ces recits-là enflâment tous les Hommes: Timorì n'a été prêt à me deflorer qu'une seule-fois; & ce fut après ce même recit moins detaillé-. Cependant elle faufuyait, pour que je ne l'enfilasse pas. Je m'en plaignis tendrement: -- Tu veux donc me rendre malade, ma chère Fanfant-? Elle s'attendrit; ses beaux grands beaux ïeux bleus devinrent humides: elle se cambra, pour me l'inserer elle-même, & me dit, en me secondant, malgré quelque douleur, adoucie par la pomade: -- Quand ma Soeur & moi nous voüs l'avons vu tant de fois mettre ainsi à ma Mère, sur le piéd de votre lit, vous criiez de plaisir!.... n'aléz pas en faire autant! Vitnègre peut revenir-? Je lui promis le silence, telles delices que j'éprouvasse... J'enconnais. Ma Belle fesait de petits mouvemens de contraction du Conin. Jamais satin ne fut aussi doux que l'interieur de ce Conin celeste: Conin encore imberbe n'est pas plüs étroit! -- Hâ! si ton Gueux avait connu le prix de ton divin Con, il t'aurait defoncée, eússes-tu dû en perir. -- Non: comme il l'a trop gros, il craignait de m'avachir: Il se branle, ou me fait le branler, en me tenant le poil, ou une fesse, & decharge... en... blasphemant-. (Elle se contracta, et dechargea). Je partis alors delicieusement, en me recriant, malgré ma promesse. -- Remue du croupion (ne cessais-je de dire), remue du Conin, mon Ange?... Bon,.. bon!.. encore? encore-?... Et elle se contractait, en redechargeant, au-point que le fond de son Con me pinçait, & me suçait le bout du vit.... Je dechargeai trois-fois, sans deconner: & elle, peutêtre dix-fois. Ce que je sentais à ses tremoussemens convulsifs. Enfin, elle se pâma... Je deconnai, dès qu'elle cessa d'émettre. Elle se lava aussitôt, craignant que Vitnègre, en arrivant, ne lui prît & ne lui flairât le Con, suivant son usage, même devant le monde qu'il amenait. Pour nous reposer, nous alames causer à la lumière. Je lui revelai là toute l'avanture du Moine, pour lequel Vitnègre lui avait fait si longtemps tenir en vue tetons, cùl, Conin: je lui peignis la grosseur du vit du Moine, le double de celui de son Monstre: la joie barbare qu'avait marquée l'execrable Moine, à-côté duquel j'étais caché, de la pourfendre & de la tuer, la nuit prochaine, avec son vit comme un timon de carosse... Elle se jeta dans mes bras: -- O mon cher Papa? sauve-moi? & je te suis devouée à jamais? -- Je te sauverai.. Je lui expliquai comment, & pourquoi le gros Moine s'en était alé; l'assurant que je l'aurais poignardé, s'il avait entrepris de la violer sur-le-champ. Je lui detaillai comment son abominable Mari me l'avait livrée, comptant la donner au Moine, auquel elle était vendue. -- Tu sais, ma ravissante Fille comme je te l'ai mis? c'est moi, contre tout espoir & toute vraìsemblance, qui ai ravi à nos Ennemis, ton celeste pucelage-? Conquète me donna un joli baisér sur la bouche. -- Mais comment me sauveras-tu? -- Je viendrai te prendre dans une heure; je t'emmènerai; tu coucheras dans ta pension: Aussitôt que tu seras en sûreté, je ferai entrer dans le cabinet obscur, avec ta cléf, & coucher dans ton lit, la jolie Putain du Port-au-bléd, deja prévenue, comme pour y coucher avec moi. Je guetterai: Dès que Vitnègre & le Moine seront arrivés, je m'échapperai. J'écouterai; et nous verrons demain-. Ma Fille fut ravie.. Je la sauverai: mais j'aurais dû l'emmener au moment même. Aulieu de cela; je m'amusai à lui faire raconter la seconde et la troisième nuit de son mariage. XIII Chapître. Chap. Du Con & du Cul vendus. Voici comme ma celeste fille reprit la narration que je désirais: -- Le second soir, Vitnègre recomença les mêmes choses. Il me prenait legèrement la gorge: -- Ferme comme un gland-! (disait-il)... Il me plaçait comme s'il m'avait montrée à Quelqu'un (ce qui n'était que trop reel!) Après avoir mis en vue ma Conque, il me tournait pour faire voir mes fesses. -- Elle est encore pucelle (dit-il, comme s'il se fût parlé à lui-même): pour la perforer, il faudrait la pomader en diable, & se pomader à soi-même le v...-. Il me gamahucha violemment; & quand j'eús émis suffisamment, selon lui, il me laissa reposer. Après un court sommeil, je m'éveillai couchée sur le ventre, ayant sur moi un Homme, qui s'efforçait de m'introduire dans le fondement un fort gros membre. Mais quoiqu'il n'eût aucun égard à mes soupirs douloureux, il ne put jamais s'ouvrir le passage par la rosette de mon anus (ce fut son expression, prononcée très-bas à Quelqu'un). J'entendis ensuite, dans cette pièce-ci: -- Il faudrait qu'un v... moins gros que le mién, me la fraye... Voyons, toi! Trop gros, de beaucoup-!... Je n'y comprenais rién. Je m'endormis, & ne m'éveillai plus. Le lendemain, dans la journée, Vitnègre m'ayant beurré la rosette, & plongé son membre dans l'huile d'olive, me fit coucher sur le ventre & retrousser. Il se mit sur moi, en disant: -- Il faut que j'en tâte de ce ragoût de Bougre-. Je lui représentai, qu'il m'avait essayée toute la nuit. -- Ça va jusqu'à toi (me repondit-il), & ça te passe.... Hâ! que d'argent me vaudraient ces deux Bijoux-là, s'ils étaient connus-! Il fit tous ses efforts, me martyrisa deux heures durant sans succès, & finit, parcequ'une copieuse dech--ge... lui ôta sa roideur & ses forces.... Le troisième soir, il repeta encore tout ce qu'il m'avait fait... A mon reveil, dans mon premiér somme, je me trouvai sur le dos, ayant un Homme sur moi, qui m'attaquait le Bijou de toutes ses forces. Je m'écriai! Vitnègre me dit: "Decharges tu, ma Fille"? On me quitta, & Vitnègre ajouta: -- Si tu cries comme au feu, dès que je voudrai te le mettre, nous voila bién!.. Alons, empoigne-moi le vit, que je dech--ge... Chatouille-moi les coui-les de l'autre main... Tiéns, comme je fais à ton C-n. Va, va, va... vaah-. (Il ne m'appelait encore ni Putain, ni Garse; ce ne fut qu'aubout de six semaines). Mais ce n'était pas lui que je maniais; j'en ai fait l'observation depuis. On émit six fois de suite, je secouai cet Homme plûs d'une heure. Il en fut une autre à me gamahucher. Je n'en pouvais plus!... Il me fit ensuite lui pisser dans la bouche, & n'en perdit pas une goutte, il avala tout. Il me laissa enfin.... Si je n'avais pas été dans une securité parfaite, je me serais bién aperçue, que Vitnègre le reconduisait, en disant. -- L'operation, l'operation-! Mais me doutais-je de rién?... Je rebandais, malgré quatre decharges, et deja je disais à ma Fille: -- Conin celeste, je n'en puis plus?... Je ne te cacherai pas, ma delicieuse Amie, qu'outre ma passion pour toi, qui est inexprimable comme ta beauté, j'ai un excitatif puissant: c'est de faire cocu Vitnègre. Je voudrais, s'il était possible sans triturer tes charmes divins, que toute la Terre te passât par le con, pour qu'il fût le cornard universel... Viéns me donner le bonheur-? Et je l'emportais, quand nous entendimes tourner la cléf. Je me cachai aussitôt dans le cabinet obscur.. C'était Vitnègre, qui rentrait avec un Jeunehomme. Nous entendimes clairement, qu'il lui disait avant d'entrer: -- Tu as le Vit cumme il le faut: c'est ce qui me fait te donner pour six bougres de louis, un pucelage qui en vaut mille. Il est essenciel que je te surprènne, et veuille la tuer: Tu me supplieras, et je n'accorderai sa grâce, qu'autant qu'elle te secondera, pour l'enconner. Mes gros Vits s'ennuient de ne pouvoir la Foutre ou l'Enculer. Ils me paient une grosse pension: Aussi je la nourris bién, et tu vois comme elle est mise. Tu me l'enconneras dabord: c'est le plus pressé: Demain, tu l'enculeras. Sache que son Mari l'adore; s'il la rudoie, c'est pour la rendre souple à toutes ses volontés. Elle me vaut trente-mille francs, en trois mois de mariage. Entrons: elle va te ravir: mais point de pitié-? Tel fut le discours du Monstre.... Je poussai Conquette devant moi; je la conduisis à sa pension, d'où elle revint avec moi. Il était nuit. Je pris Conillette la putain, arrangée, appetissante. Conquette nous précedait. Rassurée par ma présence, elle ouvrit le Cabinet obscur. Elle entra. Nous la suivions. Je dis à Conillette de s'étendre foutativement sur le pied du lit... Cependant ma Fille se présentait. Elle fut reçue avec transport? Le Jeunehomme, appelé Lenfonceur, et Vitnègre lui-même, la couvrirent de louanges. On ne lui baisa que la main. Vitnègre neanmoins, qui (de même que les trois Fouteurs à gros vits, et le Moine), était fou de sa chaussure à talons minces élevés, lui baisa le piéd. Il lui dit ensuite: -- Ha-ça, ma Fille, alons-y par la douceur: Il serait malheureux pour moi de renoncer à te le mettre: il faut se faire une raison: mon Vit est trop gros: non préparée, il te dechirerait: Voici un vit mieux proportionné, qui va te perforer, sans decharger: ainsi percée, mon gros Vit penetrera cette nuit au fond de ton con: Voi-moi ce vit-là-?... Et il mit à l'air le vit de l'Enfonceur, ou plütôt de Timori... Il falait que Vitnègre eût decouvert, on ne sáit comment, l'inclination de sa Femme inspirée par le beau Blond, pour en user come on va le voir. XIV Chapitre. Chap. Le Jeunehomme, la Fille, le Moine. Ma Fille, en reconnaissant son Amant, que son Mari lui amenait pour l'enconner, avait rougi de pudeur, ou de desir. Elle trouva moyen de venir à moi, pour me dire: -- Faites disparaître la Fille; on ne l'emploiera que cette nuit-. Je vis bién qu'elle voulait être foutue par son Galant. Je cachái la Putain. Voici maintenant le recit de ce qui va se passer: Dès que Conillette se fut comodément arrangée derrière le grand sofa, Conquette retourna auprès des deux Homes, qui la rapportèrent au foutoir, assise à cùl-nu sur leurs mains unies. "Alons, ma Petite Garse de Femme, (lui disait Vitnègre), tu vas pourtant être depucelée, foutue! Mais ce n'est rién! c'est quand tu auras Un gros Vit, cette nuit"!... Il la troussait, l'arrangeait. "Lenfonceur, que je te mette le vit dedans? "Non, non; ma Belle se le mettra elle-même, "Tu as raison: Il faut qu'elle s'y accoutume". Vitnègre sortit, ét j'observai qu'il laissait la porte ouverte. J'en augurai quelque noirceur: Mais j'étais là... Timorì, bién-bas, dit à ma Fille: "Vous le mettrai-je, ma bonne Amie? "Non, non! il est alé chercher des Ecoutans [ce mot glaça Timorì]. "Mais il vous estropiera? "Je ne couche pas ici". Alors l'Amant satisfait, se mit à la gamahucher doucement. Cependant la Voluptueuse dechargea... Elle était aux Anges, quand j'entendis Vitnègre revenir. Je crus qu'il amenait le Moine. Il entra, passa rapidement, suivi de trois Voisines, auxquelles il disait, -- Je vas vous montrer-ça-. Effectivement, il Leur montra que que-chose dans sa chambre... Cependant mon amoureuse Fille, gamahuchée par Un Amant aimé, fit un profond soupir. Les trois Voisines prétèrent l'oreille. "Ce n'est rien (dit Vitnègre); ma Femme est rentrée, ét je ne le savais pas. C'est pour elle cette étofe-là. "Hô! il faut la Lui montrer! (s'écrièrent les trois Voisines). Le Monstre retint Celle qui alait La chercher. Il prit la lumière, en disant. "Je vais auparavant voir si elle ne dort pas". Il ne fut qu'à la porte, où il s'arrêta d'un air de surprise ét d'horreur!... Il recula. Mais les trois Voisines avaient vu comme lui, pardessus son épaule, Conquette troussée, étendue à la renverse sur le piéd du lit, la tête d'Un Homme entre ses cuisses... Il Les fit sortir par le corridor, en se frappant le front... Il avait rempli son but. Si sa Femme criait pendant la nuit, les trois Voisines, qui se croyaient bién au-fait, y mettraient les Autres: Sì Mad. Vitnègre perissait écalventrée par le timon du Moine (qui étant extrêmement riche, devait La payer 60-mille francs, ét qui en avait deja tué plusieurs, choisissant toujours les plüs étroites), ce serait la Morte qui aurait tort... Cependant Vitnègre rentrait auprès des deux Amans, qui avaient changé de position: Lenfonceur, après avoir dechargé par terre, s'était remis sur le ventre de ma Fille: "Hé-bién? (dit l'infame Mari), est-elle enfilée? bién enconnée?... Dechargéz vous? decharge-t-elle? "Nous avons dechargé (repondit Timorì-Lenfonceur). "Je vas sortir (reprit Vitnègre): Ramone-la moi encore pendant une bonne demi-heure, que je serai dehors... Et ne vous étonnez pas de ce que vous aléz entendre: J'ai mes raisons". Il ala dans le corridor, dont il ouvrit doucement la porte, ét se mit à crier sourdement, comme s'il avait bourré sa Femme à coups-de-piéds, "Hâ Garse! hâ Putain!... Tu fous, sacrée Salope! Quand je suis sorti, tu raccroches!... Je vais chéz le Commissaire"! Il ouvrit la porte bruyamment, ét la referma de-même. Mais il dit tout-bas, avant de s'éloigner: "Remue du cùl, ma Petite Femme!... Courage; Lenfonceur! fraye-moi la bién"! "Voila un rusé Scelerat! (dis-je à ma Fille, pendant que Timorì observait la sortie de Vitnègre): Le Moine t'aurait tuée, ét il ne neglige rién pour motiver ta mort. "Sauvons-nous! (me dit-elle). "Non, non: nous sommes asséz pour te defendre. Feins à Timorì que j'arrive-... Le Jeunehomme rentra. "Voici mon Papa, arrivé a-propos! "Hâ-oui! (repondit Timorì), sa présence pare à tout; car j'alais proposer de nous enfuir. Mais à-présent, voyons ce qui arrivera". Je Lui montrai Conillette, ét je lui fis entrevoir notre plan, que Timorì trouva merveilleux!... Le temps s'écoula vite. Nous entendimes revenir. Timorì reporta la lumière dans la chambre; nous nous cachames ma Fille ét moi; tandis que le Jeunehomme s'étendait sur le ventre de Connillette troussée... "Que ton vit ne m'approche pas! (lui dit-elle), je suis gâtée; que tes couilles ne me touchent pas le poil; jai des Morpions-!..... Vitnègre entrait, suivi du Moine, que le Voisinage aux fenêtres prit pour le Commissaire. XV Chapitre. Chap. Du Fouteur à la Justine. Le Moine ôta dabord sa robe. Mais nous l'avions tous vu. Il mit ensuite à l'air un vit, si monstrueux, que ma Fille tremblante m'étreignit dans ses bras "Hô! qu'il est gros (dit Vitnègre). "Il a tué deux de mes Soeurs Religieuses, qui avaient fait chacune deux Enfans de notre Prieur: J'ai tué toutes les Femmes que j'ai enconnées: il n'y a que ma Mère que je n'ai pas écalventrée; mais je n'eüs pas de plaisir; La Vieille Garse ne saigna presque pas! j'eüs peu de plaisir... Pour ta Femme... hâ. quelle rage!... Mais elle est foutue... elle sera morte avant que j'aye achevé de l'enconner... Je l'enculerai expirée... Je t'en apporte le prix: 60-mille francs en billets de la caisse.... Vitnegre le compta; les serra. "Si je pouvais l'enconner une pauvre fois! "Tu te fous de moi!... Apres, après: elle sera encore chaude".... Je fremissais! et comme j'avais deux Pistolets chargés, je fus tenté de brûler la cervelle à ce Monstre: mais il alait avoir la verole... "Vouléz-vous, avant qu'elle soit abîmée, lui voir le con? sa jolie figure? "Non! cela m'amollirait le vit.... Conduis-moi sans lumière". Ils vinrent à tâtons. Vitnègre précedait, pour éloigner Lenfonceur. Trouvant une Femme seule, ét troussée, il voulut Lui mettre, en soupirant, sa langue dans le Con. Elle L'en empêchait, quand le Moine faillit de l'écrâser, en tombant sur la Fille. Vitnègre fut obligé de se retirer a quatre -- Le 1ér acte du Père Foutàmort (comme Vitnègre Le nomma), ce fut de mordre le bout des tetons de sa Monture, en Lui dardant son engin, qui ne pouvait entrer dans ce vaste Con, encore élargi par une éponge, que la Fille venait d'en ôter. Conillète fit un cri perçant! et se sentant dechirer le Con, elle voulut se derober, en égratignant des deux mains. Foutàmort, qui savait bién qu'elle ne pouvait en échapper, ét dont le plaisir était d'autant plüs grand à tuer une Femme, qu'elle était plüs belle ét plüs étroite, ne la menagea pas: tout en l'écartelant, il lui arracha le bout des seins avec ses dents. Un profond évanouissement, ou la mort, fit cesser ses cris... Je me repentis de n'avoir pas dabord tiré un coup de pistolet à bout-portant dans la tête du Moine... Mais les Voisins au bruit auraient peutêtre enfoncé les portes: ce fut ce qui me retint... Foutàmort parvenu au fond du Con de la Fille écalventrée, dechargea enfin en jurant ét rugissant. "Fous un coup (dit-il à Vîtnègre), avant que j'encule la Garse"? Le Scelerat vint: mais sentant un cadavre plein de sang, il se retira. "Elle est morte! (dit-il). Foutàmort la tâta: "Non; le coeur bat encore: vite que je l'encule". Le cùl de Conillète était bién plüs étroit que son con; le Moine haletait. Il en vint cependant à-bout: car il dit à Vitnègre: "Je n'ai fait qu'un trou des deux". Et il dechargea horriblement!..... Ma Fille épouvantée, m'étreignait par le milieu du corps. Vitnègre pleurait: "Ma pauvre Femme! je t'ai livrée à ton Bourreau! "Ne te L'ai-je pas payée? (dit le Moine): Elle est bién à moi... Ainsi, va te coucher, ét fous tes 60-mille livres: tu me gênes. Pour moi, pendant qu'elle est encore chaude, je vas, pour mon argent, foutre cinq à six fois le cùl ét le con de ma Putain". Vitnègre ala se coucher dans un petit cabinet, où il s'enferma. Aussitôt Foutamort s'acharna inépuisablemt sur sa Victime expirée.... Enfin épuisé, il ala chercher la lumière, pour en repaître ses cruels regards... J'ai dit que la Fille était jolie. "Elle est belle encore! (dit le Monstre): Mais la figure de la Putain est toute bouleversée; elle ne se ressemble plus à elle-même... Il lui regarda le Con, en lui soulevant le cùl... Il la laissa retomber, en éclatant de rire: "Ma-foi, la Gueuse n'a plus qu'un cùl, ou qu'un Con... je ne sais lequel... Mais est-elle bién morte"?... Il la deshabilla, l'emporta nue dans l'autre pièce, la mit sur une grande table; ala prendre un vaste saladiér; tira un bistouri [Nous Le voyions par la cloison vîtrée]: "Decharnons-La". Il lui cerna la partie charnue des seins, la motte tout-entière, la chair des cuisses; lui fendit le ventre, lui arracha le coeur, les poumons, le foie, La vessie, La matrice; La retourna, Luî enleva la chair des fesses, lui coupa les piéds chaussés, qu'il mit dans une poche, les mains, qu'il serra dans l'autre. Il La retourna encore; Lui coupa la langue, la tête, ôta la chair des bras. Il vint ensuite chercher sa chemise ét un drap du lit, en disant: "Voila un bon regal pour nos Moines ét pour moi". Le terrible Anthropophage mit le saladiér dans la chemise; ensevelit le corps dans le drap; fit lever Vitnègre pour le coudre; puis il Lui dit de publier le lendemain, que sa Femme se mourait; de La mettre le soir dans une biére, ét que Lui Moine se chargeait de La faire enterrer. Et après Lui avoir recomandé de bién effacer au grand jour toutes les traces de sang, il sortit vërs les 3 heures du matin, emportant son saladiér de chair humaine. Vitnègre pleura dabord. Mais nous ayant entendu remuer, pour sortir, le Lâche eüt une frayeur si grande, qu'il ala s'enclore dans son petit cabinet. Nous sortimes donc tout à notre aise. Comme nous traversions la petite cour, nous entendimes les Voisins qui disaient fort-bas: "Il ne l'a pas tuée; voilà qu'On l'emmène"!... Nous nous mimes à fuir par de petites ruës, dès que nous fumes dehors, de-peur d'être suivis. Et bién à-propos! nous entendimes courir. Mais On ne prenait pas notre chemin. Je remenai ma Fille à sa pension, laissant là Timorì, pour observer, ét lui promettant de revenir dans une demi-heure. "Voila donc (me dit-elle), quel serait à-présent mon sort, si, en vous accordant mes faveurs, je n'avais pas reculé votre depart! O mon cher Papa! tout mon corps est à vous, pour en faire ce que vous voudréz"! Je lui demandai sa bouche. Elle me darda sa langue; et nous arrivames. Je lui dis de se coucher. "Non, non! ét mes malles.. mes bijoux; si nous pouvions les avoir"? J'admirai sa présence d'esprit!... Il était près de 5 heures. Je courus rejoindre Timorì, qui se promenait devant la porte. "Rién encore" (me dit-il). Un instant après, nous vimes sortir Vitnègre. Timorì le suivit, ét j'alai chercher ma Fille, sa présence nous étant necessaire, si d'officieux Voisins nous arrêtaient. A mon retour avec ma Fille, ét deux Crocheteurs, je retrouvaì Timorì, qui nous dit que Vitnègre avait passé le boulevard. Ma Fille ouvrit: Nous chargeames quatre malles préparées, mais cachées, nous sortimes sans être vus, ét nous alames par des rues detournées, chéz mes Affidés. Ce fut alors que ma Conquète fut tranquille! Elle se coucha, ét nous alames reposer chacun chéz nous Timorì ét moi XVI Chapitre. Chap. Foutoir: Petit Magasin: Enterrement: Amour. Nous en sommes aux fouteries par excellence; à celles qui vont agu rrir ma delicieuse Conquette-Ingenue, ma ravi sante Victoire-Conquette, faire leur fortune, la miénne, en leur ôtant une fausse delicatesse, & decouvrir une chose admirable, qu'On ne verra qu'à la fin. La route que je vais prendre; pour former ces deux Belles & leurs Compagnes, étonnera dabord! mais en toutes choses, il faut attendre le derniér resultat... Reprenons ce charmant Recit, en fesant préceder quelques fouteries préparatoires, qui amèneront les grandes. Mais il n'y aura plus dans le reste de l'Ouvrage, aucune horreur qui ressemble à celle du Moine Foutamort. Les horreurs à la Dsds sont aisées à présenter; c'est la peinture de la douce volupté, qui est le chéfd'oeuvre du Genie. La première visite que reçut Conquète, le lendemain, jour de son enterrement, ét à la même heure, fut celle de Timorì. Il La trouva chéz ses Hótes. Il venait Lui raconter, comment, après étre morte la nuit précedente, elle venait d'étre enterrée. Mais Il ne pouvait parler devant le monde. Or, j'avais dans cette même maison, à quelques marches au-dessous, mais sur le derrière, un petit Magasin, où je cachais chaque N° de mes ANNALES, que supprimait le Gouvernement d'alors. Ma Fille y devait faire mettre son lit, le soir même: il y aurait sans-doute été deja; mais elle ne fesait que de se lever. J'y avais placé pour mon usage, celui de mon Secrétaire, de sa Soeur, de sa Maítresse ét de sa Bellemère, un Foutoir comode, dans le ventre duquel on pouvait parfaitement se cacher. [Vitnègre en avait un tout pareil, dans lequel il se mussait, quand Un de ses trois Payeurs venait, pour essayer de depuceler le Con ou le cùl de sa Femme, qu'il appelait, sa Poule aux oeufs d'or: il voulait tout voir, craignant qu'Un des Trois ne la Lui enlevât: C'était aussi par volupté; il était passionné pour la chaussure de sa Femme: Lors donc que tendrement gamahuchée par Un des trois Bougres (car ils l'adoraient, ét ils vont bién La regretter); elle émettait, il lui tirait un souliér, qui se trouvant étroit vërs la pointe, lui servait de cou: Aussi disait-il à ses Intimes: "Je n'ai jamais foutu ma Femme qu'en souliér"]. Conquette sentant bién que Timorì avait bién des choses à luì dire, ét qu'il ne pouvait parler, prétexta qu'elle avait laissé dans mon magasin une Lettre à Lui montrer. Elle avait une double cléf: Ils y descendirent ensemble. Je venais d'y arriver. J'entendis la marche de ma Fille, sa voix basse, ét celle de Timorì. Je me cachai dans le Foutoir. Ils entrèrent. Conquette ferma soigneusement la porte, la couvrit du matelassement qui empêchait qu'On ne fût entendu audehors, ét ils s'assirent sur Moi. "Hâ! Madame (dit Timorì), quelles scenes!... Il avait decouvert que je vous aimais, à mes regards, ét parcequ'un-jour étant avec Lui chéz vous, pendant qu'Un de vos Acheteurs vous caressait sous son nom, il me vit baiser à la derobée une de vos chaussures. Mais il paraissait ignorer non-seulement que vous m'aimiéz, mais que je vous fusse connu. Hiër, à 3 heures, m'ayant trouvé au Caffé, il me dit: "Je ne saurais depuceler ma Femme; j'ai le Vit trop gros: Tu es beau garson; je tai choisi, pour La depuceler aujourd'hui, à l'instant; je te demande seulement six louis, qu'elle aura pour ses épingles". Je les Lui donnai surlechamp, ét nous partímes... Vous savéz le reste... Ce matin, après vous avoir quittée, j'ai été me reposer jusqu'a 10 heures, que j'ai été à mon Bureau. Maìs passant devant sa porte, j'y ai frappé. J'ai entendu deux Voisines qui se disaient fort-bas: "Le Confesseur y est! ce n'est donc pas elle qu'On a emmenée cette nuit".... L'infame m'a ouvert. L'horrible Moine était avec lui. Un Frère avait apporté la biére bién enveloppée, et il recitait tout-haut des prières auprès du Cadavre dans le cabinet obscur. "C'est un Ami (a dit Vitnègre)... Ma pauvre Femme est morte! "Morte! (ai-je dit). "Elle est expirée dans les bras du Reverend Père" J'ai fremi de l'expression!... Le Moine a dit: "J'ai fait toutes les demarches: nous avons la permission de l'enterrer sans bruit: ce sera pour 3 ou 4 heures". Je suis sorti... En revenant de dîner, vërs les 4 heures, je suis repassé. Deux Prêtres, quatre Porteurs, le Moine ét le Frère, ont emporté le corps, sans chanter. Il est inhumé. Nous verrons la suite des évènemens... Je les observerai. Ma belle Amie! On vons croit morte: vous êtes libre: M'accorderéz-vous vos précieuses faveurs? "Mon Ami! (repondit modestemt Conquette), je commence par vous remercier de l'important service que vous m'avéz rendu! mais Un-autre m'en a rendu un plüs important encore: seul il m'aurait sauvée: Si mes faveurs étaient encore à Moi, elles seraient à vous. Mais elles sont a mon premiér Amant, qui caché, a decouvert toute la trame: Il venait de me deflorer; il me l'a mis encore après. C'est votre unique Rival: mais il est adoré: son nom, que je vaìs vous dire, va vous prouver toute mon estime, ét que vous avéz toute ma confiance: C'est mon Papa"... A ce mot, Timorì tomba aux genoux de son Amante: "Fille angelique! Fille divine! (Lui dit-il), je reconnais là votre piété filiale ét la beauté de votre âme! Foutéz avec votre Père; que lui-seul vous enconne! Vous seriéz digne de foutre avec Dieu, si Dieu foutait!... Mais je demande à vous gamahucher, ét si votre Papa le permet, à vous enculer? "Mon aimable Ami! (lui repondit Conquette, en le caressant de la main), vous êtes bién raisonnable"!. Timorì se deculota, Lui mit dans la main un vit à pucelage, plüs petit que le mién, se fit chatouiller les couilles, ét La voulut branler. Elle s'y refusa. Alors Timorì La renversa, La troussa, ét lui supa savoureusement le Con... Non, jamais l'On n'entendit de pareils soupirs!... "Hâ! Timorì.. ta langue vaut un vit". Elle avait émis dès le troisième coup de langue, ét dans son delire, elle élevait ses jambes en l'air, fesait claquer ses jolis talons, haussait du cùl, pour favoriser l'application de la bouche de son Gamahucheur, ét l'intromission de la langue qui lui chatouillait le clitoris. Elle imitait sa Mère, dans ce claquement de talons: car je ne foutais Celle-ci que de jour, soit en Con, soit en cùl. soit en bouche, pour être excité par ce qu'elle avait de mieux, la jambe ét le piéd: Je lui demandais le claquement des talons, parcequ'il imitait la marche de Femme, son qui me fesait toujours bander... Lorsque ma Fille eüt amplement dechargé, elle écarta Timorì. XVII Chapitre. Chap. Du Pucelage du Cul: Le Père enconneur. La celeste Conquette-Ingenue fut toujrs aussi juste que belle & sensible: qu'On ne soit donc pas surpris de ce qui va suivre. Elle se mit sur le ventre, ét lui dit: "Mon second Amì! pommade-moi: Mon premiér Ami a eü le pucelage de mon Bijou; il est juste que tu aies celui de ma Rosète; mon Papa sûrement m'approuvera? "O Deesse! (repondit Timorì, en lui inserant de la pomade dans l'anus avec une canule), que tu es raisonable! Il aura le Conin, Moi la Rosète, ét nous jouiront chacun d'une fouterie à nous-seuls". Timorì enfonça, malgré quelques petits cris de ma chère Fille, et après de vives saccades, il dechargea, en s'écriant: "Foutre! foutre! quel cùl.. quel plaisir des Dieux"! Et il se pâma... Il fut épuisé, ét de sperme ét de forces, par ce coup seul... Aussi se rapela-t-il, à mon grand contentement, qu'il était atendu à 7 heures. Il laissa l'amoureuse Conquète-Ingenue étendue sur le lit, après l'avoir remise sur le dos, afin de Lui donner quelques coups de langue au Con, pour baisér d'adieu. Il aluma sa bougie, sortit, ét tira la porte. Aussitôt je quittai ma cachette, ét je m'élançai sur mon adorable Fille, que les trois dardemens de langue avaient émue, ét dont le Con oscillait vivement. "Quoi! vous étiéz là? "Oui, ma Divine. Il encule; moi j'enconne. Tu me causes une érection terrible! "Adoré Papa, foutéz... foutéz-moi! (ét c'est la première-fois de sa vie qu'elle prononçait ce mot); je n'en puis plus moi-même"... Elle me saisit le vit, ét se le mit dans le Connin: "Pousse! (me disait-elle): Il entre.. Pousse! vit de Dieu! vit paternel! émets du foutre dáns le Con de ta Fille"!... En parlant ainsi, elle remuait tellement du cùl, que je me trouvai biéntôt au fond de son Connin. Vive la fouterie ordinaire! c'est la meilleure manière des quarante! J'avais la bouche, la langue, les blancs tetins de ma Fille, ses caresses, la vue de son charmant visage, toujours joli au double dans Une Femme qu'On fout, ses doux propos: "Chër Vit! Vit divin! comme il me chatouille le Con!... Pousse!.. Hâ! Bougre! je me pâme... Je dechar...arge du fou...outre!... Ta langue! chër Amant! Enconneur adoré!... Hò je redecharge, Fous Sacrébougre! Suce... mordille-moi les tetons"!;;; Je dechargeai delicieusemt à la seconde émission de ma celeste Fille. Au fond de son étroit Connin, je me sentis adorablement pincé par ce que le Vulgaire appelle le clitoris, ét les Gens de l'art, le bas du conceptoire ou de la Matrice; cet organe de volupté, qui n'est atteint que par un vit long, me suçait le bout de l'engin dechargeant... Et cette idée delirante, en me voyant sur la plüs belle des Femmes, renversée sur le dos, bién enconnée, se pâmant de plaisir, "Je fous ma Fille... Je lui decharge dans le Con... Nos foutres mêlés peuvent lui faire un Enfant tout de moi... Je fais cocù le gueux, le scelerat de Vituègre! Je fous sa Femme, qu'il croit morte, qu'il n'a jamais foutue... Nous La foutons, Timorì ét Moi, l'Un en Con, l'Autre en cùl, tandis que le vil Jeanfoutre se branle le vit à sa divine intention... Il la croit écartelée par le Vit-timon de son exécrable Moine... ét son étroit Conin decharge avec nous, comme celui d'une Princesse, foutue par Un Jeune Garde-du-corps!... Ces idées, rapidement roulées dans mon imagination, doublaient, triplaient ma volupté..... Ma Fille me fit déconner: "J'en suis pleine, me dit-elle; le devant, le derrière; il faut que je me purifie". Je courus lui chercher de l'eau tiède chéz son Hôtesse, Mad. Brideconin, que je trouvai seule auprès du feu, des tetons blancs comme neige découverts. Je les baisaí, pris l'eau qui chauffait pour elle. Son Mari me dit: "Je viéns de le Luì mettre, à l'intention de votre Fille, la charmante Mad. Poilsoyeux (nom que je lui avais donné, pour qu'elle ne portât pas celui de son ìnfame Mari). Je rentrai. Je lavai moi-même avec une fine éponge les charmes secrets de ma Deïté. Il y avait un peu de sang à la rosette, ét même au Conin. "Hé! quoi, ma Delicieuse, tu as donc encore souffert? "Oui, mon chër Bourreau: mais le plaisir l'a toujours emporté, même en cùl"... Conquette purifiee, me dit: "J'étais si pressée de jouir avec vous, que je n'ai pas pris le temps, Papa-Sauveur, de vous demander votre sentiment sur ce qui s'est passé entre Moi ét Timorì? "J'ai aussi bién des choses à vous dire là-dessus, mon Ange: mais nous alons souper. Vous avéz besoin de repos, ét Moi aussi; ce sera pour demain"... Je lui donnai la langue; elle me darda la siénne; je baisaí les boutons rose de ses tetons, ét nous alames nous mettre à table. Pendant le soupér, je racontai à M. ét Mad. Brideconin ce qu'il falait qu'ils sçussent de la prétendue mort de Mad. Poilsoyeux, afin qu'ils ne la compromîssent jamais. Pendant le repas, notre Porteur-d'eau ét sa Femme placèrent le lit de ma Fille dans mon magasin; ét dès qu'il fut arrangé, nous y descendimes ensemble. Ma belle Amie me dit: "Je crois que j'aurai peur: priéz Mad. Brideconin de venir coucher avec Moi"? "Je vais rester, ma Reine. "Hâ! j'aime bién mieux cela! non pour jouir; mais pour que mon Amant-papa s'endorme sur les tetons de la Femme de Vitnègre, pendant qu'il se morfondra, ou qu'il ne .. qu'un de mes vieux souliérs. "Ma divine Fille? (repris-je), je vais, dès ce soir, te dire ce que je voulais remettre à demain. Couchons-nous". Je deshabillai ma Deesse come Une Nouvelle-mariée, baisant tout ce que je decouvrais. Tous-deux au lit, je l'assis sur mon vit: XVIII Chapitre. Chap. Des Avis paternels, tenant sa Fille enconnée. Ami Lecteur! j'éprouve encore les oscillations de la plüs savoureuse volupté, en me rappelant ces momens enchanteurs, que m'a procurés ma Conquette-Ingenue-L**! "Appuie lentement, ma Reine; que je t'enfile sans limer"? Elle le fit. Lorsqu'elle fut parfaitement enconnée, je lui dis: "Tu sais, très-cherie Fille, que j'ai tout vu, tout entendu. Tes sentimens divins à mon égad, m'ont penetré de reconnaissance ét d'admiration... J'approuve entièrement que tu ayes donné à Timorì le pucelage de ton beau cùl. J'accepte avec transport ton dévoûment pour Moi. Mais, celeste Fille! c'est à ton interêt, à ton bonheur, que je me propose de le faire servir. Je ne prétens pas, tel qu'Un Sultan, te garder pour mes plaisirs exclusifs. Tu auras Un Payeur. Lequel des trois Hommes auxquels ton pucelage était vendu, aurais-tu préferé? "Le plüs honnête, incomparable Papa: mais c'est justement Celui quì l'a le plûs gros. "Je te ferai donc élargir le Bijou par Un gros Homme de ma connaissance: Il n'est pas aimable: mais Un Homme aimable pourrait t'épuiser, en te fesant trop decharger; outre qu'il pourrait te prendre le coeur; ce qu'il ne faut pas; Un Fouteur préparatoire ne doit te prendre que le con... Ni Moi, ni Timorì ne te suffirions point; nous n'avons pas le vit asséz gros; ce ne sont que des vits à pucelage. Mais j'ai plusieurs Ressources... Je sonderai Celui que tu préfères; puis les deux Autres, s'il ne fait pas ton affaire. Je les ai épiés: Je sais leur adresse; je ne nous compromettraí pas. Je ne te demande que de la soumission? "Entière! divin Papa". Elle se tremoussa un peu, ét dechargea. "S'il te surviént beaucoup de temperament, comme je crois l'entrevoir, j'aurai soin que tu ne manques pas de vits. Tu verras comme tu seras régalée!.... Je ne suis plus d'un âge à te rassasier de volupté. Ainsi, je te le ferai mettre par de jolis Jeunesgens, graduant la grosseur des vits". Ici, ma provocante Fille s'agita, en me disant: "Mon cher Vit-papa! permets que je foute en con à l'intention de Timorì, le Vit de mon cùl? Tu m'as convertie; il m'enconnera, mais en ta présence. "Oui. oui"... Je la saccadai. Elle s'écria: "Fourgonne.. Vit de mon cher Timori! fourgonne mon Con! Fais-moi pâmer! Bougre.. foutre.. Ramonne.. ramonne!... ze deçarze! Et elle dechargeait, en se roidissant: "Hahaha, mon Papa! hahaha! hahaháh"! (avec un lông soupir)... Je n'ai jamais eü tant de plaìsir, qu'à cette decharge... Nous avions de la lumière: ma Fille se mit sur le bidet, pour se rafraîchir le Bijou, tandis que je me mettais le vit ét les couilles dans l'eau froide, pour me faire debander. Je demandai à ma Fille, Qui lui avait appris les expressions dont elle s'était servie, en déchargeant? "Des la troisième semaine de notre mariage (me répondit-elle), Vitnègre fit coucher avec lui sa Filleule, femme d'Un Espion de Police: cette Femme, par les ordres de son Parein, feignait de delirer, quand il l'enfilait; ét voila quels étaient ses propos, avec beaucoup d'autres, qui n'auraient pas été placés pour nous, comme Gros-bondon, Chién de Vit de mulet, Foutàmort le cadet! etc" Nous nous remimes au lit, ét nous nous endormimes enlacés. Le matin, je renouvelai mes instructions à ma Fille. On frappa. C'était Mad. Brideconin, qui parla. Je me cachai dans le foutoir. Elle apportait le dejeúnér de Mad. Poilsoyeux. "On cherche Une Fille du Port-au-bléd (dit-elle), disparue depuis avanhier-soir. Une de ses Pareilles a dit, qu'elle devait aler coucher avec Un Homme de 40 ans, qu'elle avait dit Avocat, mais qui est Chirurgién; qu'ils l'ont tuée à deux pendant la nuit, ét dissequée. C'est peutêtre votre histoire, qu'On denature comme ça? Mon Mari doit aler s'informer". Elle sortit; ét je vins dejeûner avec Conquète. Je la laissai, en promettant de la voir à dínér. Je fus exact. Brideconin était sorti. C'était effectivement de Conillète, dont il était question. Le Commissaire ét les Mouchards visitaient toutes les maisons de la ruë: mais On ne trouvait rién. Je changeai de costume par précaution... Je revins le soir, ét ne couchai pas. Je me reposai trois nuits, et laissai reposer Conquete-Ingenue. On sait que j'aimais ma Fille autant pour elle-même, que pour mon plaisir, ét que je n'entendais pas règler son appétit de 19 ans, sur mes forces de 40. Mais j'avais encore d'autres raisons. Je vais me conduire en-consequence. XIX Chaître. Chap. Du Père Juste, & du Vit Grisonnant. On sera sans-doute surpris de ce qu'On va lire, d'après les sentimens que je viéns de professer!... Ne me préjuge pas, Temeràire! Pour me connàître & prononcer, attens. Je connaissais Un de ces Gourmets de plaisir, gros homme vigoureux, lubrique à l'excès, nommé Montencon. Il m'avait donné souvent à dînér, rue Troussevaché, où il demeurait, m'y avait fait enconner la Petite Vitsuçète, sa maîtresse, en me La tenant lui-méme: Il m'avaìt même procuré la Fille de son Hótesse, Petit Bijou, séduite par Un Noble, appelé De-Foutâne, qui L'avait ensuite rendue Putain. Elle nous amusa toute une aprèsdinée: Montencon ayant grisé la Jolie Adelaïde-Hôchepine, il eüt la politesse de me la faire enconner le premiér, ét chatouiller les couilles par sa Maîtresse: Ensuite il l'encula, également chatouillé par Vitsuçète. Je La refoutis, après que la Vitsuçète de Montencon me l'eüt lavée. Mais Celui-ci nous dit: "J'ai mes raisons: J'embouche la jolie Garse". L'ayant embouchée, ét lui ayant fait avaler son foutre, en haîne de Foutâne, j'en fus degoûté, ainsi que de la Vitsuçète, dite la Baiseuse, à Laquelle il en fesait autant: Je n'y étais plus retourne. Ce fut cet Homme que j'invitai à dînér dans mon petit Magasin, pour aguerrir ét m'élargir un-peu ma Fille: (Car j'avais fait donner separément aux trois Payeurs à gros Vits de Vitnègre, MM. Lélargisseur, Perçecül ét Cognefort) l'espoir de la retrouver, ou sa Pareille. Montencon était connu de Conquète, dont il avait foutu la Mère avant la verole: Il n'en avait que plüs envie de le mettre à la Fille. Je le trouvaì dans l'escaliér, en arrivant Moi-même. Je l'introduisis. Il demeura immobile de joie ét d'admiration, en voyant Une Femme si belle!... J'avaìs affàire; je ne restai qu'un moment, en lui disant, que je lui laissais ma Fille pour compagnie. Il balbucia, en me reconduisant: "Elle est ravissante! Quel goût dans sa parure! Comme elle est chaussée! ét quel dommage qu'Un Vitnègre ait eü ce pucelage-là? "Vitnègre? Elle est pucelle. "O mon Ami! puis-je y tenter? ét tâcher de mettre aumoins une corne à ce Gredin-là? "Fais-y ce que tu pourras: Mais je doute du succès, avec ton poil gris: Il n'y a que les Catins blâsées, qui souffrent les Barbons vigoureux ét libertins: avec les Pucelles sages, il faut être tendre; ét tu as la figure d'Un Satyre, ou d'Un Reprouvé. Mais tente-s-y". Après mon depart, Montencon essàya dabord de la galanterie. Mais n'y gâgnant rién, il culbuta Conquète à l'improviste sur le FOUtoir; ét comme il était vigoureux, il lui approcha, en la contenant d'une main, le vit des lèvres du Con... Cependant il ne put l'enfiler; Un coup de cùl en arrière le debusquait... Il alait La menacer de La poignarder, lorsque je rentrai. Conquète se rajusta, sans marquer d'humeur. Je dis tout-bas à Montencon: "Le pucelage? "C'est Un Diable! J'en serai reduit à me branler! "Tu la foutras". Nous nous mimes à table. Conquète parla comme à l'ordinaire à son Vellivioleur, ét rit même avec lui. Tout-haut, devant Moi, il lui demanda, D'où-viént elle ne s'était pas laissée enconner? "Fi-donc! (repondit-elle). Hé! d'où-viént l'aurais-je souffert? "Parceque je bandais comme Un Carme. "Vous parléz comme Un Vitnègre"... Montencon ne m'en raconta pas moins ses entreprises, en termes savoureux: Il loua la beauté de la Conque, le soyeux du poil, la blancheur des fesses, la fermeté des tetins, le rosé du bouton, l'éburnité ou l'ivoire du ventre ét des cuisses: Il extolla le piéd, la jambe de la Belle... Conquètee, ainsi louée, rougissait, ét n'en était que plüs modeste. Je repondis, Que j'étais le seul qui foutît ma Fille, à laquelle j'avais sauvé la vie, ét que j'avais deflorée, il y avait 8 jours. Et je racontai toute l'histoire. "Vous La foutéz? "Hé! qui donc La foutra? Je suis deux-fois son Père"... Montencon se mordit les lèvres. Conquète m'embrassa. Pendant tout le dînér, nous admirions le voluptueux tour de hanches de Mad. Poilsoyeux, à chaque fois qu'elle se levait, pour aler demander un plat, ou qu elle donnait des assiètes. Elle avait un joli souliér rose à talons vërts, élevés, minces; des bas de soie blancs neufs, à coins roses. Je Lui demandai, Si elle était jarretée audessus du genou? "Certainement! (repondit-elle); toujours. "En ce cas (repris-je), montréz-nous la plüs jolie jambe qui soit au monde"? Elle refusait Mais nous l'en pressames tant, que pour se debarrasser de nos prières, elle mit le piéd sur une chaise, ét nous montra, jusqu'au dessus du genoux, une jambe à faire bander Un Moribond.... Nous entrames en rut, Montencon ét Moi: mais nous nous moderames. Cependant le grisonant Ribaud, dans un moment où ma Fille étàit sortie, me proposa de l'enivrer, en mettant du champagne, qu'il avait apporté, dans son vin-rouge, aulieu d'eau? Je feignis d'y consentir: Mais avant que Conquète rentrât, j'alai audevant d'elle, ét l'avertit de-tout. Puis j'ajoutai: "Ma raisonnable Fille: il faut qu'Il te le mette; je l'ai amené exprès pour cela; mais je ne savais comment faire; J'y reflechissais, quand sa proposition m'a tiré d'embarras. Tu feindras de t'enivrer: J'en ferai autant; ét par ce moyén, jamais il n'aura un piéd sur toi. Il a l'engin asséz gros, quoique moyén. Après lui, je t'aurai Traitdamour., mon ancién secretaire, Un joli Garson, qui achèvera de t'élargir suffisamment; pour l'engin du Payeur que tu préfères... Il est averti de ton éxistance, ét je n'ai demandé que quelques semaines, pour Lui procurer ta vue. Laisse-toi donc faire, ma Reine: j'empêcherai tout ce qui ne conviéndrait pas. "Je vous suis soumise; disposéz de Moi (repondit-elle): Je me suis trop mal trouvée de vous avoir desobéï"!... Nous rentrames. Entre les deux portes, elle se decouvrit un teton, ét me le fit baiser. Montencon avait arrangé la caraffe en vin de Champagne: Conquète prévenue le remarqua; s'en procura une autre d'eau, ét reserva le vin, pour griser Montencon lui-même. Mais le Ribaud était inenivrable, autrement que par les beaux ïeux et les autres charmes de ma voluptueuse Conquète-Ingenue. XX Chapitre. Chap. Du, Hâ, comme elle fut foutue! Dès que Mad. Poilsoyeux, qui affectait une ivresse aimable, parut dans l'état où Le Montencon La desirait, je la saisis, la première-fois qu'elle se leva, par la tâille d'une main, ét de l'autre, je Lui pris le con. (Outre que je desirais vivement sa possession, je La voulais enhardir, ét préparer son Bijou à l'admission d'un plüs gros Membre que le mién). Je la renversai, en demandant un morceau du beurre-frais resté sur la table. Je lui en mis gros come une noix à l'orifice; ét je poussai. "Laisséz, laisséz-moi donc! (me disait-elle doucement). Cependant elle remuait admirablement de la charnière, ét le foutoir craquait sous nous... Je dechargeai, en me recriant de plaisir!...... "A toi, Bougre".... Montencon debout, son gros Vit bandant à la main, nous admirait!... J'eüs à-peine deconné, qu'il se précipita sur ma Fille, dont le conin oscillait encore: ét doublement favorisé par mon foutre ét par le beurre fraìs, il penetra. Conquète fit un cri! Je m'avançai alarmé: Mais elle me sourit aussitôt. "Enfonces-tu? (dis-je au Fouteur). "Oui, oui! sacredieu! (me repondit-il), ét avec delices!.. Elle me pince le Vit!... Mais.. quel connin!.. C'est un satin!... Hâ!... hâ!.. je fous!.. Remue du cül, celeste Houri!... Re..mue, divine Bougresse!... Con delicieux! remue... sous Moi!.. saccade.. saccade!.. Je pa..ars!.. je decha..arge!... Hââh!...! Le Grisonnant se pâma sur les tetons de ma Fille, qui elle-même nageàit dans le foutre ét la volupté. J'avàis craint qu'elle ne remuât pas asséz avec Un Etrangér: mais dès qu'elle fut limée, elle se mit à remuer, à saccader, à osciller des reins, à decharger avec des soupirs ét des cris... Montencon se remit à la fourgonner, sans deconner, criant, heurlant de luxure, ét murmurant par intervales: "Divine Garse!.. fais-toi Putain.. ét.. je te répons. de ta fortune!.... Il recommença ainsi trois-fois sans desarçonner. Enfin, il deconna. "Voila un coup qui en vaut dix, ét un con qui vaut cent, ét mille-fois tous ceux que je t'ai fait enconner, même ma Petite Hôtesse! On ne le quitte qu'à regret!..... Mais refous-la, mon Ami: Une Femme vaut seize Hommes au jeu couillard; ne la laissons, ni refroidir, ni ch mer". A ce mot, Conquète-Ingenue, restée immobile, ét se contractant seulement un-peu, comme si On la tenàit encore bourrée... d'un vit, sauta du foutoir, ét courut se laver. Elle trouva de l'eau tiède préparée. Nous fumes aussitôt à genoux devant notre Divinité, ét nous lui épongeames l'Un le cùl, l'Autre le con, les fesses ét les cuisses: car elle était pleine de foutre et d'un-peu de sang, prenant garde de mouiller ni sa chemise, ni ses bas; nous la fesions se tenir troussée audessus des reins.... Après une scrupuleuse ablution, nous l'avons admirée: car elle étàit ravissante à cùl ét à con decouverts? Nous l'avons fait marcher ainsi, ét nous avons vu la magie de son divin tour de-cùl... "Moi (disàit le Grison), en la regardant venir à nous), ce qui me transporte, c'est ce con noir, sur une peau de lis; ce poil soyeux, ét cette raie de corail, quì le sépare en deux égales parties"!... La Belle se retourna, ét montra d'autres charmes: "Hâ! (s'écria Montencon ravi), le beau cùl! il n'est pas inferieur à l'admirable conin"! Elle revenait. "Hâ! le beau con! Il est digne du divin cùl"! Quand ma Fille fut auprès de nous, Il lui bàisa le conin: Puis se levant: (car nous étions restés à genoux pour mieux voir). il l'emporta sur le foutoir, en me demandant la permission de gamahucher tous ces charmes-là, avant que je les refoutisse?... Hâ! comme elle fut gamahuchée!... Il lui chatouilla de sa langue la Rosette, à la faire tressaillir. Puis il vint au Con. La Belle chatouillée, se tremoussa, puis émettant, elle hennissàit, comme Une jeune Cavale, dans la vulve de laquelle On insère pour la premiere fois l'engin terrible ét perforant de l'Etalon vigoureux: les fesses potelées de la Jument pucelle tremblotent; elle frémit de tout son corps, ét répond, par l'émission de son hippomanès, aux flots de sperme que lui lance le Dominateur des haras... Telle était ma voluptueuse Fille, seulement gamahuchée... Montencon deboucha, ét Moi, me précipitant sur ma Fouterie, cambrée, tenant son cùl à trois doigts du foutoir, je plongeai brutalement: Elle ne fesait que doucement osciller. Ce qui ne s'accordant pas avec ma ribaude impatience, je dis à Montencon: "Arrache-lui sa chaussure, ét chatouille moi la sous les piéds"? Il le fit: Mais le Coyon s'amusait à les flaîrer, en disant: "C'est Cypris, ét le dedans de ses chaussures sent l'ambrosie. "Chatouille donc, Jeanfoutre"? Il chatouil-La; ét au second soubresaut; je dechargeai copieusement!... Dans mon éxtâse de plaisir, j'élevai mon âme vërs la Divinité: "Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir donné Une Fille si parfaite, dont le conin trémoussant viént de me donner une idée du delice que vous éprouvéz vous-même, en foutant votre Fille la Nature!... "Dieu de mon Conin! (balbucia Conquète), sois beni! je re-decharge encore! le cri de mon Père a fait entrer son vit plûs avant! "Hô! quel digne Père! quelle pieuse Fille"! (s'écria Montencon édifié)..... Je deconnai. "Mais d'où viént (me demanda le vigoureux Grison, en se remettant sur ma Fille, ét l'enconnant sans laver), m'as-tu fait chatouiller le dessous des piéds de ta celeste Fouteuse! "Je tiéns cette recette d'Un Imprimeur foutant la Femme de son Confrère de l'aveu du Cocù: "Que lui avéz-vous donc fait, qu'elle m'a donné tant de plaisir à la fin? "Vous avéz bién vu qu'elle était dechaussée? Or j'ai ouï-dire, Que les Fils de mesd. Quillenpoche et Radball, âgés de huit ans, étant entrés dans la chambre où Un Avocat ét Un Procureur vitoeuvraient mesd. leurs Mères; les petits Babouins ne voulant pas les déranger, leurs ôtèrent à chaqu'une une mule delicate, ét leur chatouillèrent le dessous des piéds: Ce qui fit faire aux deux Dames des soubresauts, qui leur procurèrent autant de plaisir qu'elles en donnaient à leurs Opérateurs Aussi depuis se firent-elles toujours chatouiller les piéds, en pareille circonstance. "Tu vas me rendre la pareille"... Il saccadait. "Alons, le foutre de ton Père.. ce foutre dont tu est faite, amalgamé au tién dans ton sacré conin de Poupée, doit te le pomader! Et j'ai de la peine"!... Je vis à la rougeur de ma Fille, qu'elle souffràît. "Deconne, Bougre (dis-je à l'Enfonceur), ton vit d'Ane, ton vit de Mulet donne les bouchées trop grosses à ce conichonnet"! Il deconna, ét je mis un boulète de beurre-frais à l'orifice du Bijou de ma Fille. "Hô! ça me le rafraîchit" (dit l'aimable Enfant)... Montencon re-enconna avec fureur. Il entra mieux, ét toucha le fond, Conquète ayant saqué du cùl: "Hâ! je te sens, petit joli chién de pinçoir! Alons, Vitnègrète, encorne ton Jeanfoutre de Vitnègre! Pince.. ét remue du cùl, Garse"! Ces mots grossiërs me mirent en fureur érotique; je chatouillài sans pitié les piéds de ma Fille, en lui disant: "Fous, Deesse! Donne-nous ton joli foutre!... Et toi, Sacrebougre, inonde-la! As-tu jamais percé con ou conin, qui vaille le connin, le connichet de ma celeste, de cette divine Putain"?... Conquète saccadait à desarçonner son Enconneur (comme fesait Mlle Timon sous le Grand-homme MIRABEAU): Mais Montencon se tenait ferme. Cependant elle eüt une decharge si convulsive, qu'il fut presque-deconné. Mais en retombant, le frottement serré du connin velouté, le fit decharger avec ravissement... Il lima quatre-fois sans deconner, ét à la quatrième, lui ayant chàtouillé les couilles, il émit aussi copieusement qu'à la première. Maìs il fut épuisé. "Hâ! comme Vitnègre es cocù! (disàit-il en deconnant); car sa Fouteuse de Femme a dechargé le triple de Moi". Conquète sourit. "Combién? (lui demandai-je). "Hô! dans les neuf, trois fois-neuf". Je la baisai sur le front, ét elle ala au bidet. Je vis par-là qu'elle auràit un vigoureux temperament. Ainsi, je resolus de la faire un-peu blâser, avant de La livrer à son gros Vit. Mad. Vitnègre voulant se rafraîchir quelque-temps le con dans sa cuvète à bidet, nous pria, avec une modeste rougeur, de La laisser libre? Nous La saluames aussi respectueusement qu'Une Deesse biénfesante, ét nous sortimes. Montencon me dit: "Je vous rens grâces: Je serais plüs glorieux d'être son Père, que de la Reine Marie-Antoinète. Elle est autant audessus des Fouteries ordinaires, que Mlle CONTAT, ou Mlle LANGE sont audessus d'une Putain des Pauvres, qui branle les vits derrière les charrètes sur le quai du Louvre". Nous nous separames, à ces mots. "Hâ! (disait Montencon, s'éloignant), comme elle a été foutue"! XXI Chapitre. Chap. Du Ressouvenir, & De l'Episode. Ho! que les Puristes ont dû se recrier au Chapître précedent!... Hé-bién, Puristes, je m'en fous. Le lendemáin, je m'attendais à un-peu de bouderie, ou de sérieux. Non: Ma Conquète me parla comme à l'ordinaire... Je fus huit jours, sans cherchér à le Lui mettre.... Le Samedi, son Bijou bién retabli des fatigues données par Sourcilsgris, dit Montencon, elle y sentit un chatouillement. Elle se ressouvint alors de ce que je Lui avàis dit, qu'elle pourràit se laisser enconner par Timori. Elle fit une toilète de volupté, se couvrit d'une caléche, ét sortit le soir. Mais je L'observàis, ét La fesàis soigneusement observer par Mad. Brideconin, ou comme je l'appelàis en badinant, Mad. CONBRIDÉ. Je fus avertí; je La suivis, pour La préserver de malheur. Elle monta. J'ecoutai à la porte; ét j'entrevis même par une fente... Conquète se jeta dans les bras de Timorì. Mais il étàit malade: La Belle fut gamahuchée seulement. Timorì, aulieu de la caresser, comme elle s'y attendait, se mit à Lui racontér la suite des évènemens relatifs à Vitnègre, à Foutàmort, ét à Conillète: "J'ai été voir Vitnègre aujourdhui, aulieu de me rendre à mon Bureau, étant malade. Je l'ai trouvé malade lui-même, tant il avait été hiër effrayé des menaces de son Moine. Celui-ci l'avait fait demandér. Vitnègre est accouru. Il a trouvé toute la Communauté à l'Infirmerie. Parvenu au lit de Foutàmort, Celui-ci lui a dit: "Gueux! si j'en avais la force, je t'étoufferais... Mais si je suis pour en mourir, comme On l'assure, je declarerai tout au Lieutenant-de-Police, ét tu seras pendu... Tu m'as vendu ta Femme: Elle était si belle, que j'ai eü un plaisir... infini... à la faire expirer dans des douleurs plüs fortes que celles de l'accouchement... J'en bande encore, mais avec des douleurs insupportables... Elle était si belle, que j'ai voulu en manger: je me suis fait accomoder son con, sa matrice, ses poumons ses tetons ét sa tête, que j'avais deguisée: Nos Moines ont mangé, sans le savoir., son cül, ses fesses, ses mollets, ses piéds, ses bras, ses mains, ses épaules, son coeur, son foie, etc... Tous, eux ét moi, nous avons la verole! Or, ta Femme, belle, fraîche, pucelle encore, ne l'avait pas.... Voici ce que tu as fait, Coquin: Touché d'une fausse compassion, tu as fait évader ta Femme, que je t'avais payée pour la foutre à mort, ét tu lui as substitué une Putain... C'est une insigne coquinerie... Si j'en reviéns, j'aurai ta Femme; si je meurs, tu seras pendu"... Vitnègre s'est donné à tous le Diables que c'était vous qu'il avait livrée. Le Moine, qui venait d'être frotté de mercure, ét dont la langue enflait, a fait signe qu'il n'en croyait rién. Le Chirurgién a tiré Vitnegre à-part: "Avéz-vous quelqu'affaire à regler avec ce Scelerat? il n'a pas 2 heures à vivre, à la manière dont enfle sa langue. Il a une verole si terrible, que j'ai été obligé de le froter au triple ds Autres, que voila dans leurs lits, ét qui commencent à saliver. Je le connais; c'est Un Monstre à ôter du monde, ét tout-à-l'heure, il ne pourra parlér. "Empêchéz qu'il n'écrive? "Hô! ne craignéz rién! l'enflure luì.. gâgne les ïeux; il n'y voit plus, ét la langue commence à lui sortir de la bouche... Il.. souffre.. (lui tâtant le pouls) comme un Damné.. ét il n'a pas une demi-heure à vivre"... Alors, Vitnègre enhardi, a dit au Moine; "Gueux! Infame!... c'est la Putain Connillète, que je t'ai donnée, que tu as fait manger à tes Moines, ét dont tu as dévoré la matrice verolée"! Le Moine s'est soulevé, ét a lancé à Vitnègre un si terrible coup de poing, qu'il l'aurait tué, si la colonne du lit n'avait pas amorti une partie du coup, qui cependant a renversé Vitnègre. On l'a fait sortir. Mais il a appris ce matin, par le Chirurgién, que la langue du Moine, devenue grosse comme celle d'un Boeuf, l'avait étouffé un quart-d'heure aprés... On a brûlé sans lire, tout ce qu'il avait écrit durant sa maladie. Voila ce que Vitnègre tranquilisé, viént de me raconter. Il est tard: je ne saurais vous reconduire: Partéz, ma belle Amie". Tel fut le recit de Timorì, fait à ma Fille, que j'entendis tout-entier, ét qu'elle me repetera. Elle s'en revint la tête remplie d idées noires. Je La suivàis à vingt pas, La couvant des ïeux, pour La préserver de toute mauvaise rencontre. Je bandais comme Un Carme, en voyant son joli tour de hanches... Elle rentra. Je La précedai dans mon magasin, ét je me cachai. Elle revint avec de la lumière ét de l'eau tiède. Elle se lava la motte, ét soupira, en se disant à elle-même: "Il n'existe plus, le Scelerat!... Je suis encore effrayée"! Je frappai un petit coup sur une comode. Conquète leva les ïeux, ét me vit. Je Lui contai tout ce qu'elle venàit de fàire. Je Lui causai un effroi salutaire, qui La guerit de l'envie de retourner seule chéz Timorì, en Lui disant, que j'avàis aperçu Vitnègre sur le quai des Ormes. J'ajoutai: "Vous aliéz pour être bàisée; vous le seréz; car je couche avec vous". Elle begueulait, disant que le recit de Timorì Lui avàit ôté ses desirs. Je ne L'écoutai pas; je me mis au Lit, ét elle vint se coucher auprès de moi. XX Chapitre. Chap. De la Fouteuse mise en appêtit. L'appêtit viént en mangeant (dit le Proverbe): & l'On va voir combién il a raison, pour Conquète! Dès que ma Fille fut à ma portée, je m'encrai sur ses appas, Lui suçai les tetons, ét L'enconnai. Je ne sais par quel motif, humeur ou volupté, ma divine Enfant ne remua pas. Je fis de-même, ét La tins emmanchée, sans me donner aucun mouvement... Je m'endormis, après m'être mis sur le côté, sans déconner. Conquète, qui s'y était prêtée, s'endormit comme moi, sans-doute; puisqu'en m'eveillant, sur les 2 heures, je me retrouvai dans son Bijou. Je m'agitai pour-lors. Elle me serra dans ses bras, remua vivement du cùl, ét me dit: "Chër Amant? pou..ousse". Et elle saccada de toute la force de ses rein... Elle dechargea... J'émis aussi... "Hâ.. mon Dieu (dit-elle), c'est mon Papa, qui me.. caracole... "Qui te fous, ma Deesse. "Ah.. il n'y a que vous, pour ces choses-là... Je ne vous contrarierai plus; car vous avéz plüs d'esprit que moi... J'ai eü un plaisir.... que je ne dois qu'à vous... Chër Papa, recommencéz; que je decharge à votre intention? Je vous adore... Je La re-enconnai vigoureusement, en Lui disant: "Et fous comme tout-à-l'heure, à l'intention de ton Amant"... Elle remua du cùl comme Cleopâtre ou Messaline, ét elle se mit à dire, en saccadant: "Bougre de Timori.. fous... fous... fous-moi... Fous ta Garse... fais cocu mon sacré-gueux de Pere... dont je suis la Femme.. la Maîtresse.. la Putain... Ah.. je sens ton vit, au fond de mon con... Ta langue... ta langue?... Je me pâme... Je de...cha.arge.... Foutre... Ah-a-a-ah... je n'en puis plus........... Et en finissant, elle ala se laver le con...... Dès qu'elle fut de retour, je remontai sur elle. "Remue du cùl, du con! (Lui dis-je): Trémousse des fesses... Je sens ton pinçoir... Hô! que tu fous bién, Fille de mon Vit, pour Une Novice!... Ayéz un mouvement encore plûs rapide?... Bon... excellent!... Quels reins élastiqs"!.... Elle fit trois soubresauts, ét déchargea, en disant: "O mon Dieu! mettéz une tône de foutre dans les couilles de mon Père, ét que son vit divin le decharge au fond de mon con"! Dieu l'exauça, car j'émis aussitôt, ét nos foutres se mêlèrent. J'en esperai Un Adonis... Elle resta ensuite immobile, ét moi aussi. Elle fit une copieuse ablution. Je me rafraîchis le vit ét les couilles; puis nous nouz recouchames. Je La re-enconnai. Je fus-là plüs d'une heure, Lui suçotant ses boutons de roses, Lui dardotant ét Lui fesant dardoter la Langue; La fesant dechargeoter, pâmoter, chatouilloter mes couilles. Je ne pouvais me résoudre à déconner.... Tout-à-coup ma Fille, que je croyais épuisée, se met à trémousser du cùl, à convulsionner du con, comme fesait autrefois sa Mère, mais mieux que Celle-ci... Je rebandai roide, mais loin de la decharge.! Desorte que je La limai tant qu'elle voulut... Elle me disait: "Papa! je ne parlerai pas d'Un Vitnègre, qui n'a de plaisir sur Une Femme, qu'autant qu'il brutalise sa Monture: mais vous foutéz plüs tendremt plüs delicieusement, que Timorì ne caresse: Vous liméz mon con comme Un Dieu!... A votre intention cette decharge-ci... Papa! Papa, fourgonne! tu es dans le con de ta Fille! Remue du cùl, Papa! Tu me fous.. tu me fous.. tu m'enco..onnes!... Fous, Bougre! fous ta Fille! Incestue, Jeanfoutre!... Enfonce, enfon..once,.. dans le con..on de ta Fi..ille.. pâ..âmée"!... Et elle resta comme morte, pendant une longue decharge..... Je La relimai, voulant décharger aussi, pour la dernière-fois de cette nuit-là. Elle se ranima: "Fous, Maquereau! Je suis ta Putain, ta Raccrocheuse... ta sacrée-Salope... ta passionnée Fouteuse.., ta tendre Fille... Engrosse-moi? (remuant du cùl avec fureur): mets-moi dans le con un Garson.. une Garse! si une Fille, tu La.. dépuceleras un-jour... si un Fils, il me foutra... "Adorable fureur! (m'écriai-je)... Tiéns, Fille adorée, voila du fontre". J'émis delicieusement; ét ma Fouteuse dechargea plüs delicieusement encore... "Hâ! quelle nuit! (me dit-elle)... Timorì ne me l'auràit pas donnée si voluptueuse"...... Elle s'ablua: je lavai, ét nous endormimes. XXIII Chapitre. Chap. De la Tendresse Filiale: Amour paternel. Etre reservée, modeste, ou voluptueuse & fouteuse à-propos, c'est la véritable sagesse. Je ne raconte pas les bagatelles... Montencon ne put le re-mettre à Mad.. Poilsoyeux, ét il en fut très-étonné! Elle étàit aussi modeste, aussi retenue avec Lui, qu'avant qu'il l'eût foutue. C'est qu'elle suivàit mon avis, de ne pas laisser prendre un piéd sur elle, par les faveurs accordées, ou ravies.... Un-jour qu'elle se baissait, pour arranger le feu, il lui prit le con. Elle Lui donna un soufflet. Je dis à Montencon: "Moi, qui la connais, je ne Lui touche jamais les fesses, ou le poil du conin, sans sa permission, ét sans qu'elle m'àit dit: "Hé-bién, faites donc vîte"! Quand je Lui demande cette faveur, elle est parée, chaussée comme les Grâces.. Je commence par Lui demander à Lui baiser le piéd. Puis Lui glissant la main sur la jambe, je Lui dis: "Tu l'as si jolie! que je La baise"?... Je pousse à la cuisse, en disant: "Quel satin"! Je Lui passe delicatement la main sur la motte, ét je m'écrie: "Ma Reine? qu'en te voyant marcher dans la ruë, ét tortiller si joliment du cùl! faire bander tous les Hommes; bisquer de jalousie toutes les Femmes, je puisse me dire: "Je viéns de patiner, de baiser ces foutatifs appas"... Je te suivrai; j'entendrai les Hommes dire, Que je la foutrais bién! Je verrai les Femmes penser: Sacrée Coquette! cette parure, ce goût, ce tour de cùl signifient: Je veux étre foutue? Vits, foutéz-moi? "Bougresses! (Leur repondrai-je tout-bas), je méprise vos cons ét vous! Je ne bande que pour le beau connin que vous jalouséz"... Ma Fille sourit à ces propos; se laisse patiner, puis baiser tetons, fesses ét connin"... Montencon m'admira, ét demanda pardon à Conquète, qui n'avait entendu ce que je venais de dire, qu'avec une modeste rougeur. Un jour de fête, que je L'avais conduite avec précaution chéz Une Amie, ét que j'étais retourné La chercher le soir, la suivant à quatre pas, son lubrique tour de fesses me fit bander si fort, qu'en rentrant, je Lui hâpai le con. Elle se defendit, parcqu'elle entendait aler ét venir Mad. Brideconin. "En ce moment, Deesse, je suis si enragé de lubricité, par ta marche voluptueuse, que je te foutrais devant toute la Terre." Et je grinçais des dents, Lui tenant toujours le poil du con, ce poil soyeux qui Lui formait une Longue ét superbe perruque à la Louis-XIV. "Hé-bién! (me dit-elle), alons: Mais ne me chiffonnéz donc pas? "En déshabillér, Reine". Je Lui tenais toujours le con, ét je La suivais à chaque pas qu'elle fesait. Elle me donna un joli baisér à langue dardée, pour me remercier de ce que je Lui permettais de se mettre en deshabillér. "Ne me quittéz pas le poil: ça me prépare". Une pareille complaisance me La fesait adorer. En un instant, elle fut en corpset, en court jupon piqué, les tetons bién découverts: "Ma chaussure est-elle asséz voluptueuse? ou vouléz-vous des mules, avec d'autres bas? "Des mules". Je La dechaussai d'une main, Lui chatouillant toujours le con. Hâ! quelle jambe blanche! quelle propreté! Elle se chaussa debout. Je Lui mis le piéd dans une mule rose delicieuse, à talons roses aussi, minces, élevés, à falbalas d'or, ainsi que le bout du talon. Je Lui quittai la motte, qu'elle lava. Ensuite elle fit par la chambre quelques-tours, pour m'exciter davantage. Me voyant hors de moi: "Je veux te griller"! (me dit-elle). Tandis que je déculotais, elle s'assit, croisa ses genoux, ét fit badiner la mule du piéd en l'air... Je n'en pouvais plus... Me voyant prêt à m'élancer sur elle, Conquète vint sur moi troussée, me fit tenir ses jupes, appuya ses deux coudes sur mes epaules, ét s'enfila doucement elle-même, sans toucher mon vit de sa main delicate. Elle descendit ainsi graduellement jusqu'à ce que je touchasse à son pincevit: "Ne remue pas! (me dit ma Reine), je veux me foutre moi-même"! Quand elle sentìt le plàisir, la divine Fouteuse trop émue, s'abandonna de tout le poids de son corps, en me disant: "Cher Vit... pou..ousse"! Elle mit sa bouche brûlante sur la miénne, donna le mouvement interieur à son con, me darda sa Langue, ét se pâma, en me lançant toute son âme.... Je dechargeai, avec un si delicieux frémissement, qu'elle foutait encore, au bout de cinq minutes d'émission. "Hâ! Fouterie adorée, l'éclair du bonheur dure... et se... prolonge avec toi"... Je sentis, en cet instant, l'émotion de mes premières decharges, où je perdais connaissance, ét je crus que j'alais expirer de volupté dans son con. Je le dis, en déchargeant. Mon Enconnée n'en fretilla que plüs vivement: "Un Fils?... une Fille?... ou tous-deux au fond de mon con (me disàit-elle), chër Vit de mon Père"!... Je juràis, je sacràis, je divinisàis ma Fille: "Con celeste.. Con divin.. Con de mon vit.. est-ce Moi?.. est-ce Un Roi?.. est-ce Un Prince?.. est-ce le beau Commis aux Aîdes, qui t'avons foutue dans le con de ta Putain de Mère?... Hâ, mon vit te rend ma fille, en mêlant mon foutre au tién... Divine, sacrée Garse.. Adorable Bougresse enculée, il faut que je t'encule aussi? "Non: ton foutre m'est trop précieux, pour que je le perde sciemment: Fous-moi en con, tant que tu le voudras; maìs non en cùl, en bouche ou en tetons". Je l'approuvai avec respect. Je Lui dis ensuite, pourquoi je la suivais toujours, en La menant chéz son Amie, ou en La ramenant: "Mon premiér motif est de mieux voir le dangér. Le second, d'entendre les discours des Hommes ét des Jeunesgens que tu fais bander. L'Un dit: Quel mouvement de cùl!... O Garse! si nous étions seuls ici, je me jetterais sur toi, ét je t'enconnerais... "Je l'ai entendu (me dit en souriant Mad. Poilsoyeux). "Un-autre (ce soir) se secoue le vit en pleine ruë: Maman.. (dit-il), delicieuse Maman.. je me branle... je decharge... à ta divine intention. "Je l'ai entendu: j'ai souri. Il a aussitôt ajouté: Hô, si vous êtes putain... une divine Putain? cinquante louis pour trois coups en une heure?... ou chéz moi, ou chéz vous?... Je demeure ruë de-Bussi au 3me, n° 16. "Un joli Fat (repris-je), disait asséz haut: Mon vît dans sa bouche, ét ma langue dans son con... Et il se branlait, branlait, branlait. "Je l'ai vu, ét je Lui ai donné un petit coup d'éventail sur le vit... Il m'a bién touchée! Il m'occupait: Peutêtre est-il cause que j'ai montré un-peu d'humeur, quand à notre arrivée, vous m'avéz pris le con". A ces mots, nous recomençames une scène, comme celle que je viéns de raconter; si ce n'est que je renvesai ma Fille sur le dos. "Vit-papa... (me dit-elle), tu es le Fat... c'est le Fat qui me fout... Tu me fais foutre par tous-ceux qui m'ont desirée... Je décharge à l'intention du Fat... son vit dans ma bouche, ses couillètes sur mes tetons, ét l'engin de mon Père au fond de mon connin... J'avale son... joli foutre... (convulsivant du con)... Je déchar..ge"....... Jamais elle n'avait eü autant de passion. Elle était même raisonnée: car entre deux décharges, elle me dit: "Vos lèvres sont appêtissantes; elles me rappèlent: aulieu que celles de Montencon... Je ne veux plus qu'il m'encon..o..o..ne (dit-elle en s'agitant): Langue en bouche: mon con pa..art"......... Hâ, si j'avais-là l'Homme aux cinquante louis, moi qui ne suis pas effrontée, je crois que je ferais la Putain, que je les exigerais d'avance, comme Vitnègre disait que c'est l'usage des Filles, que je Le déculoterais, ét que mon con martyrisé gâgnerait la somme"? XXIV Chapitre. Chap. Du Chefdoeuvre de Tendresse-paternelle. Conquette était naturellement sage; elle n'éprouvait les emportemens du libertinage que dans le delire de la jouissance, effect d'un vigoureux Tempéramt. J'étais épuisé par deux coups foutus avec trop d'emportement. Cependant je La voyais haletante de volupté. Je courus au carrefour Bussi, n° 16, au 3e. Je trouvai le Jeunehomme aux cinquante Louis: Je Le reconnus: Il me remit. "Je suis le Père de la Jeune-Dame à Laquelle vous avéz offert 50 Louis. "Je les Lui tiéns: Trois coups en une heure? "Soit: En ma présence? "Et de tout Paris, si vous vouléz. Mais, Bougre, ne va pas me jouer! "Non: Mais une heure, sans bruit? "Foi d'Homme! Partons"... Il prit les 50 Louis. Arrivés tous-deux, je dis à ma Fille: "Voici l'Homme qui t'a plu: Tu as besoin de 50 Louis: Il te les apporte: Il les faut gâgner"? Conquète rougit, sans rién répondre. L'Homme se deculota, Lui vint prendre les tetons, le con. Il me dit: "Serréz les 50 Louis; ce con satiné, ces tetons touchés les valent". Je les serraì, tandis qu'il renversàit ma Fille sur le foutoir. Elle fit un cri: "O Monsieur... mon chër Monsieur... ne me faìtes pas trop de mal? "Seriéz-vous donc pucelle? "Hélas! oui"... Il L'enconna avec fureur. Elle soupira, criota, pinça du con, dechargea. "Elle est adorable" (disait le Fouteur enragé: car il foutit, ét re-foutit, sans pitié, come sans deconner, ses trois coups de suite. Ma Fille, tantôt Le caressait, tantôt Lui demandait grâce: mais elle déchargeait toujours... Il déconna ravi... Et voyant quelques gouttes de sang, que ses brusques estocades avaient fait couler, il dit. "Oui, vous êtes d'honnêtes-gens: Un pareil pucelage n'est pas asséz pàyé de 50 Louis: Je vais en envoyer 50 autres, Papa... (Ma Fille était disparue pour s'abluer). "Oui, si je n'étais pas marié (ajouta-t-il attendri), je l'épouserais, ét pour son pucelage, ét pour son amour... Vous aléz recevoir 50 Louis: Je La regrèterai toujours, ét ne La verrai jamais. Il partit. Ma Fille me remercia, ét me dit, qu'elle était rassasiée. Je Lui remettais les 50 Louis: "Non (me dit-elle), chër papa, c'est pour nos dépenses". Les 50 autres Louis arrivèrent, ét je ne pus jamais L'obliger à en mettre dans sa bourse plûs de six. Je déposaì les 94 autres à sa portée dans mon Magasin. Le Lendemain, à mon arrivée, ma Fille me dit: "Je brûle aujourdhui: Savéz-vous la demeure du Fat, ou du Vit découvert? "Non; ce sont des Sots. "Hé-bién, sortons: L'Un ou L'Autre me verra sans-doute, ét vous Le suivréz. "Divine Fille.. épuisé dans ton celeste connin, j'ai toujours les mêmes desirs; ét si je voulais mourir de plaîsir, ét dans le plaisir, je te prierais de remuér du cùl, ét de me laisser expirer au fond de ton con satiné... Foutons?... "Un seul coup. Vous m'êtes trop chër ét trop necessaire, pour que je ne vous ménage pas". En montant sur le ventre de ma Fille, ét tandis qu'elle m'arrangeait le vit a l'entrée de son con, je Lui disais: "Te quitter, pour en suivre Un, est trop scabreux, ét malheur peut arriver... Et comme elle ne s'agitait pas: "Tu me ménages?... Remue du cùl, Mignone? saccade? décharge?... C'est mon seul coup... Mais j'ai de quoi te satisfaire... Il le faut même, avant qu'Un de tes trois gros Vits te martyrise". Elle remua du cùl ét du con, comme Marie-Antoinette foutue en levrète à la Conciergerie, par un Poliçon de Gendarme... Nous dechargeames, Conquète, comme La Reine, Moi, comme Le Gendarme... Je sortis. Elle lava. XXV Chapitre. Chap. Du bon Père qui fait foutre sa Fille. Aléz au but, & bravéz le reste: c'est un con, qu'il s'agit d'élârgir; il faut donc qu'il soit foutu..... On sait que j'avais à moi Un certain Tràìtdamour, mon secretaire, frère de Minone ét amant de Connète, qu'il m'avait fait dépuceler, l'ayant trop-gros. C'était Un vigoureux Garson de vingt ans. Il demeurait à deux pas. Je l'alai chercher: "Veux-tu foutre quatre ou cinq bons coups, avec Une Femme charmante, que je veux régaler, ét à Laquelle je veux donner haute opinion de Moi? Ainsi, tu n'auras pas de jour: Mais tu L'auras vue avant de La foutre, pour La mieux servir. "Bon, bon! il y a quinze jours que je ne l'ai mis, ni à Connète, ni à ma Soeur, ét je n'en fous point d'Autres"... Nous arrivames. Je Lui fis voir, par une portière, Conquète, qu'il ne connaissait pas. Hô.. qu'elle est.. provoquante... foutative?... J'entrai seul: "Detetonne-toi; trousse-toi toi-même (dis-je à Mad. Poilsoyeux): Tu es vue par Un Jeunehomme de vingt ans, beau comme l'Amour. "Mon Fat? "Ton Fat: Il se nomme Traitd'amour. Ainsi, montre tout, en abluant. Je retourne auprès de Lui". De-retour auprès de mon Etalon, je Lui dis: "Regarde La bién: Elle va s'abluer, ét montrer con ét cùl"... L'Ame de mon Gendre momentané passa dans ses ïeux. Conquète se découvrit les tetons, épongea légèrement les bouts d'eau-rose. Ensuite elle se troussa audessus des reins, se parfuma le cùl ét le con avec une autre fine éponge; tendit le cùl, se faça bién le con: Puis elle se renversa sur le foutoir, avant de fermer les rideaux. Je Les alai tirer, en disant à Traitdamour de me suivre dans un instant. Je me jetai sur La delicieuse Poilsoyeux; ét L'enconnai. Traitdamour me chatouilla Les couilles. J'émis avec fureur: Ma Fouteuse se recriait de volupté... Je me hâtai de déconner. Tràìtdamour attendàit tout deculoté, Il se précipita sur ma Fille, ét je dis, en me penchant sur La tête de L'Enconnant: "Alons, alons, ma Belle! les reins souples? j'ai repris une vigueur nouvelle"? Traìtdamour cependant enfonçait à-peine son beau vit dans cet étroit bijou, encore que mon foutre y servît de pommade. Conquète, de-nouveau depucelée. Criotait, en soupirotant, ét neanmoins remuant vivement du cùl, à chaque dardement de vit. Je rebandais. Mais Tràìtdamour foutit trois coups, ét fit trois copieuses éjaculations avant de déconner. Je Le tirai, pour Le forcer à reprendre haleine. "Je vais pendant ce temps-là (Lui dis-je très-bas), faire une petite partie de Trou-Madame. "Je vois (me dit-il de-même), vous ne bandiéz plus asséz roide, ét je suis votre Boutentrain? Mais elle a Le con plein de foutre"... Ma Fille se lavait... Je roidissais de-plûs-en-plûs, par la vue des cuisses de neige, de la jambe fine, du piéd parfait, du cùl, du con, du ventre d'ivoire, du nombril bién-fait, des tetons de ma Fouteuse. Je dis tout-haut à Tràìtdamour: "Beau Fouteur, montre-toi; que ma Deesse voye le superbe Vit dont je La régale"? Traìtdamour parut son Tràìt à la main. Ce n'était pas le Fat; mais Il était plûs beau. Ma Fille sourit: Puis baîssant la vue sur le Vit majeur, La Belle dit en soupirant, ét Le pressant de sa main blanche ét potelée: "C'est donc toi, qui m'as fait tant de mal... ét de plaîsir"?... Tràìtdamour me La renversa; Lui fit écarter les cuisses; me coucha sur elle; me mit l'engin dans la brèche, en disant: "Votre Belle a la main trop douce; pourrait vous mettre à nage, ét il faut enconner roide... Pousséz, mon Maître... piquéz des deux..! la Cavale est belle... Alons, Deesse enconnée, hausséz le con.. Remuéz du cùl... C'est Un Homme-d'esprit qui va vous humecter la matrice de son foutre honorable"... Cette harangue fit sourire la Foutue, qui, pour en déguiser la cause, s'écria: "Hâ, monsieur Vitnègre, que de cornes vous voila!... "Alons, Deesse (reprìt Tràìtdamour), songéz qu'il faut que vous fassiéz les trois-quarts de l'ouvrage... Du mouvement?... Bon... hâ! ça va d'amitié.. ét.. vous remuéz du cùl comme une Princesse... Alons, des reins souples? Avec votre connin satine, vous mettéz votre Fouteur aux Anges!... Roide, mon Maître? aidéz-vous.. votre jolie Monture va comme une Jument barbe... Gzee.. gzee.. Un coup de fouet... Hâ! quels soubresauts... Ma-foi, elle decharge... Piquéz des deux... Comme elle trémousse des fesses, la celeste petite Amie? comme elle en donne!... Que je vous chatouille les couilles, pour vous y faire correspondre?... Vous partéz?... Quels coups de cùl?... Quels soupirs?... Elle redecharge"?...... Ma modeste Fille ne jurait jamais que très-emue, ét dans le delire de la volupté: Aussi, en cette occasion, elle sincopa, en s'écriant: "Bou..ougre?.. fous..ous-moi? Mon... con a.. toute.. mon âme!... Je fous.. je fons... en foutre... je decha..arge... Que.. n'ai-je.. deux vits.. dans.. mon.. sacré con? "Il est trop étroit, ma Belle (Lui répondit Tràìtdamour); sans quoi l'On s'arrangerait à vous donner ce plaisir-là... Mais On pourra quelque-jour vous enculer, pendant que votre Fouteur vous enconnera"... Après une delicieuse décharge, je me crus épuisé. Je deconnai surlechamp. Ma Fille trémoussait encore. Tràìtdamour sauta sur ce con fumant, ét tout en Le re-enconnant, il me disait: "Vous avéz foutu ma Petite Soeur; je L'ai foutue aussi, après vous: Vous m'avéz dépucelé Connète ma Future: Dites-moi si Leurs cons valent celui que votre bonté me fait enfiler? c'est un satin?..... Mais, à en juger par le soyeux du poil, j'augure que l'interieur du con de ma jolie Chapelière de la ruë Bordet, en approchera... Ma Reine.. vous fais-je mal? "Et plaisir... Va.. va..a va..a donc? je fous. "Hahahâh, quel satin.. quelles delices?... J'enconne.. je fous.. je decha..arge... Remue.. divine.. sacrée.. celeste Enconnée?... Hô, l'aimable petite pincette qu'elle a au fond du conin?... Pince.. serre.. sacrée petite Convulsionnaire.. fais-moi.. convulsiver dans ton joli con?... Tu veux du foutre.. Deesse?... Quatre decharges de-suite vont t'inonder le conin.. conichon.. conichonnet?... Voila ma seconde... "Fous.. saccade (murmurait ma Fille).. ne.. me quitte.. pas chër Vitdamour? "Ne la quitte pas après avoir dechargé (dis-je à mon ancien Secretaire); qu'elle sente les dernières oscillations de ton gros vit?... Qu'elle est jolie, en foutant?... (disais-je à Tràìtdamour); je rebande... Elle a l'air d'une Deesse?... Laisse-la achever... Farfouille... Lime.. lime-la?... Elle gigote encore... Bon.. bon? Elle se pâme?... Hâ, qu'elle est jolie, pâmée!..... "Elle n'émet plus? "Elle a émis quatre fois dans le con, sans la desenconner, Quatre ét trois c'est sept (disait Tràìtdamour, en me La lavant): vous aléz la refoutre: ça me reposera; j'irai à mes douze. "Vous vous feréz mal (me dit Conquète); voila quatre fois que vous m'enconnéz aujourd'hui; le reste de ses 12 me suffira: ça fera mes 16"? Pour toute réponse, je me La fis renverser: Elle me darda sa Langue, ét je La foutis roide... Traìtdamour la prit ensuite, ét ne La quitta plus, quoiqu'elle L'en priât, qu'il n'eût arrosé de foutre cinq nouvelles fois ce beau con.... Elle se leva aussitôt qu'elle fut déconnée, en me disant: "Emmenéz cet impàyable Jeunehomme, ét me laisséz libre: J'ai besoin de rafraîchir sur le bidet plûs d'une demi-heure mon pauvre Bijou martyrisé".... Nous La laissames; j'alai prendre ét faire prendre à Tràìtdamour un bouillon chéz Mad. Brideconin, que je priai d'en tenir un prêt pour Mad. Poilsoyeux. Ce qui La surprit... Conquète rafraichie arriva, ét parut aussi décente, aussi modeste, que si elle n'avait pas foutu. Tràìtdamour partit, sans être instruit: Mad. Brideconin étant prévenue de ne jamais decouvrir les relations entre ma Fille ét moi. XXVI Chapitre. Chap. d'AVIS três-utile au Lecteur, et à l'Auteur. Nous en sommes enfin au temps si souvent annoncé des fouteries majeures. Si je les avais ràpportées sans préparation, elles auraient étonné: Mais qu'On sache que j'étais sûr, en les commençant, non-seulement d'avoir pour mes Filles deux des trois Payeurs qui soldaient Vitnègre, mais encore de Les faire préceder par la jolie Chapeliére de la rue Bordet, qui, vendue au plus douteux, devait m'instruire de la moralité de tous les trois. Il était donc essenciel, pour éviter qu'elles ne fussent estropiées, de Les faire prodigieusemt élargir, en évitant neanmoins de Les prodiguer à trop de Déchargeurs en con. L'On verra comme je m'y prendrai pour cela. On trouvera dans le Recit un Episode, à chaque Seance, tant pour varier la scène, et reposer l'imagination, que pour raconter quelques Avantures, que j'ai cru devoir supprimer au commencement. Chaque historiette lue ou racontée, ne sortira pas du genre. Rién de plus déplacé, dans un Ouvrage comme celui-ci, qu'une Dissertation philosophique; elle y deviént insipide, et par-là même dégoûte de la phlosophie. Mon but moral, qui en vaut bién un-autre, est de donner à Ceux qui ont le temperament paresseux, un Erotikon épicé, qui les fasse servir convenablement une Epouse qui n'est plus belle. C'est ce que j'ai vu faire à plusieurs Hommes, qui se servaient pour cela du Livre cruel ét si dangereux de Justine, ou les Malheurs de la Vertu. J'en ai un plus important encore; je veux préserver les Femmes du délire de la cruauté. L'Anti-Justine non moins savoureuse, non moins emportée que la Justine, mais sans barbarie, empêchera desormais les Hommes d'avoir recours à celle-ci. La publication de la Concurrante antidotale est urgente, et je me deshonore volontiérs aux ieux des Sots, des Puristes ét des Irréfléchis, pour La donner à mes Concitoyéns. L'Ouvrage aura II Parties: Après le Recit formant la Ire, succèderont des LETTRES, non moins assaisonnées, composant la IIde. Les Filles de Cupidonnet Lui racontent les parties-de-plaisir que Leur fesaient faire leurs Entreteneurs; parties oú, dans le delire de l'ivresse, Leurs Payeurs les fesaient quelquefois posséder par 12 Hommes... Mais toutes ces Lettres ne sont pas érotiques: il en est d'intéressantes par un autre motif; tel est celui d'une Resurrection, avec la decouverte importante de l'origine de Conquette-Ingenue, ét de Victoire-Conquette, noms de deux Filles que les miénnes ont remplacées: Ce qui me justifiera d'une certaine chose, qui sans-doute a déja effarouché plus d'un Lecteur... Je n'en dirai pas davantage là-dessus. On ne peut trop multíplier les observations sur les Scènes que je vais mettre sous la vue du Lecteur: Pour remplacer la JUSTINE, ét faire préferer l'ANTI-JUSTINE, il faut que celle-ci surpasse l'Autre en volupté, autant qu'elle Lui cède en cruauté: Il faut qu'un seul Chapitre lu par un Homme, sur l'inspection de la Table, Lui fasse exploiter sa Femme, Jeune ou Vieille, Laide ou Jolie, pourvu que la Dame ait fait bidet, ét qu'elle soit bién chaussée. XXVII Chapitre. Chap. Du commencement des grandes Fouteries. Egayée come elle l'avait été hièr, ma Fille devait ávoir besoin de repos le lendemain: Elle avait le Bijou si fatigué, qu elle ne pouvait quitter sa chaise. Elle resta constamment auprès de Mad. Brideconin, depeur que Persone ne vînt le lui patiner. Le reste de la semaine, elle évita également, quoique guérie dès le 3me jour, de se trouver seule avec moi. Elle amassait elle-même du tempérament; car elle ne s'était jamais branlée. Le Dimanche, à une heure, elle ala pour la dernière-fois chéz son Amie... Avant de partir, elle me présenta son joli Piéd à baiser, ét me livra sans bégueulerie le Poil de son conin. Je La conduisis jusqu'à la porte, promettant de La revenir prendre avant 5 heures: ce qui la fit rougir: mais j'observai qu'en montant, me croyant parti, elle souriait. Je fus exact. En la ramenant, je la fis marcher devant moi, m'apercevant qu'elle était observée par un Homme, que je pris pour Un des Payeurs de Vitnègre: Mais Il ne pouvait reconnaître que son joli tour-de-cúl ét sa marche provocante, tant elle était bién encalèchée. J'observais l'Inconnu: Je demandai à ma Fille, Si c'était-là Celui-ci qu'elle préferait? -- Oui- (me dit-elle). Alors, je La nommai distinctemt, Ma Fille. Et l'Homme s'éloigna. J'avais averti Tràìtdamour. Il avait une cléf de mon Magasin, ét nous L'y trouvames. Je Le crus seul, malgré la recomandation que je Lui avais faite, de m'amener quatre Acteurs des deux-sexes. Je Lui dis en riant, que je bandàis, ét que je voulàis enconner. "Quoi! (dit Conquète), est-ce que vous aléz faire tous-deux comme l'autre fois?... Je ne suis pas disposée, je vous en avertis. "Nous vous disposerons, ma Belle (Lui dit ironiquement Tràìtdamour, qui La crut ma Putain): voyéz-moi ce vit-là?"