L'Anti-Justine; ou, Les Delices de l'amour

By Restif de La Bretonne

Project Gutenberg's L'Anti-Justine, by Nicolas-Edmé Restif de la Bretonne

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Title: L'Anti-Justine
       ou, Les Delices de l'amour

Author: Nicolas-Edmé Restif de la Bretonne

Release Date: October 7, 2008 [EBook #26804]

Language: French


*** START OF THIS PROJECT GUTENBERG EBOOK L'ANTI-JUSTINE ***




Produced by Daniel Fromont










[Transcriber's note: Nicolas-Edmé Restif de la Bretonne
(Nicolas Restif dit Restif de la Bretonne) (1734-1806),
_L'Anti-Justine_ (1978), édition de 1798

A classic French erotic novel of the 18th century


Orthographe de l'édition 1798 conservée

Il n'y a pas de chapitre 29; il y a deux chapitres 31.]




L'ANTI-JUSTINE,

OU

LES DELICES DE L'AMOUR.


Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem.


Avec LX Figures.


[Première Partie.]


AU PALAIS-ROYAL

Chez feue la Veuve GIROUARD, très-connue.

1798.




Quelle Excuse peut se donner à lui-même, l'Homme qui publie Un
Ouvrage, tel que celui qu'On va lire? J'en ai cent, pour Une.
Un Auteur doit avoir pour lui le bonheur de ses Lecteurs.. Il
n'est rién qui contribue autant au bonheur, qu'Une lecture
agréable. Fontenelle disait: "Il n'est point de chagrin qui
tiénne contre une heure de lecture". Or, de toutes les
lectures la plüs entraînante, est celle des Ouvrages
Erotiques, surtout lorsqu'ils sont acompagnés de Figures
expressives. Blâsé sur les Femmes depuis longtemps, la JUSTINE
de Dsds me tomba sous la main. Elle me mit en feu; je voulus
jouir, ét ce fut avec fureur: je mordis les seins de ma
Monture; je lui tordis la chair des bras... Honteux de ces
excès, effets de ma lecture, je me fis moi-même un Erotikon
savoureux, mais nón cruel, qui m'excita au point de me faire
enfiler une Bossue-Bancroche, haute de 2 piéds. Prenéz, liséz,
ét vous en feréz autant.


L'ANTI-JUSTINE.




Persone n'a été plus indigné que moi des sales Ouvrages de
l'infame DsDs; c'est-à-dire, de Justine, Aline, le Boudoir, la
Theorie du Libertinage, que je lis dans ma prison.. Ce
Scelerat ne présente les delices de l'amour, pour les Hommes,
qu'accompagnées de tourmens, de la mort même, pour les Femmes.
Mon but est de faire un Livre plus savoureux que les siéns, et
que les Epouses pourront faire lire à leurs Maris, pour en
être mieux servies; un Livre où les sens parleront au coeur; où
le Libertinage n'ait rien de cruel pour le Sexe des Graces, et
lui rende plutôt la vie, que de lui causer la mort; où l'amour
ramené à la nature, exempt de scrupules et de préjugés, ne
présente que des images riantes et voluptueuses. On adorera
les Femmes, en le lisant; on les chérira, en les enconnant:
mais l'on en abhorra davantage le Vivodissequeur, le même qui
fut tiré de la Bastille avec une Longue Barbe blanche le 14
juillet 1789. Puisse l'Ouvrage enchanteur que je publie, faire
tomber les siéns!


Mauvais Livre fait dans de bonnes vues.

Moi, Jean-Pierre-Linguet, maintenant detenu à la Conciergerie,
declare, que je n'ai composé cet Ouvrage, tout savoureux qu'il
est, que dans des vues utiles; l'inceste, par exemple, ne s'y
trouve, que pour équivaloir, au goût corrompu des Libertins,
les affreuses cruautés, par lesquelles Dsds les stimule.

Floreal, an 2.



I Chapitre.


Chapitre De l'Enfant qui bande.


Je suis né dans un Village près de Reims, & je me nomme
CUPIDONET. Dès mon enfance, j'aimais les jolies Filles.
J'avais surtout un faible pour les jolis piéds & les jolies
chaussures; en quoi je ressemblais au Grand-Daufin, fils de
Louis-XIV, & à Thevenard, acteur de l'Opéra.

La première Fille qui me fit bander, fut une jolie Paysane,
qui me portait à vêpres la main posée à nû sur mes fesses;
elle me chatouillait les couillettes, & me sentant bander,
elle me baisait sur la bouche avec un emportement virginal:
car elle était chaude, parcequ'elle était sage.

La première Fille à laquelle je fis des attouchemens,
en-conséquence de mon goût pour une jolie chaussure, fut ma
première Puînée, qui s'appelait Jenovefette. J'avais huit
Soeurs, cinq aînées d'un premiér lit, & trois puînées. La
Seconde de Celles-là, était jolie au-possible; il en sera
question: La Quatrième avait le poil du Bijou tellement
soyeux, que c'était une volupté seulement de le toucher. Les
Autres étaient laìdes. Mes Puînées étaient toutes-trois
provoquantes.

Or ma Mère préferait Jenovefette, la plus voluptueusement
jolie, & dans un voyage qu'elle fit à Paris, elle lui aporta
des souliérs delicats. Je les lui vis essayer, & j'eús une
violente érection. Le lendemain Dimanche, Jenovefette mit des
bas fins blancs & neufs de coton, un corpset qui lui pinçait
la tâille; & avec son lubrique tour-de-cùl, elle fesait
bander, quoique si jeune, mon Père lui-même; car il dit à ma
Mère de la renvoyer. (J'étais caché sous le lit, pour mieux
voir le souliér & le bas de la jambe de ma jolie Cadète)...
Dès que ma Soeur fut sortie, mon Père renversa ma Mère, & la
carillona sur le piéd du lit sous lequel j'étais, en lui
disant: -- Hô! prenéz-garde à votre Fille cherie! Elle aura un
furieux temperament, je vous en avertis... Mais elle a de quî
tenir; car je baise bién! & voila que vous m'en donnéz, du jus
de Con, come une Princesse-... Je m'aperçus que Jenovefette
écoutait & voyait... Mon Père avait raison. Ma jolie Cadète
fut depuis dépucelée par son Confesseur; ensuite foutue par
tout le Monde. Mais elle n'en est que plus sage à-présent...
Dans l'aprèsdînée, Jenovefette vint au jardin, où j'étais
seul. Je l'admiraí; je bandaí. L'ayant abordée, je lui pressaí
la tâille, sans parler; je lui touchaí le piéd, les cuisses,
un Conin imberbe & joli, s'il en fut jamais! Jenovefette ne
disait mot. Alors, je la fis mettre à-quatre; c'est-à-dire,
súr les mains & sur les genoux, &, à l'imitacion des chiéns,
je la voulais enfiler ainsi, en hennequinant & saccadant de
toutes mes forces, comme fait le chién, & lui comprimant
fortement les aînes de mes deux mains: je lui fesais cambrer
les reins, de sorte que son Conin était aussi à ma portée que
le trou de son cùl: je l'atteignis donc & je mis le bout entre
les lèvres, en disant: "Hausse, hausse le cùl, que j'entre".
Mais On sent aussi qu'un conichon aussi jeune, ne pouvait
admettre un vit, qui ne décalotait pas encore: (Il me falait
Une Conasse, come je l'auraí biéntôt). Je ne pus
qu'entr'ouvrir un peu les lèvres de la fente. Je ne dechargeaí
point; je n'étàis pas asséz formé... Ne pouvant enfiler, je me
mis, aussi à l'imitacion de mes Modèles, à lècher le jeune
Conin... Jenovefette sentit un chatouillement agreable
sans-doute; car elle ne s'ennuyàit pas du jeu, & elle me dona cent
baisérs sur la bouche, lorsque je fus debout. On l'appela, &
elle courut.

Come elle n'avàit pas encore de gorge: dès le lendemain elle
se mit des tetons postiches, sans-doute parcequ'elle avàit oüi
vanter ceux de sa Mère, ou de ses Aînées. Je les remarquaí: je
la fis chausser, & l'ayant placée commodément sur son lit, je
m'escrimaí près de deux heures. Je crois en-vérité qu'elle
émit; car elle s'agitait comme une petite Enragée à mon
lèchement de Con... Dès le surlendemain, On l'envoya en
apprentissage à Paris, où elle remplit l'horoscope tiré par
mon Père.




II Chapitre.

Chap. Du Con soyeux.


Mes autres Soeurs étaient l'Une serieuse; elle me retint dans
les bornes; mais j'aí depuis foutu ses deux Filles à Paris: Ma
Troisième était encore trop jeune: Ç'a été Une superbe Fille à
dixhuit ans! Je me rejetaí neanmoins sur cette Enfant, lorsque
je m'aperçus que Cathos, jumelle de Jenovefette, était
inabordable. Il me falait un Con, depuis que j'en avais palpé
Un: je patinaí Babiche. Enfin un Dimanche, qu'elle était bién
arrangée, & que ma Mère l'avait baignée, je la gamahuchaí.

Ce fut à cette benigne operation, que je fus surpris par
l'ardente Madelène au Con soyeux. Elle nous examina longtemps
avant de nous troubler, & voyant que la Petite avait du
plaisir, elle fut tentée. Elle parla. Nous nous remimes
décemment. Madelène ne dit mot: Elle renvoya Babiche. Puis
elle hazarda de badiner avec moi. Elle me renversa sur la
pâille de la grange, où j'avais attiré Babiche; & lorsque je
fus par-terre, elle me chatouilla, passant par-dessus moi,
jambe de-çà, jambe de-là. Par-hazard, je portaí la main sous
ses jupes, & j'y trouvaí l'admirable Con soyeux. Ce poil divin
determina mon goût pour elle. Je devins fou du Con de
Madelène-Lingüet: je lui demandaí à le baiser? -- Petit coquin!
(me dit-elle), attens un moment-. Elle ala au puits, tira un
seau d'eau, & s'accroupit dessus... Elle revint, & badina
encore. Enflâmé, hors de moi, je lui dis, dans ma petite
fureur érotique, -- Il faut que je lèche ce joli trou-. Elle se
mit sur le dos, les jambes écartées: je léchai; la belle
Madelène hocha du cùl: "Darde ta langue dedans, cher petit
Ami"! (me disait-elle). Et je dardais, & elle haussait la
mote. Je fourgonnais avec rage!... Elle eút tant de plaisir,
qu'elle se recria. Je bandais come un petit carme: & come je
ne dechargeais pas, j'avais toujours la même ardeur. Aussi
m'adorait-elle. Obligée de me quitter, Madelène me dona des
friandises, que je mangeaí avec Babiche.

Un-soir, ma Soeur au Con soyeux me dit: -- Cupidonnet! ta jolie
Broquette est toujours bién roide, quand tu me lèches! Il me
semble que si nous étions dans le même lit, tu pourrais la
faire entrer dans la bouche de ma petite Marmote, que tu aimes
tant à sucer, & dont le poil est si doux! j'aurais sûrement
bién du plaisir! & peutêtre toi aussi? Viéns ç'te nuit-...
Quand tout le monde fut endormi, je me glissaí dans le lit de
ma grande Soeur. Elle me dit: -- J'ai vu mon Pêre, un-jour qu'il
venait de caresser ma Soeur la belle Marie, qui partait pour
Paris, courir sur ta Mère, sa grosse broche bién roide, & lui
fendre la Marmote: je vas te montrer; tu feras comme lui. -- Et
moi aussi, je l'aí vu. -- Bon! bon-! Elle se disposa, me plaça
sur elle, me dit de pousser, & riposta. Mais elle était
pucelle, & quoique bandant roide, je ne pus introduire; je me
fesais mal. Pour Madelène-Lingüet, elle déchargea sans-doute;
car elle se pâma.

Hô! que je regrettaí ce joli Con soyeux, que je léchais &
fourgonnais depuis 6 mois! Mon Père, Clôde-Lingüet, qui ne me
ressemblait pas, éloignait ses Filles, dès qu'elles l'avaient
fait bander. On prétend que Madelène avait tenté de se le
faire mettre par lui... Quoi qu'il en soit, trois jours après,
elle partit pour la Capitale, où notre Frère-aîné
l'Ecclesiastique, lui avait trouvé une place de Gouvernante
d'Un Chanoine de Sainthonoré. Ce Caffard ne tarda pas à
connaître ce qu'elle valàit: Il y avàit Une porte derobée, de
lui-seul connue, qui donnait dans la chambre de ses
Gouvernantes, qu'il alait patiner durant la nuit. Mais il
n'avait jamais trouvé de con aussi joli, que le Con soyeux de
Mlle Lingüet! Il voulut le voir. Sa beauté le ravit, & il
n'eút plus de repos, qu'il ne l'eût foutu. Une nuit, qu'elle
dormait d'autant plûs fort, qu'elle en fesait semblant, il la
gamahucha. Elle déchargea sensiblement. Aussitôt le Chanoine
monte sur elle, & l'encone. Elle le pressa dans ses bras, en
remuant du cùl. --Hâ! Mignone! (lui dit-il), que tu as le
mouvement bon!... Mais n'as-tu pas de mal? car je te crois
un-peu Putain-?... Sa chemise & les draps ensanglantés, lui
prouvèrent qu'elle était pucelle Il l'adora! Elle foutit
saintement avec ce saint Homme pendant deux ans, & le mit au
tombeau. Cependant il la dota: Ce qui fit qu'elle épousa le
Fils du premiér Mari de ma Mère.




III Chapitre.

Chap. De la Mère foutue!


Comme après le mariage de Madelène, & son retour à Reims
j'étais un-peu plüs formé, je desiraí vivement de le lui
mettre. Depuis plus de deux ans, j'en étais reduit à patiner &
gamahucher ma Soeur Babiche, avec quelques-unes de nos
Cousines-germaines. Mais, ou mon vit grossissait, ou tous ces
conins imberbes retrécissaient... Je demandaí un rendéz-vous
nocturne à la nouvelle Mad. Bourgelat? Elle me l'accorda pour
le soir-même: Nous étions à notre Ferme, & son Mari venait de
partir, pour se rendre à Reims, où une affaire l'appelait. Je
ne sais par quelle avanture, cette même nuit, mon Pére se
trouva incomodé. Ma Mère, après l'avoir secouru, craignant de
le gêner, ala se mettre auprès de sa Brü. Celle-ci la voyant
endormie, se leva doucement, pour venir coucher avec moi,
tandis que de mon côté, j'alàis à elle. Nous ne nous
rencontrames pas, malheureusement!... Je me mis à-côté de la
Femme que je trouvaí dans le lit. Elle était sur le dos: je la
montaí, toute-endormie; & l'enconaí. J'étàis surpris d'entrer
aussi largement! Elle me serra dans ses bras, hôcha quelques
coups-de-cùl, moitié assoupie, en disant: "Jamais! jamais vous
ne m'avéz donné tant de plaisir-!... Je dechargeaí aussi: mais
je m'évanouis sur ses tetons encore fermes, parcequ'elle
n'avàit pas nourri, & qu'On ne les lui avàit jamàis patinés.
Mad. Bourgelat revint auprès de nous, au moment où je
m'évanouissais.

Elle fut bién étonnée des mots que venait de prononcer sa
doublement Bellemére! Elle comprit que je l'avais foutue, &
elle me reporta dans mon lit encore évanoui... Ainsi donc
c'est dans le Con maternel que je venais d'émettre ma premiére
semence!... Ma Mére, entiérement éveillée, dit à Madelène: --
Mais, que faites-vous donc, ma Fille-? J'étais revenu à moi.
Ma Soeur retourna au lit de ma Mére, qui lui dit tout-bas: -- Ma
Brü! vous avéz de drôles de façons? -- Mon Mari (répondit Mad.
Bourgelat), me fait souvent mettre dessus; je rêvais, & je
l'ai fait. Eveillée, je suis sautée du lit-. Ma Mére crut
cela.

Cependant le coup porta: Mad. Lingüet devint grosse, &
accoucha secrettement d'un Fils, beau come Adonis; & elle eút
l'adresse de le substituer à Un Garson de son Fils, cet Enfant
étant mort en naissant. C'est de Lui dont il sera un-jour
question, sous le surnom de Cupidonnet, dit Petitcoq, mon
neveu.

Huit jours s'écoulérent. Après quoi, bién remis de mon
évanouissement, j'eús un autre rendéz-vous. Mais admiréz mon
malheur! Nous avions été entendus d'Une grosse Tetonniére,
notre moissonneuse, qui dormait dans la grange. Comme Mad.
Bourgelat devait venir dans mon lit, Mammelasse qui m'aimait,
car elle se branlait souvent à mon intention, & qui dailleurs
n'était pas méchante, se contenta de dire à mon Frère, de
fermer les nuits la porte de sa chambre à la cléf, & de la
cacher, pour cause... Il le fit. Mais jugéz de mon étonnement,
quand aulieu d'un Con soyeux, & de tetons ronds & delicats, je
patinaí Une Connasse à crins de cheval, & deux gros ballons
bién gonflés. Elle se le mit; je poussaí, & j'eús asséz de
plaisir. Mais je fus encore prêt à m'évanouir.

Enfin, je le mis à Madelène, dans le greniér-à-foin. J'alais
come un fou, en l'enconnant. Mais au troisième coup-de-cùl
qu'elle donna, je m'évanouis......




IV Chapitre.

Chap. D'un aútre Beaufrére Cocu.


Madelène évita de m'accorder des faveurs, dont les suites
l'effrayaient! Mais je ne sentis pas longtemps cette
privation: Huit jours après la derniére scène, je partis pour
venir à Paris. J'y alais pour apprendre: Mais il ne sera pas
ici question de mes études. Je fus logé chéz la belle Marie,
la seconde de mes Aînées.

J'avais, pour mon pucelage, fait cocü mon Pére: j'avais
cornifié mon Frére Uterin, en fesant décharger, & foutant
enfin avec émission Une Soeur-Paternelle, qu'il avait épousée,
& que j'engrossaí: car Bourgelat n'a jamàis eú que cet Enfant,
venu au monde 9 mois après ma fouterie au greniér-à-foin. Mais
j'avais encore bién de l'ouvrage, avec huit Soeurs, dont six,
ou du-moins cinq, étaient souverainement enconables. Mais
revenons à Marie, la plûs belle de toutes... Un-jour de
Vierge, Marie était parée, chaussée avec cè goût particuliér
aux jolies Femmes, & Un superbe bouquet ombrageait ses blancs
tetins. Elle me fit bander. J'avais quatorze ans; j'avais deja
foutu & engrossé trois Femmes; car Mamelasse avait Une Fille,
qu'elle se vantait que je lui avais faite, & qui ressemblait
comme deux goutes-d'eau à Jenovefette-Lingüet. Ainsi, je n'eús
pas des desirs vagues; je tendais directemt au Con de ma
provoquante Aînée. Après le dînér, elle ala dormir, dans Un
alcove obscur, & s'étendit sur le lit conjugal. Elle avait vu
bander son Mari, dont la culote blanche était juste, & elle
voulàit lui donner le plaisir de le lui mettre parée. Je me
cachaí, pour les guetter. Mais mon Beau-Frére, après avoir
pris les tetons & le Con de ma Soeur, avoir admiré ce derniér,
en éclairant l'alcove, se reserva sans-doute pour la nuit
suivante: il se retira doucement; je lui vis prendre sa canne,
son chapeau, & sortir. J'alaí pousser Un verrou. En revenant,
je refermaí les rideaux; le Mari les avait laissés ouverts, &
sa Femme troussée. Je me mis sur elle deculoté, bién bandant,
& j'enfilaí sa fente, suçant tantôt ses tetons decouverts,
tantôt ses lèvres entr'ouvertes. Elle me croyàit son Mari. Un
bout de langue me chatouilla. J'étais entré tout caloté. Le
filet, que je n'avais pas encore coupé, recourbait mon vit, &
le fesait paraître gros comme celui de l'Epoux. Je poussaí. Ma
Belle s'agita, & mon long vit atteignit le fond. Alors ma Soeur
demi-pâmée, se trémoussa. Je dechargeaí,... & je
m'évanouis....

Ce fut ce qui me fit reconaître. La Belle savoura les
derniéres oscillations de mon vit. Mais dès qu'elle eút
éprouvé tout le charme d'une copieuse decharge, elle se
deconna en me jetant sur le côté; elle ouvrit les deux rideaux
de l'alcove; & me regardant: "Hâ! Grand-Dieu! c'est
Cupidonnet! Il m'a dechargé tout au fond! Il s'est évanoui de
plaisir"!... Je revenais à moi. Elle me gronda, en me
demandant, Qui m'avait appris cela? -- Ta beauté (lui dis-je),
adorable Soeur. -- Mais si jeune-? Je lui racontaí alors toute
ma vie: Comme j'avais patiné, léché le conin de Jenovefette:
comme j'avais gamahuché, enfin enfilé le con soyeux de
Madelène; foutu Mad. Lingüet, la croyant Mad. Bourgelat:
comment Mamelasse s'était fait enconner par moi: comment ne
pouvant me passer de Con, je léchotais le conichon de Babiche:
comment j'avàis engrossé les trois Femmes que j'avàis
enconnées. --Hâ-Ciel!... Mais tu es bién indiscret! -- Je ne le
suis avec toi, que parceque tu es ma soeur-aînée, que je t'aí
foutue (le recit que je venais de débiter, les tetons de ma
Soeur, sa chaussure me fesaient rebander), & que je vais,
divine Marie, te foutre encore. -- Mais mon Mari... -- J'aí
poussé le verrou-... Elle me pressa la tête contre son beau
sein, en me disant tout-bas: -- Petit coquin, fais-moi aussi Un
Enfant-?... Je la re-enconnaí, j'émis sans m'évanouir. La
belle Marie n'avait pas encore eú d'Enfans: je fus pére de
Mlle Beauconin, fille Unique de mon Beaufrére de ce nom.

[Je passerai toutes les fouteries communes; ce n'est
qu'à-force de volupté, de tableaux libidineux, tels que les
savoureuses jouissances qui vont suivre, qu'on peut combattre
avantageusement dans le coeur & l'esprit des Libertins blâsés,
les goûts atroces éveillés par les abominables Productions de
l'infame & cruel Dsds! Ainsi, je reserve toute ma chaleur,
pour decrire des jouissances ineffables, audessus de tout ce
qu'a pu inventer l'imagination esquisement bourrelle de
l'Auteur de Justine.




V Chapitre.

Chap. Du bon Mari spartiate.


Il faut néanmoins, avant de passer aux tableaux que je viéns
de promettre, rapporter en peu de mots, Une Avanture
extraordinaire, que jeús, ruë Sainthonoré, à 20 ans accomplis,
en fesant mon droit.

J'étais voisin vis-à-vis d'Un vieil Orlogér, qui avait Une
Femme jeune et charmante. C'était sa troisième. La Première
l'avait rendu parfaitement heureux pendant douze ans; c'était
une ivresse. La seconde, durant dix-huit ans, à-l'aîde d'une
Soeur plüs jeune, par laquelle la Dame se fesait remplacer au
lit dans ses moindres indispositions, pour que son Mari ne
foutît jamàis avec dégoût. Cette excellente Epouse ayant cessé
de vivre, l'Orlogér avait épousé, âgé de soixante ans, la
jolie, la delicieuse FIDELETTE, putative d'Un Architecte, ét
fille-naturelle d'Un Marquis. La beauté de cette troisième
Femme n'avait pas d'égale, pour le moëlleux ét le provoquant.
Son Mari l'adorait; mais il n'était plus jeune! Cependant
comme il était riche, il lui prodiguait tout ce qu'elle
paraissait desirer. Mais il n'atteignait pas le but, ét
Fidelette était chaque jour plûs triste. Enfin un-soir, ce bon
Mari lui dit: "Mon Ange! je t'adore, tu le sais? Cependant tu
es triste, ét je crains pour tes jours précieux? Tout ce que
je fais ne te flatte en rien? Parle? c'est Un Ami tendre qui
t'en conjure? Dis-moi ce que tu desires? Tout, tout ce qui
sera en mon pouvoir, va t'ètre accordé? "Hô! tout (dit la
jeune Femme). "Oui, tout, fût-ce... Est-ce à ton coeur? est-ce
à ton divin conin, qu'il manque quelque-chose? "Tu remplis mon
coeur, cher Mari! Mais j'ai des sens trop chauds, et quoique
blonde-cendrée, mon Bijou a des demangeaisons... terribles!
"T'est-il indifferent qui le satisfasse; ou aurais-tu un goût?
"Sans aimer, j'ai un goût.. un caprice... Mais je n'aîme que
toi. "Qui excite ta main, que je vois en ce moment chercher
ton gentil petit Chose? "Tiéns? ce Voisin... qui me regarde...
ét dont... je me suis deja plainte... "J'entens!... Tu as dû
me trouver bién boûché!... Passe au bain, mon Ange adoré.. je
reviéns dans l'instant". Il courut me trouver. "Jeune voisin?
On dit que vous aiméz Mad. Folin l'Orlogère? "Ma-foi, On dit
vrai; je l'adore. "Venéz. "Il en arrivera ce qu'il pourra.
Alons". Il me prit la main, ét nous alames chéz Lui.
"Deshabilléz-vous; passéz dans ce bain, que ma Femme quitte:
Voila de mon linge. Regaléz-la en Nouvelle mariée- ou menagéz-vous
pour differentes nuits; à votre choix ét au sién....
J'adore ma Fidelette: mais pour cette Epouse cherie: Je suis
content, dès que je la vois satisfaite, heureuse. Quand vous
l'auréz foutue, qúe son petit Connin aura bién dechargé, je
l'enconnerai à mon tour, pour lui porter mon petit présent".
Et il me fit entrer dans le lit où sa Femme était depuis le
bain. Il s'en-alait. "Mon cher Mari! (s'écria cette timide
Colombe), tu me laisses seule avec Un Inconnu! Hô! reste! ét
si tu m'aimes, sois temoin des plaisirs que je ne devrai qu'à
Toi"?... Et elle nous baisa tous-deux sur la bouche... Le Lit
était vaste: Le bon Folin s'y mit avec nous... Je grimpai sur
le ventre de la jeune Epouse, aux flambeaux alumés, au vu du
Mari, ét j'enconnai roide... Elle repercutait avec fureur.
"Courage, ma Femme! criait l'excellent Mari, en me
chatouillant les bourses)... Decharge, ma Fille! hausse le
cùl!.. darde ta Langue... ton Fouteur va t'inonder!... Toi,
jeune Vit, plonge.. plonge!... Lime.. Lime-la"... Nous
dechargeames comme deux Anges... Je la foutis six-fois dans la
nuit, ét les deux Epoux furent très-contens de moi...... J'ai
eü cette jouissance celeste ét plûs-qu'humaine, jusques aux
coûches de Fidelette, qui perdit la vie, en la donnant au
Fruit de notre Fouterie.