... Et il Lui en montra un superbe... "Laisséz-moi dabord vous lècher le conin, Ma'm'selle?... Mon Maître vous enconnera, quand vous seréz préparée? J'ai tout disposé, pour lui donner aujourdhui, ainsi qu'à vous, un plaisir de Fermiér-general". Il La renversa brutalement, ét La gamahucha, en Lui disant, comme s'il L'avàit menacée: "Ne résistéz pas! car je vous ferais mal"... Mais Mad. Poilsoyeux, comme toutes les Femmes à grand temperament, aimàit, dans la fouterie ét ses accessoires, une sorte de brutalite. Ainsi, en croyant La contraindre, il La servait admirablement... La Belle commençait à décharger... Tandis que je roidissàis avec oscillation, à la vue du systole ét du diastole des fesses ét du con de ma Fille, j'aperçus derrière un rideau de l'alcove quelque-chose qui remuait. J'alai voir. C'étaient Minone ét Connète, auxquelles deux Garsons amis, de Traìtdamour, excités par ce qu'ils voyaient, lèchaient le con. Je Leur fis entendre par signes, de ne pas bruïr, ét je Les encourageai d'un geste. Cependant Tràìtdamour fellait ou suçàit le conin de Mad. Poilsoyeux. Lorsqu'elle fut suffisamment en humeur, il se dérangea, me tìra sur la Belle, ét insera mon vit bandant en ce conin rempucelé par sept jours de repos. "Qu'avéz-vous à me donner à vous suçer? (dit-il à l'Enconnée). Elle Lui présenta l'index de la main-droite qu'il se mit à suçer, après neanmoins avoir appelé sa Soeur ét sa Maîtresse, en Leur disant: "Ici, Bougresses, ét qu'On montre son savoir-faire"?... L'Une (Minone) qui avait la main aussi douce que ma Fille avàit le con, me chatouilla les couilles; l'Autre (Connète), fourrait un doigt pommadé dans le cùl de ma Fouteuse, pour La faire tressaillir sous moi... Mad. Poilsoyeux hennissàit de plaîsir. Elle me dardait sa langue, en m'appelant son chër Fat.. son chër Centlouis.. son chër Payeur à gros vit.. son chër Traitdamour... Enfin, enivrée de fureur érotique, elle s'écria: "Vitnègre?... Jeanfoutre... Fous-moi? Pinçe-moi?... Que ton gros vit de Mulâtre me pourfende ét m'encule"?... Et elle déchargea comme une Energumène. En ce moment, j'avàis dans la bouche la Langue fretillante de mon Enconnée; Une des deux Filles me chatouillàit de la siénne le trou du cùl ét les couilles; l'Autre me suçait dans la raie du dos entre les deux épaules, précisément sur le sensorium... Je croyais connaître le plàîsir de la décharge: mais je ne l'avàis jamais éprouvé, comme cette fois-ci; ét de ce coup, je fus rendu.... "Quelles delices"! Tràìtdamour m'enleva de sur ma Fille, ét se précipita dans son con. "Voila un connin? (disàit-il, en poussant ét retirant, alant toujours plûs avant, à chaque saccade): Il y a de la difference de ce connin aux autres cons, comme du satin à la tapisserie de Bergame"... Les Jeunesfilles n'avàient plus besoin de chatouiller, quand Tràìtdamour foutait; il avàit asséz de feu pour Lui-même, ét ne fesàit que trop bién trémousser sa Monture. Je fis signe aux deux Garsons, Brisemotte ét Cordàboyau, d'étaler les Filles, l'Une sur un vieux sofa, l'Autre sur un Lit-de-sangle àyant un simple matelas, ét de Les foutre à la portée du regard de la Belle au con soyeux. Par un effet du hasard, ma Fille émettàit sous Tràìtdamour pour la seconde-fois, ét les deux Enconnées déchargèrent au même instant, ainsi que les trois Hommes. La belle Poilsoyeux, en roidissant les jarrêts, fesàit: "Hi hi-hi-héhé?.,. Minone: "Han-han-hanh"?... Connète: "Houhi-houhin houah-houah-houâh"?... Les trois Hommes disaient ensemble; Tràìtdamour: "Remue du cùl, Deesse"?.. Cordàboyau: "Remue du cùl, Garse"? Brisemotte: "R mu du cùl, petite Putain"?... En déchargeant, ils s'écriàient: "Foutre... "Foutre... "Foutre... Tràìtdamour: "Hâ, Deesse... Cordàboyau: Hâ, Bougresse... Brisemotte: "Hâ, Mâtine"! chacun suivant son caractère ét sa politesse.... Mad. Poilsoyeux fut la plûs longue à décharger; les deux Autres étàient déconnées ét lavéès, qu'elle émettàit encore. Enfin elle cessa. Tràìtdamour La lava: Et me voyant rebander: "Vous la foutréz sans-doute autant que la dernière-fois? (me demanda-t-il). "Très-certainement! (repondis-je). Je ne suis vigoureux qu'avec cette Jeune-beauté: Je la foutrais jusqu'à extinction de vie ét dessiccation de couilles; ét tu vas voir ce que je vaux. Qu'On m'anime seulement par la vue d'enconnages redoublés"? XXVIII Chapitre. Chap. De l'Enculo-connillerie. Ma reponse fit sourire Traîtdamour, qui sans-doute n'y ajouta aucune foi. "Hé-bién (reprit Tràìtdamour), je vais vous donner un plaisir, que vous n'avéz jamais eü, ni ces Bougres-là non-plûs. Je tiéns cette pratique de l'Abbé Chouanche, ancién Genovefain, qui m'a souvent enculé, avant que j'eüsse de la barbe au menton ét du poil au vit.. Un-jour, voyant que je m'ennuyais de son culetage, il me dit d'aler lui chercher la petite Cùlfràyé la cadète, jolie come un coeur, ét non encore vendue à un Lord. Il envoyait 12 francs à la Mère, ét la Fille devait en recevoir autant. L'Abbé la fit s'appuyer un coude sur une commode; il se mit derrière elle, ét l'encula: J'étais devant, ét il me la fit enconner. Nous limions; nos deux vits se sentaient, ou la Jeune-garse tortillait du cùl de-façon, que nous croyions le sentir. Chouanche la fesait tantôt pousser du con sur moi, ét alors son vit déculant à-moitié, il avait l'agrément de la re-enculer, quand elle foulait du cùl sur lui. Je presque-déconnais alors, puis je re-enconnais. Ce joli jeu dura, tant que Chouanche put retenir son foutre. Car il ne dechargeait pas: il se reservait pour mon cúl. En-consequence, il fit metttre la jolie Cùlfrayé sur le dos; je l'enconnai; l'Abbé m'encula, ét nous déchargeames tous-trois.... Nous ne prendrons pas la manière du Genovefain; elle est trop fatigante pour la Foutue. Mais il payait la jolie Bougresse... Payéz-vous Madame?... "Non certes: c'est une honnête-femme. "Je m'en suis aperçu à sa fouterie: Une Putain ne fout pas comme Madame... En ce cas, je vais vous donner une experience fisique sur Une de ces deux Fillètes... Alons, Minone.. Alons, Connète? laquelle des deux veut étre enculée ét enconnée tout-à-la-fois ét en-même-temps? Qu'elle se trousse"? Durant cet entretién, qui La laissàit tranquile, Conquète s'étàit couvert le con ét les tetons. Les deux Filles étàient assises à-côté d'elle, détetonnées. Elle Leur baisa le boutonnet, ét Leur couvrit la gorge de sens-froid avec leurs fichus. (Mad. Poilsoyeux redevenàit toujours modeste, dès qu'On ne La foutàit plus)........ Les deux Filles répondirent ensemble: "Moi... Moi! "L'Une après l'Autre (dit Tràìtdamour)... Vous avéz ici de la pomade, ou du beurre-frais? "Oui (répondit en rougissant la belle Consatiné): Tenéz, ma pomade est-là... ét voici du beurre. "Gardons ce beurre-frais pour vous, belle Dame, aussi belle au cùl ét au con, qu'au visage (reprit Tràìtdamour). Minone se pomandàit la rosète. "C'est donc toi qui passes la premiére, ma Soeur? "Oui, si c'est tòi qui me dépuçèles le cùl? "J'y suis pucelle aussi (s'écria Connète). "Ce ne sera pas moi qui aurai ton puçelage d'arrière (répondit Traìtdamour à sa Soeur): Mon vit est aujourdhui entièrement reservé à Madame: Et quoique le culetage m'ait toujours fait peine, Agent ou Patient, le cùl satiné de Madame me tente autant que l'étroit fourreau de son con, qui se rempuçèle en une semaine, ou seulement en fesant bidet à l'eau froide. Je suis sûr que Madame n'a jamais été enculée (à-genoux, il Lui regardàit au cùl), ét que c'est aussi un puçelage"? Conquète rougissàit. Les deux Camarades de Tràìtdamour tirèrent au premiér-Roi, à qui dépucelerait le cùl de Minone: car tous-deux Le voulàient avoir. Ce fut Cordàboyau (un Bellot à vit moyén), que le sort favorisa. Il se pomada le vít jusqu'à la racine. Tràìtdamour fit coucher Minone sur le côté. Il mit Cordàboyau devant son cùl, ét Brisemotte (un Beau à gros Vit) devant son con. Il La fit ainsi enfiler des deux côtés; les Jeunesgens se La poussant L'Un sur l'Autre à qui mieux. Ce qui donnait un tel plaîsir á Minone, qu'elle se recriàit: "Dieu.. que j'ai de delices... c'est... une fouterie de Princesse...... On dit.. que la Reine.. fout ainsi entre.. DArtois et Waudreuîl.. ce derniér a.. le cùl.... "Alons (dit Traìtdamour), tachéz de décharger tous-trois en-même-temps"?... Cordaboyau poussait; il retint la Gàrse par les hanches, pour enfoncer plûs àvant; Brisemotte en fit autant; desorte que rendue immobile, elle s'agitait néanmoins en tout sens. "Examïnez bién.. (dis je à Conquète-Ingenue), pour faire la même chose à votre tour: car il faut que vous experimentiéz tous les genres de fouterie". Elle considéra le jeu, à-tràvers les bâtons de son éventail. Minone hâletaît. Connète ébahie restait immobile à La contempler: "Que fais-tu là, toi, Bougresse? (Lui dit Tràìtdamour, notre grand Maître-des-cerémonîes): Patine-nous Madame... Suce-lui le bout des tetins... Gamahuche-la; elle a le con propre comme un visage de Mariée"........... Ces mots, énergiquement prononcés, mirent en danse la Reîne de la Fête, que je vais décrire. Connète, tandis que Minone travaillait, & qu'elle était travaillée, decouvrit les tetons de Mad. Poilsoyeux, & les siéns: Elle en suça les bouts; elle se les fit suçer. Ce chatouillement de la bouche de Conquète, aussi satinée que son con, mit la jeune Connète en fureur amoureuse: Elle trousse Mad. Poilsoyeux; lui insère sa langue dans le con; lui chatouille le haut de la mote. La Belle émoustillée, regardait cependant Minone. Celle-ci avertit ses deux Fouteurs qu'elle était prête à decharger. Ils redoublent le fourgonnage. Elle s'écrie: "Vits de Dieu"! Et elle se pâme. L'Enculeur & l'Enconneur l'inondaient de foutre; il ruisselait des deux côtés... Ma Fille, vivement gamahuchée par Connète, est hors d'elle-même, & cette modeste Beauté dit à la Jeunefille: -- Ote-Toi-, Garse! Un Fouteur? un fouteur?... deux... cent Fouteurs-?... Traìtdamour l'entend: Il derange Connète acharnée, en la tirant par la jolie crinière de son con blond: Il emplit le trou-du-cúl de Mad. Vitnègre de beurre-fraîs; s'en frote le Vit decaloté; se met le bas-ventre sur ses fesses, enfile la rosette, sans écouter les petits cris de l'Enculée; l'étreint vigoureusement, se retourne, en se mettant sur le dos, le vit dans le cùl de la Belle jusqu'à la garde, son con bién facé:..... Il crie à son Maître: "A ce con beant qui vous supe! Enconnéz roide... Piquéz des deux... la Garse est enculée, & je vas vous donner les mouvemens..... Pardon, Deesse! je ne me connais plus...... Connète? boulonne, boulonne les Couilles de mon Maître"...... Cependant j'enconnais ma delicieuse Fille: Et sentant le vit de Traìtdamour, qui m'étrecissait encore le passage, & qui donnait au connin des oscillations, que jamais Con n'a eúes, je déliraí, en m'écriant: -- Chién de Vinègre! cocù tout-à-la-fois du con & du cul-. Cette idée m'enflâmait, & sa brutalité m'empêcha de décharger trop-tôt. Je parvins au charmant pinçoir du fond du conin. Il me suça. Le vit de Traîtdamour me communiquait tous ses mouvemens, & en fesait faire d'insolites à mon adorable Fouteuse. Deja préparée par la langue de Connète, elle s'écrie: -- Ha-ha-hôh!... ze déça-arze.... Foutre! -- En voila.. du Foutre.. plein votre con... Reine des Vits.. et des Dieux s'écria Traìtdamour-!..... Et je sentais les oscillations de son gros Vit qui éjaculait.... Enfin, je déchargeaí moi-même. Ma Fille, inondée de foutre tremoussait rapidement: -- Con satiné de mon Vit (m'écriai-je), que tu es delicieux-!... Mad. Vitnegre émettait encore, quand Traitdamour decula..... Ce mouvement la fit redecharger... Le Bougre se lavait d'eau-tiède. Conquète, dans le Con de laquelle je laissais osciller mon vit, après decharge, gigotait, tremoussait, tremblotait sous moi. Connète m'avait quitté les couilles. Traìtdamour toujours bandant, était revenu vers nous. -- Fous-la-moi tout-chaud (lui dis-je); elle decharge encore.... Et toi (dis-je à Connète), boulonne-lui la bouteille-à-miel du Bourdon-d'amour-. Elle m'obeït. Mais Minone, deculée, deconnée, lavée, était libre: Elle vint remplacer Connète, en me demandant, Si cela ne signifiait pas tout uniment, de chatouiller les Couilles de son Frère, pendant qu'il foutait ma Maîtresse?... Cordàboyau cependant & Brisemotte hápaient Connète, le premier, cette fois enconnant, tandis que l'autre enculait, pour donner une perspective encourageante à ma Fille. Mais tout finit. Mad. Vitnègre cessa de decharger. On la deconna: Traitdamour la mit an bidet: Elle se couvrit modestemt le Con & les Tetons; puis elle dit aux deux Fillètes: -- Mes Bonnes-amies, alons aîder mon Hôtesse, pour le souper-? Elles y coururent. -- Si vous n'avéz préparé (dit ma Fille), que pour notre soupér ordinaire, je vous avertis qu'il faut le double. -- Je n'ai pas asséz donc (repondit mad. Brideconin). -- Vîte au Rôtisseur de vis-à-vis (reprit la Belle Vitnègre); & du bon vin? ou je ne boiraí que de l'eau. Un bon mariage paiera tout-ça-... On ala chéz le Successeur d'Ellès, qui promit un copieux soupér pour dans une heure. Conquète rentra auprès de nous avec les deux jolies Filles. -- Rebandéz-vous? (me dit Traitdamour): Il ne faut pas laisser languir nos cons, avec l'expectative d'un bon soupér? -- Je brûle, à la vue du tour-de-cùl, & du piéd de ma Deesse: mais je ne suis pas roide lui repondis-je. Traitdamour: Je roule dans ma tête une idée, qui vous roidira. XXX Chapitre. Chap. D'une nouvelle Actrice: Danse négre. -- Alons, Garses, dit Traitdamour à sa Soeur et à sa Maitresse, nues? Et vous, Bougres, deshabilléz-vous-?..... Il se mettait nu lui-même. -- Mais il nous faut encore une Actrice... Je viéns de voir monter une jolie Drôlesse, qui ferait notre affaire? -- C'est mad. Brideconin, l'Hôtesse de notre belle Dame, dit Connète. -- Non, non, mon Amie: C'est une petite Brune de fond de la cour, cadète d'une grande belle Blonde, que nous aurons peutêtre un-jour, & qui se nome Conindoré: La Cadète s'appèle Rosemauve, & passe pour très-rusée. Mais On la dit amoureuse comme une Chate, quoiqu'elle soit peutêtre pucelle encore; car sa Mère la couve des ieux. Cependant quand un Homme l'embrasse, elle ne fait aucune difficulté de donner sa langue. -- Je la counais! dit modestement la belle Poilsoyeux; & elle m'a... m'a... Traitd. Quoi? Deesse? -- Mais, donné sa jolie langue, &... -- Et quoi? -- Gam*******. -- Gamahuchée... Va la chercher, Connète. -- Non! dit vivement Conquette, j'y vais moi-même-. Elle sortit, & ayant rencontré Rosemauve qui redescendait, parcequ'elle n'avait pas trouvé un vieil Oncle asséz riche, dont elle recreait l'impotente lubricité, en lui chatouillant le Croupion, le Scrotum & les Testicules; ce qui le fesait bandocher, la Belle Poilsoyeux la mit au fait, obtint son aveu, & l'introduisit. Les deux Filles & les trois Hommes étaient nus comme la main: Sans rién dire à la brune Rosemauve, ils se mirent tous-cinq à la deshabiller. On lui enleva jusqu'à sa chemise. On lui baigna Cul, Con, Cuisses, Piéds... Puis Traitdamour lui dit: -- Ma Belle, il faut; en Tout, faìre comme ma Soeur & mon Amie-. Aussitôt commença la Danse-nègre; où chaque Fille fesait tous les mouvemens d'une Noire ardente, qui fuit le Vit dont elle brûle d'être enconnée, que le Vit attrape, & qui saccade alors en tremoussant du cùl, comme si le Vit la fourgonnait. Les Garsons poursuivaient les Garses le vit en main; & dès qu'ils les avaient attrappées, elles se retournaient pour l'enconage, ou ils paraissaient les foutre en levrette; culetant, criotant, jurotant, comme s'ils eússent perforé les cons. La Danseuse prenait le vit, aulieu de la main; l'Homme la saisissait par la barbe du con. Ils se fesaient ainsi tourner de-temps-en-temps. Je bandais roide. Je fis trousser ma Fille audessus des reins, & je lui dis: -- Conque de Vénus, imite tous les mouvemens de cul et de con que tu vois-... Elle était excitée; elle se mit au-milieu de la danse, & les executa rapidement... Traitdamour me voyant en rut, & ses Camarades bién-disposés, leur dit: -- Au foutoir-... Il laissa Rosemauve, sa Danseuse, qui en parut toute mortifiée! -- Votre tour va venir, ma belle Danseuse-. Il étendit ma Fille sur le sofa, dont il lui mit un des oreillérs sous le cul: -- Alons, ma Toute-éveillée, dit-il à Rosemauve, gamahuchéz-moi ce conin-là, pendant que je vous le mettraí en levrette, ou vous enculeraí, à votre choix? -- On ne dépucèle pas une Vierge en levrette (repondit-elle vivement): encule-moi, s'il le faut, tandis que je gamahucheraí ce conin d'amour-... Elle gamahucha la belle Epouse de mr Vitnègre avec fureur, & Traitdamour perça sans pitié, par des efforts redoublés, le cul virginal de la Gamahuchante. La belle Poilsoyeux appela le Vit? le Vit? Je n'y pouvais plus tenir. Je derangeai la Rosemauve enculée, pour me précipiter dans le con de ma Fille haletante de volupté..... J'enconnais vigoureusement, lorsque j'eüs la delicieuse surprise de me sentir gamahuchea le Cùl, ainsi que la racine des Couilles, par la bouche & la langue veloutées de Rosemauve!... Je cocufiai mons Vitnègre aussi copieusement, que si j'avais eü les couilles d'un Dieu!... On abluait: -- Avec la permission de ma Deesse (à Conquète), il faut que je m'acquitte avec Rosemauve-?... Tout le monde s'écria: -- Non, non, Dimanche-? Je ne les écoutai pas; j'enfilai la Pucelle, qui criota, sanglorina, & ils furent Temoins de ma nouvelle victoire. Mais Conquète me gronda serieusement.. On ala souper. La conversation fut sage, rassise. Brideconin, sa Femme en étaient édifiés... Mais je ne tarderaí pas à les mettre de nos amusemens... Au dessert, Traitdamour me demanda une Histoire dans genre de nos Amusemens? Je lui donaí à lire une Lettre, adressée à Vitnègre, par Un de ses Trois Payeurs, Lettre que j'avais trouvée dans une des malles de ma Fille. La voici: XXXI Chapitre. Chap De la Piochée, du Pioché, du Piochard. Nous avons Un de nos Confrèrs, qui avait une Maîtresse de seize ans, dont il jouissait à sa manière, comme je prétens jouir de ta Femme à la miénne, quand une-fois je l'auraí devirginée. Tu seras alors présent à nos fouteries, à-peu-près come le Pére dont je vais parler. J'aime à écrire ces histoires-là; elles me font bander. Le Père de la Jeunefille était Un riche Marchand, qui l'avait delicatement élevée: mais il était devenu si pauvre, qu'il ne pouvait plus la nourrir, ni Un Fils de douze ans. La Fille áyant plu à mon Confrère, il la voulut acheter. Le Père la lui vendit douze-mille francs. Mais comme Piochencùl (ç'est le nom du Confrère), est un libertin fort blâsé, il lui faut un ragoût pour le ranimer. Ce ragoût est de faire trousser & laver la Fille par son Père, avant d'en jouir. Le Père prend ensuite le vit du Fouteur, & le dirige dans le con sans poil de la jolie Piochée. Son Père l'avait pomadée la première-fois. Pendant l'acte, il l'excite à remuer du cùl, à serrer le Fouteur dans ses bras, &c. Quand elle est deconnée, le Père lave le vit de son Gendre, le cùl, le con de sa Fille, & les essuie. Dans la conversation, Piochencùl apprit biéntôt que Piochée avait un Frère beau comme Adonis; c'est-à-dire parfaitement ressemblant à sa Mère, qui avait été très-jolie femme. Dès que mon Confrère le sut, il l'acheta, comme sa Soeur, & pomadé par le Père, il l'encula. Peu de jours après, voulant foutre la Soeur avec plûs de vigueür, il la fit laver par le Père, gamahucher par le jeune Frère, & il l'enconna, quand elle fut prête à decharger... Par la suite, il n'encula plus le joli Enfant: "Bougre! dit-il au Père, je ne bande plus asséz pour enconner ta Fille, sans être excité; encule moi là ton petit Garson; cela me fera roidir"? Le Père est forçé par son interét, d'obéir au Blâsé: Ce qui fait tellement bander le vieux Satyre, qu'il enconne, & même encule la Jeunefille.... Il y a 4 ou 5 ans que cela dure. Quand le Garson a eú 15 ans, il lui a fait enconner sa Soeur: Il la fout ensuite sans laver, pendant que le Père encule le Jeunehomme. D'autres fois le Frère encule sa Soeur, tandis que le vieux Bougre l'enconne.... Voila. quelle est la vie que mène mon vieux Confrère, & qu'il trouve delicieuse à son âge... La Fille est delicate & jolie. Le Garson est beau. Le Père est affreux. La Fille est devenue grosse. Le Financiér croit, avec raison, que c'est du jeune Frère. Il desire que ce soit une Fille, esperant qu'elle sera jolie, comme tous les Enfans incestueux. Car il faut savoir que ce joli Garson est fils d'Un Frère-aîné, qui, dévenu éperdûment amoureux de sa Mère, donna la courante à son Père, en mettant de la manne dans son potage au lait du soir. Le Père fut obligé de se lever souvent, & le Fils, à chaque sortie, ala auprès de sa Mère, qu'il enconna six-fois aumoins pendant la nuit... Voila d'où provenait le beau Garson, ressemblance de sa Mère avec une telle perfection, que vêtu des habits de la Belle, qui n'est plus, on le prend pour elle. C'est en consequence, qu un Amant, piocheur de la Mère, entretint le Jeunehomme sur le même piéd que sa feuë Maîtresse, à-condicïon que pour la jouïssance, il prendraìt les habits de sa Mère, en porteraìt le nom, mad. Brouète-vît; qu'il feraìt la petite voîx, diraìt Mon cón, aulieu de Mon cùl; tandís que luí Vîtacon, se feraìt íllusïon, en dîsant à sa Maîtresse: -- Alons, ma chère Brouètevît, venez que je vous le mette en levrète-? XXXI. Chap. Suite des Mêmes. Piochéte. Dix ans après. Je vais donner la suites de cette avanture. Piòchée eút effectivement une Fille, qui a 14 ans aujourdhuì, et qui est jolîe comme sa Grand'mère. Elle sert aux plaîsîrs du vieux Traîtant, qui ne pouvant plus encònner, s'en faìt caresser, tandís que la Mère lui suce le vît. C'est dans les extases de ce plaîsir lông ét difficile, causé par le chatouillement que fesait éprouver à son vit paralytîtique le palaîs de Piôchée, qu'il conçut le dessein de faire depuceler Piôchète à 14 ans, par Piôché l'Adònis, son père ét son Oncle, que justement la jeune Enfant aîmaìt ìncestueusement; puîs enculer alternativement. "Bande, Bougre, (dit-il à l'Adónîs), et ne decharge pas! Tu me depuceleras ta petîte Gàrse de Fille,... dês que tón Grandpère t'aúrà decúlé". Là Petíte fut gámàhuúchée pár le vîeúx Singe; púîs pomadée pàr sa Mère. Són Père, deculé, bién bandant vint súr elle, et lúy darda son vit dans le conin, dónt la Mère écartàit les bàbines. Le Fouteur n'enlràit pas; la Petîte dechîrée se recrîàit; le víeùx Satyre émótiónné, bándòchàit, en s'écrîant: "Hô! pousse dónc, Mâtin! ô pousse dónc, Bougre! Fends, ponrfends le connichon de ta Fille!... et mêts-y Une petite Garse, que nous deflorerons un-jour! Gzée, gzée, mon Etalon! fàîs-môy des Caváles"!.... Et le vieùx Decharnè, par un phenomène, émít quelques gouttes d'un foutre clàìr, dans là bouche de Piôchée, au moment où Adónîs forçant toutes les barricàdes, màlgré les crîs de sa Fille, lúy dechargeàit au fónd de són cònnìn ensánglánté! Le belître en fut si glorieux, qu'il fit à Piochette mille écus de rentes, et autànt à Piôchée, oûtre ce qu'elles avàient dejà. Son grand delîce, pendant qu'iï faìt servîr la bouche de la Mère de cón à son vît, qui ne decharge plus, est de voir piôcher Piôchette, non-seulement pvr le vigoureux Adonis Piôché, qui piôche, sòìt en cón, sòìt en cúl, maìs de faire alòrs enculer le Père qui fout sa Fille, par le Grandpère qu'encule un Laquàîs, sur le cùl duquel est assise Pîôchée, foutue par un autre Laquàîs..... Il a sóin qu'On fasse suîvre au vîeux Piôchard un regime échauffant, afin que ce Monstre tantôt encónne sa Fîlle, tantôt encule son Fîls. Pendant cette sçène, l'impuíssant Ribaud patíne les tetons et le connín du Tendrón, ou-bién la gamahúche. Il luí prend quelquefóîs des vertigôts de faire enconner la Mère, enculer Adónis par douze de ses Amís en un-seule seance. La Jeunepersone est alôrs nuë en perspectíve, montrant le cúl aux Encúleurs, et le cón aux Encónneurs.... C'est le víeux Píôchard qui insère les vîts dans le cón ou dans le cúl. Tu vòîs par-là quel parti nous pouvons tîrer de ta Femme, lorsqu'une-fòîs elle sera depuçelée. Tu ne seras pas prìvé; tu mettras les vîts dans le cón et dans le cúl de ta Femme; tu en seras le maquereau, et quand elle sera bién élargie des deux trous, peutêtre te permettra-t-on de la foutre en cn ou même en cón. Lélargisseur. P.-s. J'apprens par une dernière visite, faite à Pîòchencùl que Pîôchette a effectivement eú la plüs joliîe petìte Fîlle; On me l'a móntrée; elle a 3 ans. Màîs ce quì êst le cômble dú lìbertinàge, le vîeûx Pîûchencùl lúy fàit dejà teter son vît flasque, pendant que la jeune Mère lúy chatoille les coüilles. Je luy en demandáí la ràîsón?" Je profite, repondil- du temps où l'Enfant n'a pas encore de discernement, nì de degoût à me súçer". Que dìs-tú dù vîeùx Bóugre? XXXII Chapitre. Chap. Du Conin goûté. Voila quel aurait été votre sort, Madame, dis-je à Conquète, si vous n'étiéz pas décédée, ét que vous fussiéz restée l'épouse de Vitnègre-. Expressions qui étonnèrent Tout le monde, hors ma Fille, & les Brideconnin. Cette Lettre, qui avàit été lue après le champagne, avàit mis les Jeunes-gens en rut. On descendit au magasin, pendant que les Hôtes serraient les débris du soupér. Là, Tràitdamour, demi-grisé, me dit, en me designant ses Camarades: -- Comment ces Bougres-là peuvent-ils avoir une idée de notre bonheur, & de ce qu'est le Connin de votre Maîtresse, s'ils n'en tâtent pas?... Je n'entens nullement qu'ils y déchargent; maîs seulement qu'ils y plongent rapidement leurs vits, pour en palper le satiné. Dès qu'un des Enconneurs sera retiré, le mieux en état de nous-deux, vous ou moi, achèvera Madame, & la fera decharger? -- Je le veux bién (repondis-je). Cordàboyau bandant roìde se présenta. Nous renversames ma Fille sur le foutoir, nous la troussames, & nous declarames que nous nous tenions prêts à le desarçonner, dès qu'il aurait senti le velouté de l'étroit connin de notre Fouterie, & que le clignotement de ses ieux annoncerait l'éruptíon du foutre. -- En ce cas (s'écria le Bougre), que l'Une de ces trois Garses se couche-là le Con pomadé, pour que mon vit convulsivant s'y précípite & decharge-? On pomada Rosemauve. Cordàboyau enconna lentemt Conquète, dont le satiné le fit se recrier... mais il plongea jusqu'au fond. On l'observait. Il clignota de l'oeil. Aussitôt Brisemote & Traìtdamour l'enlevèrent comme une plume, en jurant, Le sacrébougre! il va partir... Et ils le mirent sur la brune Rosemauve bién écartée, & Conète dirigea le vit. Cette Fille, la plüs chaude des Garses, si Mad. Vitnègre ne l'eût pas surpassée, engloutit le vit en trois coups de cul sans intervale. Cordàboyau dechargea en heurlant de volupté, Rosemauve l'étreignant avec une delicieuse fureur. Cependant, ce que je voyais m'avait roidi, & j'enfonçais dans le Con humide de ma Deesse, qui suffisamment limée, dechargea deux-fois, avant que je l'humectasse de mon foutre paternel... Elle gigotait, criotait, soupirotait. -- Hâ! (s'écria Traìtdamour), vous êtes le Dieu de son Con, chër Maître! il se fond en jus d'amour, quand vous le perforéz! Voyéz comme elle en donne, l'adorable Enfant?.. Alons, celeste Coquine, tremousse, tremousse! Fous, divine Garse! decharge-... Ce fut ensuite le tour de Brisemote. Conète pemadée, fut étendue sur le foutoir... Il enconna ma Fille. La grosseur du vit & sa roideur lui arrachaient de sourds gemissemens; elle travaìllait de toutes ses forces, mais le terrible Engin avait encore plüs de trois pouces pour toucher le fond. Taut-à-coup nous nous apercevons que le perfide Brisemote veut inonder d'un torrent de sperme, le Connin qu'il martyrise. Nous ne pouvions l'enlever & l'arracher, son vit lapait comme celui d'un gros Dogue, dans la vulve enflamée d'une grande Levrète. En ce péril, nous implorames Traìtdamour & Moi, la pudeur de Conquète? L'adorable Fouteuse, fidelle à nos vits. donna un coup-de-cul en-arrière, & se decona. Traìtdamour plongea rapidemt son braquemart en furie dans le Con béant..... Brisemote enragé se jeta sur Rosemauve, qui ne s'y attendait pas, & la foutit en levrète, avec tant de brutalité, qu'il la fit crier autant de douleur, que de plaîsir... Et voyant Conète se lever: -- Reste-là, Garse! lui cria-t-il: Je suis dans une rage, par ce Con velouté que fout Traìtdamour, que j'enconnerais la ruë Maubué & celle de la Tannerie-... En-effet, Rosemauve deconnée, il fondit sur Conète, la fit crier; enfila Minone sans intervale, & reprit Rosemauve.... -- Que n'ai-je-là notre Putain d'Hôtesse! la Garse boite avec grâce, elle a de blancs tetons: qu'on me l'appelle-?... Nous lui préparions Rosemauve, qu'il encula. Pendant ce temps-là, Traìtdamour se delectait sur Mad. Vitnègre, qui se plaignotait tendrement, & dechargeait sans-cesse, parceque son Enconneur ne la deconnait pas. -- Que la Bougresse qui est libre (nous dit-il), chatouille les petons de ma Deesse; ça la fera me secouer. -- Alons! m'écriai-je, que Minone lui chatouille le haut de la motte, la douce main de Conète les couilles du cruel Pourfendeur, & Moi je chatouilleraí les píéds delicats de la belle Enconnée-? Ce qui s'executa: de violens soubresauts, des cris, des blasphèmes de volupté, Foutu Dieu... Sacre-Dieu... Dieu-con... Dieu-vit... marquaient l'égarement des deux Conoeuvrans. Cependant Cordàboyau flairait la chaussure mignone de Conquéte-Ingenue, & alait y mettre son vit: -- Laisse-donc! lui dit Rosemauve, tout-enculée qu'elle était; cela est insensible; mon Con est libre; que ne le fous-tu-? Le Bougre lui mit le ventre en l'air, & tandis que Brisemote lá sousaccadait en cul, Cordàboyau lui saccada le Con. Je bandais si fort, en entendant & voyant tout-cela, que j'alais enconner Minone ou Conète. Ma Fille qui dechargeait, me dit tendremt: -- Un autre Con... que le mién... peut-il vous tenter-?... Cette tendresse vraîment filiale, me toucha au coeur. -- Ote-toi (dis-je à Traìtdamour); tu dois avoir dechargé-? Il deconna: Et Moi, ému d'un amour-paternel sans bornes, j'enconnaí ma Fille, sans laver. -- Mêlons nos trois foutres (lui disaîs-je en enfonçant): que ton Con filial engouffre le Vit-paternel avec delices!... Remue du cul, adorable Enfant! Rens-moi tout le foutre que j'aí dechargé dans le Con de ta Mère,... pour te faire!... Hâ! comme la Garse remuait du cul, oscillait du con, le jour où je l'engrossaí de toi! Elle était chaussée, parée, un-peu chiffonnée, & si chaude, qu'elle se mit sur moi & s'euconna. Pour m'exciter davantage, elle me disait, en saccadant: Pousse... Enfonce... mon Con est frayé... je viéns d'étre foutue par ce beau Commis aux Aîdes, dont tu es si jaloux... Et elle saccadait... Pour moi,... je foutis avec fureur,... comme je te fous à-pésent... C'est moi qui t'aí engendrée, enfoutrée dans son Con satiné,... quoique tu ressemble à Louis-XV, qui,... dit-on, l'a aussi foutue... -- Mon cher Père... ô Vit divin! (répondit Ingénue, oppressée de foutre & de tendresse), je sens.. à mon insatiable Connin.. que je suis votre fille.... je le sens au plaîsir.. que me fait la celeste idée que mon... Pére me fout.... Décha--argeons ensemble, chër Papa!.. j'aí... plûs de.. foutre avec toi, qu'avec tout-autre?... Hâ! hâ!.. fourgonne... fourgonne, Vit-papa... Le foutre... est long... à venir... J'ai tant foutu!... Mais je n'en ai que plûs de plaisir... Hâ! hâ!... foutre!... Dieu! Delices!... Vitnègre!... ô Monstre, qui me dechirais, sans me pouvoir en--filer, que n'es-tu sur moi... ton Vit noir me pourfendant le Con... Foutàmort... enfondre-moi.....: Chër Papa... Dieu-fouteur... je pars... je decha--a--arge... à l'intention... de... Foutàmort-.... Et elle se pâma, dans un égarement, un delire ineffables. Cependant elle avait croisé ses jambes sur mes reins, & elle me fesait une jolie bronette de ses cuisses & de son Con. Je dis qu'On la rechaussât, & à chaque coup de cul, elle fit claquer l'un contre l'autre ses hauts talons, comme fesait sa Mère, pour me rappeler en foutant la beauté de son piéd. Ce spectacle parut si delicieux à mes trois Droles, qu'ils enconnèreut en furieux, Traítdamour Rosemauve, Cordàboyau Conète, & Brisemote Minone. & qu'ils les firent crier comme des Depucelées. Dès que j'eús émis, je dis à mon Secrétaire, de déconner, de m'enlever, & de me porter sur un fauteuil. Il m'obéit. Ma Fille palpitait. Je la montraí se chatouillant elle-même le Con. Traìtdamour rebanda come un Enragé; il se précipita sur elle. -- Enculéz-moi, s'il vous plaît, Monsieur (lui dit-elle), il me semble que ça me fera mieux... -- Decharger ('écria le Bougre): Vous avéz le Con trop fatigué-. Et il lui perça le cul sans mouiller. -- Je vais... redecharger (lui dit-elle, en continuant de se branler elle-même). -- Attendéz! attendéz! (lui cria le jeune & vigoureux Perforeur); je vous branleraí, en vous enculant-. Conquète enculée & branlée, roucouloit de plaîsir... En ce moment, Brisemote, qui finissait Minone, se jeta sur Rosemauve, abandonnée par Traìtdamour, pour ma Fille: Elle se fit enculer & branler. Cordàboyau retourna Connète, & lui en fit autant. Minone libre ala gamahucher ma Fille, que son Frère tenait enculée; & moi, je branlaí Minone. Les trois Bougresses se recriaient, que l'enculage branlé était divin. Pour moi, j'étais sur mon fauteuil, un doigt dans le Con de Minone, que j'avais à-peine la force de branler, tombant de sommeil, & bandant encore pour toutes-quatre: il me devenait indifferent laquelle j'enconnasse. Je le dis. Brisemote m'avança Rosemauve tout-enculée. J'alais enconner la vive Brune. Minone se retourna, mit ses fesses d'albâtre sur ce Con noir, & me présenta son Con. -- Que je te voye! (s'écria Conquète, en s'arrachant du cul le vit de Traìtdamour), si Cupidonet doit mourir en rut, c'est dans mon Con!... Elle se mit sur Minone, m'étreignit dans ses bras & m'engouffra. -- Hâ! (s'écria Brisemote, qui nous portait tous-quatre), que n'ai-je le vit asséz long, pour les enculer toutes-trois? Ainsi finit cette belle soirée. La partie fut remise au Dimanche suivant. Conquète, après avoir fait amplement bidet, se coucha modestemt. Je ne pouvais marcher. Mes trois Gaillards remenèrent leurs Belles, & revinrent me prendre, pour me porter chéz moi, où ils me mirent au lit. XXXIII Chapitre. Chap. De la Fouteuse sensée. Histoire. Le lendemain, après mon travaíl, je vins voir ma Fille. Elle était dans mon magazin. Elle m'embrassa la première, & me dit, & me dit: -- Au nom de Dieu, chër Papa, ménagéz-vous! j'ai besoin de votre tendresse-paternelle, plûsque jamais... Que deviéndrais-je, si je vons perdais? Vous êtes le meilleur des Pères: vous me donnéz le necessaire & la volupté. J'aí un Bijou insatiable: mais votre Traìtdamour l'emplit & le satisfait audelà de toute vraisemblance. Je suis bién sensible au don que vous m'en avéz fait. Aussi la reconnaissance & la tendresse sont pour vous; je ne lui donne que du... -- Foutre, mon adorable Fille... Tu es toujours égalemt mondeste. -- J'aí aussi beaucoup d'obligation à Traìtdamour d'avoir amené sa petite Soeur & sa jolie Maîtresse: surtout d'avoir donné Celle-ci à ses deux vaillans Camarades, pour me rester plüs entiér, & vous soulager d'autant, vu mon extréme chalenr. Ces Jeunesfilles sont de bonnes petites Creatures, & valent mieux que Rosemauve, qui cependant n'est pas sans mérite.... Menagéz-vous, chër Papa. Ne voyéz que moi: c'est bién asséz. Une partie, tous les huit jours, suffira pour vos forces. Traìtdamour me donnera le surplûs de ce qu'il me faut. En ne jouissant que les Dimanches, les Garsons, les Petites, tout-comme nous, l'appetit & le plaisir seront plüs grands; nous passerons une demi-journée delicieuse... Mais je suis jalouse de vous & du beau Traitdamour; ne le mettéz qu'à moi. Avertisséz-les tous de cela. C'est mon caractère que la jalousie. Et-puis, où trouveriéz-vous une Femme ou Fille qui me vaille? Toujours propre, abluée à chaque pipi, autant par volupté que par delicatesse: car j'ai cet Endroit que vous avéz la bonté de trouver charmant, toujours si chaud, que je ne le mets jamais dans l'eau s qu'avec une volupté qui approche de la Jouissance. Ne me le mettéz donc pas de la semaine, pour avoir plüs de plaisir, sans vous tuer, le Dimanche. Ne me touchéz ni le Bijou, ni le sein? -- Non (répondis-je): durant la semaine, je ne baiseraí que ton joli piéd. Et je veux toujours avoir une de tes chaussures au trumeau de ma cheminée! -- Rién de si flateur, répondit-elle, que d'être ainsi adorée, jusque dans sa parure: Aussi mon piéd est-il soigné, comme vous l'adoréz. Je le lave à l'eau-rose deux-fois le jour matin & soir, & après avoir marché. -- Hâ! celeste Fouteuse, que je le baise, que je le baîse? -- Point de ces mos-là? dans la semaine: ils vous excitent.... Baiséz votre idole? j'y ai autant de sensibilité qu'ailleurs; mais restéz-en là.... Du-reste, je suis à vous: Vendéz-moi, livréz-moi, quand vous le voudréz; je me donnerai avec plaisir pour vous; comme Une autre Ocyrhoé. [lacune. Je me privaí donc, malgré moi: mais par nécessit; je me contraignais. [Autre lacune... Mais j'avais à ma cheminée sa chaussure rose à talons-vërts, à laquelle je rendais mon hommage tous les jours en l'honneur de la Fille la plüs pieuse & la plüs devouée quî ait jamais existé. Conquète-Ingénue, à quî je le edis le samedi, en fut transportée de joie. Elle darda sa langue, me fit sucer ses tetons, palper son poil soyeux, se mit à genoux, & dit avec ferveur: -- Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir fait naître d'un si bon Père! Nous ne vous offensons pas; je rens à mon Papa en plaisirs delicieus les soins qu'il a pris de mon enfance. Je suis le baume & le charme de sa vie; il est le baume & le charme de la miénne. Bénisséz-nous-? Elle fit trois signesdecroix, baîsa la terre, & se releva, en disant: Doux Jesus, qui le mettiéz à Madelène, elle était aussi votre fille; & en amour, vous le savéz par experience, rién n'est si voluptueux que l'inceste-!... Je fus si édifié de cette prière, que je me propose de la faire recommencer, à la fin de nos parties. Un-instan aprês, à 8 heures-&-demie, toute la petite Société, Traìtdamour, Minone sa soeur, Conète sa maîtresse, Rosemauve, Cordàboyau & Brisemote, vinrent prendre langue pour la reünion du lendemain. Je donnaí le mot & les retins à soupér. Il y avait un excellent gigot de 18 livres, & du vin de Bourgogne, avec un pâté chaud. Après le repas, voulant les émoustiller tous, & moi-même, je fis lire par Rosemauve, devant nos Hôtes, l'Histoire suivante: XXXIV Chapitre. Chap. De l'Homme-à-queûe. Vous aiméz les Histoires, dis-je, ne voulant pas manger de pâté; nour aurons demain toute autre chose à faire: je vais en-conter une, pendant que vous achèveréz de souper-. Un rire d'aise préceda le silence. Il y avait à Sens, une Veuve encore belle, quoique mère de six Filles, dont l'Aînée, qui atteignait vingt ans, é se nommait Adelaïde. La seconde, Sophie, n'en comptait pas encore dixneuf; la tsoisìème, Julie, en avait près de dixhuit; Justine dixsept; Aglaë seize, ét enfin Emilie la Cadète quinze ans. Quant à la Maman, mariée à treize, accouchée de son Aînée à quatorze, elle avait trentequatre ans. Mad. Linârs (c'est son nom), avait en-outre deux Nièces de quinze ét vingtdeux ans, Lucie et Annète-Bar, une jolie Femmedechambre de dixhuit, outre une Cuisinière, grande ét belle Fille de vingt ans. Le Mari avàit mal-fait ses affaires, avant que de mourir. La Veuve ne soutenàit sa nombreuse Famille qu'avec le revenu de sa dot, qui rapportàit cinq à six-mille livres. On étàit gêné; car les Nièces n'avàient que quinze-cents livres de rentes entre elles-deux. C'étàit onze Jeunespersones à entretenir avec 7500 francs. Il parut alors à Sens un gros ét bel Homme dont la phisionomie annonçàit trente ans, encore qu'il n'en eût que 20. Il passàit pour très-riche. Et en-effet, il l'étàit. Ses bras ét sa poitrine étàient couverts de poils. Il avàît le regard dur ét presque féroce: mais son sourire l'adoucissàit, ét il souriàit toujours, en voyant de jolies Femmes. L'Aînée des Dlles Linars étàit charmante: Fysitére la vit ét en devint éperdûment amoureux, quoiqu'il eût alors dans son séràil une Femme-mariée enlevée à Paris, de l'aveu du Mari même; la Soeur d'icelui, vendue par son Père, ét une superbe Carmelite, leur cousine, qui s'étàit livrée elle-même, parcequ'elle était hysterique. Mais toutes ces Maîtresses étaient alors enceintes, ét Fysitère n'en jouissàit, que pour avoir des Enfans. Il ala chéz Mad. Linars, pour Lui demander en mariage Adelaïde. Le Velu, en voyant onze Femmes dans une seule maison, tressaillit d'àise... Il étala sa fortune, ét proposa d'épouser l'Aînée. Trente-mille francs de rente qu'il prouva (il en avàit bién davantage)! Le firent accepter sur-le-champ. Il rendit ensuite des visites jusqu'au mariage, ét fit des présens, tant à sa Prétendue qu'à la Mère, aux Bellessoeurs, à Lucie ét Annéte-Bar, les deux Nièces, ainsi qu'à Geoline ét à Maréte, la Femmedechambre ét la Cuisinière. Ce fut avec ces présens qu'il attaqua leur vertu... Mais il faut quelques préliminaires, qui fassent mieux connaître ce Personage. Fysitère était Un de ces Hommes poilus, qui descendent d'un mélange de notre Espèce, avec celle d'Hommes-à-queûe de l'Isthme de Panama, ét de l'Ile de Borneo. Il étàit vigoureux comme dix Hommes ordinaires; c'est-à-dire, qu'il en auràit batu dix à armes égales, ét qu'il Lui falàit, à Lui-seul, autant de Femmes qu'à dix Hommes. A Paris, il avàit acheté la Femme d'un nommé Guae, un scelerat, qui La Lui avàit vendue ét L'avàit livrée. Fysitère La tenàit exactement renfermée depuis. Il jouissàit de cette Infortunée, la plüs provoquante des Femmes, ét qui avait beaucoup de temperament, dix à 12 fois par jour. Ce qui la fatiguàit tellement.r qu'elle lui avàit donné le conseil d'acheter de leur Père sa Soeur-cadète, nommée Doucète, qui partagerait le travàìl. Il le fit. Mais ces deux Femmes avàíent été biéntôt sur les dents. Heureusement un Confesseur de Nones decouvrit alors pour le Velu, la Religieuse histerique, cousine des deux Victimes: il La tira de son Couvent, sous prétexte de Lui faire prendre les eaux, ét La livra au Fysitère, qu'elle occupa seule pendant quelques semàines. Ce qui avàit reposé ses deux Cousines. C'est à cette époque que l'Homme-à-queûe étàit venu à Sens, ét qu'il avàit vu la Famille Linars. Avant qu'il eût Mad. Guae, On Lui amenàit trois Filles Couturières chaque matin. Mais les précautions qu'il étàit obligé de prendre pour sa santé, avec des Creatures qu'il làissàit libres, Le degoûtèrent de cette jouissance. Dailléurs, comme il avàit formé le projet de multiplier l'Espèce des Hommes-à-queûe ét d'en peupler l'Ile entìére de Borneo, Pays originàire, il voulàít pouvoir surveíller tous les Enfans qui Lui naîtràient. Ses trois Femmes étant grosses, il ne voulàit plus Les fatiguér. Quand il fut lié avec Mad. Linars, il aurait bién cherché à deflorer sa Future, ou à se donner Une des Nièces; ou la Cuisiniére, ou la Femmedechambre. Mais il trouva que tout-cela avàit ses inconveniens. Il reserva ce-supplément de ressources, pour aprês son marìage. La Première qu'il attaqua, ce fut sa Bellemère future. Il Lui fit un-jonr un présent de deux-mille écus en espèces: Et La voyant dans l'extase de la reconnaissance, il iui mit la maìn sous la jupe, en Lui disant: "Autant tous les six mois, si Je vous Le mets. Et ne craignéz pas de faire du tort à votre Fille! Elle n'en aura que trop de reste... Comme il étàit extrémement fort, tout en parlant, il La renversàit, L'enfilàit. La Dame se trouva prise sans l'avoir prévu. Elle fut rabatelée une dixaîne de fois, tant Elle étàit vigoureusement contenue... Enfin devenue libre, Elle Luì dit; "Hô, quel Homme! "Je suis tel (repondit-il), que votre Fille ét vous, quand vous m'auréz toutes-deux, me donneréz vous-même des Maîtresses, pour vous reposer". La Dame, qui aìmàit le jeu d'amour, sourit, en rougissant d'esperance ét de plaisîr. Elle fnt exploitée tous les jours, en attendant celui du mariage de sa Fille. Quand ce jour fut arrivé, effrayée pour Une jeune Vierge, Elle pria l'inépuisable Fysîtère de La menager? "Six-fois: repondit-il, pas plûs, si vous me promettez de me recevoir ensuite, ou de me donner Lucie, l'Aînée de vos Nièces? "Non; mais je vous donnerai Geoline, ou Marète, celle que je pourrai avoir le plus facilement... Le soir des noces, Fysitèré, quoiqu'il eût toutes les nuits fourbi Mad. Linars, était impatient à trépigner, d'avoir sa Mariée. Il L'enIeva commé une plume, dès qu'on eüt soupé, se jeta sur Elle, ét Lui fit pousser des cris effrayans. La Mère alarmée, accoutut avec Geoline, au moment où Fysitère, sans trop s'embarrasser des gèmissemens de la Jeunepersone, La recommençàit. La Mère Le laissa L'achever. Puìs, sur l'instante prìère de sa Fille, Elle La retira du lit, pour laver le sang ét le suc d'homme, dont sa conque martyrisée était remplie. Fysitère saisit alors Geoline, ét La viola, malgré ses clameurs. Il La retint sous Lui quatre à cinq fois.:. Elle profita d'un intervala, pour s'échapper Mais Fysitère menaça Mad. Liuars, si elle ne remplaçàit pas sa Fille, de tourmenter Celle-ci jusqu'au jour... La Dame étàìt fatiguée: Elle ala chercher Marète, qu'elle enferma dans la chambre-nuptiale. Fysitère La viola, ét La contint sous Lui quatre-fois: puis il Lui permit de dormir. Dans le Jour, il assoupit les plaintes des deux Filles-domestiques, ét même il Les gâgna, en leur constituant Douze-cents francs de rente à chaqu'une. Mais elles demandèrent du repos, pour la nuit suivante.... Le soir, Fysitère ramona six-fois sa Nouvelle-Epouse, qui prit un-peu de gout à la chose: puis sa Mère reposée, fut à son tour fourgonnée six âutres fois. Ce qui suffit à l'Homme-à-queûe. Le soir du troisième jour, il ne ramona sa Femme qu'une-fois; car Elle demanda grâce. Il eüt ensuite Geoline, six fois; puis Marète, cinq fois. Ce qui fut la dose à laquelle il se règla. Il eüt le quatrème soir, sa Femme, une fois; sa Bellemère quatre; Geoline trois; Maréte quatre: douze en tout. Il en agit ainsi pendant deux mois. "Mais, Lui dit Mad. Linars, vous vous èpuiséz! A quoi bon nous Le mettre tant de fois? "Mon but est de faìre des Enfans, pour en repeupler une Ile des Indes, dont les Hommes de mon Espèce sont originaires. Dès que vous seréz grosses, je ne vous Le mettrai plus; vous m'en donneréz d'Autres; mais surtout vos Filles ét vos Nièces, parceque vous êtes toutes d'un beau sang. Je Leur ferai à chaqu'une six-mille francs de revenu, ét douze-cents francs seulement aux Etrangères que vous procureréz-... Mad. Linars fut très-étonnée de cette proposition! Mais les six-mille francs de revenu pour ses Filles ét ses Nièces La tentèrent. Aubout des deux mois, ét de six semaines de mariage, Mad. Linars, la Nouvelle-Epouse, Geoline ét Marète se trouvèrent enceintes. Fysitère Leur déclara, qu'il ne les verràit plus, qu'aprês Leurs couches. Et il pressa Mad. Linars de Lui donner ses Nièces, ét deux de ses filles?... Elle fut obligèe d'y consentir. Elle Les conduisàît elle-même, aprês Les avoir instruites, ét assistàít à Leur defloration, calmant leurs cris par ses discours ét ses caresses. "Ma ràisonable Enfant, disàit-elle à Lucie renversèe sur le dos, ét qu'On troussàit, il est doux d'avoir 6 mille fr. de rentes?... Cinq-cents francs par mois, ajoutà-t-elle en La pomadant?.. Et foncières, ma chère Nièce! dirigeant le gros Membre dans sa fente". Aussi la belle Lucie, quoique vierge, ne cria-t-elle pas. Vint ensuite Aunête la seconde. Sa Mère L'exhorta, La pomada, inserant son index onctué le plüs profondement possible, pour fràyer la route. Elle introduisit le Membre dans la fente ainsi prèparée. Cependaut Annète perforée, jeta les hauts-cris. Mais ils n'arrêtèrent pas Fysitère, dont Mad. Linars caressàit la queùe poilue, qui fretillait vivement. Hâ! Maman! (Lui dit-il), mets-toi sur moi, ét te l'enfonce dans ta conque; tu auras bién du plaisir"! Elle le fit, ét fut si ravie, qu'elle appela sa Fille-aînée ét les Chambrières, pour Leur procurer les mêmes delices. Annète suffisamment ramonée, ét demandant grâce, Geoline la remmenà, pour laver le sang ét le sperme, dont son Bijou étàìt barbouillé: ét Mad. Linars ala chercher Sophie, sa seconde Fille. Geoline et Marète l'apportèrent nue assise sur leurs mains jointes. Mad. Linârs La pomada; puis elle intromit. Geoline s'enfila avec la queùe poilue, au refus d'Alaïde l'épouse. Sophie ne poussa que quelques gémissemens, an premiér Assaut; elle riposta aux deux autres. Elle fut cependant ensanglantée. Geoline se fourgonna de la queùe-à-poil durant toute la séance. Fysitère n'avàit joui que neuf fois: Il Lui en falàit trois encore. On ala Lui querir Julie la troisîème Soeur, âgée de dixsept ans. Sa Mère La pomada. Ce qui ne l'empêcha pas de crier, parcequ'elle était fort étroite. Julie ét sa cousine Annète furent les deux qui n'émirent pas dans le coït, les quinze premiérs jours. Lucie fut prise tout-de-suite, ét Sophie trois jours après. Mais elles n'en dirent rién, aimant le piaisìr. Quant à Julie ét Annette, il s'écoula trois mois avant qu'elles fusseut enceintes... Marète se farfouillàit avec la queùe poilue, pendant les assauts de Julie. Lorsqu'il fut bién décidé que les quatre Belles avàient le sac rempli, Mad. Linars fut requise de donner ses trois dernières Filles, ét une Cousine du côtè-gauche, fille hors mariage de son Mari, nommée Naturelle-Linars? Elles Lui furent livrëes, et Justine, Aglaé, Emilie même, qui n'avàìt pas quatorze ans accomplis, se virent enfilées dans une seule nuit, malgré leurs cris ét la dechirure de leurs jeunes appas. Naturelle avàit vingt-un ans: ce fut une delicieuse jouissance, que l'Homme-à-queûe fatigué avàit réservée pour la dernière. Celle-ci fut engrossée surlechamp; ét les trois Autres, malgré leur jeunesse, ne l'échappèrent pas dans le cours du mois. Elles étàient regulièrement fourgonnées trois fois par nuit: mais soìt qu'elles eüssent moins de temperament, soit qu'étant plüs étroites, elles souffrîssent toujours, elles furent ravies, lorsqu'elles fudeclarèes enceintes. L'Homme-à-queûe avàit en ce moment de fecondées, 14 Femelles, qui Lui promettàient aumoins 14 Enfans. A cette époque, Mad. Linars accoucha d'une Fille. Un moìs-ét-demi aprês, Adelaïde, ou Mad. A-queue, mit également une Fille au monde. Puis Geoline ét Marète eürent chaqu'une un Garson. Annète èt Lucie chaqu'une une Fille. Toutes-six voulurent nourrir. Ce qui fut executé dans une Terre écartée, du-côté de Seignelài, éloignée des routes, comme de l'Yonne, mais sur la petite Rivière de Serin. Cependant comme les Unes nourrissàient, ét que les Autres étàient encore enceintes, il falàit de nouvelles Femmes à Fysitère. Il demanda permission à Mad. Linars de reféconder ses trois premières Concubines, Màd. Guae, sa soeur Doucète, ét la Carmelite, qui n'étàit plus hystere, depuis ses couches. La Bellemère y consentit avec la plüs grande joie: car Elle étàit fort embarrassée pour trouver à son Gendre des Sujets fecondables. Elle avàit deja bién marqué les quatres Pucelles les moins làides du Village, ét même une cinquième la plüs jolie, femme mariée, sterile avec son Mari; Elle les avàit presque gâgnées, au moyén des douze-cents francs par année, mais Elle n'etait pas encore sûre de leur discrétion... Les trois Concubines étàient mandées. Elles arrivèrent. Dès le même soir, Elles furent mises toutes.trois dans un grand lit propre à cinq Persones: Fysitère s'y coucha au milieu: Il Les palpa Toutes; puis il prit Mad. Guae, la plüs voluptueuse, qu'il fourgonna trois-fois avec fureur. Il saisit ensuite Doucette, que ses tendres gemissemens Lui firent ramoner en Enragé. En la quittant, il sauta sur la Carmelite, qu'il exploita six fois, sans desarçonner. Mais Elle l'assura qu'Elle étàit tguerie de sa maladie, ét Elle Le pria de se parrager également entr'elles trois? Ce qui fut arrêté. Le lendemain, Mad. Linars, qui avàit tout écouté pendant la nuit, demanda aux trois Parentes, Comment elles appartenàient à Fysìteres! Mad. Guae repondit: "Nous alons vous faire notre Histoire qui vous paraîtra singulière! en.même-temps qu'elle vous donnera une idée juste de notre Mari à Toutes, qui est Un Homme d'une nature particulière. Mad. Linars ne demanda pàs mieux que de l'entendre: Mais elle fit observer à Mad. Guae, que ce Recit ne seraìt pàs moins agreable aux 12 autres Femmes de Fysitère? Mad. Guae en convint, ét Adelaïde, Sophie, Julie, Justine Aglaé, Emilie, Lucie, Annète, Geoline, Marète, Naturelle, appelées par Mad. Linars, vinrent avec elle assister à la narration que fit la belle Mad. Guae, en-présence de Doucette sa soeur, ét de de Victoire la Carmelite leur cousine. XXXV Chapitre. Chap. Des la Garse insatiable. "Vous me voyéz; J'ai toujours été desirée des Hommes: A huit ans, un Ouvriér qui travaillàit dans la maison à de la menuiserie, me prit le bijou; ét comme je ne criai pas, il me mit son membre entre les cuisses, me les fit serrer, ét me les inonda, en dechargeant. Je le dis à ma Mère, qui me lava les fesses, ala menacer le Menuisiér, ét le fit deguerpir... Ce debut annonce que le Recit sera un-peu libre; mais il faut être sincère. "A dix ans, mon Père déculoté m'asséyàit à crû sur ses cuisses nues, fesàit aler son membre entre les miénnes, comme le batant d'une cloche, ét, bién échauffé, il alàit enfiler ma Mère, une jeune Tante soeur de Celle-ci, ou ma Gouvernante. "A treize ans, j'avàis le Bijou cotonné, ét si joli, que mon Père venàit me Le lècher la nuit pendant mon sommeil. Enfin il me sentit riposter à ses coups de langue, ét comprit que j'avàis du plaisir. Il dardàit plüs fort, ét je partàis... Aussitôt mon Père se mettàit sur moi, me suçàit mes petîts Tetons naissans, posàit son membre à l'orifice de ma petite Conque, ét me barbouillàit toute la Mote de sperme.. Il me lavàit à l'eau-rose. "A quìnze ans, un Jeunehome, frère de ma Maîtresse de modes, me prit le Con à la poignée, an moment où je regardàis par la fenêtre, ét voulut me chatouiller le Clitoris avec son doigt: mais il me fit mal, ét je Lui donnai un soufflet. "A cette époque, mon Père n'osàit plus m'asseoir à cùl-nu sur ses genoux, ni me faire decharger en me lèchant le Con; il se retiràit dès que je donnàis le premiér signe d'éveil: Mais comme j'ai le piéd joli, ét que M. Dardevit, aìnsi que tous les Hommes delicats, est infiniment sensible à cet attràit-là, il fesàit faire mes chaussures par un habile Cordonniér, Celui de ma Mère ét de la Marquise De-Marignì; le Voluptueux ne me les donnàit neuves, que lorsque j'alàis chéz Lui; il me les fesàit mettre aprês un pédiluve, avec des bas de fin coton, me fesàit marcher chaussée, mettre à la fenêtre, pour mieux voir ma jambe ét mon piéd, qu'il baisàit; il me fesàit ensuite asseoir, me tiràit un soliér, s'en coîfàit le vît, me fesàit Lui patiner les couilles avec mon piéd chaussé, poussàit de profonds soupirs, cognàit au planchér, ce qui fesàit monter Mad. Mezières voisine d'audessous; Elle Lui arrachàit mon souliér, ou ma mule; Elle se renversàit sur le dos; il La troussàit, èt La fourgonnàit, en me fesant relever ma jupe en perspective d'une glasse jusqu'au genou. "Votre Père me fàit ce qu'il ne peut vous faire, me disàit La Mezières, parceque tu es sa Fille; mais c'est Toj qui Le fais bander... Hâ! si Tu Luì montrais ton joli Conin, comme il me rabâteleràìt, ét me donneràit des coups de vit en Con"! Touchée de ce langage, souvent je me troussàis, ét montràis une mote à poil folet ét soyeux, que mon Père trouvait adorable! Je m'en apercevais aux vives estocades qu'il donnait à la Dame... En La quittant, il venaít me rechausser. Mais quelquefois La Mezières L'en empêchait, ét furieuse de luxure, Elle me renversait, me lèchait le Connin, ét mettait dans le sién la pointe de mon solliér, ou de ma mule, comme un Godmiché... Pendant ce temps-là, mon Père me palpait doucement les fesses ou les tetons. "Tu La foutras, Bougre (tu La depuceleras, ét biéntôt! ét Elle deviéndra grosse de Toi, si Tu ne La maries"! Ce propos, souvent repeté, fit que je demandai vivement à me marier. "J'avais un Oncle, mari de ma Tante. L'escaliér de leur demeure était obscnr. Un-jour que je le montais, mon Oncle me suivait. Au beau milieu, il me glissa la main sous la jupe, ét me hâpa ce qu'il nommait mon Connôt. Je me recriai! "Tais-Toi donc (me dit-il): vas-tu troubler mon ménage"?... Je me tus. Et il me patìna le Connôt, le cùl, d'une main, les tetons de l'autre; me mit son membre dans la main, me le fit serrer en jurant, ét tout en me suçant les tetons, me dechargea dans les doigts. "J'entrai toute rouge chéz ma Tante. Mais je ne dis mot. Quand je m'en retournai, mon Oncle me guettait; il m'accompagna, ét me dit: "Tu veux Te marier; J'ai un Parti, ét il n'y a que moi qui puis gâgner ton Père; Je Le gâgnerai, si je te le mets seulement trois fois avant le mariage, ét lorsqu'il sera bién sûr? "Que me mettréz,vous? (je fesais l'ignorante, puisque j'avaîs vu mon Père ét La Mezières). Nous étions dans l'alée. Il mit son vít à l'air, ét m'empoigna le Con: "Ceci, dans ce que je te tiéns". Je me debarrassai, ét ne repondis rién. J'étais à la porte de mon Père: J'entrai. Il était absent: J'attendis. "Seule avec moì-même, je resolus de pressentir mon Père, à son arrivée, sur mon mariage? Il arriva: Je fus moins sevère avec Lui qu'à mon ordinaire, ét lorsque je l'embrassai, aulieu des ieux, j'appuyai sur ses lèvres. Il fut ravi. Je dardai la langue, comme je l'avais vu faire à La Mezières. Il me mit la main entre les cuisses, mais sur les jupes. Je m'abandonnai, en Lui disant: "Je voudrais me marier? Et comptéz que vous seréz bién caressé, si vous y consentéz? "De tout mon coeur, à cette condition... As-tu un Parti? "Mon oncle en a Un, que je n'ai jamais vu. "Bon! ce n'est pas une amourète... Il faut dabord que je Te gamahuche aujourd'hui? "Qu'est-ce que c'est? "Te lêcher-là (me prenant le Bijou). Je fis une petite grimace. "Alons, prens cette éponge fine, ét lave le bién, à-cause du joli poil, qui commence à l'ombrager? Le plaisir que tu auras, te dedommagera de la contrainte que Tu te fais? Il me suça légèrement les bouts des tetons, pendant que mes fesses, mon cùl et mon Connin nageaient dans un bain tiéde. "Mon amoureux Père ne me donna pas le temps de reflechir: Dês qu'une serviète fine eüt pompé l'eau, il me renversa sur le piéd de son lit, troussee audessus des reins, appliqua sa bouche sur la fente de mon Connôt, qu'il lècha vivement, en dardant sa langue, jusqu'à ce que je donnasse des symptômes de decharge. Ce quì arriva aubout d'un demi-quart d'heure. En me sentant prête à émettre, mon Père me quitta, me mit gros comme une noix de beurre frais dans le bas de la fente du Connôt, m'y insera son vit, avec beaucoup de peine. Il saccada: Je dechargeais, et J'avais tant de plaisir, que je Le secondai, malgré quelques douleurs. Heureusement le vit de mon Père n'était pas gros, mais il était long; il me donna un plaisir complet; car il penetra si avant, qu'il me chatouilla le fond; ét au moyén de ce que j'étais très-étroite, il m'emplissâit le con, comme si j'y avais eü un Vit de Mulet... Voilà comme je fus depucelée. Je priai mon Père, pendant qu'il me lavait le Con, de ne pàs differer son consentement, que je ne voulais pas devoir à mon Oncle; ét je Lui en dis la raison. "Il ne faut qu'il te le mette! me repondit-il vivement: Le Bougre a le Vît trop gros: il t'élargirait! Au lieu qu'aprés moi, ton Futur, on tout autre Fouteur, Te trouvera comme Pucelle". Je promis qu'il n'obtiéndrait rién. "Des bagatelles cependant, reprit mon Père: Branle-Le, quand il Te prendra le Con. Tu pourrais même Te laisser enculer, s'il était asséz raisonable pour s'en tenir-là. "Comment fait-on ça? "Je vais Te le montrer". Et il m'encula. J'eüs du plaisir; car je dechargeai. Mon Père me dit ensuite: "Quant à mon consentement, envoie-moi ton Prétendu: Si c'est Un certain Drôle que je soupçonne, Tu n'en deviéndras pas folle, ét... Suffit". Je m'en retournai contente chéz mon Oncle, où sa Femme ét Lui me présentèrent leur Protegé, une sorte de Mulâtre, qu'ils nommèrent M. Guae. Dês le même soir, ayant eü, avec ce M. Guae, un entretién très-vif, pendant lequel je Le vis prêt à me prendre le Con, sa laìdeur ét sa sotise ne me rebutèrent pas, attendu que mon Oncle ét ma Tante m'avaient prèvenue qu'il était terrible pour les Femmes; ce qui m'avait bién tentée! aucontraire, je Lui dis, Que j'avais obtenu le consentement de mon Père, ét qu'il pouvaìt se présenter. Il me pria de Le conduire, n'en étant pas connu. Je remis au lendemain midi. "Nous arrivames au moment où mon Père alaìt sortir. Guae m'avaìt pris le cùl dans l'escaliér, ét m'avaìt fait empoigner son Vit; ce qui me donnait un coloris brillant; j'étaìs ravissante! Je présentae Guae, comme mon Futur. Sa figure hideuse ét basse fit sourire mon Père, dont elle calma la jalousie. Il nous dit: "Mes Enfans, j'ai une affaire pressée: mais elle sera courte; attendéz mon retour". Aprês son depart, Guae me dit: "Il paraît, à son ton, qu'il vous tiéndra sa parole, de consentir? "Je le crois; car il ne se contraint pas, quand une chose Lui deplaît. "Ma Belle! (ajouta Guae, dont l'oeil noir petillait de luxure, permettéz de vous Le mettre icy, sur le piéd du Lit de votre Père?... Consentéz-y"? Je ne demandaìs pas mieux, à-cause de mon depucelage, ét parceque le Bijou me demangeàit, depuis que mon Père m'avàit perforée: Mais je repondis: "Hô-non! mon Père n'auràit qu'à rentrer! "Hé! quand il rentrerait? vous voir enfilée, ne feràit que hâter notre mariage". "Il me renversa sur le piéd du Lit. Je me defeudis gaûchement. Il me mit le Vit entre les babines du Con, ét poussàit à m'enfondrer... Mais il ne put penetrer, quoiqu'il se mouillât le gland. Il redoubla d'efforts, qui aboutirent à me decharger une chopine de sperme sur la mote, le ventre ét les cuisses. "Je me debarrassae, pour aler laver. "Hô! vous êtes bién Pucelle!, me disàit Guae, en se reculotant. Comme je m'essuyàis, j'aperçus mon Père caché... Je n'en fis pas semblant Un instant aprês mon retour vers Guae, ce Père rusé entra auprês de nous. Guae me demanda en mariage? Mon Père Lui repondit, Qu'il me laissaìt la maîtresse absolue. Et il signa les bans. Il dit ensuite à Guae, qu'il avàit à me parler, ét qu'il le priàit de s'en retourner seul; qu'il me remèneràit chéz ma Tante, à Laquelle il avàit à parler aussi. Guae s'en-ala. "Dês qu'Il fut sorti, mon Père me dit: "As-tu été foutue"? Et il me prit le Con à la poignée. "Vous avéz bién entendu que non. "Où donc a-t-il dechargé? "Sur le poil. "Un-peu entre les lêvres? "Oui. "Il suffit: On peut devenir enceinte avec cela seulement, êt Tu n'äs plus rién à craindre. Mais va Le voir chéz Lui, ét qu'il ait toute-facilité. En attendant, je vais en frayer encore un peu-. Il me renversa, ét a-l'aîde du beurre-frais, il m'enfila... avec quelque facilité: ce qu'il repeta trois-fois, excité par ce qu'il venait de voir, ét parceque j'étais extrêmement bién chaussée, en soliérs de soie neufs. Je dechargeae trois fois a chaque enconnage, comme dísaìt mon Père. Cela fit neuf fois. Mon Père me dit, que j'avais beaucoup de temperament, ét que j'alàis être une bonne Fouteuse!... Je me lavae soigneusement, ét il me remena. "Nous trouvâmes Guae chéz ma Tante. J'étaìs plütót mise en appêtit que rassasiée, par le triple fourgonnage de mon Père: Je dis bas à mon Prétendu: "Aléz chéz vous; j'ae à vous parler". Il y courut. Mon Père parlaìt à ma Tante, prenant des mesures pour accelerer: car il craignait, à la manière dont j'avais dechargé, que je ne devinsse grosse de Lui; ét il le desirait en-même-temps: Mais il falait que je fûsse mariée... Ma Tante sortit avec Lui. "J'alais sortir aussi, pour laisser essayer à Guae un enconnage complet, lorsque mon Oncle rentra. J'étais si envoluptée, que je n'en fus pas fâchée, quoiqu'il me deplût. Il ferma la porte au verrouil, ét vint à moi: "Tu vas donc te marier? me dit-il: Alons, il faut en decoudre à nous-deux? Aussi-bién Guae a le Membre si gros, qu'il te feraìt souffrir le maryre". (Ceci acheva de me determiner)... Il me saisit. "Laisséz-moi! Laisséz-moi! dis-je faiblement). Mon Oncle ne m'écouta pas, ét voyant que je ne criais, ni n'égratignais, il me renversa sur le Lit, me troussa, ét dirigea son vit dans le vagin de mon Con. J'eüs l'art de paraître me defendre, en le secondant. Il me fit mal; je criae, ét m'apercevant que les cris Le facilitaient, je me mis à crier de toutes mes forces. Ce qui Le fit enfoncer jusqu'a la garde, avec tant de plaisir de ma part, que mes gemissemens étaient de volupté. Je me debattais, mais mon Con supait le gros Vit, donnant de si bons cups de cùl, que je dechargeae avec des convulsions terribles, et des contractions des trompes qui pinçoient le gland de mon Oncle. Il se recrîa,... ét se pâma de plaisir... "Hâ! pour une Pucelle, que Tu fous bién! me dit-il ensuite: Que sera-ce donc un.jour?... Recommençons"... Il me recommença trois-fois, malgré mes pleurs; car je sentis qu'il falait pleurer... Quand il fut rassasié; il deconna. "O celeste Fouterie, me dit-il, si le merite de ton Con était connu, Il ferait ta fortune! "Oui! vous me L'avéz bién accomodé! répondis-je en sanglotant, sur un bidet préparé par mon Oncle. Il ôta le verrou, jeta l'eau mélée de sang ét de foutre; puis craignant le retour de sa Femme, il sortit, en disant: "Remerciéz-moi! sans cette préparation, Guae vous aurait estropiée; et revenéz à moi, s'il le faut"? Je ne fus point effrayée de ce Langage. Dês qu'il fut sorti, j'essuyai bién-vite mes larmes, ét je pris un air riant. Ma Tante revint. Je La prévîns de l'attaque de son Mari, mais non du succês, pour Lui faire presser mon mariage; La priant de ne Lui en rién temoigner, depeur qu'Il ne levât le masque. Je promis de toujours bién me defendre, comme je venais de faire; ét tout en parlant, le Con étant venu à me redemanger, je courus chéz Guae, esperant que préparée comme je l'étais, il me L'enfoncerait enfin. Il m'attendait. "J'ai bién des choses à vous dire"... Ce fut mon debut. Il ne me laissa pas continuer; il me prit la Motte: "Foutons dabord, me dit-il, en me renversant. Je n'en fus pas fâchée; car je ne savais trop que Lui dire de-nouveau. Je me defendis gaûchement, comme avec mon Oncle ét mon Père. Mais quoique je fusse élargie, ses tentatives furent encore inutiles. Je n'osais Lui dire de prendre du beurre, depeur de paraître instruite: Je m'attendais qu'il y songerait. Cela ne Lui vint point en pensée. "Tu ês diablement Pucelle! me dit-il, en me tutoyant... Il me tourna sur le ventre, me cracha au trou du derrière, ét m'y enfonça son engin, avec des efforts infinis. Je poussais des cris horribles! mais il me tenait si ferme, en m'empalant, que je ne pouvais remuer. Je Le secondae, pour souffrir moins, ét mes ripostes me firent decharger. Je croyais avoir un timon de carrosse dans le cùl... Le retiré ne fut pas sans plaisir... "Tu vaux ton pesant d'or! me dit Guae, même en cùl! Suffit"! Il me demanda ensuite pardon: "Votre beau Con, votre beau cùl, vos blancs tetins m'avaient mis comme un Enragé; ne pouvant vous enconer, je vous ai enculée: Pardon, ma belle Maîtresse! j'ae plüs d'un projet, pour vous dedomager". Le cùl me fesait mal: Guae me le mit dans l'eau tiéde; puis il me le baisa, me le lècha, alant quelquefois au Con. Il rebanda: mais je voulus m'en-aler. Il fut obligé de me remener en fiacre; je ne pouvais marcher qu'avec douleur. Ce qui n'empêcha pas qu'il ne me fit Le branler dans le carrosse, Lui ayant le néz dans une mule mignone, qu'il m'avait arrachée du piéd, ét dans laquelle Il dechargea. Dans le delire du plaisir, Il me dît: "Ma Reine: j'ae le Vit trop gros pour Toi; choisis de l'oeil un joli Jeunehomme pour Te depuceler, ét je trouverae le moyén de Te Le faìre avoir, sans Te compromettre". Ceci me fit plaisir.... Guae me descendit, ét me porta. Je me mis au Lit; le sommeil calma mon cùl. "Le lendemain, j'alae chéz mon Père, auquel je racontae tout ce que Guae m'avait fait, ét dit. "Bon! me repondit-il: Tu as du temperament: Tu seras foutue, en con, en cùl, en bouche, ét Tu seras heureuse... Vous seréz mariés dans huit jours, ét je t'aurae un Fouteur plüs gros que moi. En attendant, je vais Te Le mettre; On ne saurait trop élargir un Connin si mignon". Mon père m'enconna, recomença trois fois. "Tu ês toujours Pucelle! me dit-il. "Et pourtant, m'écriae-je, mon vilain Oncle, avec son gros Membre, m'a hier violée trois fois! "Trois-fois! reprit mon Père: quel Connichonnet as-tu donc? On pourra vendre mille fois ton Pucelage!... Il faut que je Te refoute". Et