VI Chapitre.

Chap. De l'Epouse qui se fait enculer.


Je passerai sous silence mes conilleries avec ma Femme
clandestine, puisque je n'ai jamais avoué ce mariage.
Conquette-Ellès était Une jolie Grêlée, faite-au-tour, ayant
Un Con tellement insatiable, que je fus obligé de lui mettre
la bride sur le cou, & de la laisser foutre avec quî elle
voudrait. Elle était fille d'Un Traiteur de la ruë
Saintjacques, & soeur du libraire PetiteBeauté: Elle est morte
syfillisée, longtemps après m'avoir donné deux Filles... Hâ!
qu'elle foutait bién! jamais Femme enconnée n'a brouetté son
Cavaliér comme Conquète!... Elle est la seule Créature que
j'aye enculée, mais sur son invitation, quand sa santé fut
douteuse. Elle me donna ensuite le cùl de sa Soeur-cadette, en
me disant que c'était encore le sién. Et je le croyais. Mais
la jeune Persone se fesant enconer, je m'aperçus de la
tricherie, dont je ne témoignaí rién..... Cela fut delicieux!
mais ce n'est que de la fouterie ordinaire... Quand ma
Bellesoeur fut mariée, ma Femme seduisit sa Coîfeuse, à
laquelle elle recomanda bién de se faire enculer, alléguant
que j'y étais accoutumé. Mais cette Fille m'ayant averti dans
la journée, je l'enconnaí la nuit, sans que Conquette s'en
aperçût. J'eús ainsi successivement six Coîfeuses, toutes
jolies, pendant douze ans, ma Femme, qui les payait, croyant
me cacher par ce moyén, qu'elle avait la verole. Ce fut ainsi
que j'attendis les Conins delicieux qui m'étaient destinés par
la nature... C'est aprês la derniére Coîfeuse, que Conquette
mourante ayant remarqué, qu'Un de mes Cadets courtisait ma
fille-nièce-Beauconnin, qu'On ne voulait pas lui donner, &
qu'il en était aimé, proposa à Mariette de se le laisser
mettre par son Amant? Mais craignant que le Jeunehome ne pût
la dépuceler, elle me dit, que la dernière Coîfeuse m'envoyait
Une de ses Elèves, qu'il falait enconner, & sans parler,
parceque ma Nièce couchant dans la chambre voisine, il y avait
des raisons, pour ne pas envoyer l'Elève-coîfeuse dans la
miénne... Pourvu que je foutîsse Un jeune Con, que
m'importait? J'alaí nu au lit: je trouvaí des tetons naissans,
Un Conin qui tressaillait. Je dépucelaí... J'avais enconné
trois-fois, lorsqu'on vint me faire retirer. Je crus que
c'était la convention. Mais ayant écouté, je fus très-étonné
d'entendre éperonner de-nouveau ma Monture, & ma Femme
instruire, en les encourageant, son Neveu & sa Nièce?... Je me
remis dans mon lit tout-pensif... Le lendemain, je demandaí
une explication à Conquette. -- Hé-bién, quoi? (me répondit-elle),
vous avéz dépucelé votre Nièce Beauconnin, avant que
son Cousin le lui mît; parceque je craignais qu'il ne pût la
déflorer-... Je fus enchanté! j'avais eú les prémices de la
Fille que j'avais implantée un jour de Vierge dans le Con de
la belle Marie-Lingüet. Mais je dissimulaí ma joie. C'était un
excellent pronostique pour les plaisirs dont je me flatais de
jouir depuis longtemps! & dont le moment approchait. J'y
touche enfin.




VII Chapitre.

Chap. Du Conin au Poil-Follet.


On saít que j'avais deux Filles, ou que dumoins ma Clandestine
les avait: car je me rappelle qu'elle prétendait, que ses
véritables Filles étaient mortes en Nourrice, & que... &
que... Elle parlait du Roi... d'une Princesse.... Mais elle
était si menteuse, que ç'eût été une folie de la croire.

CONQUETTE-INGENUE, ma fille-aînée, me causait des desirs dès
l'âge de dix ans. Pendant que sa Mére non encore vérolée
couchait & foutait avec Un Galant, elle envoyait Conquette
dans mon lit. Cette Enfant avait la plüs jolie conque. Je me
fis une règle dèslors de la lui baiser tous les soirs, après
lui avoir écarté les cuisses, durant son premiér sommeil.
J'introduisais légèrement la langue, mais sans lècher. Je
m'endormais ensuite, elle remise sur le côté, ses fesses sur
mes cuisses, & mon vit pressé entre les siénnes. Dans le jour,
j'enconais, ou la Maîtresse d'Un certain Mivière, Avocat, ou
Une jolie Bossue toujours bién chaussée, qui demeurait dans la
maison; ou Une Boîteuse des deux côtés, mais d'une delicieuse
figure, & prête à se marier: Elle s'était laissée déflorer par
son Futur, & depuis ce temps-là, elle ne ménageait plus un
très-joli con blond. Quand ces trois Fouteries me laissaient
chomer trop longtemps, je fourgonnais le vit serré entre les
cuisses de Conquette-Ingénue, qui se sentant gênée,
l'empoignait toute-endormie, & me fesait éjaculer. Elle avait
onze ans. Elle sentit quelque-chose, & parla. On la mit dans
un cabinet fermé.

Elle apprit à dessiner. Lorsqu'elle eút treize à quatorze ans,
après une interruption de plüs de deux ans, je me trouvaí
veuf, & elle revint à la maison. Elle coucha dans une petite
chambre à-côté de la miénne.. Elle était grandie, faite-au-tour:
elle avait le piéd le plüs parfait. Je la fis chausser
par l'Artiste le plüs habile, sur la forme de sa Mére, qui
était celle de la Marquise-de-Marigni. Puis je devins
éperdúmment amoureux de mon Ouvrage.

Mais Persone jamais ne fut plüs chaste que cette celeste
Fille; quoique ses Méres, soit réelle ou putative, fússent
putains, & soient toutes-deux mortes de la vérole. Conquette-Ingénue
ne souffrait pas qu'On prît sur elle la moindre
liberté... La Providence le voulut sans-doute, pour qu'elle en
fût un-jour plüs desirable & plus voluptueuse... Ainsi je me
trouvaí réduit à la gamahucher pendant son sommeil, qu'elle
avait profond, heureusement! Je profitais de son premiér
somme, pour la decouvrir, admirer son delicieux Connin, qu'un
joli Poil-Follet commençait d'ombrager, & la gamahucher
moderément. Ce ne fut qu'à la dixième nuit, que je la sentis
me riposter: je redoublaí les coups de langue, & elle émit....
La lumiére était éteinte, quand Ingénue s'éveilla, en disant:
"Hâ! hâ! hâ! ça me chatouille! hâh!"....... Elle crut qu'elle
avait rêvé. Cependant elle dagua sa jeune Soeur, couchée avec
elle, de plusieurs coups-de-coude, comme si elle eût pensé que
cette Enfant l'avait chatouillée.

Je me remis dans mon lit, enchanté que ma Fille eût dechargé.
Cette émission me fit esperer, qu'ayant éveillé son
tempérament, je pourrais l'enconner biéntôt, en faire ma
Maîtresse, & me trouver le plüs heureux des Hommes. Mais que
j'étais loin de compte? & combién de Vits devaient tenter de
matyriser ce divin Connin, avant le mien! hêlas! il fut prêt
d'essuyer Une Iliade de malheurs!..... Quoi qu'il en soit, ç'a
été ma véritable inclination, la plüs constante, la plüs
voluptueuse, que cette adorable Fille, qui n'a eú de Rivale,
que sa Soeur... Non (je le dis, d'après l'expérience), il n'est
pas au monde de plaisir comparable à celui de plonger son vit
bandant, jusques au fond du Con satiné d'Une Fille cherie,
surtout si remuant du cùl avec courage, elle décharge
copieusement! Heureux! heureux qui cocuffie, & fait cocuffier
Un Gendre également déteste de tous-deux!

Conquette-Ingénue eút ses règles la semaine suivante de celle
où elle avait enfin déchargé. Ainsi elle était parfaitement
nubile. Mais éveillée, je ne pouvais lui ravir aucune faveur
essentielle. Ma Soeur Marie, qui me connaissait, la mit en
apprentissage de Modes & du commerce de la Bijouterie, chéz
Une jolie Marchande, dont le Mari était chef de Bureau; & le
Bijou de la belle Conprenant me dedomagea, mais sans m'en
consoler, des rigueurs de celui de ma Fille. Je le mis aussi à
ma Nièce Beauconnin, alors mariée à son Cousin. Et sans ce
double soulagement, aurais-je pu m'empêcher de violer la
provocante Conquette-Ingénue? Eperdûment amoureux d'elle,
n'osant lui prendre de-jour son joli Poil-Follet, & ne l'ayant
pas la nuit, je me contentais de la faire regarder dans la
ruë, par une fenêtre à large rebord; ce qui lui mettait
à-découvert un piéd exquisement chaussé, une partie de la plüs
belle jambe; desorte qu'en me baissant, je voyais la cuisse, &
le Connin dans certains mouvemens, ou lorsqu'elle se disposait
à descendre. Je bandais comme Un Carme. Mais en ce moment
arrivaient à-point-nommé, ou la Maîtresse de Conquette-Ingénue,
ou ma jolie Nièce Beauconnin, que j'alais enfiler
dans ma chambre, après avoir dit à ma Fille de se remettre à
la fenêtre, pour les voir arriver; & au-moyén de ma porte
entr'ouverte, je voyais le piéd provoquant, la jambe
voluptueuse de Celle qui me fesait bander, en foutant soit sa
Maîtresse, soit sa Cousine.

Quatre ans s'ecoulérent ainsi; & je n'eús plus de fouteries.
Alors, plüs amoureux que jamais de Conquette-Ingénue, qui
était superbe à dixhuit ans, je résolus de la faire coucher
quelquefois chéz Moi, en la retenant tard, sous prétexte d'une
indisposition subite. Elle avait toujours le sommeil aussi
profond: Ainsi, dès qu'elle était endormie, je la gamahuchais,
& je la faisais copieusemt décharger. Elle avait une Motte
superbe, ombragée d'un poil noir doux & soyeux. Je brûlais
d'envie de le lui mettre. Mais elle s'éveillait toujours en
dechargeant. Aussi me disait-elle: -- Je ne fais que chéz vous
de singuliérs rêves, qui me rendent toute je ne saís
coment--!... La seule chose que je me permîsse, était de demander à
baiser son joli piéd chaussé; quelquefois sa jambe: j'alaí
un-jour, en la tourmentant beaucoup, jusqu'à obtenir de toucher
le poil-satin de son Bijou: Mais elle fut ensuite si fort
effarouchée, craignant que je ne parvînsse à la déflorer avant
mariage, qu'elle précipita, aîdée de sa Maîtresse Mad.
Conprenant, un mauvais établissement avec Un Infame. Ce fut ce
que j'ai eú tant de peine à lui pardonner!... Mais la pauvre
Enfant en a trop souffert... elle s'en est asséz répentie...
son charmant Connin a depuis trop bién-mérité de Moi, pour que
des torts de jeunesse & d'inexperience ne soient pas oubliés.
J'y étais obligé dailleurs par un autre motif: c'est que je
dois à cet execrable mariage d'indicibles delices (comme On va
le voir), ainsi que ma fortune présente.




VIII Chapitre.

Chap. Des Conditions de mariage.


Le Dimanche suivant, Conquette-Ingénue étant chéz moi, suivant
son usage, elle ne put s'empêcher de voir, que je bandais à
n'en pouvoir plus! Elle tremblait pour sa virginité!... Je lui
avàis baisé le piéd, la jambe; mais elle avàit défendu son
connin. Tout-à-coup je me lève, & m'appuyant sur le dossiér de
sa chaise, je plonge les deux mains dans son corpset; je lui
prens les tetons.... Hâ! qu'ils étaient jolis!... petits, mais
fermes! & d'une blancheur.... Elle ne put se dérober... Elle
me déclara pourlors sérieusemt, qu'elle voulait se marier. A
ce mot, je passaí devant elle, le vit à l'air et bién bandant.
Elle devint rouge comme une cerise: Elle bouillait. Enflâmé
d'amour & de luxure, je lui notifiaí, que je ne signerais
rién, qu'à la condition de la dépuceler auparavant. Elle se
recria!... Je lui pris le Con par force. Elle se recueillit, &
me dit: -- Signéz dumoins pour ceci? -- Oui; si je te gamahuche-.
Elle ne m'entendait pas. Je m'expliquaí, ajoutant: -- Et
jusqu'à la décharge, ou le plaisir, de ta part, inclusivement-?
Elle refléchit... Puis soupirant: -- Hâ! combién vous me
l'avéz fait! Mes rêves étaient causés par vous-!.... Elle se
mit à la renverse sur le lit, en me disant: -- Satisfaites-vous!
&.. ne me.. trompéz pas!... gamahuchéz.. mais je veux
être pucelle le jour de mon mariage avec M. Vitnègre; c'est Un
Home veuf, & Mad. Conprenant dit qu'il s'y connaît-. Pendant
ce discours, je rassasiais mes ïeux dabord de la vue du plüs
ravissant des Connins; de celle d'un ventre uni comme
l'ivoire; d'une cuisse d'albâtre; d'un cùl de satin. --
Depêchéz-vous? -- J'inventorie ce que nous devons livrer à ce
M. Vitnègre, & tout est bién conditionné, une chose que je te
diraí exceptée. Gamahuchons-. J'etais enragé! Je la lèchais
avec fureur, guettant l'instant de l'émission de sa liqueur
virginale, pour me jeter sur elle, & l'enfiler. Elle émit dès
le sixième coup de langue; desorte que je ne le pouvais
croire. Mais biéntôt ses tremoussemens m'en convainquirent.
Alors, quittant le Conin, je me jetaí sur elle. Enivrée de
plaisir, il est certain qu'elle m'aurait laissé tout faire:
màis son jeune Connichon, quoique bién humecté de son foutre &
de ma salive, ne put être penetré. L'experience qu'il faut,
pour enfiler certaines Pucelles, de la pomade ou du
beurre-fraîs, ne m'était pas encore acquise... A la fin, elle me
saisit le vit, pour me debusquer. Pressé de sa main douce &
blanche, il déchargea, & couvrit d'Un Foutre azuré, son con,
son ventre, ses cuisses & sa main. Propre comme elle le fut
toujours, elle se debarrasse, & court se laver. -- Qui ne
dirait (m'écriaí-je) en la voyant s'éponger cùl, cuisses &
Coniche, que je l'aí enconnée!... -- Hâ! si vous étiéz
raisonable!.. (répondit Conquette-Ingénue), ce joli
gamahuchage, tant que vous voudriéz; car j'aí eú bién du
plaisir! -- Voila un joli mot-! Et je lui fis darder la langue
dans ma bouche, Moi lui tenant le Conin. -- Mais (reprit-elle),
pas ce qui M'a salie, dans ce que je viéns de laver! je veux
étre honnéte-femme. -- Tu dois ton joli Con à ton Père, ma
charmante Fille! -- Si vous étiéz plûs riche, je renoncerais au
mariage, & je me dévouerais à vos plaîsirs. Mais il me faut Un
Mari, pour cesser de vous étre à charge-. Touché, je la baisaí
des piéds à la tête, souliér, jambe, front, oeil, bouche, cou,
tetons, cuisses, cùl, enfin motte, jusqu'à ce qu'elle
déchargeât... Ensuite, je signaí tout ce qu'elle voulut...
Elle étàit adorée, en ce moment.. Elle se maria, sans Me
revoir, & M'évita pendant trois mois. Une pareille conduite Me
rendit furieux contr'elle, & je juraí de la foutre & faire-foutre,
si elle retombait entre mes mains, Mille-&-Une-Fois,
avant que de lui pardonner!... Mais savais-je alors qu'elle
était malheureuse?




IX Chapitre.

Chap. Des Dedommagemens.


VICTOIRE-CONQUETTE, ma seconde Fille, était en Province,
depuis la mort de sa Mére, chéz sa Tante Jenovefette, alors
mariée avec son derniér Entreteneur. N'ayant plus de Con à ma
devotion, je redemandaí Victoire. En attendant qu'elle
arrivât, je m'accomodaí de deux petits Conins encore imberbes,
ou dumoins à Poil-Follet, que je parvins à perforer, en les
pomadant. C'étaient la Soeur & la Maîtresse de mon Secrétaire,
qui lui-même Me les livra, comme On le verra par la suite.
Nous foutions jusqu'à sa vieille Bellemére; ne voulant pas
aler aux Putains.

Dès que Victoire fut arrivée, je la fis chausser comme sa
Soeur, à talons minces-élevés; & cette Enfant, qui atteignait
quinze ans, me fit autant bander que son Aînée. Mais je ne
cherchaí pas à la déflorer, elle ne me servàit qu'à Me mettre
en humeur, & à me faire enconner plûs vigoureusement & Minone,
& Conette, Soeur & Maîtresse de Traìtdamour mon secrétaire, ou
leur Bellemére. Pour cela, quand Victoire rentrait parée,
chaussée, je la saisissais par la jupe, & je l'asséyàis sur
mes genoux, à-crû, Moi deculoté, quand je le pouvais: je me
fesais caresser, donner de petits coups de langue. Si j'étais
à-crû, mon vit lui alait entre les cuisses comme le batant
d'une cloche: si elle n'était pas troussée, comme elle était
fort-innocente, je Me fesais empoigner le vit, en lui disant:
"Mignone, serre-moi le doigt, fort! fort"! Minone, Conette, ou
la Bellemére arrivàient toujours, Traìtdamour en alant
chercher Une, dès qu'il me voyait m'enfermer avec Victoire: En
les entendant, je remettàis la charmante Enfant dans sa
chambre par une porte-derobée; j'ouvràis, & je foutàis
delicieusement, les couilles chatouillées par Traìtdamour. Il
enconnait ensuite la Même, Soeur ou Bellemére, & je lui maniais
les couilles.

Je Me seràis contenté de cette vie pendant longtemps, quoique
toujours amoureux de Conquette-Ingénue, devenue Mad. Vitnègre,
si mes Soeurs Marie & Jenovefette n'eússent trouvé indecent que
je gardasse Victoire seule chéz Moi. Elles M'obligérent à la
mettre en apprentissage pour le linge, chéz des Devotes
qu'elles M'indiquèrent. Mad. Beauconnin l'y conduisit.
Heureusement que la chère Fanfant M'avait, depuis quelques
jours, donné la conaissance d'Une grande & superbe Femme-separée,
son Amoureuse éperdue, sans que la naïve Victoire
s'en doutât, & que cette Belle-femme M'en croyant amoureux
aussi, foutit sous Moi avec fureur. Car elle M'appelait alors
son Papa, & Me disait: -- Enconne; enconne... enconne ta...
provocante Victoire! ta... passionnée, ta... tendre Fille-!




X Chapitre.

Chap. De l'infame Mari.


Mais le moment approche, où je dois recouvrer Conquette-Ingénue..
Mon desir le plûs vif, même dans les bras de Mad.
Moresquin (l'Amie de Victoire), était de faire Vitnègre cocù!
Un-jour, ma Conquette me rencontra sur le pont-Notredame. Elle
étàit malheureuse: elle vint se jeter dans mes bras. Je fus si
ému, que toute mon anciénne colère s'évapora. Ma delicieuse
Fille était encore embellie dans les douleurs. Mon premiér
mouvement fut de lui prendre le con. Mais nous étions dans la
ruë... J'alaí la voir dès le lendemain-soir, à l'heure où elle
M'avait dit que son Mari, ou plütôt son Monstre, n'y était
jamais. Je la trouvai seule en-effet; & dès cette premiére
visite, elle m'avoua qu'elle avait Un Amant. Ravi de cette
confidence, qui M'annonçait le cocúage de Vitnègre, je la
flatái, je l'amadouái; je l'engageái à se le laisser mettre
par Timori (son Galant). Mais je compris biéntôt que c'était
des deux côtés, un amour absolument Platonique, où Conquette-Ingénue
se consolait auprès d'un Bandalaise, des brutalites
d'un Débaûché. Elle aimait à parler de son Amant: Et comme
j'étais le seul, avec quî elle le pût en sûreté, que je promis
de leur procurer des entrevues, je fus cheri.

A la seconde visite, Conquette me découvrit quelques infamies
récentes de Vitnègre. Un-jour qu'elle se baissait, pour
ramasser quelque-chose, il lui fit prendre le con par Un de
ses Amis. Elle s'écria. -- Ce n'est rién qu'un con de pris (dit
froidement Vitnègre)... (à son Ami): -- Ne t'avais-je pas bién
dit, qu'elle avait le poil du con plús satiné que de la
soie?... Hé-bién, le dedans est plús doux encore-... Conquette
voulut se retirer. Il la retint brutalement, la fit mettre sur
lui, la troussa jusqu'aux cuisses, & lui tint le con,
s'efforçant de le faire voir, ou de la branler, pendant tout
le temps qu'il fut à raconter, combién, quand elle le voulait,
elle donait de plaisir à son Caresseur. -- Mais (ajouta-t-il),
elle est comme les Putains; il faut la rosser, pour lui faire-faire
son devoir-. Il voulut ensuite lui decouvrir la gorge.
Elle s'échappa. Mais il l'atteignit d'un coup de piéd....
Quelques-jours après, le Meme étant venu dîner, après le
caffé, Vitnègre s'étant aperçu que sa Femme, après avoir
pissé, avait fait bidet, dit à Culant son ami: -- Voila un con
bién propre! il faut le gamahucher tous-les-deux, d'adresse ou
de force? Mais dans ce derniér cas, ne t'étonne pas du
bruit!... Pour le premiér, voila une cléf; elle ouvre la porte
du cabinet qui donne sur le corridor. Tu entreras, quand
lassé, je dirai très-haut: -- Alons, Madame, faites-moi beau
con, & recommençons-. Et donne-t-en! car je voudrais que toute
la Terre foutît la Garse: elle n'est pas asséz large-...
Conquette fut rappelée. Le Mari la fit asseoir au milieu
devant le feu, mit à l'air son vit, ses couilles de Mulâtre, &
dit à son Ami d'en faire autant. Comme il hesitait: --
Decùlote-le tout-à-l'instant, Bougresse, ou je t'arrache les
poils du con à la poignee-! Et il y porta la main. Elle fit un
cri. Culant mit aussitôt à l'air son vit & ses couilles, en
demandant grâce pour elle. -- Alons, Bougresse, branle-nous
tous-deux, Un de chaque main?... Je suis son Maître (ajouta le
Scelerat); elle m'est abandonnée-. Conquette pleurait. L'Ami
demanda encore grâce pour elle... -- Hé-bién, qu'elle me suce
le vit, là, à-genoux devant moi, que je lui decharge dans la
bouche? Je dechargeais dans celle de ma première Femme, qui en
est morte, & c'était mon delice. Culant observa, que ce serait
gâter la plús jolie des bouches. -- Hé-bién donc, je vais la
gamahucher. -- Je banderais trop! (dit Culant): passéz dans ce
cabinet-. Vitnègre y poussa Conquette, & se substitua Culant.
Puis il sortit pour aler jouer. Culant gamahucha, & n'osa
foutre Conquette, ayant le vit si petit, qu'il ne pouvait être
pris pour Vitnègre. Mais il dechargea six fois, & Conquette le
double. Il se retira, en lui donnant un coup-de-poing, afin
qu'elle fût persuadée que c'était Vitnègre. Mais le soir, à sa
rentrée, le Monstre dit à sa Femme: -- Hé-bién, Bougresse?
as-tu été asséz gamahuchée? ce n'était pas Moi; je ne t'aurais
fait l'honneur de decharger six fois; c'était mon Ami. Mais,
Garse, tu l'as reconnu, puisque tu en as dechargé douze, & que
tu ne bandes pas pour Moi. Et le bon coup-de-poing qu'il t'a
donné, héin? l'as-tu senti? (l'Infame éclata de rire). Alons,
Garse de bâtarde d'Avocat, te voila putain; j'entens que ton
con me rapporte-. Effrayée, Conquette se promit de le quitter.
Ce fut le lendemain qu'elle me rencontra, & de ce moment elle
prit de la fermeté contre le Monstre

Ce recit de ma Fille, quoique plûs gazé dans sa bouche,
m'avait revolté! je lui promis un prompt secours.... Mais
en-même-temps il me fesait bander en Carme, comme tous les recits
de brutalités libidineuses. Je demandái des faveurs? On
rougit; mais On Me laissa baiser un joli souliér vert, qu'On
portait pour la premiére-fois. Je M'en tins là. Cependant à la
visite du lendemain, je glissái en riant, une main dans son
dos; insensiblement j'en vins aux tetons, qu'elle defendit,
mais qui me restèrent enfin. Je me fis ensuite donner de ses
cheveux; puis voulant voir jusqu'où je pouvais la mener, sans
l'effaroucher, je la tourmentaí pour avoir une petite touffe
des poils de son con soyeux. Elle me la donna; mais en
tremblant que son Mari ne s'en aperçût! Pour la remettre, je
la fis parler de son Amant; & pendant cet entretién, de
libertés en libertés, je parvins au con. Elle était si
parfaitement á son sujet, que je crois en-verité qu'elle
s'imagina que c'était Timorì qui lui tenait la motte!... Je
lui dis, en la patinant, que je lui avais trouvé une pension,
pour quand elle aurait quitté Vitnègre. Elle rougit de
plaisir, & m'embrassa. Je lui dardaí ma langue, & elle me fit
sentir la sienne... Ravi, j'alais lui demander le Recit de la
Maniére dont elle avait été depucelée? Quand Vitnègre s'étant
fait entendre, je me jetaí dans le cabinet obscur, me
proposant de m'évader par la porte du coridor. Mais je fus
étrangement surpris de voir un Moine introduit par cette
porte! Il ne m'aperçut pas; je me cachaí derriére un grand
sofa. Vitnègre entra aussitôt par la porte de la pièce que je
quittais. -- Mon Reverend-Pére, vouléz-vous la foutre avant
dîner-? Le Moine, qui devorait des ïeux la belle Conquette
à-travërs les vîtrages, parut concentré... Aubout d'un moment,
il repondit:




XI Chapitre.

Chap. Pucelage des iné aux gros Vits, pris par un petit.


-- Non: Comme nous en sommes convenus, passéz dans la chambre
éclairée; faites-moi voir, en badinant avec elle, tetons, cùl
& con: je me reserve pour la nuit. -- Hô! ce coup-ci serait
pardessus le marché. -- Non: j'aime à foutre au lit, à suçoter
langue & tetons; à enconer, enculer, entetonner, &c. à mordre,
arracher les bouts... Aléz... Ayéz le vit à l'air, & qu'elle
soit bién chaussée... De la brutalité-! Vitnègre rentra
deculoté auprès de sa Femme toujours tremblante devant lui.
Alons, Bougresse, il me faut du plaisir? Voi comme je bande, à
la vue de ce joli soulier vërt?... J'aí entendu hier un
Jeanfoutre derriére toi, qui disait, qu'il aurait voulu
decharger dedans... A-bas ce fichu, que je voye tes tetons..
Comme ils sont jolis! blancs!... fermes! Hâ! Garse!
j'arracherais ce joli bouton, si je ne craignais de les
gâter!... Marche.... Quel tour de croupion foutatif!...
Troussée, Putain, audessus des reins & du nombril, que je voye
ce mecanisme-là?... Marche en avant, présentant le con...
Retourne-t-en montrant le cùl... Hâ! le joli mouvement!...
Continue, Garse-à-cul & à con, jusqu'à ce que je te dise,
Hôla... (Elle fit ainsi cent tours, montrant alternativement
son cùl, son con)... Cependant le Moine disait: -- Ce Bougre là
n'a pas le vit si gros que moi, & il n'a pu la depuceler! Hô!
comme elle criera cette nuit!... Mais je n'y tiéndrais pas; je
la tuerais; elle crierait à faire venir le Voisinage... Je
m'en-vais-. Et il sortit doucement, en murmurant: Elle est à
tuer; elle le sera-!... Au même instant Vitnègre dit, Hola,
Garse engarsée-. Et il vint dans le cabinet. -- Qu'en dites-vous?
(dit-il): la vouléz-vous essáyer? Je bandais à n'en
pouvoir plus; je répondis bién bas pour le Mone. -- Oui-.
Vitnègre ala chercher sa Femme; & la poussant brutalement, --
Alons, de-par-Dieu, Garse, Putain, que je te foute... Hâ!
comme tu vas crier! Mais songe, s cré Conin de Poupée, à ne
pas faire venir ici les Voisines! ou je les laisse tous
entrer, sans me deranger de sur ton sacré ventre-!... En
achevant ces mots, il me la renversa troussée sur le foutoir
mis là exprès, & se retira. Je me précipitaí sur ma Fille, qui
se sentant enfiler presque sans douleur, ne criait pas. -- Crie
donc! (lui dis-je bién-bas). Et elle cria à-tue-tête, en se
reconnaissant enconnée par un Etrangér. Dès que j'eús dechargé
delicieusement, en lui fesant osciller le con, je m'échappaí,
avant que les Voisines arrivassent; & comme elle continuait à
crier, je les envoyaí à son secours. On la trouva debout. --
C'est ma Femme que je baisais (dit Vitnègre). Regardéz y; il
en est encore tout barbouillé. Mais elle est du naturel des
Chates; elle mord & crie, quand On la fait bién-aise-. Les
Voisines rirent, & se retirèrent. Vitnègre dîna, & fut asséz
honnête; il craignait que sa Femme n'eût connu qu'elle était
foutue par un Moine, & qu'elle ne parlât.. Je dînais dans un
cabaret en face. Je le vis sortir, & aussitôt je retournáí
chéz ma Fille, qui me conta tout. Je me tus dabord.

Je lui fis raconter la manière dont je croyais qu'elle avait
été depucelée; parceque ce recit avait du haut-gout pour moi,
& qu'il me ranimerait asséz, pour me la faire foutre encore.
Elle le fit, dès que je l'eús mise en goût, en lui rapelant de
son Amant.

-- Notre première nuit et les trois suivantes, ont valu chacune
cinq-cents louis à Vitnègre, à ce qu'il m'a dit par la suite.
Dès que nous fumes arrivés à sa demeure, il alluma quatre
bougies, qu'il mit autour du lit, sur lequel il me renversa
troussée jusqu'aux reins. Il me tourna, retourna, m'examinant,
me baisant partout: Il me fesait lever les jambes en l'air,
puis mettre debout sur le lit. -- Remue du cul (me disait-il),
ainsi, ainsi (me montrant), comme si je te foutais-. Je lui
observai, que cela était indecent. -- Bast! une Femme est la
Putain de son Mari-... Il me gamahucha. Il s'écria de toutes
ses forces: Elle decharge-! Et il me fit empoigner son gros
membre, de la couleur & de la grosseur de celui d'un Cheval. --
Alons! alons, que je te foute, à-présent-. Il se jeta sur moi.
Mais il ne put rién. -- Foutre! Celles qui disent que ton Père
t'a depucelée, sont des Garses! tu es pucelle comme quatre. Je
voudrais que tout le monde fût-là, pour en étre temoin-......
Il me pomada... devant, derrière. Il éteignit les bougies (mon
pucelage était vendu), & il parut se coucher. Mais ce fut
Un-autre; car toute la nuit je fus tourmentée par un gros membre,
qui ne put rién-... [Depuis le mot de son recit, Elle
decharge! elle decharge! j'avais glissé une main entre les
cuisses de ma Fille, sans qu'elle s'en plaignît. Ici, je lui
hâpái le Con. -- Hâ! Papa! ne me menagerez-vous donc pas plûs
que les Autres, un-jour où... j'a été depucelée! -- Depucelée!
hâ! celeste Fille!... Est-il bién vraì? -- Jamais On n'est
entré... dans ce que vous me tenéz... qu'aujourd'hui! -- O
Fille adorée! je suis un Dieu, & non pas un Home... Mais tu
m'as fait trop bandér: ta précieuse faveur?... ou..
j'aurais... une colique spermatique épouvantable-! Et je
l'enlevái vivement dans mes bras; je la portai dans le cabinet
obscur.




XII Chapitre.

Chap. Du plus delicieux des Incestes.


-- Vous voila tous! (me dit-elle); & mon Papa lui-même ne me
rechèrche que pour ce trou-là! -- Et pour ton cùl, tes tetons,
ta bouche, tes ïeux, ta tâille voluptueuse, ton tour
provocant, ta jambe, ton piéd foutatif, ton âme naïve &
virginale, malgré tout ce qu'on a fait, pour te rendre putain-.
En parlant ainsi, je la troussais par derrière, courbée
qu'elle était sur le foutoir, & je me disposais à le lui
mettre en levrète: mais il la falut pomader. Elle reprit: --
Mais c'est ma faute! ces recits-là enflâment tous les Hommes:
Timorì n'a été prêt à me deflorer qu'une seule-fois; & ce fut
après ce même recit moins detaillé-. Cependant elle faufuyait,
pour que je ne l'enfilasse pas. Je m'en plaignis tendrement: --
Tu veux donc me rendre malade, ma chère Fanfant-? Elle
s'attendrit; ses beaux grands beaux ïeux bleus devinrent
humides: elle se cambra, pour me l'inserer elle-même, & me
dit, en me secondant, malgré quelque douleur, adoucie par la
pomade: -- Quand ma Soeur & moi nous voüs l'avons vu tant de
fois mettre ainsi à ma Mère, sur le piéd de votre lit, vous
criiez de plaisir!.... n'aléz pas en faire autant! Vitnègre
peut revenir-? Je lui promis le silence, telles delices que
j'éprouvasse... J'enconnais. Ma Belle fesait de petits
mouvemens de contraction du Conin. Jamais satin ne fut aussi
doux que l'interieur de ce Conin celeste: Conin encore imberbe
n'est pas plüs étroit! -- Hâ! si ton Gueux avait connu le prix
de ton divin Con, il t'aurait defoncée, eússes-tu dû en perir.
-- Non: comme il l'a trop gros, il craignait de m'avachir: Il
se branle, ou me fait le branler, en me tenant le poil, ou une
fesse, & decharge... en... blasphemant-. (Elle se contracta,
et dechargea). Je partis alors delicieusement, en me recriant,
malgré ma promesse. -- Remue du croupion (ne cessais-je de
dire), remue du Conin, mon Ange?... Bon,.. bon!.. encore?
encore-?... Et elle se contractait, en redechargeant, au-point
que le fond de son Con me pinçait, & me suçait le bout du
vit.... Je dechargeai trois-fois, sans deconner: & elle,
peutêtre dix-fois. Ce que je sentais à ses tremoussemens
convulsifs. Enfin, elle se pâma... Je deconnai, dès qu'elle
cessa d'émettre. Elle se lava aussitôt, craignant que
Vitnègre, en arrivant, ne lui prît & ne lui flairât le Con,
suivant son usage, même devant le monde qu'il amenait.

Pour nous reposer, nous alames causer à la lumière. Je lui
revelai là toute l'avanture du Moine, pour lequel Vitnègre lui
avait fait si longtemps tenir en vue tetons, cùl, Conin: je
lui peignis la grosseur du vit du Moine, le double de celui de
son Monstre: la joie barbare qu'avait marquée l'execrable
Moine, à-côté duquel j'étais caché, de la pourfendre & de la
tuer, la nuit prochaine, avec son vit comme un timon de
carosse... Elle se jeta dans mes bras: -- O mon cher Papa?
sauve-moi? & je te suis devouée à jamais? -- Je te sauverai..
Je lui expliquai comment, & pourquoi le gros Moine s'en était
alé; l'assurant que je l'aurais poignardé, s'il avait
entrepris de la violer sur-le-champ. Je lui detaillai comment
son abominable Mari me l'avait livrée, comptant la donner au
Moine, auquel elle était vendue. -- Tu sais, ma ravissante
Fille comme je te l'ai mis? c'est moi, contre tout espoir &
toute vraìsemblance, qui ai ravi à nos Ennemis, ton celeste
pucelage-?

Conquète me donna un joli baisér sur la bouche. -- Mais comment
me sauveras-tu? -- Je viendrai te prendre dans une heure; je
t'emmènerai; tu coucheras dans ta pension: Aussitôt que tu
seras en sûreté, je ferai entrer dans le cabinet obscur, avec
ta cléf, & coucher dans ton lit, la jolie Putain du Port-au-bléd,
deja prévenue, comme pour y coucher avec moi. Je
guetterai: Dès que Vitnègre & le Moine seront arrivés, je
m'échapperai. J'écouterai; et nous verrons demain-. Ma Fille
fut ravie.. Je la sauverai: mais j'aurais dû l'emmener au
moment même. Aulieu de cela; je m'amusai à lui faire raconter
la seconde et la troisième nuit de son mariage.




XIII Chapître.

Chap. Du Con & du Cul vendus.


Voici comme ma celeste fille reprit la narration que je
désirais:

-- Le second soir, Vitnègre recomença les mêmes choses. Il me
prenait legèrement la gorge: -- Ferme comme un gland-!
(disait-il)... Il me plaçait comme s'il m'avait montrée à Quelqu'un
(ce qui n'était que trop reel!) Après avoir mis en vue ma
Conque, il me tournait pour faire voir mes fesses. -- Elle est
encore pucelle (dit-il, comme s'il se fût parlé à lui-même):
pour la perforer, il faudrait la pomader en diable, & se
pomader à soi-même le v...-. Il me gamahucha violemment; &
quand j'eús émis suffisamment, selon lui, il me laissa
reposer. Après un court sommeil, je m'éveillai couchée sur le
ventre, ayant sur moi un Homme, qui s'efforçait de
m'introduire dans le fondement un fort gros membre. Mais
quoiqu'il n'eût aucun égard à mes soupirs douloureux, il ne
put jamais s'ouvrir le passage par la rosette de mon anus (ce
fut son expression, prononcée très-bas à Quelqu'un).
J'entendis ensuite, dans cette pièce-ci: -- Il faudrait qu'un
v... moins gros que le mién, me la fraye... Voyons, toi! Trop
gros, de beaucoup-!... Je n'y comprenais rién. Je m'endormis,
& ne m'éveillai plus.

Le lendemain, dans la journée, Vitnègre m'ayant beurré la
rosette, & plongé son membre dans l'huile d'olive, me fit
coucher sur le ventre & retrousser. Il se mit sur moi, en
disant: -- Il faut que j'en tâte de ce ragoût de Bougre-. Je
lui représentai, qu'il m'avait essayée toute la nuit. -- Ça va
jusqu'à toi (me repondit-il), & ça te passe.... Hâ! que
d'argent me vaudraient ces deux Bijoux-là, s'ils étaient
connus-! Il fit tous ses efforts, me martyrisa deux heures
durant sans succès, & finit, parcequ'une copieuse dech--ge...
lui ôta sa roideur & ses forces....

Le troisième soir, il repeta encore tout ce qu'il m'avait
fait... A mon reveil, dans mon premiér somme, je me trouvai
sur le dos, ayant un Homme sur moi, qui m'attaquait le Bijou
de toutes ses forces. Je m'écriai! Vitnègre me dit: "Decharges
tu, ma Fille"? On me quitta, & Vitnègre ajouta: -- Si tu cries
comme au feu, dès que je voudrai te le mettre, nous voila
bién!.. Alons, empoigne-moi le vit, que je dech--ge...
Chatouille-moi les coui-les de l'autre main... Tiéns, comme je
fais à ton C-n. Va, va, va... vaah-. (Il ne m'appelait encore
ni Putain, ni Garse; ce ne fut qu'aubout de six semaines).
Mais ce n'était pas lui que je maniais; j'en ai fait
l'observation depuis. On émit six fois de suite, je secouai
cet Homme plûs d'une heure. Il en fut une autre à me
gamahucher. Je n'en pouvais plus!... Il me fit ensuite lui
pisser dans la bouche, & n'en perdit pas une goutte, il avala
tout. Il me laissa enfin.... Si je n'avais pas été dans une
securité parfaite, je me serais bién aperçue, que Vitnègre le
reconduisait, en disant. -- L'operation, l'operation-! Mais me
doutais-je de rién?...

Je rebandais, malgré quatre decharges, et deja je disais à ma
Fille: -- Conin celeste, je n'en puis plus?... Je ne te
cacherai pas, ma delicieuse Amie, qu'outre ma passion pour
toi, qui est inexprimable comme ta beauté, j'ai un excitatif
puissant: c'est de faire cocu Vitnègre. Je voudrais, s'il
était possible sans triturer tes charmes divins, que toute la
Terre te passât par le con, pour qu'il fût le cornard
universel... Viéns me donner le bonheur-? Et je l'emportais,
quand nous entendimes tourner la cléf. Je me cachai aussitôt
dans le cabinet obscur.. C'était Vitnègre, qui rentrait avec
un Jeunehomme. Nous entendimes clairement, qu'il lui disait
avant d'entrer: -- Tu as le Vit cumme il le faut: c'est ce qui
me fait te donner pour six bougres de louis, un pucelage qui
en vaut mille. Il est essenciel que je te surprènne, et
veuille la tuer: Tu me supplieras, et je n'accorderai sa
grâce, qu'autant qu'elle te secondera, pour l'enconner. Mes
gros Vits s'ennuient de ne pouvoir la Foutre ou l'Enculer. Ils
me paient une grosse pension: Aussi je la nourris bién, et tu
vois comme elle est mise. Tu me l'enconneras dabord: c'est le
plus pressé: Demain, tu l'enculeras. Sache que son Mari
l'adore; s'il la rudoie, c'est pour la rendre souple à toutes
ses volontés. Elle me vaut trente-mille francs, en trois mois
de mariage. Entrons: elle va te ravir: mais point de pitié-?
Tel fut le discours du Monstre.... Je poussai Conquette devant
moi; je la conduisis à sa pension, d'où elle revint avec moi.
Il était nuit. Je pris Conillette la putain, arrangée,
appetissante. Conquette nous précedait. Rassurée par ma
présence, elle ouvrit le Cabinet obscur. Elle entra. Nous la
suivions. Je dis à Conillette de s'étendre foutativement sur
le pied du lit... Cependant ma Fille se présentait. Elle fut
reçue avec transport? Le Jeunehomme, appelé Lenfonceur, et
Vitnègre lui-même, la couvrirent de louanges. On ne lui baisa
que la main. Vitnègre neanmoins, qui (de même que les trois
Fouteurs à gros vits, et le Moine), était fou de sa chaussure
à talons minces élevés, lui baisa le piéd. Il lui dit ensuite:
-- Ha-ça, ma Fille, alons-y par la douceur: Il serait
malheureux pour moi de renoncer à te le mettre: il faut se
faire une raison: mon Vit est trop gros: non préparée, il te
dechirerait: Voici un vit mieux proportionné, qui va te
perforer, sans decharger: ainsi percée, mon gros Vit penetrera
cette nuit au fond de ton con: Voi-moi ce vit-là-?... Et il
mit à l'air le vit de l'Enfonceur, ou plütôt de Timori... Il
falait que Vitnègre eût decouvert, on ne sáit comment,
l'inclination de sa Femme inspirée par le beau Blond, pour en
user come on va le voir.




XIV Chapitre.

Chap. Le Jeunehomme, la Fille, le Moine.


Ma Fille, en reconnaissant son Amant, que son Mari lui amenait
pour l'enconner, avait rougi de pudeur, ou de desir. Elle
trouva moyen de venir à moi, pour me dire: -- Faites
disparaître la Fille; on ne l'emploiera que cette nuit-. Je
vis bién qu'elle voulait être foutue par son Galant. Je cachái
la Putain. Voici maintenant le recit de ce qui va se passer:

Dès que Conillette se fut comodément arrangée derrière le
grand sofa, Conquette retourna auprès des deux Homes, qui la
rapportèrent au foutoir, assise à cùl-nu sur leurs mains
unies. "Alons, ma Petite Garse de Femme, (lui disait
Vitnègre), tu vas pourtant être depucelée, foutue! Mais ce
n'est rién! c'est quand tu auras Un gros Vit, cette nuit"!...
Il la troussait, l'arrangeait. "Lenfonceur, que je te mette le
vit dedans? "Non, non; ma Belle se le mettra elle-même, "Tu as
raison: Il faut qu'elle s'y accoutume". Vitnègre sortit, ét
j'observai qu'il laissait la porte ouverte. J'en augurai
quelque noirceur: Mais j'étais là... Timorì, bién-bas, dit à
ma Fille: "Vous le mettrai-je, ma bonne Amie? "Non, non! il
est alé chercher des Ecoutans [ce mot glaça Timorì]. "Mais il
vous estropiera? "Je ne couche pas ici". Alors l'Amant
satisfait, se mit à la gamahucher doucement. Cependant la
Voluptueuse dechargea...

Elle était aux Anges, quand j'entendis Vitnègre revenir. Je
crus qu'il amenait le Moine. Il entra, passa rapidement, suivi
de trois Voisines, auxquelles il disait, -- Je vas vous
montrer-ça-. Effectivement, il Leur montra que que-chose dans
sa chambre... Cependant mon amoureuse Fille, gamahuchée par Un
Amant aimé, fit un profond soupir. Les trois Voisines
prétèrent l'oreille. "Ce n'est rien (dit Vitnègre); ma Femme
est rentrée, ét je ne le savais pas. C'est pour elle cette
étofe-là. "Hô! il faut la Lui montrer! (s'écrièrent les trois
Voisines). Le Monstre retint Celle qui alait La chercher. Il
prit la lumière, en disant. "Je vais auparavant voir si elle
ne dort pas". Il ne fut qu'à la porte, où il s'arrêta d'un air
de surprise ét d'horreur!... Il recula. Mais les trois
Voisines avaient vu comme lui, pardessus son épaule, Conquette
troussée, étendue à la renverse sur le piéd du lit, la tête
d'Un Homme entre ses cuisses... Il Les fit sortir par le
corridor, en se frappant le front...

Il avait rempli son but. Si sa Femme criait pendant la nuit,
les trois Voisines, qui se croyaient bién au-fait, y
mettraient les Autres: Sì Mad. Vitnègre perissait écalventrée
par le timon du Moine (qui étant extrêmement riche, devait La
payer 60-mille francs, ét qui en avait deja tué plusieurs,
choisissant toujours les plüs étroites), ce serait la Morte
qui aurait tort... Cependant Vitnègre rentrait auprès des deux
Amans, qui avaient changé de position: Lenfonceur, après avoir
dechargé par terre, s'était remis sur le ventre de ma Fille:
"Hé-bién? (dit l'infame Mari), est-elle enfilée? bién
enconnée?... Dechargéz vous? decharge-t-elle? "Nous avons
dechargé (repondit Timorì-Lenfonceur). "Je vas sortir (reprit
Vitnègre): Ramone-la moi encore pendant une bonne demi-heure,
que je serai dehors... Et ne vous étonnez pas de ce que vous
aléz entendre: J'ai mes raisons". Il ala dans le corridor,
dont il ouvrit doucement la porte, ét se mit à crier
sourdement, comme s'il avait bourré sa Femme à coups-de-piéds,
"Hâ Garse! hâ Putain!... Tu fous, sacrée Salope! Quand je suis
sorti, tu raccroches!... Je vais chéz le Commissaire"! Il
ouvrit la porte bruyamment, ét la referma de-même. Mais il dit
tout-bas, avant de s'éloigner: "Remue du cùl, ma Petite
Femme!... Courage; Lenfonceur! fraye-moi la bién"!

"Voila un rusé Scelerat! (dis-je à ma Fille, pendant que
Timorì observait la sortie de Vitnègre): Le Moine t'aurait
tuée, ét il ne neglige rién pour motiver ta mort. "Sauvons-nous!
(me dit-elle). "Non, non: nous sommes asséz pour te
defendre. Feins à Timorì que j'arrive-... Le Jeunehomme
rentra. "Voici mon Papa, arrivé a-propos! "Hâ-oui! (repondit
Timorì), sa présence pare à tout; car j'alais proposer de nous
enfuir. Mais à-présent, voyons ce qui arrivera". Je Lui
montrai Conillette, ét je lui fis entrevoir notre plan, que
Timorì trouva merveilleux!... Le temps s'écoula vite. Nous
entendimes revenir. Timorì reporta la lumière dans la chambre;
nous nous cachames ma Fille ét moi; tandis que le Jeunehomme
s'étendait sur le ventre de Connillette troussée... "Que ton
vit ne m'approche pas! (lui dit-elle), je suis gâtée; que tes
couilles ne me touchent pas le poil; jai des Morpions-!.....
Vitnègre entrait, suivi du Moine, que le Voisinage aux
fenêtres prit pour le Commissaire.




XV Chapitre.

Chap. Du Fouteur à la Justine.


Le Moine ôta dabord sa robe. Mais nous l'avions tous vu. Il
mit ensuite à l'air un vit, si monstrueux, que ma Fille
tremblante m'étreignit dans ses bras "Hô! qu'il est gros (dit
Vitnègre). "Il a tué deux de mes Soeurs Religieuses, qui
avaient fait chacune deux Enfans de notre Prieur: J'ai tué
toutes les Femmes que j'ai enconnées: il n'y a que ma Mère que
je n'ai pas écalventrée; mais je n'eüs pas de plaisir; La
Vieille Garse ne saigna presque pas! j'eüs peu de plaisir...
Pour ta Femme... hâ. quelle rage!... Mais elle est foutue...
elle sera morte avant que j'aye achevé de l'enconner... Je
l'enculerai expirée... Je t'en apporte le prix: 60-mille
francs en billets de la caisse.... Vitnegre le compta; les
serra. "Si je pouvais l'enconner une pauvre fois! "Tu te fous
de moi!... Apres, après: elle sera encore chaude".... Je
fremissais! et comme j'avais deux Pistolets chargés, je fus
tenté de brûler la cervelle à ce Monstre: mais il alait avoir
la verole... "Vouléz-vous, avant qu'elle soit abîmée, lui voir
le con? sa jolie figure? "Non! cela m'amollirait le vit....
Conduis-moi sans lumière". Ils vinrent à tâtons.

Vitnègre précedait, pour éloigner Lenfonceur. Trouvant une
Femme seule, ét troussée, il voulut Lui mettre, en soupirant,
sa langue dans le Con. Elle L'en empêchait, quand le Moine
faillit de l'écrâser, en tombant sur la Fille. Vitnègre fut
obligé de se retirer a quatre -- Le 1ér acte du Père Foutàmort
(comme Vitnègre Le nomma), ce fut de mordre le bout des tetons
de sa Monture, en Lui dardant son engin, qui ne pouvait entrer
dans ce vaste Con, encore élargi par une éponge, que la Fille
venait d'en ôter. Conillète fit un cri perçant! et se sentant
dechirer le Con, elle voulut se derober, en égratignant des
deux mains. Foutàmort, qui savait bién qu'elle ne pouvait en
échapper, ét dont le plaisir était d'autant plüs grand à tuer
une Femme, qu'elle était plüs belle ét plüs étroite, ne la
menagea pas: tout en l'écartelant, il lui arracha le bout des
seins avec ses dents. Un profond évanouissement, ou la mort,
fit cesser ses cris... Je me repentis de n'avoir pas dabord
tiré un coup de pistolet à bout-portant dans la tête du
Moine... Mais les Voisins au bruit auraient peutêtre enfoncé
les portes: ce fut ce qui me retint... Foutàmort parvenu au
fond du Con de la Fille écalventrée, dechargea enfin en jurant
ét rugissant.