il me refoutit... "Tandis que je me rinçais le Con avec de l'eau tiéde, mon Père s'était mis à la fenêtre, ét causait avec un jeune Procureur son voisin, gros ét beau garson de 30 ans. Le Con lavé, j'alae regarder, en soulevant le rideau. Mais le jeune Procureur m'ayant aperçue, je me retirae. "Quelle est donc cette celeste Persone? demànda-t-il. Mon Père ne repondit que par un geste, qui, je crois, signifiait que j'étais sa Maîtresse. Ils gesticulèrent encore. Puis le Procureur disparut. Mon Père me dit aussitôt: "Veux-tu que ce bel Homme Te Le mette, en payant? "Hô! hô! mon Père! "Appelle-moi Monsieur, devant Lui"!... On frappa. Mon Père ouvrit; ét j'entendîs qu'il disait tout-bas au Jeunehomme: "Aportéz-vous les 50 Louis? "Les voilà. "Mademoiselle? me dit àlors mon Père; vous savéz que je vous aime pour vous même: Voici un bel Homme de mes Amis, qui veut vous faire un présent; je sors; temoignéz-Lui votre reconnaissance". Mon Père se cacha, ét le Procureur le crut sorti. "As-tu été foutue aujourdhuy, me dit-il, en venant pour me prendre les Tetons. Je Le regalae d'un soufflet. "Apprenéz que je suis icy chéz mon Père. "Vous êtes Mademoiselle..... "Oui, Monsieur. Je dois être mariée dans huit jours. C'est un mariage de raison, ou d'interêt. Mais mon Père ayant été instruit que mon Futur est... monstrueux;... ce bon Père a... pris sur Lui de... me faire prépârer. Je vous ae cru son Ami; j'ae consenti, aprês vous avoir vu". Le Procureur était à mes genoux. Il me demanda mille pardons! "Soyéz donc honnête? repris-je. Alors il me caressa. Je Luy rendis enfin un baisér. Il me renversa. Il avait le Vit comme mon Oncle, mais il était moins adroit. "De la pomade! Luy criai-je: Mon Prétendu m'ayant fait entrer chéz Luy par surprise, il ferma les portes, ét voulut me violer... Ne le pouvant, il me pomada, ét ne réüssit pas encore. Vous, pomadéz-...moy"... En parlant ainsi, ses tentatives me fesaient decharger. Je soupirais de volupté. Mon Père crut que c'était de douleur. Il arriva; me pomada; dirigea le Vit de mon Fouteur dans mon Con, ét dit, à Lui: "Pousséz". A Moi: Soulève le cùl; étreins dans tes bras; seconde ton Depuceleur, à chaque coup, par un coup de croupe en-avant; passe tes jambes sur ses reins, ét serre, en remuant du cùl... Bon! Bon! Saccadéz, vous!... Bon"! "Hâ Dieu! quel plaisir! s'écriait le Fouteur: comme Elle a... le Con étrait!... le... mouvement... delicieux"! Je Lui dardae ma langue, en murmurant, "Mon coeur!.. Mon Roi!... Mon Dieu! je t'adore!... "Hâ! la chère Petite Amie! elle est tendre!... Je decharge! Je La fous... Hâh!... "Il me fout, mon Père!... Tous les Hommes foutent-ils?... Hâh!... Mon Père!... quel plaisir!... Mon âme... va sortir par... le trou qu'il me fait"!... Je dechargeais, en me roidissant. "Hô! la Petite Reine!... s'écria le jeune Procureur: Elle decharge!... Mon Pére... donnez La moi pòur Femme; je l'ae depucelée; je L'épouse"?..... "Mon Pére, qui avait ses desseins sur Moí; refusa. Il en resulta que le Procureur enragé, s'acharna sur Moi, ét me foutit 18 fois... Mon Père fut obligé de l'ôter de sur Moi, ét de Le porter chéz Luy; il ne pouvait marcher... Quant à Moi, j'étais à-peine fatiguée. Mon Con lavé, rafraîchi, il n'y parut plus. Au retour de mon Père, Le voyant tout ému, à la vue de mes Tetons, je Lui dis: "Si vous bandéz, satisfaites-vous, en me foutant deux ou troìs fois?" O quelle scêne! s'écria-t-il: Mais Tu as un Con ét un temperament impayables! ils feront notre fortune... Voyons si Tu dechargeras encore: foutons"?... En m'enconnaut, il me loua fort de m'être avouée sa fille, ét du soufflet donné! "Les Fouteurs dedaignent les Foutues; mais ave Toi, ce sera le contraire; je veux te mettre audessus de ces Bougres-là! "Je decharge! m'écriae-je. "Et moì aussi! repondit-il en me saccadant. Il me re-enconna trois fois, ét toujours je dechargeae.. Je lavae, en Lui disant: "J'épuiserais dix Hommes". Je Lui recommandae d'instruire mon Futur de ce qu'il falait faire, pour m'enconner. Je Lui dardae ma langue, ét je partis. "J'avaís été foutue 25 fois dans la journée, sept par mon Père. Je retournaís chéz ma Marchande. Mais tous les Hommes que je rencontrais, me tentaient. "Que les Putains sont heureuses! (pensae-je) elles attaquent qui elles veulent"! Tout-à-coup une idée me viént: "Alons chéz Guae; je Lui dirae de me pomader: Qu'il m'estropie; mais qu'il me foute". J'y volae. Il était avèc un beau Jeunehomme, qu'il fit cacher, au bruit de mes talons. Mais j'entrevis par le trou de la serrure. Guae me reçut mysterieusement, ét me conduisit dans la Pièce-obscure, où je Luy avais vu cacher le Jeunehomme. "Ma Reine! ma belle Future (me dit-il), je crois que je pourrae vous enfiler aujourdhuy: Ayéz seulement de la complaisance? "Oui! mais, pomadéz... Ma Tante... "J'entens.. j'entens"... Je sentis qu'il me remettait à une main plüs douce. On me prit les Tetons, le Con; On me darda la langue. Je caressae. On me troussa. Je fis beau Con. L'On se mit sur Moi, je sentis qu'On m'ìnserait un morceau de beurre-fraìs à l'entrée de la vulve, ou trou du Con. On poussa. Je ripostae un-peu. L'On entra. Je secondae, m'apercevant avec étonnement, qu'On ne me fesait presque pas mal. Enfin l'On parvint au fond sans m'avoir blessée, ét l'On y dechargea. L'abondance ét la douce chaleur du foutre me firent partir aussi, mais avec un plaisir, des élans, des transports incroyables! Je m'écriais: "Chër Amant! divin Amant... j'expire... de bonheur... ét de volupté... Je t'adore"!... "Le Jeunehomme deconna. Il me suça les Tetons, les Lêvres, me fit darder la Langue. Ce que je fis tendrement... Aussitôt Il me re-enconna avec fureur. J'eüs autant de plaisir que la première fois... Bref, il me recommençait sans-cesse, ét ce fut Guae qui Le renvoya: car pour Moi, deja foutue 25 fois dans la journée, je crois que j'aurais laìssé aler ces deux Hommes jusqu'à 50, si tousdeux avaient pu me Le mettre. Guae me voyant quelque difficulté à marcher, envoya chercher un fiacre, pendant que je me lavais le Con. "Hé-bién, ma charmante Reine, T'ai-je bién foutue? me dit-il. Je rougis. "Loin d'être épuisé, je me meurs encore d'envie de T'enculer? "Hô-non, non! (m'écriae-je avec effroy). "Hé-bién, branle-Moi des deux mains, comme te voilà, le cùl dans l'eau". Je branlae son Vit, qu'à-peine je pouvais empoigner. Quand le foutre fut prêt à venir, il heurlait de plaisir. "Ta bouche? (me disait-il), ta bouche... ou je T'encule"? Je decalotai le gland, je le pressai de mes lêvres. Le foutre arrive, ét depeur qu'il ne tombe dans mes Tetons, j'ouvre la bouche, ét il m'est lancé au fond du gosiér. Je l'avale comme un Laìt-de-poule. Il y en eüt une chopine: "Foutre! foutre... (s'écriait Guae), je me pâme,.. Hâ... celeste Garse... Tu vaux mieux que toute la Terre... Est-ce bon? "Ce qui fait tant de plaisir en-bas, doit faire du bién en-haut. "Hâ, divine Putain... je T'en nourrirae". Le fiacre arrivait; Guae m'y porta. "On me L'avait mis 37 fois. Le Frère de ma Marchande se trouva seul à la maison, lors de mon retour. "Mademoiselle Convelouté! me dit-il, que vous êtes cruelle pour Moi?... On dit que vous aléz vous marier? Vous devriéz bién favoriser un Jeunehomme qui vous adore, aux dépens du Futur? C'est Un Veuf, Un Laìd... Vous ètes Pucelle, ét si jolie?... Dailleurs, il l'a três-gros (dit votre Oncle), ét il vous fera bién mal? Si un plûs menu que le sién vous préparait? Voyéz? (Il mit à l'àir un vit charmant); c'est un veritable croque-pucelage, sans faire mal.... Je sais m'y prendre: Le Mary de ma Soeur èst Un Bandàlaîse, ét elle se fait de-temps-en-temps ôter par Moi les Aràignées du Bijou". Ce langage me plut, ét son vit me tentàit: Je luy repondis, en riant: "Je n'ai pas d'Araignêes à ôter". Il vit, à mon àir que je n'étais pas de mauvaise-humeur. Il me prit les Tetons. "Finisséz donc, Libertin! (Luy dis-je doucement et sans presque Le repousser). Il me prit la Motte. "O c'est trop fort, ceci... Vouléz-vous bién finir"!... Il était deculoré; il bandait ròide; il me renversa sur le Lit de sa Soeur, me retroussa, ét se mit sur Moi tandis que je disais nonchalamment: Hé-mais... c'est donc une violence"! ét que je me defendais d'une maniére qui me lìvrait. Il me dit: "Hâ! celeste Innocente! je vous Le mettrae"!... Il m'enfila. Je ripostais, en haussant du cùl, comme pour Le repousser. Il n'en dardàit son vit que plüs fort. "Non! (s'écriàit-il en dechargeant), il n'êst rién tel que d'enconner l'Innocence"!... Cependant cràignant que je ne Me derobasse, il Me foutit trois-coups sans deconner, (ce qui fit mes 40 fois dans la journée), ét ne Me quítta, qu'en entendant du Monde.... Je courus Me laver. "C'était la Marchande. Elle dît à son Frère: "Heureusement que c'êst avec Convelouté! Toute-autre aurait sauté le pas, Poliçon?... Mais L'as-Tu attaquée? "Oui. En ce cas, Tu dois n'en pouvoir plus... Viéns que je Te soulage"? Il y avait encore de l'huile dans la Lampe: Le Jeunehomé mit le verrouil, nous enfermant ainsi Tous-trois, ét il se jeta sur sa Soeur, qu'il enfila d'un seul traìt. Hâ! quels coups-de-cùls elle donnait! "Lime (Luy disait-elle)... je decha...arge... Sors à-moitié, ét... rentre... vivement... Fous-Moy vingt fois... en une"... Je Les voyais. Ranimée par-là, mon insatiable Connôt redesiraît un vìt, lorsqu'On frappa doucement. J'ouvris, en tirant le verrou plüs doucement encore. J'esperais que ce serait le Mari de ma Marchande, qui depuis longtemps brûlait de me Le mettre. Je me proposais de le pousser dans une autre Pièce. Point-du-tout! C'était un beau Jeunehomme, qui avait beaucoup d'air de Celui par quî Guae venait de Me faire foutre. "Mademoiselle (me dit-il), se nomme Agnès-Convelouté? "Oui, Monsieur. "Mademoìselle êst la Prétendue de M. Guae? "Mais, oui, Monsieur. "Aiméz-vous, fort ce M. Guae? "Monsieur, la raison, ét non la passion, fait mon mariage. "En ce cas, Mademoiselle, je ne vous ferai pas de peine, en vous revelant un secret? "Quel êst-il, Monsieur? "C'êst que tout-à-l'heure, vous avéz cru être possedée par votre Futur... "Quel conte vous me faites-là, Monsieur? "J'étais présent, mais caché, Mademoiselle: son Timon de carrosse ne pouvant vous perforer, il m'a vendu votre Pucelage cent Louys, ét c'êst moy qui vous ai deflorée... Me préfereriéz-vous? "Ce que vous me dites êst impossible, Monsieur! "Cela êst: Il l'a trop gros; On viént de vous Le mettre, ét c'ést Moi. (Je le savais bién). "Il n'êst qu'un mot à dire, Monsieur: Pouvéz-vous m'épouser? "Mademoiselle, je suis marié à une Vieille de 78 ans, qui m'a fait ma fortune, ét je suis obligé d'attendre qu'elle soit morte. "Et si je devenais grosse, Monsieur?... J'épouserais M. Guae. "Vouléz-vous être ma maîtresse? "Cela ne conviéndrait pas. "De son consentement? "Comme vous m'avéz eüe dejà, ét que ce soit de son consentement, je m'y prêterais; pourvu qu'il ignorât que je le sais... "Hô! de tout mon coeur! Ceci marque votre honnêteté... Etes-vous seule? "Non; la Marchande êst là. "Pourrais-je vous avoir à coucher? "Hâ-ciel! Je ne saurais decoucher que sous le prétexte d'aler veiller mon Père, en Le supposant indisposé: Ainsi, cela êst impossible. "J'irae, si vous le permettéz, parler tout-unîment à votre Père: Je suis riche; il vaudrait mieux que je vous donnasse le prix de vos faveurs, qu'à Un vil Malheureux, comme Guae? "Hé-bién, parléz à mon Père. "Je reviéndrae vous chercher, s'il m'accorde ma demande? "Mais ne revenéz pas seul: Je veux voir Quelqu'un à Luy, ét que je connaisse? "Vous seréz tranquilisée". Il ala chéz mon Père: Il luy raconta comment Guae n'ayant pu me depuceler, Lui avait vendu mon Pucelage cent Louys, en quatre seances, vingtcinq Louys par chaqu'une, dont la première était payée: Qu'il m'avait enconnée, en me pomadant. ét qu'il avait trouvé mon Bijou si delicieux, si satiné, qu'il n'en voulait plus d'autre; Qu'il m'avait demandé de coucher avec Moy, ét que c'était par mon conseil, qu'il s'adressait à Luy. Il offrit ensuite les 75 Louys restans pour les trois nuits suivantes. Mon Père repondit: "Puisque Guae a voulu être cócu, qu'ainsi soit. Je consens que vous couchiéz icy avec ma Fille, si vous avéz cueilli sa Rose; ce qu'elle me dira. Aléz La chercher, avec un Billet, par lequel je vais La demander". Et il écrivit. Puis il accompagna le Galánt jusqu'à la porte de ma Marchande, que son Frère foutait encore. "Cependant je M'amusais à voir conniller le Frère ét la Soeur. J'étais en feu, quand le Jeunehomme reparut, avec le Billet de mon Père: je vis par la fenêtre, Celui-cì quì nous attendait dans le carrosse de mon Depuceleur prétendu. Je partis, en avertissant que j'alais veiller mon Père malade- A notre arrivée, le Galant pàya un heau soupér, ét remit vingtcinq écus-d'or à mon Père. On mangea; On but; puis je fus mise au Lit. Le Jeunehomme exigea que mon Père me deshabillât, ét me lavât la Motte. S'étant ensuite Lui-même mis nu, en un instànt, il entra dans une chemise, fort large, ét qu'il avait apportée, afin de me palper mieux. Il appela mon Père, pour qu'il Lui mît le vit dans le trou de mon Con; puis il poussa... Il eüt autant de peine que chéz Guae (ce qui m'étonna Moi-même!) Aussi dit-il: "Elle a reellement le Connin étroit: Elle se repucelerait en huit jours, si On La laissait tranquile". Il me foutit six coups; mon Père, couché à-côté de nous, Lui mettant tonjours le vit dans mon Con. Il s'endormit ensuite, ét Moy aussi. "Le lendemain-matin, il fit faire d'excellent chocolat, qui Me refit. Je refusae la voiture pour retourner chéz ma Marchande. On ne se douterait pas pourquoi! J'avais ouï-dire, que le foutre avalé chaud, était excellent pour la poitrine, fortifiait, ét blanchissait le teint. Je voulais aler en avaler ma chopine en suçant le Vit de Guae. J'y courus, dês que je me vis libre. Il alait sortir. "Je viéns vous donner du plaisir (Luy dis-je), mais sans en prendre: vous m'avéz trop fatiguée hiër". Alons, ma Toute-belle, que faut-il faire? Vous enculer? vous encuisser, vous endosser, vous enaisseller, vous enoreiller, vous encoller, vous entetonner, vous decharger sur le nombril, me faire serrer le Vit entre vos deux mollets, faire un Con de votre solliér, ou de votre jolie mule: Tout, je ferae tout, hors vous enconner; je ne le saurais, parceque nous sommes, vous trop belle, ét Moi trop beau"? Aulieu de repondre à ce Langage, qui était de l'Arabe pour Moy, j'avais deboutonné sa culote, ét je Le branlais d'une main, ét chatouillant par instinct les couilles de l'autre. Il se recriait de plaisir; "Déesse!... Sacrée Garse!... Divine Putain!... Branle!... branle!... Chatouille! chatouille les couilles?... Hô! hô! quelles delices!... Bougresse!... Gueuse!... Putain!... Divinité! le foutre... viént"!... A ce mot, j'embouchae le gros Vit, le palpotant de ma Languè ét du Palaìs. Ce fut àlors que Guae en delire blasphêma; "Foutu Dieu! Bougre de Dieu! Sacré Con de la Vierge Marie! Con de la Magdelène connillé par Jesus! Con de Sainte Thècle, de Sainte Theodore, de Sainte Catherine, de Sainte Cecile, d'Agnès-Sorel, de Marion-Delorme, de Ninon, de La-Daubigné, de La-Vallière, de La-Pompadour, de La Duté, de La Lange, de La jolie Mars, de l'adorable et provocante Mèzéray, de la jeune et naïve Hopkins, de la belle Henry, vous ne valéz pas... cette Bouche-là... Je fou..ou..ous... Je.. decha..a..arge!... Ava..ale!... gorge-Toi de foutre, ma Reine"! Il deboucha vivement, quoique je Luy suçasse encore lé Vit. "C'êst trop de plaisir! (dit-il); On mourrait". Il me fit prendre quelques cuillerées de café. pour me rincer la bouché. Puis je me remis à Le branler. Il me suça les Tetons, me fit Luy darder ma Langue, ét voulut me gamahucher. Je m'y refusae, devant être foutue le soir.... Il rebandait. Je secouai, je chatouillai; le foutre revint, ét j'en avalai une nouvelle dose. Ce qui eüt lieu trois fois de-suite. Le manque de temps nous obligea seul de nous separer. "Le soir, à 9 heures, une voiture vint me prendre, ét me conduisit chéz mon Père. On y soupa, coucha ét foutit comme la veille. Le lendemain, après le chocolat, j'alai faire mon déjeûner de foutre chéz Guae. J'en pris quatre doses... De-retour chéz ma Marchande, son Mary. sans-doute instruit par le Frère de sa Femme, voulut me le mettre. Je m'y refusae absolument. Il s'en plaignit à sa Femme, qui m'en fit des reproches. Mais Luy ayant dit que mon Prétendu me l'avait mis six fois, en gardant mon Père avec Moi, elle fit mes excuses à son Mary, en Le priant d'attendre son tour. "Le soir, On vint me prendre. Mad. Viédase ma Marchande, Me dit à l'oreille: "Tâche de ne pas être foutue; afin que mon Mary puisse Te le mettre demain? il s'en meurt"?... Je trouvae mon Amant chéz mon Père. En soupant, On parla de Guae, Mon Amanr dit, qu'ayant été enconnée devant Luy, je ne devais pas redouter la grossesse. "C'êst pourquoi (ajouta-t-il, j'enfourne à plein Con, ét decharge au fond. "Je vous mets le vit dans le Connin de ma Fille avec plaisir (dit mon Père); afin de mieux cocufier ce Jean-foutre de Guae, qui vous a vendu son Pucelage. "C'êst ce qui me met aussi en fureur érotique, quand jé fous sa Future (reprìt mon Galant): Je pense: Encore une corne à ce bougre de Guae... ét je me trouve intarissable... Il m'a même passé une idée par la tête: C'êIt de vous donner à chaqu'un 50 Louys, pour que vous foutiéz ensemble tous-deux; pour que le Mâtin soit recocu, ét surcocu? "Top! (s'écria mon Père); àprès votre affaire faite. Vous me mettréz le vit dans le Con de ma Fille... "Non! non! (m'êcriai-je). "Vous me La tiéndréz, si elle recalcitre. "Je n'ai pas ces idées (Leur dis-je): Si je remue du cùl, comme je le fais, àlors que mon Amant Me fout, c'êst que je l'aime: Qüant à M. Guae, je Luy dois beaucoup de reconnaissance! il êst ma Nourrice, ét c'êst Luy que je téte". On ne comprit pas le sens de ce mot. On Me coucha. "Au Lit, mon Amant me foutit six fois. A la sixiême, mon Fouteur dit à mon Père: "Mets-Toy sur ta Fille. ét fous.La: Je vais T'introduire le vit"? Mon Pére me grimpa, le Jeunehomme Luy mit le vit dans mon con, ét il poussa. Comme j'étais amoureuse de Luy plûsque de tout autre Homme, je remuai de la charnière, comme Une Princesse foutant avec un Page... Le Jeunehomme ranimé, entra dans un tel érotisme, en nous voyant decharger, qu'il nous fit mettre sur le côté, èt il m'encula, tout enconnée que j'étais... J'alai laver, ét nous dormîmes. Le matin, au dejeûnér, le Jeunehomme paraissait yvre de joye! "Hâ! qu'il êst cocu, le Bougre! (s'écriait-il.)... Bonhomme, voilà un effet de cent Louys: Il faudra que Tu La foutes, àprês le Mariage, ét il y aura vingtcìnq Louys à chaque fois". Il partit, ét je courus chéz Guae, que je commençais à aimer presque autant que mon Père. "Il Me reçut avec transport, Me traìtant de divine Garse, de celeste Putain... Il M'alaita de foutre six copieuses fòis. Ce qui me mit dans un tel érotisme, que je retournai chéz mon Père: "Ton Procureur? (Luy dis-je essoufflée): Il doit être remis, depuis l'autre jour? Je brûle... Cours-y, si Tu M'aimes". Il y vola, en M'appelant, Cleopâtre! Clepâtre!... Il trouva le Jeune Procureur à la fenêtre, son vit bandant à la main. "Je viéns de voir entrer votre Fille (Luy dit-il), ét j'alaìs Me branler à son intention. "Gardéz-vous en bién! Apportéz un petit présent, ét venéz le Luy mettre? "Vingtcinq Louis? "C'êst trop pour une Pratique: Un Louys par coup. "Soit: mais je n'en remettrai pas: Elle gâgnera peutêtre la somme". Il vint avec Moi. En entrant, il jeta la bourse sur le piéd du Lit. "Alons, ma Fille (Me dit mon Père), Tu ês à tes pièces; autant de coups foutus, autant de Louys: Mais il ne faut pas tuer Un Amy! Il alait se branler à ton intention, quand je suis entré". A ce mot, je Me jetai à son cou, ét Luy dardai ma langue) en dîsant: "Chër! Chër Amy! "Hâ je T'adore i (Me repondit-il). Et il Me prit les Tetons, le Con. Je Me renversai. Il se mit sur Moi. Je Me fourai son vit dans le Con, ét en quatre coups de cùl, je Le mis au fond. Il dechargea, en Me sentant émettre... Il Me foutit dix coups. "J'ai quinze Louys à-compte (Luy dit mon Père, en Le voyant laver ét se reculoter: Vous reviendréz quad il vous plaîra". "Nous en étions à l'avantveille du Mariage. Tous les matins, Guae m'avait alaitée, ou plütôt affoutrée; ce qui M'avait rendu la peau plüs blanche, le teint plüs brìllant, le Con plüs satiné, ét me donnait un temperament si violent, que je n'étais à Mon aise, qu'un VIT au CON. Le Jeunehomme dit, en dejeûnant: "Guae doit être surpris de ne pas Me revoir! Cela pourrait faire tort dans son idée, au Con de ma belle Fouteuse: Ainsi, je veux Luy acheter la première nuit de sa Mariée, puisque l'impayable Agnès veut absolument l'épouser. (Je le Luy avàis dit, en foutant). Mon Père applaudit. Mais en Me reconduisant chéz Guae, que j'alàis teter, ce bon Père ajouta: "Tu n'ês pas une Mariée ordinaire: ce qui éteindràit la soìf d'Une-autre, n'êt qu'une goutte de foutre, pour Toy: J'ai une idée, C'ést de M'arranger à Te regaler, aprèsdemain, en Te Le fesant mettre jusqu'à extinction de forces, par Tous-ceux qui T'ont foutue; Moy dàbord; Ton Oncle; Ton Procureur; le Frère de Ta Marchande, ét peutêtre son Mary: S'il se trouve quelques nouveaux Bougres, ils T'enculeront, sous prétexte de reserver Ton Pucelage à Ton Epoux: c'êst un delice que d'enculer une Mariée, le jour de ses noces, ét ils le pàyeront bién. Je M'arrangerai avec Guae pour tout-cela". Nous arrivions. J'embrassai mon Père transportée de reconnaissance, en Le priant de tâcher de Me suivre secrêtement, pour Me voir teter. J'entrai, puìs je L'introduisis. "Guae courut à Moy, en se deculotant. Il Me baisa dabord pied, jambe, cùl, con ét Tetons: Il Me fit ensuite Luy darder ma langue; àprês quoy, il Me mit son Vit en main. Je Le secouais vivement, lorsqu'il Me dit: "Garse, je suis raisonnable: Je ne T'enconne pas; il faut que Ton Père ét Ton Oncle te foutent le jour du Mariage: Je T'aurai ensuite, pour la nuit, trois vits frais, dont celuy qui T'a depucelée sera Un... Hâ! l'idée que Ton Père T'enconne va Me faire Te decharger une pinte de foutre, ét Te l'entonner dans le gosiér"... Alons, Garse, je sens que ça viént: embouche-Moi le Vit... Hâ-hâ-hâ... le Bou...ougre fout... sa Fille... Ton Père Te fout, Garse! Te fout, Putain... Hâ! je decharge, à cette divine Idée!... Hónh"!... Il se pâma presque... Pendant l'interruption forcée, j'alai prendre Mon Père à sa cachette: "Fous-Moy, Luy dis-je; puisqu'il le faut pour le bonheur de Mon chër Prétendu! "Hâ! Deesse! (s'écria Guae, en se précipìtant à genoux, Tu incestue pour Moy! je T'adorerai toute ma vie"... Il intromit le vit paternel. Remue du cùl! (Me criàit-il), saccade! "Je de..cha..arge (Luy dis-je)... Viéns, chër Amy.. que je Te branle"? Guae blasphêmaìt de plaisir, en sentant venir le foutre... Il M'emboucha, sans que Mon Père me quittât, ét en-même.temps, j'avalai du foutre, j'en reçus dans le Con, ét j'en donnai. Mon Père Me foutit quatre coups, èt Guae M'avàit embouchée quatre fois, quand On frappa. Guae courut ouvrir, tandis que je Me rinçaìs bouche ét con. C'était mon Oncle. "Vous arrivéz à point (Luy dit-il): On essàye Ma Future, ét vous aléz L'essàyer". Mon Père expliqua la chose; Guae Me renversa sur le foutoir, ét mon Oncle M'enconna. Il Me foutit six coups, je tetai six nouvelles foìs le VIT de Guae; aprês quoy, On Me làîssa respirer. Il fut ensuite convenu, que douze Fouteurs me passeràìent sur le corps le jour de mon Mariage, en con ou en cùl, à mon choix, ét que Guae, qui seul auràìt la bouche, Me feràit foutre la nuit, ét dans l'obscurité, par trois VITS nouveaux de son choix. Mon Oncle emerveillé, s'écria: "Mais elle sera Putain? "C'êst ce qu'il Me faut, pour que je l'adore.... Et ne vous en faîtes faute, ny son Père, ny vous; puisque vous seréz les seuls qui ne payeréz pas". En achevant ces Mots, il se prosterna devant Moy, en Me traîtant de Deesse. "Je retournai chéz ma Marchande. Son Mary, ét elle-même Me tourmentaient, pour que le Premiér M'eût une seule foìs avant Mariage. Ils Me pressèrent plüs fort que jamaîs; ét je cédai. La Femme Me mit dans le con le VIT de son Mary. Je ne fus foutue qu'une fois, cet Homme étant faible, ét sa Femme le voulant être après Moy. Ce fut de ma main, qu'elle regut dans son Con brûlant le VIT Marital..... Cette operation faite, ét repetée, je Les quittais, en Leur disant Adieu. Ils pleuraient: "Ce qui Me console de ta perte (Me disait ma Marchande), c'est que mon chër Mary T'a foutue... Ta voluptueuse idée Me lé fera mettre plüs souvent". Je partais, quand le Frère entra. Sa Soeur Luy dit ce qui venait de se passer. Il ne repondit rién: Mais il Me ramena du-côté du Lit, M'y renversa, ét Me foutit devant eux, sans prononcer une parole. Il voulait Me recomencer. Je M'y refusai, en L'invitant, ainsi que son Beaufrère, à venir Me le mettre le surlendemain jour de mon Mariage. On Me remercia. XXXVI Chapitre. Chap. De l'Homme-Poilu, la Convelouté, Linars &c. "A mon arrivée chéz mon Père, je Luy con-racontai Tout ce que je venais de faire. "Il ne faut pas (Me dit-il), quand On a tant d'ouvrage pàyé, en faire qui ne rapporte rién. Il viént de M'arriver Un Homme d'asséz agreable figure, três-vigoureux, car il êst brun ét tout poilu, qui offre une forte somme, pour t'avoir cette Nuyt? "Que rién ne vous empêche de Le prendre! (repondis-je en souriant): Je ne suis pas fatiguée par si peu de chose". "Mon Père rassuré Me fit deshabiller nue, prendre un bain tiéde, puis un froid, mettre au Lit, avec une chemise large; Me fit avaler un excellent consommé: ensuite il Me laissa dormir. Il était àlors 5 heures du soir. A minuit, je M'éveillai, en Me sentant lècher le con. Je priai l'Homme de se montrer? Il leva la tète, et je vis un Basané d'une fort belle figure. Je souris. Il Me suça les Térons, en Me disant des choses agreables: "Vous avéz un beau Con... une superbe Motte... un Ventre de Pucelle... un Cùl d'albâtre... des Tétons blancs comme neige.... un col degagé... des lêvres voluptueuses... de belles dents... les plüs beaux ieux... les cils, les sourcils ét les cheveux comme la Deesse de la Beauté... la jambe parfaite... le pied le mieux fait... Quand je vous aurai foutue, je vous dirai le reste". "Mon Père Me dit de Me lever pour souper. Le Basané Me porta toute-nue dans ses bras auprês du feu: Là, je vis Guae avec grande surprise! Je mis mon corpset souple; Fysitère (le Basané) Me laça, Me priant de bién faire refluer mes Tetons. Mon Père Me chaussa une Jambe ét un Piéd, Guae l'autre Jambe ét l'autre Piéd, en bas ét en solliérs de soye d'une éblouissante blancheur. On se mit à table. Mon Fouteur voulut que je restasse les Tetons decouverts. Nous soupâmes. J'avaís appêtit, Le Basané but ét mangea comme Un Hercule. En sortant de table, il dit à mon Père ét à mon Futur: "Vous ne M'avéz pas trompé; Elle êst audessus de vos éloges. Sí l'interieur du Con ressemble à l'exterieur, Elle êst à Moy, coûte qui coûte. "Voyons votre Vit (repondit Guae).... Elle ne sera que trop parfaite!... Voici le mién; ét vous savez que je n'ai pu l'enconner, puisque c'êst ce qui vous a fait parler à M. Convelouté mon beaupère. "Je verrai si Elle a le merite de ce beau nom... Mais vous avéz un Vit épouvantable, M. Guae!... Empoignéz-le, la Belle, que je voye comme il êst bién bandant"? Je saisis le Vit de Guae, qui se recria de plaisir... "Je bande (reprit Fysitère): Mais faites bander votre Père, ét comparons". Je Luy prîs cependant le Membre, qui grossit en le serrant dans ma main. On compara ensuite. Guae l'avait le triple de l'Homme-velu, qui Luy-même était le double de mon Père. "Je voudrais Luy dire un mot"? (demanda Guae furieux de luxure). Il Me poussa vërs une fenêtre. Me cacha derrière le rideau, et me dechargea dans la bouche. Mon Pére seul devina ce que Guae venait de me faire. Pour Moy, je fus singulièrement fortifiée par cette bavaroise! Je brûlais... Aussi, je fus ravîe, lorsque Fysitère dit: "Il faut dabord que je la foute habillée". Il Me porta sur le piéd du Lit, ôta ses culores, ét nous laissa voir un corps velu, comme celuy d'un Singe. Il me fit Luy prendre son braquemart, ét Me dit: "Introduis-moi cela dans le trou de ton con, ét tève du cùl come il faut, à chaque fois que je pousserai". Je M'enconnai. Aussitôt il poussa. Je fis un cri: car il Me dechirait, étant plüs gros que mon Oncle, ét que tous les vits qui M'avaient foutue. "Ce n'est rién (Me disait-il): je te deflore... je te depucèle: Remue du cùl". Je remuais de mon mieux, tout en soupirant, ét Luy rendant en coups de cùl, tous ses coups de vits. Il parvint au fond. Mes trompes Luy pincèrent la tête du gland. Il heurla de volupté. "Garse adorable! (s'écriait-il), ton Con satiné pince le vit! Ta fortune est faite, ainsi que celle de ton Père ét du Futur, qui t'ont vendue à Moi!... Alons, fous bién"!... Je remuai, je tortillai du cùl, je soubresautai, de la manière dont Me le disaient mon Père, ét Guae Luy-même. "Je suis ravi! (s'écriait le Basané): Elle decharge!... Hâ! Elle me fera un petit Bougre-à-queûe!.... Il dit à mon Futur: "Viens-ça, Jean-foutre: Passe-moi la main sous le croupion, ét chatòuille-moi d'une main ce que tu y trouveras, ét les couiiles de l'autre"? Guae obéït. J'ai su depuis qu'au croupion, le Basané avait une queûe, de la même forme qu'un vit, mais velue comme son corps, ét que ce fut cette queûe que mon Futur chatouilla).... "Je ne quite pas d'une heure ce con celeste! (disait l'Homme-à-queûe, en Me saccadant): chatouille, chatouille, Bougre! les couilles ét ma queûe"! Il dechargea six fois, sans deconner... Je demandai àlors à laver. Mon Futur M'épongea le con, ét Me le baisa, en l'appelant Con d'Or. Mon Père Me suça les Tetons. Guae dit au Basané: "Elle êst à vous: Mais je bande comme un Carme: permettéz que je L'encule?... "L'enculer, non; c'êst du foutre perdu. Encore moins l'enconner; je veux qu'Elle Me fasse un Petit-à-queûe: Mais si Elle avalait le foutre, comme j'ai vu certaines Femmes temperamenteuses, je consentirais que tu l'embouchasses". A ce mot, je saisis le Vit de mon Futur, ét je l'aurais avalé, s'il n'avait pas eté si gros. Il me dechargea au fond du gosiér, en rugissant, ét le foutre Me descendit bouillonnant dans l'estomac. "Hâ! Elle aime le foutre! (s'écria le Basane); Elle a toutes les perfections!... Et Elle sera aussi longtemps belle, que feconde!..... Alons, Papa, embouche-la aussi: De tous les foutres, le paternel est le meilleur". Je Me jetai sur mon Père, Le renversai sur le Lit, saisit son vit bandant, que je fis aler ét venir dans ma bouche, jusqu'à ce qu'il dechargeât. Je suçai son foutre avec delices... "Bon! (s'écria le Poilu); Elle est dans les bons principes; Elle est impayable"! Le Basané Me deshabillait, Me dechaussait: Mon Père ét Guae Luy aîdaient. Je fus mise nue, patinée, baisée du haut-en-bas, tandis que je Me rinçais la bouche: On Me passa la grande chemise; l'Homme-à-queûe velu ét tout-nu, y entra, Me suça les Tetons, Me fit Luy darder la Langue, puis dit à mon Futur de Luy intromettre le vit dans mon Con. "Le Basané Me foutit six nouveaux coups, sans deconner. Je Me sentis fatiguée: Je voulus laver. Je restai une heure sur le bidet le Con dans l'eau. Le Basané qui, pendant tout ce emps-là s'était amusé à faire bander Guae, ét à Luy faire Me decharger trois fois dans la bouche, M'appela, en Me disant: "Tu es asséz rafraîchie; reviéns sur le foutoir, que je te donne le bouquet"? Il se le fit introduire par mon Père; qui Me dit: "Courage, mon Enfant! Voicy un Fouteur qui en vaut dix: Mais je tâcherai de Te faire soulager, si cela continue". Je fus encore foutue six fois; mais avec tant de véhémence, que je n'en pouvais plus. Sur ma plainte, le Basané dit, que le bouquet etait te double des autres assauts. "Hé! combién donc l'aléz-vous foutre de coups? (Luy demanda mon Père). "Vingtquatre est ma dose. "C'êt trop, ét Elle ne ferait pas d'Enfans: Elle a une Cadete, aussi jolie que l'Aînée est belle; je vous La donnerai, pour soulager sa Soeur? "Je l'accepte! (s'écria Fysitère): Et il m'en faudra bién d'Autres! car je ne les fout plus, dês qu'Elles sont plèínes, ni pendant qu'Elles alaitent leurs petits. La jeune Garse est-elle là? (Or il Me foutait toujours).. "Non: Vous ne pouvéz l'avoir que demain-soir. "En ce cas, j'achève de foutre Celle-ci mes 24 coups: Je déconne; qu'elle lave; Elle n'en a plus que cinq. Si son Futur se trouve en état, qu'il luy donne à teter du foutre cela la fortifiera"? Aussitôt Guae M'apporta ses couilles à chatouiller, ét son Vit à branler. Je M'en aquittai si bién, qu'il hennit aubout de quelques minutes, ét qu'à-peine eüs-je embouché son Vit, qu'Il dechargea, en sacrant. "Elle a toutes les qualités... Elle est parfaite! (s'écriait le Poilu, en Me re-enconnant): Si sa petite Soeur la vaut, ce sont deux connins impayables"! Il acheva de Me foutre cinq foîs, sans deconner. Je puis Me rendre le temoignage, que je dechargeai, à chaque assaut, plütôt deux ét trois-fois qu'une: Aussi Fysitère en était-il émerveillé! ét Me nommait-il la seule Fouteuse digne de luy. Mon Père Luy dit alors: "Cé ne sera pas encore asséz de ma Cadete: Mais j'ai votre affaire: Il Me reste une Nièce Religieuse, qui a des vapeurs hysteriques; je vous La donnerai, pour reposer mes Filles? "Je leur ferai à Toutes-trois 12 mille francs de rentes (repondit le Basané). Amenéz-les moi chaque soir, demain excepté, que j'ai à fourgonner une grande Blonde, qui a ouì parler de moy, ét qui veut en tâter. Il s'en-ala. "Cette scêne changea tous nos projets. Je dormis jusqu'à midy, qu'On M'habilla. Je fus mariée à une heure. La noce fut gaye. Ma Soeur y était, ainsi que ma Cousine la Carmelite hysterique, mon Père ayant trouvé le secret de l'avoir, au moyén d'une permission de prendre les Eaux, qu'Il sollicitait depuis long-temps. J'eüs reellement pitié du Connichon de ma Soeur Doucette, ét je resolus de le voir dans la journée. Mon Père Me le montra, ét le gamahucha devant Moy, en allegant le motif de prévenir une maladie. Hâ! qu'il étaît mignon!... Je l'aurais gamahuché, à mon tour. sans ma coîfure d'Epousée, car son joly petit Foutre virginal Me tentait... Notre Père La prévint qu'il falait qu'Elle Me soulageât la nuit de mes noces, ét l'aimable Enfant y consentit avec naïveté. Je vis aussi le Con de ma Cousine la Carmelite, ou la belle Victoire-Londò. Il n'était pas si mignon, mais il avait une superbe perruque noire. Elle entra en fureur érotique dês qu'On le Luy eüt touché du bout du doigt, ét mon pauvre Père fut obligé de le Luy mettre devant ma Soeur, ét devant Moy. Ce qui ne La calma que pour un instant. Nous appelames mon Oncle, qui La foutit trois fois. Puis le Jeunehomme fut introduit. Ensuite le Procureur. Tous ceux qui devaient Me le mettre ce jour-là. Les Enculeurs vinrent aprês. Elle fut foutue, refoutue, enculée, re-enculée, ét calmée. Mais On n'appela pas M. Guae; j'en étais jalouse... Pendant ce temps-là, mon Père branlait ma Soeur; l'enculage de la Religieuse Le fit entrer dans une telle érection, qu'il La poussa dans un cabinet, où je Les suìvis, La renversa, et La depucela. J'insérai le vit paternel dans le joly Connin, en disant à Doucète, que c'était une ponction necessaire. "On lavait la Religieuse. M'étant aperçue que Guae la convoitait, je Luy temoignai une jalousie qui le flata. Il Me promit de reserver son foutre azuré, ét son gros Vit pour ma bouche, en attendant que les Enfans M'eüssent élargi le Con. "Mais vous m'aviéz vendue )Luy dis-je), avant de m'avoir livrée à l'Homme velu, pour être foutue ét enculée ma nuit des noces: Combién de Fouteurs ét d'Enculeurs devais-je avoir? "Six, à 2 mille écus chaqu'un. "Vous voyéz que je n'ai besoin que de repos: Mais il ne faut pas manquer une aussi jolie somme: Vous avéz demandé le silence ét l'obscurité? "Ouy, ma Reyne adorée: Je ne me suis engagé qu'à te faire voir toute-nue sans chemise, comme en jouant avec Toy, nu aussi, dans la chambre. Au-reste, le silence ét l'obscurité sant essenciels, puisqu'ils eüssent passé pour Moy. Les six Bougres placés chaqu'un dans une chambre separée, devaient répàître leurs regards de tes charmes, ét t'esperer chaqu'un comme possesseur unique, à un signal donné. "Tout-cela se fera. Je serai remplacée par 3 Persones. Nous donnerons le plüs delicat ét le plüs petit vit à ma Soeur: Le plüs vigoureux ét le plüs brutal à la Carmelite: Je vaîs vous avoir ma Marchande, qui ne demandera pas mieux que d'être foutue, sans être compromise. Vous arrangeréz tout, pour qu'elles reçóivent chaqu'une deux Hommes; ce qui sera d'autant plüs facile, que vous n'auréz que les Hommes à tromper: ce qui sera facile". Guae admira mon entente ét mon économie! Il Me promit une soumission entière à mes ordres, ét Me demanda la permission d'appeler ma Soeur, ou la Religieuse, pour Le branler. Je Les appelai Toutes-deux. Je dis à la Carmelite, en Luy decouvrant les Tetons, de prendre le Vit ét les couilles de mon Mary. Je mis ensuite ma Soeur en position, troussée jusqu'audessus des reins, ét comme Elle avait le plüs joly cùl du monde, Elle montra le derrière. Je Me mis à côté d'Elle, troussé de-méme, je montrai le devant. Guae chatouillé par une main douce, ét jouissant d'une triple perspective aussi belle, en y comprenant la superbe gorge de la Religieuse, ne tarda pas à hennir de plaisir. Biéntôt il entra en fureur, ét il alait enconner la Religieuse, si je ne Luy avais sauté sur le Vit, que j'embouchai. Il Me dechargea dans le gosiér, en rugissant. Nous sortimes Tous-quatre, pour aler danser, ét ma Soeur, ma Cousine ét Moy nous fumes reçues avec transport. "Mes 6 Fouteurs pour la nuit suivante, étaient de la noce: Guae qui se fût bién gardé de Me Les montrer, si j'avais dû Les avoir, s'en fit une fête, quand ce furent d'Autres qu'On Leur alait livrer. Il Me Les designa. C'étaient 6 Monstres de laìdeur. Guae trouva le moyén de Les faire mettre nue successivement dans une Pièce isolée, sous le prétexte de Les froter d'un baume fortifiant. Le Premiér était un squelete decharné, ayant le vit comme mon Père. Il avait un long néz qui touchalt à son menton, les joues creuses, l'oeil vif, des verrues noires sur le corps. Je te reservai pour ma Soeur, à-cause de son vit, n'esperant pas mieux. Il se nommait Widewit. "Le Second était un gros petit Homme, três-ventru, ayant le vit de mon Oncle, la peau comme une Ecrevice cuite, pour néz une grosse bèterave, de gros sourcils gris, une bouche évasée, ét les lèvres hâlées, gersées des gros Mangeurs. Ce fut le second de Doucette, si je ne trouvais pas mieux. On l'appelait en russe Wiwitencoff de-la-Cowilardière. "Le Troisième était fait come un Héron ét un Dromadaire: Il était juché sur de longues jambes sans mollets; il portait sur ses épaules une colline en cône aigü; son visage était noir ét sec; ses cuisses grêles n'étaient distinguées de ses jambes que par d'énorme genoux: Tout ce qui manquait à ces parties se retrouvait dans son Vit, plüs gros que celui de notre Homme-à-queûe, ét moins que le double Wit de Gwae. Je destinai Towtenwit à ma Marchande, qui était chaude, large ét sterile. "Le Quatrième etait un gros Marchand de bléd, aussi large que haut, tout noir, tout bourgeanné, ayant quelques livres de cowilles, ét un vit trèslong, gros comme celui de mon Oncle. Je destinai Witplongeardow à ma Cousine, à-cause de ses couilles. "Le Cinquième avait le visage de la teinte d'un ventre de Crapaud, la tête monstrueuse, le ventre de Desessarts, le vit come Gwae (il devait m'enculer, de convention faite): Son regard était affreux, sa bouche degoûtante, ét son néz encore plûs: Witcrwel fut voué au large Con de ma Marchande. "Le sixième ét derniér était grand, voûté, noir, bancroche, roux, chassieux; il avait un wit à bourelet, tant il était long; aussi en avait-il apporté un, qu'il devait écarter, pour m'enculer. Perceawant fut le second de mon ardente Cousine. "Le soir arrivé, l'On Me mit au Lit, ét chaqu'un des six Monstres crut qu'il alait avoir le plaisir d'être mon bourreau. Guae Me conduisit dans la chambre nuptiale, ét parut Me mettre au Lit: Mais il nous disrribua dans quatre Pieces, ét les lumières furent exactement retirées. Quant à Moy, j'étàis restée debout, fesaut à chaqu'une des Lieutenantes de mon Con, le portrait ét l'éloge du beau Jeunehomme qu'elles alaient presser dans leurs bras. Je me croyais obligée en conscience de Leur donner des plaìsirs imaginaires, à defaut de la realité. "Ma Toute-belle! (dis-je à ma Soeur), avec quel plaisir tu me sacrifierais ton repos, si tu voyais le jeunehomme charmant, qui doit froisser. tes appas? C'est un Sylphe; c'est un Amour"..... J'alai ensuite à la Religieuse: "Tu vas sentir le difference de la couchète de ta cellule, au lit d'un Nouvelle-mariée, ma chaude Cousine: Un Bel-homme, un gros vit... Crie, mais ne parle pas, puisque tu vas passer pour Moy"... Je me rendis ensuite auprês de ma Marchande; "Vous aléz être rassasiée de ce que vous aiméz tant, mon aimable Maitresse: Un Jeunehomme superbe, ét... peutètre deux, qui me desirent avèc emportement, vont me le mettre dans votre Con brûlant, jusqu'à-extinction de forces. Les Vits sont gros! ainsi faites-vous pomader comme une Pucelle, ét remuéz du cùl, pour avaler plüs vîte ces énormes morceaux"... Ma Marchande me remercia, en me priant de La mettre promptement aux prises. Je courus Luy chercher Toutenwit, le Troisiême... Mais je vais mettre de l'ordre dans mes recits. "Guae m'attendait. Dês que je parus, il me fit parler, ét conduisit par la main Wìdewit, le premiér Monstre, auprês de ma Soeur. "Mon chër Mary (dis-je doucement, la tête appuyée sur l'oreiller de Celle-cy), menagéz-moy? "Oui, oui; mais ne parle pas: j'ai decouvert que toute la Noce nous écoutait, à-cause de mon gros Vit"..... Durant ce court Dialogue, Witdewit, deshabillé d'avance, fourageait deja ma Soeur. Guae par mes ordres, prit ensuite Witplongeardow le Quatriême, ét Le conduisit, avec les mêmes précautions, auprês de la Religieuse: Je parlai sur son oreillér... Towtenwit le Troisiême, fut le lot de ma Marchande. Les 3 Autres avaient rendéz-vous quelques heures plütard.. Il faut à-présent donner chaque scêne particulière, en 6 Tableaux de la NUIT DE LA MARIEE XXXVII Chapitre. Chap. Des six Fouteurs pour troìs Foutues. "Hâpée par le Monstre, Qu'elle croyait un Ange, ma timide Soeur soupirait. J'entendais qu'On la gamahuchait, qu'elle dechargeait. "Je me meurs! (murmura-t-elle). "Comme tu as la voix douce, belle Mariée! (luy dit Widewit bién bas). Et aussitôt il grimpa sur elle, ét l'enconna. La pauvre Petite, quoique depucelée, fit un cri! Je parlai pour la deguiser. Le vieux Monstre la menageait ét la caressait. Elle le secondait de tout son pouvoir, ét redechargea. Grâces à moi, elle avait lé même plaisir que si elle eût foutu avec Un beau Garson.... La voyant bién enfilée, j'alai à la Religieuse. "Witplongeardow s'était avisé de ne pas mettre son bourrelet: je m'en doutai aux gemissemens de la pauvre Martyre. Je le dis à Guae, qui le desarçonna, ét luy donva quelquec soufflets. J'entendis qu'il luy disait bién bas: "Bougre! vas-tu m'estropier ma Femme? Ton bovrrelet"? Le Fouteur le prit, ét la Foutue n'eüt plus que du plaisir. "Je courus à ma Marchande, que Toutenwit ne pouvait enconner par maladresse. Je mis la tête sur l'oreillér, ét je dis en soupirant: "Priéz donc mon Père de vous l'introduire"?... Guae, qui me suivait doucement, vint faire l'intromission, ét tout ala bién. "Chaqu'une des 3 Belles fut foutue deux-fois en con. Ensuite, comme de-concert, les 3 Bougres retournérent la medaille. Toutes-trois avaient leur pucelage de cùl. Ma Marchande crut qu'On alait le luy mettre en levrette; mais les deux Autres ne s'attendaient à rién. On leur perça le cùl à toutes-trois au même instant, ét elles s'écrièrent, malgré la defense, toutes-à-la-fois: DOUC. Hô le fondement! LA RELIG. Hô l'anus! LA MARCH. Hô le tròu du cùl!... On n'y fit pas attention. Heureusement ma Soeur avait le cùl large; elle souffrit moins. Quant à la Religieuse, que Witplongeardow enculait sans bourrelet, elle avait une aune de vit dans ses entrailles, ét elle sentait celui de son Enculeur luy chatouiller le nombril. Elle souffrait beaucoup de son farfouillage; car il retirait ét reenfonçait brutalement. Elle n'éüt de plaisir qu'à la decharge, par la douce chaleur du foutre, qui luy onctua le gros boyau. Ma Marchande était la plüs maltraitée par Towtenwit. Elle avait le trou-du-cùl aussi étroit, qu'elle avait le Con large: le Vit enorme la pourfendait. Elle jurait entre ses dents. Enfin la decharge l'abreuva, et elle fut soulagée. "Les 3 Vieillards en avaient autant qu'il leur en falait. Guae vint les faire retirer, de-sorte qu'ils ne se rencontrassent pas... On étuva les 3 cons ét les 3 cùls: On fit les lîts, On changea les draps, recoucha la triple Mariée, ét Guae introduisit les trois nouveaux Acteurs. "Il ala chercher Wiwitencoff, que je mis dans les bras ét sur le ventre de ma Soeur. Un peu agguerrie, elle caresse tendrement le Monstre, qui l'enconna, le vit introduit par Guae, qui profita de l'occasion, pour patiner ma Soeur, ét la chatouiller. Ce qui fit tellement tressaillir la pauvre Petite, que son Fouteur s'ecria, croyant parler à moi: "Hâ! que tu es putain"!... Voyant Guae acharné sur ma Soeur, j'întroduisais les deux Autres. Je donnais Perceawant à la Religieuse, ét j'eüs soin qu'il eût son bourrelet. "Voilà une main bién douce qui me touche", dit-il en voulant saisir la miénne); mais j'échappai. "Remue du cùl, Bougresse, (disait-il à sa Monture); je te tiéns, je suis dans ton con; ainsi tu ne saurais m'échaper. Je ne suis pas ton Mary; j'ai payé pour coucher avec toy, ét te depuceler; ainsi tu es ma Putain. Fous, Garse, ét remue du cul; j'ai payé pour ça".... Guae l'entendit. Il vint à luy, le saisit à l'étouffer. "Tu manques à nos conventions! (luy dìt-il); je ne les tiéndrai pas non-plûs: fous-moy le camp, Malhonnête-homme! "Ouy; mais quand je l'aurai enculée". Et il encula la Carmelite, malgré les coups de poing dont Guae le gourmait. La Religieuse, poussait dés cris horribles... J'étais aupres de ma Marchande, que j'accouplais avec le gros Witerwel. Il ne devait qu'enculer: mais la chaude Coquine se dirigea elle-même le vit dans le con. "Tu n'es donc pas pucelle, Garse, crut-il me dire, que tu connais si bién la route des vits?... Alons, fous, Putain, ét comme il faut! j'ay payé ton Maquereau de Mary"! Comme elle ripostait bién, il alait disant: "Hô! elle est putain! elle est putain! j'ay le reste des autres"! Et tout en dechargeant, il la pinça, la souffleta. Elle se recria! "En bouche, sacree Putain? (dit-il en deconnant); ét tu avaleras mon foutre; sans quoy je t'assomme"! Guae, qui venait de laisser enculer la Carmelite, ét de chasser son brutal Fouteur, entendit le grabuge; il accourut, apostropha le sale Bougre d'un violent coup de poing, en luy disant: "Lave-toy donc au-moins, sacré Mâtin, avant de l'emboucher! Je ne l'embouche jamais que je ne me sois lavé le vit à l'eau-rose, ét que je ne l'aye ensuite trempé dans du lait. Execrable Bougre! vray Desades, tu veux luy faire soulever le coeur?... Mais tu as manqué aux conditions; tu ne merites plus de l'avoir. "Voila cent louys... "Ils seront pour elle. Lave-toy... Voilà de l'eau-rose... Voicy du lait..... Alons, souffre, m'Amie: Voilà tes cent louys". Le vieux Reître, cru Un beau Jeunehomme, emhoucha, encula, entetonna tant qu'il voulut. "Hâ que tu es putain, sacrée Chiénne"! (repetait-il).... Guae se mourait d'envie de luy montrer qu'il ne m'avait pas eüe. En le mettant à ta porte, il me fit trouver sur son passage toute-habillée. Ce fut comme une vision; car je m'enfuis. "Hâ je suis fait! (s'ecria le Monstre): le Scelerat m'a donné une Putain, aulieu de sa Femme"!... Et il jura, sacra.... Quant à moy, pendant ces scènes, j'assistais à la fouterie de ma jeune Soeur. La pauvre Petite fut enconnée, embouchée, enculée comme les Autres, par son Adorè Witwitencoff de-la-Cowillardière, qui ala jusqu'à extinction de forces. Il m'adorait. Ce qui le tua, c'est que, lorsqu'i se sentait épuisé, il se fesait sucer le vit bien approprié à l'eau-chaude, et baiser les couilles par sa jolie Monture. Il luy mettait encore couilles èt vit sur le cùl ou les tetons: Puis il se fesait donner au gland un suçon. Il bandait alors, ét enculait. Au derniér culetage, il eüt un priapisme, et crut ne faire que bander. Il fourgonna dans le cùl de ma Soeur jusqu'à ce qu'il s'évanouît. J'appelai Guae, qui la decula, en enlevant son Enculeur. On le porta évanoni dans sa voiture. Arrivé chéz Luy, des cordiaux, que demanda Guae, ranimèrent le vieuu Libertin: "Hâ! (s'écria-t-il), je vis encore! je voulais mourir dans son cùl!.... je bande encore... Qu'On me La rende... que je L'enfile... ét.. que... j'expire.".... Et il expira...... ["Hâ! la belle mort! (s'écria Traìtdamour ét toute la Compagnie en dit autant)... Mad. Guae acheva. "Voilà comme s'est passée la nuit de mon mariage. Gnae, à son retour, était furieux de Luxure: Il voulait toutes nous enculer, puis nous emboucher. On s'arrangea: Il m'emboucha; encula ma Soeur ét ma Cousine, enconna ma Marchande, qui en fut estropiée pour un mois, ét L'engrossa, deux choses qui L'empêchèrent d'être achetée par Fysitére. Pour Guae, je suis sa Maîtresse, ét son gros Vit me fortifie par son foutre qui me nourrit. Je serai enconnée par Luy, de convention faite avec Fysitère, apres mon douzième Enfant. XXXVIII Chapitre. Chap. De la Conclusion de l'Histoire des 3 Garses. "Persone ne sait comment l'Homme-caud decouvrit que Guae avait vendu la première nuit de ses noces. Il arriva furieux. Il me demanda. J'étais au Lit. Ce fut la reponse de Guae. "Je le crois! (repondit Fysitère), ét Un Homme est mort d'épuisement dans ses bras. "Elle a vaqué toute la nuit: mais c'est pour autre chose: Sa Cousine la Religieuse ayant été un-peu courtisée dans le jour, ses vapeurs hysteriques l'ont reprise la nuit, par un rêve, où elle croyait être foutue. J'ai été appelé. N'ayant pu l'enconner, je l'ai enculée. "Je me fous de son cùl: Mais si Tu l'avait enconnée. "Quant à ma Femme. elle dort; ét vous pouvéz voir à la fraîcheur de son con ét de son cùl, que je ne luy ai pas touché. "Voyons dabord la Carmelite? "Elle dort aussi". Ils y alèrent. Guae la decouvrit, sans l'éveiller. Elle etait couchée sur le côté, ne pouvant se tenir sur le dos, à-cause de son cùl, qui luy fesait mal. Elle l'avait en marmelade. "Comme Tu les accomodes!... Et le con?.... Il n'êst pas si maltraité... "Je l'ai un-peu fatiguée par mes inutiles efforts; ét-puis elle s'êst branlée. "Voyons la Mariée"?... Ils vinrent à Moy. On sait que je me repucelais par le bain, ét un-peu de repos. Mon con ét mon cùl furent trouvés si appêtissans, si jolis, que Fysitère les baisa tous-deux. Puis Il signifia au cupide Guae qu'il avait un logement cloîtré, pour nous sequestrer, pendant tout le temps que nous Luy ferions des Enfans, Moy, ma Soeur, ét ma Cousine. Il ne vit Doucette qu'habillée! ét elle l'enchanta. Il nous emmena toutes-trois, en disant, que jusqu'à notre grossesse bién declarée, On ne nous verrait qu'à un parloir. "Fysitère êst extrêmement riche. Il donne 20-mille francs par an à Guae pour Moy, 40-mille à mon Père pour ma Soeur ét ma Cousine. Le soir, aprês un excellent soupér, il nous fit coucher Toutes-trois ensemble dans un large Lit, où il se mit avec nous. Il me foutit dabord. Puis ma Soeur. Ensuite la Carmelite, qui le fut deux-fois sans deconner. Il me reprìt. Puis ma Soeur. Bref, nous fumes ainsi foutues 8-fois chaqu'une dans la nuit. Ce qui fesait les 24 de Fysitère. Quand il en foutait Une, les deux Autres luy chatouillaient, Une la queûe du cùl, la Seconde les couilles. "Nous devinmes grosses Toutes-trois à-la-fois. Alors il nous declara, qu'il ne nous le mettrait plus qu'aprês nos coûches ét l'alaitement. Il vint icy. Il vous vit, Madame; il vous foutit. Il épousa votre Fille-Aînée, enconna les 5 Autres, fourbit vos deux Nièces, ramona la Bâtarde de votre Mary, viola vos 2 Chambrières, êt vous engrossa Toutes. Durant ce temps-là, nous accouchâmes, nous alaitâmes, nous nous trouvâmes libres, ét il nous refout. Tâchéz d'être libres aussi, quand nous serons prises afin qu'Il nous refoute alternativement. "Telle èst notre Histoire: voìlà ce que nous savons sur l'Homme à-queûe. J'ajoûterai seulement, que dans le temps où M. Fysitère ne nous l'a plus mis, nous àyant des desirs, nous avons eü recours à mon Père, à mon Oncle, à Guae, au Procureur, ét à mon premiér Galant, qui nous ont fourbies, Guae en bouche, les Autres en con. Cependant nous avons Toutes voulu avoir Guae, à la première douleur pour l'accouchement; son Vit, gros comme l'Enfant, frayait le passage, ét son foutre l'onctuaìt. "Après nos coûches, nous avons prié mon Père de nous choisir de jolis petits Garsons non pubères, mais bandans roide, pour nous ramoner le con: ces Enfans, dont les petits víts huilés entraient calotés, ne dechargeaient pas, ét cependant farfouillaient agreablement dans le connôt". Les 12 BELLES furent très-excitées par ce Recit, ét QUELQUES-UNES alèrent surlechamp ét successivement se faire ramoner par Fysitère, qui fut trés-étonné de cette boutade! Il se servit de ses 2 Queûes, en expediant ainsi 2 à-la-fois, Une dessous, Une dessus. Cette bourasque appaisée, Fysitère revint à ses Us ét coutûmes. Mais biéntôt ses 3 Coucheuses parurent enceintes. Il les pria, ainsi que Mad. Linars, de luy en procurer 3 ou 4 Autres, pour luy faire des Enfans, en attendant leur liberté? Mad. Guae seule en procura 3, Une Tetonnette, son Amie d'étant fille, ét deux Soeurs, Biénouverte, grande blonde, avec Dardenbauche, aimable ét vive brunette, três-caressante, dechargeant comme quatre. Tetonnette était Une de ces Brunes à peau blanche, qui ont toujours Une si belle gorge. Fysitère assura les 12-cents fr. de rentes à ces 3 Filles, se chargea de leur ample entretién durant tout le temps de leur fecondité, les fit coucher au grand Lit, ét les depucela 8 fois chaqu'une la première nuit. Il commença pàr Dardenbouche, là plüs jeune. Elle étàit si amoureuse, bién-que pucelle, qu'elle ripostà, dès le premiér coup de vit. Elle soutint les 8 Assauts de-suite avec Un couràge héroïque... Fysitère prit ensuite Biénouverte. Elle fut plüs modérée. Elle crià, quoique-peu étroite; pàrceque ne dechàrgeànt pàs dàbord, Elle ne s'humectait que fàiblement le Conin. Elle étàit pucelle neanmoins. Malgré sà langueur, elle fut foutue 8 fois, comme Dardenbòuche; Fysitère auràit eü peur d'en mortifier Une... Il prit ensuite la belle Tetonnette. Il l'enfilà plüs difficilement que Biénouverte: màis elle remuà si delicieusement du cùl, ses tetons étàient si appêtissans, Elle avàit le connin si étrait, qu'Elle donnà autant de plàisir que Dardenbouche.... Aprês les 24 Assauts, Fisitère làissà dormir. Le lendemain-màtin, 3 Valets-de-chàmbre entrèrent, pour lui demànder ses ordres? Il s'éveillà; màis il feignit de dormir, là bouche sur là gorge de Tetonnette, ét une màin sur les Tetons de chàqu'une des 2 Autres. "Voilà Un Bougre biénheureux! (dit Un des Vàlets). "Oui"! (repondit Un-Autre). Et ils se mirent Tous-trois à se brànler. Alors FYSITERE feignànt de s'éveiller, leur dit: "Je vous ai entendus, Jean-foutres: Vous ne les enconneréz pàs; je veux qu'elles ne soient grosses que de Moy: màis tournez-les sur le ventre, et m'en enculéz Une chaqu'un". Il n'avàit pàs achevé, que les 3 Belles poussèrent un cri simultàné, causé pàr les 3 vits, qui leur entràient dàns le cùl. FYSITERE les exhorta à là pàtience, pàr l'idée d'une bonne oeUVRE; il les assurà que ces 2 Hommes alàient dechàrger pàr tèrre. Elles se rendirent à cette Ràison, ét cùletèrent à Quî mieux mieux. Explicit L'HOMME-A-QUEUE. A cette longue Histoire, Tous & Toutes se recrièrent: -- Nous ne sommes que de la Saint- Jean, auprês de ces Fouteurs & de ces Fouteuses-là! Que ne sommes-nous à demain-! -- N'aléz pas vous branler, Bougres! (leur dis-je). -- Nous nous en garderons bién! notre foutre n'est pas à nous; il est à nos Belles. Qui était étonné de nous entendre parler ainsi devant ma Fille, c'étaient Brideconnin & sa Femme... Mais ils en verront bién d'autres. SUJETS DES ESTAMPES. I. Cupidonet, & Jenovefette. L'Adolescente à quatre, troussée, ét le jeune Cupidonnet à-genoux, la couvrant cynîquement, tâchant de l'enfiler. Elle se cambre les reins, pour être atteinte: "Hausse, hausse le cul". p. 5 II. Cupidonnet, & le Con soyeux. Cupidonnet sur Madelène, âgee de díx-sept ans, dont il lèche le con poilu: Elle est sur le dos, les jambes ecartees, et se prête en poussant sur la bouche de son jeune Frère, qui la gamahuche. "Darde ta langue dedans, chër petit Ami". p. 9 III. La Mère foutue. Cupidonnet enconnnant une Femme de quarante ans, au lit, les draps à-terre: Il enconne pour la prémière-fois, et parait se pâmer. La Femme: "Jamàis... jamais... vous ne m'avez donné tant de pláisir". p. 12 IV. Cupidonnet, & la belle Marie. Cupidonnet evanoui, le vit en l'air après avoir decharge dans le con de sa Soeur la belle, mariée à Paris, & parée, un-jour de Vierge, Marie detetonnée, & con & cul visibles. Elle dit: "Hâ.. Grand-Dieu.. c'est Cupidonnet." p. 16 V. Cupidonnnet, & l'Orlogère. Cupidonnet au lit, sans couvertures ni draps, foutant la belle O logère, à laquelle son Mari, couché de l'autre côte d'elle, dit: "Courage, ma Femme.. hausse le cul". p. 20 VI. Cupidonnet, avec sa Femme le cul decouvert. 20 Il est appele par sa Femme debout, mais courbée sur un lit, troussee audessus des reins, & montrant le plùs beau cul: Il court à elle, le vit bandant. "Si j'ai la verole (pense-t-elle), fous-moi en cul". VII. Cupidonnet, & Conquette. Cupidonnet gamahuchant Conquette la nuit, sa lampe sur un garde-sel: Elle est à-découvert, & se tremousse toute endormie, quand elle sent la langue entre les lèvres de son conin à poil naissant. "Hâ.. hâ.. hâ.. ça m'chatouille". p. 25 VIII. Conquette, et Cupidonnet. Conquette qui vient d'être gamahuchée, & que Cupidonnet le vit bandant, tâche d'enconner. p. 30 "Hâ! ce joli gamahuchage, tant que vous voudriez". IX. Cupidonnet, et Victoire. Cupidonnet tenant Victoire troussée jusqu'aux dessus du genou, & se fesant empoigner le vit, qu'elle ne voit pas: "Mignone.. serre moi le doigt, fort... fort". p. 32 X. Conquette, Culant, Vitnegre. Conqette assise devant le feu, entre Vitnègre & Culant deculotés, bandans; Elle troussée: p. 36 "Alons, Bougresse. branle-nous Tous-deux". XI. Cupidonnet, Conqette, Vitnègre, le Moine. Cupidonnet dans un cabinet obscur, voyant Vitnègre le vit à l'air, montrant à nu les appas de sa Femme: Un Moine debout dans le cabinet, vu par le Père de Conquette, caché derrière un Sofa, & qui n'est pas vu. Le Moine tenant en main son vit monstrueux, regarde la scène: "Troussee, Putain, audessus des reins". p. 39 XII. Cupidonnet, et Conquette en levrette. Conquette le ventre appuyé sur le piéd d'un lit: Cupidonnet l'a troussée audessus des reins; elle cambre la tâille, & il l'enfile en levrette. "Remue du Croupion... mon Ange". p. 44 XIII. Conquette, Vitnègre, un Payeur. Vitnègre debout à-côté du lit, caché par un rideau, tandis qu'Un-autre le remplace sur sa Femme. Le Mari dit à Celle-ci: "Decharges-tu"? p. 48 XIV. Cupidonet, Conquette, Vitnègre, le Jeunehomme. Cupidonnet caché: Vitnègre une lumière en mains trouvant le Jeunehomme sur sa Femme troussée: "He-bien, est-elle enconnée". (dit-il). p. 53 XV. Le Fouteur à la Justine. Le Moine Foutàmort, ayant mis Conillette nue, expirée & dechirée sur une table, lui cerne les Tetons avec un bistouri, &c: "Decharnons-la." p. 56 XVI. Cupidonnet, Conqette, Timorí. Cupidonet caché dans le sofa, avançant la tête, pendant que Conquette gamahauchee par Timori, lève les jambes en l'air, & fait claquer ses talons: "Hâ.. Timori.. ta langue vaut un vit". p. 62 XVII. Conquette enculée. Cupidonet sous un Sofa: Timorì enculant Conquettte, courbée, dont le cul est bien perfore: L'Enculeur s'ecrie: "Quel cul? quel plaisir des Dieux". p. 63 XVIII. Conquette s'enconnant du Vit paternel. 67 Cupidonnet au lit avec Conquette, deux flambeaux sur la Table-de-nuit: Il est sur le côté, le vit bién bandant: Il dit à sa Fille nue, cherchant à s'enfiler: "Appuie lentement, ma Reine". XIX. Montencon, Cupidonnet, Hochepine, Vitsuçete. Montencon embouchant Adelaide Hochepine en presence de Cupidonnet & et de Vit suçète. "J'embouche la jolie Garse". p. 70 XX. Cupidonnet, Conquette, Montencou. Cupidonnet sortant du con de Conquette: Montencon le vit en main, alant se mettre sur elle dont le con & les cuisses sont bien à-decouvert. "A toi, Bougre". p. 7 XXI. Les Moines verolés. Tous les lits sont couverts de robes monacales: Vitnègre assis auprès du lit de Foutàmort, qui lui montre un tableau, représentant une Femme à laquelle il viént de ne faire qu'un trou du cul & de la mote, & dont il cerne les Tetons: "Je me suis fait accommoder son con". p. 81 XXII. Le Sommeil enconné. Cupidonnet encormi, le vit dans le con de Conquette, qui dort également encounée. En commençant à s'éveiller, elle dit: "Hâ! Mon dieu! c'est mon Papa, qui me..." p. 83 XXIII. Cupidonet, Conquette. Cupidonet devant Conquette assise, en court jupon, les tetons decouverts: Il vient de se mettre le vit à l'air: Elle joue avec sa mule mignone, qu'elle fait badiner avec le bout de son piéd: "Je veux te griller". p. 88 XXIV. Conquette, Cupidonnet, Centlouis. Centlouis prenant les tetons & le con de Conquette, en présence de Cupidonet, auquel il dit de serrer les cinquante louis. p. 91 "Ce con satiné, ces tetons touchés les valent". XXV. Conquet:, Cupidonnet, Traitdamour. p. 95 Conquette renversée, troussée audessus du nombril, & à laquelle Cupidonnet présente Traìtamour, qui tient à la main & montre son gros & superbe vit. Conquette avançant sa main, pour prendre le vit: "C'est donc toi qui m'as fait tant de mal... & de plaisir"... XXVI. Cupidonnet, Conquette, Traitdamour, Minone, Connète. Cupidonnet foutant Conquette, qui lui darde sa langue: Traitdamour tenant les tetons de sa Soeur, qui lèche le trou du cul du Fouteur; tandis que Connète le suce dans la raie du dos: "Quels delices!... Je suis rendu"... p. 100 XXVII. Minone, Connette, Cordàhoyau, Brisemotte (1 grouppe). 108 Connète chatouille les couilles de Cupidonet debout, tandis que Cordàboyau enconne Minone, que Brisemotte encule couchée sur le côté. "C'est une Fouterie de Princesse...". XXVIII. Cupidonnet, Conquette, Traitamour. 110 (2 grouppe): Conquette sur Traitdamour, qui la tient enculéé sur lui!: Cupidonnet dans le con de la Belle, ainsi limée entre deux feux: "Piquez... des deux: la Garse est enculée".... XXIX. La Danse Negre. 114 Cupidonnet habillé, mais le vit à l'air, regardant la danse, dans laquelle il pousse Conquette nue par les fesses. Traitdamour danse avec Rosemauve, une nouvelle Actrice; Cordaboyau avec Connette; Brisemote avec Minone; Tous six nus de la tête aux piéds: Ils figurent les mouvemens voluptueux; un Couple paraît prêt d'enconner; Un-autre d'enculer; le Troisième, en se contournant, met les Tetons sous la bouche, le vit sous la main, & montre le con qui l'appète. "Alons! Du mouvement, Garses"? XXX. La Piochée, & ses Piocheurs. 117 La Piochée sur le Foutoir; Piocheur-père enculant Piocheur-fils; Piochencul les excitant, & se fesant bander, à l'aîde de la main & des Tetons de la Jeunefille. "Bougre... encule ton petit Garson". XXXI. Piochette. 119 Le vieux Piochencul patinant les Tetins de Piochette, âgée de 14 ans, & fille du Frère & de la Soeur, pendant que ces 2 Individus sont enconés, & que le vieux Piocheur grand-père encule son Fils. "Tu me depuceleras ta Fille, dès que ton Grand-père t'aura deculé". XXXII. Les Gourmets de Con. 123 Conquette enconnée par Cordaboyau, seulement comme Gourmet du satiné de son con, est enlevé de sur elle, prêt à decharger, par Traitdamour & Brisemote, le vit bandant et decaloté, pour le plonger tout-brandi dans le Con de Rosemauve, étendue sur un Foutoir haussant du cul: "Le Sacrébougre alait partir".... XXXIII. Honnête Entretién du Pere et de la Fille. Cupidonnet prenant le con de sa Fille d'une main, les Tetons de l'autre: Elle dît: 133 "Mon Dieu: je vous remercie d'un si bon Père". XXXIV. L'Homme enfilant deux cons d'une volte. L'Homme-à-queûe foutant Sophie-Linars de son vit, tandis que Geoline s'enconne avec la queûe velue qu'il a au croupion. Celle-ci dit: 141 "Et moi, je vais me servir de cette queûe raide". XXXV. La Fouteuse insatiàble. 157 La belle Agnès, livrèe par son Père, enfilèe par le jeune Procureur, qui se loue de ses delicieux mouvemens: Elle s'ècrie, en dechargeant: "Hâ... mon âme va sortir... par le trou qu'il me fait". XXXVI. Indicibles Fouteries! 175 Agnès, après souper, ayant un corpset refluant, cachèe derrière un rideau de fenêtre, desorte que l'Homme-à-queüe seul, qui lui prend le con, ne voit pas son visage: Elle tient d'une-main le vit de son Père; de l'autre, elle retient à l'entrèe de sa bouche, & presse de ses lêvres, le Gros Membre de Guae qui decharge, & lui lance le Fontre au fond du gosier. Fysitère leur dit: "Il faut dabord que je foute habillèe.......". XXXVII. Les Six Fouteurs des Trois Foutues. Agnès, Doucette, la Carmelite, & la Marchande-de-modes maîtresse d'Agnês-Conveloutè. La 1re en deshabiller de gaze transparente, avec le chapeau de Marièe; les 3 autres nues, sont instruites par Agnês, [] Coupure. Six Vieillards, le Vit en main, nus, endoctrinès separement par Guae, nu assi, â l'entrée d'une autre pièce, où il les attire les Uns aprês les Autres.... Le premier est Un grand, maigre, dont le nez touche au menton; vit ordinaire. Le second, gros, très-ventru; le nez comme une grosse betterave (le vit long. Le troisième monte sur de longues jambes sèches; ayanr un pain-de sucre sur les èpaules; le Vit gros comme celui de l'Homme-a-queûe aumoins. Le quatrième aussi large que haut, a le vit de l'Oncle d'Agnês. Le cinquième a la tête monstrueuse, le ventre comme un tonnneau, le Vit comme celui de Guae. Le sixième est grand, voûté, bancroche; ayant un bourelet à son long Vit. Quant au laid Guae, On voit son Vit, gros comme Un Timon de carrosse soulever sa chemise... "Chaqu'un des 6 monstres crut qu'il alait avoir le Plaisir d'être mon Bourreau". 183 XXXVIII. Fysitère au grand lit avec ses 3 Fouteuses. Elles sont nues: Fysitère nu enconne Doucette; Agnès lui chatouille les couilles; la Carmelite lui branle le queûe velue, dont elle se dispose à s'enfiler. Le mot est pris de l'Histoire par Agnês "Nous fumes ainsi foutues 8 fois chaqu'une dans la nuit; ce qui fesait les 24, ordinaire de Fysitère" p. 192 Table des Chapitres La Préface. 3 I. Chapitre De l'Enfant qui bande. 5 II. Chap. Du Con soyeux. 8 III. Chap. De la Mère foutue! 11 IV. Chap. D'un autre Beaufrére Cocu. 14 V. Chap. Du bon Mari spartiate. 18 VI. Chap. De l'Epouse qui se fait enculer. 20 VII. Chap. Du Conin au Poil-Follet. 25 VIII. Chap. Des Conditions de mariage. 28 IX. Chap. Des Dedommagemens. 31 X. Chap. De l'infame Mari. 33 XI. Chap. Pucelage destiné aux gros Vits, pris par un petit. 39 XII. Chap. Du plus delicieux des Incestes. 41 XIII. Chap. Du Con & du Cul vendus. 46 XIV. Chap. Le Jeunehomme, la Fille, le Moine. 51 XV. Chap. Du Fouteur à la Justine. 54 XV.I Chap. Foutoir: Petit Magasin: Enterrement: Amour. 58 XVII. Chap. Du Pucelage du Cul: Le Père enconneur. 63 XVIII. Chap. Des Avis paternels, tenant sa Fille enconnée. 67 XIX. Chap. Du Père juste, & du Vit grisonnant. 70 XX. Chap. Du, Hâ, comme elle fut foutue! 74 XXI. Chap. Du Ressouvenir, & De l'Episode. 80 XXII. Chap. De la Fouteuse mise en appêtit. 83 XXIII. Chap. De la Tendresse Filiale: & de l'Amour Paternel. 86 XXIV. Chap. Du Chefd'oeuvre de Tendresse-paternelle. 91 XXV. Chap. Du bon Pere qui fait foutre sa fille. 93 XXVI. Chap. d'AVIS três-utile au Lecteur, & à l'Auteur. 98 XXVII. Chap. Du commencement des grandes Fouteries. 101 XXVIII. Chap. De l'Enculo-connillerie. 106 XXIX. Chap. D'une nouvelle Actrice: Danse Nêgre. 112 XXX. Chap. Le Pioché, la Piochée, le Piochard. 116 XXXI. Chap. Suite des Mêmes, Piochette. 119 XXXII. Chap. Du Conin goûté. 122 XXXIII. Chap. La Fouteuse sensée. 130 XXXIV. Histoire de l'Homme-â-Queûe. 134 XXXV. Chap. de la Garse insatiable. 144 XXXVI. Chap. Des Fouteries de la Convelouté, &c. 174 XXXVII. Chap. Des six Fouteurs pour trois Foutues. 185 XXXVIII. Chap. Conclusinn de l'Histoire des trois Foutues. 191 XXXIX. Chap. Du Fauteuil. 207 Fin de la Table de la I Partie. EPILOGUE de la Ire PARTIE. Jaî lóngtemps hésité, si je publierais cet Ouvrage posthúme du trop fameux Avocat Lingüët. Tout consideré, le câsement deja commencé, j'ai resolú de ne tirer que quelques Exemplaires, pour mettre deux ou tròis Amîs éclaîrés, et autant de Femmes d'esprît, à-portée de juger sainement de son effet, et s'il ne fera pas autant de mal que l'oeuvre infernale à laquelle On veut le faire servìr de contre-pòison? Je ne suis pas asséz depouroú de sens, pour ne pas sentir que l'ANTI-JUSTINE est Un pòîson: màîs ce n'est pas là ce dont il s'agît. Serà-ce le côntre-pòîson de la fatale JUSTINE? Voilà ce que je veux consulter, à des Hommes, à des Femmes desinteressés, quì jugeront de l'effet que le Livre imprimé prodúîra súr eux et súr elles. L'Auteùr a prétendú élóîgner de la crüaúté, de la sòîf dú sàng et de la mort de la Femme pòssedées: A-t-il reüssi? Il a prétendú ranimer les Marîs blâsés, pour les faire joüïr de leurs Femmes avec goût, à l'aîde de la lecture d'ún demi-Chapître de son Ouvrage: A-t-il atteint ce bùt? C'est ce qu'On decidera. On a vû, par la Table seule, combién cet Ouvrage est sálàce! mâîs il le falàìt pour produîre l'effet attendû. Jügéx-le, mes Amîs, et cràîgnéz de m'indüïre én erreur! L'ANTI-JUSTINE aurà VII ou VIII Partîes comme celle-cy. FIN de la I. Partie. L'ANTI-JUSTINE, OU LES DELICES DE L'AMOUR. Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem. Avec Figures. [Seconde Partie.] AU PALAIS-ROYAL Chez feue la Veuve GIROUARD, très-connu 1798. Je suis parvenu au IId Volume de cet Ouvrage, destiné à ranimer les Maris blasés, auxquels leurs Femmes n'inspirent plus rién: Tel est le but des nequices de cet excellente Production! que le nom de Lingüet rendra immortelle. L'ANTI-JUSTINE. XXXIX Chapitre. Chap. Du Fauteuil. Le Dimanche arrivé, il y eút un joli dînér, qui fut servi dans mon Magasin. J'y avais fait mettre, oûtre le Lît & le vîeux sofa, un 3me Foutoir commode, que j'avais trouvé par-hazard chéz un Serruriér de la ruë de-la-Parcheminerie, qui l'avait acheté pour le fér & l'aciér seulemt, à l'inventaire de certain Duc. J'en fis l'histoire à ma Société: "Ce Fauteuil, ou Foutoir, se monte. Le Serruriér le monta un-jour, pour en voir le mecanisme. Il alait s'y asseoir, au 1er. La jeune Femme trè-potelée de son vîeux Voisin Aupetit le Perruquiér arriva. La jolie Voisine essoufflée, se jeta sur le diable de Fauteuil. Aussitôt elle fut saisie par les bras. Un ressort la troussa, & un-autre lui écarta les cuissee. Un-autre lui fit faire beau con; un troisième la fit osciller. -- Hé! qu'est-ce donc que ce machin-là? s'écriait-elle. -- Ma bonne-foi si je le savais! repondit le Serruriér: j'aí monté la Machine pour la connaître; maîs je voîs que c'est celle avec laquelle le Duc de-Fronsac essayait les Filles recalcitrantes, que des Parens maladroits lui avaient vendues. Si vous vouléz, ma Voisine, je vais vous essáyer? -- Alons donc! Est-ce qu'On viole jamais Une Femme malgré elle? Je mordraîs-... L'Homme-de-forge se deculote; se met sur elle. La Traquenardée veut le mordre. Un ressort asséz doux lui fait ouvrir la bouche, & en l'angoissant un-peu, la force à darder sa langue. Le Suppôt de Vulcain profite de tout-cela, & enfile la Perruquière, qui ne put l'empêcher, ni même crier... L'operation faite, la machine se trouva aubout de ses rouleaux, & Mad. Aupetit ne fut plus contenue. C'est alors qu'elle se mit à pleurasser, à criasser, comme si elle avait été au-desespoir. -- Grand'bête! (lui dit le Cyclope), je vous aí trop bién operée, pour que vous ne deveniéz pas grosse: vous auréz un Enfant, que votre vîeux Jeanfoutre ne vous aurait jamaîs fait. Maîs il faut un-peu de ruse: Dês aujourdhui dites-lui que vous achevéz une neuvaine à St Julién, qu'il vous travaille ç'te nuît, & que le Saint benîra ses travaux. Remuéz du cul, quand il vous le mettra; dites-lui des foutèses, & s'il dechargeote un-peu, pâméz-vous, en disant qu'il vous inonde-. Mad. Aupetit s'en-ala munie de ces instructions, qu'elle mit en pratique. Le Fauteuil me fut prêté le lendemain. Le Cyclope m'áyant vu passer, m'appela, me montra la Machine, me la vanta, & me mit au-fait de son usage. Elle me fut donnée à-l'essaì, & je la destinaí aux Begueules, s'il nous en venait à nos Orgyes. Je remis à monter la machine, quand il seraît à-propos, afin de ne pas en éventer le secret. Nous nous y assimes trois en dînant, Mad. Poilsoyeux, une jolie Chapelière de la ruë Bordet ou Bordel, amenée par Traìtdamour, & nommée Tendrelys; j'étais au-milieu. In petto je reservais le Fauteuil monté à la jolie Tendrelys, encore pucelle, quoique Traìtdamour lui eût quelquefois dechargé entre cuisses; ou, si la Chapelière était docile, à Rosemauve, ou à sa Soeur Rosalbe la blonde, ou enfin à notre Hôtesse Mad. Brideconin, que je voulais mettre de nos fêtes, ainsi que son Mari, voulant le faire cocu en sa présence.. Nous dînames bién, mais sans trop manger, ni trop boire. Nous avions dailleurs de la volaîlle, & toutes choses de facile digestion. On ne tardera pas à voir comment j'executerai tous mes projets. XL Chapitre. Chap. Des Cons Rasés. En sortant de table, Traìtdamour nous dit: -- Toute la semaine, il m'a roulé dans la tête de rendre le connin de Mad. Conquette-Ingenue-Pòilsóyeux ce qu'il doit être; c'est-à-dire, PUCEL: car je suîs sûr que depuîs huit jours qu'elle n'a foutú, il s'est retréci en Diable!.. Brisemote, Cordaboyau, vîts implacables, trousséz-moi Minone & Conète; il ne serait pas seant qu'elles se troussassent elles-mêmes-. On les troussa jusqu'audessus du nombril. Pas un pòil! Je les ai rasées ce matin (dit Traìtdamour, pour voir l'effet, avant de proposer la même chose à notre Deesse. Vous voyéz comme elles sont propres? Tout le corps l'est de-même: Elles se sont baignées tous les jours, depuis qu'elles savent que la belle Fouteuse met tous les jours son Con dans l'onde limpide, & y plonge entiér son corps appêtissant. Elles m'ont assuré que, lorsqu'elles étaient en chaleur, l'eau-fraîche dans laquelle trempaient leurs Cons brûlans, leur donnait un plaîsir presque fouteùr... Maîs vôyéz-moi ces Cons-là? Ne dirait-On pas des connins de Fillètes de 12 à 13 ans? On en convint. En-consequence, je priae ma Fille de se laisser raser la Mote. Elle se cacha le visage dans mon sein. Traìtdamour aussitôt la renversa sur un Foutòir, le Con au grand jour. -- C'est pourtant domage! (dit-il eu le maniotant;; la perruque en est superbe!... Je vais dabord employer les cîseaux: Nous mettrons ce pòil sóyeux sous verre dans un câdre doré: ce seront de précieuses Reliques-. Il coupa. Ensuite il tira d'une jolîe boîte une savonnète parfumée, & savonna longtemps le Connin. Comme cette operation excitait Conquète, elle me pria d'appuyer mes lêvres sur sa bouche. Elle me dardota sa langue, pendant tout le temps qu'On fit la barbe à son Con, & lorsqu'il fut rasé, On le lui lava d'eau-rose; On lui sècha les cuisses avec des linges doux, & Tendrelys mit le beau pôil de la depouille sous le verre-à-câdre. Puis le Conin sans barbe fut livré à l'admiration de l'Assemblée. Tout le Monde, surtout les Filles, jusqu'à la modeste Tendrelys, qui, disait-elle, n'était venue que pour voir, & rougissait de tout, le trouvaient si appêtissant, qu'elles demandèrent à le baîser, & qu'elles se jetèrent dessus. La jolîe Chapeliére cola ses lêvres vermeilles sur le Con rasé, & sa langue ala dans la fente exciter la volupté: Rosemauve, qui arrivait, vint sur elle comme Une Enragée, la debusqua, & gamahucha si vivemt la Deesse, qu'elles émîrent toutes-deux. Les Hommes éurent leur tour; ils sucèrent le Conôt dechargeant, & le firent decharger encore.. Pour Mòi, j'admiraîs, les deux mains plongées dans les Tetîns de Tendrelys, qui les avait charmans, & n'ôsait se deffendre, -- Hâ! quelle partie? me dit-elle. -- Tu ne vòîs rién! lui repondit Minone. En-effet, Traìtdamour áyant fait retirer les Gamahucheurs du Con de Conquette-Ingenue, qu'ils ne quittaîent pas, dit à ses Camarades: -- Imitéz-mòi-? Aussitôt tous les vits en érection furent à l'aîr. -- Alons! alons! au Con! au Con-! Tendrelys baissait ses beaux ieux: maîs Conquette ètendue sur le Foutóîr, la Mote legèremt branlée par Rosemauve, soulevait la tête pour vòîr les vîts. -- Laquelle enconnéz-vous, me dit mon vigoureux Secretaire: Laquelle enconnéz-vous de la voluptieuse Conquette, de moi, ou de la pucelle Tendrelys-? J'hésitaîs pour ma reponse, lorsque tout-a-coup j'entendis ma Fille s'écrier faiblemt: "Le vît! le vît"? Traìtdamour se précipita sous elle, la prit sur son dós, me la présentant oscillante: -- Enconnéz, me dit-il, la Fouteuse fait beau con-... J'enfonçae. Je bandaìs si ròide, que je la fis crîer en la perforant. Maîs elle foutit aussitôt, en me disant: -- Bon... (haussant le cùl), bon!... Hâ! que tu bandes bién!.... Fous... fou---- fourgonne... Fou---fourage, chër Pap.. je dech----a----a---- (Traìtdamour la secouait) arge-... Je dechargeaîs aussi. Son delicîeux Connin me pinçait. La Deesse m'enivrait. Traìtdamour la fesait osciller, comme le Corax de PETRONE son Maître Eumolpe... Cependant Brisemote avait mis sur son dos Rosemauve nue, que foutait Cordabóyau sans chemîse: Les 2 petites Enragées Mînone & Connette nues comme la maîn, venaîent de mettre Tendrelys nue comme elles, & la tenaîent entr'elles, se frotant le côn sur ses cuisses d'albâtre, en lui chatouillant l'Une la mòte, l'Autre le trou du cùl: Elles dechargérent Toutes-trôîs avec les 2 Foutûes: "Grand-Dieu! s'écîa la jolîe Chapelîére, comme vous savéz être heureux"! XLI Chapitre. Chap. Vit inatendu. En ce moment, l'On entendit frapper des maîns à la porte. (C'était un signal que j'avaîs donné.) J'avaîs deconné; j'alaí ouvrir. C'était le Cyclope. Il ne devait pas entrer: maîs il me poussa Un Homme qui avait les îeux bandés & les maîns lîées derrière le dôs. Il était couvert d'un grand surtout de laine blanche, sous lequel îl était nú sans chemîse. Je le prîs par le corps: je le poussaí vërs le Foutòîr à Fronsac, sur lequel Traìtdamour jeta sa Soeur; On le monta, & dês que l'Enfant fut prîse, On fit tomber sur elle, en lúi arrachant son couvretout, l'Inconnu que je venaîs d'intrôdúire. Quand il fut nú, son grôs Vît épouvanta tout le Monde, & il se fit Un Hâ! universel. Conquette le reconnut, & pâlit. (Observéz que Tous pouvaîent parler, excepté Conquette & Môi). Minone (la Traquenardée), fut la seule que ce Vît, qui ne le cedait qu'à Foutamort, n'effráya pas. Elle le saisit courageusement, & lui mit la tête entre les lêvres de son Côn, en lúi dîsant: -- Pousse, Bougre-. Il estocada, comme un Beliér de siége. Maîs il ne penetrait pas. -- Soulève du cùl, Pútain! lúi dit le Brutal; je suîs trop-haut-. Minone souleva. Le Vît trouva l'ouvertúre; & quôîqu'elle ne fût que la môîtié de qu'il lùi falait, il la força. Minone souffrait le martyre. La sueur & les larmes sillonnaîent ses joues. Enfin, le grós Vît, parvenú au fond, injecta son baume-de-vîe, & adoucit, en les onctuant, les paròîs dilacerés: Mînone qui venait de clamer de douleur, s'exclama de plaîsir: -- Hâh! hâh!.. il m'inonde!... je fous... je decharge... je me pâme-! Et la jolîe Petite remuait du cùl comme Une Garse, foutue par Un Moine au bordel. Nous étions dabord tous stupefaits d'admiration! Puîs nous bandames tous comme des Enragés. Brîsemote le mit en levrette à Rosemauve; Cordaboyau enfila Conette par-devant; Traìtdamour consulta mes îeux, en me designant Conquette ou Tendrelys: je permis la Ire, ajoutant fort-bas: -- Il fout ta Soeur; fous-mòi sa Femme. -- C'est Vîtnègre-! Et îl se jeta comme Un Fúrieux sur l'Epouse du Jeanfoutre, si brutalemt enconnée, qu'elle en crîa... Maîs elle dechargea presqu'aussitôt: ce qui changea sa douleur en plaîsir. "Toute Femme qui decharge comme ça, balbúcîait Traìtdamour, en la fourgonnant, est bonne; il n'y a que Celles qui ne dechargent jamaîs, qui sont mechantes-. Cependant Vîtnègre refoutait, sans deconner, & Mînone redechargeait: Rosemauve hennissait sous Brîsemote; Conette sous Cordaboyau; Tendrelys émue, appúyée sur mon épaule, me présentait sa jolîe bouche, & Conquette martyrisée par Traìtdamour, pleurant, cùletant, émettant, crîotant de doleur & de volúpté, envîait encore les tòurmens de Mînone. Son Fouteùr me crîa: -- Sacre-Dieu! pomadéz donc,... & depúceléz-mòî... cette Garse de Tendrelys-? L'aîmable Enfant me lança Un lông regard, en se mettant la maîn devant le Còn, comme pour le deffendre. Nous avîons-là du beûrre-fraîs; j'onctúaí le Connîn, renversae la Vîerge sur Un Foutòîr, malgré ses tendre prîères, & mon vít pénetra. -- Aumoîns, me dîsait-elle, en le sentant entrer, vous ne me lîvreréz pas au Bourreau de Mînone, nî à ces au----tres-là? ---- Remue du cùl, Bougresse! lúi crîa l'împitòyable Traìtdamour. Est-ce comme ça qu'On fout? Regarde ma Belle, & ces... 3 autres ---- Garses?... Tiéns, ---- Putaîn ---- pucelle, ---- nous de----char----geons! ---- La pauvre Petite, à cette exhortatîon énergique, gigota sous mòî comme elle put. Je pénetraîs doucemt; je caressaîs, dardotant la langue, dîsotant des tendresses... ---- Vous la menéz tróp bellemt, s'écrîa Traìtdamour, fouragéz cómme mói, ou cómme ce Côcú, que voila sur le Fauteuil?... Tenéz? il mord les Tetôns qu'il ne saurait patiner?.. Ne va pas lúî faire trop de mal, Bougre! c'est ---- ma Soeur, & ---- je t'assommeraîs.... Je de---- charge..... ---- Hâ! qu'il me devôre, s'écrîa Mînone; pourvû qu'il ---- me foute!.... Je decha----arge-.... "Je fous..? je décha----arge! s'écrîa Rosemauve. ---- Je dechârge!... crîa Conette. ---- Hâhahah-! fit Conquette... Pour Tendrelys, dont j'ateignaîs le fond du Connin, elle dít: ---- Ze suîs depúcelée! ze deçarze!... Que dìra Maman? ---- Elle ne le verra pas, jolîe Fouteuse: Le vit de mon Maître conserve les púcelages (crîa Traitdam.) En ce moment, Vîtnègre deconna Mînone trop fatiguée. On lúi pomada Rosemauve, que Brîsemote deconnait (car les tourmens de la courageuse Mînoue avaîent épouvanté toutes nos Bellles. Le Vît de Mulet l'enconna plüs vîte; maîs elle n'en souffrit pas moîns: Elle pleura, sanglota, & enfin... dechargea.... Elle fut ramonée 3-foîs sans deconner. Mînone l'avait été quatre. C'était le tour de Conète. Elle fut pomadée avec plüs de soin que Rosemauve; & cependant elle jeta les hauts-crîs: Si elle n'avait pas été sur le Fronsac, elle aurait desarçonné son Bourreau.... Elle dechargea enfin, & les plaîsirs succedèrent. Maîs On ne s'attendait pas à l'effet qu'ils produisîrent! C'est que Mad. Poilsoyeux eüt envîe du gros Vît de son Mari. Elle demanda tout-bas et voulàit qu'On la mît sur le Fronsac, aumoment où Vîtnègre deconna la Conète, quoique Celle-ci eût le Con aussi barbouillé de sang que de foutre. Maîs Traìtdamout la hâpant, la renversant & l'enconnant, lui dit tout-bas: ---- Garse! je suîs jaloux de toî pour mon Maître & pour moî: je t'étrangleraîs plütôt, que de te laîsser foutre par ton Cocù de Mari en ma présence. -- Pardon! Vît dívin! leurs douleurs m'ont tentée! Fourgonne-moi, à m'en ôter l'envie? Car je ne compte plus que sur toi: voila M. Lingüet qui donne son fou----outre... je decha----arge.... à la ---- sacrée Ma----âtine... de Teudrelys... -- Hâ! Reîne des Pútaîns, tu es jalouse! Tiéns, tiéns, voila des coups de Vît dans ton Connin-dieu... Hah!... hah!... ze redeza----arze-! murmura-t-elle... Cependant, que fesait Vîtnègre? Il prenait du repos & quelques liqueûrs brûlantes, tout en patinant les Tetons de ses 3 Foutües, qui le branlaîent pour s'amuser. Tout-à-coup Mlle Lîngüet dit à son Foutant: "Maîs ce Bougre est Un-autre Guae? il faut qu'il me restaure? Qu'On lui lave bién le Vît à l'ëau-rose; je veux le teter, comme fesait Mad. Guae le gros Vît de son Mari-? Nous ne pouvions nous refuser à Une proposition aussi raîsonnable. On lava le Vît monstrüeux; 2 des 3 Garses soutinrent Vîtnègre de chaque côté, en lúi livrant leurs Tetons; Rosemauve lúi chatoüilla les covilles & le trou du cùl; Traìtd'amour se coucha par-terre sur le dos sous ma Fille à genoux qu'il enconna; Mlle Lîngüet baisa 5-à-6-foîs le gros Vit, tout en ripostant aux saccades de son Fouteûr: Prête à decharger, elle emboucha, fesant aler & venir l'énorme Wit du bord de ses lêvres de corail, au fond de son gosiér satiné. En dechargeant, elle mordit... Telle la voluptüeuse Femelle du Serpent-Geant écrase dans sa gueule, la tête de son Mâle trop amoureux... Vitnègre mordú se recria de volupté! Il émit Un torrent, quoiqu'il eût deja foutú 9 coups, & Mlle Lingüet fut inondée de foutre au même instant dans la bouche & dans le con... Elle voulut teter 3-foîs Vitnègre, que les 3 Garses qui le chatoüillaîent, secouaîent tellemt, qu'il rebandait aussitôt. Dailleurs, il s'écriait à tout-momt: -- Ma Femme n'est pas morte! c'est elle que j'embouche; je le sens au veloûté de son palaîs-?... Et cette idée le fesait decharger à flots... Mlle Lingüet fut obligée de cesser ce jeù, dans lequel On voulait faire expirer Vitnègre; maîs Mlle Conquette-Lingüet avait sucé le double Wit avec tant de fureùr, qu'elle avait la bouche tout en feù... On obligea Winègre d'encùler ses 3 Foutües; ce qui lui fit 15 copieuses decharges, parceque les Belles de-relaîs lui manipulaîent impitoyablemt les covilles.. Les excessives douleurs de l'encùlage n'en effráyérent Auqu'Une; aucontraire, les tourmens de la Patiente excitaîent leur passion, & elles la pinçaîent; pour la forcer à s'agiter, & à faciliter ainsi l'intromission du gros Wit dans son cùl. Vitnégre n'en pouvait plus. Ce fut précisémt ce qui excita Mlle Lingüet: Elle exigea de nous qu'il dechargeât Une 16me fois, & que ce fût dans son cùl, à elle? Traìtdamour se vit obligé de ceder. On manipula Vitnègre, On lúi chatoüilla les covilles; On l'assura qu'il alait encùler Mlle Lingüet sa Femme. A ne nom, il érectionna. On lui fit sucer les Tetons de Rosemauve, comme ceux de Conquette. Il banda roide. Aussitôt On coucha l'Encùlande sur le ventre; On lui beûrra la rosette, puîs le rectom avec Une grosse canule; Tendrelys prit délicatemt le gros Wit avec ses doîgts de rose; pour le diriger dans l'anùss, tandis-que Minone & Conéte écartaîent chaqu'Une Une Fesse: Rosemauve, prête à manipuler les covilles, fráyait avec son doîgt beûré l'entrée du Wit-monstre dans le cùl de la Patiente... Enfin, il penetra, en dechirant... Mad. Vitnègre poussait des cris sourds, que son Mari crut reconnaître. Ce qui lui fit redoubler ses estocades. Alors l'Encùlée jeta Un cri,... qui logea le Monstre tout-entiér dans son gros-boyau.... Vitnègre ne doutant presque plus, y fourgonnait avec rage.. Il ne decùla pas après avoir-dechargé; Rosemauve lui chatoüillait les couilles, l'anùs, & s'appûyant du con sur son cùl, foutait avec lui, en poussant à chaque-foîs... Vitnègre dechargea 3-ondées de foutre dans les boyaux de sa Femme; ce qui fesait 18 pour la seance. Il tomba en faiblesse à la dernière... On le tîra du cûl de Mlle Lingüet, qui ala se le mettre dans l'eau-fraîche, pour se le raffermir. On jeta Vitnégre dans Une aûge d'eau-de-puîts qui était dans la cour, pour lui faire reprendre ses sens: Le Cyclope parut. On porta Vitnègre dans son Fiacre. Il le le remena. -- Saís-tu quî j'aí foutu (lui dîsait-il en route), dans ton sacré Fronsac?..... Ah! comme elle fout!... Elle a bién appris, depuîs qu'elle m'a quitté!... Je l'aí foutúe 16-foîs, tant en con, qu'en bouche & eu cûl-... Le Serruriér, après avoir remis Vitnègre à sa Filleule, s'évada. Vitnêgre rencontra le Serruriér quelques moîs aprês. -- Veux-tu m'y remener? lui dit-il. -- C'est l'impossible, répondit le Cyclope; tout est disparu. -- Ah! la Garse! si je la retenaîs, je passeraîs le reste de ma vîe dans son cûl & dans son con-. Ainsi finit cette Aventúre. XLII Chapitre. Chap. La Jalousie de deux Connins. Nous restions tous sept émerveillés des 16 enconnades-embouchades-enculades de Vitnègre! quand Traîtdamour regardant la jolie Chapelière, nüe comme toutes les Autres, lui dit: -- Te voila depucelée, Mignone, & mon divin Maître a cueilli ta rose? C'est Un grand honneur & bonheur à toi & à moi! Je te regarde à-présent comme les Devôts regardent leur Vierge-Marîe, qui, foutûe par l'Ange-Gabriël, puîs par le Saintesprit, dont elle fut la Pûtain, n'en était que plûs vierge: Te voila consacree au vit de mon Maître; conserve-lui religieusemt ton Connin, ou ne le prête qu'avec sa permission... A-présent, celeste Mignone, votre jolie Mote va être savonnée & rasée-? Tendrelys objecta sa Mère, qui toutes les nuits lui visitait le Con, pour voir si l'On ne touchait pas à son pucelage, deja vendu, & qu'On devait biéntôt livrer. -- Je m'en-fous, Deesse, repondit Traìtdamour, en me voyant monter le Fronsac; On lui dira tout-. Et il la poussa sur le Fauteuil, qui l'étreignit. Il la savonna, & prépara son rasoir. En ce moment, artiva Mlle Conquette-Ingenue-Lingüet, qui venait de se laver le cùl à l'eau-de-puîts, pour se le raffermir. -- On va donc aussi raser le con de Mlle? (dit-elle avéc un-peu d'humeur). -- Ah! ma belle Deesse! empêchéz-en, à-cause de Maman, qui ne saura ce que ça veut dire? s'écria Tendrelys suppliante, en lui baisant une main, qu'elle était parvenue à saisir. -- Non, Mlle, je ne m'y opposeraí pas! Votre con rasé laessera mieux voir à votre Maman que mon Infidèle vous a deflorée... Nous verrons aussi, aprês qu'On lui aura enlevé cette charmante perruque, si votre Bijou, Mlle, l'emporte sur le mién, tout fatigué qu'il est? -- Ah! mon adorable Amie! il n'est pas besoin de cela: Rién ne vous égale. -- Alons, Mr, raséz donc? Et je crois bién qu'aprês, mon infidèle Amant qui a depucelé cette jolie conque, vous permettra bién de vous y loger-? Traîtdamour tout en coupant la belle Toison-d'Or, représentait à Conquette-Ingénue, que tous les Pucelages m'étaient devolus, & que j'étais obligé en conscience de les prendre, sous peine de mortifier la Neophite. Conquette ne savait que repondre: mais elle bouda. Je m'approchaí d'elle, & comme elle était nue, je lui baisaí les Tetons, & lui mit mon vit en main. -- Vous aimeriéz mieux qu'il fût entre les jolis doigts de Tendrelys! -- Non: Persone ne me faît bander comme vous; mais aprês vous, Tendrelys. On lui rase la Mote; il le faut bién, pour comparer vos Cons celestes, abstraction faite de la fatigue du vôtre. On les gamahuchera dabord: Ensuite je verraí auquel des 2 mon Vit-Sultan donnera le mouchoir: Le mieux rempucelé l'obtiéndra. Mlle Conquète fit une petite grimace de Jolie-femme sûre d'elle-même, & se tût. Le Rasemote acheva. Le Connin de Tendrelys fut lavé à l'eau-rose; Mlle Lingüet fit rafraîchir le sién, & les deux Cons furent comparés... Ils furent desinteressémt trouvés égaux. Ce qui était bién donner la supériorité au Conin de la belle Conquète, deja tant foutüe... Ce fut l'avis general. Rosemauve, Minone vinrent se comparer. Mais leurs Cons étaient loin d avoir cette physionomie virginale de ceux de ma Fille & de Tendrelys. -- Vos Cons sont aimables (leur dit Traîtdamour), cent-fois audessus des Conasses de Putains; mais ils ne peuvent se comparer à ces 2 Connins de Houris-. Conquette se pavana. Mais genereuse comme elle l'était, elle prit vîte son parti. -- Puisque nos Cons sont égaux, me dit-elle, en baisant Tendrelys sur la bouche, lui patinant le Con, redépuceléz la, & que votre Lieutenant me refoute, s'il en a la force-. Elle n'avait pas achevé la derniére sillabe, qu'elle était enconnée. -- Fous-la! me cria-t-elle, fous la Garse-! J'enfilaí la jolie Nymphe... Mais prête à decharger, Mlle Conquéte-Ingenuë entra en fureur érotique (& je compris par-là comment les Héros de Dsds, sur-le-point d'émettre, deviénnent cruëls), l'Enconnée s'écriait: -- Foutéz-moi tous cette Putain de Tendrelys!... Brisemote! ne fais qu'un trou de son cùl & de son con-!... Elle dechargea; & un-peu calméé, elle se mit à dire: -- Pardon! pardon, ma petite Soeur!... c'est le foutre.. qui me portait à la tête, & me rendait cruelle!... Qu'On lui conserve son joli con... toujours pucel,... pour les plaisirs de mon... Papa- fouteur;... c'est bién asséz.. du mién qui est... martyrisé!... Alons pousse... fous... ne me ménage plus! (dit-elle à son Bourreau)..... Et elle se mit à coupdecùler plûs fort que jamais. Ce qui fit re-enconner Rosemauve & Conète, dont les cùls étaient moins malades que celui de Minone: Cette bonne Soeur de Traîtdamour vint me chatouiller les covilles, & j'émis. XLIII Chapitre. Chap. Minone et Conette jadis depucelées: Vieille. Cette scène achevée, il y eút du répos. Nous avions legèremt dîné, exprês pour faire colation. Nous mangeames des fraîses au vin-muscat, avec des pains-mólets du Pont-Michel: Puis nous primes d'excellent café, fait par Traîtdamour, & nous goûtames aux liqueurs. Ensuite, nous jasames... -- Mon Ami (me dit Conquète-Ingenue, en montrant Minone & Conète), vous avéz eú ces 2 jolies Compagnes, ainsi que Rosemauve, & vous venéz de depuceler Tendrelys sous nos ieux: Faites-nous le recit de votre première-fois, & dites-nous coment vous les avéz seduites? -- Ah! oui, oui? s'écriérent Tendrelys, Rosemauve, & tout le Monde. -- Je feraí ce recit très-volontiéts; mais à-condition qu'On ira chercher Mad. Brideconin notre hôtesse, pour qu'elle y assiste: Nous comencerons à l'apprivoiser par-là-? Mes 3 Sacripands, pour quî elle était un Morceau nouveau, ne demandérent pas mieux: Ils l'enlevérent à son Mari, qui en ce moment, lui tenait les tetons; sans même daigner lui repondre, l'assirent à-cru sur les mains jointes de deux, tandis que le 3me la soutenait par-derrière, & l'apportérent ainsi moitié troussée & detetonnée. On la pósa sur le Fronsac, & si je n'en avais empêché, On lui fesait une históire, aulieu d'écouter la miénne. Lórsque tout fut tranquille, je commençaí: -- Je m'étais mis en pension chéz la Bellemère de Traìtdamour, blanchisseuse, rue d'Ablon, pendant que ma Femme courait la Provînce avec un Galant; le même qui la foutait avec tant de passion, qu'il se mettait dans sa chemise, pour la palper & l'enconner mieux. Traìtdamour m'apportait á dînér les jours-ouvrables; maîs j'alais dîner à la maison de la bonne Mère-Wallon les Dimanches & Fêtes. Un-jour, que nous y alìons ensemble, il me pria de montrer à écrire à sa petite Soeur? Je le voulus bién. En montrant à Minone, J'avais souvent sous les ieux ses tetons naissans, blancs come lys... [-- Faites entrer mon Mari; je suis bién-aise qu'il ait sa part de cette histoire-là-? interrompit la Brideconin. Aussitôt Traitdamour, sur un signe de mes ieux, l'ala chercher; tandis que sur un-autre signe, Brisemote & Cordaboyau prirent l'Un la mote, l'Autre les tetons de la Dame. Elle était ainsi ráyonnante entre 2 Mâles, quand son Mari parut. Brideconin fut dabord ébaubi: puis il n'en fit ni un ni deux, il ala s'emparer du con de Rosemauve, & des tetons de Conette; Traitdamour prit le con & les tetons de sa Soeur: Quant à moi, je fis asseoir Conquette & Tendrelys l'Une sur l'Autre entre mes jambes, laissant de-temps-en-temps tomber mes mains sur la gorge de ma Fille, oú de sa jolie Rivale... Je repris:] "Je dis à Traitdamour, en-particuliér: -- Il ne faut plus que je montre à la Petite; elle me fait tròp bander, & je la foutrais au Ier jour. -- Ah! mon chër Maître! quel bonhr pour elle & pour moi, si vous la depuceliéz! La pauvre Orpheline! elle n'a aucun plaîsir! (c'est que leur Mère était morte, & que le Père, remarié à une Bonne-amie de feue son Epouse, à l'instante prière de Celle-ci, avait mourant lui-même, laissé pour bellemère aux 2 Orphelins la Bonne-amie de leur tendre Mère). Je repondis, Que cela était bién difficil!... que la petite Soeur parlerait. -- Non, je vous en repous: Minone a deja des desirs pour vous. Elle m'a dit, qu'elle aimait bién quand vous lui tonchiéz le Chose par-dessus la jupe- Ce discours m'enhardit. Un-Dimanche que j'étais seul avec Minone, à la faire écrire, je ne pus résister à l'envie de lui baiser sa jolie bouche; puis un tetin; & de-là má main descendit rapidemt à son Connichon sans pòil. J'éprouvaí une érection terrible! Mon vit me gênait. Je me deboutonnaí. Il s'élança audehors. -- Qu'est-ce que c'est que ça? me dit la Petite. -- Un vit, mon Enfant. -- A quoi cela sert-il? -- A mettre dans un Con. -- Mais j'aí un Connin, à ce que dit mon Frère, & ma Bellemère a une Connasse. Depuis qu'il est grand, & qu'il a ce qu'il nomme du Foutre, il met son engin dans la Connasse de ma Bellemère, que ça fait tremousser & crioter... Il a voulu me le fourrer, à moi: mais j'ai le conin trop étroit, ou il a l'engin trop gros: jamais il n'a pu... Ma Bellemère l'a surpris, & elle l'a bién grondé! Il lui a dit: -- Alons, foutéz-nous la paix: venéz que je vous enconne, vieille Truande: car je ne saurais m'en passer, en ce moment-. Et elle s'est aussitôt renversée sur son lit, en se troussant; il l'a, ce qu'il appelle foutue... Hô! comme elle gigotait! comme elle jurait des B. & des F. comme elle était contente!... Et il me disait: -- Voi, Minone, comme c'est bon! Comme la vieille Garse se deméne, en supant le bâton de sucre-d'orge... Montre-moi ton petit connin, que je decharge à ton intension-..... Ce recit de Minone acheva de me faire bander outre mesure. Je demandaí à la Petite, S'il y avait du beurre à la maison? Elle m'en donna. J'alais la beurrer, quand la Bellemère, bonne-femme au possible, rentra, áyant oublié son éventail. Elle vit mon trouble, & la rougeur de la Petite. Elle me dit: -- Gage que vous alez la tourmenter?... Ça n'est pas mûre. Venéz-. La Vieille m'entraîna sur le piéd de son lit, se troussa, me tira sur elle, & m'engloutit, malgré ma defense..... Pour sauver le pucelage de sa Bellefille, elle me retint une heure à conâiller. Je ne dechargeaí cependant qu'une-fois, contre la Vieile une dizaine; car je m'aperçus qu'elle m'aimait. Ensuite elle s'en-ala, sans laver, en disant? -- J'en marche mieux, la charnière graissée-. Dès qu'elle fut partie, je fis mettre Minone, qui avait tout vu, à la fenêtre: je la troussaí audessus des reins; je lui beurraí le connin, & je rebandaí roide. Je dis à la Petite, en la commençant, de se cambrer la tâille, pour mettre son petit trou bién à la portée du vit qui l'alait percer? Elle le présenta de son mieux. Avec des peines infinies, à l'aîde des douloureuses oscillations de son joli cùl, & parceque la decharge était retardée par le degoût que m'avait causé le Con gris de la Vieille, je parvins en levrette jusques au fond; car je sentis sa celeste petite matrice me pincer... L'Enfant s'agitait par mes ordres, mais sans décharger. Son Frére arriva dans ce moment. Il fut transporté de joie... -- Ah! vous la depuceléz! quel honneur & quel bonheur, pour elle & pour moi!... Decharge-t-elle?... As-tu du plaisir, ma petite Soeur? -- Elle ne decharge pas (repondis-je), la chère Mignone; elle souffre: mais c'est avec un courage!.. Voi ce tortillonnemt de croupion-... Traitdàmour touché, glissa une main sous le ventre de la Petite, & lui chatouilla le haut de la fente de sa motinette imberbe... Les ieux de l'Enfant se vîtrèrent; elle se roidit. & tournant sa j lie bouche de mon côté, elle me darda sa petite langue, déchargea pour la Ire_ fois, & se pâma... Je déchargeaí comme elle: je n'avais jamais eú tant de plaisir... Quand j eús deconné, son Frère me demanda, Si j'en étais jalous? -- Oui, de tout Autre que de toi -- Hé-bien, votre foutre va servir de pomade à son joli conichet-. Cependant Minone voulut pisser. Son Frère la renversa sur le dos, au pi d du lit, & l'enconna vìgoureusemt, malgré la grosseur de son Membre. La Petite cria. -- Remue du cùl, & decharge avec delices, pauvre Orpheline, lui disait-il, en la saccadant; tu es enconée avec amour-. La Petite dechargea 3-fois; mais elle n'en pouvait plus... Il me lava, & je la re-enconnaí... J'eús encore plûs de plaisir, parceque la Petite avait aquis de l'usage, & que le gros Vit de son Frère avait fráyé la route... Depuis ce jour-là, nous foutimes Minone tous les Dimanches & Fêtes. La Bellemère s'en-aperçut pour moi; mais elle ne dit mot. Enfin un-jour Traitdamour me demanda, Si je voudrais aussi montrer à écrire à Conète, sa Maîtresse pour le mariage, depuis que la Mère de Tendrelys, qui craignait un depucelemt, lui avait absolumt ôté toute esperance. -- Soit (lui repondis-je). Je montraí donc à Conète. Aubout de 2 mois, cette Jeunefille étant un-jour à la fenêtre, fort panchée en-dehors, & montrant une jambe fine, que mes ieux devoraient, Minone qui prenaìt son exemple d'écriture, le remarqua. Je lui tenais les tetins, & la priais de me prendre les couilles. Elle me quitte; va vers Connète; lui dít tout-bas, -- Laisse-toi faire- .... La trousse; me mène sur elle; lui beurre le con & à moi le vit; lui dit: -- Cambre-toi, ma Fille-... Et à moi: -- Enfiléz jùste; vous voila dedans-... Conète se cambra, & suivit toutes les indications de son Amie: Desorte que quoique la Púcelle fût très-étroite, je penetrais. Traitdamour arriva. Il nous fit ôter de la fenêtre; se coucha sur le ventre au piéd du lit; fit étendre sa Maîtresse sur son dos, cùl sur cùl: Il me dit d'enconner, le vit dirigé par la màin de sa Soeur; et á chaque sacade que je donnais, il me repoussait d'un coup de son cùl le con de sa Maîtresse, à me faire avancer d'un pouce. Conète éprouvait des souffrances inouïes.... Mais étant parvenu au fond, par un violent coup-de-croupion de Traitdamour, qui ne donna plus que de petits coups de trot-de-cheval, Conète clignota de l'euil, et biéntôt émit avec d'ineffables delices..... Je croyais que Traitdamour alait se jeter sur elle et l'enconner tout-chaud? -- Non, me dit-il; c'est ma Future: si j'avais le bonheur qu'elle me fît un Petit de vous, cela ennoblirait ma Race-. Et il foutit sa Soeur, pendant que je refoutais sa Maîtresse. Aussi depuis aí-je partagé avec lui Ce que j'avais de plüs précieux-. XLIV Chapitre. Chap. Du Bouquet de Fouterie. Il le merite! Il le merite! (s'écrièrent tous les Hommes, et surtout Brideconin, qui patinait à 2 mains le Con de Rosemauve, tandis que Brisemote et Cordaboyau maniaient l'Un le Con, l'Autre les tetons de sa Femme... Mon Recit fesait bander tous mes Droles comme des Carmes, malgré les fatigues de la journée. Les Belles, même Celles éconnées par Vìtnègre, étaient en rut. -- Comme vous avéz su les rendre aimables! (me dit Conquette, en me dardant sa langue). -- Ah-oui! (ajouta Tendrelys, en me baisant de-même).... En cet instant, Mad. Brideconnin était tiraîllée par Brisemote et Cordaboyau, qui tous-2 la voulaient enfiler à-la-fóis. -- Je n'aí qu'un chose, mes chërs Amis! si j'en avais 2, ils seraient bién à votre service; mais l'Un après l'Autre-... Elle fut empallée par tous-2, Cordaboyau en con, Brisemote en cùl. Brideconnin s'écrie: -- On enconne, On encule ma Femme! Moi, je fous Celle-ci-. Et il renverse Rosemauve, qu'il empale. Traitdamour, le plüs furieux des Ribauds, saisit Conquette: Je crus qu'il l'alait enconer. Point! Il se coucha sur le dos, la tira sur son vit, tenue par-dessous les bras par Conête et Minone; elle se baissait avec lenteur sur le Vit bandant dirigé par la main de Tendrelys, Conquète s'enculant ainsi elle-même par le seul poids de son beau Corps. Lorsque le gros Vit fut enfoncé jusqu'à la garde, Traitdamour me dit: -- Alons! le plüs beau des cons vous appelle-.... Je me précipitaí dans le bijou de ma Fille, la jolie Tendrelys me dirigeant le vit. Mad. Brideconnin, putaîn comme Persone, puisqu'à cet instant, On lui bourrait les 2 trous, fit 3 signes-de-croix. On luí demanda, Ce qu'elle avait: -- On me fout devant mon Mari; mais je suis sur le Fauteuil à ressort, qui m'empêche de me defendre: Mon Mari voyant que je le fais coquú, me fait coquète; c'est dans l'ordre: Mais notre Maître, fout,... enconne sa Fille enculée! -- Sa fille?... sa fille-!... (s'écria-t-On 5-fois). -- Oui, sa Fille (balbucia Rosemauve, qui dechargeait sous Brideconnin): Aprês?... -- Ah! dirent les 4 Fouteurs et les 4 Fouteuses, ceci nous met en rage de vit.... en rage de con... et nous foutrons jusqu'à extinction de forces-. Et les Enconeurs, les Enconnées; les Enculeurs, les Enculées, s'agitaient à quî mieux, dessus, dessous, comme des Diables & des Diablesses dans un benîtiér. Tendrelys me chatouillait les couilles & celles de Traìtdamour; Minone celles de Brisemote et de Cordaboyau; Conète celles de Brideconnin, et fourráit son index dans le trou du cùl de Rosemauve. Le Fouteur qui n'était pas accoutumé à ce rafinemt, se recriait de volupté: -- Ah que vous foutéz bién ici! (disait-il en dechargeant); On ne fait que connailler ailleurs. -- Oh! vous anéz bién raison, mon Mari? (lui repondit sa Femme en dechargeant aussi), onc je ne fus ramonée comme je le suis en ce moment, par les deux Vits qui Vous plantent chacun une corne, l'Vn dans mon con, l'Autre dans mon cul-. Conquète remarquant que j'alais mieux, lorsque Tendrelys me chatouillait les couilles, l'en remercia tendremt: -- Chère Amie?... ma main en fera... autant à ton Fouteur,... quand tu seras enconnée... Et Vous, ma chère Hotesse, Vous êtes donc bién foutue-?... Ce joli mot, foutue, avait tant de grâces dans la belle bouche de Conquète, que je l'alais refourgonner, si Traitdamour, qui la deculait et qui alait laver, ne m'avait pas prié instanment de la lui laisser enconner... Mais j'étais trop ému pour rester spectateur; j'ordonnaí à Tendrelys de me faire beau con? Minone et Conète la renversèrent sur le dos et lui écartèrent les cuisses. Ma Fille, avant d'être enconnée par son Fouteur, voulut inserer mon vit; elle baisa la Patiente sur la bouche, en lui disant: -- Tendrelys! remue du cul, et donne bién du plaisir à mon Père-! Et comme elle avait remarqué que le mot foutue, m'avait fait beaucoup d'impression, dans sa bouche, elle s'écria, tout en secondant son Enconneur: -- Fou...ou... outre!..... Sacré Vit!... perce-moi... dechire-moi le conot!... mon Père! poignarde... estropie ta Tendrelys!... ze decha... arge-!........... Ah! cette Femme si modeste, s'écria la Bridecononin, comme elle fout-!... Ce fut le Bouquet. On ala souper. XLV Chapitre. Soupér d'Adieux; Graces que dit Mad. Vitnegre. On soupa. Les tetons étaient couverts; les propos furent decens..... -- Mais, me dìt Minone, On dit que vous avéz-eú 8 jolies Femmes connues, et On les nomme? -- Hôh! Interrompit Conquète, ne faites plus lire de ces Histoires-là: La journée de volupté est finie, et nous sommes à-présent des Persones ordinaires. -- Il faut donc les remettre, repondit Traitdamour, pour une interruption de seance-. Comme on se disposait à sortir, et qu'il n'y avait plus de dangér de nous faire bandocher, On me pria d'exiger que nos 6 Cons et nos 12 Tetons fussent mis à l'air, et baisés à discrétion pour les Adieux? J'y consentis. Aussitôt Conquète, Tendrelys, Rosemauve, Minone, Conète et La-Brideconin, furent defichutées, troussées et renversées sur les foutoirs par les 4 Dernières, qui se defichutèrent, se troussèrent et se renversèrent elles-mêmes. On leur lecha le Con; Les 5 Hommes sucérent les 12 Tetons: Les Belles prirent, décalotérent et baisérent les 5 Vits, embouchérent seulemt le mién, en disant: Vit incomparable..... adieu... pour Huit jours... On alait sortir, quand On vit la belle Epouse de Vitnègre se prosterner toute detetonnée, en s'écriant: "Sainte & jolíe Vierge MARIE; que PANTHERE, branlait, gamahuchait, enculait, entetonnait, embouchait, & qu'il enconna enfin une nuit, à-côté du Cornard endormi le bon S. Joseph; duquel cocufiage provint le doux Jesus, ce bon fouteur de la Putain publique la belle Madelene, Marquise de Bethanie, dont le vagabond JESUS était en-outre le souteneur, autrement le maquereau, lequel, au grand regret de la sainte Garse, enculait encore S. Jean son giton: S.te & jolie MARIE, Vierge comme moi, nous vous remercions de cette heureuse journée de fouterie. Faites-nous la grâce, par les merites de votre Fils, d'en avoir une pareille Dimanche-prochain!.... Et vous, Sainte MADELENE, que foutait l'Abbé JESUS, ainsi que Jean l'enculé, Obtenéz-moi la grâce de foutre autant que vous, soit en con, soit en cul, 15 ou 20 fois par jour, sans être épuisée, mais toujours dechargeant...... Vous foutiéz avec des Pharisiens, avec Herode, & même avec Ponce-Pilate, pour avoir de-quoi nourrir le gourgandin JESUS, votre greluchon, & les Vagabonds qui lui servaient de Chouans: Obtenéz-moi de votre Maquereau JESUS, qui étant dieu, a sans-doute quelque pouvoir, d'avoir, sous peu, ce riche Entreteneur, qui est un-jour descendu de carrosse bandant à mon intension, comme je revenais de chéz mon Amie Mad. Congrêlé; à-celle-fin, qu'au-moyén de l'argent que je gâgnerai, à votre imitation, avec mon con, mon cùl, mes tetons & ma langue dardée, je puisse soulager mon digne Père, dans sa vieillesse; non-seulement en foutant avec lúi, pour lúi donner le plaisir, mais en me laissant vendre, comme la pieuse Fille d'Eresictton le famelique, ou la pieuse Ocyrhoé, fille du Centaure Chiròn, qui toutes-deux devinrent cavales, c'est-à-dire Montures d'Hommes ou saintes Putains!... Modèle des Maquereaux, doux JESUS! fouteur acharné, Greluchon complaisant de la brûlante & exemplaire Putain Madelène, qui était si amoureuse de votre Vit divin & de vos sacrées Couilles, maintenéz, par votre toutepuissance, mon conin toujours étroit & satiné, mes tetons toujours fermes, ma peau, mon cùl, mes fesses, mes bras, mes mains, mon cou, mes épaules, mon dos ou mes arrière-tetons, toujours blancs, mes reins toujours élastiques; les Vits de mes Amans, celui de mon Père compris, toujours roides, leurs couilles toujours pleines; car vous teniéz en cela du saint Roi David, si fort suivant le coeur de Dieu, parcequ'il était le premiér fouteur de son temps!... Faites, ô JESUS! que mes hauts talons, qui me prêtent tant de grâces, & font bander tant de monde, ne me donnent jamais de cores aux piéds, mais que ces piéds tentatifs restent toujours foutatifs, comme ils le sont!... Amen! -- Amen! s'écria toute la Société, Vits et Cons. Tout le monde sortit édifié de la piété éclairée de ma Fille, et en s'en-alant, on disait: -- Voilà ce qui s'appelle connaitre la vraie religion, et prier Dieu comme il conviént, en Lui demandant des choses raisonnables! Hoh! c'est une Fille exemplaire-! XLVI Chapitre. Chapitre. Premiere Negociacion du con de ma Fille. Le surlendemain, quand je vis Conquette [que j'avais évitée le Lundi], je La trouvai coîffée en batant-l'oeil: Ce qui, avec ses grands ieux à longs cils La rendait charmante... Elle avait des souliérs de coutil de soie neufs, qu'elle essayait. Je me jetai à ses genoux, en Lui disant: -- Coquette: Ton piéd est le mieux-fait possible; mais il est un-peu grand, & ce soliér bién pointu, ces talons minces, très-élevés, le font paraître plüs petit de-moitié: Il est divin!.... & je bande... comme tu vois?.... -- Mon cher Papa: comme je sais à quel point vous m'àdoréz, j'ai voulu consacrer cette chaussure, avant de vous la préter pour orner vòtre cheminée... Voici les blancs d'hiër, avec lesquels j'ai tant été..... ce que vous savéz....... Voyéz la jolie forme que leur a donnée mon piéd? Ils sont plûs voluptueux qu'avant d'avoir été mis... Je flairai avidemt le dedans de ces divins soliers: -- Hah! je bande! m'écriai-je; Les sacrés-bougres sont embaumés... Je suis perdu... j'aurai la colique, si je ne t'enconne une pauvre fois?... Laisseras-tu decharger par-terre ce Vit-paternel? -- Mon cher Papa, mettéz-vous le cùl & les couilles dáns cette grande terrine, préparée pour mon cón & mon cùl; l'eau froide vous ferait debander. C'est mon remède quand j'ai le còn brûlant-. Ce qu'elle me disait me parut raisonnable, et je Le fis: Elle cacha ses piéds comme une Dame Espagnole, et je fus calmé. -- J'en ai fait autant tout-à-l'heure: Timori vìént de venir: J'étais encore au lit; Il m'a pris les tetons, puis le còn: La vue de son Vit, qui bandait ròide, m'a fait impression. Mais mon coeur n'a rién senti. Cependant il voulait me gamahucher, me priant de le branler après? -- Je ne suis pas une Putain. -- Tu es bien fròide-? (C'est que reellement je ne l'aime plus; vous êtes mon amant, cher Père? & Traìtdamour est votre lieutenant dans mon còn; il est votre double Vit, & c'est encore Vous qui me foutéz, quand il me l'enfonce)... J'ai cependant eú des remords de ma dúreté: Je lui ai saisi le Vit, & me le mettant dans la bouche bién decaloté, je l'y ai fait decharger, avalant son foutre avec delices. Ce qui m'a fortifiée. Mon chocolat m'a rincé la bouche...... Mais revenons. Si Vous vouléz que votre Fille cherie ait ún plaisir ineffable, caressez-La, quand on La fout. Langue en bouche, la siénne dans la vôtre... Vous prenant les couillètes, vous serrant le vit à la poignée, elle dechargerait au double? -- Hoh! tu es trop adorable... Foutons un petit coup? -- Je m'étais rafraichi le con: mais tu y remets le feu, cher Papa, et le foutre seul peut l'éteindre... Foutons... Enconne ta Fille... Mais va doucemt, que je decharge plusieurs-fois, tout en te racontant quelque-chose-. Elle se renversa, me mit le vit dans son con, me fit entrer lentemt, par de petits coups-de-cul insensibles. La fraîcheur de l'eau m'avait fait roidir, ét retardait l'émission. Enfin, elle ne fut plus maîtresse de se retenir; elle coupdecula, elle saccada, en s'écriant: -- Ze deça--arse-!... Elle resta ensuite immobile, en me disant: -- J'ai oublié de vous remettre l'adresse que l'Entreteneur d'avant-hier m'a glissée, pour l'aler voir, ét... foutre avec Lui... Hah! fourgonne... je redeçarge... Tu pars... Hah divin Père!... Et elle se mit à soubresauter, en gigotant, comme jamais ne gigota Fouteuse... Après une copieuse decharge, elle reprit: -- La voila. Dis-Lui, ou écris-Lui, Que je ne vais chéz Persone. Et laissez-Lui votre adresse. -- "Oui, Deesse Fututrix", Lui repondis-je. La Brideconin nous apporta notre excellent chocolat; et je partis. Aprês les affaires, j'alai chéz le futur Fouteur de ma Fille. Je Le trouvai: je Lui donnai un mot de Conquette-Ingenue, par lequel elle Lui marquait, Que s'il avait un mot a repondre, il pouvait tout dire a son Père... Je fus bién reçu. Le Richard me dit, Qu'il demandait une Maîtresse aimable, et qui sût donner, en foutant, bién du plaisir. -- Monsieur (Lui repondis-je), ma Fille a été mal-mariée; elle peut vous apartenir, à-condition qu'elle gardera son logement voisin du mién. Vous y mangeréz, coucheréz avec elle, sans que je m'en mêle. Quant à la volupté, ét aux mouvemens. du cûl ou des reins, un Mari libertin ne Lui a donné que de trop douloureuses Leçons... Mais en vous La livrant, je veux que son sort soit assuré, qu'il s'améliore même un-peu chaque année... Je vous répons d'être alors le Gardién de sa fidelité. Dailleurs, elle est sage: L'assûrance d'un sort independant de son monstre de Mari, peut seule La déterminer-. Ceci convint fort! et la decision definitive fut remise après un voyage d'affaires et d'argent, dont il devait être de-retour dans 8 ou 10 jours. Je revins apporter ces nouvelles à ma Conquette-Ingenue. -- Mon Papa, repondit-elle, pour peu qu'il me foute, vous me sufiréz vous ét Lui; vous seréz mes deux pères. Je renoncerai même à votre beau Secrétaire, si vous me promettéz de n'enconner que Moi? Oû trouveréz-vous un Con qui vaille le mién?... Garde-moi tout ton foutre, comme tout ton coeur, ô le plûs ribaud des Papas-? Ie vis qu'elle était jalouse, ét je l'en aimai avantage. Mais j'étais encore trop libertin, pour me borner à foutre uniquemt Celle que j'aimais le mieux. La Brideconin nous apporta de la limonade. Elle boitait de naissance, mais d'une maniére voluptueuse. Elle êtait coifée en cheveux, ét quoique grêlée, três-provoquante. Ie le dis à ma Fille. Conquète-Ingenue me repondit: -- Dês avant nos parties, son Mari voulait me le mettre; mais il me deplaît. La Femme a demandé, depuis qu'ils ont tout vu, á me gamahucher. Tous-deux m'adorent. Je ne leur avais, jusqu'au boulevari d'hiër, laissé baîser que mon piéd. Le Mari enconne sa Femme dês que je le veux. C'est un amusement que je me donnais dans la semaine; je n'avais besoin que de m'asseoir en vue de Brideconin, les jupes troussées jusqu'au mollet; il est tellement excité par ma mi-jambe ét mon piéd, qu'il se jète sur la Putain, ét la fout tant que je veux; en haussant toujours un-peu la jupe. Enfin, s'il aperçoit un commencemt de la cuisse, il heurle de luxure. Un-jour, trop échauffée par ce que je voyais, je me donnai de l'air au con, en le découvrant. Le Fouteur s'est mis â braire, en fourgonnant avec fureur. Il dechargeait, refourgonnair, ét alait se tuer, quand sa Femme me regarda.... Elle se hâta de decharger, ét vint me baisser les jupes. Alors Brideconin épuisé se trouva mal-. A ce recit de Conquète, je rebandais. Mais je me remis le Vit et les Couilles dans l'eau, ét bién rafistolé, je sortis sans finaler. Nous fumes Tous sages le reste de la semaine. XLVII Chapitre. Chapitre du Rabachages á Faire bandocher. Le Dimanche arrivé, tout notre Monde accourut, à-l'exception de Rosemauve, qui se dit malade. Tendrelys vint seule, & d'elle-même: Traîtdamour ne l'avait pas trouvée chéz elle, & il était déja fâché. Maîs il fut ravi, en entrant avec sa Soeur & sa Maîtresse, de la voir auprès d'Ingenue, qui lui suçait le sein decouvert!... Il l'en remercia, en lui baisant le cùl & le con. Cordaboyau & Brîsemote arrivèrent les derniérs. On se mit à Table, dês que Cordaboyau, envoyé chéz Rosemauve, eút annoncé, qu'elle ne viéndrait pas. Il remit en-même-temps un Billet de la Malade pour ma Fille. Ingenue le parcourut bas dabord: puis elle nous le passa. Traítdamour lut par mes ordres. Le voici: Divine Amie! Reçoi les actions de grâces que je rens à ton Conin et à tes Soliérs... Hiër jeudi fêtedieu (la Lettre était du vendredi), j'avais mis la chaussure que tu m'as prêtée, pour faire bander un Clerc de No aire, amant de ma Soeur Rosalbe, à laquelle je le voulais enlever. J'avais aussi ton grand bonnet battantl'oeil, qui me va si bién, à cause de mes grands yeux noirs, la robe, la jupe blanches sur fond rose, comme toi. Je m'avisai de me donner ton joli tourdecùl. Dans la rüe des Cinqdiamans, j'entendis derrière moi: "C'est elle!... Oui, c'est elle! c'est ma Deesse"!... On m'aborde. "Hâ! ma Belle! vous voila si prês de chéz moi, que vous y monteréz, puisque votre Père y est venu"?... Il m'a pris le bras; je me suis laissée mener; pensant bién qu'en me reconnaissant, il me laisserait aler, surtout aprês m'avoir foutue. Point! il ne se desabuse pas!... Il est vrai qu'il m'avait introduite dans un appartement au premiér à très sombre jour. Il tombe à mes genoux, ou plütôt aux vôtres "Vos traìts, belle Saxancour, sont un peu differens de ce qu'ils m'avaient paru; mais vous n'en êtes pas moins une Brune adorable. C'est que j'ai toujours plûs regardé vos piéds, dont je suis fou, que votre visage, tout charmant qu'il est. Aussi les reconnais-je parfaitement, ainsi que tout le reste de votre parure... M'aimeréz-vous"? J'ai cru devoir repondre, "Ouî. "Hâ! je suis trop heureux"! Il m'a pris mille baisérs, en me fesant darder la langue, m'a patiné les tetons, saisi la mote, renversée sur un large sofa, troussée, foutue... J'ai remué du cùl! je lui ai donné du plaisir... hâ! vous me connaisséz?... Ça fait, il m'a présenté à laver, m'a fait lui verser de l'eau sur le vit, m'a essuyé còn et cùl, m'a baisé la mote et les fesses: puis a dit à sa Femme de charge: "Le dînér est-il prêt? "Dans un demi-quart d'heure. "Aprês le verre d'Alicaute, descendons, ma Belle"! Nous sommes descendus chéz le Notaire voisin. Six-mille francs par an, 500 francs par moi, d'avance.... J'ai signé la minute, ét je suîs remontée dotée, comme j'étaîs descendue foutue. Nous avons dîné tête-à-tête. Des que les Domestiques ont été retirés, il m'a fait mettre à nud mes tetons; puîs il m'a enyvrée de champagne. Il s'êst lavé le vit dans un verre mousseux. Je l'aí aussitôt avalé... Enchanté de ce traìt, il m'a mis son vit sur les lêvres. Je le lui aí embouché, suçé! Il s'êst recrié de plaîsir, en me dîsant: "Tu ês ma deesse, la putain faite pour moi. Je ne veux pas te decharger en bouche; je veux garder mon foutre pour ton Còn. Montre-le moi, que je le baîse; ét adieu jusqu'à demain... Mon carrosse? (a-t-il dit à sa Femmedecharge, qui m'épongeait le cùl ét le côn]. Il m'a remenée. J'auraî mon apportement chéz lui ce soìr. Je suîs restée tard au lit, y étant toute embaumée, et envelopée dans deux peaux de veaux, qui m'ont été apportées hîër-soìr encore chaudes; afin d'avóír la peau des cuîsses ét des fesses presqu'aussi satinée que vous. Ainsi, belle Conquète! je vous dòis ma fortune. J'en remercie votre adorable Cón, ét surtout votre voluptueuse chaussure. En chemin, mon genereux Fouteur m'a promis que dans três-peu de temps, il me ferait enculer en sa présence, par un joli Jockey, auquel il s'êst deja fàit enculer Lui-même 2-fois, dans deux circonstances, où il avait ressenti au trou du cùl un violent prurit. C'a été son expression. Adieu... ou Avit, ô divine Fouteuse! Nous fumes tous ébahis! Tendrelys embrassa Conquète-Ingenue, en s'écriant: -- Hâ! si l'On vous connaîssait-!... Je voulais aler détromper mon Gendre volé. Ma Fille m'en empêcha: -- Il n'était l'amant que de ma chaussure; il ne lui est pas infidèle; il a tout ce qu'il lui faut-. Tendrelys applaudit à cette réponse: -- Je ne dis mot: mais je n'en pense pas moins-, ajouta-t-elle. La Brideconin, pour être plûs à nos parties, qui lui donaient des plaisirs inconnus, avait fait venir chéz elle, ce jour-là, Une Soeur de son Mari, fort-grêlée; mais la plûs provocante Tetonnière de 18 ans qu'On puisse voir. La Garse ne croyait pas que la Laideron tenterait, toutes nos Dames étant jolies, & 2 parfaitemt belles. Ce fut cette Tetonière, faite-au-tour, à tâille guêpée, comme les Comtoises, qui nous servit. Mais dês qu'elle eüt fait bander, pour lui éviter de la peine, les Hommes alèrent chercher les assiètes...... Au dessert, On me somma de raconter l'histoire des Cons depucelés dont avait parlé Minone, & que Mad. Ingenue-Conquète m'avait empêché de faire à soupér, depeur qu'elles ne fussent trop savoureuses? J'y consentis. HISTOIRE des Phénixs dénichés. "Je vais (dis-je en m'essuyant la bouche, ét baisant les tetons de mon active Fouteuse, vous conter comment j'ai depucelé Victoire-Beauxtalons; Virginie-Moteblonde; Rosalie-Con-Rose, ainsi que Suzonète sa soeur-cadète; Manon-Aurore-Sourismignard; Léonor-Robé, femme de Margâne le Parfumeur; la Seconde ét la Troisième Consfriands, Saccadine ét Voixflûtée. La première-fois que je vis la voluptueuse Beauxtalons, elle était en deshabillér brun, bas fins de coton, soliérs de maroquin noir; talons plüs hauts que ceux de Conquète. Elle me donna des desirs violens; je la suivis: c'était le soir: Elle entra dans l'alée à-côté de la boutique de sa Mère. L'escaliér était obscur. J'étais sur ses talons. Elle ouvrit le premiér, dont les volets étaient fermés. Nuit profonde. J étais entré avec elle. "Hâ! c'est vous, Monsieur Copahü, dit-elle en m'entendant réspirer... Je Lui mis la main sous la jupe. "Hô! voila toujours come vous faites!... Laissons donc les volets fermés". Je cherchais un Lit. Elle y recula. Je L'y renversai. "Mon dieu! aléz, que vous êtes tèrible"! Et elle s'arrangeàit néanmoins commodément pour tous-deux. J'insère. Elle riposte, en disant: "Il faut bién faire comme ça, sans quoi vous dites qu'On ne vous aime pas". La jouissance fut delicieuse, quoique simple ét sans accessoires. Mais Victoire était si belle, ét je L'avais tant desirée!... Je voulais sortir sans être connu. On frappa. Je suivis ma Monture effrayée qui courait ouvrir, quoique je La retînsse. en disant: "C'est mà Mère, ou mà Soeur: Restéz ou sortéz, come il vous conviéndra"? "Je sors". Elle [ici s'arrête le volume imprimé] Transcription en français moderne: Quelle excuse peut se donner à lui-même, l'homme qui publie un ouvrage, tel que celui qu'on va lire? J'en ai cent, pour une. Un auteur doit avoir pour lui le bonheur de ses lecteurs.. Il n'est rien qui contribue autant au bonheur, qu'une lecture agréable. Fontenelle disait: "Il n'est point de chagrin qui tienne contre une heure de lecture". Or, de toutes les lectures la plus entraînante est celle des ouvrages érotiques, surtout lorsqu'ils sont accompagnés de figures expressives. Blasé sur les femmes depuis longtemps, la Justine de Dsds me tomba sous la main. Elle me mit en feu; je voulus jouir, et ce fut avec fureur: je mordis les seins de ma monture; je lui tordis la chair des bras... Honteux de ces excès, effets de ma lecture, je me fis moi-même un Erotikon savoureux, mais non cruel, qui m'excita au point de me faire enfiler une bossue bancroche, haute de deux pieds. Prenez, lisez, et vous en ferez autant. L'ANTI-JUSTINE. Personne n'a été plus indigné que moi des sales ouvrages de l'infâme DsDs; c'est-à-dire, de Justine, Aline, le Boudoir, la Théorie du Libertinage, que je lis dans ma prison. Ce scélérat ne présente les délices de l'amour, pour les hommes, qu'accompagnées de tourments, de la mort même, pour les femmes. Mon but est de faire un livre plus savoureux que les siens, et que les épouses pourront faire lire à leurs maris, pour en être mieux servies; un livre où les sens parleront au coeur; où le libertinage n'ait rien de cruel pour le sexe des Grâces, et lui rende plutôt la vie, que de lui causer la mort; où l'amour ramené à la nature, exempt de scrupules et de préjugés, ne présente que des images riantes et voluptueuses. On adorera les femmes, en le lisant: on les chérira, en les enconnant; mais l'on en abhorra davantage le vivodisséqueur, le même qui fut tiré de la Bastille avec une longue barbe blanche le 14 juillet 1789. Puisse l'ouvrage enchanteur que je publie, faire tomber les siens! Mauvais livre fait dans de bonnes vues. Moi, Jean-Pierre Linguet, maintenant détenu à la Conciergerie, déclare, que je n'ai composé cet ouvrage, tout savoureux qu'il est, que dans des vues utiles; l'inceste, par exemple, ne s'y trouve, que pour équivaloir, au goût corrompu des libertins, les affreuses cruautés, par lesquelles Dsds les stimule. Floréal, an 2. Chapitre I De l'enfant qui bande. Je suis né dans un village près de Reims, et je me nomme Cupidonet. Dès mon enfance, j'aimais les jolies filles. J'avais surtout un faible pour les jolis pieds et les jolies chaussures; en quoi je ressemblais au Grand-Dauphin, fils de Louis XIV, et à Thevenard, acteur de l'Opéra. La première fille qui me fit bander, fut une jolie paysanne, qui me portait à vêpres la main posée à nu sur mes fesses; elle me chatouillait les couillettes, et me sentant bander, elle me baisait sur la bouche avec un emportement virginal: car elle était chaude, parce qu'elle était sage. La première fille à laquelle je fis des attouchements, en conséquence de mon goût pour une jolie chaussure, fut ma première puînée, qui s'appelait Jenovefette. J'avais huit soeurs, cinq aînées d'un premier lit, et trois puînées. La seconde de celles-là, était jolie au possible; il en sera question. La quatrième avait le poil du Bijou tellement soyeux, que c'était une volupté seulement de le toucher. Les autres étaient laides. Mes puînées étaient toutes trois provoquantes. Or ma mère préférait Jenovefette, la plus voluptueusement jolie, et dans un voyage qu'elle fit à Paris, elle lui apporta des souliers délicats. Je les lui vis essayer, et j'eus une violente érection. Le lendemain dimanche, Jenovefette mit des bas fins blancs et neufs de coton, un corset qui lui pinçait la taille; et avec son lubrique tour de cul, elle faisait bander, quoique si jeune, mon père lui-même; car il dit à ma mère de la renvoyer. (J'étais caché sous le lit, pour mieux voir le soulier et le bas de la jambe de ma jolie cadette)... Dès que ma soeur fut sortie, mon père renversa ma mère, et la carillonna sur le pied du lit sous lequel j'étais, en lui disant: -- Oh! prenez garde à votre fille chérie! Elle aura un furieux tempérament, je vous en avertis... Mais elle a de qui tenir; car je baise bien! et voilà que vous m'en donnez, du jus de con, comme une princesse... Je m'aperçus que Jenovefette écoutait et voyait... Mon père avait raison. Ma jolie cadette fut depuis dépucelée par son confesseur; ensuite foutue par tout le monde. Mais elle n'en est que plus sage à présent... Dans l'après-dîner, Jenovefette vint au jardin, où j'étais seul. Je l'admirai; je bandai. L'ayant abordée, je lui pressai la taille, sans parler; je lui touchai le pied, les cuisses, un connin imberbe et joli, s'il en fut jamais! Jenovefette ne disait mot. Alors, je la fis mettre à quatre; c'est-à-dire, sur les mains et sur les genoux, et, à l'imitation des chiens, je la voulais enfiler ainsi, en hennequinant et saccadant de toutes mes forces, comme fait le chien, et lui comprimant fortement les aines de mes deux mains: je lui faisais cambrer les reins, de sorte que son connin était aussi à ma portée que le trou de son cul: je l'atteignis donc et je mis le bout entre les lèvres, en disant: -- Hausse, hausse le cul, que j'entre. Mais on sent aussi qu'un connichon aussi jeune, ne pouvait admettre un vit, qui ne décalottait pas encore (Il me fallait une connasse, comme je l'aurai bientôt). Je ne pus qu'entr'ouvrir un peu les lèvres de la fente. Je ne déchargeai point, je n'étais pas assez formé... Ne pouvant enfiler, je me mis, aussi à l'imitation de mes modèles, à lécher le jeune connin... Jenovefette sentit un chatouillement agréable sans doute; car elle ne s'ennuyait pas du jeu, et elle me donna cent baisers sur la bouche, lorsque je fus debout. On l'appela, et elle courut. Comme elle n'avait pas encore de gorge, dès le lendemain elle se mit des tétons postiches, sans doute parce qu'elle avait ouï vanter ceux de sa mère, ou de ses aînées. Je les remarquai: je la fis chausser, et l'ayant placée commodément sur son lit, je m'escrimai près de deux heures. Je crois en vérité qu'elle émit; car elle s'agitait comme une petite enragée à mon lèchement de con... Dès le surlendemain, on l'envoya en apprentissage à Paris, où elle remplit l'horoscope tiré par mon père. Chapitre II Du con soyeux. Mes autres soeurs étaient l'une sérieuse; elle me retint dans les bornes; mais j'ai depuis foutu ses deux filles à Paris. Ma troisième était encore trop jeune: ç'a été une superbe fille à dix-huit ans! Je me rejetai néanmoins sur cette enfant, lorsque je m'aperçus que Cathos, jumelle de Jenovefette, était inabordable. Il me fallait un con, depuis que j'en avais palpé un: je patinai Babiche. Enfin un dimanche, qu'elle était bien arrangée, et que ma mère l'avait baignée, je la gamahuchai. Ce fut à cette bénigne opération, que je fus surpris par l'ardente Madeleine au con soyeux. Elle nous examina longtemps avant de nous troubler, et voyant que la petite avait du plaisir, elle fut tentée. Elle parla. Nous nous remîmes décemment. Madeleine ne dit mot. Elle renvoya Babiche. Puis elle hasarda de badiner avec moi. Elle me renversa sur la paille de la grange, où j'avais attiré Babiche; et lorsque je fus par terre, elle me chatouilla, passant par-dessus moi, jambe de çà, jambe de là. Par hasard, je portai la main sous ses jupes, et j'y trouvai l'admirable con soyeux. Ce poil divin détermina mon goût pour elle. Je devins fou du con de Madeleine Linguet: je lui demandai à le baiser! -- Petit coquin! (me dit-elle), attends un moment. Elle alla au puits, tira un seau d'eau, et s'accroupit dessus... Elle revint, et badina encore. Enflammé, hors de moi, je lui dis, dans ma petite fureur érotique: -- Il faut que je lèche ce joli trou. Elle se mit sur le dos, les jambes écartées. Je léchai; la belle Madeleine hocha du cul. -- Darde ta langue dedans, cher petit ami! (me disait-elle). Et je dardais, et elle haussait la motte. Je fourgonnais avec rage!... Elle eut tant de plaisir, qu'elle se récria. Je bandais comme un petit carme; et comme je ne déchargeais pas, j'avais toujours la même ardeur. Aussi m'adorait-elle. Obligée de me quitter, Madeleine me donna des friandises, que je mangeai avec Babiche. Un soir, ma soeur au con soyeux me dit: -- Cupidonet! ta jolie broquette est toujours bien roide, quand tu me lèches! Il me semble que si nous étions dans le même lit, tu pourrais la faire entrer dans la bouche de ma petite marmotte, que tu aimes tant à sucer, et dont le poil est si doux! j'aurais sûrement bien du plaisir! et peut-être toi aussi? Viens c'te nuit... Quand tout le monde fut endormi, je me glissai dans le lit de ma grande soeur. Elle me dit: -- J'ai vu mon père, un jour qu'il venait de caresser ma soeur la belle Marie, qui partait pour Paris, courir sur ta mère, sa grosse broche bien roide, et lui fendre la marmotte: je vas te montrer; tu feras comme lui. -- Et moi aussi, je l'ai vu. -- Bon! bon! Elle se disposa, me plaça sur elle, me dit de pousser, et riposta. Mais elle était pucelle, et quoique bandant roide, je ne pus introduire; je me faisais mal. Pour Madeleine Linguet, elle déchargea sans doute; car elle se pâma. Oh! que je regrettai ce joli con soyeux, que je léchais et fourgonnais depuis six mois! Mon père, Claude Linguet, qui ne me ressemblait pas, éloignait ses filles, dès qu'elles l'avaient fait bander. On prétend que Madeleine avait tenté de se le faire mettre par lui... Quoi qu'il en soit, trois jours après, elle partit pour la capitale, où notre frère aîné, l'ecclésiastique, lui avait trouvé une place de gouvernante d'un chanoine de Saint-Honoré. Ce cafard ne tarda pas à connaître ce qu'elle valait. Il y avait une porte dérobée, de lui seul connue, qui donnait dans la chambre de ses gouvernantes, qu'il allait patiner durant la nuit. Mais il n'avait jamais trouvé de con aussi joli, que le con soyeux de Mlle Linguet! Il voulut le voir. Sa beauté le ravit, et il n'eut plus de repos qu'il ne l'eût foutu. Une nuit, qu'elle dormait d'autant plus fort qu'elle en faisait semblant, il la gamahucha. Elle déchargea sensiblement. Aussitôt le chanoine monte sur elle, et l'enconne. Elle le pressa dans ses bras, en remuant du cul. -- Ha! Mignonne! (lui dit-il), que tu as le mouvement bon!... Mais n'as-tu pas de mal? car je te crois un peu putain?... Sa chemise et les draps ensanglantés lui prouvèrent qu'elle était pucelle. Il l'adora! Elle foutit saintement avec ce saint homme pendant deux ans, et le mit au tombeau. Cependant il la dota. Ce qui fit qu'elle épousa le fils du premier mari de ma mère. Chapitre III De la mère foutue! Comme après le mariage de Madeleine et son retour à Reims j'étais un peu plus formé, je désirai vivement de le lui mettre. Depuis plus de deux ans, j'en étais réduit à patiner et gamahucher ma soeur Babiche, avec quelques-unes de nos cousines germaines. Mais, ou mon vit grossissait, ou tous ces connins imberbes rétrécissaient... Je demandai un rendez-vous nocturne à la nouvelle Mme Bourgelat! Elle me l'accorda pour le soir même. Nous étions à notre ferme, et son mari venait de partir, pour se rendre à Reims, où une affaire l'appelait. Je ne sais par quelle aventure, cette même nuit, mon père se trouva incommodé. Ma mère, après l'avoir secouru, craignant de le gêner, alla se mettre auprès de sa bru. Celle-ci, la voyant endormie, se leva doucement, pour venir coucher avec moi, tandis que de mon côté, j'allais à elle. Nous ne nous rencontrâmes pas, malheureusement!... Je me mis à côté de la femme que je trouvai dans le lit. Elle était sur le dos: je la montai, toute endormie; et l'enconnai. J'étais surpris d'entrer aussi largement! Elle me serra dans ses bras, hocha quelques coups de cul, moitié assoupie, en disant: -- Jamais! jamais vous ne m'avez donné tant de plaisir!... Je déchargeai aussi; mais je m'évanouis sur ses tétons encore fermes, parce qu'elle n'avait pas nourri, et qu'on ne les lui avait jamais patinés. Mme Bourgelat revint auprès de nous, au moment où je m'évanouissais. Elle fut bien étonnée des mots que venait de prononcer sa doublement belle-mère! Elle comprit que je l'avais foutue, et elle me reporta dans mon lit encore évanoui... Ainsi donc c'est dans le con maternel que je venais d'émettre ma première semence!... Ma mère, entièrement éveillée, dit à Madeleine: -- Mais, que faites-vous donc, ma fille? J'étais revenu à moi. Ma soeur retourna au lit de ma mère, qui lui dit tout bas: -- Ma bru! vous avez de drôles de façons? -- Mon mari (répondit Mme Bourgelat), me fait souvent mettre dessus; je rêvais, et je l'ai fait. Eveillée, je suis sautée du lit. Ma mère crut cela. Cependant le coup porta: Mme Linguet devint grosse, et accoucha secrètement d'un fils, beau comme Adonis; et elle eut l'adresse de le substituer à un garçon de son fils, cet enfant étant mort en naissant. C'est de lui dont il sera un jour question, sous le surnom de Cupidonnet, dit Petitcoq, mon neveu. Huit jours s'écoulèrent. Après quoi, bien remis de mon évanouissement, j'eus un autre rendez-vous. Mais admirez mon malheur! Nous avions été entendus d'une grosse tétonnière, notre moissonneuse, qui dormait dans la grange. Comme Mme Bourgelat devait venir dans mon lit, Mammelasse, qui m'aimait, car elle se branlait souvent à mon intention, et qui d'ailleurs n'était pas méchante, se contenta de dire à mon frère, de fermer les nuits la porte de sa chambre à la clef, et de la cacher, pour cause... Il le fit. Mais jugez de mon étonnement, quand au lieu d'un con soyeux, et de tétons ronds et délicats, je patinai une connasse à crins de cheval, et deux gros ballons bien gonflés. Elle se le mit; je poussai, et j'eus assez de plaisir. Mais je fus encore prêt à m'évanouir. Enfin, je le mis à Madeleine, dans le grenier à foin. J'allais comme un fou, en l'enconnant. Mais au troisième coup de cul qu'elle donna, je m'évanouis... Chapitre IV D'un autre beau-frère cocu. Madeleine évita de m'accorder des faveurs, dont les suites l'effrayaient! Mais je ne sentis pas longtemps cette privation. Huit jours après la dernière scène, je partis pour venir à Paris. J'y allais pour apprendre. Mais il ne sera pas ici question de mes études. Je fus logé chez la belle Marie, la seconde de mes aînées. J'avais, pour mon pucelage, fait cocu mon père; j'avais cornifié mon frère utérin, en faisant décharger, et foutant enfin avec émission une soeur paternelle, qu'il avait épousée, et que j'engrossai: car Bourgelat n'a jamais eu que cet enfant, venu au monde neuf mois après ma fouterie au grenier à foin. Mais j'avais encore bien de l'ouvrage, avec huit soeurs, dont six, ou du moins cinq, étaient souverainement enconnables. Mais revenons à Marie, la plus belle de toutes... Un jour de Vierge, Marie était parée, chaussée avec ce goût particulier aux jolies femmes, et un superbe bouquet ombrageait ses blancs tétins. Elle me fit bander. J'avais quatorze ans; j'avais déjà foutu et engrossé trois femmes; car Mammelasse avait une fille, qu'elle se vantait que je lui avais faite, et qui ressemblait comme deux gouttes d'eau à Jenovefette Linguet. Ainsi, je n'eus pas des désirs vagues; je tendais directement au con de ma provoquante aînée. Après le dîner, elle alla dormir, dans une alcôve obscure, et s'étendit sur le lit conjugal. Elle avait vu bander son mari, dont la culotte blanche était juste, et elle voulait lui donner le plaisir de le lui mettre parée. Je me cachai pour les guetter. Mais mon beau-frère, après avoir pris les tétons et le con de ma soeur, avoir admiré ce dernier, en éclairant l'alcôve, se réserva sans doute pour la nuit suivante. Il se retira doucement. Je lui vis prendre sa canne, son chapeau, et sortir. J'allai pousser un verrou. En revenant, je refermai les rideaux; le mari les avait laissés ouverts, et sa femme troussée. Je me mis sur elle déculotté, bien bandant, et j'enfilai sa fente, suçant tantôt ses tétons découverts, tantôt ses lèvres entr'ouvertes. Elle me croyait son mari. Un bout de langue me chatouilla. J'étais entré tout calotté. Le filet, que je n'avais pas encore coupé, recourbait mon vit, et le faisait paraître gros comme celui de l'époux. Je poussai. Ma belle s'agita, et mon long vit atteignit le fond. Alors ma soeur, demi-pâmée, se trémoussa. Je déchargeai... et je m'évanouis... Ce fut ce qui me fit reconnaître. La belle savoura les dernières oscillations de mon vit. Mais dès qu'elle eut éprouvé tout le charme d'une copieuse décharge, elle se déconna en me jetant sur le côté. Elle ouvrit les deux rideaux de l'alcôve; et, me regardant: -- Ha! Grand Dieu! c'est Cupidonet! Il m'a déchargé tout au fond! Il s'est évanoui de plaisir!... Je revenais à moi. Elle me gronda, en me demandant qui m'avait appris cela? -- Ta beauté (lui dis-je), adorable soeur. -- Mais si jeune? Je lui racontai alors toute ma vie: comme j'avais patiné, léché le connin de Jenovefette: comme j'avais gamahuché, enfin enfilé le con soyeux de Madeleine; foutu Mme Linguet, la croyant Mme Bourgelat: comment Mammelasse s'était fait enconner par moi; comment, ne pouvant me passer de con, je léchottais le connichon de Babiche; comment j'avais engrossé les trois femmes que j'avais enconnées. -- Ah ciel!... Mais tu es bien indiscret! -- Je ne le suis avec toi, que parce que tu es ma soeur aînée, que je t'ai foutue (le récit que je venais de débiter, les tétons de ma soeur, sa chaussure me faisaient rebander), et que je vais, divine Marie, te foutre encore. -- Mais mon mari... -- J'ai poussé le verrou... Elle me pressa la tête contre son beau sein, en me disant tout bas: -- Petit coquin, fais-moi aussi un enfant?... Je la re-enconnai, j'émis sans m'évanouir. La belle Marie n'avait pas encore eu d'enfants: je fus père de Mlle Beauconnin, fille unique de mon beau-frère de ce nom. [Je passerai toutes les fouteries communes; ce n'est qu'à force de volupté, de tableaux libidineux, tels que les savoureuses jouissances qui vont suivre, qu'on peut combattre avantageusement dans le coeur et l'esprit des libertins blasés, les goûts atroces éveillés par les abominables productions de l'infâme et cruel de Dsds! Ainsi, je réserve toute ma chaleur pour décrire des jouissances ineffables, au-dessus de tout ce qu'a pu inventer l'imagination exquisement bourrelle de l'auteur de Justine.] Chapitre V Du bon mari spartiate. Il faut néanmoins, avant de passer aux tableaux que je viens de promettre, rapporter en peu de mots, une aventure extraordinaire, que j'eus, rue Saint-Honoré, à vingt ans accomplis, en faisant mon droit. J'étais voisin vis-à-vis d'un vieil horloger, qui avait une femme jeune et charmante. C'était sa troisième. La première l'avait rendu parfaitement heureux pendant douze ans; c'était une ivresse. La seconde, durant dix-huit ans, à l'aide d'une soeur plus jeune, par laquelle la dame se faisait remplacer au lit dans ses moindres indispositions, pour que son mari ne foutît jamais avec dégoût. Cette excellente épouse ayant cessé de vivre, l'horloger avait épousé, âgé de soixante ans, la jolie, la délicieuse Fidelette, putative d'un architecte, et fille naturelle d'un marquis. La beauté de cette troisième femme n'avait pas d'égale, pour le moelleux et le provoquant. Son mari l'adorait; mais il n'était plus jeune! Cependant, comme il était riche, il lui prodiguait tout ce qu'elle paraissait désirer. Mais il n'atteignait pas le but, et Fidelette était chaque jour plus triste. Enfin, un soir, ce bon mari lui dit: -- Mon ange! je t'adore, tu le sais! Cependant tu es triste, et je crains pour tes jours précieux! Tout ce que je fais ne te flatte en rien? Parle! c'est un ami tendre qui t'en conjure! Dis-moi ce que tu désires? Tout, tout ce qui sera en mon pouvoir, va t'être accordé! -- Oh! tout (dit la jeune femme). -- Oui, tout, fût-ce... Est-ce à ton coeur? est-ce à ton divin connin, qu'il manque quelque chose? -- Tu remplis mon coeur, cher mari! Mais j'ai des sens trop chauds, et, quoique blonde cendrée, mon bijou a des démangeaisons... terribles! -- T'est-il indifférent qui le satisfasse; ou aurais-tu un goût? -- Sans aimer, j'ai un goût... un caprice... Mais je n'aime que toi. -- Qui excite ta main, que je vois en ce moment chercher ton gentil petit chose? -- Tiens! ce voisin... qui me regarde... et dont... je me suis déjà plainte... -- J'entends!... Tu as dû me trouver bien bouché!... Passe au bain, mon ange adoré.. je reviens dans l'instant. Il courut me trouver. -- Jeune voisin! On dit que vous aimez Mme Folin l'horlogère? -- Ma foi, on dit vrai; je l'adore. -- Venez. -- Il en arrivera ce qu'il pourra. Allons. Il me prit la main, et nous allâmes chez lui. -- Déshabillez-vous; passez dans ce bain, que ma femme quitte. Voilà de mon linge. Régalez-la en nouvelle mariée - ou ménagez-vous pour différentes nuits; à votre choix et au sien.... J'adore ma Fidelette; mais, pour cette épouse chérie, je suis content dès que je la vois satisfaite, heureuse. Quand vous l'aurez foutue, que son petit connin aura bien déchargé, je l'enconnerai à mon tour, pour lui porter mon petit présent. Et il me fit entrer dans le lit où sa femme était depuis le bain. Il s'en allait. -- Mon cher mari! (s'écria cette timide Colombe), tu me laisses seule avec un inconnu! Oh! reste! et si tu m'aimes, sois témoin des plaisirs que je ne devrai qu'à toi!... Et elle nous baisa tous deux sur la bouche... Le lit était vaste. Le bon Folin s'y mit avec nous... Je grimpai sur le ventre de la jeune épouse, aux flambeaux allumés, au vu du mari, et j'enconnai roide... Elle répercutait avec fureur. -- Courage, ma femme! (criait l'excellent mari, en me chatouillant les bourses) ... Décharge, ma fille! Hausse le cul!.. darde ta langue... ton fouteur va t'inonder!... Toi, jeune vit, plonge... plonge!... Lime... Lime-la... Nous déchargeâmes comme deux anges... Je la foutis six fois dans la nuit, et les deux époux furent très contents de moi... J'ai eu cette jouissance céleste, et plus qu'humaine, jusqu'aux couches de Fidelette, qui perdit la vie, en la donnant au fruit de notre fouterie. Chapitre VI De l'épouse qui se fait enculer. Je passerai sous silence mes connilleries avec ma femme clandestine, puisque je n'ai jamais avoué ce mariage. Conquette-Ellès était une jolie grêlée, faite au tour, ayant un con tellement insatiable, que je fus obligé de lui mettre la bride sur le cou, et de la laisser foutre avec qui elle voudrait. Elle était fille d'un traiteur de la rue Saint-Jacques, et soeur du libraire PetiteBeauté. Elle est morte syphilisée, longtemps après m'avoir donné deux filles... Ah! qu'elle foutait bien! jamais femme enconnée n'a brouetté son cavalier comme Conquette!... Elle est la seule créature que j'aie enculée, mais sur son invitation, quand sa santé fut douteuse. Elle me donna ensuite le cul de sa soeur cadette, en me disant que c'était encore le sien. Et je le croyais. Mais la jeune personne se faisant enconner, je m'aperçus de la tricherie, dont je ne témoignai rien... Cela fut délicieux! mais ce n'est que de la fouterie ordinaire... Quand ma belle-soeur fut mariée, ma femme séduisit sa coiffeuse, à laquelle elle recommanda bien de se faire enculer, alléguant que j'y étais accoutumé. Mais cette fille m'ayant averti dans la journée, je l'enconnai la nuit, sans que Conquette s'en aperçût. J'eus ainsi successivement six coiffeuses, toutes jolies, pendant douze ans, ma femme, qui les payait, croyant me cacher, par ce moyen, qu'elle avait la vérole. Ce fut ainsi que j'attendis les connins délicieux qui m'étaient destinés par la nature... C'est après la dernière coiffeuse, que Conquette mourante, ayant remarqué qu'un de mes cadets courtisait ma fille-nièce Beauconnin, qu'on ne voulait pas lui donner, et qu'il en était aimé, proposa à Mariette de se le laisser mettre par son amant! Mais, craignant que le jeune homme ne pût la dépuceler, elle me dit que la dernière coiffeuse m'envoyait une de ses élèves, qu'il fallait enconner, et sans parler, parce que, ma nièce couchant dans la chambre voisine, il y avait des raisons pour ne pas envoyer l'élève-coiffeuse dans la mienne... Pourvu que je foutisse un jeune con, que m'importait? J'allai nu au lit. Je trouvai des tétons naissants, un connin qui tressaillait. Je dépucelai... J'avais enconné trois fois, lorsqu'on vint me faire retirer. Je crus que c'était la convention. Mais, ayant écouté, je fus très étonné d'entendre éperonner de nouveau ma monture, et ma femme instruire, en les encourageant, son neveu et sa nièce!... Je me remis dans mon lit tout pensif... Le lendemain, je demandai une explication à Conquette. -- Eh bien, quoi? (me répondit-elle) vous avez dépucelé votre nièce Beauconnin avant que son cousin le lui mît parce que je craignais qu'il ne pût la déflorer... Je fus enchanté! J'avais eu les prémices de la fille que j'avais implantée un jour de Vierge dans le con de la belle Marie Linguet. Mais je dissimulai ma joie. C'était un excellent pronostic pour les plaisirs dont je me flattais de jouir depuis longtemps! et dont le moment approchait. J'y touche enfin. Chapitre VII Du connin au poil follet. On sait que j'avais deux filles, ou que du moins ma clandestine les avait; car je me rappelle qu'elle prétendait que ses véritables filles étaient mortes en nourrice, et que... et que... Elle parlait du Roi... d'une princesse... Mais elle était si menteuse que c'eût été une folie de la croire. Conquette-Ingénue, ma fille aînée, me causait des désirs dès l'âge de dix ans. Pendant que sa mère non encore vérolée couchait et foutait avec un galant, elle envoyait Conquette dans mon lit. Cette enfant avait la plus jolie conque. Je me fis une règle dès lors de la lui baiser tous les soirs, après lui avoir écarté les cuisses, durant son premier sommeil. J'introduisais légèrement la langue, mais sans lécher. Je m'endormais ensuite, elle remise sur le côté, ses fesses sur mes cuisses, et mon vit pressé entre les siennes. Dans le jour, j'enconnais, ou la maîtresse d'un certain Mivière, avocat, ou une jolie bossue toujours bien chaussée, qui demeurait dans la maison; ou une boiteuse des deux côtés, mais d'une délicieuse figure, et prête à se marier. Elle s'était laissée déflorer par son futur, et depuis ce temps-là, elle ne ménageait plus un très joli con blond. Quand ces trois fouteries me laissaient chômer trop longtemps, je fourgonnais, le vit serré entre les cuisses de Conquette-Ingénue, qui, se sentant gênée, l'empoignait toute endormie, et me faisait éjaculer. Elle avait onze ans. Elle sentit quelque chose, et parla. On la mit dans un cabinet fermé. Elle apprit à dessiner. Lorsqu'elle eut treize à quatorze ans, après une interruption de plus de deux ans, je me trouvai veuf, et elle revint à la maison. Elle coucha dans une petite chambre à côté de la mienne. Elle était grandie, faite au tour; elle avait le pied le plus parfait. Je la fis chausser par l'artiste le plus habile, sur la forme de sa mère, qui était celle de la marquise de Marigni. Puis je devins éperdument amoureux de mon ouvrage. Mais personne jamais ne fut plus chaste que cette céleste fille; quoique ses mères, soit réelle ou putative, fussent putains, et soient toutes deux mortes de la vérole. Conquette-Ingénue ne souffrait pas qu'on prît sur elle la moindre liberté... La Providence le voulut sans doute, pour qu'elle en fût un jour plus désirable et plus voluptueuse... Ainsi, je me trouvai réduit à la gamahucher pendant son sommeil, qu'elle avait profond, heureusement! Je profitais de son premier somme pour la découvrir, admirer son délicieux connin, qu'un joli poil follet commençait d'ombrager, et la gamahucher modérément. Ce ne fut qu'à la dixième nuit, que je la sentis me riposter. Je redoublai les coups de langue, et elle émit.... La lumière était éteinte, quand Ingénue s'éveilla, en disant: -- Ah! Ah! Ah! ça me chatouille! Ahh!... Elle crut qu'elle avait rêvé. Cependant elle dagua sa jeune soeur, couchée avec elle, de plusieurs coups de coude, comme si elle eût pensé que cette enfant l'avait chatouillée. Je me remis dans mon lit, enchanté que ma fille eût déchargé. Cette émission me fit espérer qu'ayant éveillé son tempérament, je pourrais l'enconner bientôt, en faire ma maîtresse, et me trouver le plus heureux des hommes. Mais que j'étais loin de compte! et combien de vits devaient tenter de martyriser ce divin connin avant le mien! Hélas! il fut prêt d'essuyer une Iliade de