"Fous un coup (dit-il à Vîtnègre), avant que j'encule la
Garse"? Le Scelerat vint: mais sentant un cadavre plein de
sang, il se retira. "Elle est morte! (dit-il). Foutàmort la
tâta: "Non; le coeur bat encore: vite que je l'encule". Le cùl
de Conillète était bién plüs étroit que son con; le Moine
haletait. Il en vint cependant à-bout: car il dit à Vitnègre:
"Je n'ai fait qu'un trou des deux". Et il dechargea
horriblement!.....

Ma Fille épouvantée, m'étreignait par le milieu du corps.
Vitnègre pleurait: "Ma pauvre Femme! je t'ai livrée à ton
Bourreau! "Ne te L'ai-je pas payée? (dit le Moine): Elle est
bién à moi... Ainsi, va te coucher, ét fous tes 60-mille
livres: tu me gênes. Pour moi, pendant qu'elle est encore
chaude, je vas, pour mon argent, foutre cinq à six fois le cùl
ét le con de ma Putain". Vitnègre ala se coucher dans un petit
cabinet, où il s'enferma.

Aussitôt Foutamort s'acharna inépuisablemt sur sa Victime
expirée.... Enfin épuisé, il ala chercher la lumière, pour en
repaître ses cruels regards... J'ai dit que la Fille était
jolie. "Elle est belle encore! (dit le Monstre): Mais la
figure de la Putain est toute bouleversée; elle ne se
ressemble plus à elle-même... Il lui regarda le Con, en lui
soulevant le cùl... Il la laissa retomber, en éclatant de
rire: "Ma-foi, la Gueuse n'a plus qu'un cùl, ou qu'un Con...
je ne sais lequel... Mais est-elle bién morte"?... Il la
deshabilla, l'emporta nue dans l'autre pièce, la mit sur une
grande table; ala prendre un vaste saladiér; tira un bistouri
[Nous Le voyions par la cloison vîtrée]: "Decharnons-La". Il
lui cerna la partie charnue des seins, la motte tout-entière,
la chair des cuisses; lui fendit le ventre, lui arracha le
coeur, les poumons, le foie, La vessie, La matrice; La
retourna, Luî enleva la chair des fesses, lui coupa les piéds
chaussés, qu'il mit dans une poche, les mains, qu'il serra
dans l'autre. Il La retourna encore; Lui coupa la langue, la
tête, ôta la chair des bras. Il vint ensuite chercher sa
chemise ét un drap du lit, en disant: "Voila un bon regal pour
nos Moines ét pour moi". Le terrible Anthropophage mit le
saladiér dans la chemise; ensevelit le corps dans le drap; fit
lever Vitnègre pour le coudre; puis il Lui dit de publier le
lendemain, que sa Femme se mourait; de La mettre le soir dans
une biére, ét que Lui Moine se chargeait de La faire enterrer.
Et après Lui avoir recomandé de bién effacer au grand jour
toutes les traces de sang, il sortit vërs les 3 heures du
matin, emportant son saladiér de chair humaine.

Vitnègre pleura dabord. Mais nous ayant entendu remuer, pour
sortir, le Lâche eüt une frayeur si grande, qu'il ala
s'enclore dans son petit cabinet. Nous sortimes donc tout à
notre aise. Comme nous traversions la petite cour, nous
entendimes les Voisins qui disaient fort-bas: "Il ne l'a pas
tuée; voilà qu'On l'emmène"!... Nous nous mimes à fuir par de
petites ruës, dès que nous fumes dehors, de-peur d'être
suivis. Et bién à-propos! nous entendimes courir. Mais On ne
prenait pas notre chemin. Je remenai ma Fille à sa pension,
laissant là Timorì, pour observer, ét lui promettant de
revenir dans une demi-heure.

"Voila donc (me dit-elle), quel serait à-présent mon sort, si,
en vous accordant mes faveurs, je n'avais pas reculé votre
depart! O mon cher Papa! tout mon corps est à vous, pour en
faire ce que vous voudréz"! Je lui demandai sa bouche. Elle me
darda sa langue; et nous arrivames. Je lui dis de se coucher.
"Non, non! ét mes malles.. mes bijoux; si nous pouvions les
avoir"? J'admirai sa présence d'esprit!... Il était près de 5
heures. Je courus rejoindre Timorì, qui se promenait devant la
porte. "Rién encore" (me dit-il). Un instant après, nous vimes
sortir Vitnègre. Timorì le suivit, ét j'alai chercher ma
Fille, sa présence nous étant necessaire, si d'officieux
Voisins nous arrêtaient. A mon retour avec ma Fille, ét deux
Crocheteurs, je retrouvaì Timorì, qui nous dit que Vitnègre
avait passé le boulevard. Ma Fille ouvrit: Nous chargeames
quatre malles préparées, mais cachées, nous sortimes sans être
vus, ét nous alames par des rues detournées, chéz mes Affidés.

Ce fut alors que ma Conquète fut tranquille! Elle se coucha,
ét nous alames reposer chacun chéz nous Timorì ét moi




XVI Chapitre.

Chap. Foutoir: Petit Magasin: Enterrement: Amour.


Nous en sommes aux fouteries par excellence; à celles qui vont
agu rrir ma delicieuse Conquette-Ingenue, ma ravi sante
Victoire-Conquette, faire leur fortune, la miénne, en leur
ôtant une fausse delicatesse, & decouvrir une chose admirable,
qu'On ne verra qu'à la fin. La route que je vais prendre; pour
former ces deux Belles & leurs Compagnes, étonnera dabord!
mais en toutes choses, il faut attendre le derniér resultat...
Reprenons ce charmant Recit, en fesant préceder quelques
fouteries préparatoires, qui amèneront les grandes. Mais il
n'y aura plus dans le reste de l'Ouvrage, aucune horreur qui
ressemble à celle du Moine Foutamort. Les horreurs à la Dsds
sont aisées à présenter; c'est la peinture de la douce
volupté, qui est le chéfd'oeuvre du Genie.

La première visite que reçut Conquète, le lendemain, jour de
son enterrement, ét à la même heure, fut celle de Timorì. Il
La trouva chéz ses Hótes. Il venait Lui raconter, comment,
après étre morte la nuit précedente, elle venait d'étre
enterrée. Mais Il ne pouvait parler devant le monde. Or,
j'avais dans cette même maison, à quelques marches au-dessous,
mais sur le derrière, un petit Magasin, où je cachais chaque
N° de mes ANNALES, que supprimait le Gouvernement d'alors. Ma
Fille y devait faire mettre son lit, le soir même: il y aurait
sans-doute été deja; mais elle ne fesait que de se lever. J'y
avais placé pour mon usage, celui de mon Secrétaire, de sa
Soeur, de sa Maítresse ét de sa Bellemère, un Foutoir comode,
dans le ventre duquel on pouvait parfaitement se cacher.
[Vitnègre en avait un tout pareil, dans lequel il se mussait,
quand Un de ses trois Payeurs venait, pour essayer de
depuceler le Con ou le cùl de sa Femme, qu'il appelait, sa
Poule aux oeufs d'or: il voulait tout voir, craignant qu'Un des
Trois ne la Lui enlevât: C'était aussi par volupté; il était
passionné pour la chaussure de sa Femme: Lors donc que
tendrement gamahuchée par Un des trois Bougres (car ils
l'adoraient, ét ils vont bién La regretter); elle émettait, il
lui tirait un souliér, qui se trouvant étroit vërs la pointe,
lui servait de cou: Aussi disait-il à ses Intimes: "Je n'ai
jamais foutu ma Femme qu'en souliér"]. Conquette sentant bién
que Timorì avait bién des choses à luì dire, ét qu'il ne
pouvait parler, prétexta qu'elle avait laissé dans mon magasin
une Lettre à Lui montrer. Elle avait une double cléf: Ils y
descendirent ensemble.

Je venais d'y arriver. J'entendis la marche de ma Fille, sa
voix basse, ét celle de Timorì. Je me cachai dans le Foutoir.
Ils entrèrent. Conquette ferma soigneusement la porte, la
couvrit du matelassement qui empêchait qu'On ne fût entendu
audehors, ét ils s'assirent sur Moi.

"Hâ! Madame (dit Timorì), quelles scenes!... Il avait
decouvert que je vous aimais, à mes regards, ét parcequ'un-jour
étant avec Lui chéz vous, pendant qu'Un de vos Acheteurs
vous caressait sous son nom, il me vit baiser à la derobée une
de vos chaussures. Mais il paraissait ignorer non-seulement
que vous m'aimiéz, mais que je vous fusse connu. Hiër, à 3
heures, m'ayant trouvé au Caffé, il me dit: "Je ne saurais
depuceler ma Femme; j'ai le Vit trop gros: Tu es beau garson;
je tai choisi, pour La depuceler aujourd'hui, à l'instant; je
te demande seulement six louis, qu'elle aura pour ses
épingles". Je les Lui donnai surlechamp, ét nous partímes...
Vous savéz le reste... Ce matin, après vous avoir quittée,
j'ai été me reposer jusqu'a 10 heures, que j'ai été à mon
Bureau. Maìs passant devant sa porte, j'y ai frappé. J'ai
entendu deux Voisines qui se disaient fort-bas: "Le Confesseur
y est! ce n'est donc pas elle qu'On a emmenée cette nuit"....
L'infame m'a ouvert. L'horrible Moine était avec lui. Un Frère
avait apporté la biére bién enveloppée, et il recitait tout-haut
des prières auprès du Cadavre dans le cabinet obscur.
"C'est un Ami (a dit Vitnègre)... Ma pauvre Femme est morte!
"Morte! (ai-je dit). "Elle est expirée dans les bras du
Reverend Père" J'ai fremi de l'expression!... Le Moine a dit:
"J'ai fait toutes les demarches: nous avons la permission de
l'enterrer sans bruit: ce sera pour 3 ou 4 heures". Je suis
sorti...

En revenant de dîner, vërs les 4 heures, je suis repassé. Deux
Prêtres, quatre Porteurs, le Moine ét le Frère, ont emporté le
corps, sans chanter. Il est inhumé. Nous verrons la suite des
évènemens... Je les observerai.

Ma belle Amie! On vons croit morte: vous êtes libre:
M'accorderéz-vous vos précieuses faveurs? "Mon Ami! (repondit
modestemt Conquette), je commence par vous remercier de
l'important service que vous m'avéz rendu! mais Un-autre m'en
a rendu un plüs important encore: seul il m'aurait sauvée: Si
mes faveurs étaient encore à Moi, elles seraient à vous. Mais
elles sont a mon premiér Amant, qui caché, a decouvert toute
la trame: Il venait de me deflorer; il me l'a mis encore
après. C'est votre unique Rival: mais il est adoré: son nom,
que je vaìs vous dire, va vous prouver toute mon estime, ét
que vous avéz toute ma confiance: C'est mon Papa"... A ce mot,
Timorì tomba aux genoux de son Amante: "Fille angelique! Fille
divine! (Lui dit-il), je reconnais là votre piété filiale ét
la beauté de votre âme! Foutéz avec votre Père; que lui-seul
vous enconne! Vous seriéz digne de foutre avec Dieu, si Dieu
foutait!... Mais je demande à vous gamahucher, ét si votre
Papa le permet, à vous enculer? "Mon aimable Ami! (lui
repondit Conquette, en le caressant de la main), vous êtes
bién raisonnable"!.

Timorì se deculota, Lui mit dans la main un vit à pucelage,
plüs petit que le mién, se fit chatouiller les couilles, ét La
voulut branler. Elle s'y refusa. Alors Timorì La renversa, La
troussa, ét lui supa savoureusement le Con... Non, jamais l'On
n'entendit de pareils soupirs!... "Hâ! Timorì.. ta langue vaut
un vit". Elle avait émis dès le troisième coup de langue, ét
dans son delire, elle élevait ses jambes en l'air, fesait
claquer ses jolis talons, haussait du cùl, pour favoriser
l'application de la bouche de son Gamahucheur, ét
l'intromission de la langue qui lui chatouillait le clitoris.
Elle imitait sa Mère, dans ce claquement de talons: car je ne
foutais Celle-ci que de jour, soit en Con, soit en cùl. soit
en bouche, pour être excité par ce qu'elle avait de mieux, la
jambe ét le piéd: Je lui demandais le claquement des talons,
parcequ'il imitait la marche de Femme, son qui me fesait
toujours bander... Lorsque ma Fille eüt amplement dechargé,
elle écarta Timorì.




XVII Chapitre.

Chap. Du Pucelage du Cul: Le Père enconneur.


La celeste Conquette-Ingenue fut toujrs aussi juste que belle
& sensible: qu'On ne soit donc pas surpris de ce qui va
suivre.

Elle se mit sur le ventre, ét lui dit: "Mon second Amì!
pommade-moi: Mon premiér Ami a eü le pucelage de mon Bijou; il
est juste que tu aies celui de ma Rosète; mon Papa sûrement
m'approuvera? "O Deesse! (repondit Timorì, en lui inserant de
la pomade dans l'anus avec une canule), que tu es raisonable!
Il aura le Conin, Moi la Rosète, ét nous jouiront chacun d'une
fouterie à nous-seuls". Timorì enfonça, malgré quelques petits
cris de ma chère Fille, et après de vives saccades, il
dechargea, en s'écriant: "Foutre! foutre! quel cùl.. quel
plaisir des Dieux"! Et il se pâma... Il fut épuisé, ét de
sperme ét de forces, par ce coup seul... Aussi se rapela-t-il,
à mon grand contentement, qu'il était atendu à 7 heures. Il
laissa l'amoureuse Conquète-Ingenue étendue sur le lit, après
l'avoir remise sur le dos, afin de Lui donner quelques coups
de langue au Con, pour baisér d'adieu. Il aluma sa bougie,
sortit, ét tira la porte.

Aussitôt je quittai ma cachette, ét je m'élançai sur mon
adorable Fille, que les trois dardemens de langue avaient
émue, ét dont le Con oscillait vivement. "Quoi! vous étiéz là?
"Oui, ma Divine. Il encule; moi j'enconne. Tu me causes une
érection terrible! "Adoré Papa, foutéz... foutéz-moi! (ét
c'est la première-fois de sa vie qu'elle prononçait ce mot);
je n'en puis plus moi-même"... Elle me saisit le vit, ét se le
mit dans le Connin: "Pousse! (me disait-elle): Il entre..
Pousse! vit de Dieu! vit paternel! émets du foutre dáns le Con
de ta Fille"!... En parlant ainsi, elle remuait tellement du
cùl, que je me trouvai biéntôt au fond de son Connin. Vive la
fouterie ordinaire! c'est la meilleure manière des quarante!
J'avais la bouche, la langue, les blancs tetins de ma Fille,
ses caresses, la vue de son charmant visage, toujours joli au
double dans Une Femme qu'On fout, ses doux propos: "Chër Vit!
Vit divin! comme il me chatouille le Con!... Pousse!.. Hâ!
Bougre! je me pâme... Je dechar...arge du fou...outre!... Ta
langue! chër Amant! Enconneur adoré!... Hò je redecharge, Fous
Sacrébougre! Suce... mordille-moi les tetons"!;;; Je
dechargeai delicieusemt à la seconde émission de ma celeste
Fille. Au fond de son étroit Connin, je me sentis adorablement
pincé par ce que le Vulgaire appelle le clitoris, ét les Gens
de l'art, le bas du conceptoire ou de la Matrice; cet organe
de volupté, qui n'est atteint que par un vit long, me suçait
le bout de l'engin dechargeant... Et cette idée delirante, en
me voyant sur la plüs belle des Femmes, renversée sur le dos,
bién enconnée, se pâmant de plaisir, "Je fous ma Fille... Je
lui decharge dans le Con... Nos foutres mêlés peuvent lui
faire un Enfant tout de moi... Je fais cocù le gueux, le
scelerat de Vituègre! Je fous sa Femme, qu'il croit morte,
qu'il n'a jamais foutue... Nous La foutons, Timorì ét Moi,
l'Un en Con, l'Autre en cùl, tandis que le vil Jeanfoutre se
branle le vit à sa divine intention... Il la croit écartelée
par le Vit-timon de son exécrable Moine... ét son étroit Conin
decharge avec nous, comme celui d'une Princesse, foutue par Un
Jeune Garde-du-corps!... Ces idées, rapidement roulées dans
mon imagination, doublaient, triplaient ma volupté.....

Ma Fille me fit déconner: "J'en suis pleine, me dit-elle; le
devant, le derrière; il faut que je me purifie". Je courus lui
chercher de l'eau tiède chéz son Hôtesse, Mad. Brideconin, que
je trouvai seule auprès du feu, des tetons blancs comme neige
découverts. Je les baisaí, pris l'eau qui chauffait pour elle.
Son Mari me dit: "Je viéns de le Luì mettre, à l'intention de
votre Fille, la charmante Mad. Poilsoyeux (nom que je lui
avais donné, pour qu'elle ne portât pas celui de son ìnfame
Mari). Je rentrai. Je lavai moi-même avec une fine éponge les
charmes secrets de ma Deïté. Il y avait un peu de sang à la
rosette, ét même au Conin. "Hé! quoi, ma Delicieuse, tu as
donc encore souffert? "Oui, mon chër Bourreau: mais le plaisir
l'a toujours emporté, même en cùl"... Conquette purifiee, me
dit: "J'étais si pressée de jouir avec vous, que je n'ai pas
pris le temps, Papa-Sauveur, de vous demander votre sentiment
sur ce qui s'est passé entre Moi ét Timorì? "J'ai aussi bién
des choses à vous dire là-dessus, mon Ange: mais nous alons
souper. Vous avéz besoin de repos, ét Moi aussi; ce sera pour
demain"... Je lui donnai la langue; elle me darda la siénne;
je baisaí les boutons rose de ses tetons, ét nous alames nous
mettre à table.

Pendant le soupér, je racontai à M. ét Mad. Brideconin ce
qu'il falait qu'ils sçussent de la prétendue mort de Mad.
Poilsoyeux, afin qu'ils ne la compromîssent jamais. Pendant le
repas, notre Porteur-d'eau ét sa Femme placèrent le lit de ma
Fille dans mon magasin; ét dès qu'il fut arrangé, nous y
descendimes ensemble. Ma belle Amie me dit: "Je crois que
j'aurai peur: priéz Mad. Brideconin de venir coucher avec
Moi"? "Je vais rester, ma Reine. "Hâ! j'aime bién mieux cela!
non pour jouir; mais pour que mon Amant-papa s'endorme sur les
tetons de la Femme de Vitnègre, pendant qu'il se morfondra, ou
qu'il ne .. qu'un de mes vieux souliérs. "Ma divine Fille?
(repris-je), je vais, dès ce soir, te dire ce que je voulais
remettre à demain. Couchons-nous".

Je deshabillai ma Deesse come Une Nouvelle-mariée, baisant
tout ce que je decouvrais. Tous-deux au lit, je l'assis sur
mon vit:




XVIII Chapitre.

Chap. Des Avis paternels, tenant sa Fille enconnée.


Ami Lecteur! j'éprouve encore les oscillations de la plüs
savoureuse volupté, en me rappelant ces momens enchanteurs,
que m'a procurés ma Conquette-Ingenue-L**!

"Appuie lentement, ma Reine; que je t'enfile sans limer"? Elle
le fit. Lorsqu'elle fut parfaitement enconnée, je lui dis: "Tu
sais, très-cherie Fille, que j'ai tout vu, tout entendu. Tes
sentimens divins à mon égad, m'ont penetré de reconnaissance
ét d'admiration... J'approuve entièrement que tu ayes donné à
Timorì le pucelage de ton beau cùl. J'accepte avec transport
ton dévoûment pour Moi. Mais, celeste Fille! c'est à ton
interêt, à ton bonheur, que je me propose de le faire servir.
Je ne prétens pas, tel qu'Un Sultan, te garder pour mes
plaisirs exclusifs. Tu auras Un Payeur. Lequel des trois
Hommes auxquels ton pucelage était vendu, aurais-tu préferé?
"Le plüs honnête, incomparable Papa: mais c'est justement
Celui quì l'a le plûs gros. "Je te ferai donc élargir le Bijou
par Un gros Homme de ma connaissance: Il n'est pas aimable:
mais Un Homme aimable pourrait t'épuiser, en te fesant trop
decharger; outre qu'il pourrait te prendre le coeur; ce qu'il
ne faut pas; Un Fouteur préparatoire ne doit te prendre que le
con... Ni Moi, ni Timorì ne te suffirions point; nous n'avons
pas le vit asséz gros; ce ne sont que des vits à pucelage.
Mais j'ai plusieurs Ressources... Je sonderai Celui que tu
préfères; puis les deux Autres, s'il ne fait pas ton affaire.
Je les ai épiés: Je sais leur adresse; je ne nous
compromettraí pas. Je ne te demande que de la soumission?
"Entière! divin Papa". Elle se tremoussa un peu, ét dechargea.
"S'il te surviént beaucoup de temperament, comme je crois
l'entrevoir, j'aurai soin que tu ne manques pas de vits. Tu
verras comme tu seras régalée!.... Je ne suis plus d'un âge à
te rassasier de volupté. Ainsi, je te le ferai mettre par de
jolis Jeunesgens, graduant la grosseur des vits".

Ici, ma provocante Fille s'agita, en me disant: "Mon cher
Vit-papa! permets que je foute en con à l'intention de Timorì, le
Vit de mon cùl? Tu m'as convertie; il m'enconnera, mais en ta
présence. "Oui. oui"... Je la saccadai. Elle s'écria:
"Fourgonne.. Vit de mon cher Timori! fourgonne mon Con! Fais-moi
pâmer! Bougre.. foutre.. Ramonne.. ramonne!... ze deçarze!
Et elle dechargeait, en se roidissant: "Hahaha, mon Papa!
hahaha! hahaháh"! (avec un lông soupir)... Je n'ai jamais eü
tant de plaìsir, qu'à cette decharge... Nous avions de la
lumière: ma Fille se mit sur le bidet, pour se rafraîchir le
Bijou, tandis que je me mettais le vit ét les couilles dans
l'eau froide, pour me faire debander. Je demandai à ma Fille,
Qui lui avait appris les expressions dont elle s'était servie,
en déchargeant? "Des la troisième semaine de notre mariage (me
répondit-elle), Vitnègre fit coucher avec lui sa Filleule,
femme d'Un Espion de Police: cette Femme, par les ordres de
son Parein, feignait de delirer, quand il l'enfilait; ét voila
quels étaient ses propos, avec beaucoup d'autres, qui
n'auraient pas été placés pour nous, comme Gros-bondon, Chién
de Vit de mulet, Foutàmort le cadet! etc" Nous nous remimes au
lit, ét nous nous endormimes enlacés.

Le matin, je renouvelai mes instructions à ma Fille. On
frappa. C'était Mad. Brideconin, qui parla. Je me cachai dans
le foutoir. Elle apportait le dejeúnér de Mad. Poilsoyeux. "On
cherche Une Fille du Port-au-bléd (dit-elle), disparue depuis
avanhier-soir. Une de ses Pareilles a dit, qu'elle devait aler
coucher avec Un Homme de 40 ans, qu'elle avait dit Avocat,
mais qui est Chirurgién; qu'ils l'ont tuée à deux pendant la
nuit, ét dissequée. C'est peutêtre votre histoire, qu'On
denature comme ça? Mon Mari doit aler s'informer". Elle
sortit; ét je vins dejeûner avec Conquète. Je la laissai, en
promettant de la voir à dínér.

Je fus exact. Brideconin était sorti. C'était effectivement de
Conillète, dont il était question. Le Commissaire ét les
Mouchards visitaient toutes les maisons de la ruë: mais On ne
trouvait rién. Je changeai de costume par précaution... Je
revins le soir, ét ne couchai pas. Je me reposai trois nuits,
et laissai reposer Conquete-Ingenue.

On sait que j'aimais ma Fille autant pour elle-même, que pour
mon plaisir, ét que je n'entendais pas règler son appétit de
19 ans, sur mes forces de 40. Mais j'avais encore d'autres
raisons. Je vais me conduire en-consequence.




XIX Chaître.

Chap. Du Père Juste, & du Vit Grisonnant.


On sera sans-doute surpris de ce qu'On va lire, d'après les
sentimens que je viéns de professer!... Ne me préjuge pas,
Temeràire! Pour me connàître & prononcer, attens.

Je connaissais Un de ces Gourmets de plaisir, gros homme
vigoureux, lubrique à l'excès, nommé Montencon. Il m'avait
donné souvent à dînér, rue Troussevaché, où il demeurait, m'y
avait fait enconner la Petite Vitsuçète, sa maîtresse, en me
La tenant lui-méme: Il m'avaìt même procuré la Fille de son
Hótesse, Petit Bijou, séduite par Un Noble, appelé De-Foutâne,
qui L'avait ensuite rendue Putain. Elle nous amusa toute une
aprèsdinée: Montencon ayant grisé la Jolie Adelaïde-Hôchepine,
il eüt la politesse de me la faire enconner le premiér, ét
chatouiller les couilles par sa Maîtresse: Ensuite il
l'encula, également chatouillé par Vitsuçète. Je La refoutis,
après que la Vitsuçète de Montencon me l'eüt lavée. Mais
Celui-ci nous dit: "J'ai mes raisons: J'embouche la jolie
Garse". L'ayant embouchée, ét lui ayant fait avaler son
foutre, en haîne de Foutâne, j'en fus degoûté, ainsi que de la
Vitsuçète, dite la Baiseuse, à Laquelle il en fesait autant:
Je n'y étais plus retourne. Ce fut cet Homme que j'invitai à
dînér dans mon petit Magasin, pour aguerrir ét m'élargir
un-peu ma Fille: (Car j'avais fait donner separément aux trois
Payeurs à gros Vits de Vitnègre, MM. Lélargisseur, Perçecül ét
Cognefort) l'espoir de la retrouver, ou sa Pareille.