malheurs!..... Quoi qu'il en soit, ç'a été ma véritable inclination, la plus constante, la plus voluptueuse, que cette adorable fille, qui n'a eu de rivale que sa soeur... Non (je le dis, d'après l'expérience), il n'est pas au monde de plaisir comparable à celui de plonger son vit bandant, jusqu'au fond du con satiné d'une fille chérie, surtout si remuant du cul avec courage, elle décharge copieusement! Heureux! heureux qui cocufie, et fait cocufier un gendre également détesté de tous deux! Conquette-Ingénue eut ses règles la semaine suivante de celle où elle avait enfin déchargé. Ainsi elle était parfaitement nubile. Mais, éveillée, je ne pouvais lui ravir aucune faveur essentielle. Ma soeur Marie, qui me connaissait, la mit en apprentissage de modes et du commerce de la bijouterie, chez une jolie marchande, dont le mari était chef de bureau; et le bijou de la belle Conprenant me dédommagea, mais sans m'en consoler, des rigueurs de celui de ma fille. Je le mis aussi à ma nièce Beauconnin, alors mariée à son cousin. Et, sans ce double soulagement, aurais-je pu m'empêcher de violer la provocante Conquette-Ingénue? Eperdument amoureux d'elle, n'osant lui prendre de jour son joli poil follet, et ne l'ayant pas la nuit, je me contentais de la faire regarder dans la rue, par une fenêtre à large rebord, ce qui lui mettait à découvert un pied exquisement chaussé, une partie de la plus belle jambe; de sorte qu'en me baissant, je voyais la cuisse, et le connin dans certains mouvements, ou lorsqu'elle se disposait à descendre. Je bandais comme un carme. Mais en ce moment arrivaient à point nommé, ou la maîtresse de Conquette-Ingénue, ou ma jolie nièce Beauconnin, que j'allais enfiler dans ma chambre, après avoir dit à ma fille de se remettre à la fenêtre, pour les voir arriver; et, au moyen de ma porte entr'ouverte, je voyais le pied provoquant, la jambe voluptueuse de celle qui me faisait bander, en foutant soit sa maîtresse, soit sa cousine. Quatre ans s'écoulèrent ainsi; et je n'eus plus de fouteries. Alors, plus amoureux que jamais de Conquette-Ingénue, qui était superbe à dix-huit ans, je résolus de la faire coucher quelquefois chez moi, en la retenant tard, sous prétexte d'une indisposition subite. Elle avait toujours le sommeil aussi profond. Ainsi, dès qu'elle était endormie, je la gamahuchais, et je la faisais copieusement décharger. Elle avait une motte superbe, ombragée d'un poil noir doux et soyeux. Je brûlais d'envie de le lui mettre. Mais elle s'éveillait toujours en déchargeant. Aussi me disait-elle: -- Je ne fais que chez vous de singuliers rêves, qui me rendent toute je ne sais comment!... La seule chose que je me permisse était de demander à baiser son joli pied chaussé; quelquefois sa jambe. J'allai un jour, en la tourmentant beaucoup, jusqu'à obtenir de toucher le poil satiné de son bijou. Mais elle fut ensuite si fort effarouchée, craignant que je ne parvinsse à la déflorer avant mariage, qu'elle précipita, aidée de sa maîtresse Mme Conprenant, un mauvais établissement avec un infâme. Ce fut ce que j'ai eu tant de peine à lui pardonner!... Mais la pauvre enfant en a trop souffert... elle s'en est assez repentie... son charmant connin a depuis trop bien mérité de moi, pour que des torts de jeunesse et d'inexpérience ne soient pas oubliés. J'y étais obligé d'ailleurs par un autre motif: c'est que je dois à cet exécrable mariage d'indicibles délices (comme on va le voir), ainsi que ma fortune présente. Chapitre VIII Des conditions de mariage. Le dimanche suivant, Conquette-Ingénue étant chez moi, suivant son usage, elle ne put s'empêcher de voir que je bandais à n'en pouvoir plus! Elle tremblait pour sa virginité!... Je lui avais baisé le pied, la jambe; mais elle avait défendu son connin. Tout à coup je me lève, et m'appuyant sur le dossier de sa chaise, je plonge les deux mains dans son corset; je lui prends les tétons.... Ah! qu'ils étaient jolis!... petits, mais fermes! et d'une blancheur... Elle ne put se dérober... Elle me déclara pour lors sérieusement, qu'elle voulait se marier. A ce mot, je passai devant elle, le vit à l'air et bien bandant. Elle devint rouge comme une cerise. Elle bouillait. Enflammé d'amour et de luxure, je lui notifiai, que je ne signerais rien, qu'à la condition de la dépuceler auparavant. Elle se récria!... Je lui pris le con par force. Elle se recueillit, et me dit: -- Signez du moins pour ceci! -- Oui; si je te gamahuche. Elle ne m'entendait pas. Je m'expliquai, ajoutant: -- Et jusqu'à la décharge, ou le plaisir, de ta part, inclusivement! Elle réfléchit... Puis soupirant: -- Ah! combien vous me l'avez fait! Mes rêves étaient causés par vous!... Elle se mit à la renverse sur le lit, en me disant: -- Satisfaites-vous! et... ne me... trompez pas!... Gamahuchez... mais je veux être pucelle le jour de mon mariage avec M. Vitnègre; c'est un homme veuf, et Mme Conprenant dit qu'il s'y connaît. Pendant ce discours, je rassasiais mes yeux d'abord de la vue du plus ravissant des connins; de celle d'un ventre uni comme l'ivoire; d'une cuisse d'albâtre; d'un cul de satin. -- Dépêchez-vous! -- J'inventorie ce que nous devons livrer à ce M. Vitnègre, et tout est bien conditionné, une chose que je te dirai exceptée. Gamahuchons. J'étais enragé! Je la léchais avec fureur, guettant l'instant de l'émission de sa liqueur virginale, pour me jeter sur elle, et l'enfiler. Elle émit dès le sixième coup de langue; de sorte que je ne le pouvais croire. Mais bientôt ses trémoussements m'en convainquirent. Alors, quittant le connin, je me jetai sur elle. Enivrée de plaisir, il est certain qu'elle m'aurait laissé tout faire; mais son jeune connichon, quoique bien humecté de son foutre et de ma salive, ne put être pénétré. L'expérience qu'il faut, pour enfiler certaines pucelles, de la pommade ou du beurre frais, ne m'était pas encore acquise... A la fin, elle me saisit le vit, pour me débusquer. Pressé, de sa main douce et blanche, il déchargea, et couvrit d'un foutre azuré son con, son ventre, ses cuisses et sa main. Propre comme elle le fut toujours, elle se débarrasse, et court se laver. -- Qui ne dirait (m'écriai-je en la voyant s'éponger cul, cuisses et conniche), que je l'ai enconnée!... -- Ah! si vous étiez raisonnable! (répondit Conquette-Ingénue) ce joli gamahuchage, tant que vous voudriez; car j'ai eu bien du plaisir! -- Voilà un joli mot! Et je lui fis darder la langue dans ma bouche, moi lui tenant le connin. -- Mais (reprit-elle), pas ce qui m'a salie, dans ce que je viens de laver! je veux être honnête femme. -- Tu dois ton joli con à ton père, ma charmante fille! -- Si vous étiez plus riche, je renoncerais au mariage, et je me dévouerais à vos plaisirs. Mais il me faut un mari, pour cesser de vous être à charge. Touché, je la baisai des pieds à la tête, soulier, jambe, front, oeil, bouche, cou, tétons, cuisses, cul, enfin motte, jusqu'à ce qu'elle déchargeât... Ensuite, je signai tout ce qu'elle voulut... Elle était adorée, en ce moment.. Elle se maria, sans me revoir, et m'évita pendant trois mois. Une pareille conduite me rendit furieux contre elle, et je jurai de la foutre et faire foutre, si elle retombait entre mes mains, mille et une fois, avant que de lui pardonner!... Mais savais-je alors qu'elle était malheureuse? Chapitre IX Des dédommagements. Victoire-Conquette, ma seconde fille, était en province, depuis la mort de sa mère, chez sa tante Jenovefette, alors mariée avec son dernier entreteneur. N'ayant plus de con à ma dévotion, je redemandai Victoire. En attendant qu'elle arrivât, je m'accommodai de deux petits connins encore imberbes, ou du moins à poil follet, que je parvins à perforer, en les pommadant. C'étaient la soeur et la maîtresse de mon secrétaire, qui lui-même me les livra, comme on le verra par la suite. Nous foutions jusqu'à sa vieille belle-mère; ne voulant pas aller aux putains. Dès que Victoire fut arrivée, je la fis chausser comme sa soeur, à talons minces élevés; et cette enfant, qui atteignait quinze ans, me fit autant bander que son aînée. Mais je ne cherchai pas à la déflorer; elle ne me servait qu'à me mettre en humeur, et à me faire enconner plus vigoureusement et Minone, et Conette, soeur et maîtresse de Traitdamour mon secrétaire, ou leur belle-mère. Pour cela, quand Victoire rentrait parée, chaussée, je la saisissais par la jupe, et je l'asseyais sur mes genoux, à crû, moi déculotté, quand je le pouvais; je me faisais caresser, donner de petits coups de langue. Si j'étais à crû, mon vit lui allait entre les cuisses comme le battant d'une cloche; si elle n'était pas troussée, comme elle était fort innocente, je me faisais empoigner le vit, en lui disant: -- Mignonne, serre-moi le doigt, fort! fort! Minone, Conette, ou la belle-mère arrivaient toujours, Traitdamour en allant chercher une dès qu'il me voyait m'enfermer avec Victoire. En les entendant, je remettais la charmante enfant dans sa chambre par une porte dérobée; j'ouvrais, et je foutais délicieusement, les couilles chatouillées par Traitdamour. Il enconnait ensuite la même, soeur ou belle-mère, et je lui maniais les couilles. Je me serais contenté de cette vie pendant longtemps, quoique toujours amoureux de Conquette-Ingénue, devenue Mme Vitnègre, si mes soeurs Marie et Jenovefette n'eussent trouvé indécent que je gardasse Victoire seule chez moi. Elles m'obligèrent à la mettre en apprentissage pour le linge chez des dévotes qu'elles m'indiquèrent. Mme Beauconnin l'y conduisit. Heureusement que la chère enfant m'avait, depuis quelques jours, donné la connaissance d'une grande et superbe femme séparée, son amoureuse éperdue, sans que la naïve Victoire s'en doutât, et que cette belle femme m'en croyant amoureux aussi, foutît sous moi avec fureur. Car elle m'appelait alors son papa, et me disait: -- Enconne; enconne... enconne ta... provocante Victoire! ta... passionnée, ta... tendre fille! Chapitre X De l'infâme mari. Mais le moment approche où je dois recouvrer Conquette-Ingénue. Mon désir le plus vif, même dans les bras de Mme Moresquin (l'amie de Victoire), était de faire Vitnègre cocu! Un jour, ma Conquette me rencontra sur le pont Notre-Dame. Elle était malheureuse; elle vint se jeter dans mes bras. Je fus si ému, que toute mon ancienne colère s'évapora. Ma délicieuse fille était encore embellie dans les douleurs. Mon premier mouvement fut de lui prendre le con. Mais nous étions dans la rue... J'allai la voir dès le lendemain soir, à l'heure où elle m'avait dit que son mari, ou plutôt son monstre, n'y était jamais. Je la trouvai seule en effet; et dès cette première visite, elle m'avoua qu'elle avait un amant. Ravi de cette confidence, qui m'annonçait le cocuage de Vitnègre, je la flattai, je l'amadouai; je l'engageai à se le laisser mettre par Timori (son galant). Mais je compris bientôt que c'était, des deux côtés, un amour absolument platonique, où Conquette-Ingénue se consolait, auprès d'un bandalaise, des brutalités d'un débauché. Elle aimait à parler de son amant. Et, comme j'étais le seul avec qui elle le pût en sûreté, que je promis de leur procurer des entrevues, je fus chéri. A la seconde visite, Conquette me découvrit quelques infamies récentes de Vitnègre. Un jour qu'elle se baissait, pour ramasser quelque chose, il lui fit prendre le con par un de ses amis. Elle s'écria. -- Ce n'est rien qu'un con de pris (dit froidement Vitnègre)... (à son ami): -- Ne t'avais-je pas bien dit qu'elle avait le poil du con plus satiné que de la soie?... Eh bien! le dedans est plus doux encore... Conquette voulut se retirer. Il la retint brutalement, la fit mettre sur lui, la troussa jusqu'aux cuisses, et lui tint le con, s'efforçant de le faire voir, ou de la branler, pendant tout le temps qu'il fut à raconter combien, quand elle le voulait, elle donnait de plaisir à son caresseur. -- Mais (ajouta-t-il), elle est comme les putains; il faut la rosser, pour lui faire faire son devoir. Il voulut ensuite lui découvrir la gorge. Elle s'échappa. Mais il l'atteignit d'un coup de pied... Quelques jours après, le même étant venu dîner, après le café, Vitnègre s'étant aperçu que sa femme, après avoir pissé, avait fait bidet, dit à Culant son ami: -- Voilà un con bien propre! il faut le gamahucher tous les deux, d'adresse ou de force! Mais, dans ce dernier cas, ne t'étonne pas du bruit!... Pour le premier, voilà une clef; elle ouvre la porte du cabinet qui donne sur le corridor. Tu entreras quand, lassé, je dirai très haut: -- Allons, Madame, faites-moi beau con, et recommençons. Et donne-t'en! car je voudrais que toute la Terre foutît la garce; elle n'est pas assez large... Conquette fut rappelée. Le mari la fit asseoir au milieu devant le feu, mit à l'air son vit, ses couilles de mulâtre, et dit à son ami d'en faire autant. Comme il hésitait: -- Déculotte-le tout à l'instant, bougresse, ou je t'arrache les poils du con à la poignée! Et il y porta la main. Elle fit un cri. Culant mit aussitôt à l'air son vit et ses couilles, en demandant grâce pour elle. -- Allons, bougresse, branle-nous tous deux, un de chaque main!... -- Je suis son maître (ajouta le scélérat); elle m'est abandonnée. Conquette pleurait. L'ami demanda encore grâce pour elle... -- Eh bien, qu'elle me suce le vit, là, à genoux devant moi, que je lui décharge dans la bouche! Je déchargeais dans celle de ma première femme, qui en est morte, et c'était mon délice. Culant observa, que ce serait gâter la plus jolie des bouches. -- Hé bien donc, je vais la gamahucher. -- Je banderais trop! (dit Culant) passez dans ce cabinet. Vitnègre y poussa Conquette, et se substitua Culant. Puis il sortit pour aller jouer. Culant gamahucha, et n'osa foutre Conquette, ayant le vit si petit, qu'il ne pouvait être pris pour Vitnègre. Mais il déchargea six fois, et Conquette le double. Il se retira, en lui donnant un coup de poing, afin qu'elle fût persuadée que c'était Vitnègre. Mais le soir, à sa rentrée, le monstre dit à sa femme: -- Eh bien, bougresse? as-tu été assez gamahuchée? ce n'était pas moi; je ne t'aurais fait l'honneur de décharger six fois; c'était mon ami. Mais, garce, tu l'as reconnu, puisque tu en as déchargé douze, et que tu ne bandes pas pour moi. Et le bon coup de poing qu'il t'a donné, hein? l'as-tu senti? (l'infâme éclata de rire). Allons, garce de bâtarde d'avocat, te voilà putain; j'entends que ton con me rapporte. Effrayée, Conquette se promit de le quitter. Ce fut le lendemain qu'elle me rencontra, et de ce moment elle prit de la fermeté contre le monstre. Ce récit de ma fille, quoique plus gazé dans sa bouche, m'avait révolté! je lui promis un prompt secours... Mais en même temps il me faisait bander en carme, comme tous les récits de brutalités libidineuses. Je demandai des faveurs. On rougit; mais on me laissa baiser un joli soulier vert, qu'on portait pour la première fois. Je m'en tins là. Cependant, à la visite du lendemain, je glissai, en riant, une main dans son dos; insensiblement j'en vins aux tétons, qu'elle défendit, mais qui me restèrent enfin. Je me fis ensuite donner de ses cheveux; puis, voulant voir jusqu'où je pourrais la mener, sans l'effaroucher, je la tourmentai pour avoir une petite touffe des poils de son con soyeux. Elle me la donna; mais en tremblant que son mari ne s'en aperçût! Pour la remettre, je la fis parler de son amant; et pendant cet entretien, de libertés en libertés, je parvins au con. Elle était si parfaitement á son sujet, que je crois en vérité qu'elle s'imagina que c'était Timori qui lui tenait la motte!... Je lui dis, en la patinant, que je lui avais trouvé une pension, pour quand elle aurait quitté Vitnègre. Elle rougit de plaisir, et m'embrassa. Je lui dardai ma langue, et elle me fit sentir la sienne... Ravi, j'allais lui demander le récit de la manière dont elle avait été dépucelée, quand, Vitnègre s'étant fait entendre, je me jetai dans le cabinet obscur, me proposant de m'évader par la porte du corridor. Mais je fus étrangement surpris de voir un moine introduit par cette porte! Il ne m'aperçut pas; je me cachai derrière un grand sofa. Vitnègre entra aussitôt par la porte de la pièce que je quittais: -- Mon révérend Père, voulez-vous la foutre avant dîner?... Le moine, qui dévorait des yeux la belle Conquette à travers les vitrages, parut concentré... Au bout d'un moment, il répondit: Chapitre XI Pucelage destiné aux gros vits, pris par un petit. -- Non: comme nous en sommes convenus, passez dans la chambre éclairée; faites-moi voir, en badinant avec elle, tétons, cul et con; je me réserve pour la nuit. -- Oh! ce coup-ci serait par-dessus le marché. -- Non: j'aime à foutre au lit, à suçoter langue et tétons; à enconner, enculer, entétonner, etc., à mordre, arracher les bouts... Allez... Ayez le vit à l'air, et qu'elle soit bien chaussée... De la brutalité! Vitnègre rentra déculotté auprès de sa femme toujours tremblante devant lui. -- Allons, bougresse, il me faut du plaisir! Vois comme je bande, à la vue de ce joli soulier vert!... J'ai entendu hier un jean-foutre derrière toi qui disait qu'il aurait voulu décharger dedans... A bas ce fichu, que je voie tes tétons... Comme ils sont jolis! blancs!... fermes! Ah! garce! j'arracherais ce joli bouton, si je ne craignais de les gâter!... Marche.... Quel tour de croupion foutatif!... Troussée, putain, au-dessus des reins et du nombril, que je voie ce mécanisme-là!... Marche en avant, présentant le con... Retourne-t'en montrant le cul... Ah! le joli mouvement!... Continue, garce à cul et à con, jusqu'à ce que je te dise, Holà... (Elle fit ainsi cent tours, montrant alternativement son cul, son con)... Cependant le moine disait: -- Ce bougre-là n'a pas le vit si gros que moi, et il n'a pu la dépuceler! Oh! comme elle criera cette nuit!... Mais je n'y tiendrais pas; je la tuerais; elle crierait à faire venir le voisinage... Je m'en vais. Et il sortit doucement, en murmurant: -- Elle est à tuer; elle le sera!... Au même instant, Vitnègre dit: -- Holà, garce engarcée. Et il vint dans le cabinet... -- Qu'en dites-vous? (dit-il) la voulez-vous essayer? Je bandais à n'en pouvoir plus. Je répondis bien bas pour le moine: -- Oui. Vitnègre alla chercher sa femme; et, la poussant brutalement: -- Allons, de par Dieu, garce, putain, que je te foute... Ah! comme tu vas crier! Mais songe, sacré connin de poupée, à ne pas faire venir ici les voisines! ou je les laisse tous entrer, sans me déranger de sur ton sacré ventre!... En achevant ces mots, il me la renversa troussée sur le foutoir mis là exprès, et se retira. Je me précipitai sur ma fille, qui se sentant enfilée presque sans douleur, ne criait pas. -- Crie donc! (lui dis-je bien bas). Et elle cria à tue-tête, en se reconnaissant enconnée par un étranger. Dès que j'eus déchargé délicieusement, en lui faisant osciller le con, je m'échappai, avant que les voisines arrivassent; et comme elle continuait à crier, je les envoyai à son secours. On la trouva debout. -- C'est ma femme que je baisais (dit Vitnègre). Regardez-y; il en est encore tout barbouillé. Mais elle est du naturel des chattes; elle mord et crie, quand on la fait bien aise. Les voisines rirent, et se retirèrent. Vitnègre dîna, et fut assez honnête; il craignait que sa femme n'eût connu qu'elle était foutue par un moine, et qu'elle ne parlât. Je dînais dans un cabaret en face. Je le vis sortir, et aussitôt je retournai chez ma fille, qui me conta tout. Je me tus d'abord. Je lui fis raconter la manière dont je croyais qu'elle avait été dépucelée; parce que ce récit avait du haut goût pour moi, et qu'il me ranimerait assez, pour me la faire foutre encore. Elle le fit, dès que je l'eus mise en goût, en lui rappelant de son amant. -- Notre première nuit et les trois suivantes ont valu chacune cinq cents louis à Vitnègre, à ce qu'il m'a dit par la suite. Dès que nous fumes arrivés à sa demeure, il alluma quatre bougies, qu'il mit autour du lit, sur lequel il me renversa troussée jusqu'aux reins. Il me tourna, retourna, m'examinant, me baisant partout. Il me faisait lever les jambes en l'air, puis mettre debout sur le lit. -- Remue du cul (me disait-il), ainsi, ainsi (me montrant), comme si je te foutais. Je lui observai que cela était indécent. -- Bast! une femme est la putain de son mari... Il me gamahucha. Il s'écria de toutes ses forces: -- Elle décharge! Et il me fit empoigner son gros membre, de la couleur et de la grosseur de celui d'un cheval. -- Allons! allons, que je te foute, à présent. Il se jeta sur moi. Mais il ne put rien. -- Foutre! Celles qui disent que ton père t'a dépucelée sont des garces! tu es pucelle comme quatre. Je voudrais que tout le monde fût là, pour en être témoin... Il me pommada... devant, derrière. Il éteignit les bougies (mon pucelage était vendu), et il parut se coucher. Mais ce fut un autre; car toute la nuit je fus tourmentée par un gros membre, qui ne put rien... Depuis le mot de son récit, Elle décharge! elle décharge! j'avais glissé une main entre les cuisses de ma fille, sans qu'elle s'en plaignît. Ici, je lui happais le con. -- Ah! Papa! ne me ménagerez-vous donc pas plus que les autres, un jour où... j'ai été dépucelée! -- Dépucelée! Ah! céleste fille!... Est-il bien vrai? -- Jamais on n'est entré... dans ce que vous me tenez... qu'aujourd'hui! -- O fille adorée! je suis un dieu, et non pas un homme... Mais tu m'as fait trop bander: ta précieuse faveur!... ou... j'aurais... une colique spermatique épouvantable! Et je l'enlevai vivement dans mes bras; je la portai dans le cabinet obscur. Chapitre XII Du plus délicieux des incestes. -- Vous voilà tous! (me dit-elle); et mon papa lui-même ne me recherche que pour ce trou-là! -- Et pour ton cul, tes tétons, ta bouche, tes yeux, ta taille voluptueuse, ton tour provocant, ta jambe, ton pied foutatif, ton âme naïve et virginale, malgré tout ce qu'on a fait, pour te rendre putain. En parlant ainsi, je la troussais par derrière, courbée qu'elle était sur le foutoir, et je me disposais à le lui mettre en levrette; mais il la fallut pommader. Elle reprit: -- Mais c'est ma faute! ces récits-là enflamment tous les hommes. Timori n'a été prêt à me déflorer qu'une seule fois; et ce fut après ce même récit moins détaillé. Cependant elle faufuyait, pour que je ne l'enfilasse pas. Je m'en plaignis tendrement: -- Tu veux donc me rendre malade, ma chère enfant? Elle s'attendrit; ses beaux grands yeux bleus devinrent humides; elle se cambra, pour me l'insérer elle-même, et me dit, en me secondant, malgré quelque douleur, adoucie par la pommade: -- Quand ma soeur et moi nous vous l'avons vu tant de fois mettre ainsi à ma mère, sur le pied de votre lit, vous criiez de plaisir!.... n'allez pas en faire autant! Vitnègre peut revenir! Je lui promis le silence, telles délices que j'éprouvasse... J'enconnais. Ma belle faisait de petits mouvements de contraction du connin. Jamais satin ne fut aussi doux que l'intérieur de ce connin céleste; connin encore imberbe n'est pas plus étroit! -- Ah! si ton gueux avait connu le prix de ton divin con, il t'aurait défoncée, eusses-tu dû en périr! -- Non: comme il l'a trop gros, il craignait de m'avachir. Il se branle, ou me fait le branler, en me tenant le poil, ou une fesse, et décharge... en... blasphémant (Elle se contracta, et déchargea). Je partis alors délicieusement, en me récriant, malgré ma promesse. -- Remue du croupion (ne cessais-je de dire), remue du connin, mon ange!... Bon... bon!... encore! encore!... Et elle se contractait, en redéchargeant, au point que le fond de son con me pinçait, et me suçait le bout du vit... Je déchargeai trois fois sans déconner; et elle, peut-être dix fois. Ce que je sentais à ses trémoussements convulsifs. Enfin, elle se pâma... Je déconnai, dès qu'elle cessa d'émettre. Elle se lava aussitôt, craignant que Vitnègre, en arrivant, ne lui prît et ne lui flairât le con, suivant son usage, même devant le monde qu'il amenait. Pour nous reposer, nous allâmes causer à la lumière. Je lui révélai là toute l'aventure du moine, pour lequel Vitnègre lui avait fait si longtemps tenir en vue tétons, cul, connin. Je lui peignis la grosseur du vit du moine, le double de celui de son monstre; la joie barbare qu'avait marquée l'exécrable moine, à côté duquel j'étais caché, de la pourfendre et de la tuer, la nuit prochaine, avec son vit comme un timon de carrosse... Elle se jeta dans mes bras: -- O mon cher papa? sauve-moi! et je te suis dévouée à jamais! -- Je te sauverai... Je lui expliquai comment et pourquoi le gros moine s'en était allé; l'assurant que je l'aurais poignardé, s'il avait entrepris de la violer sur-le-champ. Je lui détaillai comment son abominable mari me l'avait livrée, comptant la donner au moine, auquel elle était vendue. -- Tu sais, ma ravissante fille comme je te l'ai mis? c'est moi, contre tout espoir et toute vraisemblance, qui ai ravi à nos ennemis, ton céleste pucelage! Conquette me donna un joli baiser sur la bouche. -- Mais comment me sauveras-tu? -- Je viendrai te prendre dans une heure; je t'emmènerai; tu coucheras dans ta pension. Aussitôt que tu seras en sûreté, je ferai entrer dans le cabinet obscur, avec ta clef, et coucher dans ton lit, la jolie putain du Port-au-Blé, déjà prévenue, comme pour y coucher avec moi. Je guetterai. Dès que Vitnègre et le moine seront arrivés, je m'échapperai. J'écouterai; et nous verrons demain. Ma fille fut ravie. Je la sauverai: mais j'aurais dû l'emmener au moment même. Au lieu de cela, je m'amusai à lui faire raconter la seconde et la troisième nuit de son mariage. Chapitre XIII Du con et du cul vendus. Voici comme ma céleste fille reprit la narration que je désirais: -- Le second soir, Vitnègre recommença les mêmes choses. Il me prenait légèrement la gorge: -- Ferme comme un gland! (disait-il)... Il me plaçait comme s'il m'avait montrée à quelqu'un (ce qui n'était que trop réel!). Après avoir mis en vue ma conque, il me tournait pour faire voir mes fesses. -- Elle est encore pucelle (dit-il, comme s'il se fût parlé à lui-même); pour la perforer, il faudrait la pommader en diable, et se pommader à soi-même le v... Il me gamahucha violemment; et quand j'eus émis suffisamment, selon lui, il me laissa reposer. Après un court sommeil, je m'éveillai couchée sur le ventre, ayant sur moi un homme, qui s'efforçait de m'introduire dans le fondement un fort gros membre. Mais quoiqu'il n'eût aucun égard à mes soupirs douloureux, il ne put jamais s'ouvrir le passage par la rosette de mon anus (ce fut son expression, prononcée très bas à quelqu'un). J'entendis ensuite, dans cette pièce-ci: -- Il faudrait qu'un v... moins gros que le mien me la fraye... Voyons, toi! Trop gros, de beaucoup!... Je n'y comprenais rien. Je m'endormis, et ne m'éveillai plus. Le lendemain, dans la journée, Vitnègre m'ayant beurré la rosette, et plongé son membre dans l'huile d'olive, me fit coucher sur le ventre et retrousser. Il se mit sur moi, en disant: -- Il faut que j'en tâte de ce ragoût de bougre. Je lui représentai, qu'il m'avait essayée toute la nuit. -- Ça va jusqu'à toi (me répondit-il), et ça te passe.... Ah! que d'argent me vaudraient ces deux bijoux-là, s'ils étaient connus! Il fit tous ses efforts, me martyrisa deux heures durant sans succès, et finit, parce qu'une copieuse déch--ge... lui ôta sa roideur et ses forces... Le troisième soir, il répéta encore tout ce qu'il m'avait fait... A mon réveil, dans mon premier somme, je me trouvai sur le dos, ayant un homme sur moi, qui m'attaquait le bijou de toutes ses forces. Je m'écriai! Vitnègre me dit: -- Décharges tu, ma fille? On me quitta, et Vitnègre ajouta: -- Si tu cries comme au feu dès que je voudrai te le mettre, nous voilà bien!.. Allons, empoigne-moi le vit, que je déch-- ge... Chatouille-moi les couilles de l'autre main... Tiens, comme je fais à ton c-n. Va, va, va... vaah (Il ne m'appelait encore ni putain, ni garce; ce ne fut qu'au bout de six semaines). Mais ce n'était pas lui que je maniais; j'en ai fait l'observation depuis. On émit six fois de suite, je secouai cet homme plus d'une heure. Il en fut une autre à me gamahucher. Je n'en pouvais plus!... Il me fit ensuite lui pisser dans la bouche, et n'en perdit pas une goutte, il avala tout. Il me laissa enfin.... Si je n'avais pas été dans une sécurité parfaite, je me serais bien aperçue, que Vitnègre le reconduisait, en disant: -- L'opération, l'opération! Mais me doutais-je de rien?... Je rebandais, malgré quatre décharges, et déjà je disais à ma fille: -- Connin céleste, je n'en puis plus!... Je ne te cacherai pas, ma délicieuse amie, qu'outre ma passion pour toi, qui est inexprimable comme ta beauté, j'ai un excitatif puissant: c'est de faire cocu Vitnègre. Je voudrais, s'il était possible sans triturer tes charmes divins, que toute la Terre te passât par le con, pour qu'il fût le cornard universel... Viens me donner le bonheur! Et je l'emportais, quand nous entendîmes tourner la clef. Je me cachai aussitôt dans le cabinet obscur... C'était Vitnègre, qui rentrait avec un jeune homme. Nous entendîmes clairement, qu'il lui disait avant d'entrer: -- Tu as le vit comme il le faut; c'est ce qui me fait te donner pour six bougres de louis un pucelage qui en vaut mille. Il est essentiel que je te surprenne, et veuille la tuer. Tu me supplieras, et je n'accorderai sa grâce, qu'autant qu'elle te secondera, pour l'enconner. Mes gros vits s'ennuient de ne pouvoir la foutre ou l'enculer. Ils me paient une grosse pension. Aussi je la nourris bien, et tu vois comme elle est mise. Tu me l'enconneras d'abord: c'est le plus pressé. Demain, tu l'enculeras. Sache que son mari l'adore; s'il la rudoie, c'est pour la rendre souple à toutes ses volontés. Elle me vaut trente mille francs, en trois mois de mariage. Entrons; elle va te ravir: mais point de pitié! Tel fut le discours du monstre.... Je poussai Conquette devant moi; je la conduisis à sa pension, d'où elle revint avec moi. Il était nuit. Je pris Conillette, la putain, arrangée, appétissante. Conquette nous précédait. Rassurée par ma présence, elle ouvrit le cabinet obscur. Elle entra. Nous la suivions. Je dis à Conillette de s'étendre foutativement sur le pied du lit... Cependant ma fille se présentait. Elle fut reçue avec transport. Le jeune homme, appelé Lenfonceur, et Vitnègre lui-même, la couvrirent de louanges. On ne lui baisa que la main. Vitnègre, néanmoins, qui (de même que les trois fouteurs à gros vits, et le moine), était fou de sa chaussure à talons minces élevés, lui baisa le pied. Il lui dit ensuite: -- Ah ça, ma fille, allons-y par la douceur. Il serait malheureux pour moi de renoncer à te le mettre; il faut se faire une raison: mon vit est trop gros; non préparée, il te déchirerait. Voici un vit mieux proportionné, qui va te perforer, sans décharger; ainsi percée, mon gros vit pénétrera cette nuit au fond de ton con. Vois-moi ce vit-là!... Et il mit à l'air le vit de l'Enfonceur, ou plutôt de Timori... Il fallait que Vitnègre eût découvert, on ne sait comment, l'inclination de sa femme inspirée par le beau blond, pour en user comme on va le voir. Chapitre XIV Le jeune homme, la fille, le moine. Ma fille, en reconnaissant son amant, que son mari lui amenait pour l'enconner, avait rougi de pudeur, ou de désir. Elle trouva moyen de venir à moi, pour me dire: -- Faites disparaître la fille; on ne l'emploiera que cette nuit. Je vis bien qu'elle voulait être foutue par son galant. Je cachai la putain. Voici maintenant le récit de ce qui va se passer. Dès que Conillette se fut commodément arrangée derrière le grand sofa, Conquette retourna auprès des deux hommes, qui la rapportèrent au foutoir, assise à cul nu sur leurs mains unies. -- Allons, ma petite garce de femme (lui disait Vitnègre), tu vas pourtant être dépucelée, foutue! Mais ce n'est rien! c'est quand tu auras un gros vit, cette nuit!... Il la troussait, l'arrangeait. -- Lenfonceur, que je te mette le vit dedans! -- Non, non; ma belle se le mettra elle-même. -- Tu as raison. Il faut qu'elle s'y accoutume. Vitnègre sortit, et j'observai qu'il laissait la porte ouverte. J'en augurai quelque noirceur. Mais j'étais là... Timori, bien bas, dit à ma fille: -- Vous le mettrai-je, ma bonne amie? -- Non, non! il est allé chercher des écoutants [ce mot glaça Timori]. -- Mais il vous estropiera? -- Je ne couche pas ici. Alors l'amant satisfait, se mit à la gamahucher doucement. Cependant la Voluptueuse déchargea... Elle était aux anges, quand j'entendis Vitnègre revenir. Je crus qu'il amenait le moine. Il entra, passa rapidement, suivi de trois voisines, auxquelles il disait: -- Je vas vous montrer ça. Effectivement, il leur montra quelque chose dans sa chambre... Cependant mon amoureuse fille, gamahuchée par un amant aimé, fit un profond soupir. Les trois voisines prêtèrent l'oreille. -- Ce n'est rien (dit Vitnègre); ma femme est rentrée, et je ne le savais pas. C'est pour elle cette étoffe-là. -- Oh! il faut la lui montrer! (s'écrièrent les trois voisines). Le monstre retint celle qui allait la chercher. Il prit la lumière, en disant: -- Je vais auparavant voir si elle ne dort pas. Il ne fut qu'à la porte, où il s'arrêta d'un air de surprise et d'horreur!... Il recula. Mais les trois voisines avaient vu comme lui, par-dessus son épaule, Conquette troussée, étendue à la renverse sur le pied du lit, la tête d'un homme entre ses cuisses... Il les fit sortir par le corridor, en se frappant le front... Il avait rempli son but. Si sa femme criait pendant la nuit, les trois voisines, qui se croyaient bien au fait, y mettraient les autres. Si Mme Vitnègre périssait écalventrée par le timon du moine (qui, étant extrêmement riche, devait la payer 60 mille francs, et qui en avait déjà tué plusieurs, choisissant toujours les plus étroites), ce serait la morte qui aurait tort... Cependant Vitnègre rentrait auprès des deux amants, qui avaient changé de position: Lenfonceur, après avoir déchargé par terre, s'était remis sur le ventre de ma fille: -- Eh bien? (dit l'infâme mari) est-elle enfilée? bien enconnée?... Déchargez-vous? décharge-t-elle? Nous avons déchargé (répondit Timori-Lenfonceur). -- Je vas sortir (reprit Vitnègre). Ramone-la-moi encore pendant une bonne demi-heure, que je serai dehors... Et ne vous étonnez pas de ce que vous allez entendre. J'ai mes raisons. Il alla dans le corridor, dont il ouvrit doucement la porte, et se mit à crier sourdement, comme s'il avait bourré sa femme à coups de pieds: -- Ah garce! ah putain!... Tu fous, sacrée salope! Quand je suis sorti, tu raccroches!... Je vais chez le commissaire! Il ouvrit la porte bruyamment, et la referma de même. Mais il dit tout bas, avant de s'éloigner: -- Remue du cul, ma petite femme!... Courage, Lenfonceur! fraye-moi la bien! -- Voilà un rusé scélérat! (dis-je à ma fille, pendant que Timori observait la sortie de Vitnègre) Le moine t'aurait tuée, et il ne néglige rien pour motiver ta mort. -- Sauvons-nous! (me dit-elle). -- Non, non; nous sommes assez pour te défendre. Feins à Timori que j'arrive... Le jeune homme rentra. -- Voici mon papa, arrivé à propos! -- Ah oui! (répondit Timori), sa présence pare à tout; car j'allais proposer de nous enfuir. Mais, à présent, voyons ce qui arrivera. Je lui montrai Conillette, et je lui fis entrevoir notre plan, que Timori trouva merveilleux!... Le temps s'écoula vite. Nous entendîmes revenir. Timori reporta la lumière dans la chambre; nous nous cachâmes ma fille et moi; tandis que le jeune homme s'étendait sur le ventre de Conillette troussée... -- Que ton vit ne m'approche pas! (lui dit-elle) je suis gâtée; que tes couilles ne me touchent pas le poil; j'ai des morpions!... Vitnègre entrait, suivi du moine, que le voisinage aux fenêtres prit pour le commissaire. Chapitre XV Du fouteur à la Justine. Le moine ôta d'abord sa robe. Mais nous l'avions tous vu. Il mit ensuite à l'air un vit, si monstrueux que ma fille tremblante m'étreignit dans ses bras. -- Oh! qu'il est gros (dit Vitnègre). -- Il a tué deux de mes soeurs religieuses, qui avaient fait chacune deux enfants de notre Prieur. J'ai tué toutes les femmes que j'ai enconnées; il n'y a que ma mère que je n'ai pas écalventrée; mais je n'eus pas de plaisir; la vieille garce ne saigna presque pas! j'eus peu de plaisir... Pour ta femme... Ah, quelle rage!... Mais elle est foutue... elle sera morte avant que j'aie achevé de l'enconner... Je l'enculerai expirée... Je t'en apporte le prix: 60 mille francs en billets de la caisse... Vitnègre le compta; les serra. -- Si je pouvais l'enconner une pauvre fois! -- Tu te fous de moi!... Après, après; elle sera encore chaude... Je frémissais! et comme j'avais deux pistolets chargés, je fus tenté de brûler la cervelle à ce monstre; mais il allait avoir la vérole... -- Voulez-vous, avant qu'elle soit abîmée, lui voir le con? sa jolie figure? -- Non! cela m'amollirait le vit.... Conduis-moi sans lumière. Ils vinrent à tâtons. Vitnègre précédait, pour éloigner Lenfonceur. Trouvant une femme seule, et troussée, il voulut lui mettre, en soupirant, sa langue dans le con. Elle l'en empêchait, quand le moine faillit de l'écraser, en tombant sur la fille. Vitnègre fut obligé de se retirer a quatre. Le premier acte du Père Foutamort (comme Vitnègre le nomma), ce fut de mordre le bout des tétons de sa monture, en lui dardant son engin, qui ne pouvait entrer dans ce vaste con, encore élargi par une éponge, que la fille venait d'en ôter. Conillette fit un cri perçant! Et, se sentant déchirer le con, elle voulut se dérober, en égratignant des deux mains. Foutamort, qui savait bien qu'elle ne pouvait en échapper, et dont le plaisir était d'autant plus grand à tuer une femme, qu'elle était plus belle et plus étroite, ne la ménagea pas; tout en l'écartelant, il lui arracha le bout des seins avec ses dents. Un profond évanouissement, ou la mort, fit cesser ses cris... Je me repentis de n'avoir pas d'abord tiré un coup de pistolet à bout portant dans la tête du moine... Mais les voisins au bruit auraient peut-être enfoncé les portes; ce fut ce qui me retint... Foutamort, parvenu au fond du con de la fille écalventrée, déchargea enfin en jurant et rugissant. -- Fous un coup (dit-il à Vitnègre), avant que j'encule la garce! Le scélérat vint; mais, sentant un cadavre plein de sang, il se retira. -- Elle est morte! (dit-il). Foutamort la tâta: -- Non; le coeur bat encore; vite que je l'encule. Le cul de Conillette était bien plus étroit que son con; le moine haletait. Il en vint cependant à bout, car il dit à Vitnègre: -- Je n'ai fait qu'un trou des deux. Et il déchargea horriblement!... Ma fille, épouvantée, m'étreignait par le milieu du corps. Vitnègre pleurait: -- Ma pauvre femme! je t'ai livrée à ton bourreau! -- Ne te l'ai-je pas payée? (dit le moine) Elle est bien à moi... Ainsi, va te coucher, et fous tes 60 mille livres; tu me gênes. Pour moi, pendant qu'elle est encore chaude, je vas, pour mon argent, foutre cinq à six fois le cul et le con de ma putain. Vitnègre alla se coucher dans un petit cabinet, où il s'enferma. Aussitôt Foutamort s'acharna inépuisablement sur sa victime expirée... Enfin, épuisé, il alla chercher la lumière, pour en repaître ses cruels regards... J'ai dit que la fille était jolie. Elle est belle encore! (dit le monstre) Mais la figure de la putain est toute bouleversée; elle ne se ressemble plus à elle-même... Il lui regarda le con, en lui soulevant le cul... Il la laissa retomber, en éclatant de rire: -- Ma foi, la gueuse n'a plus qu'un cul, ou qu'un con... je ne sais lequel... Mais est-elle bien morte? Il la déshabilla, l'emporta nue dans l'autre pièce, la mit sur une grande table; alla prendre un vaste saladier; tira un bistouri [Nous le voyions par la cloison vitrée]. -- Décharnons-la. Il lui cerna la partie charnue des seins, la motte tout entière, la chair des cuisses; lui fendit le ventre, lui arracha le coeur, les poumons, le foie, la vessie, la matrice; la retourna, lui enleva la chair des fesses, lui coupa les pieds chaussés, qu'il mit dans une poche, les mains, qu'il serra dans l'autre. Il la retourna encore; lui coupa la langue, la tête, ôta la chair des bras. Il vint ensuite chercher sa chemise et un drap du lit, en disant: -- Voilà un bon régal pour nos moines et pour moi. Le terrible anthropophage mit le saladier dans la chemise; ensevelit le corps dans le drap; fit lever Vitnègre pour le coudre; puis il lui dit de publier le lendemain que sa femme se mourait; de la mettre le soir dans une bière, et que lui moine se chargeait de la faire enterrer. Et, après lui avoir recommandé de bien effacer au grand jour toutes les traces de sang, il sortit vers les 3 heures du matin, emportant son saladier de chair humaine. Vitnègre pleura d'abord. Mais, nous ayant entendu remuer pour sortir, le lâche eut une frayeur si grande qu'il alla s'enclore dans son petit cabinet. Nous sortîmes donc tout à notre aise. Comme nous traversions la petite cour, nous entendîmes les voisins qui disaient fort bas: -- Il ne l'a pas tuée; voilà qu'on l'emmène!... Nous nous mimes à fuir par de petites rues, dès que nous fumes dehors, de peur d'être suivis. Et bien à-propos! nous entendîmes courir. Mais on ne prenait pas notre chemin. Je remenai ma fille à sa pension, laissant là Timori, pour observer, et lui promettant de revenir dans une demi-heure. -- Voilà donc (me dit-elle), quel serait à présent mon sort, si, en vous accordant mes faveurs, je n'avais pas reculé votre départ! O mon cher papa! tout mon corps est à vous, pour en faire ce que vous voudrez! Je lui demandai sa bouche. Elle me darda sa langue; et nous arrivâmes. Je lui dis de se coucher. -- Non, non! et mes malles.. mes bijoux; si nous pouvions les avoir? J'admirai sa présence d'esprit!... Il était près de 5 heures. Je courus rejoindre Timori, qui se promenait devant la porte. -- Rien encore (me dit-il). Un instant après, nous vîmes sortir Vitnègre. Timori le suivit, et j'allai chercher ma fille, sa présence nous étant nécessaire, si d'officieux voisins nous arrêtaient. A mon retour avec ma fille et deux crocheteurs, je retrouvai Timori, qui nous dit que Vitnègre avait passé le boulevard. Ma fille ouvrit. Nous chargeâmes quatre malles préparées, mais cachées; nous sortîmes sans être vus, et nous allâmes par des rues détournées, chez mes affidés. Ce fut alors que ma Conquette fut tranquille! Elle se coucha, et nous allâmes reposer chacun chez nous, Timori et moi. Chapitre XVI Foutoir; petit magasin; enterrement; amour. Nous en sommes aux fouteries par excellence; à celles qui vont aguerrir ma délicieuse Conquette-Ingénue, ma ravissante Victoire-Conquette, faire leur fortune, la mienne, en leur ôtant une fausse délicatesse, et découvrir une chose admirable, qu'on ne verra qu'à la fin. La route que je vais prendre, pour former ces deux belles et leurs compagnes, étonnera d'abord! mais en toutes choses, il faut attendre le dernier résultat... Reprenons ce charmant récit, en faisant précéder quelques fouteries préparatoires, qui amèneront les grandes. Mais il n'y aura plus, dans le reste de l'ouvrage, aucune horreur qui ressemble à celle du moine Foutamort. Les horreurs à la Dsds sont aisées à présenter; c'est la peinture de la douce volupté qui est le chef-d'oeuvre du génie. La première visite que reçut Conquette, le lendemain, jour de son enterrement, et à la même heure, fut celle de Timori. Il la trouva chez ses hôtes. Il venait lui raconter comment, après être morte la nuit précédente, elle venait d'être enterrée. Mais Il ne pouvait parler devant le monde. Or, j'avais dans cette même maison, à quelques marches au-dessous, mais sur le derrière, un petit magasin, où je cachais chaque numéro de mes Annales, que supprimait le gouvernement d'alors. Ma fille y devait faire mettre son lit, le soir même. Il y aurait sans doute été déjà; mais elle ne faisait que de se lever. J'y avais placé pour mon usage, celui de mon secrétaire, de sa soeur, de sa maîtresse et de sa belle-mère, un foutoir commode, dans le ventre duquel on pouvait parfaitement se cacher. [Vitnègre en avait un tout pareil, dans lequel il se mussait, quand un de ses trois payeurs venait, pour essayer de dépuceler le con ou le cul de sa femme, qu'il appelait, sa poule aux oeufs d'or; il voulait tout voir, craignant qu'un des trois ne la lui enlevât. C'était aussi par volupté; il était passionné pour la chaussure de sa femme. Lors donc que, tendrement gamahuchée par un des trois bougres (car ils l'adoraient, et ils vont bien la regretter), elle émettait, il lui tirait un soulier qui, se trouvant étroit vers la pointe, lui servait de con. Aussi disait-il à ses intimes: -- Je n'ai jamais foutu ma femme qu'en soulier. Conquette, sentant bien que Timori avait bien des choses à lui dire, et qu'il ne pouvait parler, prétexta qu'elle avait laissé dans mon magasin une lettre à lui montrer. Elle avait une double clef. Ils y descendirent ensemble. Je venais d'y arriver. J'entendis la marche de ma fille, sa voix basse, et celle de Timori. Je me cachai dans le foutoir. Ils entrèrent. Conquette ferma soigneusement la porte, la couvrit du matelassement qui empêchait qu'on ne fût entendu au dehors, et ils s'assirent sur moi. "Ah! Madame (dit Timori), quelles scènes!... Il avait découvert que je vous aimais, à mes regards, et parce qu'un jour étant avec lui chez vous, pendant qu'un de vos acheteurs vous caressait sous son nom, il me vit baiser à la dérobée une de vos chaussures. Mais il paraissait ignorer non seulement que vous m'aimiez, mais que je vous fusse connu. Hier, à 3 heures, m'ayant trouvé au café, il me dit: -- Je ne saurais dépuceler ma femme; j'ai le vit trop gros. Tu es beau garçon; je t'ai choisi, pour la dépuceler aujourd'hui, à l'instant; je te demande seulement six louis, qu'elle aura pour ses épingles. Je les lui donnai sur-le-champ, et nous partîmes... Vous savez le reste... Ce matin, après vous avoir quittée, j'ai été me reposer jusqu'à 10 heures, que j'ai été à mon bureau. Mais, passant devant sa porte, j'y ai frappé. J'ai entendu deux voisines qui se disaient fort bas: -- Le confesseur y est! ce n'est donc pas elle qu'on a emmenée cette nuit... L'infâme m'a ouvert. L'horrible moine était avec lui. Un frère avait apporté la bière bien enveloppée, et il récitait tout haut des prières auprès du cadavre dans le cabinet obscur. -- C'est un ami (a dit Vitnègre)... Ma pauvre femme est morte! -- Morte! (ai-je dit) -- Elle est expirée dans les bras du révérend père. J'ai frémi de l'expression!... Le moine a dit: -- J'ai fait toutes les démarches; nous avons la permission de l'enterrer sans bruit; ce sera pour 3 ou 4 heures. Je suis sorti... En revenant de dîner, vers les 4 heures, je suis repassé. Deux prêtres, quatre porteurs, le moine et le frère, ont emporté le corps, sans chanter. Il est inhumé. Nous verrons la suite des événements... Je les observerai. -- Ma belle amie! On vous croit morte: vous êtes libre. M'accorderez-vous vos précieuses faveurs? -- Mon ami! (répondit modestement Conquette) je commence par vous remercier de l'important service que vous m'avez rendu! mais un autre m'en a rendu un plus important encore. Seul il m'aurait sauvée. Si mes faveurs étaient encore à moi, elles seraient à vous. Mais elles sont à mon premier amant, qui, caché, a découvert toute la trame. Il venait de me déflorer; il me l'a mis encore après. C'est votre unique rival: mais il est adoré; son nom, que je vais vous dire, va vous prouver toute mon estime, et que vous avez toute ma confiance. C'est mon papa... A ce mot, Timori tomba aux genoux de son amante: -- Fille angélique! Fille divine! (lui dit-il) je reconnais là votre piété filiale et la beauté de votre âme! Foutez avec votre père; que lui seul vous enconne! Vous seriez digne de foutre avec Dieu, si Dieu foutait!... Mais je demande à vous gamahucher, et, si votre papa le permet, à vous enculer! -- Mon aimable ami! (lui répondit Conquette, en le caressant de la main) vous êtes bien raisonnable! Timor se déculotta, lui mit dans la main un vit à pucelage, plus petit que le mien, se fit chatouiller les couilles, et la voulut branler. Elle s'y refusa. Alors Timori la renversa, la troussa, et lui supa savoureusement le con... Non, jamais l'on n'entendit de pareils soupirs!... -- Ah! Timori... ta langue vaut un vit. Elle avait émis dès le troisième coup de langue, et, dans son délire, elle élevait ses jambes en l'air, faisait claquer ses jolis talons, haussait du cul, pour favoriser l'application de la bouche de son gamahucheur, et l'intromission de la langue qui lui chatouillait le clitoris. Elle imitait sa mère, dans ce claquement de talons; car je ne foutais celle-ci que de jour, soit en con, soit en cul, soit en bouche, pour être excité par ce qu'elle avait de mieux, la jambe et le pied. Je lui demandais le claquement des talons, parce qu'il imitait la marche de femme, son qui me faisait toujours bander... Lorsque ma fille eut amplement déchargé, elle écarta Timori. Chapitre XVII Du pucelage du cul: le père enconneur. La céleste Conquette-Ingénue fut toujours aussi juste que belle et sensible: qu'on ne soit donc pas surpris de ce qui va suivre. Elle se mit sur le ventre, et lui dit: -- Mon second ami! pommade-moi. Mon premier ami a eu le pucelage de mon bijou; il est juste que tu aies celui de ma rosette; mon papa sûrement m'approuvera! -- O déesse! (répondit Timori, en lui insérant de la pommade dans l'anus avec une canule) que tu es raisonnable! Il aura le connin, moi la rosette, et nous jouirons chacun d'une fouterie à nous seuls. Timori enfonça, malgré quelques petits cris de ma chère fille, et après de vives saccades, il déchargea, en s'écriant: -- Foutre! foutre! quel cul.. quel plaisir des Dieux! Et il se pâma... Il fut épuisé, et de sperme et de forces, par ce coup seul... Aussi se rappela-t-il, à mon grand contentement, qu'il était attendu à 7 heures. Il laissa l'amoureuse Conquette-Ingénue étendue sur le lit, après l'avoir remise sur le dos, afin de lui donner quelques coups de langue au con, pour baiser d'adieu. Il alluma sa bougie, sortit, et tira la porte. Aussitôt je quittai ma cachette, et je m'élançai sur mon adorable fille, que les trois dardements de langue avaient émue, et dont le con oscillait vivement. -- Quoi! vous étiez là? -- Oui, ma divine. Il encule; moi j'enconne. Tu me causes une érection terrible! -- Adoré Papa, foutez... foutez-moi! (et c'est la première fois de sa vie qu'elle prononçait ce mot) je n'en puis plus moi-même... Elle me saisit le vit, et se le mit dans le connin: -- Pousse! (me disait-elle) Il entre.. Pousse! vit de Dieu! vit paternel! émets du foutre dans le con de ta fille!... En parlant ainsi, elle remuait tellement du cul, que je me trouvai bientôt au fond de son connin. Vive la fouterie ordinaire! c'est la meilleure manière des quarante! J'avais la bouche, la langue, les blancs tétins de ma fille, ses caresses, la vue de son charmant visage, toujours joli au double dans une femme qu'on fout, ses doux propos: -- Cher vit! vit divin! comme il me chatouille le con!... Pousse!... Ah! bougre! je me pâme... Je déchar...arge du fou...outre!... Ta langue! cher amant! Enconneur adoré!... Oh je redécharge! Fous, sacré bougre! Suce... mordille-moi les tétons!... Je déchargeai délicieusement à la seconde émission de ma céleste fille. Au fond de son étroit connin, je me sentis adorablement pincé par ce que le vulgaire appelle le clitoris, et les gens de l'art, le bas du conceptoire ou de la matrice; cet organe de volupté, qui n'est atteint que par un vit long, me suçait le bout de l'engin déchargeant... Et cette idée délirante, en me voyant sur la plus belle des femmes, renversée sur le dos, bien enconnée, se pâmant de plaisir, -- Je fous ma fille... Je lui décharge dans le con... Nos foutres mêlés peuvent lui faire un enfant tout de moi... Je fais cocu le gueux, le scélérat de Vitnègre! Je fous sa femme, qu'il croit morte, qu'il n'a jamais foutue... Nous la foutons, Timori et moi, l'un en con, l'autre en cul, tandis que le vil jean-foutre se branle le vit à sa divine intention... Il la croit écartelée par le vit-timon de son exécrable moine... et son étroit connin décharge avec nous, comme celui d'une princesse, foutue par un jeune garde du corps!... Ces idées, rapidement roulées dans mon imagination, doublaient, triplaient ma volupté... Ma fille me fit déconner: -- J'en suis pleine, me dit-elle; le devant, le derrière; il faut que je me purifie. Je courus lui chercher de l'eau tiède chez son hôtesse, Mme Brideconnin, que je trouvai seule auprès du feu, des tétons blancs comme neige découverts. Je les baisai, pris l'eau qui chauffait pour elle. Son mari me dit: -- Je viens de le lui mettre, à l'intention de votre fille, la charmante Mme Poilsoyeux (nom que je lui avais donné, pour qu'elle ne portât pas celui de son infâme mari). Je rentrai. Je lavai moi-même avec une fine éponge les charmes secrets de ma déité. Il y avait un peu de sang à la rosette, et même au connin. -- Eh! quoi, ma délicieuse, tu as donc encore souffert? -- Oui, mon cher bourreau; mais le plaisir l'a toujours emporté, même en cul... Conquette, purifiée, me dit: -- J'étais si pressée de jouir avec vous que je n'ai pas pris le temps, papa-sauveur, de vous demander votre sentiment sur ce qui s'est passé entre moi et Timor? -- J'ai aussi bien des choses à vous dire là-dessus, mon ange; mais nous allons souper. Vous avez besoin de repos, et moi aussi; ce sera pour demain... Je lui donnai la langue; elle me darda la sienne; je baisai les boutons rose de ses tétons, et nous allâmes nous mettre à table. Pendant le souper, je racontai à M. et Mme Brideconnin ce qu'il fallait qu'ils sussent de la prétendue mort de Mme Poilsoyeux afin qu'ils ne la compromissent jamais. Pendant le repas, notre porteur d'eau et sa femme placèrent le lit de ma fille dans mon magasin; et, dès qu'il fut arrangé, nous y descendîmes ensemble. Ma belle amie me dit: -- Je crois que j'aurai peur; priez Mme Brideconnin de venir coucher avec moi! -- Je vais rester, ma reine. -- Ah! j'aime bien mieux cela! non pour jouir; mais pour que mon amant-papa s'endorme sur les tétons de la femme de Vitnègre, pendant qu'il se morfondra, ou qu'il ne ... qu'un de mes vieux souliers. -- Ma divine fille? (repris-je) je vais, dès ce soir, te dire ce que je voulais remettre à demain. Couchons-nous. Je déshabillai ma déesse comme une nouvelle-mariée, baisant tout ce que je découvrais. Tous deux au lit, je l'assis sur mon vit. Chapitre XVIII Des avis paternels, tenant sa fille enconnée. Ami lecteur! j'éprouve encore les oscillations de la plus savoureuse volupté, en me rappelant ces moments enchanteurs, que m'a procurés ma Conquette-Ingénue-L**! -- Appuie lentement, ma reine; que je t'enfile sans limer! Elle le fit. Lorsqu'elle fut parfaitement enconnée, je lui dis: -- Tu sais, très chérie fille, que j'ai tout vu, tout entendu. Tes sentiments divins à mon égard, m'ont pénétré de reconnaissance et d'admiration... J'approuve entièrement que tu aies donné à Timori le pucelage de ton beau cul. J'accepte avec transport ton dévouement pour moi. Mais, céleste fille! c'est à ton intérêt, à ton bonheur, que je me propose de le faire servir. Je ne prétends pas, tel qu'un sultan, te garder pour mes plaisirs exclusifs. Tu auras un payeur. Lequel des trois hommes auxquels ton pucelage était vendu aurais-tu préféré? -- Le plus honnête, incomparable papa; mais c'est justement celui qui l'a le plus gros. -- Je te ferai donc élargir le bijou par un gros homme de ma connaissance. Il n'est pas aimable; mais un homme aimable pourrait t'épuiser, en te faisant trop décharger; outre qu'il pourrait te prendre le coeur; ce qu'il ne faut pas; un fouteur préparatoire ne doit te prendre que le con... Ni moi, ni Timori ne te suffirions point; nous n'avons pas le vit assez gros; ce ne sont que des vits à pucelage. Mais j'ai plusieurs ressources... Je sonderai celui que tu préfères; puis les deux autres, s'il ne fait pas ton affaire. Je les ai épiés. Je sais leur adresse; je ne nous compromettrai pas. Je ne te demande que de la soumission! -- Entière! divin papa. Elle se trémoussa un peu, et déchargea. -- S'il te survient beaucoup de tempérament, comme je crois l'entrevoir, j'aurai soin que tu ne manques pas de vits. Tu verras comme tu seras régalée!... Je ne suis plus d'un âge à te rassasier de volupté. Ainsi, je te le ferai mettre par de jolis jeunes gens, graduant la grosseur des vits. Ici, ma provocante fille s'agita, en me disant: -- Mon cher vit-papa! permets que je foute en con à l'intention de Timori, le vit de mon cul! Tu m'as convertie; il m'enconnera, mais en ta présence. -- Oui. oui... Je la saccadai. Elle s'écria: -- Fourgonne.. vit de mon cher Timori! fourgonne mon con! Fais-moi pâmer! bougre.. foutre.. Ramone.. ramone!... ze déçarze! Et elle déchargeait, en se roidissant: -- Ahahah, mon papa! Ahahah! Ahahahh! (avec un long soupir)... Je n'ai jamais eu tant de plaisir qu'à cette décharge... Nous avions de la lumière; ma fille se mit sur le bidet pour se rafraîchir le bijou, tandis que je me mettais le vit et les couilles dans l'eau froide, pour me faire débander. Je demandai à ma fille, Qui lui avait appris les expressions dont elle s'était servie, en déchargeant? "Dès la troisième semaine de notre mariage (me répondit-elle), Vitnègre fit coucher avec lui sa filleule, femme d'un espion de police; cette femme, par les ordres de son parrain, feignait de délirer, quand il l'enfilait; et voilà quels étaient ses propos, avec beaucoup d'autres, qui n'auraient pas été placés pour nous, comme gros-bondon, chien de vit de mulet, Foutamort le cadet! etc. Nous nous remîmes au lit, et nous nous endormîmes enlacés. Le matin, je renouvelai mes instructions à ma fille. On frappa. C'était Mme Brideconnin, qui parla. Je me cachai dans le foutoir. Elle apportait le déjeuner de Mme Poilsoyeux. -- On cherche une fille du Port-au-Blé (dit-elle), disparue depuis avant-hier soir. Une de ses pareilles a dit, qu'elle devait aller coucher avec un homme de 40 ans, qu'elle avait dit avocat, mais qui est chirurgien; qu'ils l'ont tuée à deux pendant la nuit, et disséquée. C'est peut-être votre histoire, qu'on dénature comme ça? Mon mari doit aller s'informer. Elle sortit; et je vins déjeuner avec Conquette. Je la laissai, en promettant de la voir à dîner. Je fus exact. Brideconnin était sorti. C'était effectivement de Conillette dont il était question. Le commissaire et les mouchards visitaient toutes les maisons de la rue; mais on ne trouvait rien. Je changeai de costume par précaution... Je revins le soir, et ne couchai pas. Je me reposai trois nuits, et laissai reposer Conquette-Ingénue. On sait que j'aimais ma fille autant pour elle-même, que pour mon plaisir, et que je n'entendais pas régler son appétit de 19 ans, sur mes forces de 40. Mais j'avais encore d'autres raisons. Je vais me conduire en conséquence. Chapitre XIX Du père juste, et du vit grisonnant. On sera sans doute surpris de ce qu'on va lire, d'après les sentiments que je viens de professer!... Ne me préjuge pas, téméraire! Pour me connaître et prononcer, attends. Je connaissais un de ces gourmets de plaisir, gros homme vigoureux, lubrique à l'excès, nommé Montencon. Il m'avait donné souvent à dîner, rue Troussevaché, où il demeurait, m'y avait fait enconner la petite Vitsucette, sa maîtresse, en me la tenant lui-même. Il m'avait même procuré la fille de son hôtesse, Petit Bijou, séduite par un noble, appelé de Foutâne, qui l'avait ensuite rendue putain. Elle nous amusa toute une après-dîner; Montencon ayant grisé la jolie Adélaïde Hochepine, il eut la politesse de me la faire enconner le premier, et chatouiller les couilles par sa maîtresse. Ensuite il l'encula, également chatouillé par Vitsucette. Je la refoutis, après que la Vitsucette de Montencon me l'eut lavée. Mais celui-ci nous dit: -- J'ai mes raisons. J'embouche la jolie garce. L'ayant embouchée, et lui ayant fait avaler son foutre, en haine de Foutâne, j'en fus dégoûté, ainsi que de la Vitsucette, dite la Baiseuse, à laquelle il en faisait autant. Je n'y étais plus retourné. Ce fut cet homme que j'invitai à dîner dans mon petit magasin, pour aguerrir et m'élargir un peu ma fille (car j'avais fait donner séparément aux trois payeurs à gros vits de Vitnègre, MM. Lélargisseur, Percecul et Cognefort, l'espoir de la retrouver, ou sa pareille). Montencon était connu de Conquette, dont il avait foutu la mère avant la vérole. Il n'en avait que plus envie de le mettre à la fille. Je le trouvai dans l'escalier, en arrivant moi-même. Je l'introduisis. Il demeura immobile de joie et d'admiration, en voyant une femme si belle!... J'avais affaire; je ne restai qu'un moment, en lui disant, que je lui laissais ma fille pour compagnie. Il balbutia, en me reconduisant: -- Elle est ravissante! Quel goût dans sa parure! Comme elle est chaussée! et quel dommage qu'un Vitnègre ait eu ce pucelage-là! -- Vitnègre? Elle est pucelle. -- O mon ami! puis-je y tenter? et tâcher de mettre au moins une corne à ce gredin-là? -- Fais-y ce que tu pourras. Mais je doute du succès, avec ton poil gris. Il n'y a que les catins blasées, qui souffrent les barbons vigoureux et libertins; avec les pucelles sages, il faut être tendre; et tu as la figure d'un satyre, ou d'un réprouvé. Mais tente-z-y. Après mon départ, Montencon essaya d'abord de la galanterie. Mais n'y gagnant rien, il culbuta Conquette à l'improviste sur le foutoir; et, comme il était vigoureux, il lui approcha, en la contenant d'une main, le vit des lèvres du con... Cependant il ne put l'enfiler; un coup de cul en arrière le débusquait... Il allait la menacer de la poignarder, lorsque je rentrai. Conquette se rajusta, sans marquer d'humeur. Je dis tout bas à Montencon: -- Le pucelage? -- C'est un diable! J'en serai réduit à me branler! -- Tu la foutras. Nous nous mimes à table. Conquette parla comme à l'ordinaire à son vellivioleur, et rit même avec lui. Tout haut, devant moi, il lui demanda, d'où vient elle ne s'était pas laissée enconner? -- Fi donc! (répondit-elle). Eh! d'où vient l'aurais-je souffert? -- Parce que je bandais comme un carme. -- Vous parlez comme un Vitnègre... Montencon ne m'en raconta pas moins ses entreprises, en termes savoureux. Il loua la beauté de la conque, le soyeux du poil, la blancheur des fesses, la fermeté des tétins, le rosé du bouton, l'éburnité ou l'ivoire du ventre et des cuisses: Il extolla le pied, la jambe de la belle... Conquette, ainsi louée, rougissait, et n'en était que plus modeste. Je répondis, Que j'étais le seul qui foutît ma fille, à laquelle j'avais sauvé la vie, et que j'avais déflorée, il y avait 8 jours. Et je racontai toute l'histoire. -- Vous la foutez? -- Eh! qui donc la foutra? Je suis deux fois son père... Montencon se mordit les lèvres. Conquette m'embrassa. Pendant tout le dîner, nous admirions le voluptueux tour de hanches de Mme Poilsoyeux, à chaque fois qu'elle se levait, pour aller demander un plat, ou qu'elle donnait des assiettes. Elle avait un joli soulier rose à talons verts, élevés, minces; des bas de soie blancs neufs, à coins roses. Je lui demandai si elle était jarretée au-dessus du genou? -- Certainement! (répondit-elle) toujours. -- En ce cas (repris-je), montrez-nous la plus jolie jambe qui soit au monde! Elle refusait. Mais nous l'en pressâmes tant que, pour se débarrasser de nos prières, elle mit le pied sur une chaise, et nous montra, jusqu'au dessus du genoux, une jambe à faire bander un moribond... Nous entrâmes en rut, Montencon et moi; mais nous nous modérâmes. Cependant le grisonnant Ribaud, dans un moment où ma fille était sortie, me proposa de l'enivrer, en mettant du champagne, qu'il avait apporté, dans son vin rouge, au lieu d'eau. Je feignis d'y consentir. Mais, avant que Conquette rentrât, j'allai au devant d'elle, et l'avertit de tout. Puis j'ajoutai: -- Ma raisonnable fille, il faut qu'il te le mette; je l'ai amené exprès pour cela; mais je ne savais comment faire. J'y réfléchissais, quand sa proposition m'a tiré d'embarras. Tu feindras de t'enivrer. J'en ferai autant; et, par ce moyen, jamais il n'aura un pied sur toi. Il a l'engin assez gros, quoique moyen. Après lui, je t'aurai Traitdamour, mon ancien secrétaire, un joli garçon, qui achèvera de t'élargir suffisamment pour l'engin du Payeur que tu préfères... Il est averti de ton existence, et je n'ai demandé que quelques semaines pour lui procurer ta vue. Laisse-toi donc faire, ma reine; j'empêcherai tout ce qui ne conviendrait pas. -- Je vous suis soumise; disposez de moi (répondit-elle). Je me suis trop mal trouvée de vous avoir désobéi!... Nous rentrâmes. Entre les deux portes, elle se découvrit un téton, et me le fit baiser. Montencon avait arrangé la carafe en vin de Champagne. Conquette, prévenue, le remarqua; s'en procura une autre d'eau, et réserva le vin, pour griser Montencon lui-même. Mais le Ribaud était inenivrable, autrement que par les beaux yeux et les autres charmes de ma voluptueuse Conquette-Ingénue. Chapitre XX Du, Ah, comme elle fut foutue! Dès que Mme Poilsoyeux, qui affectait une ivresse aimable, parut dans l'état où le Montencon la désirait, je la saisis, la première fois qu'elle se leva, par la taille d'une main, et de l'autre, je lui pris le con (Outre que je désirais vivement sa possession, je la voulais enhardir, et préparer son bijou à l'admission d'un plus gros membre que le mien). Je la renversai, en demandant un morceau du beurre frais resté sur la table. Je lui en mis gros comme une noix à l'orifice; et je poussai. -- Laissez, laissez-moi donc! (me disait-elle doucement) Cependant elle remuait admirablement de la charnière, et le foutoir craquait sous nous... Je déchargeai, en me récriant de plaisir!... -- A toi, bougre... Montencon, debout, son gros vit bandant à la main, nous admirait!... J'eus à peine déconné qu'il se précipita sur ma fille, dont le connin oscillait encore; et, doublement favorisé par mon foutre et par le beurre frais, il pénétra. Conquette fit un cri! Je m'avançai, alarmé. Mais elle me sourit aussitôt. -- Enfonces-tu? (dis-je au fouteur) -- Oui, oui! sacredieu! (me répondit-il) et avec délices!.. Elle me pince le vit!... Mais... quel connin!... C'est un satin!... Ah!... Ah!... je fous!... Remue du cul, céleste houri!... Re..mue, divine bougresse!... Con délicieux! remue... sous moi!... saccade... saccade!... Je pa..ars!... je décha..arge!... Ahah!...! Le grisonnant se pâma sur les tétons de ma fille, qui elle-même nageait dans le foutre et la volupté. J'avais craint qu'elle ne remuât pas assez avec un étranger; mais, dès qu'elle fut limée, elle se mit à remuer, à saccader, à osciller des reins, à décharger avec des soupirs et des cris... Montencon se remit à la fourgonner, sans déconner, criant, hurlant de luxure, et murmurant par intervalles: -- Divine garce!... fais-toi putain... et... je te réponds... de ta fortune!.. Il recommença ainsi trois fois sans désarçonner. Enfin, il déconna. -- Voilà un coup qui en vaut dix, et un con qui vaut cent, et mille fois tous ceux que je t'ai fait enconner, même ma petite hôtesse! On ne le quitte qu'à regret!... Mais refous-la, mon ami. Une femme vaut seize hommes au jeu couillard; ne la laissons ni refroidir, ni chômer. A ce mot, Conquette-Ingénue, restée immobile, et se contractant seulement un peu, comme si on la tenait encore bourrée... d'un vit, sauta du foutoir, et courut se laver. Elle trouva de l'eau tiède préparée. Nous fumes aussitôt à genoux devant notre divinité, et nous lui épongeâmes l'un le cul, l'autre le con, les fesses et les cuisses, car elle était pleine de foutre et d'un peu de sang, prenant garde de mouiller ni sa chemise, ni ses bas; nous la faisions se tenir troussée au-dessus des reins.... Après une scrupuleuse ablution, nous l'avons admirée; car elle était ravissante à cul et à con découverts! Nous l'avons fait marcher ainsi, et nous avons vu la magie de son divin tour de cul... -- Moi (disait le Grison, en la regardant venir à nous), ce qui me transporte, c'est ce con noir, sur une peau de lis; ce poil soyeux, et cette raie de corail, qui le sépare en deux égales parties!... La belle se retourna, et montra d'autres charmes: -- Ah! (s'écria Montencon ravi) le beau cul! il n'est pas inférieur à l'admirable connin! Elle revenait. -- Ah! le beau con! Il est digne du divin cul! Quand ma fille fut auprès de nous, il lui baisa le connin. Puis, se levant (car nous étions restés à genoux pour mieux voir), il l'emporta sur le foutoir, en me demandant la permission de gamahucher tous ces charmes-là, avant que je les refoutisse... Ah! comme elle fut gamahuchée!... Il lui chatouilla de sa langue la rosette, à la faire tressaillir. Puis il vint au con. La belle, chatouillée, se trémoussa, puis émettant, elle hennissait, comme une jeune cavale, dans la vulve de laquelle on insère pour la première fois l'engin terrible et perforant de l'étalon vigoureux; les fesses potelées de la jument pucelle tremblotent; elle frémit de tout son corps, et répond, par l'émission de son hippomanès, aux flots de sperme que lui lance le dominateur des haras... Telle était ma voluptueuse fille, seulement gamahuchée... Montencon déboucha, et moi, me précipitant sur ma fouterie, cambrée, tenant son cul à trois doigts du foutoir, je plongeai brutalement. Elle ne faisait que doucement osciller. Ce qui ne s'accordant pas avec ma ribaude impatience, je dis à Montencon: -- Arrache-lui sa chaussure, et chatouille-moi-la sous les pieds! Il le fit. Mais le couillon s'amusait à les flairer, en disant: -- C'est Cypris, et le dedans de ses chaussures sent l'ambroisie. -- Chatouille donc, jean-foutre! Il chatouilla; et, au second soubresaut, je déchargeai copieusement!... Dans mon extase de plaisir, j'élevai mon âme vers la divinité: -- Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir donné une fille si parfaite, dont le connin trémoussant vient de me donner une idée du délice que vous éprouvez vous-même, en foutant votre fille la Nature!... -- Dieu de mon connin! (balbutia Conquette) sois béni! je re-décharge encore! le cri de mon père a fait entrer son vit plus avant! -- Oh! quel digne père! quelle pieuse fille! (s'écria Montencon édifié)... Je déconnai. -- Mais d'où vient (me demanda le vigoureux grison, en se remettant sur ma fille, et l'enconnant sans laver), m'as-tu fait chatouiller le dessous des pieds de ta céleste fouteuse! -- Je tiens cette recette d'un imprimeur foutant la femme de son confrère de l'aveu du cocu. -- Que lui avez-vous donc fait, qu'elle m'a donné tant de plaisir à la fin? -- Vous avez bien vu qu'elle était déchaussée? Or j'ai ouï dire que les fils de mesdames Quillenpoche et Radball, âgés de huit ans, étant entrés dans la chambre où un avocat et un procureur vitoeuvraient mesdames leurs mères, les petits babouins, ne voulant pas les déranger, leurs ôtèrent à chacune une mule délicate, et leur chatouillèrent le dessous des pieds. Ce qui fit faire aux deux dames des soubresauts qui leur procurèrent autant de plaisir qu'elles en donnaient à leurs opérateurs. Aussi depuis se firent-elles toujours chatouiller les pieds en pareille circonstance. -- Tu vas me rendre la pareille... Il saccadait. -- Allons, le foutre de ton père... ce foutre dont tu es faite, amalgamé au tien dans ton sacré connin de poupée, doit te le pommader! Et j'ai de la peine!... Je vis à la rougeur de ma fille qu'elle souffrait. -- Déconne, bougre (dis-je à l'Enfonceur), ton vit d'âne, ton vit de mulet donne les bouchées trop grosses à ce connichonnet! Il déconna, et je mis une boulette de beurre frais à l'orifice du bijou de ma fille. -- Oh! ça me le rafraîchit (dit l'aimable enfant)... Montencon re-enconna avec fureur. Il entra mieux, et toucha le fond, Conquette ayant saqué du cul: -- Ah! je te sens, petit joli chien de pinçoir! Allons, Vitnégrette, encorne ton jean-foutre de Vitnègre! Pince.. et remue du cul, garce! Ces mots grossiers me mirent en fureur érotique; je chatouillai sans pitié les pieds de ma fille, en lui disant: -- Fous, déesse! Donne-nous ton joli foutre!... Et toi, sacré bougre, inonde-la! As-tu jamais percé con ou connin, qui vaille le connin, le connichet de ma céleste, de cette divine putain?... Conquette saccadait à désarçonner son enconneur (comme faisait Mlle Timon sous le grand homme Mirabeau). Mais Montencon se tenait ferme. Cependant elle eut une décharge si convulsive qu'il fut presque déconné. Mais, en retombant, le frottement serré du connin velouté le fit décharger avec ravissement... Il lima quatre fois sans déconner, et, à la quatrième, lui ayant chatouillé les couilles, il émit aussi copieusement qu'à la première. Mais il fut épuisé. "Ah! comme Vitnègre est cocu! (disait-il en déconnant) car sa fouteuse de femme a déchargé le triple de moi. Conquette sourit. -- Combien? (lui demandai-je). -- Oh! dans les neuf, trois fois neuf. Je la baisai sur le front, et elle alla au bidet. Je vis par là qu'elle aurait un vigoureux tempérament. Ainsi, je résolus de la faire un peu blaser, avant de la livrer à son gros vit. Mme Vitnègre, voulant se rafraîchir quelque temps le con dans sa cuvette à bidet, nous pria, avec une modeste rougeur, de la laisser libre. Nous la saluâmes aussi respectueusement qu'une déesse bienfaisante, et nous sortîmes. Montencon me dit: -- Je vous rends grâces. Je serais plus glorieux d'être son père que de la reine Marie-Antoinette. Elle est autant au-dessus des fouteries ordinaires, que Mlle Contat ou Mlle Lange sont au-dessus d'une putain des pauvres, qui branle les vits derrière les charrettes sur le quai du Louvre. Nous nous séparâmes, à ces mots. -- Ah! (disait Montencon, s'éloignant), comme elle a été foutue! Chapitre XXI Du ressouvenir, et de l'épisode. Oh! que les puristes ont dû se récrier au chapitre précédent!... Eh bien, puristes, je m'en fous. Le lendemain, je m'attendais à un peu de bouderie, ou de sérieux. Non. Ma Conquette me parla comme à l'ordinaire... Je fus huit jours, sans chercher à le lui mettre... Le samedi, son bijou bien rétabli des fatigues données par Sourcilsgris, dit Montencon, elle y sentit un chatouillement. Elle se ressouvint alors de ce que je lui avais dit, qu'elle pourrait se laisser enconner par Timori. Elle fit une toilette de volupté, se couvrit d'une calèche, et sortit le soir. Mais je l'observais, et la faisais soigneusement observer par Mme Brideconnin, ou comme je l'appelais en badinant, Mme Conbridé. Je fus averti; je la suivis, pour la préserver de malheur. Elle monta. J'écoutai à la porte; et j'entrevis même par une fente... Conquette se jeta dans les bras de Timori. Mais il était malade. La belle fut gamahuchée seulement. Timori, au lieu de la caresser, comme elle s'y attendait, se mit à lui raconter la suite des événements relatifs à Vitnègre, à Foutamort, et à Conillette: -- J'ai été voir Vitnègre aujourd'hui, au lieu de me rendre à mon bureau, étant malade. Je l'ai trouvé malade lui-même, tant il avait été hier effrayé des menaces de son moine. Celui-ci l'avait fait demander. Vitnègre est accouru. Il a trouvé toute la communauté à l'infirmerie. Parvenu au lit de Foutamort, celui-ci lui a dit: -- Gueux! si j'en avais la force, je t'étoufferais... Mais si je suis pour en mourir, comme On l'assure, je déclarerai tout au Lieutenant de Police, et tu seras pendu... Tu m'as vendu ta femme. Elle était si belle que j'ai eu un plaisir... infini... à la faire expirer dans des douleurs plus fortes que celles de l'accouchement... J'en bande encore, mais avec des douleurs insupportables... Elle était si belle que j'ai voulu en manger: je me suis fait accommoder son con, sa matrice, ses poumons ses tétons et sa tête, que j'avais déguisée. Nos moines ont mangé, sans le savoir, son cul, ses fesses, ses mollets, ses pieds, ses bras, ses mains, ses épaules, son coeur, son foie, etc... Tous, eux et moi, nous avons la vérole! Or, ta femme, belle, fraîche, pucelle encore, ne l'avait pas... Voici ce que tu as fait, coquin. Touché d'une fausse compassion, tu as fait évader ta femme, que je t'avais payée pour la foutre à mort, et tu lui as substitué une putain... C'est une insigne coquinerie... Si j'en reviens, j'aurai ta femme; si je meurs, tu seras pendu... Vitnègre s'est donné à tous les diables que c'était vous qu'il avait livrée. Le moine, qui venait d'être frotté de mercure, et dont la langue enflait, a fait signe qu'il n'en croyait rien. Le chirurgien a tiré Vitnègre à part: -- Avez-vous quelque affaire à régler avec ce scélérat? il n'a pas 2 heures à vivre, à la manière dont enfle sa langue. Il a une vérole si terrible, que j'ai été obligé de le frotter au triple des autres, que voilà dans leurs lits, et qui commencent à saliver. Je le connais; c'est un monstre à ôter du monde, et tout à l'heure, il ne pourra parler. -- Empêchez qu'il n'écrive! -- Oh! ne craignez rien! l'enflure lui... gagne les yeux; il n'y voit plus, et la langue commence à lui sortir de la bouche... Il... souffre... (lui tâtant le pouls) comme un damné... et il n'a pas une demi-heure à vivre... Alors, Vitnègre, enhardi, a dit au moine: -- Gueux! Infâme!... c'est la putain Conillette que je t'ai donnée, que tu as fait manger à tes moines, et dont tu as dévoré la matrice vérolée! Le moine s'est soulevé, et a lancé à Vitnègre un si terrible coup de poing, qu'il l'aurait tué, si la colonne du lit n'avait pas amorti une partie du coup, qui cependant a renversé Vitnègre. On l'a fait sortir. Mais il a appris ce matin, par le chirurgien, que la langue du moine, devenue grosse comme celle d'un boeuf, l'avait étouffé un quart d'heure après... On a brûlé, sans lire, tout ce qu'il avait écrit durant sa maladie. -- Voilà ce que Vitnègre, tranquillisé, vient de me raconter. Il est tard; je ne saurais vous reconduire. Partez, ma belle amie. Tel fut le récit de Timori, fait à ma fille, que j'entendis tout entier, et qu'elle me répétera. Elle s'en revint la tête remplie d'idées noires. Je la suivais à vingt pas, la couvant des yeux, pour la préserver de toute mauvaise rencontre. Je bandais comme un carme, en voyant son joli tour de hanches... Elle rentra. Je la précédai dans mon magasin, et je me cachai. Elle revint avec de la lumière et de l'eau tiède. Elle se lava la motte, et soupira, en se disant à elle-même: "Il n'existe plus, le scélérat!... Je suis encore effrayée! Je frappai un petit coup sur une commode. Conquette leva les yeux, et me vit. Je lui contai tout ce qu'elle venait de faire. Je lui causai un effroi salutaire, qui la guérit de l'envie de retourner seule chez Timorì, en lui disant que j'avais aperçu Vitnègre sur le quai des Ormes. J'ajoutai: -- Vous alliez pour être baisée; vous le serez; car je couche avec vous. Elle bégueulait, disant que le récit de Timori lui avait ôté ses désirs. Je ne l'écoutai pas; je me mis au lit, et elle vint se coucher auprès de moi. Chapitre XXII De la fouteuse mise en appétit. L'appétit vient en mangeant (dit le proverbe); et l'on va voir combien il a raison, pour Conquette! Dès que ma fille fut à ma portée, je m'ancrai sur ses appas, lui suçai les tétons, et l'enconnai. Je ne sais par quel motif, humeur ou volupté, ma divine enfant ne remua pas. Je fis de même, et la tins emmanchée, sans me donner aucun mouvement... Je m'endormis, après m'être mis sur le côté, sans déconner. Conquette, qui s'y était prêtée, s'endormit comme moi, sans doute; puisqu'en m'éveillant, sur les 2 heures, je me retrouvai dans son bijou. Je m'agitai pour lors. Elle me serra dans ses bras, remua vivement du cul, et me dit: -- Cher amant! pou..ousse". Et elle saccada de toute la force de ses reins... Elle déchargea... J'émis aussi... -- Ah... mon Dieu (dit-elle), c'est mon papa, qui me... caracole... -- Qui te fous, ma déesse. -- Ah... il n'y a que vous, pour ces choses-là... Je ne vous contrarierai plus; car vous avez plus d'esprit que moi... J'ai eu un plaisir... que je ne dois qu'à vous... Cher papa, recommencez; que je décharge à votre intention! Je vous adore... Je la re-enconnai vigoureusement, en lui disant: -- Et fous comme tout à l'heure, à l'intention de ton amant... Elle remua du cul comme Cléopâtre ou Messaline, et elle se mit à dire, en saccadant: -- Bougre de Timori... fous... fous... fous-moi... Fous ta garce... fais cocu mon sacré gueux de père... dont je suis la femme... la maîtresse... la putain... Ah... je sens ton vit, au fond de mon con... Ta langue... ta langue!... Je me pâme... je dé...cha.arge... Foutre... Ah-a-a-ah... je n'en puis plus... Et, en finissant, elle alla se laver le con... Dès qu'elle fut de retour, je remontai sur elle. -- Remue du cul, du con! (lui dis-je) Trémousse des fesses... Je sens ton pinçoir... Oh! que tu fous bien, fille de mon vit, pour une novice!... Ayez un mouvement encore plus rapide!... Bon... excellent!... Quels reins élastiques!... Elle fit trois soubresauts, et déchargea, en disant: -- O mon Dieu! mettez une tonne de foutre dans les couilles de mon père, et que son vit divin le décharge au fond de mon con! Dieu l'exauça, car j'émis aussitôt, et nos foutres se mêlèrent. J'en espérai un Adonis... Elle resta ensuite immobile, et moi aussi. Elle fit une copieuse ablution. Je me rafraîchis le vit et les couilles; puis nous nous recouchâmes. Je la re-enconnai. Je fus là plus d'une heure, lui suçotant ses boutons de roses, lui dardotant et lui faisant dardoter la langue; la faisant déchargeoter, pâmoter, chatouilloter mes couilles. Je ne pouvais me résoudre à déconner... Tout à coup ma fille, que je croyais épuisée, se met à trémousser du cul, à convulsionner du con, comme faisait autrefois sa mère, mais mieux que celle-ci... Je rebandai roide, mais loin de la décharge! De sorte que je la limai tant qu'elle voulut... Elle me disait: -- Papa! je ne parlerai pas d'un Vitnègre, qui n'a de plaisir sur une femme qu'autant qu'il brutalise sa monture; mais vous foutez plus tendrement, plus délicieusement, que Timori ne caresse. Vous limez mon con comme un dieu!... A votre intention cette décharge-ci... Papa! Papa, fourgonne! tu es dans le con de ta fille! Remue du cul, papa! Tu me fous... tu me fous... tu m'enco..onnes!... Fous, bougre! fous ta fille! incestue, jean-foutre!... Enfonce, enfon..once... dans le con..on de ta fi..ille... pâ..