Montencon était connu de Conquète, dont il avait foutu la Mère
avant la verole: Il n'en avait que plüs envie de le mettre à
la Fille. Je le trouvaì dans l'escaliér, en arrivant Moi-même.
Je l'introduisis. Il demeura immobile de joie ét d'admiration,
en voyant Une Femme si belle!... J'avaìs affàire; je ne restai
qu'un moment, en lui disant, que je lui laissais ma Fille pour
compagnie. Il balbucia, en me reconduisant: "Elle est
ravissante! Quel goût dans sa parure! Comme elle est chaussée!
ét quel dommage qu'Un Vitnègre ait eü ce pucelage-là?
"Vitnègre? Elle est pucelle. "O mon Ami! puis-je y tenter? ét
tâcher de mettre aumoins une corne à ce Gredin-là? "Fais-y ce
que tu pourras: Mais je doute du succès, avec ton poil gris:
Il n'y a que les Catins blâsées, qui souffrent les Barbons
vigoureux ét libertins: avec les Pucelles sages, il faut être
tendre; ét tu as la figure d'Un Satyre, ou d'Un Reprouvé. Mais
tente-s-y".

Après mon depart, Montencon essàya dabord de la galanterie.
Mais n'y gâgnant rién, il culbuta Conquète à l'improviste sur
le FOUtoir; ét comme il était vigoureux, il lui approcha, en
la contenant d'une main, le vit des lèvres du Con... Cependant
il ne put l'enfiler; Un coup de cùl en arrière le
debusquait... Il alait La menacer de La poignarder, lorsque je
rentrai. Conquète se rajusta, sans marquer d'humeur. Je dis
tout-bas à Montencon: "Le pucelage? "C'est Un Diable! J'en
serai reduit à me branler! "Tu la foutras".

Nous nous mimes à table. Conquète parla comme à l'ordinaire à
son Vellivioleur, ét rit même avec lui. Tout-haut, devant Moi,
il lui demanda, D'où-viént elle ne s'était pas laissée
enconner? "Fi-donc! (repondit-elle). Hé! d'où-viént l'aurais-je
souffert? "Parceque je bandais comme Un Carme. "Vous parléz
comme Un Vitnègre"... Montencon ne m'en raconta pas moins ses
entreprises, en termes savoureux: Il loua la beauté de la
Conque, le soyeux du poil, la blancheur des fesses, la fermeté
des tetins, le rosé du bouton, l'éburnité ou l'ivoire du
ventre ét des cuisses: Il extolla le piéd, la jambe de la
Belle... Conquètee, ainsi louée, rougissait, ét n'en était que
plüs modeste. Je repondis, Que j'étais le seul qui foutît ma
Fille, à laquelle j'avais sauvé la vie, ét que j'avais
deflorée, il y avait 8 jours. Et je racontai toute l'histoire.
"Vous La foutéz? "Hé! qui donc La foutra? Je suis deux-fois
son Père"... Montencon se mordit les lèvres. Conquète
m'embrassa.

Pendant tout le dînér, nous admirions le voluptueux tour de
hanches de Mad. Poilsoyeux, à chaque fois qu'elle se levait,
pour aler demander un plat, ou qu elle donnait des assiètes.
Elle avait un joli souliér rose à talons vërts, élevés,
minces; des bas de soie blancs neufs, à coins roses. Je Lui
demandai, Si elle était jarretée audessus du genou?
"Certainement! (repondit-elle); toujours. "En ce cas (repris-je),
montréz-nous la plüs jolie jambe qui soit au monde"? Elle
refusait Mais nous l'en pressames tant, que pour se
debarrasser de nos prières, elle mit le piéd sur une chaise,
ét nous montra, jusqu'au dessus du genoux, une jambe à faire
bander Un Moribond.... Nous entrames en rut, Montencon ét Moi:
mais nous nous moderames. Cependant le grisonant Ribaud, dans
un moment où ma Fille étàit sortie, me proposa de l'enivrer,
en mettant du champagne, qu'il avait apporté, dans son vin-rouge,
aulieu d'eau? Je feignis d'y consentir: Mais avant que
Conquète rentrât, j'alai audevant d'elle, ét l'avertit
de-tout. Puis j'ajoutai: "Ma raisonnable Fille: il faut qu'Il te
le mette; je l'ai amené exprès pour cela; mais je ne savais
comment faire; J'y reflechissais, quand sa proposition m'a
tiré d'embarras. Tu feindras de t'enivrer: J'en ferai autant;
ét par ce moyén, jamais il n'aura un piéd sur toi. Il a
l'engin asséz gros, quoique moyén. Après lui, je t'aurai
Traitdamour., mon ancién secretaire, Un joli Garson, qui
achèvera de t'élargir suffisamment; pour l'engin du Payeur que
tu préfères... Il est averti de ton éxistance, ét je n'ai
demandé que quelques semaines, pour Lui procurer ta vue.
Laisse-toi donc faire, ma Reine: j'empêcherai tout ce qui ne
conviéndrait pas. "Je vous suis soumise; disposéz de Moi
(repondit-elle): Je me suis trop mal trouvée de vous avoir
desobéï"!... Nous rentrames. Entre les deux portes, elle se
decouvrit un teton, ét me le fit baiser.

Montencon avait arrangé la caraffe en vin de Champagne:
Conquète prévenue le remarqua; s'en procura une autre d'eau,
ét reserva le vin, pour griser Montencon lui-même. Mais le
Ribaud était inenivrable, autrement que par les beaux ïeux et
les autres charmes de ma voluptueuse Conquète-Ingenue.




XX Chapitre.

Chap. Du, Hâ, comme elle fut foutue!


Dès que Mad. Poilsoyeux, qui affectait une ivresse aimable,
parut dans l'état où Le Montencon La desirait, je la saisis,
la première-fois qu'elle se leva, par la tâille d'une main, ét
de l'autre, je Lui pris le con. (Outre que je desirais
vivement sa possession, je La voulais enhardir, ét préparer
son Bijou à l'admission d'un plüs gros Membre que le mién). Je
la renversai, en demandant un morceau du beurre-frais resté
sur la table. Je lui en mis gros come une noix à l'orifice; ét
je poussai. "Laisséz, laisséz-moi donc! (me disait-elle
doucement). Cependant elle remuait admirablement de la
charnière, ét le foutoir craquait sous nous... Je dechargeai,
en me recriant de plaisir!...... "A toi, Bougre"....

Montencon debout, son gros Vit bandant à la main, nous
admirait!... J'eüs à-peine deconné, qu'il se précipita sur ma
Fille, dont le conin oscillait encore: ét doublement favorisé
par mon foutre ét par le beurre fraìs, il penetra. Conquète
fit un cri! Je m'avançai alarmé: Mais elle me sourit aussitôt.
"Enfonces-tu? (dis-je au Fouteur). "Oui, oui! sacredieu! (me
repondit-il), ét avec delices!.. Elle me pince le Vit!...
Mais.. quel connin!.. C'est un satin!... Hâ!... hâ!.. je
fous!.. Remue du cül, celeste Houri!... Re..mue, divine
Bougresse!... Con delicieux! remue... sous Moi!.. saccade..
saccade!.. Je pa..ars!.. je decha..arge!... Hââh!...! Le
Grisonnant se pâma sur les tetons de ma Fille, qui elle-même
nageàit dans le foutre ét la volupté. J'avàis craint qu'elle
ne remuât pas asséz avec Un Etrangér: mais dès qu'elle fut
limée, elle se mit à remuer, à saccader, à osciller des reins,
à decharger avec des soupirs ét des cris... Montencon se remit
à la fourgonner, sans deconner, criant, heurlant de luxure, ét
murmurant par intervales: "Divine Garse!.. fais-toi Putain..
ét.. je te répons. de ta fortune!.... Il recommença ainsi
trois-fois sans desarçonner. Enfin, il deconna.

"Voila un coup qui en vaut dix, ét un con qui vaut cent, ét
mille-fois tous ceux que je t'ai fait enconner, même ma Petite
Hôtesse! On ne le quitte qu'à regret!..... Mais refous-la, mon
Ami: Une Femme vaut seize Hommes au jeu couillard; ne la
laissons, ni refroidir, ni ch mer". A ce mot, Conquète-Ingenue,
restée immobile, ét se contractant seulement un-peu,
comme si On la tenàit encore bourrée... d'un vit, sauta du
foutoir, ét courut se laver. Elle trouva de l'eau tiède
préparée. Nous fumes aussitôt à genoux devant notre Divinité,
ét nous lui épongeames l'Un le cùl, l'Autre le con, les fesses
ét les cuisses: car elle était pleine de foutre et d'un-peu de
sang, prenant garde de mouiller ni sa chemise, ni ses bas;
nous la fesions se tenir troussée audessus des reins.... Après
une scrupuleuse ablution, nous l'avons admirée: car elle étàit
ravissante à cùl ét à con decouverts? Nous l'avons fait
marcher ainsi, ét nous avons vu la magie de son divin tour
de-cùl... "Moi (disàit le Grison), en la regardant venir à nous),
ce qui me transporte, c'est ce con noir, sur une peau de lis;
ce poil soyeux, ét cette raie de corail, quì le sépare en deux
égales parties"!... La Belle se retourna, ét montra d'autres
charmes: "Hâ! (s'écria Montencon ravi), le beau cùl! il n'est
pas inferieur à l'admirable conin"! Elle revenait. "Hâ! le
beau con! Il est digne du divin cùl"! Quand ma Fille fut
auprès de nous, Il lui bàisa le conin: Puis se levant: (car
nous étions restés à genoux pour mieux voir). il l'emporta sur
le foutoir, en me demandant la permission de gamahucher tous
ces charmes-là, avant que je les refoutisse?... Hâ! comme elle
fut gamahuchée!... Il lui chatouilla de sa langue la Rosette,
à la faire tressaillir. Puis il vint au Con. La Belle
chatouillée, se tremoussa, puis émettant, elle hennissàit,
comme Une jeune Cavale, dans la vulve de laquelle On insère
pour la premiere fois l'engin terrible ét perforant de
l'Etalon vigoureux: les fesses potelées de la Jument pucelle
tremblotent; elle frémit de tout son corps, ét répond, par
l'émission de son hippomanès, aux flots de sperme que lui
lance le Dominateur des haras... Telle était ma voluptueuse
Fille, seulement gamahuchée... Montencon deboucha, ét Moi, me
précipitant sur ma Fouterie, cambrée, tenant son cùl à trois
doigts du foutoir, je plongeai brutalement: Elle ne fesait que
doucement osciller. Ce qui ne s'accordant pas avec ma ribaude
impatience, je dis à Montencon: "Arrache-lui sa chaussure, ét
chatouille moi la sous les piéds"? Il le fit: Mais le Coyon
s'amusait à les flaîrer, en disant: "C'est Cypris, ét le
dedans de ses chaussures sent l'ambrosie. "Chatouille donc,
Jeanfoutre"? Il chatouil-La; ét au second soubresaut; je
dechargeai copieusement!... Dans mon éxtâse de plaisir,
j'élevai mon âme vërs la Divinité: "Mon Dieu! je vous remercie
de m'avoir donné Une Fille si parfaite, dont le conin
trémoussant viént de me donner une idée du delice que vous
éprouvéz vous-même, en foutant votre Fille la Nature!... "Dieu
de mon Conin! (balbucia Conquète), sois beni! je re-decharge
encore! le cri de mon Père a fait entrer son vit plûs avant!
"Hô! quel digne Père! quelle pieuse Fille"! (s'écria Montencon
édifié)..... Je deconnai.

"Mais d'où viént (me demanda le vigoureux Grison, en se
remettant sur ma Fille, ét l'enconnant sans laver), m'as-tu
fait chatouiller le dessous des piéds de ta celeste Fouteuse!
"Je tiéns cette recette d'Un Imprimeur foutant la Femme de son
Confrère de l'aveu du Cocù: "Que lui avéz-vous donc fait,
qu'elle m'a donné tant de plaisir à la fin? "Vous avéz bién vu
qu'elle était dechaussée? Or j'ai ouï-dire, Que les Fils de
mesd. Quillenpoche et Radball, âgés de huit ans, étant entrés
dans la chambre où Un Avocat ét Un Procureur vitoeuvraient
mesd. leurs Mères; les petits Babouins ne voulant pas les
déranger, leurs ôtèrent à chaqu'une une mule delicate, ét leur
chatouillèrent le dessous des piéds: Ce qui fit faire aux deux
Dames des soubresauts, qui leur procurèrent autant de plaisir
qu'elles en donnaient à leurs Opérateurs Aussi depuis se
firent-elles toujours chatouiller les piéds, en pareille
circonstance. "Tu vas me rendre la pareille"... Il saccadait.
"Alons, le foutre de ton Père.. ce foutre dont tu est faite,
amalgamé au tién dans ton sacré conin de Poupée, doit te le
pomader! Et j'ai de la peine"!... Je vis à la rougeur de ma
Fille, qu'elle souffràît. "Deconne, Bougre (dis-je à
l'Enfonceur), ton vit d'Ane, ton vit de Mulet donne les
bouchées trop grosses à ce conichonnet"! Il deconna, ét je mis
un boulète de beurre-frais à l'orifice du Bijou de ma Fille.
"Hô! ça me le rafraîchit" (dit l'aimable Enfant)... Montencon
re-enconna avec fureur. Il entra mieux, ét toucha le fond,
Conquète ayant saqué du cùl: "Hâ! je te sens, petit joli chién
de pinçoir! Alons, Vitnègrète, encorne ton Jeanfoutre de
Vitnègre! Pince.. ét remue du cùl, Garse"! Ces mots grossiërs
me mirent en fureur érotique; je chatouillài sans pitié les
piéds de ma Fille, en lui disant: "Fous, Deesse! Donne-nous
ton joli foutre!... Et toi, Sacrebougre, inonde-la! As-tu
jamais percé con ou conin, qui vaille le connin, le connichet
de ma celeste, de cette divine Putain"?... Conquète saccadait
à desarçonner son Enconneur (comme fesait Mlle Timon sous le
Grand-homme MIRABEAU): Mais Montencon se tenait ferme.
Cependant elle eüt une decharge si convulsive, qu'il fut
presque-deconné. Mais en retombant, le frottement serré du
connin velouté, le fit decharger avec ravissement...

Il lima quatre-fois sans deconner, ét à la quatrième, lui
ayant chàtouillé les couilles, il émit aussi copieusement qu'à
la première. Maìs il fut épuisé. "Hâ! comme Vitnègre es cocù!
(disàit-il en deconnant); car sa Fouteuse de Femme a dechargé
le triple de Moi". Conquète sourit. "Combién? (lui demandai-je).
"Hô! dans les neuf, trois fois-neuf". Je la baisai sur le
front, ét elle ala au bidet. Je vis par-là qu'elle auràit un
vigoureux temperament. Ainsi, je resolus de la faire un-peu
blâser, avant de La livrer à son gros Vit.

Mad. Vitnègre voulant se rafraîchir quelque-temps le con dans
sa cuvète à bidet, nous pria, avec une modeste rougeur, de La
laisser libre? Nous La saluames aussi respectueusement qu'Une
Deesse biénfesante, ét nous sortimes. Montencon me dit: "Je
vous rens grâces: Je serais plüs glorieux d'être son Père, que
de la Reine Marie-Antoinète. Elle est autant audessus des
Fouteries ordinaires, que Mlle CONTAT, ou Mlle LANGE sont
audessus d'une Putain des Pauvres, qui branle les vits
derrière les charrètes sur le quai du Louvre". Nous nous
separames, à ces mots. "Hâ! (disait Montencon, s'éloignant),
comme elle a été foutue"!




XXI Chapitre.

Chap. Du Ressouvenir, & De l'Episode.


Ho! que les Puristes ont dû se recrier au Chapître
précedent!... Hé-bién, Puristes, je m'en fous.

Le lendemáin, je m'attendais à un-peu de bouderie, ou de
sérieux. Non: Ma Conquète me parla comme à l'ordinaire... Je
fus huit jours, sans cherchér à le Lui mettre.... Le Samedi,
son Bijou bién retabli des fatigues données par Sourcilsgris,
dit Montencon, elle y sentit un chatouillement. Elle se
ressouvint alors de ce que je Lui avàis dit, qu'elle pourràit
se laisser enconner par Timori. Elle fit une toilète de
volupté, se couvrit d'une caléche, ét sortit le soir. Mais je
L'observàis, ét La fesàis soigneusement observer par Mad.
Brideconin, ou comme je l'appelàis en badinant, Mad. CONBRIDÉ.
Je fus avertí; je La suivis, pour La préserver de malheur.
Elle monta. J'ecoutai à la porte; ét j'entrevis même par une
fente... Conquète se jeta dans les bras de Timorì. Mais il
étàit malade: La Belle fut gamahuchée seulement. Timorì,
aulieu de la caresser, comme elle s'y attendait, se mit à Lui
racontér la suite des évènemens relatifs à Vitnègre, à
Foutàmort, ét à Conillète:

"J'ai été voir Vitnègre aujourdhui, aulieu de me rendre à mon
Bureau, étant malade. Je l'ai trouvé malade lui-même, tant il
avait été hiër effrayé des menaces de son Moine. Celui-ci
l'avait fait demandér. Vitnègre est accouru. Il a trouvé toute
la Communauté à l'Infirmerie. Parvenu au lit de Foutàmort,
Celui-ci lui a dit: "Gueux! si j'en avais la force, je
t'étoufferais... Mais si je suis pour en mourir, comme On
l'assure, je declarerai tout au Lieutenant-de-Police, ét tu
seras pendu... Tu m'as vendu ta Femme: Elle était si belle,
que j'ai eü un plaisir... infini... à la faire expirer dans
des douleurs plüs fortes que celles de l'accouchement... J'en
bande encore, mais avec des douleurs insupportables... Elle
était si belle, que j'ai voulu en manger: je me suis fait
accomoder son con, sa matrice, ses poumons ses tetons ét sa
tête, que j'avais deguisée: Nos Moines ont mangé, sans le
savoir., son cül, ses fesses, ses mollets, ses piéds, ses
bras, ses mains, ses épaules, son coeur, son foie, etc... Tous,
eux ét moi, nous avons la verole! Or, ta Femme, belle,
fraîche, pucelle encore, ne l'avait pas.... Voici ce que tu as
fait, Coquin: Touché d'une fausse compassion, tu as fait
évader ta Femme, que je t'avais payée pour la foutre à mort,
ét tu lui as substitué une Putain... C'est une insigne
coquinerie... Si j'en reviéns, j'aurai ta Femme; si je meurs,
tu seras pendu"... Vitnègre s'est donné à tous le Diables que
c'était vous qu'il avait livrée. Le Moine, qui venait d'être
frotté de mercure, ét dont la langue enflait, a fait signe
qu'il n'en croyait rién. Le Chirurgién a tiré Vitnegre à-part:
"Avéz-vous quelqu'affaire à regler avec ce Scelerat? il n'a
pas 2 heures à vivre, à la manière dont enfle sa langue. Il a
une verole si terrible, que j'ai été obligé de le froter au
triple ds Autres, que voila dans leurs lits, ét qui commencent
à saliver. Je le connais; c'est Un Monstre à ôter du monde, ét
tout-à-l'heure, il ne pourra parlér. "Empêchéz qu'il n'écrive?
"Hô! ne craignéz rién! l'enflure luì.. gâgne les ïeux; il n'y
voit plus, ét la langue commence à lui sortir de la bouche...
Il.. souffre.. (lui tâtant le pouls) comme un Damné.. ét il
n'a pas une demi-heure à vivre"... Alors, Vitnègre enhardi, a
dit au Moine; "Gueux! Infame!... c'est la Putain Connillète,
que je t'ai donnée, que tu as fait manger à tes Moines, ét
dont tu as dévoré la matrice verolée"! Le Moine s'est soulevé,
ét a lancé à Vitnègre un si terrible coup de poing, qu'il
l'aurait tué, si la colonne du lit n'avait pas amorti une
partie du coup, qui cependant a renversé Vitnègre. On l'a fait
sortir. Mais il a appris ce matin, par le Chirurgién, que la
langue du Moine, devenue grosse comme celle d'un Boeuf, l'avait
étouffé un quart-d'heure aprés... On a brûlé sans lire, tout
ce qu'il avait écrit durant sa maladie.

Voila ce que Vitnègre tranquilisé, viént de me raconter. Il
est tard: je ne saurais vous reconduire: Partéz, ma belle
Amie".

Tel fut le recit de Timorì, fait à ma Fille, que j'entendis
tout-entier, ét qu'elle me repetera. Elle s'en revint la tête
remplie d idées noires. Je La suivàis à vingt pas, La couvant
des ïeux, pour La préserver de toute mauvaise rencontre. Je
bandais comme Un Carme, en voyant son joli tour de hanches...

Elle rentra. Je La précedai dans mon magasin, ét je me cachai.
Elle revint avec de la lumière ét de l'eau tiède. Elle se lava
la motte, ét soupira, en se disant à elle-même: "Il n'existe
plus, le Scelerat!... Je suis encore effrayée"! Je frappai un
petit coup sur une comode. Conquète leva les ïeux, ét me vit.
Je Lui contai tout ce qu'elle venàit de fàire. Je Lui causai
un effroi salutaire, qui La guerit de l'envie de retourner
seule chéz Timorì, en Lui disant, que j'avàis aperçu Vitnègre
sur le quai des Ormes. J'ajoutai: "Vous aliéz pour être
bàisée; vous le seréz; car je couche avec vous". Elle
begueulait, disant que le recit de Timorì Lui avàit ôté ses
desirs. Je ne L'écoutai pas; je me mis au Lit, ét elle vint se
coucher auprès de moi.




XX Chapitre.

Chap. De la Fouteuse mise en appêtit.


L'appêtit viént en mangeant (dit le Proverbe): & l'On va voir
combién il a raison, pour Conquète!

Dès que ma Fille fut à ma portée, je m'encrai sur ses appas,
Lui suçai les tetons, ét L'enconnai. Je ne sais par quel
motif, humeur ou volupté, ma divine Enfant ne remua pas. Je
fis de-même, ét La tins emmanchée, sans me donner aucun
mouvement... Je m'endormis, après m'être mis sur le côté, sans
déconner. Conquète, qui s'y était prêtée, s'endormit comme
moi, sans-doute; puisqu'en m'eveillant, sur les 2 heures, je
me retrouvai dans son Bijou. Je m'agitai pour-lors. Elle me
serra dans ses bras, remua vivement du cùl, ét me dit: "Chër
Amant? pou..ousse". Et elle saccada de toute la force de ses
rein... Elle dechargea... J'émis aussi... "Hâ.. mon Dieu (dit-elle),
c'est mon Papa, qui me.. caracole... "Qui te fous, ma
Deesse. "Ah.. il n'y a que vous, pour ces choses-là... Je ne
vous contrarierai plus; car vous avéz plüs d'esprit que moi...
J'ai eü un plaisir.... que je ne dois qu'à vous... Chër Papa,
recommencéz; que je decharge à votre intention? Je vous
adore... Je La re-enconnai vigoureusement, en Lui disant: "Et
fous comme tout-à-l'heure, à l'intention de ton Amant"... Elle
remua du cùl comme Cleopâtre ou Messaline, ét elle se mit à
dire, en saccadant: "Bougre de Timori.. fous... fous...
fous-moi... Fous ta Garse... fais cocu mon sacré-gueux de Pere...
dont je suis la Femme.. la Maîtresse.. la Putain... Ah.. je
sens ton vit, au fond de mon con... Ta langue... ta langue?...
Je me pâme... Je de...cha.arge.... Foutre... Ah-a-a-ah... je
n'en puis plus........... Et en finissant, elle ala se laver
le con......

Dès qu'elle fut de retour, je remontai sur elle. "Remue du
cùl, du con! (Lui dis-je): Trémousse des fesses... Je sens ton
pinçoir... Hô! que tu fous bién, Fille de mon Vit, pour Une
Novice!... Ayéz un mouvement encore plûs rapide?... Bon...
excellent!... Quels reins élastiqs"!.... Elle fit trois
soubresauts, ét déchargea, en disant: "O mon Dieu! mettéz une
tône de foutre dans les couilles de mon Père, ét que son vit
divin le decharge au fond de mon con"! Dieu l'exauça, car
j'émis aussitôt, ét nos foutres se mêlèrent. J'en esperai Un
Adonis... Elle resta ensuite immobile, ét moi aussi. Elle fit
une copieuse ablution. Je me rafraîchis le vit ét les
couilles; puis nous nouz recouchames. Je La re-enconnai.

Je fus-là plüs d'une heure, Lui suçotant ses boutons de roses,
Lui dardotant ét Lui fesant dardoter la Langue; La fesant
dechargeoter, pâmoter, chatouilloter mes couilles. Je ne
pouvais me résoudre à déconner.... Tout-à-coup ma Fille, que
je croyais épuisée, se met à trémousser du cùl, à
convulsionner du con, comme fesait autrefois sa Mère, mais
mieux que Celle-ci... Je rebandai roide, mais loin de la
decharge.! Desorte que je La limai tant qu'elle voulut... Elle
me disait: "Papa! je ne parlerai pas d'Un Vitnègre, qui n'a de
plaisir sur Une Femme, qu'autant qu'il brutalise sa Monture:
mais vous foutéz plüs tendremt plüs delicieusement, que Timorì
ne caresse: Vous liméz mon con comme Un Dieu!... A votre
intention cette decharge-ci... Papa! Papa, fourgonne! tu es
dans le con de ta Fille! Remue du cùl, Papa! Tu me fous.. tu
me fous.. tu m'enco..onnes!... Fous, Bougre! fous ta Fille!
Incestue, Jeanfoutre!... Enfonce, enfon..once,.. dans le
con..on de ta Fi..ille.. pâ..âmée"!... Et elle resta comme
morte, pendant une longue decharge.....

Je La relimai, voulant décharger aussi, pour la dernière-fois
de cette nuit-là. Elle se ranima: "Fous, Maquereau! Je suis ta
Putain, ta Raccrocheuse... ta sacrée-Salope... ta passionnée
Fouteuse.., ta tendre Fille... Engrosse-moi? (remuant du cùl
avec fureur): mets-moi dans le con un Garson.. une Garse! si
une Fille, tu La.. dépuceleras un-jour... si un Fils, il me
foutra... "Adorable fureur! (m'écriai-je)... Tiéns, Fille
adorée, voila du fontre". J'émis delicieusement; ét ma
Fouteuse dechargea plüs delicieusement encore... "Hâ! quelle
nuit! (me dit-elle)... Timorì ne me l'auràit pas donnée si
voluptueuse"...... Elle s'ablua: je lavai, ét nous endormimes.




XXIII Chapitre.

Chap. De la Tendresse Filiale: Amour paternel.