âmée!... Et elle resta comme morte, pendant une longue décharge... Je la relimai, voulant décharger aussi, pour la dernière fois de cette nuit-là. Elle se ranima: -- Fous, maquereau! Je suis ta putain, ta raccrocheuse... ta sacrée salope... ta passionnée fouteuse... ta tendre fille... Engrosse-moi! (remuant du cul avec fureur) mets-moi dans le con un garçon... une garce! si une fille, tu la... dépucelleras un jour... si un fils, il me foutra... -- Adorable fureur! (m'écriai-je)... Tiens, fille adorée, voilà du foutre. J'émis délicieusement; et ma fouteuse déchargea plus délicieusement encore... -- Ah! quelle nuit! (me dit-elle)... Timori ne me l'aurait pas donnée si voluptueuse... Elle s'ablua; je lavai, et nous endormîmes. Chapitre XXIII De la tendresse filiale; amour paternel. Etre réservée, modeste, ou voluptueuse et fouteuse à propos, c'est la véritable sagesse. Je ne raconte pas les bagatelles... Montencon ne put le re-mettre à Mme Poilsoyeux, et il en fut très étonné! Elle était aussi modeste, aussi retenue avec lui, qu'avant qu'il l'eût foutue. C'est qu'elle suivait mon avis, de ne pas laisser prendre un pied sur elle, par les faveurs accordées, ou ravies.... Un jour qu'elle se baissait, pour arranger le feu, il lui prit le con. Elle lui donna un soufflet. Je dis à Montencon: -- Moi, qui la connais, je ne lui touche jamais les fesses, ou le poil du connin, sans sa permission, et sans qu'elle m'ait dit: "Eh bien, faites donc vite!" Quand je lui demande cette faveur, elle est parée, chaussée comme les Grâces... Je commence par lui demander à lui baiser le pied. Puis, lui glissant la main sur la jambe, je lui dis: "Tu l'as si jolie! que je la baise!..." Je pousse à la cuisse, en disant: "Quel satin!" Je lui passe délicatement la main sur la motte, et je m'écrie: "Ma reine! qu'en te voyant marcher dans la rue, et tortiller si joliment du cul! faire bander tous les hommes, bisquer de jalousie toutes les femmes, je puisse me dire: 'Je viens de patiner, de baiser ces foutatifs appas...' Je te suivrai; j'entendrai les hommes dire: 'Que je la foutrais bien!' Je verrai les femmes penser: 'Sacrée coquette! cette parure, ce goût, ce tour de cul signifient: Je veux être foutue! Vits, foutez-moi!' 'Bougresses! (leur répondrai-je tout bas), je méprise vos cons et vous! Je ne bande que pour le beau connin que vous jalousez'..." Ma fille sourit à ces propos; se laisse patiner, puis baiser tétons, fesses et connin... Montencon m'admira, et demanda pardon à Conquette, qui n'avait entendu ce que je venais de dire, qu'avec une modeste rougeur. Un jour de fête, que je l'avais conduite avec précaution chez une amie, et que j'étais retourné la chercher le soir, la suivant à quatre pas, son lubrique tour de fesses me fit bander si fort qu'en rentrant, je lui happai le con. Elle se défendit, parce qu'elle entendait aller et venir Mme Brideconnin. -- En ce moment, déesse, je suis si enragé de lubricité, par ta marche voluptueuse, que je te foutrais devant toute la Terre. Et je grinçais des dents, lui tenant toujours le poil du con, ce poil soyeux qui lui formait une longue et superbe perruque à la Louis XIV. -- Eh bien! (me dit-elle), allons: Mais ne me chiffonnez donc pas? -- En déshabillé, reine. Je lui tenais toujours le con, et je la suivais à chaque pas qu'elle faisait. Elle me donna un joli baiser à langue dardée, pour me remercier de ce que je lui permettais de se mettre en déshabillé. -- Ne me quittez pas le poil; ça me prépare. Une pareille complaisance me la faisait adorer. En un instant, elle fut en corset, en court jupon piqué, les tétons bien découverts: -- Ma chaussure est-elle assez voluptueuse? ou voulez-vous des mules, avec d'autres bas? -- Des mules. Je la déchaussai d'une main, lui chatouillant toujours le con. Ah! quelle jambe blanche! quelle propreté! Elle se chaussa debout. Je lui mis le pied dans une mule rose délicieuse, à talons roses aussi, minces, élevés, à falbalas d'or, ainsi que le bout du talon. Je lui quittai la motte, qu'elle lava. Ensuite elle fit par la chambre quelques tours, pour m'exciter davantage. Me voyant hors de moi: -- Je veux te griller! (me dit-elle). Tandis que je déculottais, elle s'assit, croisa ses genoux, et fit badiner la mule du pied en l'air... Je n'en pouvais plus... Me voyant prêt à m'élancer sur elle, Conquette vint sur moi troussée, me fit tenir ses jupes, appuya ses deux coudes sur mes épaules, et s'enfila doucement elle-même, sans toucher mon vit de sa main délicate. Elle descendit ainsi graduellement jusqu'à ce que je touchasse à son pincevit: -- Ne remue pas! (me dit ma reine) je veux me foutre moi-même! Quand elle sentit le plaisir, la divine fouteuse, trop émue, s'abandonna de tout le poids de son corps, en me disant: -- Cher vit... pou..ousse! Elle mit sa bouche brûlante sur la mienne, donna le mouvement intérieur à son con, me darda sa langue, et se pâma, en me lançant toute son âme... Je déchargeai, avec un si délicieux frémissement, qu'elle foutait encore, au bout de cinq minutes d'émission. -- Ah! Fouterie adorée, l'éclair du bonheur dure... et se... prolonge avec toi... Je sentis, en cet instant, l'émotion de mes premières décharges, où je perdais connaissance, et je crus que j'allais expirer de volupté dans son con. Je le dis, en déchargeant. Mon enconnée n'en frétilla que plus vivement: -- Un fils?... une fille?... ou tous deux au fond de mon con (me disait-elle), cher vit de mon père!... Je jurais, je sacrais, je divinisais ma fille: -- Con céleste... Con divin... Con de mon vit... est-ce moi?... est-ce un roi?... est-ce un prince?... est-ce le beau commis aux aides, qui t'avons foutue dans le con de ta putain de mère?... Ah, mon vit te rend ma fille, en mêlant mon foutre au tien... Divine, sacrée garce... Adorable bougresse enculée, il faut que je t'encule aussi? -- Non; ton foutre m'est trop précieux, pour que je le perde sciemment. Fous-moi en con, tant que tu le voudras; mais non en cul, en bouche ou en tétons. Je l'approuvai avec respect. Je lui dis ensuite pourquoi je la suivais toujours, en la menant chez son amie, ou en la ramenant: -- Mon premier motif est de mieux voir le danger. Le second, d'entendre les discours des hommes et des jeunes gens que tu fais bander. L'un dit: "Quel mouvement de cul!... O garce! si nous étions seuls ici, je me jetterais sur toi, et je t'enconnerais..." -- Je l'ai entendu (me dit en souriant Mme Poilsoyeux). -- Un autre (ce soir) se secoue le vit en pleine rue: "Maman... (dit-il) délicieuse maman... je me branle... je décharge... à ta divine intention." -- Je l'ai entendu; j'ai souri. Il a aussitôt ajouté: "Oh, si vous êtes putain... une divine putain? cinquante louis pour trois coups en une heure?... ou chez moi, ou chez vous?... Je demeure rue de Bussi au 3ème, n° 16." -- Un joli fat (repris-je), disait assez haut: "Mon vit dans sa bouche, et ma langue dans son con..." Et il se branlait, branlait, branlait. -- Je l'ai vu, et je lui ai donné un petit coup d'éventail sur le vit... Il m'a bien touchée! Il m'occupait. Peut-être est-il cause que j'ai montré un peu d'humeur, quand, à notre arrivée, vous m'avez pris le con. A ces mots, nous recommençâmes une scène, comme celle que je viens de raconter; si ce n'est que je renversai ma fille sur le dos. -- Vit-papa... (me dit-elle) tu es le fat... c'est le fat qui me fout... Tu me fais foutre par tous ceux qui m'ont désirée... Je décharge à l'intention du fat... son vit dans ma bouche, ses couillettes sur mes tétons, et l'engin de mon père au fond de mon connin... J'avale son... joli foutre... (convulsivant du con)... Je déchar..ge... Jamais elle n'avait eu autant de passion. Elle était même raisonnée; car, entre deux décharges, elle me dit: -- Vos lèvres sont appétissantes; elles me rappellent; au lieu que celles de Montencon... Je ne veux plus qu'il m'encon..o..o..ne (dit-elle en s'agitant). Langue en bouche; mon con pa..art... Ah, si j'avais là l'homme aux cinquante louis, moi qui ne suis pas effrontée, je crois que je ferais la putain, que je les exigerais d'avance, comme Vitnègre disait que c'est l'usage des filles, que je le déculotterais, et que mon con martyrisé gagnerait la somme! Chapitre XXIV Du chef-d'oeuvre de tendresse paternelle. Conquette était naturellement sage; elle n'éprouvait les emportements du libertinage que dans le délire de la jouissance, effet d'un vigoureux tempérament. J'étais épuisé par deux coups foutus avec trop d'emportement. Cependant je la voyais haletante de volupté. Je courus au carrefour Bussi, n° 16, au 3ème. Je trouvai le jeune homme aux cinquante louis. Je le reconnus; il me remit. -- Je suis le père de la jeune dame à laquelle vous avez offert 50 louis. -- Je les lui tiens. Trois coups en une heure? -- Soit. En ma présence? -- Et de tout Paris, si vous voulez. Mais, bougre, ne va pas me jouer! -- Non. Mais une heure, sans bruit? -- Foi d'homme! Partons... Il prit les 50 louis. Arrivés tous deux, je dis à ma fille: -- Voici l'homme qui t'a plu. Tu as besoin de 50 louis. Il te les apporte. Il les faut gagner! Conquette rougit, sans rien répondre. L'homme se déculotta, lui vint prendre les tétons, le con. Il me dit: -- Serrez les 50 louis; ce con satiné, ces tétons touchés les valent. Je les serrai, tandis qu'il renversait ma fille sur le foutoir. Elle fit un cri: -- O monsieur... mon cher monsieur... ne me faites pas trop de mal! -- Seriez-vous donc pucelle? -- Hélas! oui... Il l'enconna avec fureur. Elle soupira, criota, pinça du con, déchargea. -- Elle est adorable (disait le fouteur enragé; car il foutit, et re-foutit, sans pitié, comme sans déconner, ses trois coups de suite). Ma fille, tantôt le caressait, tantôt lui demandait grâce: mais elle déchargeait toujours... Il déconna ravi... Et voyant quelques gouttes de sang, que ses brusques estocades avaient fait couler, il dit: -- Oui, vous êtes d'honnêtes gens. Un pareil pucelage n'est pas assez payé de 50 louis. Je vais en envoyer 50 autres, papa... (Ma fille était disparue pour s'abluer). Oui, si je n'étais pas marié (ajouta-t-il attendri), je l'épouserais, et pour son pucelage, et pour son amour... Vous allez recevoir 50 louis. Je la regretterai toujours, et ne la verrai jamais. Il partit. Ma fille me remercia, et me dit qu'elle était rassasiée. Je lui remettais les 50 louis. -- Non (me dit-elle), cher papa, c'est pour nos dépenses. Les 50 autres louis arrivèrent, et je ne pus jamais l'obliger à en mettre dans sa bourse plus de six. Je déposai les 94 autres à sa portée dans mon magasin. Le Lendemain, à mon arrivée, ma fille me dit: -- Je brûle aujourd'hui. Savez-vous la demeure du fat, ou du vit découvert? -- Non; ce sont des sots. -- Eh bien, sortons. L'un ou l'autre me verra sans doute, et vous le suivrez. -- Divine fille... épuisé dans ton céleste connin, j'ai toujours les mêmes désirs; et, si je voulais mourir de plaisir, et dans le plaisir, je te prierais de remuer du cul, et de me laisser expirer au fond de ton con satiné... Foutons!... -- Un seul coup. Vous m'êtes trop cher et trop nécessaire pour que je ne vous ménage pas. En montant sur le ventre de ma fille, et tandis qu'elle m'arrangeait le vit à l'entrée de son con, je lui disais: -- Te quitter, pour en suivre un, est trop scabreux, et malheur peut arriver... Et comme elle ne s'agitait pas, -- Tu me ménages?... Remue du cul, mignonne! Saccade! Décharge!... C'est mon seul coup... Mais j'ai de quoi te satisfaire... Il le faut même, avant qu'un de tes trois gros vits te martyrise. Elle remua du cul et du con, comme Marie-Antoinette foutue en levrette à la Conciergerie par un polisson de gendarme... Nous déchargeâmes, Conquette, comme la reine, moi, comme le gendarme... Je sortis. Elle lava. Chapitre XXV Du bon père qui fait foutre sa fille. Allez au but, et bravez le reste: c'est un con, qu'il s'agit d'élargir; il faut donc qu'il soit foutu... On sait que j'avais à moi un certain Traitdamour, mon secrétaire, frère de Minone et amant de Connète, qu'il m'avait fait dépuceler, l'ayant trop gros. C'était un vigoureux garçon de vingt ans. Il demeurait à deux pas. Je l'allai chercher: -- Veux-tu foutre quatre ou cinq bons coups, avec une femme charmante, que je veux régaler, et à laquelle je veux donner haute opinion de moi? Ainsi, tu n'auras pas de jour. Mais tu l'auras vue avant de la foutre, pour la mieux servir. -- Bon, bon! il y a quinze jours que je ne l'ai mis, ni à Connète, ni à ma soeur, et je n'en fous point d'autres... Nous arrivâmes. Je lui fis voir, par une portière, Conquette, qu'il ne connaissait pas. -- Oh... qu'elle est... provoquante... foutative!... J'entrai seul: -- Dététonne-toi; trousse-toi toi-même (dis-je à Mme Poilsoyeux). Tu es vue par un jeune homme de vingt ans, beau comme l'Amour. -- Mon fat? -- Ton fat. Il se nomme Traitdamour. Ainsi, montre tout, en abluant. Je retourne auprès de lui. De retour auprès de mon étalon, je lui dis: -- Regarde-la bien. Elle va s'abluer, et montrer con et cul... L'âme de mon gendre momentané passa dans ses yeux. Conquette se découvrit les tétons, épongea légèrement les bouts d'eau-rose. Ensuite elle se troussa au-dessus des reins, se parfuma le cul et le con avec une autre fine éponge; tendit le cul, se faça bien le con. Puis elle se renversa sur le foutoir, avant de fermer les rideaux. Je les allai tirer, en disant à Traitdamour de me suivre dans un instant. Je me jetai sur la délicieuse Poilsoyeux; et l'enconnai. Traitdamour me chatouilla les couilles. J'émis avec fureur. Ma fouteuse se récriait de volupté... Je me hâtai de déconner. Traitdamour attendait tout déculotté. Il se précipita sur ma fille, et je dis, en me penchant sur la tête de l'enconnant: -- Allons, allons, ma belle! les reins souples! j'ai repris une vigueur nouvelle! Traitdamour cependant enfonçait à peine son beau vit dans cet étroit bijou, encore que mon foutre y servît de pommade. Conquette, de nouveau dépucelée, criotait en soupirotant, et néanmoins remuant vivement du cul, à chaque dardement de vit. Je rebandais. Mais Traitdamour foutit trois coups, et fit trois copieuses éjaculations avant de déconner. Je le tirai, pour le forcer à reprendre haleine. -- Je vais pendant ce temps-là (lui dis-je très bas), faire une petite partie de Trou-Madame. -- Je vois (me dit-il de même), vous ne bandiez plus assez roide, et je suis votre Boutentrain! Mais elle a le con plein de foutre... Ma fille se lavait... Je roidissais de plus en plus, par la vue des cuisses de neige, de la jambe fine, du pied parfait, du cul, du con, du ventre d'ivoire, du nombril bien fait, des tétons de ma fouteuse. Je dis tout haut à Traitdamour: -- Beau fouteur, montre-toi; que ma déesse voie le superbe vit dont je la régale! Traitdamour parut son trait à la main. Ce n'était pas le fat; mais il était plus beau. Ma fille sourit. Puis, baissant la vue sur le vit majeur, la belle dit en soupirant, et le pressant de sa main blanche et potelée: -- C'est donc toi qui m'as fait tant de mal... et de plaisir!... Traitdamour me la renversa; lui fit écarter les cuisses; me coucha sur elle; me mit l'engin dans la brèche, en disant: -- Votre belle a la main trop douce; elle pourrait vous mettre à nage, et il faut enconner roide... Poussez, mon maître... piquez des deux!... la cavale est belle... Allons, déesse enconnée, haussez le con... Remuez du cul... C'est un homme d'esprit qui va vous humecter la matrice de son foutre honorable... Cette harangue fit sourire la foutue, qui, pour en déguiser la cause, s'écria: -- Ah, monsieur Vitnègre, que de cornes vous voilà!... -- Allons, déesse (reprit Traitdamour), songez qu'il faut que vous fassiez les trois quarts de l'ouvrage... Du mouvement!... Bon... Ah! ça va d'amitié... et... vous remuez du cul comme une princesse... Allons, des reins souples! Avec votre connin satiné, vous mettez votre fouteur aux anges!... Roide, mon maître! aidez-vous... votre jolie monture va comme une jument barbe... Gzee... gzee... Un coup de fouet... Ah! quels soubresauts... Ma foi, elle décharge... Piquez des deux... Comme elle trémousse des fesses, la céleste petite amie! comme elle en donne!... Que je vous chatouille les couilles, pour vous y faire correspondre!... Vous partez!... Quels coups de cul!... Quels soupirs!... Elle redécharge!... Ma modeste fille ne jurait jamais que très émue, et dans le délire de la volupté. Aussi, en cette occasion, elle syncopa, en s'écriant: -- Bou..ougre!... fous..ous-moi! Mon... con a... toute... mon âme!... Je fous... je fonds... en foutre... je décha..arge... Que... n'ai-je... deux vits... dans... mon... sacré con! -- Il est trop étroit, ma belle (lui répondit Traitdamour); sans quoi l'on s'arrangerait à vous donner ce plaisir-là... Mais on pourra quelque jour vous enculer, pendant que votre fouteur vous enconnera... Après une délicieuse décharge, je me crus épuisé. Je déconnai sur-le-champ. Ma fille trémoussait encore. Traitdamour sauta sur ce con fumant, et, tout en le re-enconnant, il me disait: -- Vous avez foutu ma petite soeur; je l'ai foutue aussi, après vous. Vous m'avez dépucelé Connète ma future. Dites-moi si leurs cons valent celui que votre bonté me fait enfiler? c'est un satin!..... Mais, à en juger par le soyeux du poil, j'augure que l'intérieur du con de ma jolie chapelière de la rue Bordet en approchera... Ma reine... vous fais-je mal? -- Et plaisir... Va... va..a va..a donc! je fous. -- Ahahahh, quel satin.. quelles délices!... J'enconne... je fous... je décha..arge... Remue... divine... sacrée... céleste enconnée!... Oh, l'aimable petite pincette qu'elle a au fond du connin!... Pince... serre... sacrée petite convulsionnaire... fais-moi... convulsiver dans ton joli con!... Tu veux du foutre... Déesse?... Quatre décharges de suite vont t'inonder le connin... connichon... connichonnet!... Voilà ma seconde... -- Fous... saccade (murmurait ma fille)... ne... me quitte... pas, cher vitdamour! -- Ne la quitte pas après avoir déchargé (dis-je à mon ancien secrétaire); qu'elle sente les dernières oscillations de ton gros vit!... Qu'elle est jolie, en foutant!... (disais-je à Traitdamour); je rebande... Elle a l'air d'une déesse!... Laisse-la achever... Farfouille... Lime.. lime-la!... Elle gigote encore... Bon... bon! Elle se pâme?!... Ah, qu'elle est jolie, pâmée!..... -- Elle n'émet plus? -- Elle a émis quatre fois dans le con, sans la désenconner. -- Quatre et trois, c'est sept (disait Traitdamour, en me la lavant); vous allez la refoutre; ça me reposera; j'irai à mes douze. -- Vous vous ferez mal (me dit Conquette); voilà quatre fois que vous m'enconnez aujourd'hui; le reste de ses 12 me suffira; ça fera mes 16! Pour toute réponse, je me la fis renverser. Elle me darda sa langue, et je la foutis roide... Traitdamour la prit ensuite, et ne la quitta plus, quoiqu'elle l'en priât, qu'il n'eût arrosé de foutre cinq nouvelles fois ce beau con.... Elle se leva aussitôt qu'elle fut déconnée, en me disant: -- Emmenez cet impayable jeune homme, et me laissez libre. J'ai besoin de rafraîchir sur le bidet plus d'une demi-heure mon pauvre bijou martyrisé... Nous la laissâmes; j'allai prendre et faire prendre à Traitdamour un bouillon chez Mme Brideconnin, que je priai d'en tenir un prêt pour Mme Poilsoyeux. Ce qui la surprit... Conquette rafraîchie arriva, et parut aussi décente, aussi modeste, que si elle n'avait pas foutu. Traitdamour partit, sans être instruit, Mme Brideconnin étant prévenue de ne jamais découvrir les relations entre ma fille et moi. Chapitre XXVI D'avis très utile au lecteur, et à l'auteur. Nous en sommes enfin au temps si souvent annoncé des fouteries majeures. Si je les avais rapportées sans préparation, elles auraient étonné. Mais qu'on sache que j'étais sûr, en les commençant, non seulement d'avoir pour mes filles deux des trois payeurs qui soldaient Vitnègre, mais encore de les faire précéder par la jolie chapelière de la rue Bordet, qui, vendue au plus douteux, devait m'instruire de la moralité de tous les trois. Il était donc essentiel, pour éviter qu'elles ne fussent estropiées, de les faire prodigieusement élargir, en évitant néanmoins de les prodiguer à trop de déchargeurs en con. L'on verra comme je m'y prendrai pour cela. On trouvera dans le récit un épisode, à chaque séance, tant pour varier la scène, et reposer l'imagination, que pour raconter quelques aventures, que j'ai cru devoir supprimer au commencement. Chaque historiette lue ou racontée ne sortira pas du genre. Rien de plus déplacé, dans un ouvrage comme celui-ci, qu'une dissertation philosophique; elle y devient insipide, et par là même dégoûte de la philosophie. Mon but moral, qui en vaut bien un autre, est de donner à ceux qui ont le tempérament paresseux, un Erotikon épicé, qui les fasse servir convenablement une épouse qui n'est plus belle. C'est ce que j'ai vu faire à plusieurs hommes, qui se servaient pour cela du livre cruel et si dangereux de Justine, ou les Malheurs de la Vertu. J'en ai un plus important encore; je veux préserver les femmes du délire de la cruauté. L'Anti-Justine, non moins savoureuse, non moins emportée que la Justine, mais sans barbarie, empêchera désormais les hommes d'avoir recours à celle-ci. La publication de la concurrente antidotale est urgente, et je me déshonore volontiers aux yeux des sots, des puristes et des irréfléchis, pour la donner à mes concitoyens. L'ouvrage aura deux parties. Après le récit formant la première, succéderont des lettres, non moins assaisonnées, composant la seconde. Les filles de Cupidonnet lui racontent les parties de plaisir que leur faisaient faire leurs entreteneurs; parties où, dans le délire de l'ivresse, leurs payeurs les faisaient quelquefois posséder par 12 hommes... Mais toutes ces lettres ne sont pas érotiques: il en est d'intéressantes par un autre motif; tel est celui d'une résurrection, avec la découverte importante de l'origine de Conquette-Ingénue, et de Victoire-Conquette, noms de deux filles que les miennes ont remplacées. Ce qui me justifiera d'une certaine chose, qui sans doute a déjà effarouché plus d'un lecteur... Je n'en dirai pas davantage là-dessus. On ne peut trop multiplier les observations sur les scènes que je vais mettre sous la vue du lecteur. Pour remplacer la Justine, et faire préférer l'Anti-Justine, il faut que celle-ci surpasse l'autre en volupté, autant qu'elle lui cède en cruauté. Il faut qu'un seul chapitre lu par un homme, sur l'inspection de la table, lui fasse exploiter sa femme, jeune ou vieille, laide ou jolie, pourvu que la dame ait fait bidet, et qu'elle soit bien chaussée. Chapitre XXVII Du commencement des grandes fouteries. Egayée comme elle l'avait été hier, ma fille devait avoir besoin de repos le lendemain. Elle avait le bijou si fatigué qu'elle ne pouvait quitter sa chaise. Elle resta constamment auprès de Mme Brideconnin, de peur que personne ne vînt le lui patiner. Le reste de la semaine, elle évita également, quoique guérie dès le troisième jour, de se trouver seule avec moi. Elle amassait elle-même du tempérament; car elle ne s'était jamais branlée. Le dimanche, à une heure, elle alla pour la dernière fois chez son amie... Avant de partir, elle me présenta son joli pied à baiser, et me livra sans bégueulerie le poil de son connin. Je la conduisis jusqu'à la porte, promettant de la revenir prendre avant 5 heures; ce qui la fit rougir; mais j'observai qu'en montant, me croyant parti, elle souriait. Je fus exact. En la ramenant, je la fis marcher devant moi, m'apercevant qu'elle était observée par un homme, que je pris pour un des payeurs de Vitnègre. Mais il ne pouvait reconnaître que son joli tour de cul et sa marche provocante, tant elle était bien encaléchée. J'observais l'inconnu. Je demandai à ma fille si c'était là celui-ci qu'elle préférait? -- Oui (me dit-elle). Alors, je la nommai, distinctement, ma fille. Et l'homme s'éloigna. J'avais averti Traitdamour. Il avait une clef de mon magasin, et nous l'y trouvâmes. Je le crus seul, malgré la recommandation que je lui avais faite de m'amener quatre acteurs des deux sexes. Je lui dis, en riant, que je bandais, et que je voulais enconner. -- Quoi! (dit Conquette) est-ce que vous allez faire tous deux comme l'autre fois?... Je ne suis pas disposée, je vous en avertis. -- Nous vous disposerons, ma belle (lui dit ironiquement Traitdamour, qui la crut ma putain); voyez-moi ce vit-là!... Et il lui en montra un superbe... -- Laissez-moi d'abord vous lécher le connin, Ma'm'selle?... Mon maître vous enconnera, quand vous serez préparée! J'ai tout disposé, pour lui donner aujourd'hui, ainsi qu'à vous, un plaisir de fermier général. Il la renversa brutalement, et la gamahucha, en lui disant, comme s'il l'avait menacée: -- Ne résistez pas! car je vous ferais mal... Mais Mme Poilsoyeux, comme toutes les femmes à grand tempérament, aimait, dans la fouterie et ses accessoires, une sorte de brutalité. Ainsi, en croyant la contraindre, il la servait admirablement... La belle commençait à décharger... Tandis que je roidissais avec oscillation, à la vue du systole et du diastole des fesses et du con de ma fille, j'aperçus derrière un rideau de l'alcôve quelque chose qui remuait. J'allai voir. C'étaient Minone et Connète, auxquelles deux garçons amis de Traitdamour, excités par ce qu'ils voyaient, léchaient le con. Je leur fis entendre, par signes, de ne pas bruire, et je les encourageai d'un geste. Cependant Traitdamour fellait ou suçait le connin de Mme Poilsoyeux. Lorsqu'elle fut suffisamment en humeur, il se dérangea, me tira sur la belle, et inséra mon vit bandant en ce connin rempucelé par sept jours de repos. -- Qu'avez-vous à me donner à vous sucer? (dit-il à l'enconnée). Elle lui présenta l'index de la main droite qu'il se mit à sucer, après néanmoins avoir appelé sa soeur et sa maîtresse, en leur disant: -- Ici, bougresses, et qu'on montre son savoir-faire!... L'une (Minone), qui avait la main aussi douce que ma fille avait le con, me chatouilla les couilles; l'autre (Connète) fourrait un doigt pommadé dans le cul de ma fouteuse, pour la faire tressaillir sous moi... Mme Poilsoyeux hennissait de plaisir. Elle me dardait sa langue, en m'appelant son cher fat... son cher Centlouis... son cher payeur à gros vit... son cher Traitdamour... Enfin, enivrée de fureur érotique, elle s'écria: -- Vitnègre!... Jean-foutre... Fous-moi! Pince-moi!... Que ton gros vit de mulâtre me pourfende et m'encule!... Et elle déchargea comme une énergumène. En ce moment, j'avais dans la bouche la langue frétillante de mon enconnée; une des deux filles me chatouillait de la sienne le trou du cul et les couilles; l'autre me suçait dans la raie du dos entre les deux épaules, précisément sur le sensorium... Je croyais connaître le plaisir de la décharge; mais je ne l'avais jamais éprouvé, comme cette fois-ci; et, de ce coup, je fus rendu.... -- Quelles délices! Traitdamour m'enleva de sur ma fille, et se précipita dans son con. -- Voilà un connin! (disait-il, en poussant et retirant, allant toujours plus avant, à chaque saccade) Il y a de la différence de ce connin aux autres cons, comme du satin à la tapisserie de Bergame... Les jeunes filles n'avaient plus besoin de chatouiller, quand Traitdamour foutait; il avait assez de feu pour lui-même, et ne faisait que trop bien trémousser sa monture. Je fis signe aux deux garçons, Brisemote et Cordaboyau, d'étaler les filles, l'une sur un vieux sofa, l'autre sur un lit de sangle ayant un simple matelas, et de les foutre à la portée du regard de la belle au con soyeux. Par un effet du hasard, ma fille émettait sous Traitdamour pour la seconde fois, et les deux enconnées déchargèrent au même instant, ainsi que les trois hommes. La belle Poilsoyeux, en roidissant les jarrets, faisait: -- Hi hi-hi-héhé!... Minone: -- Han-han-hanh!... Connète: -- Houhi-houhin houah-houah-houâh!... Les trois hommes disaient ensemble: Traitdamour: -- Remue du cul, déesse!... Cordaboyau: -- Remue du cul, garce! Brisemote: -- Remue du cul, petite putain!... En déchargeant, ils s'écriaient: -- Foutre... -- Foutre... -- Foutre... Traitdamour: -- Ah, déesse... Cordaboyau: -- Ah, bougresse... Brisemote: -- Ah, mâtine! chacun suivant son caractère et sa politesse... Mme Poilsoyeux fut la plus longue à décharger; les deux autres étaient déconnées et lavées, qu'elle émettait encore. Enfin elle cessa. Traitdamour la lava. Et me voyant rebander: -- Vous la foutrez sans doute autant que la dernière fois? (me demanda-t-il). -- Très certainement! (répondis-je). Je ne suis vigoureux qu'avec cette jeune beauté. Je la foutrais jusqu'à extinction de vie et dessiccation de couilles; et tu vas voir ce que je vaux. Qu'on m'anime seulement par la vue d'enconnages redoublés! Chapitre XXVIII De l'enculo-connillerie. Ma réponse fit sourire Traitdamour, qui sans doute n'y ajouta aucune foi. -- Eh bien (reprit Traitdamour), je vais vous donner un plaisir, que vous n'avez jamais eu, ni ces bougres-là non plus. Je tiens cette pratique de l'abbé Chouanche, ancien Genovefain, qui m'a souvent enculé, avant que j'eusse de la barbe au menton et du poil au vit. Un jour, voyant que je m'ennuyais de son culetage, il me dit d'aller lui chercher la petite Culfrayé la cadette, jolie comme un coeur, et non encore vendue à un Lord. Il envoyait 12 francs à la mère, et la fille devait en recevoir autant. L'abbé la fit s'appuyer un coude sur une commode; il se mit derrière elle, et l'encula. J'étais devant, et il me la fit enconner. Nous limions; nos deux vits se sentaient, ou la jeune garce tortillait du cul de façon que nous croyions le sentir. Chouanche la faisait tantôt pousser du con sur moi, et alors son vit déculant à moitié, il avait l'agrément de la re-enculer quand elle foulait du cul sur lui. Je presque-déconnais alors, puis je re-enconnais. Ce joli jeu dura tant que Chouanche put retenir son foutre. Car il ne déchargeait pas; il se réservait pour mon cul. En conséquence, il fit mettre la jolie Culfrayé sur le dos; je l'enconnai; l'abbé m'encula, et nous déchargeâmes tous trois... Nous ne prendrons pas la manière du Genovefain; elle est trop fatigante pour la foutue. Mais il payait la jolie bougresse... Payez-vous, Madame?... -- Non certes: c'est une honnête femme. -- Je m'en suis aperçu à sa fouterie. Une putain ne fout pas comme Madame... En ce cas, je vais vous donner une expérience physique sur une de ces deux fillettes... Allons, Minone... Allons, Connète! laquelle des deux veut être enculée et enconnée tout à la fois et en même temps! Qu'elle se trousse! Durant cet entretien, qui la laissait tranquille, Conquette s'était couvert le con et les tétons. Les deux filles étaient assises à côté d'elle, dététonnées. Elle leur baisa le boutonnet, et leur couvrit la gorge de sens-froid avec leurs fichus (Mme Poilsoyeux redevenait toujours modeste, dès qu'on ne la foutait plus)... Les deux filles répondirent ensemble: -- Moi... Moi! -- L'une après l'autre (dit Traitdamour)... Vous avez ici de la pommade, ou du beurre frais? -- Oui (répondit en rougissant la belle Consatiné). Tenez, ma pommade est là... et voici du beurre. -- Gardons ce beurre frais pour vous, belle dame, aussi belle au cul et au con qu'au visage (reprit Traitdamour). Minone se pommadait la rosette. -- C'est donc toi qui passes la première, ma soeur? -- Oui, si c'est toi qui me dépucelles le cul? -- J'y suis pucelle aussi (s'écria Connète). -- Ce ne sera pas moi qui aurai ton pucelage d'arrière (répondit Traitdamour à sa soeur). Mon vit est aujourd'hui entièrement réservé à Madame. Et, quoique le culetage m'ait toujours fait peine, agent ou patient, le cul satiné de Madame me tente autant que l'étroit fourreau de son con, qui se rempucelle en une semaine, ou seulement en faisant bidet à l'eau froide. Je suis sûr que Madame n'a jamais été enculée (à genoux, il lui regardait au cul), et que c'est aussi un pucelage? Conquette rougissait. Les deux camarades de Traitdamour tirèrent au premier roi à qui dépucellerait le cul de Minone; car tous deux le voulaient avoir. Ce fut Cordaboyau (un bellot à vit moyen) que le sort favorisa. Il se pommada le vit jusqu'à la racine. Traitdamour fit coucher Minone sur le côté. Il mit Cordaboyau devant son cul, et Brisemote (un beau à gros vit) devant son con. Il la fit ainsi enfiler des deux côtés; les jeunes gens se la poussant l'un sur l'autre à qui mieux. Ce qui donnait un tel plaisir à Minone, qu'elle se récriait: -- Dieu... que j'ai de délices... c'est... une fouterie de princesse... On dit... que la Reine... fout ainsi entre... d'Artois et Vaudreuil... ce dernier a... le cul... -- Allons (dit Traitdamour), tachez de décharger tous trois en même temps! Cordaboyau poussait; il retint la garce par les hanches, pour enfoncer plus avant; Brisemote en fit autant; de sorte que, rendue immobile, elle s'agitait néanmoins en tout sens. -- Examinez bien.. (dis je à Conquette-Ingénue) pour faire la même chose à votre tour; car il faut que vous expérimentiez tous les genres de fouterie. Elle considéra le jeu, à travers les bâtons de son éventail. Minone haletait. Connète, ébahie, restait immobile à la contempler. -- Que fais-tu là, toi, bougresse? (lui dit Traitdamour, notre grand maître des cérémonies) Patine-nous Madame... Suce-lui le bout des tétins... Gamahuche-la; elle a le con propre comme un visage de mariée... Ces mots, énergiquement prononcés, mirent en danse la reine de la fête, que je vais décrire. Connète, tandis que Minone travaillait, et qu'elle était travaillée, découvrit les tétons de Mme Poilsoyeux, et les siens. Elle en suça les bouts; elle se les fit sucer. Ce chatouillement de la bouche de Conquette, aussi satinée que son con, mit la jeune Connète en fureur amoureuse. Elle trousse Mme Poilsoyeux; lui insère sa langue dans le con; lui chatouille le haut de la motte. La belle, émoustillée, regardait cependant Minone. Celle-ci avertit ses deux fouteurs qu'elle était prête à décharger. Ils redoublent le fourgonnage. Elle s'écrie: -- Vits de Dieu! Et elle se pâme. L'enculeur et l'enconneur l'inondaient de foutre; il ruisselait des deux côtés... Ma fille, vivement gamahuchée par Connète, est hors d'elle-même, et cette modeste beauté dit à la jeune fille: -- Ote-toi, garce! Un fouteur! Un fouteur!... deux... cent fouteurs!... Traitdamour l'entend. Il dérange Connète acharnée, en la tirant par la jolie crinière de son con blond. Il emplit le trou du cul de Mme Vitnègre de beurre frais; s'en frotte le vit décalotté; se met le bas-ventre sur ses fesses, enfile la rosette, sans écouter les petits cris de l'enculée; l'étreint vigoureusement, se retourne, en se mettant sur le dos, le vit dans le cul de la belle jusqu'à la garde, son con bien facé... Il crie à son maître: -- A ce con béant qui vous supe! Enconnez roide... Piquez des deux... la garce est enculée, et je vas vous donner les mouvements... Pardon, déesse! je ne me connais plus... Connète! boulonne, boulonne les couilles de mon maître... Cependant j'enconnais ma délicieuse fille. Et, sentant le vit de Traitdamour qui m'étrécissait encore le passage, et qui donnait au connin des oscillations que jamais con n'a eues, je délirai, en m'écriant: -- Chien de Vitnègre! cocu tout à la fois du con et du cul. Cette idée m'enflammait, et sa brutalité m'empêcha de décharger trop tôt. Je parvins au charmant pinçoir du fond du connin. Il me suça. Le vit de Traitdamour me communiquait tous ses mouvements, et en faisait faire d'insolites à mon adorable fouteuse. Déjà préparée par la langue de Connète, elle s'écrie: -- Ah-ah-ohh!... ze déça-arze.... Foutre! -- En voilà... du foutre... plein votre con... Reine des vits... et des dieux, s'écria Traitdamour!... Et je sentais les oscillations de son gros vit qui éjaculait... Enfin, je déchargeai moi-même. Ma fille, inondée de foutre, trémoussait rapidement: -- Con satiné de mon vit (m'écriai-je), que tu es délicieux!... Mme Vitnègre émettait encore, quand Traitdamour décula... Ce mouvement la fit redécharger... Le bougre se lavait d'eau tiède. Conquette, dans le con de laquelle je laissais osciller mon vit après décharge, gigotait, trémoussait, tremblotait sous moi. Connète m'avait quitté les couilles. Traitdamour, toujours bandant, était revenu vers nous. -- Fous-la-moi tout chaud (lui dis-je); elle décharge encore... Et toi (dis-je à Connète), boulonne-lui la bouteille-à-miel du bourdon d'amour. Elle m'obéit. Mais Minone, déculée, déconnée, lavée, était libre. Elle vint remplacer Connète, en me demandant si cela ne signifiait pas tout uniment de chatouiller les couilles de son frère pendant qu'il foutait ma maîtresse?... Cordaboyau cependant et Brisemote happaient Connète, le premier, cette fois enconnant, tandis que l'autre enculait, pour donner une perspective encourageante à ma fille. Mais tout finit. Mme Vitnègre cessa de décharger. On la déconna. Traitdamour la mit au bidet. Elle se couvrit modestement le con et les tétons; puis elle dit aux deux fillettes: -- Mes bonnes amies, allons aider mon hôtesse, pour le souper! Elles y coururent. -- Si vous n'avez préparé (dit ma fille) que pour notre souper ordinaire, je vous avertis qu'il faut le double. -- Je n'ai pas assez donc (répondit Mme Brideconnin). -- Vite au rôtisseur de vis-à-vis (reprit la belle Vitnègre); et du bon vin! ou je ne boirai que de l'eau. Un bon mariage paiera tout ça... On alla chez le successeur d'Ellès, qui promit un copieux souper pour dans une heure. Conquette rentra auprès de nous avec les deux jolies filles. -- Rebandez-vous? (me dit Traitdamour) Il ne faut pas laisser languir nos cons avec l'expectative d'un bon souper! -- Je brûle, à la vue du tour de cul et du pied de ma déesse; mais je ne suis pas roide, lui répondis-je. Traitdamour: -- Je roule dans ma tête une idée, qui vous roidira. Chapitre XXIX D'une nouvelle actrice. Danse nègre. -- Allons, garces, dit Traitdamour à sa soeur et à sa maîtresse, nues! Et vous, bougres, déshabillez-vous!... Il se mettait nu lui-même. -- Mais il nous faut encore une actrice... Je viens de voir monter une jolie drôlesse, qui ferait notre affaire? -- C'est Mme Brideconnin, l'hôtesse de notre belle dame, dit Connète. -- Non, non, mon amie. C'est une petite brune de fond de la cour, cadette d'une grande belle blonde, que nous aurons peut-être un jour, et qui se nomme Connindoré. La Cadette s'appelle Rosemauve, et passe pour très rusée. Mais on la dit amoureuse comme une chatte, quoiqu'elle soit peut-être pucelle encore; car sa mère la couve des yeux. Cependant, quand un homme l'embrasse, elle ne fait aucune difficulté de donner sa langue. -- Je la connais! dit modestement la belle Poilsoyeux; et elle m'a... m'a... Traitdamour: -- Quoi? déesse? -- Mais, donné sa jolie langue, et... -- Et quoi? -- Gam*******. -- Gamahuchée... Va la chercher, Connète. -- Non! dit vivement Conquette, j'y vais moi-même. Elle sortit, et, ayant rencontré Rosemauve qui redescendait, parce qu'elle n'avait pas trouvé un vieil oncle assez riche, dont elle recréait l'impotente lubricité, en lui chatouillant le croupion, le scrotum et les testicules; ce qui le faisait bandocher, la belle Poilsoyeux la mit au fait, obtint son aveu, et l'introduisit. Les deux filles et les trois hommes étaient nus comme la main. Sans rien dire à la brune Rosemauve, ils se mirent tous cinq à la déshabiller. On lui enleva jusqu'à sa chemise. On lui baigna cul, con, cuisses, pieds... Puis Traitdamour lui dit: -- Ma belle, il faut, en tout, faire comme ma soeur et mon amie. Aussitôt commença la danse nègre; où chaque fille faisait tous les mouvements d'une Noire ardente qui fuit le vit dont elle brûle d'être enconnée, que le vit attrape, et qui saccade alors en trémoussant du cul, comme si le vit la fourgonnait. Les garçons poursuivaient les garces le vit en main; et dès qu'ils les avaient attrapées, elles se retournaient pour l'enconnage, ou ils paraissaient les foutre en levrette; culetant, criotant, jurotant, comme s'ils eussent perforé les cons. La danseuse prenait le vit, au lieu de la main; l'homme la saisissait par la barbe du con. Ils se faisaient ainsi tourner de temps en temps. Je bandais roide. Je fis trousser ma fille au-dessus des reins, et je lui dis: -- Conque de Vénus, imite tous les mouvements de cul et de con que tu vois... Elle était excitée; elle se mit au milieu de la danse, et les exécuta rapidement... Traitdamour, me voyant en rut, et ses camarades bien disposés, leur dit: -- Au foutoir... Il laissa Rosemauve, sa danseuse, qui en parut toute mortifiée! -- Votre tour va venir, ma belle danseuse. Il étendit ma fille sur le sofa, dont il lui mit un des oreillers sous le cul: -- Allons, ma toute éveillée, dit-il à Rosemauve, gamahuchez-moi ce connin-là, pendant que je vous le mettrai en levrette, ou vous enculerai, à votre choix? -- On ne dépucelle pas une vierge en levrette (répondit-elle vivement): encule-moi, s'il le faut, tandis que je gamahucherai ce connin d'amour... Elle gamahucha la belle épouse de M. Vitnègre avec fureur, et Traitdamour perça sans pitié, par des efforts redoublés, le cul virginal de la gamahuchante. La belle Poilsoyeux appela: -- le vit! le vit! Je n'y pouvais plus tenir. Je dérangeai la Rosemauve enculée, pour me précipiter dans le con de ma fille haletante de volupté... J'enconnais vigoureusement, lorsque j'eus la délicieuse surprise de me sentir gamahucher le cul, ainsi que la racine des couilles, par la bouche et la langue veloutées de Rosemauve!... Je cocufiai Monsieur Vitnègre aussi copieusement que si j'avais eu les couilles d'un Dieu!... On abluait. -- Avec la permission de ma déesse (à Conquette), il faut que je m'acquitte avec Rosemauve!... Tout le monde s'écria: -- Non, non, dimanche! Je ne les écoutai pas; j'enfilai la pucelle, qui criota, sanglotina, et ils furent témoins de ma nouvelle victoire. Mais Conquette me gronda sérieusement. On alla souper. La conversation fut sage, rassise. Brideconnin, sa femme, en étaient édifiés... Mais je ne tarderai pas à les mettre de nos amusements... Au dessert, Traitdamour me demanda une histoire dans le genre de nos amusements! Je lui donnai à lire une lettre, adressée à Vitnègre, par un de ses trois payeurs, lettre que j'avais trouvée dans une des malles de ma fille. La voici: Chapitre XXX De la Piochée, du Pioché, du Piochard. Nous avons un de nos confrères, qui avait une maîtresse de seize ans, dont il jouissait à sa manière, comme je prétends jouir de ta femme à la mienne, quand une fois je l'aurai dévirginée. Tu seras alors présent à nos fouteries, à peu près comme le père dont je vais parler. J'aime à écrire ces histoires-là; elles me font bander. Le père de la jeune fille était un riche marchand, qui l'avait délicatement élevée; mais il était devenu si pauvre qu'il ne pouvait plus la nourrir, ni un fils de douze ans. La fille ayant plu à mon confrère, il la voulut acheter. Le père la lui vendit douze mille francs. Mais comme Piochencul (c'est le nom du confrère) est un libertin fort blasé, il lui faut un ragoût pour le ranimer. Ce ragoût est de faire trousser et laver la fille par son père, avant d'en jouir. Le père prend ensuite le vit du fouteur, et le dirige dans le con sans poil de la jolie Piochée. Son père l'avait pommadée la première fois. Pendant l'acte, il l'excite à remuer du cul, à serrer le fouteur dans ses bras, etc. Quand elle est déconnée, le père lave le vit de son gendre, le cul, le con de sa fille, et les essuie. Dans la conversation, Piochencul apprit bientôt que Piochée avait un frère beau comme Adonis; c'est-à-dire parfaitement ressemblant à sa mère, qui avait été très jolie femme. Dès que mon confrère le sut, il l'acheta, comme sa soeur, et, pommadé par le père, il l'encula. Peu de jours après, voulant foutre la soeur avec plus de vigueur, il la fit laver par le père, gamahucher par le jeune frère, et il l'enconna, quand elle fut prête à décharger... Par la suite, il n'encula plus le joli enfant: -- Bougre! dit-il au père, je ne bande plus assez pour enconner ta fille, sans être excité; encule-moi là ton petit garçon; cela me fera roidir! Le père est forcé, par son intérêt, d'obéir au blasé. Ce qui fait tellement bander le vieux satyre qu'il enconne, et même encule la jeune fille... Il y a 4 ou 5 ans que cela dure. Quand le garçon a eu 15 ans, il lui a fait enconner sa soeur. Il la fout ensuite sans laver, pendant que le père encule le jeune homme. D'autres fois le frère encule sa soeur, tandis que le vieux bougre l'enconne... Voilà quelle est la vie que mène mon vieux confrère, et qu'il trouve délicieuse à son âge... La fille est délicate et jolie. Le garçon est beau. Le père est affreux. La fille est devenue grosse. Le financier croit, avec raison, que c'est du jeune frère. Il désire que ce soit une fille, espérant qu'elle sera jolie, comme tous les enfants incestueux. Car il faut savoir que ce joli garçon est fils d'un frère aîné, qui, devenu éperdument amoureux de sa mère, donna la courante à son père, en mettant de la manne dans son potage au lait du soir. Le père fut obligé de se lever souvent, et le fils, à chaque sortie, alla auprès de sa mère, qu'il enconna six fois au moins pendant la nuit... Voilà d'où provenait le beau garçon, ressemblance de sa mère avec une telle perfection, que, vêtu des habits de la belle, qui n'est plus, on le prend pour elle. C'est en conséquence qu'un amant, piocheur de la mère, entretint le jeune homme sur le même pied que sa feu maîtresse, à condition que, pour la jouissance, il prendrait les habits de sa mère, en porterait le nom, Mme Brouette-vit; qu'il ferait la petite voix, dirait mon con, au lieu de mon cul; tandis que lui, Vitacon, se ferait illusion, en disant à sa maîtresse: -- Allons, ma chère Brouettevit, venez que je vous le mette en levrette! Chapitre XXXI Suite des mêmes. Piochète. Dix ans après. Je vais donner la suite de cette aventure. Piochée eut effectivement une fille, qui a 14 ans aujourd'hui, et qui est jolie comme sa grand'mère. Elle sert aux plaisirs du vieux traitant qui, ne pouvant plus enconner, s'en fait caresser, tandis que la mère lui suce le vit. C'est dans les extases de ce plaisir long et difficile, causé par le chatouillement que faisait éprouver à son vit paralytique le palais de Piochée, qu'il conçut le dessein de faire dépuceler Piochète à 14 ans, par Pioché l'Adonis, son père et son oncle, que justement la jeune enfant aimait incestueusement; puis enculer alternativement. -- Bande, bougre (dit-il à l'Adonis), et ne décharge pas! Tu me dépucelleras ta petite garce de fille... dès que ton grand-père t'aura déculé. La petite fut gamahuchée par le vieux singe; puis pommadée par sa mère. Son père, déculé, bien bandant, vint sur elle, et lui darda son vit dans le connin, dont la mère écartait les babines. Le fouteur n'entrait pas; la petite déchirée se récriait; le vieux satyre, émotionné, bandochait, en s'écriant: -- Oh! pousse donc, mâtin! ô pousse donc, bougre! Fends, pourfends le connichon de ta fille!... et mets-y une petite garce, que nous déflorerons un jour! Gzée, gzée, mon étalon! fais-moi des cavales!... Et le vieux décharné, par un phénomène, émit quelques gouttes d'un foutre clair, dans la bouche de Piochée, au moment où Adonis, forçant toutes les barricades, malgré les cris de sa fille, lui déchargeait au fond de son connin ensanglanté! Le bélître en fut si glorieux qu'il fit à Piochette mille écus de rentes, et autant à Piochée, outre ce qu'elles avaient déjà. Son grand délice, pendant qu'il fait servir la bouche de la mère de con à son vit, qui ne décharge plus, est de voir piocher Piochette, non seulement par le vigoureux Adonis Pioché, qui pioche, soit en con, soit en cul, mais de faire alors enculer le père, qui fout sa fille, par le grand-père qu'encule un laquais, sur le cul duquel est assise Piochée, foutue par un autre laquais... Il a soin qu'on fasse suivre au vieux Piochard un régime échauffant, afin que ce monstre tantôt enconne sa fille, tantôt encule son fils. Pendant cette scène, l'impuissant Ribaud patine les tétons et le connin du tendron, ou bien la gamahuche. Il lui prend quelquefois des vertigôts de faire enconner la mère, enculer Adonis par douze de ses amis en une seule séance. La jeune personne est alors nue en perspective, montrant le cul aux enculeurs, et le con aux enconneurs... C'est le vieux Piochard qui insère les vits dans le con ou dans le cul. Tu vois par-là quel parti nous pouvons tirer de ta femme, lorsqu'une fois elle sera dépucelée. Tu ne seras pas privé; tu mettras les vits dans le con et dans le cul de ta femme; tu en seras le maquereau, et quand elle sera bien élargie des deux trous, peut-être te permettra-t-on de la foutre en con ou même en cul. Lélargisseur. P.-S. J'apprends par une dernière visite faite à Piochencul que Piochette a effectivement eu la plus jolie petite fille; on me l'a montrée; elle a 3 ans. Mais, ce qui est le comble du libertinage, le vieux Piochencul lui fait déjà téter son vit flasque, pendant que la jeune mère lui chatouille les couilles. Je lui en demandai la raison? -- Je profite, répondit-il, du temps où l'enfant n'a pas encore de discernement, ni de dégoût à me sucer. Que dis-tu du vieux bougre? Chapitre XXXII Du connin goûté. -- Voilà quel aurait été votre sort, Madame, dis-je à Conquette, si vous n'étiez pas décédée, et que vous fussiez restée l'épouse de Vitnègre. Expressions qui étonnèrent tout le monde, hors ma fille, et les Brideconnin. Cette lettre, qui avait été lue après le champagne, avait mis les jeunes gens en rut. On descendit au magasin, pendant que les hôtes serraient les débris du souper. Là, Traitdamour, demi-grisé, me dit, en me désignant ses camarades: -- Comment ces bougres-là peuvent-ils avoir une idée de notre bonheur, et de ce qu'est le connin de votre maîtresse, s'ils n'en tâtent pas?... Je n'entends nullement qu'ils y déchargent; mais seulement qu'ils y plongent rapidement leurs vits, pour en palper le satiné. Dès qu'un des enconneurs sera retiré, le mieux en état de nous deux, vous ou moi, achèvera Madame, et la fera décharger! -- Je le veux bien (répondis-je). Cordaboyau, bandant roide, se présenta. Nous renversâmes ma fille sur le foutoir, nous la troussâmes, et nous déclarâmes que nous nous tenions prêts à le désarçonner, dès qu'il aurait senti le velouté de l'étroit connin de notre fouterie, et que le clignotement de ses yeux annoncerait l'éruption du foutre. -- En ce cas (s'écria le bougre), que l'une de ces trois garces se couche-là le con pommadé, pour que mon vit convulsivant s'y précipite et décharge! On pommada Rosemauve. Cordaboyau enconna lentement Conquette, dont le satiné le fit se récrier... mais il plongea jusqu'au fond. On l'observait. Il clignota de l'oeil. Aussitôt Brisemote et Traitdamour l'enlevèrent comme une plume, en jurant: -- Le sacré bougre! il va partir... Et ils le mirent sur la brune Rosemauve bien écartée, et Conette dirigea le vit. Cette fille, la plus chaude des garces, si Mme Vitnègre ne l'eût pas surpassée, engloutit le vit en trois coups de cul sans intervalle. Cordaboyau déchargea en hurlant de volupté, Rosemauve l'étreignant avec une délicieuse fureur. Cependant, ce que je voyais m'avait roidi, et j'enfonçais dans le con humide de ma déesse qui, suffisamment limée, déchargea deux fois, avant que je l'humectasse de mon foutre paternel... Elle gigotait, criotait, soupirotait. -- Ah! (s'écria Traitdamour) vous êtes le dieu de son con, cher maître! il se fond en jus d'amour, quand vous le perforez! Voyez comme elle en donne, l'adorable enfant!... Allons, céleste coquine, trémousse, trémousse! Fous, divine garce! décharge... Ce fut ensuite le tour de Brisemote. Conette, pommadée, fut étendue sur le foutoir... Il enconna ma fille. La grosseur du vit et sa roideur lui arrachaient de sourds gémissements; elle travaillait de toutes ses forces, mais le terrible engin avait encore plus de trois pouces pour toucher le fond. Tout à coup nous nous apercevons que le perfide Brisemote veut inonder, d'un torrent de sperme, le connin qu'il martyrise. Nous ne pouvions l'enlever et l'arracher, son vit lapait comme celui d'un gros dogue dans la vulve enflammée d'une grande levrette. En ce péril, nous implorâmes, Traidamour et moi, la pudeur de Conquette! L'adorable fouteuse, fidèle à nos vits, donna un coup de cul en arrière, et se déconna. Traitdamour plongea rapidement son braquemart en furie dans le con béant... Brisemote, enragé, se jeta sur Rosemauve, qui ne s'y attendait pas, et la foutit en levrette, avec tant de brutalité qu'il la fit crier autant de douleur que de plaisir... Et, voyant Conette se lever: -- Reste-là, garce! lui cria-t-il. Je suis dans une rage, par ce con velouté que fout Traitdamour, que j'enconnerais la rue Maubué et celle de la Tannerie... En effet, Rosemauve, déconnée, il fondit sur Conette, la fit crier; enfila Minone sans intervalle, et reprit Rosemauve... -- Que n'ai-je là notre putain d'hôtesse! la garce boite avec grâce, elle a de blancs tétons: qu'on me l'appelle!... Nous lui préparions Rosemauve, qu'il encula. Pendant ce temps-là, Traitdamour se délectait sur Mme Vitnègre, qui se plaignotait tendrement, et déchargeait sans cesse, parce que son enconneur ne la déconnait pas. -- Que la bougresse qui est libre (nous dit-il), chatouille les petons de ma déesse; ça la fera me secouer. -- Allons! m'écriai-je, que Minone lui chatouille le haut de la motte, la douce main de Conette les couilles du cruel pourfendeur, et moi je chatouillerai les pieds délicats de la belle enconnée! Ce qui s'exécuta: de violents soubresauts, des cris, des blasphèmes de volupté, Foutu Dieu... Sacredieu... Dieu-con... Dieu-vit... marquaient l'égarement des deux conoeuvrants. Cependant Cordaboyau flairait la chaussure mignonne de Conquette-Ingénue, et allait y mettre son vit: -- Laisse donc! lui dit Rosemauve, tout enculée qu'elle était; cela est insensible; mon con est libre; que ne le fous-tu? Le bougre lui mit le ventre en l'air, et, tandis que Brisemote la sousaccadait en cul, Cordaboyau lui saccada le con. Je bandais si fort, en entendant et voyant tout cela, que j'allais enconner Minone ou Conette. Ma fille, qui déchargeait, me dit tendrement: -- Un autre con... que le mien... peut-il vous tenter?... Cette tendresse vraiment filiale, me toucha au coeur. -- Ote-toi (dis-je à Traitdamour); tu dois avoir déchargé! Il déconna. Et moi, ému d'un amour paternel sans bornes, j'enconnai ma fille, sans laver. -- Mêlons nos trois foutres (lui disais-je en enfonçant); que ton con filial engouffre le vit paternel avec délices!... Remue du cul, adorable enfant! Rends-moi tout le foutre que j'ai déchargé dans le con de ta mère... pour te faire!... Ah! comme la garce remuait du cul, oscillait du con, le jour où je l'engrossai de toi! Elle était chaussée, parée, un peu chiffonnée, et si chaude qu'elle se mit sur moi et s'enconna. Pour m'exciter davantage, elle me disait en saccadant: "Pousse... Enfonce... mon con est frayé... je viens d'être foutue par ce beau commis aux Aides, dont tu es si jaloux..." Et elle saccadait... Pour moi... je foutis avec fureur... comme je te fous à présent... C'est moi qui t'ai engendrée, enfoutrée dans son con satiné... quoique tu ressembles à Louis XV qui... dit-on, l'a aussi foutue... -- Mon cher père... ô vit divin! (répondit Ingénue, oppressée de foutre et de tendresse) je sens... à mon insatiable connin... que je suis votre fille... je le sens au plaisir... que me fait la céleste idée que mon... père me fout.... Décha--argeons ensemble, cher papa!... j'ai... plus de... foutre avec toi, qu'avec tout autre?... Ah! Ah!.. fourgonne... fourgonne, vit-papa... Le foutre... est long... à venir... J'ai tant foutu!... Mais je n'en ai que plus de plaisir... Ah! Ah!... foutre!... Dieu! Délices!... Vitnègre!... ô monstre, qui me déchirais, sans me pouvoir en--filer, que n'es-tu sur moi... ton vit noir me pourfendant le con... Foutamort... enfondre-moi... Cher papa... dieu-fouteur... je pars... je décha--a--arge... à l'intention... de... Foutamort... Et elle se pâma, dans un égarement, un délire ineffables. Cependant elle avait croisé ses jambes sur mes reins, et elle me faisait une jolie brouette de ses cuisses et de son con. Je dis qu'on la rechaussât, et, à chaque coup de cul, elle fit claquer l'un contre l'autre ses hauts talons, comme faisait sa mère, pour me rappeler en foutant la beauté de son pied. Ce spectacle parut si délicieux à mes trois drôles qu'ils enconnèrent en furieux, Traitdamour Rosemauve, Cordaboyau Conette, et Brisemote Minone, et qu'ils les firent crier comme des dépucelées. Dès que j'eus émis, je dis à mon secrétaire de déconner, de m'enlever, et de me porter sur un fauteuil. Il m'obéit. Ma fille palpitait. Je la montrai se chatouillant elle-même le con. Traitdamour rebanda comme un enragé; il se précipita sur elle. -- Enculez-moi, s'il vous plaît, Monsieur (lui dit-elle), il me semble que ça me fera mieux... -- Décharger (s'écria le bougre). Vous avez le con trop fatigué. Et il lui perça le cul sans mouiller. -- Je vais... redécharger (lui dit-elle, en continuant de se branler elle-même). -- Attendez! attendez! (lui cria le jeune et vigoureux perforeur); je vous branlerai, en vous enculant. Conquette enculée et branlée, roucoulait de plaisir... En ce moment, Brisemote, qui finissait Minone, se jeta sur Rosemauve, abandonnée par Traitdamour, pour ma fille. Elle se fit enculer et branler. Cordaboyau retourna Connète, et lui en fit autant. Minone, libre, alla gamahucher ma fille, que son frère tenait enculée; et moi, je branlai Minone. Les trois bougresses se récriaient que l'enculage branlé était divin. Pour moi, j'étais sur mon fauteuil, un doigt dans le con de Minone, que j'avais à peine la force de branler, tombant de sommeil, et bandant encore pour toutes quatre; il me devenait indifférent laquelle j'enconnasse. Je le dis. Brisemote m'avança Rosemauve tout enculée. J'allais enconner la vive Brune. Minone se retourna, mit ses fesses d'albâtre sur ce con noir, et me présenta son con. -- Que je te voie! (s'écria Conquette, en s'arrachant du cul le vit de Traitdamour) si Cupidonnet doit mourir en rut, c'est dans mon con!... Elle se mit sur Minone, m'étreignit dans ses bras et m'engouffra. -- Ah! (s'écria Brisemote, qui nous portait tous quatre) que n'ai-je le vit assez long pour les enculer toutes trois! Ainsi finit cette belle soirée. La partie fut remise au dimanche suivant. Conquette, après avoir fait amplement bidet, se coucha modestement. Je ne pouvais marcher. Mes trois gaillards remenèrent leurs belles, et revinrent me prendre, pour me porter chez moi, où ils me mirent au lit. Chapitre XXXIII De la fouteuse sensée. Histoire. Le lendemain, après mon travail, je vins voir ma fille. Elle était dans mon magasin. Elle m'embrassa la première, et me dit: -- Au nom de Dieu, cher papa, ménagez-vous! j'ai besoin de votre tendresse paternelle plus que jamais... Que deviendrais-je si je vous perdais? Vous êtes le meilleur des pères; vous me donnez le nécessaire et la volupté. J'ai un bijou insatiable; mais votre Traitdamour l'emplit et le satisfait au delà de toute vraisemblance. Je suis bien sensible au don que vous m'en avez fait. Aussi la reconnaissance et la tendresse sont pour vous; je ne lui donne que du... -- Foutre, mon adorable fille... Tu es toujours également modeste. -- J'ai aussi beaucoup d'obligation à Traitdamour d'avoir amené sa petite soeur et sa jolie maîtresse; surtout d'avoir donné celle-ci à ses deux vaillants camarades pour me rester plus entier et vous soulager d'autant, vu mon extrême chaleur. Ces jeunes filles sont de bonnes petites créatures, et valent mieux que Rosemauve, qui cependant n'est pas sans mérite... Ménagez-vous, cher papa. Ne voyez que moi; c'est bien assez. Une partie, tous les huit jours, suffira pour vos forces. Traitdamour me donnera le surplus de ce qu'il me faut. En ne jouissant que les dimanches, les garçons, les petites, tout comme nous, l'appétit et le plaisir seront plus grands; nous passerons une demi-journée délicieuse... Mais je suis jalouse de vous et du beau Traitdamour; ne le mettez qu'à moi. Avertissez-les tous de cela. C'est mon caractère que la jalousie. Et puis, où trouveriez-vous une femme ou fille qui me vaille? Toujours propre, abluée à chaque pipi, autant par volupté que par délicatesse; car j'ai cet endroit, que vous avez la bonté de trouver charmant, toujours si chaud que je ne le mets jamais dans l'eau qu'avec une volupté qui approche de la jouissance. Ne me le mettez donc pas de la semaine, pour avoir plus de plaisir, sans vous tuer, le dimanche. Ne me touchez ni le bijou, ni le sein! -- Non (répondis-je); durant la semaine, je ne baiserai que ton joli pied. Et je veux toujours avoir une de tes chaussures au trumeau de ma cheminée! -- Rien de si flatteur, répondit-elle, que d'être ainsi adorée jusque dans sa parure. Aussi mon pied est-il soigné, comme vous l'adorez. Je le lave à l'eau-rose deux fois le jour matin et soir, et après avoir marché. -- Ah! céleste fouteuse, que je le baise, que je le baise! -- Point de ces mots-là! dans la semaine: ils vous excitent... Baisez votre idole! j'y ai autant de sensibilité qu'ailleurs; mais restez-en-là... Du reste, je suis à vous. Vendez-moi, livrez-moi, quand vous le voudrez; je me donnerai avec plaisir pour vous; comme une autre Ocyrhoé. [lacune] Je me privai donc, malgré moi; mais par nécessité; je me contraignais. [autre lacune] Mais j'avais à ma cheminée sa chaussure rose à talons verts, à laquelle je rendais mon hommage tous les jours en l'honneur de la fille la plus pieuse et la plus dévouée qui ait jamais existé. Conquette-Ingénue, à qui je le dis le samedi, en fut transportée de joie. Elle darda sa langue, me fit sucer ses tétons, palper son poil soyeux, se mit à genoux, et dit avec ferveur: -- Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir fait naître d'un si bon père! Nous ne vous offensons pas; je rends à mon papa en plaisirs délicieux les soins qu'il a pris de mon enfance. Je suis le baume et le charme de sa vie; il est le baume et le charme de la mienne! Bénissez-nous! Elle fit trois signes de croix, baisa la terre, et se releva, en disant: -- Doux Jésus, qui le mettiez à Madeleine, elle était aussi votre fille; et en amour, vous le savez par expérience, rien n'est si voluptueux que l'inceste!... Je fus si édifié de cette prière que je me propose de la faire recommencer, à la fin de nos parties. Un instant après, à 8 heures et demie, toute la petite société, Traitdamour, Minone sa soeur, Conette sa maîtresse, Rosemauve, Cordaboyau et Brisemote, vinrent prendre langue pour la réunion du lendemain. Je donnai le mot et les retins à souper. Il y avait un excellent gigot de 18 livres, et du vin de Bourgogne, avec un pâté chaud. Après le repas, voulant les émoustiller tous, et moi-même, je fis lire par Rosemauve, devant nos hôtes, l'histoire suivante: Chapitre XXXIV De l'homme-à-queue. -- Vous aimez les histoires, dis-je, ne voulant pas manger de pâté; nous aurons demain toute autre chose à faire: je vais en conter une, pendant que vous achèverez de souper. Un rire d'aise précéda le silence. Il y avait à Sens, une veuve encore belle, quoique mère de six filles, dont l'aînée, qui atteignait vingt ans et se nommait Adélaïde. La seconde, Sophie, n'en comptait pas encore dix-neuf; la troisième, Julie, en avait près de dix-huit; Justine dix-sept; Aglaé seize, et enfin Emilie, la cadette, quinze ans. Quant à la maman, mariée à treize, accouchée de son aînée à quatorze, elle avait trente-quatre ans. Mme Linars (c'est son nom) avait en outre deux nièces de quinze et vingt-deux ans, Lucie et Annette-Bar, une jolie femme de chambre de dix-huit, outre une cuisinière, grande et belle fille de vingt ans. Le mari avait mal fait ses affaires, avant que de mourir. La veuve ne soutenait sa nombreuse famille qu'avec le revenu de sa dot, qui rapportait cinq à six mille livres. On était gêné; car les nièces n'avaient que quinze cents livres de rentes entre elles deux. C'était onze jeunes personnes à entretenir avec 7500 francs. Il parut alors à Sens un gros et bel homme dont la physionomie annonçait trente ans, encore qu'il n'en eût que 20. Il passait pour très riche. Et, en effet, il l'était. Ses bras et sa poitrine étaient couverts de poils. Il avait le regard dur et presque féroce; mais son sourire l'adoucissait, et il souriait toujours en voyant de jolies femmes. L'aînée des demoiselles Linars était charmante; Fysitère la vit et en devint éperdument amoureux, quoiqu'il eût alors dans son sérail une femme mariée enlevée à Paris, de l'aveu du mari même; la soeur d'icelui, vendue par son père, et une superbe carmélite, leur cousine, qui s'était livrée elle-même, parce qu'elle était hystérique. Mais toutes ces maîtresses étaient alors enceintes, et Fysitère n'en jouissait que pour avoir des enfants. Il alla chez Mme Linars, pour lui demander en mariage Adélaïde. Le velu, en voyant onze femmes dans une seule maison, tressaillit d'aise... Il étala sa fortune, et proposa d'épouser l'aînée. Trente mille francs de rente qu'il prouva (il en avait bien davantage!) le firent accepter sur-le-champ. Il rendit ensuite des visites jusqu'au mariage, et fit des présents, tant à sa prétendue qu'à la mère, aux belles-soeurs, à Lucie et Annette-Bar, les deux nièces, ainsi qu'à Geoline et à Marète, la femme de chambre et la cuisinière. Ce fut avec ces présents qu'il attaqua leur vertu... Mais il faut quelques préliminaires, qui fassent mieux connaître ce personnage. Fysitère était un de ces hommes poilus qui descendent d'un mélange de notre espèce avec celle d'hommes-à-queue de l'isthme de Panama, et de l'île de Bornéo. Il était vigoureux comme dix hommes ordinaires; c'est-à-dire, qu'il en aurait battu dix à armes égales, et qu'il lui fallait, à lui seul, autant de femmes qu'à dix hommes. A Paris, il avait acheté la femme d'un nommé Guae, un scélérat, qui la lui avait vendue et l'avait livrée. Fysitère la tenait exactement renfermée depuis. Il jouissait de cette infortunée, la plus provoquante des femmes, et qui avait beaucoup de tempérament, dix à 12 fois par jour. Ce qui la fatiguait tellement qu'elle lui avait donné le conseil d'acheter de leur père sa soeur cadette, nommée Doucète, qui partagerait le travail. Il le fit. Mais ces deux femmes avaient été bientôt sur les dents. Heureusement, un confesseur de nonnes découvrit alors pour le velu la religieuse hystérique, cousine des deux victimes; il la tira de son couvent, sous prétexte de lui faire prendre les eaux, et la livra au Fysitère, qu'elle occupa seule pendant quelques semaines. Ce qui avait reposé ses deux cousines. C'est à cette époque que l'homme-à-queue était venu à Sens, et qu'il avait vu la famille Linars. Avant qu'il eût Mme Guae, on lui amenait trois filles couturières chaque matin. Mais les précautions qu'il était obligé de prendre pour sa santé, avec des créatures qu'il laissait libres, le dégoûtèrent de cette jouissance. D'ailleurs, comme il avait formé le projet de multiplier l'espèce des hommes-à-queue et d'en peupler l'île entière de Bornéo, pays originaire, il voulait pouvoir surveiller tous les enfants qui lui naîtraient. Ses trois femmes étant grosses, il ne voulait plus les fatiguer. Quand il fut lié avec Mme Linars, il aurait bien cherché à déflorer sa future, ou à se donner une des nièces; ou la cuisinière, ou la femme de chambre. Mais il trouva que tout cela avait ses inconvénients. Il réserva ce supplément de ressources pour après son mariage. La première qu'il attaqua, ce fut sa belle-mère future. Il lui fit un jour un présent de deux mille écus en espèces. Et, la voyant dans l'extase de la reconnaissance, il lui mit la main sous la jupe, en lui disant: -- Autant tous les six mois, si je vous le mets. Et ne craignez pas de faire du tort à votre fille! Elle n'en aura que trop de reste... Comme il était extrêmement fort, tout en parlant, il la renversait, l'enfilait. La dame se trouva prise sans l'avoir prévu. Elle fut rabatelée une dizaine de fois, tant elle était vigoureusement contenue... Enfin devenue libre, elle lui dit: -- Oh, quel homme! -- Je suis tel (répondit-il) que votre fille et vous, quand vous m'aurez toutes deux, me donnerez vous-même des maîtresses, pour vous reposer. La dame, qui aimait le jeu d'amour, sourit, en rougissant d'espérance et de plaisir. Elle fut exploitée tous les jours, en attendant celui du mariage de sa fille. Quand ce jour fut arrivé, effrayée pour une jeune vierge, elle pria l'inépuisable Fysitère de la ménager! -- Six fois, répondit-il, pas plus, si vous me promettez de me recevoir ensuite, ou de me donner Lucie, l'aînée de vos nièces? -- Non; mais je vous donnerai Geoline, ou Marète, celle que je pourrai avoir le plus facilement... Le soir des noces, Fysitère, quoiqu'il eût toutes les nuits fourbi Mme Linars, était impatient à trépigner, d'avoir sa mariée. Il l'enleva comme une plume, dès qu'on eut soupé, se jeta sur elle, et lui fit pousser des cris effrayants. La mère, alarmée, accourut avec Geoline, au moment où Fysitère, sans trop s'embarrasser des gémissements de la jeune personne, la recommençait. La mère le laissa l'achever. Puis, sur l'instante prière de sa fille, elle la retira du lit, pour laver le sang et le suc d'homme dont sa conque martyrisée était remplie. Fysitère saisit alors Geoline, et la viola, malgré ses clameurs. Il la retint sous lui quatre à cinq fois... Elle profita d'un intervalle pour s'échapper. Mais Fysitère menaça Mme Linars, si elle ne remplaçait pas sa fille, de tourmenter celle-ci jusqu'au jour... La dame était fatiguée. Elle alla chercher Marète, qu'elle enferma dans la chambre nuptiale. Fysitère la viola, et la contint sous lui quatre fois; puis il lui permit de dormir. Dans le jour, il assoupit les plaintes des deux filles domestiques, et même il les gagna, en leur constituant douze cents francs de rente à chacune. Mais elles demandèrent du repos, pour la nuit suivante... Le soir, Fysitère ramona six fois sa nouvelle épouse, qui prit un peu de goût à la chose; puis sa mère, reposée, fut à son tour fourgonnée six autres fois. Ce qui suffit à l'homme-à-queue. Le soir du