Etre reservée, modeste, ou voluptueuse & fouteuse à-propos,
c'est la véritable sagesse.

Je ne raconte pas les bagatelles... Montencon ne put le
re-mettre à Mad.. Poilsoyeux, ét il en fut très-étonné! Elle
étàit aussi modeste, aussi retenue avec Lui, qu'avant qu'il
l'eût foutue. C'est qu'elle suivàit mon avis, de ne pas
laisser prendre un piéd sur elle, par les faveurs accordées,
ou ravies.... Un-jour qu'elle se baissait, pour arranger le
feu, il lui prit le con. Elle Lui donna un soufflet. Je dis à
Montencon: "Moi, qui la connais, je ne Lui touche jamais les
fesses, ou le poil du conin, sans sa permission, ét sans
qu'elle m'àit dit: "Hé-bién, faites donc vîte"! Quand je Lui
demande cette faveur, elle est parée, chaussée comme les
Grâces.. Je commence par Lui demander à Lui baiser le piéd.
Puis Lui glissant la main sur la jambe, je Lui dis: "Tu l'as
si jolie! que je La baise"?... Je pousse à la cuisse, en
disant: "Quel satin"! Je Lui passe delicatement la main sur la
motte, ét je m'écrie: "Ma Reine? qu'en te voyant marcher dans
la ruë, ét tortiller si joliment du cùl! faire bander tous les
Hommes; bisquer de jalousie toutes les Femmes, je puisse me
dire: "Je viéns de patiner, de baiser ces foutatifs appas"...
Je te suivrai; j'entendrai les Hommes dire, Que je la foutrais
bién! Je verrai les Femmes penser: Sacrée Coquette! cette
parure, ce goût, ce tour de cùl signifient: Je veux étre
foutue? Vits, foutéz-moi? "Bougresses! (Leur repondrai-je
tout-bas), je méprise vos cons ét vous! Je ne bande que pour
le beau connin que vous jalouséz"... Ma Fille sourit à ces
propos; se laisse patiner, puis baiser tetons, fesses ét
connin"... Montencon m'admira, ét demanda pardon à Conquète,
qui n'avait entendu ce que je venais de dire, qu'avec une
modeste rougeur.

Un jour de fête, que je L'avais conduite avec précaution chéz
Une Amie, ét que j'étais retourné La chercher le soir, la
suivant à quatre pas, son lubrique tour de fesses me fit
bander si fort, qu'en rentrant, je Lui hâpai le con. Elle se
defendit, parcqu'elle entendait aler ét venir Mad. Brideconin.
"En ce moment, Deesse, je suis si enragé de lubricité, par ta
marche voluptueuse, que je te foutrais devant toute la Terre."
Et je grinçais des dents, Lui tenant toujours le poil du con,
ce poil soyeux qui Lui formait une Longue ét superbe perruque
à la Louis-XIV. "Hé-bién! (me dit-elle), alons: Mais ne me
chiffonnéz donc pas? "En déshabillér, Reine". Je Lui tenais
toujours le con, ét je La suivais à chaque pas qu'elle fesait.
Elle me donna un joli baisér à langue dardée, pour me
remercier de ce que je Lui permettais de se mettre en
deshabillér. "Ne me quittéz pas le poil: ça me prépare". Une
pareille complaisance me La fesait adorer. En un instant, elle
fut en corpset, en court jupon piqué, les tetons bién
découverts: "Ma chaussure est-elle asséz voluptueuse? ou
vouléz-vous des mules, avec d'autres bas? "Des mules". Je La
dechaussai d'une main, Lui chatouillant toujours le con. Hâ!
quelle jambe blanche! quelle propreté! Elle se chaussa debout.
Je Lui mis le piéd dans une mule rose delicieuse, à talons
roses aussi, minces, élevés, à falbalas d'or, ainsi que le
bout du talon. Je Lui quittai la motte, qu'elle lava. Ensuite
elle fit par la chambre quelques-tours, pour m'exciter
davantage. Me voyant hors de moi: "Je veux te griller"! (me
dit-elle). Tandis que je déculotais, elle s'assit, croisa ses
genoux, ét fit badiner la mule du piéd en l'air...

Je n'en pouvais plus... Me voyant prêt à m'élancer sur elle,
Conquète vint sur moi troussée, me fit tenir ses jupes, appuya
ses deux coudes sur mes epaules, ét s'enfila doucement elle-même,
sans toucher mon vit de sa main delicate. Elle descendit
ainsi graduellement jusqu'à ce que je touchasse à son
pincevit: "Ne remue pas! (me dit ma Reine), je veux me foutre
moi-même"! Quand elle sentìt le plàisir, la divine Fouteuse
trop émue, s'abandonna de tout le poids de son corps, en me
disant: "Cher Vit... pou..ousse"! Elle mit sa bouche brûlante
sur la miénne, donna le mouvement interieur à son con, me
darda sa Langue, ét se pâma, en me lançant toute son âme....
Je dechargeai, avec un si delicieux frémissement, qu'elle
foutait encore, au bout de cinq minutes d'émission. "Hâ!
Fouterie adorée, l'éclair du bonheur dure... et se... prolonge
avec toi"... Je sentis, en cet instant, l'émotion de mes
premières decharges, où je perdais connaissance, ét je crus
que j'alais expirer de volupté dans son con. Je le dis, en
déchargeant. Mon Enconnée n'en fretilla que plüs vivement: "Un
Fils?... une Fille?... ou tous-deux au fond de mon con (me
disàit-elle), chër Vit de mon Père"!... Je juràis, je sacràis,
je divinisàis ma Fille: "Con celeste.. Con divin.. Con de mon
vit.. est-ce Moi?.. est-ce Un Roi?.. est-ce Un Prince?.. est-ce
le beau Commis aux Aîdes, qui t'avons foutue dans le con de
ta Putain de Mère?... Hâ, mon vit te rend ma fille, en mêlant
mon foutre au tién... Divine, sacrée Garse.. Adorable
Bougresse enculée, il faut que je t'encule aussi? "Non: ton
foutre m'est trop précieux, pour que je le perde sciemment:
Fous-moi en con, tant que tu le voudras; maìs non en cùl, en
bouche ou en tetons". Je l'approuvai avec respect.

Je Lui dis ensuite, pourquoi je la suivais toujours, en La
menant chéz son Amie, ou en La ramenant: "Mon premiér motif
est de mieux voir le dangér. Le second, d'entendre les
discours des Hommes ét des Jeunesgens que tu fais bander. L'Un
dit: Quel mouvement de cùl!... O Garse! si nous étions seuls
ici, je me jetterais sur toi, ét je t'enconnerais... "Je l'ai
entendu (me dit en souriant Mad. Poilsoyeux). "Un-autre (ce
soir) se secoue le vit en pleine ruë: Maman.. (dit-il),
delicieuse Maman.. je me branle... je decharge... à ta divine
intention. "Je l'ai entendu: j'ai souri. Il a aussitôt ajouté:
Hô, si vous êtes putain... une divine Putain? cinquante louis
pour trois coups en une heure?... ou chéz moi, ou chéz
vous?... Je demeure ruë de-Bussi au 3me, n° 16. "Un joli Fat
(repris-je), disait asséz haut: Mon vît dans sa bouche, ét ma
langue dans son con... Et il se branlait, branlait, branlait.
"Je l'ai vu, ét je Lui ai donné un petit coup d'éventail sur
le vit... Il m'a bién touchée! Il m'occupait: Peutêtre est-il
cause que j'ai montré un-peu d'humeur, quand à notre arrivée,
vous m'avéz pris le con".

A ces mots, nous recomençames une scène, comme celle que je
viéns de raconter; si ce n'est que je renvesai ma Fille sur le
dos. "Vit-papa... (me dit-elle), tu es le Fat... c'est le Fat
qui me fout... Tu me fais foutre par tous-ceux qui m'ont
desirée... Je décharge à l'intention du Fat... son vit dans ma
bouche, ses couillètes sur mes tetons, ét l'engin de mon Père
au fond de mon connin... J'avale son... joli foutre...
(convulsivant du con)... Je déchar..ge"....... Jamais elle
n'avait eü autant de passion. Elle était même raisonnée: car
entre deux décharges, elle me dit: "Vos lèvres sont
appêtissantes; elles me rappèlent: aulieu que celles de
Montencon... Je ne veux plus qu'il m'encon..o..o..ne (dit-elle
en s'agitant): Langue en bouche: mon con pa..art"......... Hâ,
si j'avais-là l'Homme aux cinquante louis, moi qui ne suis pas
effrontée, je crois que je ferais la Putain, que je les
exigerais d'avance, comme Vitnègre disait que c'est l'usage
des Filles, que je Le déculoterais, ét que mon con martyrisé
gâgnerait la somme"?




XXIV Chapitre.

Chap. Du Chefdoeuvre de Tendresse-paternelle.


Conquette était naturellement sage; elle n'éprouvait les
emportemens du libertinage que dans le delire de la
jouissance, effect d'un vigoureux Tempéramt.

J'étais épuisé par deux coups foutus avec trop d'emportement.
Cependant je La voyais haletante de volupté. Je courus au
carrefour Bussi, n° 16, au 3e. Je trouvai le Jeunehomme aux
cinquante Louis: Je Le reconnus: Il me remit. "Je suis le Père
de la Jeune-Dame à Laquelle vous avéz offert 50 Louis. "Je les
Lui tiéns: Trois coups en une heure? "Soit: En ma présence?
"Et de tout Paris, si vous vouléz. Mais, Bougre, ne va pas me
jouer! "Non: Mais une heure, sans bruit? "Foi d'Homme!
Partons"... Il prit les 50 Louis.

Arrivés tous-deux, je dis à ma Fille: "Voici l'Homme qui t'a
plu: Tu as besoin de 50 Louis: Il te les apporte: Il les faut
gâgner"? Conquète rougit, sans rién répondre. L'Homme se
deculota, Lui vint prendre les tetons, le con. Il me dit:
"Serréz les 50 Louis; ce con satiné, ces tetons touchés les
valent". Je les serraì, tandis qu'il renversàit ma Fille sur
le foutoir. Elle fit un cri: "O Monsieur... mon chër
Monsieur... ne me faìtes pas trop de mal? "Seriéz-vous donc
pucelle? "Hélas! oui"... Il L'enconna avec fureur. Elle
soupira, criota, pinça du con, dechargea. "Elle est adorable"
(disait le Fouteur enragé: car il foutit, ét re-foutit, sans
pitié, come sans deconner, ses trois coups de suite. Ma Fille,
tantôt Le caressait, tantôt Lui demandait grâce: mais elle
déchargeait toujours... Il déconna ravi... Et voyant quelques
gouttes de sang, que ses brusques estocades avaient fait
couler, il dit. "Oui, vous êtes d'honnêtes-gens: Un pareil
pucelage n'est pas asséz pàyé de 50 Louis: Je vais en envoyer
50 autres, Papa... (Ma Fille était disparue pour s'abluer).
"Oui, si je n'étais pas marié (ajouta-t-il attendri), je
l'épouserais, ét pour son pucelage, ét pour son amour... Vous
aléz recevoir 50 Louis: Je La regrèterai toujours, ét ne La
verrai jamais. Il partit. Ma Fille me remercia, ét me dit,
qu'elle était rassasiée. Je Lui remettais les 50 Louis: "Non
(me dit-elle), chër papa, c'est pour nos dépenses". Les 50
autres Louis arrivèrent, ét je ne pus jamais L'obliger à en
mettre dans sa bourse plûs de six. Je déposaì les 94 autres à
sa portée dans mon Magasin.

Le Lendemain, à mon arrivée, ma Fille me dit: "Je brûle
aujourdhui: Savéz-vous la demeure du Fat, ou du Vit découvert?
"Non; ce sont des Sots. "Hé-bién, sortons: L'Un ou L'Autre me
verra sans-doute, ét vous Le suivréz. "Divine Fille.. épuisé
dans ton celeste connin, j'ai toujours les mêmes desirs; ét si
je voulais mourir de plaîsir, ét dans le plaisir, je te
prierais de remuér du cùl, ét de me laisser expirer au fond de
ton con satiné... Foutons?... "Un seul coup. Vous m'êtes trop
chër ét trop necessaire, pour que je ne vous ménage pas". En
montant sur le ventre de ma Fille, ét tandis qu'elle
m'arrangeait le vit a l'entrée de son con, je Lui disais: "Te
quitter, pour en suivre Un, est trop scabreux, ét malheur peut
arriver... Et comme elle ne s'agitait pas: "Tu me ménages?...
Remue du cùl, Mignone? saccade? décharge?... C'est mon seul
coup... Mais j'ai de quoi te satisfaire... Il le faut même,
avant qu'Un de tes trois gros Vits te martyrise". Elle remua
du cùl ét du con, comme Marie-Antoinette foutue en levrète à
la Conciergerie, par un Poliçon de Gendarme... Nous
dechargeames, Conquète, comme La Reine, Moi, comme Le
Gendarme... Je sortis. Elle lava.




XXV Chapitre.

Chap. Du bon Père qui fait foutre sa Fille.


Aléz au but, & bravéz le reste: c'est un con, qu'il s'agit
d'élârgir; il faut donc qu'il soit foutu.....

On sait que j'avais à moi Un certain Tràìtdamour, mon
secretaire, frère de Minone ét amant de Connète, qu'il m'avait
fait dépuceler, l'ayant trop-gros. C'était Un vigoureux Garson
de vingt ans. Il demeurait à deux pas. Je l'alai chercher:
"Veux-tu foutre quatre ou cinq bons coups, avec Une Femme
charmante, que je veux régaler, ét à Laquelle je veux donner
haute opinion de Moi? Ainsi, tu n'auras pas de jour: Mais tu
L'auras vue avant de La foutre, pour La mieux servir. "Bon,
bon! il y a quinze jours que je ne l'ai mis, ni à Connète, ni
à ma Soeur, ét je n'en fous point d'Autres"... Nous arrivames.

Je Lui fis voir, par une portière, Conquète, qu'il ne
connaissait pas. Hô.. qu'elle est.. provoquante...
foutative?... J'entrai seul: "Detetonne-toi; trousse-toi
toi-même (dis-je à Mad. Poilsoyeux): Tu es vue par Un Jeunehomme
de vingt ans, beau comme l'Amour. "Mon Fat? "Ton Fat: Il se
nomme Traitd'amour. Ainsi, montre tout, en abluant. Je
retourne auprès de Lui". De-retour auprès de mon Etalon, je
Lui dis: "Regarde La bién: Elle va s'abluer, ét montrer con ét
cùl"... L'Ame de mon Gendre momentané passa dans ses ïeux.
Conquète se découvrit les tetons, épongea légèrement les bouts
d'eau-rose. Ensuite elle se troussa audessus des reins, se
parfuma le cùl ét le con avec une autre fine éponge; tendit le
cùl, se faça bién le con: Puis elle se renversa sur le
foutoir, avant de fermer les rideaux. Je Les alai tirer, en
disant à Traitdamour de me suivre dans un instant. Je me jetai
sur La delicieuse Poilsoyeux; ét L'enconnai. Traitdamour me
chatouilla Les couilles. J'émis avec fureur: Ma Fouteuse se
recriait de volupté... Je me hâtai de déconner.

Tràìtdamour attendàit tout deculoté, Il se précipita sur ma
Fille, ét je dis, en me penchant sur La tête de L'Enconnant:
"Alons, alons, ma Belle! les reins souples? j'ai repris une
vigueur nouvelle"? Traìtdamour cependant enfonçait à-peine son
beau vit dans cet étroit bijou, encore que mon foutre y servît
de pommade. Conquète, de-nouveau depucelée. Criotait, en
soupirotant, ét neanmoins remuant vivement du cùl, à chaque
dardement de vit.

Je rebandais. Mais Tràìtdamour foutit trois coups, ét fit
trois copieuses éjaculations avant de déconner. Je Le tirai,
pour Le forcer à reprendre haleine. "Je vais pendant ce
temps-là (Lui dis-je très-bas), faire une petite partie de
Trou-Madame. "Je vois (me dit-il de-même), vous ne bandiéz plus
asséz roide, ét je suis votre Boutentrain? Mais elle a Le con
plein de foutre"... Ma Fille se lavait... Je roidissais
de-plûs-en-plûs, par la vue des cuisses de neige, de la jambe
fine, du piéd parfait, du cùl, du con, du ventre d'ivoire, du
nombril bién-fait, des tetons de ma Fouteuse. Je dis tout-haut
à Tràìtdamour: "Beau Fouteur, montre-toi; que ma Deesse voye
le superbe Vit dont je La régale"? Traìtdamour parut son Tràìt
à la main. Ce n'était pas le Fat; mais Il était plûs beau. Ma
Fille sourit: Puis baîssant la vue sur le Vit majeur, La Belle
dit en soupirant, ét Le pressant de sa main blanche ét
potelée: "C'est donc toi, qui m'as fait tant de mal... ét de
plaîsir"?... Tràìtdamour me La renversa; Lui fit écarter les
cuisses; me coucha sur elle; me mit l'engin dans la brèche, en
disant: "Votre Belle a la main trop douce; pourrait vous
mettre à nage, ét il faut enconner roide... Pousséz, mon
Maître... piquéz des deux..! la Cavale est belle... Alons,
Deesse enconnée, hausséz le con.. Remuéz du cùl... C'est Un
Homme-d'esprit qui va vous humecter la matrice de son foutre
honorable"... Cette harangue fit sourire la Foutue, qui, pour
en déguiser la cause, s'écria: "Hâ, monsieur Vitnègre, que de
cornes vous voila!... "Alons, Deesse (reprìt Tràìtdamour),
songéz qu'il faut que vous fassiéz les trois-quarts de
l'ouvrage... Du mouvement?... Bon... hâ! ça va d'amitié.. ét..
vous remuéz du cùl comme une Princesse... Alons, des reins
souples? Avec votre connin satine, vous mettéz votre Fouteur
aux Anges!... Roide, mon Maître? aidéz-vous.. votre jolie
Monture va comme une Jument barbe... Gzee.. gzee.. Un coup de
fouet... Hâ! quels soubresauts... Ma-foi, elle decharge...
Piquéz des deux... Comme elle trémousse des fesses, la celeste
petite Amie? comme elle en donne!... Que je vous chatouille
les couilles, pour vous y faire correspondre?... Vous
partéz?... Quels coups de cùl?... Quels soupirs?... Elle
redecharge"?...... Ma modeste Fille ne jurait jamais que
très-emue, ét dans le delire de la volupté: Aussi, en cette
occasion, elle sincopa, en s'écriant: "Bou..ougre?..
fous..ous-moi? Mon... con a.. toute.. mon âme!... Je fous.. je
fons... en foutre... je decha..arge... Que.. n'ai-je.. deux
vits.. dans.. mon.. sacré con? "Il est trop étroit, ma Belle
(Lui répondit Tràìtdamour); sans quoi l'On s'arrangerait à
vous donner ce plaisir-là... Mais On pourra quelque-jour vous
enculer, pendant que votre Fouteur vous enconnera"...

Après une delicieuse décharge, je me crus épuisé. Je deconnai
surlechamp. Ma Fille trémoussait encore. Tràìtdamour sauta sur
ce con fumant, ét tout en Le re-enconnant, il me disait: "Vous
avéz foutu ma Petite Soeur; je L'ai foutue aussi, après vous:
Vous m'avéz dépucelé Connète ma Future: Dites-moi si Leurs
cons valent celui que votre bonté me fait enfiler? c'est un
satin?..... Mais, à en juger par le soyeux du poil, j'augure
que l'interieur du con de ma jolie Chapelière de la ruë
Bordet, en approchera... Ma Reine.. vous fais-je mal? "Et
plaisir... Va.. va..a va..a donc? je fous. "Hahahâh, quel
satin.. quelles delices?... J'enconne.. je fous.. je
decha..arge... Remue.. divine.. sacrée.. celeste Enconnée?...
Hô, l'aimable petite pincette qu'elle a au fond du conin?...
Pince.. serre.. sacrée petite Convulsionnaire.. fais-moi..
convulsiver dans ton joli con?... Tu veux du foutre..
Deesse?... Quatre decharges de-suite vont t'inonder le conin..
conichon.. conichonnet?... Voila ma seconde... "Fous.. saccade
(murmurait ma Fille).. ne.. me quitte.. pas chër Vitdamour?
"Ne la quitte pas après avoir dechargé (dis-je à mon ancien
Secretaire); qu'elle sente les dernières oscillations de ton
gros vit?... Qu'elle est jolie, en foutant?... (disais-je à
Tràìtdamour); je rebande... Elle a l'air d'une Deesse?...
Laisse-la achever... Farfouille... Lime.. lime-la?... Elle
gigote encore... Bon.. bon? Elle se pâme?... Hâ, qu'elle est
jolie, pâmée!..... "Elle n'émet plus? "Elle a émis quatre fois
dans le con, sans la desenconner, Quatre ét trois c'est sept
(disait Tràìtdamour, en me La lavant): vous aléz la refoutre:
ça me reposera; j'irai à mes douze. "Vous vous feréz mal (me
dit Conquète); voila quatre fois que vous m'enconnéz
aujourd'hui; le reste de ses 12 me suffira: ça fera mes 16"?
Pour toute réponse, je me La fis renverser: Elle me darda sa
Langue, ét je La foutis roide... Traìtdamour la prit ensuite,
ét ne La quitta plus, quoiqu'elle L'en priât, qu'il n'eût
arrosé de foutre cinq nouvelles fois ce beau con.... Elle se
leva aussitôt qu'elle fut déconnée, en me disant: "Emmenéz cet
impàyable Jeunehomme, ét me laisséz libre: J'ai besoin de
rafraîchir sur le bidet plûs d'une demi-heure mon pauvre Bijou
martyrisé".... Nous La laissames; j'alai prendre ét faire
prendre à Tràìtdamour un bouillon chéz Mad. Brideconin, que je
priai d'en tenir un prêt pour Mad. Poilsoyeux. Ce qui La
surprit... Conquète rafraichie arriva, ét parut aussi décente,
aussi modeste, que si elle n'avait pas foutu. Tràìtdamour
partit, sans être instruit: Mad. Brideconin étant prévenue de
ne jamais decouvrir les relations entre ma Fille ét moi.




XXVI Chapitre.

Chap. d'AVIS três-utile au Lecteur, et à l'Auteur.


Nous en sommes enfin au temps si souvent annoncé des fouteries
majeures. Si je les avais ràpportées sans préparation, elles
auraient étonné: Mais qu'On sache que j'étais sûr, en les
commençant, non-seulement d'avoir pour mes Filles deux des
trois Payeurs qui soldaient Vitnègre, mais encore de Les faire
préceder par la jolie Chapeliére de la rue Bordet, qui, vendue
au plus douteux, devait m'instruire de la moralité de tous les
trois. Il était donc essenciel, pour éviter qu'elles ne
fussent estropiées, de Les faire prodigieusemt élargir, en
évitant neanmoins de Les prodiguer à trop de Déchargeurs en
con. L'On verra comme je m'y prendrai pour cela.

On trouvera dans le Recit un Episode, à chaque Seance, tant
pour varier la scène, et reposer l'imagination, que pour
raconter quelques Avantures, que j'ai cru devoir supprimer au
commencement. Chaque historiette lue ou racontée, ne sortira
pas du genre. Rién de plus déplacé, dans un Ouvrage comme
celui-ci, qu'une Dissertation philosophique; elle y deviént
insipide, et par-là même dégoûte de la phlosophie. Mon but
moral, qui en vaut bién un-autre, est de donner à Ceux qui ont
le temperament paresseux, un Erotikon épicé, qui les fasse
servir convenablement une Epouse qui n'est plus belle. C'est
ce que j'ai vu faire à plusieurs Hommes, qui se servaient pour
cela du Livre cruel ét si dangereux de Justine, ou les
Malheurs de la Vertu. J'en ai un plus important encore; je
veux préserver les Femmes du délire de la cruauté. L'Anti-Justine
non moins savoureuse, non moins emportée que la
Justine, mais sans barbarie, empêchera desormais les Hommes
d'avoir recours à celle-ci. La publication de la Concurrante
antidotale est urgente, et je me deshonore volontiérs aux ieux
des Sots, des Puristes ét des Irréfléchis, pour La donner à
mes Concitoyéns.

L'Ouvrage aura II Parties: Après le Recit formant la Ire,
succèderont des LETTRES, non moins assaisonnées, composant la
IIde. Les Filles de Cupidonnet Lui racontent les parties-de-plaisir
que Leur fesaient faire leurs Entreteneurs; parties
oú, dans le delire de l'ivresse, Leurs Payeurs les fesaient
quelquefois posséder par 12 Hommes... Mais toutes ces Lettres
ne sont pas érotiques: il en est d'intéressantes par un autre
motif; tel est celui d'une Resurrection, avec la decouverte
importante de l'origine de Conquette-Ingenue, ét de Victoire-Conquette,
noms de deux Filles que les miénnes ont remplacées:
Ce qui me justifiera d'une certaine chose, qui sans-doute a
déja effarouché plus d'un Lecteur... Je n'en dirai pas
davantage là-dessus.

On ne peut trop multíplier les observations sur les Scènes que
je vais mettre sous la vue du Lecteur: Pour remplacer la
JUSTINE, ét faire préferer l'ANTI-JUSTINE, il faut que
celle-ci surpasse l'Autre en volupté, autant qu'elle Lui cède en
cruauté: Il faut qu'un seul Chapitre lu par un Homme, sur
l'inspection de la Table, Lui fasse exploiter sa Femme, Jeune
ou Vieille, Laide ou Jolie, pourvu que la Dame ait fait bidet,
ét qu'elle soit bién chaussée.




XXVII Chapitre.

Chap. Du commencement des grandes Fouteries.


Egayée come elle l'avait été hièr, ma Fille devait ávoir
besoin de repos le lendemain: Elle avait le Bijou si fatigué,
qu elle ne pouvait quitter sa chaise. Elle resta constamment
auprès de Mad. Brideconin, depeur que Persone ne vînt le lui
patiner. Le reste de la semaine, elle évita également, quoique
guérie dès le 3me jour, de se trouver seule avec moi. Elle
amassait elle-même du tempérament; car elle ne s'était jamais
branlée.

Le Dimanche, à une heure, elle ala pour la dernière-fois chéz
son Amie... Avant de partir, elle me présenta son joli Piéd à
baiser, ét me livra sans bégueulerie le Poil de son conin. Je
La conduisis jusqu'à la porte, promettant de La revenir
prendre avant 5 heures: ce qui la fit rougir: mais j'observai
qu'en montant, me croyant parti, elle souriait.

Je fus exact. En la ramenant, je la fis marcher devant moi,
m'apercevant qu'elle était observée par un Homme, que je pris
pour Un des Payeurs de Vitnègre: Mais Il ne pouvait
reconnaître que son joli tour-de-cúl ét sa marche provocante,
tant elle était bién encalèchée. J'observais l'Inconnu: Je
demandai à ma Fille, Si c'était-là Celui-ci qu'elle préferait?
-- Oui- (me dit-elle). Alors, je La nommai distinctemt, Ma
Fille. Et l'Homme s'éloigna.

J'avais averti Tràìtdamour. Il avait une cléf de mon Magasin,
ét nous L'y trouvames. Je Le crus seul, malgré la
recomandation que je Lui avais faite, de m'amener quatre
Acteurs des deux-sexes. Je Lui dis en riant, que je bandàis,
ét que je voulàis enconner. "Quoi! (dit Conquète), est-ce que
vous aléz faire tous-deux comme l'autre fois?... Je ne suis
pas disposée, je vous en avertis. "Nous vous disposerons, ma
Belle (Lui dit ironiquement Tràìtdamour, qui La crut ma
Putain): voyéz-moi ce vit-là?"... Et il Lui en montra un
superbe... "Laisséz-moi dabord vous lècher le conin,
Ma'm'selle?... Mon Maître vous enconnera, quand vous seréz
préparée? J'ai tout disposé, pour lui donner aujourdhui, ainsi
qu'à vous, un plaisir de Fermiér-general". Il La renversa
brutalement, ét La gamahucha, en Lui disant, comme s'il
L'avàit menacée: "Ne résistéz pas! car je vous ferais mal"...
Mais Mad. Poilsoyeux, comme toutes les Femmes à grand
temperament, aimàit, dans la fouterie ét ses accessoires, une
sorte de brutalite. Ainsi, en croyant La contraindre, il La
servait admirablement... La Belle commençait à décharger...

Tandis que je roidissàis avec oscillation, à la vue du systole
ét du diastole des fesses ét du con de ma Fille, j'aperçus
derrière un rideau de l'alcove quelque-chose qui remuait.
J'alai voir. C'étaient Minone ét Connète, auxquelles deux
Garsons amis, de Traìtdamour, excités par ce qu'ils voyaient,
lèchaient le con. Je Leur fis entendre par signes, de ne pas
bruïr, ét je Les encourageai d'un geste.

Cependant Tràìtdamour fellait ou suçàit le conin de Mad.
Poilsoyeux. Lorsqu'elle fut suffisamment en humeur, il se
dérangea, me tìra sur la Belle, ét insera mon vit bandant en
ce conin rempucelé par sept jours de repos. "Qu'avéz-vous à me
donner à vous suçer? (dit-il à l'Enconnée). Elle Lui présenta
l'index de la main-droite qu'il se mit à suçer, après
neanmoins avoir appelé sa Soeur ét sa Maîtresse, en Leur
disant: "Ici, Bougresses, ét qu'On montre son
savoir-faire"?... L'Une (Minone) qui avait la main aussi douce que ma
Fille avàit le con, me chatouilla les couilles; l'Autre
(Connète), fourrait un doigt pommadé dans le cùl de ma
Fouteuse, pour La faire tressaillir sous moi... Mad.
Poilsoyeux hennissàit de plaîsir. Elle me dardait sa langue,
en m'appelant son chër Fat.. son chër Centlouis.. son chër
Payeur à gros vit.. son chër Traitdamour... Enfin, enivrée de
fureur érotique, elle s'écria: "Vitnègre?... Jeanfoutre...
Fous-moi? Pinçe-moi?... Que ton gros vit de Mulâtre me
pourfende ét m'encule"?... Et elle déchargea comme une
Energumène. En ce moment, j'avàis dans la bouche la Langue
fretillante de mon Enconnée; Une des deux Filles me
chatouillàit de la siénne le trou du cùl ét les couilles;
l'Autre me suçait dans la raie du dos entre les deux épaules,
précisément sur le sensorium... Je croyais connaître le
plàîsir de la décharge: mais je ne l'avàis jamais éprouvé,
comme cette fois-ci; ét de ce coup, je fus rendu.... "Quelles
delices"!

Tràìtdamour m'enleva de sur ma Fille, ét se précipita dans son
con. "Voila un connin? (disàit-il, en poussant ét retirant,
alant toujours plûs avant, à chaque saccade): Il y a de la
difference de ce connin aux autres cons, comme du satin à la
tapisserie de Bergame"... Les Jeunesfilles n'avàient plus
besoin de chatouiller, quand Tràìtdamour foutait; il avàit
asséz de feu pour Lui-même, ét ne fesàit que trop bién
trémousser sa Monture. Je fis signe aux deux Garsons,
Brisemotte ét Cordàboyau, d'étaler les Filles, l'Une sur un
vieux sofa, l'Autre sur un Lit-de-sangle àyant un simple
matelas, ét de Les foutre à la portée du regard de la Belle au
con soyeux. Par un effet du hasard, ma Fille émettàit sous
Tràìtdamour pour la seconde-fois, ét les deux Enconnées
déchargèrent au même instant, ainsi que les trois Hommes. La
belle Poilsoyeux, en roidissant les jarrêts, fesàit: "Hi
hi-hi-héhé?.,. Minone: "Han-han-hanh"?... Connète: "Houhi-houhin
houah-houah-houâh"?... Les trois Hommes disaient ensemble;
Tràìtdamour: "Remue du cùl, Deesse"?.. Cordàboyau: "Remue du
cùl, Garse"? Brisemotte: "R mu du cùl, petite Putain"?... En
déchargeant, ils s'écriàient: "Foutre... "Foutre... "Foutre...
Tràìtdamour: "Hâ, Deesse... Cordàboyau: Hâ, Bougresse...
Brisemotte: "Hâ, Mâtine"! chacun suivant son caractère ét sa
politesse....

Mad. Poilsoyeux fut la plûs longue à décharger; les deux
Autres étàient déconnées ét lavéès, qu'elle émettàit encore.
Enfin elle cessa. Tràìtdamour La lava: Et me voyant rebander:
"Vous la foutréz sans-doute autant que la dernière-fois? (me
demanda-t-il). "Très-certainement! (repondis-je). Je ne suis
vigoureux qu'avec cette Jeune-beauté: Je la foutrais jusqu'à
extinction de vie ét dessiccation de couilles; ét tu vas voir
ce que je vaux. Qu'On m'anime seulement par la vue
d'enconnages redoublés"?




XXVIII Chapitre.

Chap. De l'Enculo-connillerie.


Ma reponse fit sourire Traîtdamour, qui sans-doute n'y ajouta
aucune foi.

"Hé-bién (reprit Tràìtdamour), je vais vous donner un plaisir,
que vous n'avéz jamais eü, ni ces Bougres-là non-plûs. Je
tiéns cette pratique de l'Abbé Chouanche, ancién Genovefain,
qui m'a souvent enculé, avant que j'eüsse de la barbe au
menton ét du poil au vit.. Un-jour, voyant que je m'ennuyais
de son culetage, il me dit d'aler lui chercher la petite
Cùlfràyé la cadète, jolie come un coeur, ét non encore vendue à
un Lord. Il envoyait 12 francs à la Mère, ét la Fille devait
en recevoir autant. L'Abbé la fit s'appuyer un coude sur une
commode; il se mit derrière elle, ét l'encula: J'étais devant,
ét il me la fit enconner. Nous limions; nos deux vits se
sentaient, ou la Jeune-garse tortillait du cùl de-façon, que
nous croyions le sentir. Chouanche la fesait tantôt pousser du
con sur moi, ét alors son vit déculant à-moitié, il avait
l'agrément de la re-enculer, quand elle foulait du cùl sur
lui. Je presque-déconnais alors, puis je re-enconnais. Ce joli
jeu dura, tant que Chouanche put retenir son foutre. Car il ne
dechargeait pas: il se reservait pour mon cúl. En-consequence,
il fit metttre la jolie Cùlfrayé sur le dos; je l'enconnai;
l'Abbé m'encula, ét nous déchargeames tous-trois.... Nous ne
prendrons pas la manière du Genovefain; elle est trop
fatigante pour la Foutue. Mais il payait la jolie Bougresse...
Payéz-vous Madame?... "Non certes: c'est une honnête-femme.
"Je m'en suis aperçu à sa fouterie: Une Putain ne fout pas
comme Madame... En ce cas, je vais vous donner une experience
fisique sur Une de ces deux Fillètes... Alons, Minone.. Alons,
Connète? laquelle des deux veut étre enculée ét enconnée
tout-à-la-fois ét en-même-temps? Qu'elle se trousse"?

Durant cet entretién, qui La laissàit tranquile, Conquète
s'étàit couvert le con ét les tetons. Les deux Filles étàient
assises à-côté d'elle, détetonnées. Elle Leur baisa le
boutonnet, ét Leur couvrit la gorge de sens-froid avec leurs
fichus. (Mad. Poilsoyeux redevenàit toujours modeste, dès
qu'On ne La foutàit plus)........ Les deux Filles répondirent
ensemble: "Moi... Moi! "L'Une après l'Autre (dit
Tràìtdamour)... Vous avéz ici de la pomade, ou du beurre-frais?
"Oui (répondit en rougissant la belle Consatiné):
Tenéz, ma pomade est-là... ét voici du beurre. "Gardons ce
beurre-frais pour vous, belle Dame, aussi belle au cùl ét au
con, qu'au visage (reprit Tràìtdamour). Minone se pomandàit la
rosète. "C'est donc toi qui passes la premiére, ma Soeur? "Oui,
si c'est tòi qui me dépuçèles le cùl? "J'y suis pucelle aussi
(s'écria Connète). "Ce ne sera pas moi qui aurai ton puçelage
d'arrière (répondit Traìtdamour à sa Soeur): Mon vit est
aujourdhui entièrement reservé à Madame: Et quoique le
culetage m'ait toujours fait peine, Agent ou Patient, le cùl
satiné de Madame me tente autant que l'étroit fourreau de son
con, qui se rempuçèle en une semaine, ou seulement en fesant
bidet à l'eau froide. Je suis sûr que Madame n'a jamais été
enculée (à-genoux, il Lui regardàit au cùl), ét que c'est
aussi un puçelage"? Conquète rougissàit.

Les deux Camarades de Tràìtdamour tirèrent au premiér-Roi, à
qui dépucelerait le cùl de Minone: car tous-deux Le voulàient
avoir. Ce fut Cordàboyau (un Bellot à vit moyén), que le sort
favorisa. Il se pomada le vít jusqu'à la racine. Tràìtdamour
fit coucher Minone sur le côté. Il mit Cordàboyau devant son
cùl, ét Brisemotte (un Beau à gros Vit) devant son con. Il La
fit ainsi enfiler des deux côtés; les Jeunesgens se La
poussant L'Un sur l'Autre à qui mieux. Ce qui donnait un tel
plaîsir á Minone, qu'elle se recriàit: "Dieu.. que j'ai de
delices... c'est... une fouterie de Princesse...... On dit..
que la Reine.. fout ainsi entre.. DArtois et Waudreuîl.. ce
derniér a.. le cùl.... "Alons (dit Traìtdamour), tachéz de
décharger tous-trois en-même-temps"?... Cordaboyau poussait;
il retint la Gàrse par les hanches, pour enfoncer plûs àvant;
Brisemotte en fit autant; desorte que rendue immobile, elle
s'agitait néanmoins en tout sens. "Examïnez bién.. (dis je à
Conquète-Ingenue), pour faire la même chose à votre tour: car
il faut que vous experimentiéz tous les genres de fouterie".
Elle considéra le jeu, à-tràvers les bâtons de son éventail.
Minone hâletaît. Connète ébahie restait immobile à La
contempler: "Que fais-tu là, toi, Bougresse? (Lui dit
Tràìtdamour, notre grand Maître-des-cerémonîes): Patine-nous
Madame... Suce-lui le bout des tetins... Gamahuche-la; elle a
le con propre comme un visage de Mariée"...........

Ces mots, énergiquement prononcés, mirent en danse la Reîne de
la Fête, que je vais décrire.

Connète, tandis que Minone travaillait, & qu'elle était
travaillée, decouvrit les tetons de Mad. Poilsoyeux, & les
siéns: Elle en suça les bouts; elle se les fit suçer. Ce
chatouillement de la bouche de Conquète, aussi satinée que son
con, mit la jeune Connète en fureur amoureuse: Elle trousse
Mad. Poilsoyeux; lui insère sa langue dans le con; lui
chatouille le haut de la mote. La Belle émoustillée, regardait
cependant Minone. Celle-ci avertit ses deux Fouteurs qu'elle
était prête à decharger. Ils redoublent le fourgonnage. Elle
s'écrie: "Vits de Dieu"! Et elle se pâme. L'Enculeur &
l'Enconneur l'inondaient de foutre; il ruisselait des deux
côtés... Ma Fille, vivement gamahuchée par Connète, est hors
d'elle-même, & cette modeste Beauté dit à la Jeunefille: --
Ote-Toi-, Garse! Un Fouteur? un fouteur?... deux... cent
Fouteurs-?... Traìtdamour l'entend: Il derange Connète
acharnée, en la tirant par la jolie crinière de son con blond:
Il emplit le trou-du-cúl de Mad. Vitnègre de beurre-fraîs;
s'en frote le Vit decaloté; se met le bas-ventre sur ses
fesses, enfile la rosette, sans écouter les petits cris de
l'Enculée; l'étreint vigoureusement, se retourne, en se
mettant sur le dos, le vit dans le cùl de la Belle jusqu'à la
garde, son con bién facé:..... Il crie à son Maître: "A ce con
beant qui vous supe! Enconnéz roide... Piquéz des deux... la
Garse est enculée, & je vas vous donner les mouvemens.....
Pardon, Deesse! je ne me connais plus...... Connète? boulonne,
boulonne les Couilles de mon Maître"......

Cependant j'enconnais ma delicieuse Fille: Et sentant le vit
de Traìtdamour, qui m'étrecissait encore le passage, & qui
donnait au connin des oscillations, que jamais Con n'a eúes,
je déliraí, en m'écriant: -- Chién de Vinègre! cocù tout-à-la-fois
du con & du cul-. Cette idée m'enflâmait, & sa brutalité
m'empêcha de décharger trop-tôt. Je parvins au charmant
pinçoir du fond du conin. Il me suça. Le vit de Traîtdamour me
communiquait tous ses mouvemens, & en fesait faire d'insolites
à mon adorable Fouteuse. Deja préparée par la langue de
Connète, elle s'écrie: -- Ha-ha-hôh!... ze déça-arze....
Foutre! -- En voila.. du Foutre.. plein votre con... Reine des
Vits.. et des Dieux s'écria Traìtdamour-!..... Et je sentais
les oscillations de son gros Vit qui éjaculait.... Enfin, je
déchargeaí moi-même. Ma Fille, inondée de foutre tremoussait
rapidement: -- Con satiné de mon Vit (m'écriai-je), que tu es
delicieux-!... Mad. Vitnegre émettait encore, quand
Traitdamour decula.....

Ce mouvement la fit redecharger... Le Bougre se lavait
d'eau-tiède. Conquète, dans le Con de laquelle je laissais osciller
mon vit, après decharge, gigotait, tremoussait, tremblotait
sous moi. Connète m'avait quitté les couilles. Traìtdamour
toujours bandant, était revenu vers nous. -- Fous-la-moi
tout-chaud (lui dis-je); elle decharge encore.... Et toi (dis-je à
Connète), boulonne-lui la bouteille-à-miel du Bourdon-d'amour-.
Elle m'obeït. Mais Minone, deculée, deconnée, lavée, était
libre: Elle vint remplacer Connète, en me demandant, Si cela
ne signifiait pas tout uniment, de chatouiller les Couilles de
son Frère, pendant qu'il foutait ma Maîtresse?... Cordàboyau
cependant & Brisemotte hápaient Connète, le premier, cette
fois enconnant, tandis que l'autre enculait, pour donner une
perspective encourageante à ma Fille.

Mais tout finit. Mad. Vitnègre cessa de decharger. On la
deconna: Traitdamour la mit an bidet: Elle se couvrit
modestemt le Con & les Tetons; puis elle dit aux deux
Fillètes: -- Mes Bonnes-amies, alons aîder mon Hôtesse, pour le
souper-? Elles y coururent. -- Si vous n'avéz préparé (dit ma
Fille), que pour notre soupér ordinaire, je vous avertis qu'il
faut le double. -- Je n'ai pas asséz donc (repondit mad.
Brideconin). -- Vîte au Rôtisseur de vis-à-vis (reprit la Belle
Vitnègre); & du bon vin? ou je ne boiraí que de l'eau. Un bon
mariage paiera tout-ça-... On ala chéz le Successeur d'Ellès,
qui promit un copieux soupér pour dans une heure.

Conquète rentra auprès de nous avec les deux jolies Filles. --
Rebandéz-vous? (me dit Traitdamour): Il ne faut pas laisser
languir nos cons, avec l'expectative d'un bon soupér? -- Je
brûle, à la vue du tour-de-cùl, & du piéd de ma Deesse: mais
je ne suis pas roide lui repondis-je. Traitdamour: Je roule
dans ma tête une idée, qui vous roidira.




XXX Chapitre.

Chap. D'une nouvelle Actrice: Danse négre.


-- Alons, Garses, dit Traitdamour à sa Soeur et à sa Maitresse,
nues? Et vous, Bougres, deshabilléz-vous-?..... Il se mettait
nu lui-même. -- Mais il nous faut encore une Actrice... Je
viéns de voir monter une jolie Drôlesse, qui ferait notre
affaire? -- C'est mad. Brideconin, l'Hôtesse de notre belle
Dame, dit Connète. -- Non, non, mon Amie: C'est une petite
Brune de fond de la cour, cadète d'une grande belle Blonde,
que nous aurons peutêtre un-jour, & qui se nome Conindoré: La
Cadète s'appèle Rosemauve, & passe pour très-rusée. Mais On la
dit amoureuse comme une Chate, quoiqu'elle soit peutêtre
pucelle encore; car sa Mère la couve des ieux. Cependant quand
un Homme l'embrasse, elle ne fait aucune difficulté de donner
sa langue. -- Je la counais! dit modestement la belle
Poilsoyeux; & elle m'a... m'a... Traitd. Quoi? Deesse? -- Mais,
donné sa jolie langue, &... -- Et quoi? -- Gam*******. --
Gamahuchée... Va la chercher, Connète. -- Non! dit vivement
Conquette, j'y vais moi-même-. Elle sortit, & ayant rencontré
Rosemauve qui redescendait, parcequ'elle n'avait pas trouvé un
vieil Oncle asséz riche, dont elle recreait l'impotente
lubricité, en lui chatouillant le Croupion, le Scrotum & les
Testicules; ce qui le fesait bandocher, la Belle Poilsoyeux la
mit au fait, obtint son aveu, & l'introduisit.

Les deux Filles & les trois Hommes étaient nus comme la main:
Sans rién dire à la brune Rosemauve, ils se mirent tous-cinq à
la deshabiller. On lui enleva jusqu'à sa chemise. On lui
baigna Cul, Con, Cuisses, Piéds... Puis Traitdamour lui dit: --
Ma Belle, il faut; en Tout, faìre comme ma Soeur & mon Amie-.
Aussitôt commença la Danse-nègre; où chaque Fille fesait tous
les mouvemens d'une Noire ardente, qui fuit le Vit dont elle
brûle d'être enconnée, que le Vit attrape, & qui saccade alors
en tremoussant du cùl, comme si le Vit la fourgonnait. Les
Garsons poursuivaient les Garses le vit en main; & dès qu'ils
les avaient attrappées, elles se retournaient pour l'enconage,
ou ils paraissaient les foutre en levrette; culetant,
criotant, jurotant, comme s'ils eússent perforé les cons. La
Danseuse prenait le vit, aulieu de la main; l'Homme la
saisissait par la barbe du con. Ils se fesaient ainsi tourner
de-temps-en-temps.

Je bandais roide. Je fis trousser ma Fille audessus des reins,
& je lui dis: -- Conque de Vénus, imite tous les mouvemens de
cul et de con que tu vois-... Elle était excitée; elle se mit
au-milieu de la danse, & les executa rapidement... Traitdamour
me voyant en rut, & ses Camarades bién-disposés, leur dit: --
Au foutoir-... Il laissa Rosemauve, sa Danseuse, qui en parut
toute mortifiée! -- Votre tour va venir, ma belle Danseuse-. Il
étendit ma Fille sur le sofa, dont il lui mit un des oreillérs
sous le cul: -- Alons, ma Toute-éveillée, dit-il à Rosemauve,
gamahuchéz-moi ce conin-là, pendant que je vous le mettraí en
levrette, ou vous enculeraí, à votre choix? -- On ne dépucèle
pas une Vierge en levrette (repondit-elle vivement): encule-moi,
s'il le faut, tandis que je gamahucheraí ce conin
d'amour-... Elle gamahucha la belle Epouse de mr Vitnègre avec
fureur, & Traitdamour perça sans pitié, par des efforts
redoublés, le cul virginal de la Gamahuchante. La belle
Poilsoyeux appela le Vit? le Vit?

Je n'y pouvais plus tenir. Je derangeai la Rosemauve enculée,
pour me précipiter dans le con de ma Fille haletante de
volupté..... J'enconnais vigoureusement, lorsque j'eüs la
delicieuse surprise de me sentir gamahuchea le Cùl, ainsi que
la racine des Couilles, par la bouche & la langue veloutées de
Rosemauve!... Je cocufiai mons Vitnègre aussi copieusement,
que si j'avais eü les couilles d'un Dieu!... On abluait: --
Avec la permission de ma Deesse (à Conquète), il faut que je
m'acquitte avec Rosemauve-?... Tout le monde s'écria: -- Non,
non, Dimanche-? Je ne les écoutai pas; j'enfilai la Pucelle,
qui criota, sanglorina, & ils furent Temoins de ma nouvelle
victoire. Mais Conquète me gronda serieusement.. On ala
souper.

La conversation fut sage, rassise. Brideconin, sa Femme en
étaient édifiés... Mais je ne tarderaí pas à les mettre de nos
amusemens... Au dessert, Traitdamour me demanda une Histoire
dans genre de nos Amusemens? Je lui donaí à lire une Lettre,
adressée à Vitnègre, par Un de ses Trois Payeurs, Lettre que
j'avais trouvée dans une des malles de ma Fille. La voici:




XXXI Chapitre.

Chap De la Piochée, du Pioché, du Piochard.


Nous avons Un de nos Confrèrs, qui avait une Maîtresse de
seize ans, dont il jouissait à sa manière, comme je prétens
jouir de ta Femme à la miénne, quand une-fois je l'auraí
devirginée. Tu seras alors présent à nos fouteries, à-peu-près
come le Pére dont je vais parler. J'aime à écrire ces
histoires-là; elles me font bander. Le Père de la Jeunefille
était Un riche Marchand, qui l'avait delicatement élevée: mais
il était devenu si pauvre, qu'il ne pouvait plus la nourrir,
ni Un Fils de douze ans. La Fille áyant plu à mon Confrère, il
la voulut acheter. Le Père la lui vendit douze-mille francs.
Mais comme Piochencùl (ç'est le nom du Confrère), est un
libertin fort blâsé, il lui faut un ragoût pour le ranimer. Ce
ragoût est de faire trousser & laver la Fille par son Père,
avant d'en jouir. Le Père prend ensuite le vit du Fouteur, &
le dirige dans le con sans poil de la jolie Piochée. Son Père
l'avait pomadée la première-fois. Pendant l'acte, il l'excite
à remuer du cùl, à serrer le Fouteur dans ses bras, &c. Quand
elle est deconnée, le Père lave le vit de son Gendre, le cùl,
le con de sa Fille, & les essuie.

Dans la conversation, Piochencùl apprit biéntôt que Piochée
avait un Frère beau comme Adonis; c'est-à-dire parfaitement
ressemblant à sa Mère, qui avait été très-jolie femme. Dès que
mon Confrère le sut, il l'acheta, comme sa Soeur, & pomadé par
le Père, il l'encula. Peu de jours après, voulant foutre la
Soeur avec plûs de vigueür, il la fit laver par le Père,
gamahucher par le jeune Frère, & il l'enconna, quand elle fut
prête à decharger... Par la suite, il n'encula plus le joli
Enfant: "Bougre! dit-il au Père, je ne bande plus asséz pour
enconner ta Fille, sans être excité; encule moi là ton petit
Garson; cela me fera roidir"? Le Père est forçé par son
interét, d'obéir au Blâsé: Ce qui fait tellement bander le
vieux Satyre, qu'il enconne, & même encule la Jeunefille....

Il y a 4 ou 5 ans que cela dure. Quand le Garson a eú 15 ans,
il lui a fait enconner sa Soeur: Il la fout ensuite sans laver,
pendant que le Père encule le Jeunehomme. D'autres fois le
Frère encule sa Soeur, tandis que le vieux Bougre l'enconne....
Voila. quelle est la vie que mène mon vieux Confrère, & qu'il
trouve delicieuse à son âge... La Fille est delicate & jolie.
Le Garson est beau. Le Père est affreux. La Fille est devenue
grosse. Le Financiér croit, avec raison, que c'est du jeune
Frère. Il desire que ce soit une Fille, esperant qu'elle sera
jolie, comme tous les Enfans incestueux. Car il faut savoir
que ce joli Garson est fils d'Un Frère-aîné, qui, dévenu
éperdûment amoureux de sa Mère, donna la courante à son Père,
en mettant de la manne dans son potage au lait du soir. Le
Père fut obligé de se lever souvent, & le Fils, à chaque
sortie, ala auprès de sa Mère, qu'il enconna six-fois aumoins
pendant la nuit... Voila d'où provenait le beau Garson,
ressemblance de sa Mère avec une telle perfection, que vêtu
des habits de la Belle, qui n'est plus, on le prend pour elle.
C'est en consequence, qu un Amant, piocheur de la Mère,
entretint le Jeunehomme sur le même piéd que sa feuë
Maîtresse, à-condicïon que pour la jouïssance, il prendraìt
les habits de sa Mère, en porteraìt le nom, mad. Brouète-vît;
qu'il feraìt la petite voîx, diraìt Mon cón, aulieu de Mon
cùl; tandís que luí Vîtacon, se feraìt íllusïon, en dîsant à
sa Maîtresse: -- Alons, ma chère Brouètevît, venez que je vous
le mette en levrète-?