troisième jour, il ne ramona sa femme qu'une fois; car elle demanda grâce. Il eut ensuite Geoline, six fois; puis Marète, cinq fois. Ce qui fut la dose à laquelle il se régla. Il eut, le quatrième soir, sa femme, une fois; sa belle-mère quatre; Geoline trois; Marète quatre: douze en tout. Il en agit ainsi pendant deux mois. -- Mais, lui dit Mme Linars, vous vous épuisez! A quoi bon nous le mettre tant de fois? -- Mon but est de faire des enfants, pour en repeupler une île des Indes, dont les hommes de mon espèce sont originaires. Dès que vous serez grosses, je ne vous le mettrai plus; vous m'en donnerez d'autres; mais surtout vos filles et vos nièces, parce que vous êtes toutes d'un beau sang. Je leur ferai à chacune six mille francs de revenu, et douze cents francs seulement aux étrangères que vous procurerez... Mme Linars fut très étonnée de cette proposition! Mais les six mille francs de revenu pour ses filles et ses nièces la tentèrent. Au bout des deux mois, et de six semaines de mariage, Mme Linars, la nouvelle épouse, Geoline et Marète se trouvèrent enceintes. Fysitère leur déclara qu'il ne les verrait plus qu'après leurs couches. Et il pressa Mme Linars de lui donner ses nièces, et deux de ses filles?... Elle fut obligée d'y consentir. Elle les conduisait elle-même, après les avoir instruites, et assistait à leur défloration, calmant leurs cris par ses discours et ses caresses. -- Ma raisonnable enfant, disait-elle à Lucie renversée sur le dos, et qu'on troussait, il est doux d'avoir 6 mille fr. de rente!... Cinq cents francs par mois! ajouta-t-elle en la pommadant... Et foncières, ma chère nièce! (dirigeant le gros membre dans sa fente). Aussi la belle Lucie, quoique vierge, ne cria-t-elle pas. Vint ensuite Annette, la seconde. Sa mère l'exhorta, la pommada, insérant son index onctué le plus profondément possible, pour frayer la route. Elle introduisit le membre dans la fente ainsi préparée. Cependant Annette, perforée, jeta les hauts cris. Mais ils n'arrêtèrent pas Fysitère, dont Mme Linars caressait la queue poilue, qui frétillait vivement. -- Ah! maman! (lui dit-il) mets-toi sur moi, et te l'enfonce dans ta conque; tu auras bien du plaisir! Elle le fit, et fut si ravie qu'elle appela sa fille aînée et les chambrières, pour leur procurer les mêmes délices. Annette suffisamment ramonée, et demandant grâce, Geoline la remmena, pour laver le sang et le sperme, dont son bijou était barbouillé; et Mme Linars alla chercher Sophie, sa seconde fille. Geoline et Marète l'apportèrent nue assise sur leurs mains jointes. Mme Linars la pommada; puis elle intromit. Geoline s'enfila avec la queue poilue, au refus d'Adélaïde, l'épouse. Sophie ne poussa que quelques gémissements au premier assaut; elle riposta aux deux autres. Elle fut cependant ensanglantée. Geoline se fourgonna de la queue à poil durant toute la séance. Fysitère n'avait joui que neuf fois. Il lui en fallait trois encore. On alla lui quérir Julie, la troisième soeur, âgée de dix-sept ans. Sa mère la pommada. Ce qui ne l'empêcha pas de crier, parce qu'elle était fort étroite. Julie et sa cousine Annette furent les deux qui n'émirent pas dans le coït, les quinze premiers jours. Lucie fut prise tout de suite, et Sophie trois jours après. Mais elles n'en dirent rien, aimant le plaisir. Quant à Julie et Annette, il s'écoula trois mois avant qu'elles fussent enceintes... Marète se farfouillait avec la queue poilue pendant les assauts de Julie. Lorsqu'il fut bien décidé que les quatre belles avaient le sac rempli, Mme Linars fut requise de donner ses trois dernières filles, et une cousine du côté gauche, fille hors mariage de son mari, nommée Naturelle-Linars! Elles lui furent livrées, et Justine, Aglaé, Emilie même, qui n'avait pas quatorze ans accomplis, se virent enfilées dans une seule nuit, malgré leurs cris et la déchirure de leurs jeunes appas. Naturelle avait vingt-et-un ans; ce fut une délicieuse jouissance, que l'homme-à-queue, fatigué, avait réservée pour la dernière. Celle-ci fut engrossée sur-le-champ; et les trois autres, malgré leur jeunesse, ne l'échappèrent pas dans le cours du mois. Elles étaient régulièrement fourgonnées trois fois par nuit; mais soit qu'elles eussent moins de tempérament, soit qu'étant plus étroites, elles souffrissent toujours, elles furent ravies lorsqu'elles furent déclarées enceintes. L'homme-à-queue avait en ce moment, de fécondées, 14 femelles, qui lui promettaient au moins 14 enfants. A cette époque, Mme Linars accoucha d'une fille. Un mois et demi après, Adélaïde, ou Mme A-queue, mit également une fille au monde. Puis Geoline et Marète eurent chacune un garçon. Annette et Lucie chacune une fille. Toutes six voulurent nourrir. Ce qui fut exécuté dans une terre écartée, du côté de Seignelai, éloignée des routes, comme de l'Yonne, mais sur la petite rivière de Serin. Cependant, comme les unes nourrissaient, et que les autres étaient encore enceintes, il fallait de nouvelles femmes à Fysitère. Il demanda permission à Mme Linars de reféconder ses trois premières concubines, Mme Guae, sa soeur Doucète, et la carmélite, qui n'était plus hystérique depuis ses couches. La belle-mère y consentit avec la plus grande joie; car elle était fort embarrassée pour trouver à son gendre des sujets fécondables. Elle avait déjà bien marqué les quatre pucelles les moins laides du village, et même une cinquième, la plus jolie, femme mariée, stérile avec son mari; elle les avait presque gagnées, au moyen des douze cents francs par année, mais elle n'était pas encore sûre de leur discrétion... Les trois concubines étaient mandées. Elles arrivèrent. Dès le même soir, elles furent mises toutes trois dans un grand lit propre à cinq personnes; Fysitère s'y coucha au milieu: Il les palpa toutes; puis il prit Mme Guae, la plus voluptueuse, qu'il fourgonna trois fois avec fureur. Il saisit ensuite Doucette, que ses tendres gémissements lui firent ramoner en enragé. En la quittant, il sauta sur la carmélite, qu'il exploita six fois, sans désarçonner. Mais elle l'assura qu'elle était guérie de sa maladie, et elle le pria de se partager également entre elles trois! Ce qui fut arrêté. Le lendemain, Mme Linars, qui avait tout écouté pendant la nuit, demanda aux trois parentes comment elles appartenaient à Fysitère! Mme Guae répondit: -- Nous allons vous faire notre histoire qui vous paraîtra singulière! En même temps qu'elle vous donnera une idée juste de notre mari à toutes, qui est un homme d'une nature particulière. Mme Linars ne demanda pas mieux que de l'entendre. Mais elle fit observer à Mme Guae que ce récit ne seraì t pas moins agréable aux 12 autres femmes de Fysitère! Mme Guae en convint, et Adélaïde, Sophie, Julie, Justine, Aglaé, Emilie, Lucie, Annette, Geoline, Marète, Naturelle, appelées par Mme Linars, vinrent avec elle assister à la narration que fit la belle Mme Guae, en présence de Doucette sa soeur, et de Victoire, la carmélite leur cousine. Chapitre XXXV De la garce insatiable. -- Vous me voyez; j'ai toujours été désirée des hommes. A huit ans, un ouvrier qui travaillait dans la maison à de la menuiserie me prit le bijou; et, comme je ne criai pas, il me mit son membre entre les cuisses, me les fit serrer, et me les inonda, en déchargeant. Je le dis à ma mère, qui me lava les fesses, alla menacer le menuisier, et le fit déguerpir... Ce début annonce que le récit sera un peu libre; mais il faut être sincère. A dix ans, mon père déculotté m'asseyait à crû sur ses cuisses nues, faisait aller son membre entre les miennes, comme le battant d'une cloche, et, bien échauffé, il allait enfiler ma mère, une jeune tante soeur de celle-ci, ou ma gouvernante. A treize ans, j'avais le bijou cotonné, et si joli que mon père venait me le lécher la nuit pendant mon sommeil. Enfin, il me sentit riposter à ses coups de langue, et comprit que j'avais du plaisir. Il dardait plus fort, et je partais... Aussitôt mon père se mettait sur moi, me suçait mes petits tétons naissants, posait son membre à l'orifice de ma petite conque, et me barbouillait toute la motte de sperme... Il me lavait à l'eau-rose. A quinze ans, un jeune homme, frère de ma maîtresse de modes, me prit le con à la poignée, au moment où je regardais par la fenêtre, et voulut me chatouiller le clitoris avec son doigt; mais il me fit mal, et je lui donnai un soufflet. A cette époque, mon père n'osait plus m'asseoir à cul nu sur ses genoux, ni me faire décharger en me léchant le con; il se retirait dès que je donnais le premier signe d'éveil. Mais comme j'ai le pied joli, et que M. Dardevit, ainsi que tous les hommes délicats, est infiniment sensible à cet attrait-là, il faisait faire mes chaussures par un habile cordonnier, celui de ma mère et de la Marquise de Marigni; le voluptueux ne me les donnait neuves que lorsque j'allais chez lui; il me les faisait mettre après un pédiluve, avec des bas de fin coton, me faisait marcher chaussée, mettre à la fenêtre, pour mieux voir ma jambe et mon pied, qu'il baisait; il me faisait ensuite asseoir, me tirait un soulier, s'en coiffait le vit, me faisait lui patiner les couilles avec mon pied chaussé, poussait de profonds soupirs, cognait au plancher, ce qui faisait monter Mme Mézières, voisine d'au-dessous. Elle lui arrachait mon soulier, ou ma mule. Elle se renversait sur le dos; il la troussait, et la fourgonnait, en me faisant relever ma jupe en perspective d'une glace jusqu'au genou. -- Votre père me fait ce qu'il ne peut vous faire, me disait la Mézières, parce que tu es sa fille; mais c'est toi qui le fais bander... Ah! si tu lui montrais ton joli connin, comme il me rabatellerait, et me donnerait des coups de vit en con! Touchée de ce langage, souvent je me troussais, et montrais une motte à poil follet et soyeux, que mon père trouvait adorable! Je m'en apercevais aux vives estocades qu'il donnait à la dame... En la quittant, il venait me rechausser. Mais quelquefois la Mézières l'en empêchait, et, furieuse de luxure, elle me renversait, me léchait le connin, et mettait dans le sien la pointe de mon soulier, ou de ma mule, comme un godmiché... Pendant ce temps-là, mon père me palpait doucement les fesses ou les tétons. -- Tu la foutras, bougre (tu la dépucelleras, et bientôt! et elle deviendra grosse de toi, si tu ne la maries! Ce propos, souvent répété, fit que je demandai vivement à me marier. J'avais un oncle, mari de ma tante. L'escalier de leur demeure était obscur. Un jour que je le montais, mon oncle me suivait. Au beau milieu, il me glissa la main sous la jupe, et me happa ce qu'il nommait mon connôt. Je me récriai! -- Tais-toi donc (me dit-il); vas-tu troubler mon ménage?... Je me tus. Et il me patina le connôt, le cul, d'une main, les tétons de l'autre; me mit son membre dans la main, me le fit serrer en jurant, et, tout en me suçant les tétons, me déchargea dans les doigts. J'entrai toute rouge chez ma tante. Mais je ne dis mot. Quand je m'en retournai, mon oncle me guettait; il m'accompagna, et me dit: -- Tu veux te marier. J'ai un parti, et il n'y a que moi qui puis gagner ton père; je le gagnerai, si je te le mets seulement trois fois avant le mariage, et lorsqu'il sera bien sûr? -- Que me mettrez-vous? (je faisais l'ignorante, puisque j'avais vu mon père et la Mézières). Nous étions dans l'allée. Il mit son vit à l'air, et m'empoigna le con: -- Ceci, dans ce que je te tiens. Je me débarrassai, et ne répondis rien. J'étais à la porte de mon père. J'entrai. Il était absent: J'attendis. Seule avec moi-même, je résolus de pressentir mon père, à son arrivée, sur mon mariage. Il arriva. Je fus moins sévère avec lui qu'à mon ordinaire, et, lorsque je l'embrassai, au lieu des yeux, j'appuyai sur ses lèvres. Il fut ravi. Je dardai la langue, comme je l'avais vu faire à la Mézières. Il me mit la main entre les cuisses, mais sur les jupes. Je m'abandonnai, en lui disant: -- Je voudrais me marier! Et comptez que vous serez bien caressé, si vous y consentez! -- De tout mon coeur, à cette condition... As-tu un parti? -- Mon oncle en a un, que je n'ai jamais vu. -- Bon! ce n'est pas une amourette... Il faut d'abord que je te gamahuche aujourd'hui? -- Qu'est-ce que c'est? -- Te lécher là (me prenant le bijou). Je fis une petite grimace. -- Allons, prends cette éponge fine, et lave le bien, à cause du joli poil, qui commence à l'ombrager! Le plaisir que tu auras, te dédommagera de la contrainte que tu te fais! Il me suça légèrement les bouts des tétons, pendant que mes fesses, mon cul et mon connin nageaient dans un bain tiède. Mon amoureux père ne me donna pas le temps de réfléchir. Dès qu'une serviette fine eut pompé l'eau, il me renversa sur le pied de son lit, troussée au-dessus des reins, appliqua sa bouche sur la fente de mon connôt, qu'il lécha vivement, en dardant sa langue, jusqu'à ce que je donnasse des symptômes de décharge. Ce qui arriva au bout d'un demi-quart d'heure. En me sentant prête à émettre, mon père me quitta, me mit gros comme une noix de beurre frais dans le bas de la fente du connôt, m'y inséra son vit, avec beaucoup de peine. Il saccada. Je déchargeais, et j'avais tant de plaisir que je le secondai, malgré quelques douleurs. Heureusement, le vit de mon père n'était pas gros, mais il était long; il me donna un plaisir complet; car il pénétra si avant qu'il me chatouilla le fond; et au moyen de ce que j'étais très étroite, il m'emplissait le con, comme si j'y avais eu un vit de mulet... Voilà comme je fus dépucelée. Je priai mon père, pendant qu'il me lavait le con, de ne pas différer son consentement, que je ne voulais pas devoir à mon oncle; et je lui en dis la raison. -- Il ne faut qu'il te le mette! me répondit-il vivement. Le bougre a le vit trop gros: il t'élargirait! Au lieu qu'après moi, ton futur, on tout autre fouteur, te trouvera comme pucelle. Je promis qu'il n'obtiendrait rien. -- Des bagatelles cependant, reprit mon Père. Branle-le, quand il te prendra le con. Tu pourrais même te laisser enculer, s'il était assez raisonnable pour s'en tenir là. -- Comment fait-on ça? -- Je vais te le montrer. Et il m'encula. J'eus du plaisir; car je déchargeai. Mon père me dit ensuite: -- Quant à mon consentement, envoie-moi ton prétendu: Si c'est un certain drôle que je soupçonne, tu n'en deviendras pas folle, et... Suffit. Je m'en retournai contente chez mon oncle, où sa femme et lui me présentèrent leur protégé, une sorte de mulâtre, qu'ils nommèrent M. Guae. Dès le même soir, ayant eu, avec ce M. Guae, un entretien très vif, pendant lequel je le vis prêt à me prendre le con, sa laideur et sa sottise ne me rebutèrent pas, attendu que mon oncle et ma tante m'avaient prévenue qu'il était terrible pour les femmes; ce qui m'avait bien tentée! Au contraire, je lui dis que j'avais obtenu le consentement de mon père, et qu'il pouvait se présenter. Il me pria de le conduire, n'en étant pas connu. Je remis au lendemain midi. Nous arrivâmes au moment où mon père allait sortir. Guae m'avait pris le cul dans l'escalier, et m'avait fait empoigner son vit; ce qui me donnait un coloris brillant; j'étais ravissante! Je présentai Guae comme mon futur. Sa figure hideuse et basse fit sourire mon père, dont elle calma la jalousie. Il nous dit: -- Mes enfants, j'ai une affaire pressée; mais elle sera courte; attendez mon retour. Après son départ, Guae me dit: -- Il paraît, à son ton, qu'il vous tiendra sa parole, de consentir? -- Je le crois; car il ne se contraint pas, quand une chose lui déplaît. -- Ma belle! (ajouta Guae, dont l'oeil noir pétillait de luxure) permettez de vous le mettre ici, sur le pied du lit de votre père!... Consentez-y! Je ne demandais pas mieux, à cause de mon dépucelage, et parce que le bijou me démangeait, depuis que mon père m'avait perforée. Mais je répondis: -- Oh non! mon père n'aurait qu'à rentrer! -- Eh! quand il rentrerait? vous voir enfilée ne ferait que hâter notre mariage. Il me renversa sur le pied du lit. Je me défendis gauchement. Il me mit le vit entre les babines du con, et poussait à m'enfondrer... Mais il ne put pénétrer, quoiqu'il se mouillât le gland. Il redoubla d'efforts, qui aboutirent à me décharger une chopine de sperme sur la motte, le ventre et les cuisses. Je me débarrassai, pour aller laver. -- Oh! vous êtes bien pucelle! me disait Guae, en se reculottant. Comme je m'essuyais, j'aperçus mon père caché... Je n'en fis pas semblant. Un instant après mon retour vers Guae, ce père rusé entra auprès de nous. Guae me demanda en mariage. Mon père lui répondit qu'il me laissait la maîtresse absolue. Et il signa les bans. Il dit ensuite à Guae qu'il avait à me parler, et qu'il le priait de s'en retourner seul; qu'il me remènerait chez ma tante, à laquelle il avait à parler aussi. Guae s'en alla. Dès qu'il fut sorti, mon père me dit: -- As-tu été foutue? Et il me prit le con à la poignée. -- Vous avez bien entendu que non. -- Où donc a-t-il déchargé? -- Sur le poil. -- Un peu entre les lèvres? -- Oui. -- Il suffit. On peut devenir enceinte avec cela seulement, et tu n'as plus rien à craindre. Mais va le voir chez lui, et qu'il ait toute facilité. En attendant, je vais en frayer encore un peu. Il me renversa, et à l'aide du beurre frais, il m'enfila... avec quelque facilité; ce qu'il répéta trois fois, excité par ce qu'il venait de voir, et parce que j'étais extrêmement bien chaussée, en souliers de soie neufs. Je déchargeai trois fois à chaque enconnage, comme disait mon père. Cela fit neuf fois. Mon père me dit que j'avais beaucoup de tempérament et que j'allais être une bonne fouteuse!... Je me lavai soigneusement, et il me remena. Nous trouvâmes Guae chez ma tante. J'étais plutôt mise en appétit que rassasiée, par le triple fourgonnage de mon père. Je dis bas à mon prétendu: -- Allez chez vous; j'ai à vous parler. Il y courut. Mon père parlait à ma tante, prenant des mesures pour accélérer; car il craignait, à la manière dont j'avais déchargé, que je ne devinsse grosse de lui; et il le désirait en même temps. Mais il fallait que je fusse mariée... Ma tante sortit avec lui. J'allais sortir aussi, pour laisser essayer à Guae un enconnage complet, lorsque mon oncle rentra. J'étais si envoluptée que je n'en fus pas fâchée, quoiqu'il me déplût. Il ferma la porte au verrou et vint à moi: -- Tu vas donc te marier! me dit-il. Allons, il faut en découdre à nous deux! Aussi bien Guae a le membre si gros, qu'il te ferait souffrir le martyre (Ceci acheva de me déterminer)... Il me saisit. -- Laissez-moi! Laissez-moi! (dis-je faiblement). Mon oncle ne m'écouta pas, et, voyant que je ne criais, ni n'égratignais, il me renversa sur le lit, me troussa, et dirigea son vit dans le vagin de mon con. J'eus l'art de paraître me défendre, en le secondant. Il me fit mal; je criai, et, m'apercevant que les cris le facilitaient, je me mis à crier de toutes mes forces. Ce qui le fit enfoncer jusqu'à la garde, avec tant de plaisir de ma part que mes gémissements étaient de volupté. Je me débattais, mais mon con supait le gros vit, donnant de si bons coups de cul que je déchargeai avec des convulsions terribles et des contractions des trompes qui pinçaient le gland de mon oncle. Il se récria... et se pâma de plaisir... -- Ah! pour une pucelle, que tu fous bien! me dit-il ensuite. Que sera-ce donc un jour?... Recommençons... Il me recommença trois fois, malgré mes pleurs; car je sentis qu'il fallait pleurer... Quand il fut rassasié, il déconna. -- O céleste fouterie, me dit-il, si le mérite de ton con était connu, il ferait ta fortune! -- Oui! vous me l'avez bien accommodé! répondis-je en sanglotant, sur un bidet préparé par mon oncle. Il ôta le verrou, jeta l'eau mêlée de sang et de foutre; puis craignant le retour de sa femme, il sortit, en disant: -- Remerciez-moi! sans cette préparation, Guae vous aurait estropiée; et revenez à moi, s'il le faut! Je ne fus point effrayée de ce langage. Dès qu'il fut sorti, j'essuyai bien vite mes larmes, et je pris un air riant. Ma tante revint. Je la prévins de l'attaque de son mari, mais non du succès, pour lui faire presser mon mariage; la priant de ne lui en rien témoigner, de peur qu'il ne levât le masque. Je promis de toujours bien me défendre, comme je venais de faire; et tout en parlant, le con étant venu à me redémanger, je courus chez Guae, espérant que, préparée comme je l'étais, il me l'enfoncerait enfin. Il m'attendait. -- J'ai bien des choses à vous dire... Ce fut mon début. Il ne me laissa pas continuer; il me prit la motte. -- Foutons d'abord, me dit-il, en me renversant. Je n'en fus pas fâchée; car je ne savais trop que lui dire de nouveau. Je me défendis gauchement, comme avec mon oncle et mon père. Mais, quoique je fusse élargie, ses tentatives furent encore inutiles. Je n'osais lui dire de prendre du beurre, de peur de paraître instruite. Je m'attendais qu'il y songerait. Cela ne lui vint point en pensée. -- Tu es diablement pucelle! me dit-il, en me tutoyant... Il me tourna sur le ventre, me cracha au trou du derrière, et m'y enfonça son engin, avec des efforts infinis. Je poussais des cris horribles! mais il me tenait si ferme, en m'empalant, que je ne pouvais remuer. Je le secondai, pour souffrir moins, et mes ripostes me firent décharger. Je croyais avoir un timon de carrosse dans le cul... Le retirer ne fut pas sans plaisir... -- Tu vaux ton pesant d'or! me dit Guae, même en cul! Suffit! Il me demanda ensuite pardon: -- Votre beau con, votre beau cul, vos blancs tétins m'avaient mis comme un enragé; ne pouvant vous enconner, je vous ai enculée. Pardon, ma belle maîtresse! j'ai plus d'un projet, pour vous dédommager. Le cul me faisait mal. Guae me le mit dans l'eau tiède; puis il me le baisa, me le lécha, allant quelquefois au con. Il rebanda; mais je voulus m'en aller. Il fut obligé de me remener en fiacre; je ne pouvais marcher qu'avec douleur. Ce qui n'empêcha pas qu'il ne me fit le branler dans le carrosse, lui ayant le nez dans une mule mignonne, qu'il m'avait arrachée du pied, et dans laquelle il déchargea. Dans le délire du plaisir, il me dit: -- Ma reine: j'ai le vit trop gros pour toi; choisis de l'oeil un joli jeune homme pour te dépuceler, et je trouverai le moyen de te le faire avoir, sans te compromettre. Ceci me fit plaisir... Guae me descendit, et me porta. Je me mis au lit; le sommeil calma mon cul. Le lendemain, j'allai chez mon père, auquel je racontai tout ce que Guae m'avait fait, et dit. -- Bon! me répondit-il. Tu as du tempérament. Tu seras foutue, en con, en cul, en bouche, et tu seras heureuse... Vous serez mariés dans huit jours, et je t'aurai un fouteur plus gros que moi. En attendant, je vais te le mettre; on ne saurait trop élargir un connin si mignon. Mon père m'enconna, recommença trois fois. -- Tu es toujours pucelle! me dit-il. -- Et pourtant, m'écriai-je, mon vilain oncle, avec son gros membre, m'a hier violée trois fois! -- Trois fois! reprit mon père; quel connichonnet as-tu donc? On pourra vendre mille fois ton pucelage!... Il faut que je te refoute. Et il me refoutit... Tandis que je me rinçais le con avec de l'eau tiède, mon père s'était mis à la fenêtre, et causait avec un jeune procureur son voisin, gros et beau garçon de 30 ans. Le con lavé, j'allai regarder, en soulevant le rideau. Mais le jeune procureur m'ayant aperçue, je me retirai. -- Quelle est donc cette céleste personne? demanda-t-il. Mon père ne répondit que par un geste qui, je crois, signifiait que j'étais sa maîtresse. Ils gesticulèrent encore. Puis le procureur disparut. Mon père me dit aussitôt: -- Veux-tu que ce bel homme te le mette, en payant? -- Oh! oh! mon père! -- Appelle-moi Monsieur, devant lui!... On frappa. Mon père ouvrit; et j'entendis qu'il disait tout bas au jeune homme: -- Apportez-vous les 50 louis? -- Les voilà. -- Mademoiselle? me dit alors mon père; vous savez que je vous aime pour vous même: Voici un bel homme de mes amis, qui veut vous faire un présent; je sors; témoignez-lui votre reconnaissance. Mon père se cacha, et le procureur le crut sorti. As-tu été foutue aujourd'hui, me dit-il, en venant pour me prendre les tétons. Je le régalai d'un soufflet. -- Apprenez que je suis ici chez mon père. -- Vous êtes Mademoiselle... -- Oui, Monsieur. Je dois être mariée dans huit jours. C'est un mariage de raison, ou d'intérêt. Mais mon père ayant été instruit que mon futur est... monstrueux... ce bon père a... pris sur lui de... me faire préparer. Je vous ai cru son ami; j'ai consenti, après vous avoir vu. Le procureur était à mes genoux. Il me demanda mille pardons! -- Soyez donc honnête! repris-je. Alors il me caressa. Je lui rendis enfin un baiser. Il me renversa. Il avait le vit comme mon oncle, mais il était moins adroit. -- De la pommade! lui criai-je. Mon prétendu m'ayant fait entrer chez lui par surprise, il ferma les portes, et voulut me violer... Ne le pouvant, il me pommada, et ne réussit pas encore. Vous, pommadez-...moi... En parlant ainsi, ses tentatives me faisaient décharger. Je soupirais de volupté. Mon père crut que c'était de douleur. Il arriva; me pommada; dirigea le vit de mon fouteur dans mon con, et dit, à lui: -- Poussez. (A moi) Soulève le cul; étreins dans tes bras; seconde ton dépuceleur, à chaque coup, par un coup de croupe en avant; passe tes jambes sur ses reins, et serre, en remuant du cul... Bon! Bon! Saccadez, vous!... Bon! -- Ah Dieu! quel plaisir! s'écriait le fouteur; comme elle a... le con étroit!... le... mouvement... délicieux! Je lui dardai ma langue, en murmurant: -- Mon coeur!.. Mon roi!... Mon Dieu! je t'adore!... -- Ah! la chère petite amie! elle est tendre!... Je décharge! Je la fous... Ah!... -- Il me fout, mon père!... Tous les hommes foutent-ils?... Ahh!... Mon père!... quel plaisir!... Mon âme... va sortir par... le trou qu'il me fait!... Je déchargeais en me roidissant. -- Oh! la petite reine!... s'écria le jeune procureur. Elle décharge!... Mon père... donnez-la-moi pour femme; je l'ai dépucelée; je l'épouse!... Mon père, qui avait ses desseins sur moi, refusa. Il en résulta que le procureur enragé, s'acharna sur moi, et me foutit 18 fois... Mon père fut obligé de l'ôter de sur moi, et de le porter chez lui; il ne pouvait marcher... Quant à moi, j'étais à peine fatiguée. Mon con lavé, rafraîchi, il n'y parut plus. Au retour de mon père, le voyant tout ému, à la vue de mes tétons, je lui dis: -- Si vous bandez, satisfaites-vous, en me foutant deux ou trois fois! -- O quelle scène! s'écria-t-il. Mais tu as un con et un tempérament impayables! ils feront notre fortune... Voyons si tu déchargeras encore; foutons!... En m'enconnant, il me loua fort de m'être avouée sa fille, et du soufflet donné! -- Les fouteurs dédaignent les foutues; mais avec toi, ce sera le contraire; je veux te mettre au-dessus de ces bougres-là! -- Je décharge! m'écriai-je. -- Et moi aussi! répondit-il en me saccadant. Il me re-enconna trois fois, et toujours je déchargeai... Je lavai, en lui disant: -- J'épuiserais dix hommes. Je lui recommandai d'instruire mon futur de ce qu'il fallait faire pour m'enconner. Je lui dardai ma langue, et je partis. J'avais été foutue 25 fois dans la journée, sept par mon père. Je retournais chez ma marchande. Mais tous les hommes que je rencontrais me tentaient. -- Que les putains sont heureuses! (pensai-je) elles attaquent qui elles veulent! Tout à coup une idée me vient: -- Allons chez Guae; je lui dirai de me pommader. Qu'il m'estropie; mais qu'il me foute. J'y volai. Il était avec un beau jeune homme, qu'il fit cacher, au bruit de mes talons. Mais j'entrevis par le trou de la serrure. Guae me reçut mystérieusement, et me conduisit dans la pièce obscure, où je lui avais vu cacher le jeune homme. -- Ma reine! ma belle future (me dit-il), je crois que je pourrai vous enfiler aujourd'hui. Ayez seulement de la complaisance! -- Oui! mais, pommadez... Ma tante... -- J'entends... j'entends... Je sentis qu'il me remettait à une main plus douce. On me prit les tétons, le con; on me darda la langue. Je caressai. On me troussa. Je fis beau con. L'on se mit sur Moi, je sentis qu'on m'insérait un morceau de beurre frais à l'entrée de la vulve, ou trou du con. On poussa. Je ripostai un peu. L'on entra. Je secondai, m'apercevant, avec étonnement, qu'on ne me faisait presque pas mal. Enfin l'on parvint au fond sans m'avoir blessée, et l'on y déchargea. L'abondance et la douce chaleur du foutre me firent partir aussi, mais avec un plaisir, des élans, des transports incroyables! Je m'écriais: -- Cher amant! divin amant... j'expire... de bonheur... et de volupté... Je t'adore!... Le jeune homme déconna. Il me suça les tétons, les lèvres, me fit darder la langue. Ce que je fis tendrement... Aussitôt il me re-enconna avec fureur. J'eus autant de plaisir que la première fois... Bref, il me recommençait sans cesse, et ce fut Guae qui le renvoya; car, pour moi, déjà foutue 25 fois dans la journée, je crois que j'aurais laissé aller ces deux hommes jusqu'à 50, si tous deux avaient pu me le mettre. Guae, me voyant quelque difficulté à marcher, envoya chercher un fiacre, pendant que je me lavais le con. -- Eh bien, ma charmante reine, t'ai-je bien foutue? me dit-il. Je rougis. -- Loin d'être épuisé, je me meurs encore d'envie de t'enculer! -- Oh non, non! (m'écriai-je avec effroi). -- Eh bien, branle-moi des deux mains, comme te voilà, le cul dans l'eau. Je branlai son vit, qu'à peine je pouvais empoigner. Quand le foutre fut prêt à venir, il hurlait de plaisir. -- Ta bouche! (me disait-il), ta bouche... ou je t'encule! Je decalottai le gland, je le pressai de mes lèvres. Le foutre arrive, et, de peur qu'il ne tombe dans mes tétons, j'ouvre la bouche, et il m'est lancé au fond du gosier. Je l'avale comme un lait de poule. Il y en eut une chopine: -- Foutre! foutre... (s'écriait Guae) je me pâme... Ah... céleste garce... Tu vaux mieux que toute la Terre... Est-ce bon? -- Ce qui fait tant de plaisir en bas, doit faire du bien en haut. -- Ah, divine putain... je t'en nourrirai. Le fiacre arrivait; Guae m'y porta. On me l'avait mis 37 fois. Le frère de ma marchande se trouva seul à la maison, lors de mon retour. -- Mademoiselle Convelouté! me dit-il, que vous êtes cruelle pour moi!... On dit que vous allez vous marier? Vous devriez bien favoriser un jeune homme qui vous adore, aux dépens du futur! C'est un veuf, un laid... Vous êtes pucelle, et si jolie?... D'ailleurs, il l'a très gros (dit votre oncle), et il vous fera bien mal! Si un plus menu que le sien vous préparait? Voyez! (Il mit à l'air un vit charmant) c'est un véritable croque-pucelage, sans faire mal... Je sais m'y prendre. Le mari de ma soeur est un bandalaise, et elle se fait de temps en temps ôter par moi les araignées du bijou. Ce langage me plut, et son vit me tentait: Je lui répondis, en riant: -- Je n'ai pas d'araignées à ôter. Il vit, à mon air que je n'étais pas de mauvaise humeur. Il me prit les tétons. -- Finissez donc, libertin! (lui dis-je doucement et sans presque le repousser). Il me prit la motte. -- O c'est trop fort, ceci... Voulez-vous bien finir!... Il était déculotté; il bandait roide; il me renversa sur le lit de sa soeur, me retroussa, et se mit sur moi tandis que je disais nonchalamment: -- Eh mais... c'est donc une violence! et que je me défendais d'une manière qui me livrait. Il me dit: -- Ah! céleste innocente! je vous le mettrai!... Il m'enfila. Je ripostais, en haussant du cul, comme pour le repousser. Il n'en dardait son vit que plus fort. -- Non! (s'écriait-il en déchargeant) il n'est rien tel que d'enconner l'innocence!... Cependant, craignant que je ne me dérobasse, il me foutit trois coups sans déconner (ce qui fit mes 40 fois dans la journée), et ne me quitta qu'en entendant du monde... Je courus me laver. C'était la marchande. Elle dit à son frère: -- Heureusement que c'est avec Convelouté! Toute autre aurait sauté le pas, polisson!... Mais l'as-tu attaquée? -- Oui. En ce cas, tu dois n'en pouvoir plus... Viens que je te soulage? Il y avait encore de l'huile dans la lampe: Le jeune homme mit le verrou, nous enfermant ainsi tous trois, et il se jeta sur sa soeur, qu'il enfila d'un seul trait. Ah! quels coups de culs elle donnait! -- Lime (lui disait-elle)... je décha...arge... Sors à moitié, et... rentre... vivement... Fous-moi vingt fois... en une... Je les voyais. Ranimée par là, mon insatiable connôt redésirait un vit, lorsqu'on frappa doucement. J'ouvris, en tirant le verrou plus doucement encore. J'espérais que ce serait le mari de ma marchande, qui depuis longtemps brûlait de me le mettre. Je me proposais de le pousser dans une autre pièce. Point du tout! C'était un beau jeune homme, qui avait beaucoup d'air de celui par qui Guae venait de me faire foutre. -- Mademoiselle (me dit-il) se nomme Agnès-Convelouté? -- Oui, Monsieur. -- Mademoiselle est la prétendue de M. Guae? -- Mais, oui, Monsieur. -- Aimez-vous, fort ce M. Guae? -- Monsieur, la raison, et non la passion, fait mon mariage. -- En ce cas, Mademoiselle, je ne vous ferai pas de peine en vous révélant un secret? -- Quel est-il, Monsieur? -- C'est que, tout à l'heure, vous avez cru être possédée par votre futur... -- Quel conte vous me faites-là, Monsieur? -- J'étais présent, mais caché, Mademoiselle; son timon de carrosse ne pouvant vous perforer, il m'a vendu votre pucelage cent louis, et c'est moi qui vous ai déflorée... Me préféreriez-vous? -- Ce que vous me dites est impossible, Monsieur! -- Cela est. Il l'a trop gros; on vient de vous le mettre, et c'est moi (Je le savais bien). -- Il n'est qu'un mot à dire, Monsieur. Pouvez-vous m'épouser? -- Mademoiselle, je suis marié à une vieille de 78 ans, qui m'a fait ma fortune, et je suis obligé d'attendre qu'elle soit morte. -- Et si je devenais grosse, Monsieur?... J'épouserais M. Guae. -- Voulez-vous être ma maîtresse? -- Cela ne conviendrait pas. -- De son consentement? -- Comme vous m'avez eue déjà, et que ce soit de son consentement, je m'y prêterais; pourvu qu'il ignorât que je le sais... -- Oh! de tout mon coeur! Ceci marque votre honnêteté... Etes-vous seule? -- Non; la marchande est là. -- Pourrais-je vous avoir à coucher? -- Ah ciel! Je ne saurais découcher que sous le prétexte d'aller veiller mon père, en le supposant indisposé. Ainsi, cela est impossible. -- J'irai, si vous le permettez, parler tout uniment à votre père. Je suis riche; il vaudrait mieux que je vous donnasse le prix de vos faveurs, qu'à un vil malheureux, comme Guae? -- Hé bien, parlez à mon père. -- Je reviendrai vous chercher, s'il m'accorde ma demande! -- Mais ne revenez pas seul. Je veux voir quelqu'un à lui, et que je connaisse! -- Vous serez tranquillisée". Il alla chez mon père. Il lui raconta comment Guae n'ayant pu me dépuceler, lui avait vendu mon pucelage cent louis, en quatre séances, vingt-cinq louis par chacune, dont la première était payée; qu'il m'avait enconnée, en me pommadant, et qu'il avait trouvé mon bijou si délicieux, si satiné, qu'il n'en voulait plus d'autre; qu'il m'avait demandé de coucher avec moi, et que c'était par mon conseil qu'il s'adressait à lui. Il offrit ensuite les 75 louis restants pour les trois nuits suivantes. Mon père répondit: -- Puisque Guae a voulu être cocu, qu'ainsi soit. Je consens que vous couchiez ici avec ma fille, si vous avez cueilli sa rose; ce qu'elle me dira. Allez la chercher, avec un billet, par lequel je vais la demander. Et il écrivit. Puis il accompagna le galant jusqu'à la porte de ma marchande, que son frère foutait encore. Cependant je m'amusais à voir conniller le frère et la soeur. J'étais en feu quand le jeune homme reparut, avec le billet de mon père; je vis, par la fenêtre, celui-ci qui nous attendait dans le carrosse de mon dépuceleur prétendu. Je partis, en avertissant que j'allais veiller mon père malade. A notre arrivée, le galant paya un beau souper, et remit vingt-cinq écus d'or à mon père. On mangea; on but; puis je fus mise au lit. Le jeune homme exigea que mon père me déshabillât, et me lavât la motte. S'étant ensuite lui-même mis nu, en un instant, il entra dans une chemise, fort large, et qu'il avait apportée, afin de me palper mieux. Il appela mon père, pour qu'il lui mît le vit dans le trou de mon con; puis il poussa... Il eut autant de peine que chez Guae (ce qui m'étonna moi-même!). Aussi dit-il: -- Elle a réellement le connin étroit. Elle se repucellerait en huit jours si on la laissait tranquille. Il me foutit six coups; mon père, couché à côté de nous, lui mettant toujours le vit dans mon con. Il s'endormit ensuite, et moi aussi. Le lendemain matin, il fit faire d'excellent chocolat, qui me refit. Je refusai la voiture pour retourner chez ma marchande. On ne se douterait pas pourquoi! J'avais ouï dire que le foutre, avalé chaud, était excellent pour la poitrine, fortifiait, et blanchissait le teint. Je voulais aller en avaler ma chopine en suçant le vit de Guae. J'y courus, dès que je me vis libre. Il allait sortir. -- Je viens vous donner du plaisir (lui dis-je), mais sans en prendre; vous m'avez trop fatiguée hier. -- Allons, ma toute belle, que faut-il faire? vous enculer? vous encuisser, vous endosser, vous enaisseller, vous enoreiller, vous encoller, vous entétonner, vous décharger sur le nombril, me faire serrer le vit entre vos deux mollets, faire un con de votre soulier, ou de votre jolie mule. Tout, je ferai tout, hors vous enconner; je ne le saurais, parce que nous sommes, vous trop belle, et moi trop beau! Au lieu de répondre à ce langage, qui était de l'arabe pour moi, j'avais déboutonné sa culotte, et je le branlais d'une main, et chatouillant par instinct les couilles de l'autre. Il se récriait de plaisir: -- Déesse!... Sacrée garce!... Divine putain!... Branle!... branle!... Chatouille! chatouille les couilles!... Oh! oh! quelles délices!... Bougresse!... Gueuse!... Putain!... Divinité! le foutre... vient!... A ce mot, j'embouchai le gros vit, le palpotant de ma langue et du palais. Ce fut alors que Guae en délire blasphéma: -- Foutu Dieu! Bougre de Dieu! Sacré con de la Vierge Marie! Con de la Madeleine connillé par Jésus! Con de Sainte Thècle, de Sainte Théodore, de Sainte Catherine, de Sainte Cécile, d'Agnès Sorel, de Marion Delorme, de Ninon, de la Daubigné, de la Vallière, de la Pompadour, de la Duté, de la Lange, de la jolie Mars, de l'adorable et provocante Mézéray, de la jeune et naïve Hopkins, de la belle Henry, vous ne valez pas... cette bouche-là... Je fou..ou..ous... Je... décha..a..arge!... Ava..ale!... gorge-toi de foutre, ma reine! Il déboucha vivement, quoique je lui suçasse encore le vit. -- C'est trop de plaisir! (dit-il) on mourrait. Il me fit prendre quelques cuillerées de café, pour me rincer la bouché. Puis je me remis à le branler. Il me suça les tétons, me fit lui darder ma langue, et voulut me gamahucher. Je m'y refusai, devant être foutue le soir... Il rebandait. Je secouai, je chatouillai; le foutre revint, et j'en avalai une nouvelle dose. Ce qui eut lieu trois fois de suite. Le manque de temps nous obligea seul de nous séparer. Le soir, à 9 heures, une voiture vint me prendre, et me conduisit chez mon père. On y soupa, coucha et foutit comme la veille. Le lendemain, après le chocolat, j'allai faire mon déjeuner de foutre chez Guae. J'en pris quatre doses... De retour chez ma marchande, son mari. Sans doute instruit par le frère de sa femme, voulut me le mettre. Je m'y refusai absolument. Il s'en plaignit à sa femme, qui m'en fit des reproches. Mais, lui ayant dit que mon prétendu me l'avait mis six fois, en gardant mon père avec moi, elle fit mes excuses à son mari, en le priant d'attendre son tour. "Le soir, on vint me prendre. Mme Viédase, ma marchande, me dit à l'oreille: -- Tâche de ne pas être foutue; afin que mon mari puisse te le mettre demain? Il s'en meurt!... Je trouvai mon amant chez mon père. En soupant, on parla de Guae; mon amant dit qu'ayant été enconnée devant lui, je ne devais pas redouter la grossesse. -- C'est pourquoi (ajouta-t-il), j'enfourne à plein con, et décharge au fond. -- Je vous mets le vit dans le connin de ma fille avec plaisir (dit mon père); afin de mieux cocufier ce jean-foutre de Guae, qui vous a vendu son pucelage. -- C'est ce qui me met aussi en fureur érotique, quand je fous sa future (reprit mon galant). Je pense: encore une corne à ce bougre de Guae... et je me trouve intarissable... Il m'a même passé une idée par la tête. C'est de vous donner à chacun 50 louis, pour que vous foutiez ensemble tous deux; pour que le mâtin soit recocu, et surcocu! -- Top! (s'écria mon père) après votre affaire faite. Vous me mettrez le vit dans le con de ma fille... -- Non! non! (m'écriai-je). -- Vous me la tiendrez, si elle récalcitre. -- Je n'ai pas ces idées (leur dis-je). Si je remue du cul, comme je le fais, alors que mon amant me fout, c'est que je l'aime. Quant à M. Guae, je lui dois beaucoup de reconnaissance! il est ma nourrice, et c'est lui que je tète. On ne comprit pas le sens de ce mot. On me coucha. Au lit, mon amant me foutit six fois. A la sixième, mon fouteur dit à mon père: -- Mets-toi sur ta fille, et fous-la. Je vais t'introduire le vit. Mon père me grimpa, le jeune homme lui mit le vit dans mon con, et il poussa. Comme j'étais amoureuse de lui plus que de tout autre homme, je remuai de la charnière, comme une princesse foutant avec un page... Le jeune homme, ranimé, entra dans un tel érotisme, en nous voyant décharger, qu'il nous fit mettre sur le côté, et il m'encula, tout enconnée que j'étais... J'allai laver, et nous dormîmes. Le matin, au déjeuner, le jeune homme paraissait ivre de joie! -- Ah! qu'il est cocu, le bougre! (s'écriait-il.)... Bonhomme, voilà un effet de cent louis. Il faudra que tu la foutes, après le mariage, et il y aura vingt-cinq louis à chaque fois. Il partit, et je courus chez Guae, que je commençais à aimer presque autant que mon père. Il me reçut avec transport, me traitant de divine garce, de céleste putain... Il m'allaita de foutre six copieuses fois. Ce qui me mit dans un tel érotisme que je retournai chez mon père: -- Ton procureur? (lui dis-je essoufflée) Il doit être remis, depuis l'autre jour? Je brûle... Cours-y, si tu m'aimes. Il y vola, en m'appelant: -- Cléopâtre! Cléopâtre!... Il trouva le jeune procureur à la fenêtre, son vit bandant à la main. -- Je viens de voir entrer votre fille (lui dit-il), et j'allais me branler à son intention. -- Gardez-vous en bien! Apportez un petit présent, et venez le lui mettre! -- Vingt-cinq louis? -- C'est trop pour une pratique. Un louis par coup. -- Soit; mais je n'en remettrai pas. Elle gagnera peut-être la somme. Il vint avec moi. En entrant, il jeta la bourse sur le pied du lit: -- Allons, ma fille (me dit mon père), tu es à tes pièces; autant de coups foutus, autant de louis. Mais il ne faut pas tuer un ami! Il allait se branler à ton intention, quand je suis entré. A ce mot, je me jetai à son cou, et lui dardai ma langue, en disant: -- Cher! Cher ami! -- Ah je t'adore! (me répondit-il). Et il me prit les tétons, le con. Je me renversai. Il se mit sur moi. Je me fourrai son vit dans le con, et, en quatre coups de cul, je le mis au fond. Il déchargea, en me sentant émettre... Il me foutit dix coups. -- J'ai quinze louis à compte (lui dit mon père, en le voyant laver et se reculotter). Vous reviendrez quand il vous plaira. Nous en étions à l'avant-veille du mariage. Tous les matins, Guae m'avait allaitée, ou plutôt affoutrée; ce qui m'avait rendu la peau plus blanche, le teint plus brillant, le con plus satiné, et me donnait un tempérament si violent, que je n'étais à mon aise qu'un VIT au CON. Le jeune homme dit, en déjeunant: -- Guae doit être surpris de ne pas me revoir! Cela pourrait faire tort, dans son idée, au con de ma belle fouteuse. Ainsi, je veux lui acheter la première nuit de sa mariée, puisque l'impayable Agnès veut absolument l'épouser (Je le lui avais dit, en foutant). Mon père applaudit. Mais, en me reconduisant chez Guae, que j'allais téter, ce bon père ajouta: -- Tu n'es pas une mariée ordinaire; ce qui éteindrait la soif d'une autre n'est qu'une goutte de foutre pour toi; j'ai une idée, c'est de m'arranger à te régaler, après-demain, en te le faisant mettre, jusqu'à extinction de forces, par tous ceux qui t'ont foutue; moi d'abord; ton oncle; ton procureur; le frère de ta marchande, et peut-être son mari. S'il se trouve quelques nouveaux bougres, ils t'enculeront, sous prétexte de réserver ton pucelage à ton époux; c'est un délice que d'enculer une mariée, le jour de ses noces, et ils le payeront bien. Je m'arrangerai avec Guae pour tout cela. Nous arrivions. J'embrassai mon père transportée de reconnaissance, en le priant de tâcher de me suivre secrètement, pour me voir téter. J'entrai, puis je l'introduisis. Guae courut à moi, en se déculottant. Il me baisa d'abord pied, jambe, cul, con et tétons: Il me fit ensuite lui darder ma langue; après quoi, il me mit son vit en main. Je le secouais vivement, lorsqu'il me dit: -- Garce, je suis raisonnable. Je ne t'enconne pas; il faut que ton père et ton oncle te foutent le jour du mariage. Je t'aurai ensuite, pour la nuit, trois vits frais, dont celui qui t'a dépucelée sera un... Ah! l'idée que ton père t'enconne va me faire te décharger une pinte de foutre, et te l'entonner dans le gosier... Allons, garce, je sens que ça vient; embouche-moi le vit... Ah-ah-ah... le bou...ougre fout... sa fille... Ton père te fout, garce! te fout, putain... Ah! je décharge, à cette divine idée!... Honh!... Il se pâma presque... Pendant l'interruption forcée, j'allai prendre mon père à sa cachette: -- Fous-moi, lui dis-je; puisqu'il le faut pour le bonheur de mon cher prétendu! -- Ah! déesse! (s'écria Guae, en se précipitant à genoux), tu incestues pour moi! je t'adorerai toute ma vie... Il intromit le vit paternel. -- Remue du cul! (me criait-il), saccade! -- Je dé..cha..arge (lui dis-je)... Viens, cher ami... que je te branle! Guae blasphémait de plaisir, en sentant venir le foutre... Il m'emboucha, sans que mon père me quittât, et, en même temps, j'avalai du foutre, j'en reçus dans le con, et j'en donnai. Mon père me foutit quatre coups, et Guae m'avait embouchée quatre fois, quand on frappa. Guae courut ouvrir, tandis que je me rinçais bouche et con. C'était mon oncle. -- Vous arrivez à point (lui dit-il). On essaye ma future, et vous allez l'essayer. Mon père expliqua la chose; Guae me renversa sur le foutoir, et mon oncle m'enconna. Il me foutit six coups, je tétai six nouvelles fois le vit de Guae; après quoi on me laissa respirer. Il fut ensuite convenu que douze fouteurs me passeraient sur le corps le jour de mon mariage, en con ou en cul, à mon choix, et que Guae, qui seul aurait la bouche, me ferait foutre la nuit, et dans l'obscurité, par trois vits nouveaux de son choix. Mon oncle émerveillé, s'écria: -- Mais elle sera putain! -- C'est ce qu'il me faut, pour que je l'adore.... Et ne vous en faites faute, ni son père, ni vous; puisque vous serez les seuls qui ne payerez pas. En achevant ces mots, il se prosterna devant moi, en me traitant de déesse. Je retournai chez ma marchande. Son mari et elle-même me tourmentaient pour que le premier m'eût une seule fois avant mariage. Ils me pressèrent plus fort que jamais; et je cédai. La femme me mit dans le con le vit de son mari. Je ne fus foutue qu'une fois, cet homme étant faible, et sa femme le voulant être après moi. Ce fut de ma main qu'elle reçut dans son con brûlant le vit marital... Cette opération faite, et répétée, je les quittais, en leur disant adieu. Ils pleuraient: -- Ce qui me console de ta perte (me disait ma marchande), c'est que mon cher mari t'a foutue... Ta voluptueuse idée me le fera mettre plus souvent. Je partais, quand le frère entra. Sa soeur lui dit ce qui venait de se passer. Il ne répondit rien. Mais il me ramena du côté du lit, m'y renversa, et me foutit devant eux, sans prononcer une parole. Il voulait me recommencer. Je m'y refusai, en l'invitant, ainsi que son beau-frère, à venir me le mettre le surlendemain, jour de mon mariage. On me remercia. Chapitre XXXVI De l'homme-poilu, la Convelouté, Linars etc. A mon arrivée chez mon père, je lui con-racontai tout ce que je venais de faire. -- Il ne faut pas (me dit-il), quand on a tant d'ouvrage payé, en faire qui ne rapporte rien. Il vient de m'arriver un homme d'assez agréable figure, très vigoureux, car il est brun et tout poilu, qui offre une forte somme, pour t'avoir cette nuit! -- Que rien ne vous empêche de le prendre! (répondis-je en souriant) Je ne suis pas fatiguée par si peu de chose. Mon père, rassuré, me fit déshabiller nue, prendre un bain tiède, puis un froid, mettre au lit, avec une chemise large; me fit avaler un excellent consommé; ensuite il me laissa dormir. Il était alors 5 heures du soir. A minuit, je m'éveillai, en me sentant lécher le con. Je priai l'homme de se montrer! Il leva la tète, et je vis un basané d'une fort belle figure. Je souris. Il me suça les tétons, en me disant des choses agréables: -- Vous avez un beau con... une superbe motte... un ventre de pucelle... un cul d'albâtre... des tétons blancs comme neige.... un col dégagé... des lèvres voluptueuses... de belles dents... les plus beaux yeux... les cils, les sourcils et les cheveux comme la déesse de la Beauté... la jambe parfaite... le pied le mieux fait... Quand je vous aurai foutue, je vous dirai le reste. Mon père me dit de me lever pour souper. Le basané me porta toute nue dans ses bras auprès du feu. Là, je vis Guae avec grande surprise! Je mis mon corset souple; Fysitère (le basané) me laça, me priant de bien faire refluer mes tétons. Mon père me chaussa une jambe et un pied, Guae l'autre jambe et l'autre pied, en bas et en souliers de soie d'une éblouissante blancheur. On se mit à table. Mon fouteur voulut que je restasse les tétons découverts. Nous soupâmes. J'avais appétit, Le basané but et mangea comme un hercule. En sortant de table, il dit à mon père et à mon futur: -- Vous ne m'avez pas trompé; elle est au-dessus de vos éloges. Si l'intérieur du con ressemble à l'extérieur, elle est à moi, coûte qui coûte. -- Voyons votre vit (répondit Guae)... Elle ne sera que trop parfaite!... Voici le mien; et vous savez que je n'ai pu l'enconner, puisque c'est ce qui vous a fait parler à M. Convelouté mon beau-père. -- Je verrai si elle a le mérite de ce beau nom... Mais vous avez un vit épouvantable, M. Guae!... Empoignez-le, la belle, que je voie comme il est bien bandant! Je saisis le vit de Guae, qui se récria de plaisir... -- Je bande (reprit Fysitère). Mais faites bander votre père, et comparons. Je lui pris cependant le membre, qui grossit en le serrant dans ma main. On compara ensuite. Guae l'avait le triple de l'homme velu, qui lui-même était le double de mon père. -- Je voudrais lui dire un mot (demanda Guae furieux de luxure). Il me poussa vers une fenêtre, me cacha derrière le rideau, et me déchargea dans la bouche. Mon père seul devina ce que Guae venait de me faire. Pour moi, je fus singulièrement fortifiée par cette bavaroise! Je brûlais... Aussi, je fus ravie, lorsque Fysitère dit: " -- Il faut d'abord que je la foute habillée. Il me porta sur le pied du lit, ôta ses culottes, et nous laissa voir un corps velu, comme celui d'un singe. Il me fit lui prendre son braquemart, et me dit: -- Introduis-moi cela dans le trou de ton con, et lève du cul comme il faut, à chaque fois que je pousserai. Je m'enconnai. Aussitôt il poussa. Je fis un cri; car il me déchirait, étant plus gros que mon oncle, et que tous les vits qui m'avaient foutue. -- Ce n'est rien (me disait-il); je te déflore... je te dépucelle. Remue du cul. Je remuais de mon mieux, tout en soupirant, et lui rendant en coups de cul, tous ses coups de vits. Il parvint au fond. Mes trompes lui pincèrent la tête du gland. Il hurla de volupté. -- Garce adorable! (s'écriait-il) ton con satiné pince le vit! Ta fortune est faite, ainsi que celle de ton père et du futur, qui t'ont vendue à moi!... Allons, fous bien!... Je remuai, je tortillai du cul, je soubresautai, de la manière dont me le disaient mon père, et Guae lui-même. -- Je suis ravi! (s'écriait le basané) Elle décharge!... Ah! Elle me fera un petit bougre-à-queue!... Il dit à mon futur: -- Viens-ça, jean-foutre. Passe-moi la main sous le croupion, et chatouille-moi d'une main ce que tu y trouveras, et les couilles de l'autre! Guae obéit (J'ai su depuis qu'au croupion, le basané avait une queue, de la même forme qu'un vit, mais velue comme son corps, et que ce fut cette queue que mon futur chatouilla).... -- Je ne quitte pas d'une heure ce con céleste! (disait l'homme-à-queue, en me saccadant) chatouille, chatouille, bougre! les couilles et ma queue! Il déchargea six fois, sans déconner... Je demandai alors à laver. Mon futur m'épongea le con, et me le baisa, en l'appelant Con d'Or. Mon père me suça les tétons. Guae dit au basané: -- Elle est à vous. Mais je bande comme un carme; permettez que je l'encule?... -- L'enculer, non; c'est du foutre perdu. Encore moins l'enconner; je veux qu'elle me fasse un petit-à-queue. Mais si elle avalait le foutre, comme j'ai vu certaines femmes tempéramenteuses, je consentirais que tu l'embouchasses. A ce mot, je saisis le vit de mon futur, et je l'aurais avalé, s'il n'avait pas été si gros. Il me déchargea au fond du gosier, en rugissant, et le foutre me descendit bouillonnant dans l'estomac. Ah! Elle aime le foutre! (s'écria le basané) Elle a toutes les perfections!... Et elle sera aussi longtemps belle, que féconde!..... Allons, papa, embouche-la aussi. De tous les foutres, le paternel est le meilleur. Je me jetai sur mon père, le renversai sur le lit, saisit son vit bandant, que je fis aller et venir dans ma bouche, jusqu'à ce qu'il déchargeât. Je suçai son foutre avec délices... -- Bon! (s'écria le poilu) Elle est dans les bons principes; elle est impayable! Le basané me déshabillait, me déchaussait: Mon Père et Guae lui aidaient. Je fus mise nue, patinée, baisée du haut en bas, tandis que je me rinçais la bouche. On me passa la grande chemise; l'homme-à-queue velu et tout nu y entra, me suça les tétons, me fit lui darder la langue, puis dit à mon futur de lui intromettre le vit dans mon con. Le basané me foutit six nouveaux coups, sans déconner. Je me sentis fatiguée. Je voulus laver. Je restai une heure sur le bidet le con dans l'eau. Le basané, qui, pendant tout ce temps-là, s'était amusé à faire bander Guae, et à lui faire me décharger trois fois dans la bouche, m'appela, en me disant: -- Tu es assez rafraîchie; reviens sur le foutoir, que je te donne le bouquet! Il se le fit introduire par mon père; qui me dit: -- Courage, mon enfant! Voici un fouteur qui en vaut dix. Mais je tâcherai de te faire soulager, si cela continue. Je fus encore foutue six fois; mais avec tant de véhémence que je n'en pouvais plus. Sur ma plainte, le basané dit, que le bouquet était le double des autres assauts. -- Eh! combien donc l'allez-vous foutre de coups? (lui demanda mon père). -- Vingt-quatre est ma dose. -- C'est trop, et elle ne ferait pas d'enfants. Elle a une cadette, aussi jolie que l'aînée est belle; je vous la donnerai, pour soulager sa soeur! -- Je l'accepte! (s'écria Fysitère) Et il m'en faudra bien d'autres! car je ne les fous plus dès qu'elles sont pleines, ni pendant qu'elles allaitent leurs petits. La jeune garce est-elle là? (Or il me foutait toujours)... -- Non: Vous ne pouvez l'avoir que demain soir. -- En ce cas, j'achève de foutre celle-ci mes 24 coups. Je déconne; qu'elle lave. Elle n'en a plus que cinq. Si son futur se trouve en état, qu'il lui donne à téter du foutre, cela la fortifiera! Aussitôt Guae m'apporta ses couilles à chatouiller, et son vit à branler. Je m'en acquittai si bien qu'il hennit au bout de quelques minutes, et qu'à peine eus-je embouché son vit qu'il déchargea, en sacrant: -- Elle a toutes les qualités... Elle est parfaite! (s'écriait le poilu, en me re-enconnant) Si sa petite soeur la vaut, ce sont deux connins impayables! Il acheva de me foutre cinq fois, sans déconner. Je puis me rendre le témoignage que je déchargeai, à chaque assaut, plutôt deux et trois fois qu'une. Aussi Fysitère en était-il émerveillé! et me nommait-il la seule fouteuse digne de lui. Mon père lui dit alors: -- Ce ne sera pas encore assez de ma cadette. Mais j'ai votre affaire. Il me reste une nièce religieuse qui a des vapeurs hystériques; je vous la donnerai, pour reposer mes filles! -- Je leur ferai à toutes trois 12 mille francs de rentes (répondit le basané). Amenez-les-moi chaque soir, demain excepté, que j'ai à fourgonner une grande blonde qui a ouï parler de moi et qui veut en tâter. Il s'en alla. Cette scène changea tous nos projets. Je dormis jusqu'à midi, qu'on m'habilla. Je fus mariée à une heure. La noce fut gaie. Ma soeur y était, ainsi que ma cousine la carmélite hystérique, mon père ayant trouvé le secret de l'avoir, au moyen d'une permission de prendre les eaux qu'il sollicitait depuis longtemps. J'eus réellement pitié du connichon de ma soeur Doucète, et je résolus de le voir dans la journée. Mon père me le montra, et le gamahucha devant moi, en alléguant le motif de prévenir une maladie. Ah! qu'il était mignon!... Je l'aurais gamahuché, à mon tour, sans ma coiffure d'épousée, car son joli petit foutre virginal me tentait... Notre père la prévint qu'il fallait qu'elle me soulageât la nuit de mes noces, et l'aimable enfant y consentit avec naïveté. Je vis aussi le con de ma cousine la carmélite, ou la belle Victoire-Londo. Il n'était pas si mignon, mais il avait une superbe perruque noire. Elle entra en fureur érotique dès qu'on le lui eut touché du bout du doigt, et mon pauvre père fut obligé de le lui mettre devant ma soeur, et devant moi. Ce qui ne la calma que pour un instant. Nous appelâmes mon oncle, qui la foutit trois fois. Puis le jeune homme fut introduit. Ensuite le procureur. Tous ceux qui devaient me le mettre ce jour-là. Les enculeurs vinrent après. Elle fut foutue, refoutue, enculée, re-enculée, et calmée. Mais on n'appela pas M. Guae; j'en étais jalouse... Pendant ce temps-là, mon père branlait ma soeur; l'enculage de la religieuse le fit entrer dans une telle érection qu'il la poussa dans un cabinet, où je les suivis, la renversa, et la dépucela. J'insérai le vit paternel dans le joli connin, en disant à Doucète que c'était une ponction nécessaire. On lavait la religieuse. M'étant aperçue que Guae la convoitait, je lui témoignai une jalousie qui le flatta. Il me promit de réserver son foutre azuré et son gros vit pour ma bouche, en attendant que les enfants m'eussent élargi le con. -- Mais vous m'aviez vendue (lui dis-je), avant de m'avoir livrée à l'homme velu, pour être foutue et enculée ma nuit des noces. Combien de fouteurs et d'enculeurs devais-je avoir? -- Six, à 2 mille écus chacun. -- Vous voyez que je n'ai besoin que de repos. Mais il ne faut pas manquer une aussi jolie somme: Vous avez demandé le silence et l'obscurité? -- Oui, ma reine adorée. Je ne me suis engagé qu'à te faire voir toute nue sans chemise, comme en jouant avec toi, nu aussi, dans la chambre. Au reste, le silence et l'obscurité sont essentiels, puisqu'ils eussent passé pour moi. Les six bougres, placés chacun dans une chambre séparée, devaient repaître leurs regards de tes charmes, et t'espérer chacun comme possesseur unique, à un signal donné. -- Tout cela se fera. Je serai remplacée par 3 personnes. Nous donnerons le plus délicat et le plus petit vit à ma soeur. Le plus vigoureux et le plus brutal à la carmélite: Je vais vous avoir ma marchande, qui ne demandera pas mieux que d'être foutue, sans être compromise. Vous arrangerez tout pour qu'elles reçoivent chacune deux hommes; ce qui sera d'autant plus facile que vous n'aurez que les hommes à tromper; ce qui sera facile. Guae admira mon entente et mon économie! Il me promit une soumission entière à mes ordres, et me demanda la permission d'appeler ma soeur, ou la religieuse, pour le branler. Je les appelai toutes deux. Je dis à la carmélite, en lui découvrant les tétons, de prendre le vit et les couilles de mon mari. Je mis ensuite ma soeur en position, troussée jusqu'au-dessus des reins, et, comme elle avait le plus joli cul du monde, elle montra le derrière. Je me mis à côté d'elle, troussée de même, je montrai le devant. Guae, chatouillé par une main douce, et jouissant d'une triple perspective aussi belle, en y comprenant la superbe gorge de la religieuse, ne tarda pas à hennir de plaisir. Bientôt il entra en fureur, et il allait enconner la religieuse si je ne lui avais sauté sur le vit, que j'embouchai. Il me déchargea dans le gosier, en rugissant. Nous sortîmes tous quatre, pour aller danser, et ma soeur, ma cousine et moi nous fumes reçues avec transport. Mes 6 fouteurs pour la nuit suivante étaient de la noce. Guae, qui se fût bien gardé de me les montrer, si j'avais dû les avoir, s'en fit une fête quand ce furent d'autres qu'on leur allait livrer. Il me les désigna. C'étaient 6 monstres de laideur. Guae trouva le moyen de les faire mettre nus successivement dans une pièce isolée, sous le prétexte de les frotter d'un baume fortifiant. Le premier était un squelette décharné, ayant le vit comme mon père. Il avait un long nez qui touchait à son menton, les joues creuses, l'oeil vif, des verrues noires sur le corps. Je le réservai pour ma soeur, à cause de son vit, n'espérant pas mieux. Il se nommait Widevit. Le second était un gros petit homme, très ventru, ayant le vit de mon oncle, la peau comme une écrevisse cuite, pour nez une grosse betterave, de gros sourcils gris, une bouche évasée, et les lèvres hâlées, gercées des gros mangeurs. Ce fut le second de Doucète, si je ne trouvais pas mieux. On l'appelait en russe Wivitencoff de la Cowilardière. Le troisième était fait comme un héron et un dromadaire: Il était juché sur de longues jambes sans mollets; il portait sur ses épaules une colline en cône aigu; son visage était noir et sec; ses cuisses grêles n'étaient distinguées de ses jambes que par d'énormes genoux. Tout ce qui manquait à ces parties se retrouvait dans son vit, plus gros que celui de notre homme-à-queue, et moins que le double vit de Guae. Je destinai Towtenvit à ma marchande, qui était chaude, large et stérile. Le quatrième était un gros marchand de blé, aussi large que haut, tout noir, tout bourgeonné, ayant quelques livres de couilles, et un vit très long, gros comme celui de mon oncle. Je destinai Vitplongeardow à ma cousine, à cause de ses couilles. Le cinquième avait le visage de la teinte d'un ventre de crapaud, la tête monstrueuse, le ventre de Desessarts, le vit comme Guae (il devait m'enculer, de convention faite). Son regard était affreux, sa bouche dégoûtante, et son nez encore plus. Vitcrwel fut voué au large con de ma marchande. Le sixième et dernier était grand, voûté, noir, bancroche, roux, chassieux; il avait un vit à bourrelet, tant il était long; aussi en avait-il apporté un, qu'il devait écarter, pour m'enculer. Perceawant fut le second de mon ardente cousine. Le soir arrivé, l'on me mit au lit, et chacun des six monstres crut qu'il allait avoir le plaisir d'être mon bourreau. Guae me conduisit dans la chambre nuptiale, et parut me mettre au lit. Mais il nous distribua dans quatre pièces, et les lumières furent exactement retirées. Quant à moi, j'étais restée debout, faisant, à chacune des lieutenantes de mon con, le portrait et l'éloge du beau jeune homme qu'elles allaient presser dans leurs bras. Je me croyais obligée en conscience de leur donner des plaisirs imaginaires, à défaut de la réalité. -- Ma toute belle! (dis-je à ma soeur) avec quel plaisir tu me sacrifierais ton repos, si tu voyais le jeune homme charmant qui doit froisser tes appas! C'est un sylphe; c'est un amour... J'allai ensuite à la religieuse: -- Tu vas sentir la différence de la couchette de ta cellule au lit d'un nouvelle mariée, ma chaude cousine. Un bel homme, un gros vit... Crie, mais ne parle pas, puisque tu vas passer pour moi... Je me rendis ensuite auprès de ma marchande: -- Vous allez être rassasiée de ce que vous aimez tant, mon aimable maîtresse. Un jeune homme superbe, et... peut-être deux, qui me désirent avec emportement, vont me le mettre dans votre con brûlant, jusqu'à extinction de forces. Les vits sont gros! ainsi faites-vous pommader comme une pucelle, et remuez du cul, pour avaler plus vite ces énormes morceaux... Ma marchande me remercia, en me priant de la mettre promptement aux prises. Je courus lui chercher Toutenvit, le troisième... Mais je vais mettre de l'ordre dans mes récits. Guae m'attendait. Dès que je parus, il me fit parler, et conduisit par la main Wìdevit, le premier monstre, auprès de ma soeur. -- Mon cher mari (dis-je doucement, la tête appuyée sur l'oreiller de celle-ci), ménagez-moi! -- Oui, oui; mais ne parle pas; j'ai découvert que toute la noce nous écoutait, à cause de mon gros vit... Durant ce court dialogue, Vitdevit, déshabillé d'avance, fourrageait déjà ma soeur. Guae, par mes ordres, prit ensuite Vitplongeardow, le quatrième, et le conduisit, avec les mêmes précautions, auprès de la religieuse. Je parlai sur son oreiller... Towtenvit, le troisième, fut le lot de ma marchande. Les 3 autres avaient rendez-vous quelques heures plus tard.. Il faut à présent donner chaque scène particulière, en 6 tableaux de la NUIT DE LA MARIEE. Chapitre XXXVII Des six fouteurs pour trois foutues. "Happée par le monstre, qu'elle croyait un ange, ma timide soeur soupirait. J'entendais qu'on la gamahuchait, qu'elle déchargeait. -- Je me meurs! (murmura-t-elle). -- Comme tu as la voix douce, belle mariée! (lui dit Widevit bien bas). Et aussitôt il grimpa sur elle, et l'enconna. La pauvre petite, quoique dépucelée, fit un cri! Je parlai pour la déguiser. Le vieux monstre la ménageait et la caressait. Elle le secondait de tout son pouvoir, et redéchargea. Grâce à moi, elle avait le même plaisir que si elle eût foutu avec un beau garçon... La voyant bien enfilée, j'allai à la religieuse. Vitplongeardow s'était avisé de ne pas mettre son bourrelet; je m'en doutai aux gémissements de la pauvre martyre. Je le dis à Guae, qui le désarçonna, et lui donna quelques soufflets. J'entendis qu'il lui disait bien bas: -- Bougre! vas-tu m'estropier ma femme? Ton bourrelet! Le fouteur le prit, et la foutue n'eut plus que du plaisir. Je courus à ma marchande, que Toutenvit ne pouvait enconner, par maladresse. Je mis la tête sur l'oreiller, et je dis en soupirant: -- Priez donc mon père de vous l'introduire!... Guae, qui me suivait doucement, vint faire l'intromission, et tout alla bien. Chacune des 3 belles fut foutue deux fois en con. Ensuite, comme de concert, les 3 bougres retournèrent la médaille. Toutes trois avaient leur pucelage de cul. Ma marchande crut qu'on allait le lui mettre en levrette; mais les deux autres ne s'attendaient à rien. On leur perça le cul à toutes trois au même instant, et elles s'écrièrent, malgré la défense, toutes à la fois: -- Doucète: Oh le fondement! -- La religieuse: Oh l'anus! -- La marchande: Oh le trou du cul!... On n'y fit pas attention. Heureusement ma soeur avait le cul large; elle souffrit moins. Quant à la religieuse, que Vitplongeardow enculait sans bourrelet, elle avait une aune de vit dans ses entrailles, et elle sentait celui de son enculeur lui chatouiller le nombril. Elle souffrait beaucoup de son farfouillage; car il retirait et re-enfonçait brutalement. Elle n'eut de plaisir qu'à la décharge, par la douce chaleur du foutre, qui lui onctua le gros boyau. Ma marchande était la plus maltraitée, par Towtenvit. Elle avait le trou du cul aussi étroit qu'elle avait le con large; le vit énorme la pourfendait. Elle jurait entre ses dents. Enfin la décharge l'abreuva, et elle fut soulagée. Les 3 vieillards en avaient autant qu'il leur en fallait. Guae vint les faire retirer, de sorte qu'ils ne se rencontrassent pas... On étuva les 3 cons et les 3 culs. On fit les lits, on changea les draps, recoucha la triple mariée, et Guae introduisit les trois nouveaux acteurs. Il alla chercher Wivitencoff, que je mis dans les bras et sur le ventre de ma soeur. Un peu aguerrie, elle caressa tendrement le monstre, qui l'enconna, le vit introduit par Guae, qui profita de l'occasion pour patiner ma soeur, et la chatouiller. Ce qui fit tellement tressaillir la pauvre petite que son fouteur s'écria, croyant parler à moi: -- Ah! que tu es putain!... Voyant Guae acharné sur ma soeur, j'introduisais les deux autres. Je donnais Perceawant à la religieuse, et j'eus soin qu'il eût son bourrelet. -- Voilà une main bien douce qui me touche dit-il en voulant saisir la mienne; mais j'échappai. -- Remue du cul, bougresse, (disait-il à sa monture); je te tiens, je suis dans ton con; ainsi tu ne saurais m'échapper. Je ne suis pas ton mari; j'ai payé pour coucher avec toi, et te dépuceler; ainsi tu es ma putain. Fous, garce, et remue du cul; j'ai payé pour ça... Guae l'entendit. Il vint à lui, le saisit à l'étouffer. -- Tu manques à nos conventions! (lui dit-il) je ne les tiendrai pas non plus; fous-moi le camp, malhonnête homme! -- Oui; mais quand je l'aurai enculée. Et il encula la carmélite, malgré les coups de poing dont Guae le gourmait. La religieuse poussait des cris horribles... J'étais auprès de ma marchande, que j'accouplais avec le gros Vitcrwel. Il ne devait qu'enculer; mais la chaude coquine se dirigea elle-même le vit dans le con. -- Tu n'es donc pas pucelle, garce (crut-il me dire), que tu connais si bien la route des vits?... Allons, fous, putain, et comme il faut! j'ai payé ton maquereau de mari! Comme elle ripostait bien, il allait disant: -- Oh! elle est putain! elle est putain! j'ai le reste des autres! Et, tout en déchargeant, il la pinça, la souffleta. Elle se récria! -- En bouche, sacrée putain? (dit-il en déconnant) et tu avaleras mon foutre; sans quoi je t'assomme! Guae, qui venait de laisser enculer la carmélite, et de chasser son brutal fouteur, entendit le grabuge; il accourut, apostropha le sale bougre d'un violent coup de poing, en lui disant: -- Lave-toi donc au moins, sacré mâtin, avant de l'emboucher! Je ne l'embouche jamais que je ne me sois lavé le vit à l'eau-rose, et que je ne l'aie ensuite trempé dans du lait. Exécrable bougre! vrai de Sade, tu veux lui faire soulever le coeur?... Mais tu as manqué aux conditions; tu ne mérites plus de l'avoir. -- Voilà cent louis... -- Ils seront pour elle. Lave-toi... Voilà de l'eau-rose... Voici du lait... Allons, souffre, m'amie. Voilà tes cent louis. Le vieux reître, cru un beau jeune homme, emboucha, encula, entétonna tant qu'il voulut. -- Ah que tu es putain, sacrée chienne! (répétait-il)... Guae se mourait d'envie de lui montrer qu'il ne m'avait pas eue. En le mettant à ta porte, il me fit trouver sur son passage toute habillée. Ce fut comme une vision; car je m'enfuis. Ah je suis fait! (s'écria le monstre) le scélérat m'a donné une putain au lieu de sa femme!... Et il jura, sacra... Quant à moi, pendant ces scènes, j'assistais à la fouterie de ma jeune soeur. La pauvre petite fut enconnée, embouchée, enculée comme les autres, par son adoré Vitvitencoff de la Cowillardière, qui alla jusqu'à extinction de forces. Il m'adorait. Ce qui le tua, c'est que, lorsqu'il se sentait épuisé, il se faisait sucer le vit bien approprié à l'eau chaude, et baiser les couilles par sa jolie monture. Il lui mettait encore couilles et vit sur le cul ou les tétons. Puis il se faisait donner au gland un suçon. Il bandait alors, et enculait. Au dernier culetage, il eut un priapisme, et crut ne faire que bander. Il fourgonna dans le cul de ma soeur jusqu'à ce qu'il s'évanouît. J'appelai Guae, qui la décula, en enlevant son enculeur. On le porta évanoui dans sa voiture. Arrivé chez lui, des cordiaux, que demanda Guae, ranimèrent le vieux libertin: -- Ah! (s'écria-t-il) je vis encore! je voulais mourir dans son cul!... je bande encore... Qu'on me la rende... que je l'enfile... et... que... j'expire... Et il expira..." [Ah! la belle mort! s'écria Traitdamour, et toute la compagnie en dit autant...] Mme Guae acheva. "Voilà comme s'est passée la nuit de mon mariage. Guae, à son retour, était furieux de luxure: Il voulait toutes nous enculer, puis nous emboucher. On s'arrangea. Il m'emboucha; encula ma soeur et ma cousine, enconna ma marchande, qui en fut estropiée pour un mois, et l'engrossa, deux choses qui l'empêchèrent d'être achetée par Fysitère. Pour Guae, je suis sa maîtresse, et son gros vit me fortifie par son foutre qui me nourrit. Je serai enconnée par lui, de convention faite avec Fysitère, après mon douzième enfant." Chap. XXXVIII De la conclusion de l'histoire des 3 garces. "Personne ne sait comment l'homme-caud découvrit que Guae avait vendu la première nuit de ses noces. Il arriva furieux. Il me demanda. J'étais au lit. Ce fut la réponse de Guae. -- Je le crois! (répondit Fysitère), et un homme est mort d'épuisement dans ses bras. -- Elle a vaqué toute la nuit; mais c'est pour autre chose. Sa cousine la religieuse ayant été un peu courtisée dans le jour, ses vapeurs hystériques l'ont reprise la nuit, par un rêve, où elle croyait être foutue. J'ai été appelé. N'ayant pu l'enconner, je l'ai enculée. -- Je me fous de son cul. Mais si tu l'avais enconnée. -- Quant à ma femme, elle dort; et vous pouvez voir à la fraîcheur de son con et de son cul que je ne lui ai pas touché. -- Voyons d'abord la carmélite! -- Elle dort aussi. Ils y allèrent. Guae la découvrit, sans l'éveiller. Elle était couchée sur le côté, ne pouvant se tenir sur le dos, à cause de son cul qui lui faisait mal. Elle l'avait en marmelade. -- Comme tu les accommodes!... Et le con?... Il n'est pas si maltraité... -- Je l'ai un peu fatiguée par mes inutiles efforts; et puis elle s'est branlée. -- Voyons la mariée!... Ils vinrent à moi. On sait que je me repucelais par le bain et un peu de repos. Mon con et mon cul furent trouvés si appétissants, si jolis, que Fysitère les baisa tous deux. Puis il signifia au cupide Guae qu'il avait un logement cloîtré pour nous séquestrer pendant tout le temps que nous lui ferions des enfants, moi, ma soeur, et ma cousine. Il ne vit Doucète qu'habillée! et elle l'enchanta. Il nous emmena toutes trois, en disant que jusqu'à notre grossesse bien déclarée, on ne nous verrait qu'à un parloir. Fysitère est extrêmement riche. Il donne 20 mille francs par an à Guae pour moi, 40 mille à mon père pour ma soeur et ma cousine. Le soir, après un excellent souper, il nous fit coucher toutes trois ensemble dans un large lit, où il se mit avec nous. Il me foutit d'abord. Puis ma soeur. Ensuite la carmélite, qui le fut deux fois sans déconner. Il me reprit. Puis ma soeur. Bref, nous fumes ainsi foutues 8 fois chacune dans la nuit. Ce qui faisait les 24 de Fysitère. Quand il en foutait une, les deux autres lui chatouillaient, une la queue du cul, la seconde les couilles. Nous devînmes grosses toutes trois à la fois. Alors il nous déclara qu'il ne nous le mettrait plus qu'après nos couches et l'allaitement. Il vint ici. Il vous vit, Madame; il vous foutit. Il épousa votre fille aînée, enconna les 5 autres, fourbit vos deux nièces, ramona la bâtarde de votre mari, viola vos 2 chambrières, et vous engrossa toutes. Durant ce temps-là, nous accouchâmes, nous allaitâmes, nous nous trouvâmes libres, et il nous refout. Tâchez d'être libres aussi, quand nous serons prises, afin qu'il nous refoute alternativement. Telle est notre histoire; voilà ce que nous savons sur l'homme à queue. J'ajouterai seulement que, dans le temps où M. Fysitère ne nous l'a plus mis, nous ayant des désirs, nous avons eu recours à mon père, à mon oncle, à Guae, au procureur, et à mon premier galant, qui nous ont fourbies, Guae en bouche, les autres en con. Cependant nous avons toutes voulu avoir Guae, à la première douleur pour l'accouchement; son vit, gros comme l'enfant, frayait le passage, et son foutre l'onctuait. Après nos couches, nous avons prié mon père de nous choisir de jolis petits garçons non pubères, mais bandant roide, pour nous ramoner le con: ces enfants, dont les petits vits huilés entraient calottés, ne déchargeaient pas, et cependant farfouillaient agréablement dans le connôt". Les 12 belles furent très excitées par ce récit, et quelques-unes allèrent sur-le-champ et successivement se faire ramoner par Fysitère, qui fut très étonné de cette boutade! Il se servit de ses 2 queues, en expédiant ainsi 2 à la fois, une dessous, une dessus. Cette bourrasque apaisée, Fysitère revint à ses us et coutumes. Mais bientôt ses 3 coucheuses parurent enceintes. Il les pria, ainsi que Mme Linars, de lui en procurer 3 ou 4 autres, pour lui faire des enfants, en attendant leur liberté! Mme Guae seule en procura 3, une Tétonnette, son amie d'étant fille, et deux soeurs, Bienouverte, grande blonde, avec Dardenbouche, aimable et vive brunette, très caressante, déchargeant comme quatre. Tétonnette était une de ces brunes à peau blanche qui ont toujours une si belle gorge. Fysitère assura les 12 cents fr. de rentes à ces 3 filles, se chargea de leur ample entretien durant tout le temps de leur fécondité, les fit coucher au grand lit, et les dépucela 8 fois chacune la première nuit. Il commença par Dardenbouche, là plus jeune. Elle était si amoureuse, bien que pucelle, qu'elle riposta, dès le premier coup de vit. Elle soutint les 8 assauts de suite avec un courage héroïque... Fysitère prit ensuite Bienouverte. Elle fut plus modérée. Elle cria, quoique peu étroite; parce que, ne déchargeant pas d'abord, elle ne s'humectait que faiblement le connin. Elle était pucelle néanmoins. Malgré sa langueur, elle fut foutue 8 fois, comme Dardenbouche; Fysitère aurait eu peur d'en mortifier une... Il prit ensuite la belle Tétonnette. Il l'enfila plus difficilement que Bienouverte; mais elle remua si délicieusement du cul, ses tétons étaient si appétissants, elle avait le connin si étroit, qu'elle donna autant de plaisir que Dardenbouche... Après les 24 assauts, Fysitère laissa dormir. Le lendemain matin, 3 valets de chambre entrèrent, pour lui demander ses ordres? Il s'éveilla; mais il feignit de dormir, là bouche sur là gorge de Tétonnette, et une main sur les tétons de chacune des 2 autres. -- Voilà un bougre bienheureux! (dit un des valets) -- Oui! (répondit un autre). Et ils se mirent tous trois à se branler. Alors Fysitère, feignant de s'éveiller, leur dit: -- Je vous ai entendus, jean-foutres. Vous ne les enconnerez pas; je veux qu'elles ne soient grosses que de moi; mais tournez-les sur le ventre, et m'en enculez une chacun. Il n'avait pas achevé que les 3 belles poussèrent un cri simultané, causé par les 3 vits qui leur entraient dans le cul. Fysitère les exhorta à là patience, par l'idée d'une bonne oeuvre; il les assura que ces 2 hommes allaient décharger par terre. Elles se rendirent à cette raison, et culetèrent à qui mieux mieux." Explicit L'HOMME-A-QUEUE. A cette longue histoire, tous et toutes se récrièrent: -- Nous ne sommes que de la Saint-Jean, auprès de ces fouteurs et de ces fouteuses-là! Que ne sommes-nous à demain! -- N'allez pas vous branler, bougres! (leur dis-je) -- Nous nous en garderons bien! notre foutre n'est pas à nous; il est à nos belles. Qui était étonné de nous entendre parler ainsi devant ma fille, c'étaient Brideconnin et sa femme... Mais ils en verront bien d'autres. SUJETS DES ESTAMPES. I. Cupidonet et Jenovefette. L'adolescente à quatre, troussée, et le jeune Cupidonet à genoux, la couvrant cyniquement, tâchant de l'enfiler. Elle se cambre les reins, pour être atteinte: "Hausse, hausse le cul". p. 5 II. Cupidonet et le con soyeux. Cupidonet sur Madeleine, âgée de dix-sept ans, dont il lèche le con poilu. Elle est sur le dos, les jambes écartées, et se prête en poussant sur la bouche de son jeune frère, qui la gamahuche. "Darde ta langue dedans, cher petit ami". p. 9 III. La mère foutue. Cupidonet enconnant une femme de quarante ans, au lit, les draps à terre. Il enconne pour la première fois, et paraît se pâmer. La Femme: "Jamais... jamais... vous ne m'avez donné tant de plaisir". p. 12 IV. Cupidonet et la belle Marie. Cupidonet, évanoui, le vit en l'air après avoir déchargé dans le con de sa soeur la Belle, mariée à Paris, et parée, un jour de Vierge, Marie dététonnée, et con et cul visibles. Elle dit: "Ah... Grand Dieu... c'est Cupidonet." p. 16 V. Cupidonet et l'horlogère. Cupidonet au lit, sans couvertures ni draps, foutant la belle horlogère, à laquelle son mari, couché de l'autre côté d'elle, dit: "Courage, ma femme... hausse le cul". p. 20 VI. Cupidonet, avec sa femme le cul découvert. Il est appelé par sa femme debout, mais courbée sur un lit, troussée au-dessus des reins, et montrant le plus beau cul. Il court à elle, le vit bandant. "Si j'ai la vérole (pense-t-elle), fous-moi en cul". p. 20 VII. Cupidonet et Conquette. Cupidonet gamahuchant Conquette la nuit, sa lampe sur un garde-sel. Elle est à découvert, et se trémousse toute endormie, quand elle sent la langue entre les lèvres de son connin à poil naissant. "Ah... Ah... Ah... ça m'chatouille". p. 25 VIII. Conquette et Cupidonet. Conquette, qui vient d'être gamahuchée, et que Cupidonet, le vit bandant, tâche d'enconner. "Ah! ce joli gamahuchage, tant que vous voudriez". p. 30 IX. Cupidonet et Victoire. Cupidonet tenant Victoire troussée jusqu'aux dessus du genou, et se faisant empoigner le vit, qu'elle ne voit pas: "Mignonne... serre-moi le doigt, fort... fort". p. 32 X. Conquette, Culant, Vitnègre. Conquette assise devant le feu, entre Vitnègre et Culant déculottés, bandants; elle troussée: "Allons, bougresse. branle-nous tous deux". p. 36 XI. Cupidonet, Conquette, Vitnègre, le moine. Cupidonet dans un cabinet obscur, voyant Vitnègre le vit à l'air, montrant à nu les appas de sa femme. Un moine, debout dans le cabinet, vu par le père de Conquette, caché derrière un sofa, et qui n'est pas vu. Le moine tenant en main son vit monstrueux, regarde la scène: "Troussée, putain, au-dessus des reins". p. 39 XII. Cupidonet et Conquette en levrette. Conquette, le ventre appuyé sur le pied d'un lit. Cupidonet l'a troussée au-dessus des reins; elle cambre la taille, et il l'enfile en levrette. "Remue du croupion... mon ange". p. 44 XIII. Conquette, Vitnègre, un payeur. Vitnègre debout à côté du lit, caché par un rideau, tandis qu'un autre le remplace sur sa femme. Le mari dit à celle-ci: "Décharges-tu"? p. 48 XIV. Cupidonet, Conquette, Vitnègre, le jeune homme. Cupidonet caché; Vitnègre une lumière en main trouvant le jeune homme sur sa femme troussée: "Hé bien, est-elle enconnée". (dit-il). p. 53 XV. Le fouteur à la Justine. Le moine Foutamort, ayant mis Conillette nue, expirée et déchirée sur une table, lui cerne les tétons avec un bistouri, etc.: "Décharnons-la." p. 56 XVI. Cupidonet, Conquette, Timori. Cupidonet, caché dans le sofa, avançant la tête, pendant que Conquette, gamahuchée par Timori, lève les jambes en l'air, et fait claquer ses talons: "Ah... Timori... ta langue vaut un vit". p. 62 XVII. Conquette enculée. Cupidonet sous un sofa; Timori enculant Conquette, courbée, dont le cul est bien perforé: L'enculeur s'écrie: "Quel cul! quel plaisir des Dieux". p. 63 XVIII. Conquette s'enconnant du vit paternel. Cupidonet au lit avec Conquette, deux flambeaux sur la table de nuit. Il est sur le côté, le vit bien bandant. Il dit à sa fille nue, cherchant à s'enfiler: "Appuie lentement, ma reine". p. 67 XIX. Montencon, Cupidonet, Hochepine, Vitsucette. Montencon embouchant Adélaïde Hochepine en présence de Cupidonet et de Vitsucette. "J'embouche la jolie garce". p. 70 XX. Cupidonet, Conquette, Montencon. Cupidonet sortant du con de Conquette. Montencon, le vit en main, allant se mettre sur elle dont le con et les cuisses sont bien à découvert. "A toi, bougre". p. 7 XXI. Les moines vérolés. Tous les lits sont couverts de robes monacales. Vitnègre assis auprès du lit de Foutamort, qui lui montre un tableau, représentant une femme à laquelle il vient de ne faire qu'un trou du cul et de la motte, et dont il cerne les tétons: "Je me suis fait accommoder son con". p. 81 XXII. Le sommeil enconné. Cupidonet endormi, le vit dans le con de Conquette, qui dort également enconnée. En commençant à s'éveiller, elle dit: "Ah! Mon Dieu! c'est mon papa, qui me..." p. 83 XXIII. Cupidonet, Conquette. Cupidonet devant Conquette assise, en court jupon, les tétons découverts: Il vient de se mettre le vit à l'air. Elle joue avec sa mule mignonne, qu'elle fait badiner avec le bout de son pied: "Je veux te griller". p. 88 XXIV. Conquette, Cupidonet, Centlouis. Centlouis prenant les tétons et le con de Conquette, en présence de Cupidonet, auquel il dit de serrer les cinquante louis: "Ce con satiné, ces tétons touchés les valent". p. 91 XXV. Conquette, Cupidonet, Traitdamour. Conquette renversée, troussée au-dessus du nombril, et à laquelle Cupidonet présente Traitdamour, qui tient à la main et montre son gros et superbe vit. Conquette avançant sa main, pour prendre le vit: "C'est donc toi qui m'as fait tant de mal... et de plaisir"... p. 95 XXVI. Cupidonet, Conquette, Traitdamour, Minone, Connète. Cupidonet foutant Conquette, qui lui darde sa langue. Traitdamour tenant les tétons de sa soeur, qui lèche le trou du cul du fouteur; tandis que Connète le suce dans la raie du dos: "Quels délices!... Je suis rendu"... p. 100 XXVII. Minone, Conette, Cordaboyau, Brisemote (1er groupe). Connète chatouille les couilles de Cupidonet debout, tandis que Cordaboyau enconne Minone, que Brisemote encule couchée sur le côté. "C'est une fouterie de princesse...". p. 108 XXVIII. Cupidonet, Conquette, Traitdamour (2ème groupe): Conquette sur Traitdamour, qui la tient enculée sur lui! Cupidonet dans le con de la belle, ainsi limée entre deux feux: "Piquez... des deux; la garce est enculée"... p. 110 XXIX. La danse nègre. Cupidonet habillé, mais le vit à l'air, regardant la danse, dans laquelle il pousse Conquette nue par les fesses. Traitdamour danse avec Rosemauve, une nouvelle actrice; Cordaboyau avec Conette; Brisemote avec Minone; tous six nus de la tête aux pieds. Ils figurent les mouvements voluptueux; un couple paraît prêt d'enconner; un autre d'enculer; le troisième, en se contournant, met les tétons sous la bouche, le vit sous la main, et montre le con qui l'appète. "Allons! Du mouvement, garces!" p. 114 XXX. La Piochée et ses piocheurs. La Piochée sur le foutoir; Piocheur-père enculant Piocheur-fils; Piochencul les excitant, et se faisant bander, à l'aide de la main et des tétons de la jeune fille. "Bougre... encule ton petit garçon". p. 117 XXXI. Piochette. Le vieux Piochencul patinant les tétins de Piochette, âgée de 14 ans, et fille du frère et de la soeur, pendant que ces 2 individus sont enconnés, et que le vieux Piocheur grand-père encule son fils. "Tu me dépucelleras ta fille, dès que ton grand-père t'aura déculé". p. 119 XXXII. Les gourmets de con. Conquette enconnée par Cordaboyau, seulement comme gourmet du satiné de son con, est enlevé de sur elle, prêt à décharger, par Traitdamour et Brisemote, le vit bandant et décalotté, pour le plonger tout brandi dans le con de Rosemauve, étendue sur un foutoir haussant du cul: "Le sacré bougre allait partir"... p. 123 XXXIII. Honnête entretien du père et de la fille. Cupidonet prenant le con de sa fille d'une main, les tétons de l'autre. Elle dit: "Mon Dieu: je vous remercie d'un si bon père". p. 133 XXXIV. L'homme enfilant deux cons d'une volte. L'homme-à-queue foutant Sophie Linars de son vit, tandis que Geoline s'enconne avec la queue velue qu'il a au croupion. Celle-ci dit: "Et moi, je vais me servir de cette queue raide". p. 141 XXXV. La fouteuse insatiable. La belle Agnès, livrée par son père, enfilée par le jeune procureur, qui se loue de ses délicieux mouvements; elle s'écrie, en déchargeant: "Ah... mon âme va sortir... par le trou qu'il me fait". p. 157 XXXVI. Indicibles fouteries! Agnès, après souper, ayant un corset refluant, cachée derrière un rideau de fenêtre, de sorte que l'homme-à-queue seul, qui lui prend le con, ne voit pas son visage: Elle tient d'une main le vit de son père; de l'autre, elle retient à l'entrée de sa bouche, et presse de ses lèvres, le gros membre de Guae qui décharge, et lui lance le foutre au fond du gosier. Fysitère leur dit: "Il faut d'abord que je foute habillée...". p. 175 XXXVII. Les six fouteurs des trois foutues. Agnès, Doucète, la carmélite, et la marchande de modes, maîtresse d'Agnès Convelouté. La 1re en déshabillé de gaze transparente, avec le chapeau de mariée; les 3 autres nues, sont instruites par Agnès [Coupure.] Six vieillards, le vit en main, nus, endoctrinés séparément par Guae, nu aussi, à l'entrée d'une autre pièce, où il les attire les uns après les autres... Le premier est un grand, maigre, dont le nez touche au menton; vit ordinaire. Le second, gros, très ventru; le nez comme une grosse betterave; le vit long. Le troisième monté sur de longues jambes sèches; ayant un pain de sucre sur les épaules; le vit gros comme celui de l'homme-à-queue au moins. Le quatrième aussi large que haut, a le vit de l'oncle d'Agnès. Le cinquième a la tête monstrueuse, le ventre comme un tonneau, le vit comme celui de Guae. Le sixième est grand, voûté, bancroche; ayant un bourrelet à son long vit. Quant au laid Guae, on voit son vit, gros comme un timon de carrosse, soulever sa chemise... "Chacun des 6 monstres crut qu'il allait avoir le plaisir d'être mon bourreau". p. 183 XXXVIII. Fysitère au grand lit avec ses 3 fouteuses. Elles sont nues. Fysitère nu enconne Doucète; Agnès lui chatouille les couilles; la carmélite lui branle le queue velue, dont elle se dispose à s'enfiler. Le mot est pris de l'histoire par Agnès "Nous fumes ainsi foutues 8 fois chacune dans la nuit; ce qui faisait les 24, ordinaire de Fysitère" p. 192 Table des Chapitres La Préface. 3 I. Chapitre De l'enfant qui bande. 5 II. Chap. Du con soyeux. 8 III. Chap. De la mère foutue! 11 IV. Chap. D'un autre beau-frère cocu. 14 V. Chap. Du bon mari spartiate. 18 VI. Chap. De l'épouse qui se fait enculer. 20 VII. Chap. Du connin au poil follet. 25 VIII. Chap. Des conditions de mariage. 28 IX. Chap. Des dédommagements. 31 X. Chap. De l'infâme mari. 33 XI. Chap. Pucelage destiné aux gros vits, pris par un petit. 39 XII. Chap. Du plus délicieux des incestes. 41 XIII. Chap. Du con et du cul vendus. 46 XIV. Chap. Le jeune homme, la fille, le moine. 51 XV. Chap. Du fouteur à la Justine. 54 XVI. Chap. Foutoir. Petit magasin. Enserrement. Amour. 58 XVII. Chap. Du pucelage du cul. Le père enconneur. 63 XVIII. Chap. Des avis paternels, tenant sa fille enconnée. 67 XIX. Chap. Du père juste, et du vit grisonnant. 70 XX. Chap. Du, Ah, comme elle fut foutue! 74 XXI. Chap. Du ressouvenir, et de l'épisode. 80 XXII. Chap. De la fouteuse mise en appétit. 83 XXIII. Chap. De la tendresse filiale; et de l'amour paternel. 86 XXIV. Chap. Du chef-d'oeuvre de tendresse paternelle. 91 XXV. Chap. Du bon père qui fait foutre sa fille. 93 XXVI. Chap. d'AVIS très utile au lecteur, et à l'auteur. 98 XXVII. Chap. Du commencement des grandes fouteries. 101 XXVIII. Chap. De l'enculo-connillerie. 106 XXIX. Chap. D'une nouvelle actrice. Danse nègre. 112 XXX. Chap. Le Pioché, la Piochée, le Piochard. 116 XXXI. Chap. Suite des mêmes, Piochette. 119 XXXII. Chap. Du connin goûté. 122 XXXIII. Chap. La fouteuse sensée. 130 XXXIV. Histoire de l'homme-à-queue. 134 XXXV. Chap. de la garce insatiable. 144 XXXVI. Chap. Des fouteries de la Convelouté, etc. 174 XXXVII. Chap. Des six fouteurs pour trois foutues. 185 XXXVIII. Chap. Conclusion de l'histoire des trois foutues. 191 XXXIX. Chap. Du fauteuil. 207 Fin de la table de la 1re partie. EPILOGUE de la Ire PARTIE. J'ai longtemps hésité si je publierais cet ouvrage posthume du trop fameux avocat Linguet. Tout considéré, le casement déjà commencé, j'ai résolu de ne tirer que quelques exemplaires, pour mettre deux ou trois amis éclairés, et autant de femmes d'esprit, à portée de juger sainement de son effet, et s'il ne fera pas autant de mal que l'oeuvre infernale à laquelle on veut le faire servir de contrepoison! Je ne suis pas assez dépourvu de sens pour ne pas sentir que l'ANTI-JUSTINE est un poison: mais ce n'est pas là ce dont il s'agit. Sera-ce le contrepoison de la fatale JUSTINE? Voilà ce que je veux consulter, à des hommes, à des femmes désintéressés, qui jugeront de l'effet que le livre imprimé produira sur eux et sur elles. L'auteur a prétendu éloigner de la cruauté, de la soif du sang et de la mort de la femme possédées. A-t-il réussi? Il a prétendu ranimer les maris blasés, pour les faire jouir de leurs femmes avec goût, à l'aide de la lecture d'un demi-chapitre de son ouvrage. A-t-il atteint ce but? C'est ce qu'on décidera. On a vu, par la table seule, combien cet ouvrage est salace! mais il le fallait pour produire l'effet attendu. Jugez-le, mes amis, et craignez de m'induire en erreur! L'ANTI-JUSTINE aura VII ou VIII parties comme celle-ci. FIN de la 1re partie. L'ANTI-JUSTINE, OU LES DELICES DE L'AMOUR Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem. Avec Figures. [Seconde Partie.] AU PALAIS-ROYAL Chez feue la Veuve GIROUARD, très-connue. 1798 Je suis parvenu au second volume de cet ouvrage, destiné à ranimer les maris blasés, auxquels leurs femmes n'inspirent plus rien. Tel est le but des nequices de cette excellente production! que le nom de Linguet rendra immortelle. L'ANTI-JUSTINE. Chapitre XXXIX Du fauteuil. Le dimanche arrivé, il y eut un joli dîner, qui fut servi dans mon magasin. J'y avais fait mettre, outre le lit et le vieux sofa, un 3me foutoir commode, que j'avais trouvé par hasard chez un serrurier de la rue de la Parcheminerie, qui l'avait acheté pour le fer et l'acier seulement, à l'inventaire de certain duc. J'en fis l'histoire à ma société: "Ce fauteuil, ou foutoir, se monte. Le serrurier le monta un jour, pour en voir le mécanisme. Il allait s'y asseoir, au 1er. La jeune femme très potelée de son vieux voisin Aupetit, le perruquier, arriva. La jolie voisine, essoufflée, se jeta sur le diable de fauteuil. Aussitôt elle fut saisie par les bras. Un ressort la troussa, et un autre lui écarta les cuisses. Un autre lui fit faire beau con; un troisième la fit osciller. -- Eh! qu'est-ce donc que ce machin-là? s'écriait-elle. -- Ma bonne foi si je le savais! répondit le serrurier; j'ai monté la machine pour la connaître; mais je vois que c'est celle avec laquelle le duc de Fronsac essayait les filles récalcitrantes, que des parents maladroits lui avaient vendues. Si vous voulez, ma voisine, je vais vous essayer? -- Allons donc! Est-ce qu'on viole jamais une femme malgré elle? Je mordrais... L'homme-de-forge se déculotte; se met sur elle. La traquenardée veut le mordre. Un ressort assez doux lui fait ouvrir la bouche, et, en l'angoissant un peu, la force à darder sa langue. Le suppôt de Vulcain profite de tout cela, et enfile la perruquière, qui ne put l'empêcher, ni même crier... L'opération faite, la machine se trouva au bout de ses rouleaux, et Mme Aupetit ne fut plus contenue. C'est alors qu'elle se mit à pleurasser, à criasser, comme si elle avait été au désespoir. -- Grand'bête! (lui dit le Cyclope) je vous ai trop bien opérée pour que vous ne deveniez pas grosse; vous aurez un enfant, que votre vieux jean-foutre ne vous aurait jamais fait. Mais il faut un peu de ruse. Dès aujourd'hui dites-lui que vous achevez une neuvaine à Saint Julien, qu'il vous travaille ç'te nuit, et que le Saint bénira ses travaux. Remuez du cul, quand il vous le mettra; dites-lui des foutaises, et, s'il déchargeote un peu, pâmez-vous, en disant qu'il vous inonde. Mme Aupetit s'en alla munie de ces instructions, qu'elle mit en pratique. Le fauteuil me fut prêté le lendemain. Le Cyclope, m'ayant vu passer, m'appela, me montra la machine, me la vanta, et me mit au fait de son usage. Elle me fut donnée à l'essai, et je la destinai aux bégueules, s'il nous en venait à nos orgies. Je remis à monter la machine quand il serait à-propos, afin de ne pas en éventer le secret. Nous nous y assîmes trois en dînant, Mme Poilsoyeux, une jolie chapelière de la rue Bordet ou Bordel, amenée par Traitdamour, et nommée Tendrelys; j'étais au milieu. In petto je réservais le fauteuil monté à la jolie Tendrelys, encore pucelle, quoique Traitdamour lui eût quelquefois déchargé entre cuisses; ou, si la chapelière était docile, à Rosemauve, ou à sa soeur Rosalbe la blonde, ou enfin à notre hôtesse Mme Brideconnin, que je voulais mettre de nos fêtes, ainsi que son mari, voulant le faire cocu en sa présence... Nous dînâmes bien, mais sans trop manger, ni trop boire. Nous avions d'ailleurs de la volaille, et toutes choses de facile digestion. On ne tardera pas à voir comment j'exécuterai tous mes projets. Chapitre XL Des cons rasés. En sortant de table, Traitdamour nous dit: -- Toute la semaine, il m'a roulé dans la tête de rendre le connin de Mme Conquette-Ingénue-Poilsoyeux ce qu'il doit être; c'est-à-dire, PUCEL; car je suis sûr que depuis huit jours qu'elle n'a foutu, il s'est rétréci en diable!... Brisemote, Cordaboyau, vits implacables, troussez-moi Minone et Conette; il ne serait pas séant qu'elles se troussassent elles-mêmes. On les troussa jusqu'au-dessus du nombril. Pas un poil! -- Je les ai rasées ce matin (dit Traitdamour), pour voir l'effet, avant de proposer la même chose à notre déesse. Vous voyez comme elles sont propres! Tout le corps l'est de même. Elles se sont baignées tous les jours depuis qu'elles savent que la belle fouteuse met tous les jours son con dans l'onde limpide et y plonge entier son corps appétissant. Elles m'ont assuré que, lorsqu'elles étaient en chaleur, l'eau fraîche dans laquelle trempaient leurs cons brûlants, leur donnait un plaisir presque fouteur... Mais voyez-moi ces cons-là? Ne dirait-on pas des connins de fillettes de 12 à 13 ans? On en convint. En conséquence, je priai ma fille de se laisser raser la motte. Elle se cacha le visage dans mon sein. Traitdamour aussitôt la renversa sur un foutoir, le con au grand jour. -- C'est pourtant dommage! (dit-il en le maniotant); la perruque en est superbe!... Je vais d'abord employer les ciseaux. Nous mettrons ce poil soyeux sous verre dans un cadre doré; ce seront de précieuses reliques. Il coupa. Ensuite il tira d'une jolie boîte une savonnette parfumée, et savonna longtemps le connin. Comme cette opération excitait Conquette, elle me pria d'appuyer mes lèvres sur sa bouche. Elle me dardota sa langue, pendant tout le temps qu'on fit la barbe à son con, et lorsqu'il fut rasé, on le lui lava d'eau-rose; on lui sécha les cuisses avec des linges doux, et Tendrelys mit le beau poil de la dépouille sous le verre à cadre. Puis le connin sans barbe fut livré à l'admiration de l'assemblée. Tout le monde, surtout les filles, jusqu'à la modeste Tendrelys, qui, disait-elle, n'était venue que pour voir, et rougissait de tout, le trouvaient si appétissant qu'elles demandèrent à le baiser, et qu'elles se jetèrent dessus. La jolie chapelière colla ses lèvres vermeilles sur le con rasé, et sa langue alla dans la fente exciter la volupté. Rosemauve, qui arrivait, vint sur elle comme une enragée, la débusqua, et gamahucha si vivement la déesse qu'elles émirent toutes deux. Les hommes eurent leur tour; ils sucèrent le connôt déchargeant, et le firent décharger encore... Pour moi, j'admirais, les deux mains plongées dans les tétins de Tendrelys, qui les avait charmants, et n'osait se défendre. -- Ah! quelle partie! me dit-elle. -- Tu ne vois rien! lui répondit Minone. En effet, Traitdamour, ayant fait retirer les gamahucheurs du con de Conquette-Ingénue, qu'ils ne quittaient pas, dit à ses camarades: -- Imitez-moi! Aussitôt tous les vits en érection furent à l'air. -- Allons! allons! au con! au con! Tendrelys baissait ses beaux yeux; mais Conquette, étendue sur le foutoir, la motte légèrement branlée par Rosemauve, soulevait la tête pour voir les vits. -- Laquelle enconnez-vous (me dit mon vigoureux secrétaire), laquelle enconnez-vous de la voluptueuse Conquette, de moi, ou de la pucelle Tendrelys? J'hésitais pour ma réponse, lorsque tout à coup j'entendis ma fille s'écrier faiblement: -- Le vit! le vit! Traitdamour se précipita sous elle, la prit sur son dos, me la présentant oscillante: -- Enconnez (me dit-il), la fouteuse fait beau con... J'enfonçai. Je bandais si roide que je la fis crier en la perforant. Mais elle foutit aussitôt, en me disant: -- Bon... (haussant le cul), bon!... Ah! que tu bandes bien!.... Fous... fou----fourgonne... Fou----fourrage, cher pap... je déch----a----a---- (Traitdamour la secouait) arge... Je déchargeais aussi. Son délicieux connin me pinçait. La déesse m'enivrait. Traitdamour la faisait osciller, comme le Corax de Pétrone son maître Eumolpe... Cependant Brisemote avait mis sur son dos Rosemauve nue, que foutait Cordaboyau sans chemise. Les 2 petites enragées Minone et Conette, nues comme la main, venaient de mettre Tendrelys nue comme elles, et la tenaient entre elles, se frottant le con sur ses cuisses d'albâtre, en lui chatouillant l'une la motte, l'autre le trou du cul. Elles déchargèrent toutes trois avec les 2 foutues: "Grand Dieu! s'écria la jolie chapelière, comme vous savez être heureux"! Chapitre XLI Vit inattendu. En ce moment, l'on entendit frapper des mains à la porte. (C'était un signal que j'avais donné.) J'avais déconné; j'allai ouvrir. C'était le Cyclope. Il ne devait pas entrer; mais il me poussa un homme qui avait les yeux bandés et les mains liées derrière le dos. Il était couvert d'un grand surtout de laine blanche, sous lequel il était nu sans chemise. Je le pris par le corps; je le poussai vers le foutoir à Fronsac, sur lequel Traitdamour jeta sa soeur; on le monta, et, dès que l'enfant fut prise, on fit tomber sur elle, en lui arrachant son couvre-tout, l'inconnu que je venais d'introduire. Quand il fut nu, son gros vit épouvanta tout le monde, et il se fit un Ah! universel. Conquette le reconnut, et pâlit. (Observez que tous pouvaient parler, excepté Conquette et moi.) Minone (la traquenardée) fut la seule que ce vit, qui ne le cédait qu'à Foutamort, n'effraya pas. Elle le saisit courageusement, et lui mit la tête entre les lèvres de son con, en lui disant: -- Pousse, bougre. Il estocada, comme un bélier de siège. Mais il ne pénétrait pas. -- Soulève du cul, putain! lui dit le brutal; je suis trop haut. Minone souleva, le vit trouva l'ouverture; et, quoiqu'elle ne fût que la moitié de qu'il lui fallait, il la força. Minone souffrait le martyre. La sueur et les larmes sillonnaient ses joues. Enfin, le gros vit, parvenu au fond, injecta son baume de vie, et adoucit, en les onctuant, les parois dilacérées. Minone, qui venait de clamer de douleur, s'exclama de plaisir: -- Ahh! Ahh!... il m'inonde!... je fous... je décharge... je me pâme! Et la jolie petite remuait du cul comme une garce, foutue par un moine au bordel. Nous étions d'abord tous stupéfaits d'admiration! Puis nous bandâmes tous comme des enragés. Brisemote le mit en levrette à Rosemauve; Cordaboyau enfila Conette par-devant; Traitdamour consulta mes yeux, en me désignant Conquette ou Tendrelys: je permis la première, ajoutant fort bas: -- Il fout ta soeur; fous-moi sa femme. -- C'est Vitnègre! Et il se jeta comme un furieux sur l'épouse du jean-foutre, si brutalement enconnée qu'elle en cria... Mais elle déchargea presque aussitôt; ce qui changea sa douleur en plaisir. -- Toute femme qui décharge comme ça (balbutiait Traitdamour), en la fourgonnant, est bonne; il n'y a que celles qui ne déchargent jamais, qui sont méchantes. Cependant Vitnègre refoutait, sans déconner, et Minone redéchargeait; Rosemauve hennissait sous Brisemote; Conette sous Cordaboyau; Tendrelys, émue, appuyée sur mon épaule, me présentait sa jolie bouche, et Conquette, martyrisée par Traitdamour, pleurant, culetant, émettant, criotant de douleur et de volupté, enviait encore les tourments de Minone. Son fouteur me cria: -- Sacredieu! pommadez donc... et dépucelez-moi... cette garce de Tendrelys! L'aimable enfant me lança un long regard, en se mettant la main devant le con, comme pour le défendre. Nous avions là du beurre frais; j'onctuai le connin, renversai la vierge sur un foutoir, malgré ses tendres prières, et mon vit pénétra. -- Au moins, me disait-elle, en le sentant entrer, vous ne me livrerez pas au bourreau de Minone, ni à ces au...tres-là!... -- Remue du cul, bougresse! (lui cria l'impitoyable Traitdamour) Est-ce comme ça qu'on fout? Regarde ma belle, et ces... 3 autres... garces!... Tiens... putain... pucelle... nous dé...char...geons!... La pauvre petite, à cette exhortation énergique, gigota sous moi comme elle put. Je pénétrais doucement; je caressais, dardotant la langue, disotant des tendresses... -- Vous la menez trop bellement (s'écria Traitdamour), fourragez comme moi, ou comme ce cocu, que voilà sur le fauteuil!... Tenez! il mord les tétons qu'il ne saurait patiner!... Ne va pas lui faire trop de mal, bougre! c'est... ma soeur, et... je t'assommerais... Je dé...charge... -- Ah! qu'il me dévore (s'écria Minone); pourvu qu'il... me foute!... Je décha...arge... -- Je fous!... je décha...arge! s'écria Rosemauve. -- Je décharge!... cria Conette. -- Ahhahah! fit Conquette... Pour Tendrelys, dont j'atteignais le fond du connin, elle dit: -- Ze suis dépucelée! ze déçarze!... Que dira maman? -- Elle ne le verra pas, jolie fouteuse. Le vit de mon maître conserve les pucelages (cria Traitdamour). En ce moment, Vitnègre déconna Minone trop fatiguée. On lui pommada Rosemauve, que Brisemote déconnait (car les tourments de la courageuse Minone avaient épouvanté toutes nos belles. Le vit de mulet l'enconna plus vite; mais elle n'en souffrit pas moins: Elle pleura, sanglota, et enfin... déchargea.... Elle fut ramonée 3 fois sans déconner. Minone l'avait été quatre. C'était le tour de Conette. Elle fut pommadée avec plus de soin que Rosemauve; et cependant elle jeta les hauts cris. Si elle n'avait pas été sur le Fronsac, elle aurait désarçonné son bourreau... Elle déchargea enfin, et les plaisirs succédèrent. Mais on ne s'attendait pas à l'effet qu'ils produisirent! C'est que Mme Poilsoyeux eut envie du gros vit de son mari. Elle demanda tout bas et voulait qu'on la mît sur le Fronsac, au moment où Vitnègre déconna la Conette, quoique celle-ci eût le con aussi barbouillé de sang que de foutre. Mais Traitdamour, la happant, la renversant et l'enconnant, lui dit tout bas: -- Garce! je suis jaloux de toi pour mon maître et pour moi; je t'étranglerais plutôt que de te laisser foutre par ton cocu de mari en ma présence. -- Pardon! Vit divin! leurs douleurs m'ont tentée! Fourgonne-moi, à m'en ôter l'envie! Car je ne compte plus que sur toi; voilà M. Linguet qui donne son fou...outre... je décha...arge... à la... sacrée ma...âtine... de Tendrelys... -- Ah! reine des putains, tu es jalouse! Tiens, tiens, voilà des coups de vit dans ton connin-dieu... Ahh!... Ahh!... ze redéza...arze! murmura-t-elle... Cependant, que faisait Vitnègre? Il prenait du repos et quelques liqueurs brûlantes, tout en patinant les tétons de ses 3 foutues, qui le branlaient pour s'amuser. Tout à coup Mlle Linguet dit à son foutant: "Mais ce bougre est un autre Guae! il faut qu'il me restaure! Qu'on lui lave bien le vit à l'eau-rose; je veux le téter, comme faisait Mme Guae le gros vit de son mari! Nous ne pouvions nous refuser à une proposition aussi raisonnable. On lava le vit monstrueux; deux des trois garces soutinrent Vitnègre de chaque côté, en lui livrant leurs tétons; Rosemauve lui chatouilla les couilles et le trou du cul; Traitdamour se coucha par terre sur le dos sous ma fille à genoux qu'il enconna; Mlle Linguet baisa 5 à 6 fois le gros vit, tout en ripostant aux saccades de son fouteur. Prête à décharger, elle emboucha, faisant aller et venir l'énorme vit du bord de ses lèvres de corail, au fond de son gosier satiné. En déchargeant, elle mordit... Telle la voluptueuse femelle du serpent géant écrase dans sa gueule la tête de son mâle trop amoureux... Vitnègre, mordu, se récria de volupté! Il émit un torrent, quoiqu'il eût déjà foutu 9 coups, et Mlle Linguet fut inondée de foutre au même instant dans la bouche et dans le con... Elle voulut téter 3 fois Vitnègre, que les 3 garces qui le chatouillaient, secouaient tellement qu'il rebandait aussitôt. D'ailleurs, il s'écriait à tout moment: -- Ma Femme n'est pas morte! c'est elle que j'embouche; je le sens au velouté de son palais!... Et cette idée le faisait décharger à flots... Mlle Linguet fut obligée de cesser ce jeu, dans lequel on voulait faire expirer Vitnègre; mais Mlle Conquette-Linguet avait sucé le double vit avec tant de fureur qu'elle avait la bouche tout en feu... On obligea Vitnègre d'enculer ses 3 foutues; ce qui lui fit 15 copieuses décharges, parce que les belles de relais lui manipulaient impitoyablement les couilles... Les excessives douleurs de l'enculage n'en effrayèrent aucune; au contraire, les tourments de la patiente excitaient leur passion, et elles la pinçaient pour la forcer à s'agiter, et à faciliter ainsi l'intromission du gros vit dans son cul. Vitnègre n'en pouvait plus. Ce fut précisément ce qui excita Mlle Linguet. Elle exigea de nous qu'il déchargeât une 16ème fois, et que ce fût dans son cul, à elle! Traitdamour se vit obligé de céder. On manipula Vitnègre, on lui chatouilla les couilles; on l'assura qu'il allait enculer Mlle Linguet sa femme. A ce nom, il érectionna. On lui fit sucer les tétons de Rosemauve, comme ceux de Conquette. Il banda roide. Aussitôt on coucha l'enculande sur le ventre; on lui beurra la rosette, puis le rectum avec une grosse canule; Tendrelys prit délicatement le gros vit avec ses doigts de rose pour le diriger dans l'anus, tandis que Minone et Conette écartaient chacune une fesse. Rosemauve, prête à manipuler les couilles, frayait avec son doigt beurré l'entrée du vit-monstre dans le cul de la patiente... Enfin, il pénétra, en déchirant... Mme Vitnègre poussait des cris sourds, que son mari crut reconnaître. Ce qui lui fit redoubler ses estocades. Alors l'enculée jeta un cri... qui logea le monstre tout entier dans son gros boyau... Vitnègre, ne doutant presque plus, y fourgonnait avec rage... Il ne décula pas après avoir déchargé; Rosemauve lui chatouillait les couilles, l'anus, et s'appuyant du con sur son cul, foutait avec lui, en poussant à chaque fois... Vitnègre déchargea 3 ondées de foutre dans les boyaux de sa femme; ce qui faisait 18 pour la séance. Il tomba en faiblesse à la dernière... On le tira du cul de Mlle Linguet, qui alla se le mettre dans l'eau fraîche, pour se le raffermir. On jeta Vitnègre dans une auge d'eau de puits qui était dans la cour, pour lui faire reprendre ses sens. Le Cyclope parut. On porta Vitnègre dans son fiacre. Il le remena. -- Sais-tu qui j'ai foutu (lui disait-il en route) dans ton sacré Fronsac?... Ah! comme elle fout!... Elle a bien appris, depuis qu'elle m'a quitté!... Je l'ai foutue 16 fois, tant en con, qu'en bouche et en cul... Le serrurier, après avoir remis Vitnègre à sa filleule, s'évada. Vitnègre rencontra le serrurier quelques mois après. -- Veux-tu m'y remener? lui dit-il. -- C'est l'impossible, répondit le Cyclope; tout est disparu. -- Ah! la garce! si je la retenais, je passerais le reste de ma vie dans son cul et dans son con. Ainsi finit cette aventure. Chapitre XLII La jalousie de deux connins. Nous restions tous sept émerveillés des 16 enconnades-embouchades-enculades de Vitnègre! quand Traitdamour, regardant la jolie chapelière, nue comme toutes les autres, lui dit: -- Te voilà dépucelée, mignonne, et mon divin maître a cueilli ta rose! C'est un grand honneur et bonheur à toi et à moi! Je te regarde à présent comme les dévots regardent leur Vierge Marie, qui, foutue par l'ange Gabriel, puis par le Saint-Esprit, dont elle fut la putain, n'en était que plus vierge. Te voilà consacrée au vit de mon maître; conserve-lui religieusement ton connin, ou ne le prête qu'avec sa permission... A présent, céleste mignonne, votre jolie motte va être savonnée et rasée! Tendrelys objecta sa mère, qui toutes les nuits lui visitait le con pour voir si l'on ne touchait pas à son pucelage, déjà vendu, et qu'on devait bientôt livrer. -- Je m'en fous, déesse, répondit Traitdamour, en me voyant monter le Fronsac; on lui dira tout. Et il la poussa sur le fauteuil, qui l'étreignit. Il la savonna, et prépara son rasoir. En ce moment, arriva Mlle Conquette-Ingénue-Linguet, qui venait de se laver le cul à l'eau de puits, pour se le raffermir. -- On va donc aussi raser le con de mademoiselle? (dit-elle avec un peu d'humeur) -- Ah! ma belle déesse! empêchez-en, à cause de maman, qui ne saura ce que ça veut dire! s'écria Tendrelys suppliante, en lui baisant une main, qu'elle était parvenue à saisir. -- Non, mademoiselle, je ne m'y opposerai pas! Votre con rasé laissera mieux voir à votre maman que mon infidèle vous a déflorée... Nous verrons aussi, après qu'on lui aura enlevé cette charmante perruque, si votre bijou, mademoiselle, l'emporte sur le mien, tout fatigué qu'il est! -- Ah! mon adorable amie! il n'est pas besoin de cela. Rien ne vous égaler. -- Allons, monsieur, rasez donc! Et je crois bien qu'après, mon infidèle amant qui a dépucelé cette jolie conque vous permettra bien de vous y loger! Traitdamour, tout en coupant la belle Toison-d'Or, représentait à Conquette-Ingénue que tous les pucelages m'étaient dévolus, et que j'étais obligé en conscience de les prendre, sous peine de mortifier la néophyte. Conquette ne savait que répondre; mais elle bouda. Je m'approchai d'elle, et, comme elle était nue, je lui baisai les tétons, et lui mit mon vit en main. -- Vous aimeriez mieux qu'il fût entre les jolis doigts de Tendrelys! -- Non. Personne ne me fait bander comme vous; mais, après vous, Tendrelys. On lui rase la motte; il le faut bien, pour comparer vos cons célestes, abstraction faite de la fatigue du vôtre. On les gamahuchera d'abord. Ensuite je verrai auquel des deux mon vit-sultan donnera le mouchoir. Le mieux rempucelé l'obtiendra. Mlle Conquette fit une petite grimace de jolie femme sûre d'elle-même, et se tût. Le rasemotte acheva. Le connin de Tendrelys fut lavé à l'eau-rose; Mlle Linguet fit rafraîchir le sien, et les deux cons furent comparés... Ils furent désintéressément trouvés égaux. Ce qui était bien donner la supériorité au connin de la belle Conquette, déjà tant foutue... Ce fut l'avis général. Rosemauve, Minone vinrent se comparer. Mais leurs cons étaient loin d'avoir cette physionomie virginale de ceux de ma fille et de Tendrelys. -- Vos cons sont aimables (leur dit Traitdamour), cent fois au-dessus des connasses de putains; mais ils ne peuvent se comparer à ces deux connins de houris. Conquette se pavana. Mais, généreuse comme elle l'était, elle prit vite son parti. -- Puisque nos cons sont égaux, me dit-elle, en baisant Tendrelys sur la bouche, lui patinant le con, redépucelez-la, et que votre lieutenant me refoute, s'il en a la force. Elle n'avait pas achevé la dernière syllabe, qu'elle était enconnée. -- Fous-la! me cria-t-elle, fous la garce! J'enfilai la jolie nymphe... Mais, prête à décharger, Mlle Conquette-Ingénue entra en fureur érotique (et je compris par là comment les héros de Dsds, sur le point d'émettre, deviennent cruels); l'enconnée s'écriait: -- Foutez-moi tous cette putain de Tendrelys!... Brisemote! ne fais qu'un trou de son cul et de son con!... Elle déchargea; et, un peu calmée, elle se mit à dire: -- Pardon! pardon, ma petite soeur!... c'est le foutre... qui me portait à la tête, et me rendait cruelle!... Qu'on lui conserve son joli con... toujours pucel... pour les plaisirs de mon... papa-fouteur... c'est bien assez.. du mien qui est... martyrisé!... Allons pousse... fous... ne me ménage plus! (dit-elle à son bourreau)... Et elle se mit à coupdeculer plus fort que jamais. Ce qui fit re-enconner Rosemauve et Conette, dont les culs étaient moins malades que celui de Minone: Cette bonne soeur de Traitdamour vint me chatouiller les couilles, et j'émis. Chapitre XLIII Minone et Conette jadis dépucelées. Vieille. Cette scène achevée, il y eut du repos. Nous avions légèrement dîné, exprès pour faire collation. Nous mangeâmes des fraises au vin muscat, avec des pains mollets du Pont-Michel. Puis nous prîmes d'excellent café, fait par Traitdamour, et nous goûtâmes aux liqueurs. Ensuite, nous jasâmes... -- Mon ami (me dit Conquette-Ingénue, en montrant Minone et Conette), vous avez eu ces deux jolies compagnes, ainsi que Rosemauve, et vous venez de dépuceler Tendrelys sous nos yeux: Faites-nous le récit de votre première fois, et dites-nous comment vous les avez séduites? -- Ah! oui, oui! s'écrièrent Tendrelys, Rosemauve, et tout le monde. -- Je ferai ce récit très volontiers; mais à condition qu'on ira chercher Mme Brideconnin notre hôtesse, pour qu'elle y assiste: Nous commencerons à l'apprivoiser par là! Mes trois sacripants, pour qui elle était un morceau nouveau, ne demandèrent pas mieux. Ils l'enlevèrent à son mari, qui, en ce moment, lui tenait les tétons; sans même daigner lui répondre, l'assirent à cru sur les mains jointes de deux, tandis que le 3ème la soutenait par-derrière, et l'apportèrent ainsi moitié troussée et dététonnée. On la posa sur le Fronsac, et, si je n'en avais empêché, on lui faisait une histoire, au lieu d'écouter la mienne. Lorsque tout fut tranquille, je commençai: Je m'étais mis en pension chez la belle-mère de Traitdamour, blanchisseuse, rue d'Ablon, pendant que ma femme courait la province avec un galant; le même qui la foutait avec tant de passion qu'il se mettait dans sa chemise pour la palper et l'enconner mieux. Traitdamour m'apportait à dîner les jours ouvrables; mais j'allais dîner à la maison de la bonne mère Wallon les dimanches et fêtes. Un jour que nous y allions ensemble, il me pria de montrer à écrire à sa petite soeur! Je le voulus bien. En montrant à Minone, j'avais souvent sous les yeux ses tétons naissants, blancs comme lys... [Faites entrer mon mari; je suis bien aise qu'il ait sa part de cette histoire-là! interrompit la Brideconnin. Aussitôt Traitdamour, sur un signe de mes yeux, l'alla chercher; tandis que, sur un autre signe, Brisemote et Cordaboyau prirent l'un la motte, l'autre les tétons de la dame. Elle était ainsi rayonnante, entre deux mâles, quand son mari parut. Brideconnin fut d'abord ébaubi; puis il n'en fit ni un ni deux, il alla s'emparer du con de Rosemauve, et des tétons de Conette; Traitdamour prit le con et les tétons de sa soeur. Quant à moi, je fis asseoir Conquette et Tendrelys l'une sur l'autre entre mes jambes, laissant de temps en temps tomber mes mains sur la gorge de ma fille, ou de sa jolie rivale... Je repris:] Je dis à Traitdamour, en particulier: -- Il ne faut plus que je montre à la petite; elle me fait trop bander, et je la foutrais au premier jour. -- Ah! mon cher maître! quel bonheur pour elle et pour moi, si vous la dépuceliez! La pauvre orpheline! elle n'a aucun plaisir! (c'est que leur mère était morte, et que le père, remarié à une bonne amie de feu son épouse, à l'instante prière de celle-ci, avait mourant lui-même, laissé pour belle-mère aux deux orphelins la bonne amie de leur tendre mère) Je répondis que cela était bien difficile!... que la petite soeur parlerait. -- Non, je vous en réponds. Minone a déjà des désirs pour vous. Elle m'a dit qu'elle aimait bien quand vous lui touchiez la chose par-dessus la jupe. Ce discours m'enhardit. Un dimanche que j'étais seul avec Minone, à la faire écrire, je ne pus résister à l'envie de lui baiser sa jolie bouche; puis un tétin; et de là ma main descendit rapidement à son connichon sans poil. J'éprouvai une érection terrible! Mon vit me gênait. Je me déboutonnai. Il s'élança au dehors. -- Qu'est-ce que c'est que ça? me dit la petite. -- Un vit, mon enfant. -- A quoi cela sert-il? -- A mettre dans un con. -- Mais j'ai un connin, à ce que dit mon frère, et ma belle-mère a une connasse. Depuis qu'il est grand, et qu'il a ce qu'il nomme du foutre, il met son engin dans la connasse de ma belle-mère, que ça fait trémousser et crioter... Il a voulu me le fourrer, à moi: mais j'ai le connin trop étroit, ou il a l'engin trop gros: jamais il n'a pu... Ma belle-mère l'a surpris, et elle l'a bien grondé! Il lui a dit: 'Allons, foutez-nous la paix; venez que je vous enconne, vieille truande: car je ne saurais m'en passer, en ce moment.' Et elle s'est aussitôt renversée sur son lit, en se troussant; il l'a, ce qu'il appelle foutue... Oh! comme elle gigotait! comme elle jurait des b. et des f.! comme elle était contente!... Et il me disait: 'Vois, Minone, comme c'est bon! Comme la vieille garce se démène, en supant le bâton de sucre d'orge... Montre-moi ton petit connin, que je décharge à ton intention....' Ce récit de Minone acheva de me faire bander outre mesure. Je demandai à la petite, s'il y avait du beurre à la maison? Elle m'en donna. J'allais la beurrer, quand la belle-mère, bonne femme au possible, rentra, ayant oublié son éventail. Elle vit mon trouble, et la rougeur de la petite. Elle me dit: -- Gage que vous allez la tourmenter?... Ça n'est pas mûre. Venez. La vieille m'entraîna sur le pied de son lit, se troussa, me tira sur elle, et m'engloutit, malgré ma défense... Pour sauver le pucelage de sa belle-fille, elle me retint une heure à connailler. Je ne déchargeai cependant qu'une fois, contre la vieille une dizaine; car je m'aperçus qu'elle m'aimait. Ensuite elle s'en alla, sans laver, en disant: -- J'en marche mieux, la charnière graissée. Dès qu'elle fut partie, je fis mettre Minone, qui avait tout vu, à la fenêtre; je la troussai au-dessus des reins; je lui beurrai le connin, et je rebandai roide. Je dis à la petite, en la commençant, de se cambrer la taille, pour mettre son petit trou bien à la portée du vit qui l'allait percer! Elle le présenta de son mieux. Avec des peines infinies, à l'aide des douloureuses oscillations de son joli cul, et parce que la décharge était retardée par le dégoût que m'avait causé le con gris de la vieille, je parvins en levrette jusque au fond; car je sentis sa céleste petite matrice me pincer... L'enfant s'agitait par mes ordres, mais sans décharger. Son frère arriva dans ce moment. Il fut transporté de joie... -- Ah! vous la dépucelez! quel honneur et quel bonheur, pour elle et pour moi!... Décharge-t-elle?... As-tu du plaisir, ma petite soeur? -- Elle ne décharge pas (répondis-je), la chère mignonne; elle souffre; mais c'est avec un courage!... Vois ce tortillonnement de croupion... Traitdamour, touché, glissa une main sous le ventre de la petite, et lui chatouilla le haut de la fente de sa mottinette imberbe... Les yeux de l'enfant se vitrèrent; elle se roidit, et, tournant sa jolie bouche de mon côté, elle me darda sa petite langue, déchargea pour la première fois, et se pâma... Je déchargeai comme elle; je n'avais jamais eu tant de plaisir... Quand j'eus déconné, son frère me demanda, si j'en étais jaloux? -- Oui, de tout autre que de toi -- Eh bien, votre foutre va servir de pommade à son joli connichet. Cependant Minone voulut pisser. Son frère la renversa sur le dos, au pied du lit, et l'enconna vigoureusement, malgré la grosseur de son membre. La petite cria. -- Remue du cul, et décharge avec délices, pauvre orpheline, lui disait-il, en la saccadant; tu es enconnée avec amour. La petite déchargea 3 fois; mais elle n'en pouvait plus... Il me lava, et je la re-enconnai... J'eus encore plus de plaisir, parce que la petite avait acquis de l'usage et que le gros vit de son frère avait frayé la route... Depuis ce jour-là, nous foutîmes Minone tous les dimanches et fêtes. La belle-mère s'en aperçut pour moi; mais elle ne dit mot. Enfin un jour Traitdamour me demanda, si je voudrais aussi montrer à écrire à Conette, sa maîtresse pour le mariage, depuis que la mère de Tendrelys, qui craignait un dépucellement, lui avait absolument ôté toute espérance. -- Soit (lui répondis-je). Je montrai donc à Conette. Au bout de deux mois, cette jeune fille étant un jour à la fenêtre, fort penchée en-dehors, et montrant une jambe fine, que mes yeux dévoraient, Minone, qui prenait son exemple d'écriture, le remarqua. Je lui tenais les tétins, et la priais de me prendre les couilles. Elle me quitte; va vers Connète; lui dit tout bas: -- Laisse-toi faire... la trousse; me mène sur elle; lui beurre le con et à moi le vit; lui dit: -- Cambre-toi, ma fille... Et à moi: -- Enfilez juste; vous voilà dedans... Conette se cambra, et suivit toutes les indications de son amie. De sorte que, quoique la pucelle fût très étroite, je pénétrais. Traitdamour arriva. Il nous fit ôter de la fenêtre; se coucha sur le ventre au pied du lit; fit étendre sa maîtresse sur son dos, cul sur cul. Il me dit d'enconner, le vit dirigé par la main de sa soeur; et, à chaque saccade que je donnais, il me repoussait d'un coup de son cul le con de sa maîtresse, à me faire avancer d'un pouce. Conette éprouvait des souffrances inouïes... Mais, étant parvenu au fond, par un violent coup de croupion de Traitdamour, qui ne donna plus que de petits coups de trot de cheval, Conette clignota de l'oeil, et bientôt émit avec d'ineffables délices... Je croyais que Traitdamour allait se jeter sur elle et l'enconner tout chaud! -- Non (me dit-il); c'est ma future; si j'avais le bonheur qu'elle me fît un petit de vous, cela ennoblirait ma race. Et il foutit sa soeur, pendant que je refoutais sa maîtresse. Aussi depuis ai-je partagé avec lui ce que j'avais de plus précieux. Chapitre XLIV Du bouquet de fouterie. -- Il le mérite! Il le mérite! (s'écrièrent tous les hommes, et surtout Brideconnin, qui patinait à deux mains le con de Rosemauve, tandis que Brisemote et Cordaboyau maniaient l'un le con, l'autre les tétons de sa femme...) Mon récit faisait bander tous mes drôles comme des carmes, malgré les fatigues de la journée. Les belles, même celles éconnées par Vitnègre, étaient en rut. -- Comme vous avez su les rendre aimables! (me dit Conquette, en me dardant sa langue). -- Ah oui! (ajouta Tendrelys, en me baisant de même).... En cet instant, Mme Brideconnin était tiraillée par Brisemote et Cordaboyau, qui tous deux la voulaient enfiler à la fois. -- Je n'ai qu'un chose, mes chers amis! si j'en avais deux, ils seraient bien à votre service; mais l'un après l'autre... Elle fut empalée par tous deux, Cordaboyau en con, Brisemote en cul. Brideconnin s'écrie: -- On enconne, on encule ma femme! Moi, je fous celle-ci. Et il renverse Rosemauve, qu'il empale. Traitdamour, le plus furieux des ribauds, saisit Conquette. Je crus qu'il l'allait enconner. Point! Il se coucha sur le dos, la tira sur son vit, tenue par-dessous les bras par Conette et Minone; elle se baissait avec lenteur sur le vit bandant dirigé par la main de Tendrelys, Conquette s'enculant ainsi elle-même par le seul poids de son beau corps. Lorsque le gros vit fut enfoncé jusqu'à la garde, Traitdamour me dit: -- Allons! le plus beau des cons vous appelle.... Je me précipitai dans le bijou de ma fille, la jolie Tendrelys me dirigeant le vit. Mme Brideconnin, putain comme personne, puisqu'à cet instant, on lui bourrait les 2 trous, fit 3 signes de croix. On lui demanda ce qu'elle avait: -- On me fout devant mon mari; mais je suis sur le fauteuil à ressort, qui m'empêche de me défendre. Mon mari, voyant que je le fais cocu, me fait cocuette; c'est dans l'ordre. Mais notre maître, fout... enconne sa fille enculée! -- Sa fille?... sa fille!... (s'écria-t-on 5 fois). -- Oui, sa fille (balbutia Rosemauve, qui déchargeait sous Brideconnin). Après?... -- Ah! dirent les 4 fouteurs et les 4 fouteuses, ceci nous met en rage de vit.... en rage de con... et nous foutrons jusqu'à extinction de forces. Et les enconneurs, les enconnées; les enculeurs, les enculées, s'agitaient à qui mieux, dessus, dessous, comme des diables et des diablesses dans un bénitier. Tendrelys me chatouillait les couilles et celles de Traitdamour; Minone celles de Brisemote et de Cordaboyau; Conette celles de Brideconnin, et fourrait son index dans le trou du cul de Rosemauve. Le fouteur, qui n'était pas accoutumé à ce raffinement, se récriait de volupté: -- Ah que vous foutez bien ici! (disait-il en déchargeant). On ne fait que connailler ailleurs. -- Oh! vous avez bien raison, mon mari! (lui répondit sa femme en déchargeant aussi), oncques je ne fus ramonée comme je le suis en ce moment, par les deux vits qui vous plantent chacun une corne; l'un dans mon con, l'autre dans mon cul. Conquette, remarquant que j'allais mieux lorsque Tendrelys me chatouillait les couilles, l'en remercia tendrement: -- Chère amie!... ma main en fera... autant à ton fouteur... quand tu seras enconnée... Et vous, ma chère hôtesse, vous êtes donc bien foutue!... Ce joli mot, foutue, avait tant de grâces dans la belle bouche de Conquette que je l'allais refourgonner, si Traitdamour, qui la déculait et qui allait laver, ne m'avait pas prié instamment de la lui laisser enconner... Mais j'étais trop ému pour rester spectateur; j'ordonnai à Tendrelys de me faire beau con! Minone et Conette la renversèrent sur le dos et lui écartèrent les cuisses. Ma fille, avant d'être enconnée par son fouteur, voulut insérer mon vit; elle baisa la patiente sur la bouche, en lui disant: -- Tendrelys! remue du cul, et donne bien du plaisir à mon père! Et, comme elle avait remarqué que le mot foutue m'avait fait beaucoup d'impression, dans sa bouche, elle s'écria, tout en secondant son enconneur: -- Fou...ou... outre!... Sacré vit!... perce-moi... déchire-moi le connot!... mon père! poignarde... estropie ta Tendrelys!... ze décha... arge!... -- Ah! cette femme si modeste, s'écria la Brideconnin, comme elle fout!... Ce fut le bouquet. On alla souper. Chapitre XLV Souper d'adieux; grâces que dit Mme Vitnègre. On soupa. Les tétons étaient couverts; les propos furent décents..... -- Mais, me dit Minone, on dit que vous avez eu 8 jolies femmes connues, et on les nomme! -- Oh! interrompit Conquette, ne faites plus lire de ces histoires-là. La journée de volupté est finie, et nous sommes à présent des personnes ordinaires. -- Il faut donc les remettre, répondit Traitdamour, pour une interruption de séance. Comme on se disposait à sortir, et qu'il n'y avait plus de danger de nous faire bandocher, on me pria d'exiger que nos 6 cons et nos 12 tétons fussent mis à l'air, et baisés à discrétion pour les adieux! J'y consentis. Aussitôt Conquette, Tendrelys, Rosemauve, Minone, Conette et la Brideconnin, furent défichutées, troussées et renversées sur les foutoirs par les 4 dernières, qui se défichutèrent, se troussèrent et se renversèrent elles-mêmes. On leur lécha le con; les 5 hommes sucèrent les 12 tétons. Les belles prirent, décalottèrent et baisèrent les 5 vits, embouchèrent seulement le mien, en disant: -- Vit incomparable... adieu... pour huit jours... On allait sortir, quand on vit la belle épouse de Vitnègre se prosterner toute dététonnée, en s'écriant: -- Sainte et jolie Vierge Marie; que Panthère branlait, gamahuchait, enculait, entétonnait, embouchait, et qu'il enconna enfin, une nuit, à côté du cornard endormi, le bon Saint Joseph; duquel cocufiage provint le doux Jésus, ce bon fouteur de la putain publique, la belle Madeleine, marquise de Béthanie, dont le vagabond Jésus était en outre le souteneur, autrement le maquereau, lequel, au grand regret de la sainte garce, enculait encore Saint Jean, son giton. Sainte et jolie Marie, vierge comme moi, nous vous remercions de cette heureuse journée de fouterie. Faites-nous la grâce, par les mérites de votre fils, d'en avoir une pareille dimanche prochain!... Et vous, Sainte Madeleine, que foutait l'abbé Jésus, ainsi que Jean l'enculé, obtenez-moi la grâce de foutre autant que vous, soit en con, soit en cul, 15 ou 20 fois par jour, sans être épuisée, mais toujours déchargeant... Vous foutiez avec des Pharisiens, avec Hérode, et même avec Ponce-Pilate, pour avoir de quoi nourrir le gourgandin Jésus, votre greluchon, et les vagabonds qui lui servaient de Chouans. Obtenez-moi de votre maquereau Jésus, qui, étant dieu, a sans doute quelque pouvoir, d'avoir, sous peu, ce riche entreteneur, qui est un jour descendu de carrosse bandant à mon intention, comme je revenais de chez mon amie Mme Congrêlé; à celle fin qu'au moyen de l'argent que je gagnerai, à votre imitation, avec mon con, mon cul, mes tétons et ma langue dardée, je puisse soulager mon digne père dans sa vieillesse; non seulement en foutant avec lui, pour lui donner le plaisir, mais en me laissant vendre, comme la pieuse fille d'Eresictton le famélique, ou la pieuse Ocyrhoé, fille du centaure Chiron, qui toutes deux devinrent cavales, c'est-à-dire montures d'hommes ou saintes putains!... Modèle des maquereaux, doux Jésus! fouteur acharné, greluchon complaisant de la brûlante et exemplaire putain Madeleine, qui était si amoureuse de votre vit divin et de vos sacrées couilles, maintenez, par votre toute puissance, mon connin toujours étroit et satiné, mes tétons toujours fermes, ma peau, mon cul, mes fesses, mes bras, mes mains, mon cou, mes épaules, mon dos ou mes arrière-tétons, toujours blancs, mes reins toujours élastiques; les vits de mes amants, celui de mon père compris, toujours roides, leurs couilles toujours pleines; car vous teniez en cela du saint roi David, si fort suivant le coeur de Dieu, parce qu'il était le premier fouteur de son temps!... Faites, ô Jésus! que mes hauts talons, qui me prêtent tant de grâces, et font bander tant de monde, ne me donnent jamais de cors aux pieds, mais que ces pieds tentatifs restent toujours foutatifs, comme ils le sont!... Amen! -- Amen! s'écria toute la société, vits et cons. Tout le monde sortit édifié de la piété éclairée de ma fille, et, en s'en allant, on disait: -- Voilà ce qui s'appelle connaître la vraie religion, et prier Dieu comme il convient, en lui demandant des choses raisonnables! Oh! c'est une fille exemplaire! Chapitre XLVI Première négociation du con de ma fille. Le surlendemain, quand je vis Conquette (que j'avais évitée le lundi), je la trouvai coiffée en battant-l'oeil; ce qui, avec ses grands yeux à longs cils, la rendait charmante... Elle avait des souliers de coutil de soie neufs, qu'elle essayait. Je me jetai à ses genoux, en lui disant: -- Conquette, ton pied est le mieux fait possible, mais il est un peu grand, et ce soulier bien pointu, ces talons minces, très élevés, le font paraître plus petit de moitié. Il est divin!... et je bande... comme tu vois!... -- Mon cher papa, comme je sais à quel point vous m'adorez, j'ai voulu consacrer cette chaussure, avant de vous la prêter pour orner votre cheminée... Voici les blancs d'hier, avec lesquels j'ai tant été... ce que vous savez... Voyez la jolie forme que leur a donnée mon pied! Ils sont plus voluptueux qu'avant d'avoir été mis... Je flairai avidement le dedans de ces divins souliers: -- Ahh! je bande! m'écriai-je; les sacrés bougres sont embaumés... Je suis perdu... j'aurai la colique si je ne t'enconne une pauvre fois!... Laisseras-tu décharger par terre ce vit paternel? -- Mon cher papa, mettez-vous le cul et les couilles dans cette grande terrine, préparée pour mon con et mon cul; l'eau froide vous ferait débander. C'est mon remède quand j'ai le con brûlant. Ce qu'elle me disait me parut raisonnable, et je le fis. Elle cacha ses pieds comme une dame espagnole, et je fus calmé. -- J'en ai fait autant tout à l'heure. Timori vient de venir. J'étais encore au lit; il m'a pris les tétons, puis le con. La vue de son vit, qui bandait roide, m'a fait impression. Mais mon coeur n'a rien senti. Cependant il voulait me gamahucher, me priant de le branler après: 'Je ne suis pas une putain' -- 'Tu es bien froide!' (C'est que réellement je ne l'aime plus; vous êtes mon amant, cher père! et Traitdamour est votre lieutenant dans mon con; il est votre double vit, et c'est encore vous qui me foutez, quand il me l'enfonce)... J'ai cependant eu des remords de ma dureté. Je lui ai saisi le vit, et me le mettant dans la bouche bien décalotté, je l'y ai fait décharger, avalant son foutre avec délices. Ce qui m'a fortifiée. Mon chocolat m'a rincé la bouche... Mais revenons. Si vous voulez que votre fille chérie ait un plaisir ineffable, caressez-la, quand on la fout. Langue en bouche, la sienne dans la vôtre... Vous prenant les couillettes, vous serrant le vit à la poignée, elle déchargerait au double! -- Oh! tu es trop adorable... Foutons un petit coup! -- Je m'étais rafraîchi le con; mais tu y remets le feu, cher papa, et le foutre seul peut l'éteindre... Foutons... Enconne ta fille... Mais va doucement, que je décharge plusieurs fois, tout en te racontant quelque chose. Elle se renversa, me mit le vit dans son con, me fit entrer lentement, par de petits coups de cul insensibles. La fraîcheur de l'eau m'avait fait roidir, et retardait l'émission. Enfin, elle ne fut plus maîtresse de se retenir; elle coupdecula, elle saccada, en s'écriant: -- Ze déça--arge!... Elle resta ensuite immobile, en me disant: -- J'ai oublié de vous remettre l'adresse que l'entreteneur d'avant-hier m'a glissée, pour l'aller voir, et... foutre avec lui... Ah! fourgonne... je redéçarge... Tu pars... Ah divin père!... Et elle se mit à soubresauter, en gigotant, comme jamais ne gigota fouteuse... Après une copieuse décharge, elle reprit: -- La voilà. Dis-lui, ou écris-lui, que je ne vais chez personne. Et laissez-lui votre adresse. -- Oui, déesse Fututrix, lui répondis-je. La Brideconnin nous apporta notre excellent chocolat; et je partis. Après les affaires, j'allai chez le futur fouteur de ma fille. Je le trouvai; je lui donnai un mot de Conquette-Ingénue, par lequel elle lui marquait que s'il avait un mot à répondre, il pouvait tout dire à son père... Je fus bien reçu. Le richard me dit qu'il demandait une maîtresse aimable, et qui sût donner, en foutant, bien du plaisir. -- Monsieur (lui répondis-je), ma fille a été mal mariée; elle peut vous appartenir, à condition qu'elle gardera son logement voisin du mien. Vous y mangerez, coucherez avec elle, sans que je m'en mêle. Quant à la volupté, et aux mouvements du cul ou des reins, un mari libertin ne lui a donné que de trop douloureuses leçons... Mais, en vous la livrant, je veux que son sort soit assuré, qu'il s'améliore même un peu chaque année... Je vous réponds d'être alors le gardien de sa fidélité. D'ailleurs, elle est sage. L'assurance d'un sort indépendant de son monstre de mari peut seule la déterminer. Ceci convint fort! et la décision définitive fut remise après un voyage d'affaires et d'argent, dont il devait être de retour dans 8 ou 10 jours. Je revins apporter ces nouvelles à ma Conquette-Ingénue. -- Mon papa, répondit-elle, pour peu qu'il me foute, vous me suffirez, vous et lui; vous serez mes deux pères. Je renoncerai même à votre beau secrétaire, si vous me promettez de n'enconner que moi! Où trouverez-vous un con qui vaille le mien?... Garde-moi tout ton foutre, comme tout ton coeur, ô le plus ribaud des papas! Je vis qu'elle était jalouse, et je l'en aimai avantage. Mais j'étais encore trop libertin pour me borner à foutre uniquement celle que j'aimais le mieux. La Brideconnin nous apporta de la limonade. Elle boitait de naissance, mais d'une manière voluptueuse. Elle était coiffée en cheveux, et, quoique grêlée, très provocante. Je le dis à ma fille. Conquette-Ingénue me répondit: -- Dès avant nos parties, son mari voulait me le mettre; mais il me déplaît. La femme a demandé, depuis qu'ils ont tout vu, à me gamahucher. Tous deux m'adorent. Je ne leur avais, jusqu'au boulevari d'hier, laissé baiser que mon pied. Le mari enconne sa femme dès que je le veux. C'est un amusement que je me donnais dans la semaine; je n'avais besoin que de m'asseoir en vue de Brideconnin, les jupes troussées jusqu'au mollet; il est tellement excité par ma mi-jambe et mon pied, qu'il se jette sur la putain, et la fout tant que je veux; en haussant toujours un peu la jupe. Enfin, s'il aperçoit un commencement la cuisse, il hurle de luxure. Un jour, trop échauffée par ce que je voyais, je me donnai de l'air au con, en le découvrant. Le fouteur s'est mis â braire, en fourgonnant avec fureur. Il déchargeait, refourgonnait, et allait se tuer, quand sa femme me regarda... Elle se hâta de décharger, et vint me baisser les jupes. Alors Brideconnin épuisé se trouva mal. A ce récit de Conquette, je rebandais. Mais je me remis le vit et les couilles dans l'eau, et, bien rafistolé, je sortis sans finaler. Nous fûmes tous sages le reste de la semaine. Chapitre XLVII Du rabachage à faire bandocher. Le dimanche arrivé, tout notre monde accourut, à l'exception de Rosemauve, qui se dit malade. Tendrelys vint seule, et d'elle-même. Traitdamour ne l'avait pas trouvée chez elle, et il était déjà fâché. Mais il fut ravi, en entrant avec sa soeur et sa maîtresse, de la voir auprès d'Ingénue, qui lui suçait le sein découvert!... Il l'en remercia, en lui baisant le cul et le con. Cordaboyau et Brisemote arrivèrent les derniers. On se mit à table, dès que Cordaboyau, envoyé chez Rosemauve, eut annoncé qu'elle ne viendrait pas. Il remit en même temps un billet de la malade pour ma fille. Ingénue le parcourut bas d'abord; puis elle nous le passa. Traidamour lut par mes ordres. Le voici: 'Divine amie! Reçois les actions de grâces que je rends à ton connin et à tes souliers... Hier jeudi fête-Dieu (la lettre était du vendredi), j'avais mis la chaussure que tu m'as prêtée, pour faire bander un clerc de notaire, amant de ma soeur Rosalbe, à laquelle je le voulais enlever. J'avais aussi ton grand bonnet battant-l'oeil, qui me va si bien, à cause de mes grands yeux noirs, la robe, la jupe blanche sur fond rose, comme toi. Je m'avisai de me donner ton joli tour de cul. Dans la rue des Cinq-diamants, j'entendis derrière moi: "C'est elle!... Oui, c'est elle! c'est ma déesse!..." On m'aborde. "Ah! ma belle! vous voilà si près de chez moi, que vous y monterez, puisque votre père y est venu!..." Il m'a pris le bras; je me suis laissée mener; pensant bien qu'en me reconnaissant, il me laisserait aller, surtout après m'avoir foutue. Point! il ne se désabuse pas!... Il est vrai qu'il m'avait introduite dans un appartement au premier à très sombre jour. Il tombe à mes genoux, ou plutôt aux vôtres. "Vos traits, belle Saxancour, sont un peu différents de ce qu'ils m'avaient paru; mais vous n'en êtes pas moins une brune adorable. C'est que j'ai toujours plus regardé vos pieds, dont je suis fou, que votre visage, tout charmant qu'il est. Aussi les reconnais-je parfaitement, ainsi que tout le reste de votre parure... M'aimerez-vous?" J'ai cru devoir répondre oui. "Ah! je suis trop heureux!" Il m'a pris mille baisers, en me faisant darder la langue, m'a patiné les tétons, saisi la motte, renversée sur un large sofa, troussée, foutue... J'ai remué du cul! je lui ai donné du plaisir... Ah! vous me connaissez?... Ça fait, il m'a présenté à laver, m'a fait lui verser de l'eau sur le vit, m'a essuyé con et cul, m'a baisé la motte et les fesses; puis a dit à sa femme de charge: "Le dîner est-il prêt?" -- "Dans un demi-quart d'heure" -- "Après le verre d'Alicante, descendons, ma belle!" Nous sommes descendus chez le notaire voisin. Six mille francs par an, 500 francs par moi, d'avance... J'ai signé la minute, et je suis remontée dotée, comme j'étais descendue foutue. Nous avons dîné tête-à-tête. Dès que les domestiques ont été retirés, il m'a fait mettre à nu mes tétons; puis il m'a enivrée de champagne. Il s'est lavé le vit dans un verre mousseux. Je l'ai aussitôt avalé... Enchanté de ce trait, il m'a mis son vit sur les lèvres. Je le lui ai embouché, sucé! Il s'est récrié de plaisir, en me disant: "Tu es ma déesse, la putain faite pour moi. Je ne veux pas te décharger en bouche; je veux garder mon foutre pour ton con. Montre-le-moi, que je le baise; et adieu jusqu'à demain... Mon carrosse! (a-t-il dit à sa femme de charge, qui m'épongeait le cul et le con). Il m'a remenée. J'aurai mon appartement chez lui ce soir. Je suis restée tard au lit, y étant toute embaumée, et enveloppée dans deux peaux de veaux, qui m'ont été apportées hier soir encore chaudes; afin d'avoir la peau des cuisses et des fesses presque aussi satinée que vous. Ainsi, belle Conquette! je vous dois ma fortune. J'en remercie votre adorable con, et surtout votre voluptueuse chaussure. En chemin, mon généreux fouteur m'a promis que dans très peu de temps il me ferait enculer en sa présence, par un joli jockey, auquel il s'est déjà fait enculer lui-même deux fois, dans deux circonstances où il avait ressenti au trou du cul un violent prurit. C'a été son expression. Adieu... ou avit, ô divine fouteuse!' Nous fûmes tous ébahis! Tendrelys embrassa Conquette-Ingénue, en s'écriant: -- Ah! si l'on vous connaissait!... Je voulais aller détromper mon gendre volé. Ma fille m'en empêcha: -- Il n'était l'amant que de ma chaussure; il ne lui est pas infidèle; il a tout ce qu'il lui faut. Tendrelys applaudit à cette réponse: -- Je ne dis mot: mais je n'en pense pas moins, ajouta-t-elle. La Brideconnin, pour être plus à nos parties, qui lui donnaient des plaisirs inconnus, avait fait venir chez elle, ce jour-là, une soeur de son mari, fort grêlée; mais la plus provocante tétonnière de 18 ans qu'on puisse voir. La garce ne croyait pas que la laideron tenterait, toutes nos dames étant jolies, et deux parfaitement belles. Ce fut cette tétonnière, faite au tour, à taille guêpée, comme les Comtoises, qui nous servit. Mais dès qu'elle eut fait bander, pour lui éviter de la peine, les hommes allèrent chercher les assiettes... Au dessert, on me somma de raconter l'histoire des cons dépucelés dont avait parlé Minone, et que Mme Ingénue-Conquette m'avait empêché de faire à souper, de peur qu'elles ne fussent trop savoureuses! J'y consentis. Chapitre XLVIII Histoire des phénix dénichés. Je vais (dis-je en m'essuyant la bouche, et baisant les tétons de mon active fouteuse) vous conter comment j'ai dépucelé Victoire-Beauxtalons; Virginie-Moteblonde; Rosalie-Con-Rose, ainsi que Suzonète, sa soeur cadette; Manon-Aurore-Sourismignard; Léonor-Robé, femme de Margâne le parfumeur; la seconde et la troisième Consfriands, Saccadine et Voixflûtée. La première fois que je vis la voluptueuse Beauxtalons, elle était en déshabillé brun, bas fins de coton, souliers de maroquin noir; talons plus hauts que ceux de Conquette. Elle me donna des désirs violents; je la suivis; c'était le soir. Elle entra dans l'allée à côté de la boutique de sa mère. L'escalier était obscur. J'étais sur ses talons. Elle ouvrit le premier, dont les volets étaient fermés. Nuit profonde. J'étais entré avec elle. -- Ah! c'est vous, Monsieur Copahü, dit-elle en m'entendant respirer... Je lui mis la main sous la jupe. -- Oh! voilà toujours comme vous faites!... Laissons donc les volets fermés. Je cherchais un lit. Elle y recula. Je l'y renversai. -- Mon dieu! allez, que vous êtes terrible! Et elle s'arrangeait néanmoins commodément pour tous deux. J'insère. Elle riposte, en disant: -- Il faut bien faire comme ça, sans quoi vous dites qu'on ne vous aime pas. La jouissance fut délicieuse, quoique simple et sans accessoires. Mais Victoire était si belle, et je l'avais tant désirée!... Je voulais sortir sans être connu. On frappa. Je suivis ma monture effrayée qui courait ouvrir, quoique je la retinsse. en disant: -- C'est ma mère, ou ma soeur. Restez ou sortez, comme il vous conviendra? -- Je sors. Elle [ici s'arrête le volume imprimé] End of the Project Gutenberg EBook of L'Anti-Justine, by Nicolas-Edmé Restif de la Bretonne *** END OF THIS PROJECT GUTENBERG EBOOK L'ANTI-JUSTINE *** ***** This file should be named 26804-8.txt or 26804-8.zip ***** This and all associated files of various formats will be found in: https://www.gutenberg.org/2/6/8/0/26804/ Produced by Daniel Fromont Updated editions will replace the previous one--the old editions will be renamed. Creating the works from public domain print editions means that no one owns a United States copyright in these works, so the Foundation (and you!) can copy and distribute it in the United States without permission and without paying copyright royalties. Special rules, set forth in the General Terms of Use part of this license, apply to copying and distributing Project Gutenberg-tm electronic works to protect the PROJECT GUTENBERG-tm concept and trademark. 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It exists because of the efforts of hundreds of volunteers and donations from people in all walks of life. Volunteers and financial support to provide volunteers with the assistance they need, is critical to reaching Project Gutenberg-tm's goals and ensuring that the Project Gutenberg-tm collection will remain freely available for generations to come. In 2001, the Project Gutenberg Literary Archive Foundation was created to provide a secure and permanent future for Project Gutenberg-tm and future generations. To learn more about the Project Gutenberg Literary Archive Foundation and how your efforts and donations can help, see Sections 3 and 4 and the Foundation web page at https://www.pglaf.org. Section 3. Information about the Project Gutenberg Literary Archive Foundation The Project Gutenberg Literary Archive Foundation is a non profit 501(c)(3) educational corporation organized under the laws of the state of Mississippi and granted tax exempt status by the Internal Revenue Service. The Foundation's EIN or federal tax identification number is 64-6221541. Its 501(c)(3) letter is posted at https://pglaf.org/fundraising. Contributions to the Project Gutenberg Literary Archive Foundation are tax deductible to the full extent permitted by U.S. federal laws and your state's laws. The Foundation's principal office is located at 4557 Melan Dr. S. Fairbanks, AK, 99712., but its volunteers and employees are scattered throughout numerous locations. Its business office is located at 809 North 1500 West, Salt Lake City, UT 84116, (801) 596-1887, email [email protected]. Email contact links and up to date contact information can be found at the Foundation's web site and official page at https://pglaf.org For additional contact information: Dr. Gregory B. Newby Chief Executive and Director [email protected] Section 4. Information about Donations to the Project Gutenberg Literary Archive Foundation Project Gutenberg-tm depends upon and cannot survive without wide spread public support and donations to carry out its mission of increasing the number of public domain and licensed works that can be freely distributed in machine readable form accessible by the widest array of equipment including outdated equipment. Many small donations ($1 to $5,000) are particularly important to maintaining tax exempt status with the IRS. The Foundation is committed to complying with the laws regulating charities and charitable donations in all 50 states of the United States. Compliance requirements are not uniform and it takes a considerable effort, much paperwork and many fees to meet and keep up with these requirements. We do not solicit donations in locations where we have not received written confirmation of compliance. 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Hart was the originator of the Project Gutenberg-tm concept of a library of electronic works that could be freely shared with anyone. For thirty years, he produced and distributed Project Gutenberg-tm eBooks with only a loose network of volunteer support. Project Gutenberg-tm eBooks are often created from several printed editions, all of which are confirmed as Public Domain in the U.S. unless a copyright notice is included. Thus, we do not necessarily keep eBooks in compliance with any particular paper edition. Most people start at our Web site which has the main PG search facility: https://www.gutenberg.org This Web site includes information about Project Gutenberg-tm, including how to make donations to the Project Gutenberg Literary Archive Foundation, how to help produce our new eBooks, and how to subscribe to our email newsletter to hear about new eBooks.