XXXI. Chap. Suite des Mêmes. Piochéte. Dix ans après.


Je vais donner la suites de cette avanture.

Piòchée eút effectivement une Fille, qui a 14 ans aujourdhuì,
et qui est jolîe comme sa Grand'mère. Elle sert aux plaîsîrs
du vieux Traîtant, qui ne pouvant plus encònner, s'en faìt
caresser, tandís que la Mère lui suce le vît. C'est dans les
extases de ce plaîsir lông ét difficile, causé par le
chatouillement que fesait éprouver à son vit paralytîtique le
palaîs de Piôchée, qu'il conçut le dessein de faire depuceler
Piôchète à 14 ans, par Piôché l'Adònis, son père ét son Oncle,
que justement la jeune Enfant aîmaìt ìncestueusement; puîs
enculer alternativement. "Bande, Bougre, (dit-il à l'Adónîs),
et ne decharge pas! Tu me depuceleras ta petîte Gàrse de
Fille,... dês que tón Grandpère t'aúrà decúlé". Là Petíte fut
gámàhuúchée pár le vîeúx Singe; púîs pomadée pàr sa Mère. Són
Père, deculé, bién bandant vint súr elle, et lúy darda son vit
dans le conin, dónt la Mère écartàit les bàbines. Le Fouteur
n'enlràit pas; la Petîte dechîrée se recrîàit; le víeùx Satyre
émótiónné, bándòchàit, en s'écrîant: "Hô! pousse dónc, Mâtin!
ô pousse dónc, Bougre! Fends, ponrfends le connichon de ta
Fille!... et mêts-y Une petite Garse, que nous deflorerons
un-jour! Gzée, gzée, mon Etalon! fàîs-môy des Caváles"!.... Et le
vieùx Decharnè, par un phenomène, émít quelques gouttes d'un
foutre clàìr, dans là bouche de Piôchée, au moment où Adónîs
forçant toutes les barricàdes, màlgré les crîs de sa Fille,
lúy dechargeàit au fónd de són cònnìn ensánglánté! Le belître
en fut si glorieux, qu'il fit à Piochette mille écus de
rentes, et autànt à Piôchée, oûtre ce qu'elles avàient dejà.
Son grand delîce, pendant qu'iï faìt servîr la bouche de la
Mère de cón à son vît, qui ne decharge plus, est de voir
piôcher Piôchette, non-seulement pvr le vigoureux Adonis
Piôché, qui piôche, sòìt en cón, sòìt en cúl, maìs de faire
alòrs enculer le Père qui fout sa Fille, par le Grandpère
qu'encule un Laquàîs, sur le cùl duquel est assise Pîôchée,
foutue par un autre Laquàîs..... Il a sóin qu'On fasse suîvre
au vîeux Piôchard un regime échauffant, afin que ce Monstre
tantôt encónne sa Fîlle, tantôt encule son Fîls. Pendant cette
sçène, l'impuíssant Ribaud patíne les tetons et le connín du
Tendrón, ou-bién la gamahúche. Il luí prend quelquefóîs des
vertigôts de faire enconner la Mère, enculer Adónis par douze
de ses Amís en un-seule seance. La Jeunepersone est alôrs nuë
en perspectíve, montrant le cúl aux Encúleurs, et le cón aux
Encónneurs.... C'est le víeux Píôchard qui insère les vîts
dans le cón ou dans le cúl.

Tu vòîs par-là quel parti nous pouvons tîrer de ta Femme,
lorsqu'une-fòîs elle sera depuçelée. Tu ne seras pas prìvé; tu
mettras les vîts dans le cón et dans le cúl de ta Femme; tu en
seras le maquereau, et quand elle sera bién élargie des deux
trous, peutêtre te permettra-t-on de la foutre en cn ou même
en cón. Lélargisseur.

P.-s. J'apprens par une dernière visite, faite à Pîòchencùl
que Pîôchette a effectivement eú la plüs joliîe petìte Fîlle;
On me l'a móntrée; elle a 3 ans. Màîs ce quì êst le cômble dú
lìbertinàge, le vîeûx Pîûchencùl lúy fàit dejà teter son vît
flasque, pendant que la jeune Mère lúy chatoille les coüilles.
Je luy en demandáí la ràîsón?" Je profite, repondil- du temps
où l'Enfant n'a pas encore de discernement, nì de degoût à me
súçer". Que dìs-tú dù vîeùx Bóugre?




XXXII Chapitre.

Chap. Du Conin goûté.


Voila quel aurait été votre sort, Madame, dis-je à Conquète,
si vous n'étiéz pas décédée, ét que vous fussiéz restée
l'épouse de Vitnègre-. Expressions qui étonnèrent Tout le
monde, hors ma Fille, & les Brideconnin.

Cette Lettre, qui avàit été lue après le champagne, avàit mis
les Jeunes-gens en rut. On descendit au magasin, pendant que
les Hôtes serraient les débris du soupér. Là, Tràitdamour,
demi-grisé, me dit, en me designant ses Camarades: -- Comment
ces Bougres-là peuvent-ils avoir une idée de notre bonheur, &
de ce qu'est le Connin de votre Maîtresse, s'ils n'en tâtent
pas?... Je n'entens nullement qu'ils y déchargent; maîs
seulement qu'ils y plongent rapidement leurs vits, pour en
palper le satiné. Dès qu'un des Enconneurs sera retiré, le
mieux en état de nous-deux, vous ou moi, achèvera Madame, & la
fera decharger? -- Je le veux bién (repondis-je). Cordàboyau
bandant roìde se présenta. Nous renversames ma Fille sur le
foutoir, nous la troussames, & nous declarames que nous nous
tenions prêts à le desarçonner, dès qu'il aurait senti le
velouté de l'étroit connin de notre Fouterie, & que le
clignotement de ses ieux annoncerait l'éruptíon du foutre. --
En ce cas (s'écria le Bougre), que l'Une de ces trois Garses
se couche-là le Con pomadé, pour que mon vit convulsivant s'y
précípite & decharge-? On pomada Rosemauve. Cordàboyau enconna
lentemt Conquète, dont le satiné le fit se recrier... mais il
plongea jusqu'au fond. On l'observait. Il clignota de l'oeil.
Aussitôt Brisemote & Traìtdamour l'enlevèrent comme une plume,
en jurant, Le sacrébougre! il va partir... Et ils le mirent
sur la brune Rosemauve bién écartée, & Conète dirigea le vit.
Cette Fille, la plüs chaude des Garses, si Mad. Vitnègre ne
l'eût pas surpassée, engloutit le vit en trois coups de cul
sans intervale. Cordàboyau dechargea en heurlant de volupté,
Rosemauve l'étreignant avec une delicieuse fureur.

Cependant, ce que je voyais m'avait roidi, & j'enfonçais dans
le Con humide de ma Deesse, qui suffisamment limée, dechargea
deux-fois, avant que je l'humectasse de mon foutre paternel...
Elle gigotait, criotait, soupirotait. -- Hâ! (s'écria
Traìtdamour), vous êtes le Dieu de son Con, chër Maître! il se
fond en jus d'amour, quand vous le perforéz! Voyéz comme elle
en donne, l'adorable Enfant?.. Alons, celeste Coquine,
tremousse, tremousse! Fous, divine Garse! decharge-...

Ce fut ensuite le tour de Brisemote. Conète pemadée, fut
étendue sur le foutoir... Il enconna ma Fille. La grosseur du
vit & sa roideur lui arrachaient de sourds gemissemens; elle
travaìllait de toutes ses forces, mais le terrible Engin avait
encore plüs de trois pouces pour toucher le fond. Taut-à-coup
nous nous apercevons que le perfide Brisemote veut inonder
d'un torrent de sperme, le Connin qu'il martyrise. Nous ne
pouvions l'enlever & l'arracher, son vit lapait comme celui
d'un gros Dogue, dans la vulve enflamée d'une grande Levrète.
En ce péril, nous implorames Traìtdamour & Moi, la pudeur de
Conquète? L'adorable Fouteuse, fidelle à nos vits. donna un
coup-de-cul en-arrière, & se decona. Traìtdamour plongea
rapidemt son braquemart en furie dans le Con béant.....

Brisemote enragé se jeta sur Rosemauve, qui ne s'y attendait
pas, & la foutit en levrète, avec tant de brutalité, qu'il la
fit crier autant de douleur, que de plaîsir... Et voyant
Conète se lever: -- Reste-là, Garse! lui cria-t-il: Je suis
dans une rage, par ce Con velouté que fout Traìtdamour, que
j'enconnerais la ruë Maubué & celle de la Tannerie-... En-effet,
Rosemauve deconnée, il fondit sur Conète, la fit crier;
enfila Minone sans intervale, & reprit Rosemauve.... -- Que
n'ai-je-là notre Putain d'Hôtesse! la Garse boite avec grâce,
elle a de blancs tetons: qu'on me l'appelle-?... Nous lui
préparions Rosemauve, qu'il encula.

Pendant ce temps-là, Traìtdamour se delectait sur Mad.
Vitnègre, qui se plaignotait tendrement, & dechargeait sans-cesse,
parceque son Enconneur ne la deconnait pas. -- Que la
Bougresse qui est libre (nous dit-il), chatouille les petons
de ma Deesse; ça la fera me secouer. -- Alons! m'écriai-je, que
Minone lui chatouille le haut de la motte, la douce main de
Conète les couilles du cruel Pourfendeur, & Moi je
chatouilleraí les píéds delicats de la belle Enconnée-? Ce qui
s'executa: de violens soubresauts, des cris, des blasphèmes de
volupté, Foutu Dieu... Sacre-Dieu... Dieu-con... Dieu-vit...
marquaient l'égarement des deux Conoeuvrans.

Cependant Cordàboyau flairait la chaussure mignone de
Conquéte-Ingenue, & alait y mettre son vit: -- Laisse-donc! lui
dit Rosemauve, tout-enculée qu'elle était; cela est
insensible; mon Con est libre; que ne le fous-tu-? Le Bougre
lui mit le ventre en l'air, & tandis que Brisemote lá
sousaccadait en cul, Cordàboyau lui saccada le Con.

Je bandais si fort, en entendant & voyant tout-cela, que
j'alais enconner Minone ou Conète. Ma Fille qui dechargeait,
me dit tendremt: -- Un autre Con... que le mién... peut-il vous
tenter-?... Cette tendresse vraîment filiale, me toucha au
coeur. -- Ote-toi (dis-je à Traìtdamour); tu dois avoir
dechargé-? Il deconna: Et Moi, ému d'un amour-paternel sans
bornes, j'enconnaí ma Fille, sans laver. -- Mêlons nos trois
foutres (lui disaîs-je en enfonçant): que ton Con filial
engouffre le Vit-paternel avec delices!... Remue du cul,
adorable Enfant! Rens-moi tout le foutre que j'aí dechargé
dans le Con de ta Mère,... pour te faire!... Hâ! comme la
Garse remuait du cul, oscillait du con, le jour où je
l'engrossaí de toi! Elle était chaussée, parée, un-peu
chiffonnée, & si chaude, qu'elle se mit sur moi & s'euconna.
Pour m'exciter davantage, elle me disait, en saccadant:
Pousse... Enfonce... mon Con est frayé... je viéns d'étre
foutue par ce beau Commis aux Aîdes, dont tu es si jaloux...
Et elle saccadait... Pour moi,... je foutis avec fureur,...
comme je te fous à-pésent... C'est moi qui t'aí engendrée,
enfoutrée dans son Con satiné,... quoique tu ressemble à
Louis-XV, qui,... dit-on, l'a aussi foutue... -- Mon cher
Père... ô Vit divin! (répondit Ingénue, oppressée de foutre &
de tendresse), je sens.. à mon insatiable Connin.. que je suis
votre fille.... je le sens au plaîsir.. que me fait la celeste
idée que mon... Pére me fout.... Décha--argeons ensemble, chër
Papa!.. j'aí... plûs de.. foutre avec toi, qu'avec
tout-autre?... Hâ! hâ!.. fourgonne... fourgonne, Vit-papa... Le
foutre... est long... à venir... J'ai tant foutu!... Mais je
n'en ai que plûs de plaisir... Hâ! hâ!... foutre!... Dieu!
Delices!... Vitnègre!... ô Monstre, qui me dechirais, sans me
pouvoir en--filer, que n'es-tu sur moi... ton Vit noir me
pourfendant le Con... Foutàmort... enfondre-moi.....: Chër
Papa... Dieu-fouteur... je pars... je decha--a--arge... à
l'intention... de... Foutàmort-.... Et elle se pâma, dans un
égarement, un delire ineffables.

Cependant elle avait croisé ses jambes sur mes reins, & elle
me fesait une jolie bronette de ses cuisses & de son Con. Je
dis qu'On la rechaussât, & à chaque coup de cul, elle fit
claquer l'un contre l'autre ses hauts talons, comme fesait sa
Mère, pour me rappeler en foutant la beauté de son piéd. Ce
spectacle parut si delicieux à mes trois Droles, qu'ils
enconnèreut en furieux, Traítdamour Rosemauve, Cordàboyau
Conète, & Brisemote Minone. & qu'ils les firent crier comme
des Depucelées.

Dès que j'eús émis, je dis à mon Secrétaire, de déconner, de
m'enlever, & de me porter sur un fauteuil. Il m'obéit. Ma
Fille palpitait. Je la montraí se chatouillant elle-même le
Con. Traìtdamour rebanda come un Enragé; il se précipita sur
elle. -- Enculéz-moi, s'il vous plaît, Monsieur (lui dit-elle),
il me semble que ça me fera mieux... -- Decharger ('écria le
Bougre): Vous avéz le Con trop fatigué-. Et il lui perça le
cul sans mouiller. -- Je vais... redecharger (lui dit-elle, en
continuant de se branler elle-même). -- Attendéz! attendéz!
(lui cria le jeune & vigoureux Perforeur); je vous branleraí,
en vous enculant-. Conquète enculée & branlée, roucouloit de
plaîsir...

En ce moment, Brisemote, qui finissait Minone, se jeta sur
Rosemauve, abandonnée par Traìtdamour, pour ma Fille: Elle se
fit enculer & branler. Cordàboyau retourna Connète, & lui en
fit autant. Minone libre ala gamahucher ma Fille, que son
Frère tenait enculée; & moi, je branlaí Minone. Les trois
Bougresses se recriaient, que l'enculage branlé était divin.

Pour moi, j'étais sur mon fauteuil, un doigt dans le Con de
Minone, que j'avais à-peine la force de branler, tombant de
sommeil, & bandant encore pour toutes-quatre: il me devenait
indifferent laquelle j'enconnasse. Je le dis. Brisemote
m'avança Rosemauve tout-enculée. J'alais enconner la vive
Brune. Minone se retourna, mit ses fesses d'albâtre sur ce Con
noir, & me présenta son Con. -- Que je te voye! (s'écria
Conquète, en s'arrachant du cul le vit de Traìtdamour), si
Cupidonet doit mourir en rut, c'est dans mon Con!... Elle se
mit sur Minone, m'étreignit dans ses bras & m'engouffra. -- Hâ!
(s'écria Brisemote, qui nous portait tous-quatre), que n'ai-je
le vit asséz long, pour les enculer toutes-trois?

Ainsi finit cette belle soirée. La partie fut remise au
Dimanche suivant. Conquète, après avoir fait amplement bidet,
se coucha modestemt. Je ne pouvais marcher. Mes trois
Gaillards remenèrent leurs Belles, & revinrent me prendre,
pour me porter chéz moi, où ils me mirent au lit.




XXXIII Chapitre.

Chap. De la Fouteuse sensée. Histoire.


Le lendemain, après mon travaíl, je vins voir ma Fille. Elle
était dans mon magazin. Elle m'embrassa la première, & me dit,
& me dit: -- Au nom de Dieu, chër Papa, ménagéz-vous! j'ai
besoin de votre tendresse-paternelle, plûsque jamais... Que
deviéndrais-je, si je vons perdais? Vous êtes le meilleur des
Pères: vous me donnéz le necessaire & la volupté. J'aí un
Bijou insatiable: mais votre Traìtdamour l'emplit & le
satisfait audelà de toute vraisemblance. Je suis bién sensible
au don que vous m'en avéz fait. Aussi la reconnaissance & la
tendresse sont pour vous; je ne lui donne que du... -- Foutre,
mon adorable Fille... Tu es toujours égalemt mondeste. -- J'aí
aussi beaucoup d'obligation à Traìtdamour d'avoir amené sa
petite Soeur & sa jolie Maîtresse: surtout d'avoir donné
Celle-ci à ses deux vaillans Camarades, pour me rester plüs entiér,
& vous soulager d'autant, vu mon extréme chalenr. Ces
Jeunesfilles sont de bonnes petites Creatures, & valent mieux
que Rosemauve, qui cependant n'est pas sans mérite....
Menagéz-vous, chër Papa. Ne voyéz que moi: c'est bién asséz.
Une partie, tous les huit jours, suffira pour vos forces.
Traìtdamour me donnera le surplûs de ce qu'il me faut. En ne
jouissant que les Dimanches, les Garsons, les Petites,
tout-comme nous, l'appetit & le plaisir seront plüs grands; nous
passerons une demi-journée delicieuse... Mais je suis jalouse
de vous & du beau Traitdamour; ne le mettéz qu'à moi.
Avertisséz-les tous de cela. C'est mon caractère que la
jalousie. Et-puis, où trouveriéz-vous une Femme ou Fille qui
me vaille? Toujours propre, abluée à chaque pipi, autant par
volupté que par delicatesse: car j'ai cet Endroit que vous
avéz la bonté de trouver charmant, toujours si chaud, que je
ne le mets jamais dans l'eau s qu'avec une volupté qui
approche de la Jouissance. Ne me le mettéz donc pas de la
semaine, pour avoir plüs de plaisir, sans vous tuer, le
Dimanche. Ne me touchéz ni le Bijou, ni le sein? -- Non
(répondis-je): durant la semaine, je ne baiseraí que ton joli
piéd. Et je veux toujours avoir une de tes chaussures au
trumeau de ma cheminée! -- Rién de si flateur, répondit-elle,
que d'être ainsi adorée, jusque dans sa parure: Aussi mon piéd
est-il soigné, comme vous l'adoréz. Je le lave à l'eau-rose
deux-fois le jour matin & soir, & après avoir marché. -- Hâ!
celeste Fouteuse, que je le baise, que je le baîse? -- Point de
ces mos-là? dans la semaine: ils vous excitent.... Baiséz
votre idole? j'y ai autant de sensibilité qu'ailleurs; mais
restéz-en là.... Du-reste, je suis à vous: Vendéz-moi, livréz-moi,
quand vous le voudréz; je me donnerai avec plaisir pour
vous; comme Une autre Ocyrhoé. [lacune. Je me privaí donc,
malgré moi: mais par nécessit; je me contraignais. [Autre
lacune... Mais j'avais à ma cheminée sa chaussure rose à
talons-vërts, à laquelle je rendais mon hommage tous les jours
en l'honneur de la Fille la plüs pieuse & la plüs devouée quî
ait jamais existé. Conquète-Ingénue, à quî je le edis le
samedi, en fut transportée de joie. Elle darda sa langue, me
fit sucer ses tetons, palper son poil soyeux, se mit à genoux,
& dit avec ferveur: -- Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir
fait naître d'un si bon Père! Nous ne vous offensons pas; je
rens à mon Papa en plaisirs delicieus les soins qu'il a pris
de mon enfance. Je suis le baume & le charme de sa vie; il est
le baume & le charme de la miénne. Bénisséz-nous-? Elle fit
trois signesdecroix, baîsa la terre, & se releva, en disant:
Doux Jesus, qui le mettiéz à Madelène, elle était aussi votre
fille; & en amour, vous le savéz par experience, rién n'est si
voluptueux que l'inceste-!... Je fus si édifié de cette
prière, que je me propose de la faire recommencer, à la fin de
nos parties.

Un-instan aprês, à 8 heures-&-demie, toute la petite Société,
Traìtdamour, Minone sa soeur, Conète sa maîtresse, Rosemauve,
Cordàboyau & Brisemote, vinrent prendre langue pour la reünion
du lendemain. Je donnaí le mot & les retins à soupér. Il y
avait un excellent gigot de 18 livres, & du vin de Bourgogne,
avec un pâté chaud. Après le repas, voulant les émoustiller
tous, & moi-même, je fis lire par Rosemauve, devant nos Hôtes,
l'Histoire suivante:




XXXIV Chapitre.

Chap. De l'Homme-à-queûe.


Vous aiméz les Histoires, dis-je, ne voulant pas manger de
pâté; nour aurons demain toute autre chose à faire: je vais
en-conter une, pendant que vous achèveréz de souper-. Un rire
d'aise préceda le silence.

Il y avait à Sens, une Veuve encore belle, quoique mère de six
Filles, dont l'Aînée, qui atteignait vingt ans, é se nommait
Adelaïde. La seconde, Sophie, n'en comptait pas encore
dixneuf; la tsoisìème, Julie, en avait près de dixhuit;
Justine dixsept; Aglaë seize, ét enfin Emilie la Cadète quinze
ans. Quant à la Maman, mariée à treize, accouchée de son Aînée
à quatorze, elle avait trentequatre ans. Mad. Linârs (c'est
son nom), avait en-outre deux Nièces de quinze ét vingtdeux
ans, Lucie et Annète-Bar, une jolie Femmedechambre de dixhuit,
outre une Cuisinière, grande ét belle Fille de vingt ans. Le
Mari avàit mal-fait ses affaires, avant que de mourir. La
Veuve ne soutenàit sa nombreuse Famille qu'avec le revenu de
sa dot, qui rapportàit cinq à six-mille livres. On étàit gêné;
car les Nièces n'avàient que quinze-cents livres de rentes
entre elles-deux. C'étàit onze Jeunespersones à entretenir
avec 7500 francs.

Il parut alors à Sens un gros ét bel Homme dont la phisionomie
annonçàit trente ans, encore qu'il n'en eût que 20. Il passàit
pour très-riche. Et en-effet, il l'étàit. Ses bras ét sa
poitrine étàient couverts de poils. Il avàît le regard dur ét
presque féroce: mais son sourire l'adoucissàit, ét il souriàit
toujours, en voyant de jolies Femmes. L'Aînée des Dlles Linars
étàit charmante: Fysitére la vit ét en devint éperdûment
amoureux, quoiqu'il eût alors dans son séràil une Femme-mariée
enlevée à Paris, de l'aveu du Mari même; la Soeur d'icelui,
vendue par son Père, ét une superbe Carmelite, leur cousine,
qui s'étàit livrée elle-même, parcequ'elle était hysterique.
Mais toutes ces Maîtresses étaient alors enceintes, ét
Fysitère n'en jouissàit, que pour avoir des Enfans. Il ala
chéz Mad. Linars, pour Lui demander en mariage Adelaïde.

Le Velu, en voyant onze Femmes dans une seule maison,
tressaillit d'àise... Il étala sa fortune, ét proposa
d'épouser l'Aînée. Trente-mille francs de rente qu'il prouva
(il en avàit bién davantage)! Le firent accepter sur-le-champ.
Il rendit ensuite des visites jusqu'au mariage, ét fit des
présens, tant à sa Prétendue qu'à la Mère, aux Bellessoeurs, à
Lucie ét Annéte-Bar, les deux Nièces, ainsi qu'à Geoline ét à
Maréte, la Femmedechambre ét la Cuisinière. Ce fut avec ces
présens qu'il attaqua leur vertu... Mais il faut quelques
préliminaires, qui fassent mieux connaître ce Personage.

Fysitère était Un de ces Hommes poilus, qui descendent d'un
mélange de notre Espèce, avec celle d'Hommes-à-queûe de
l'Isthme de Panama, ét de l'Ile de Borneo. Il étàit vigoureux
comme dix Hommes ordinaires; c'est-à-dire, qu'il en auràit
batu dix à armes égales, ét qu'il Lui falàit, à Lui-seul,
autant de Femmes qu'à dix Hommes.

A Paris, il avàit acheté la Femme d'un nommé Guae, un
scelerat, qui La Lui avàit vendue ét L'avàit livrée. Fysitère
La tenàit exactement renfermée depuis. Il jouissàit de cette
Infortunée, la plüs provoquante des Femmes, ét qui avait
beaucoup de temperament, dix à 12 fois par jour. Ce qui la
fatiguàit tellement.r qu'elle lui avàit donné le conseil
d'acheter de leur Père sa Soeur-cadète, nommée Doucète, qui
partagerait le travàìl. Il le fit. Mais ces deux Femmes
avàíent été biéntôt sur les dents. Heureusement un Confesseur
de Nones decouvrit alors pour le Velu, la Religieuse
histerique, cousine des deux Victimes: il La tira de son
Couvent, sous prétexte de Lui faire prendre les eaux, ét La
livra au Fysitère, qu'elle occupa seule pendant quelques
semàines. Ce qui avàit reposé ses deux Cousines.

C'est à cette époque que l'Homme-à-queûe étàit venu à Sens, ét
qu'il avàit vu la Famille Linars. Avant qu'il eût Mad. Guae,
On Lui amenàit trois Filles Couturières chaque matin. Mais les
précautions qu'il étàit obligé de prendre pour sa santé, avec
des Creatures qu'il làissàit libres, Le degoûtèrent de cette
jouissance. Dailléurs, comme il avàit formé le projet de
multiplier l'Espèce des Hommes-à-queûe ét d'en peupler l'Ile
entìére de Borneo, Pays originàire, il voulàít pouvoir
surveíller tous les Enfans qui Lui naîtràient. Ses trois
Femmes étant grosses, il ne voulàit plus Les fatiguér. Quand
il fut lié avec Mad. Linars, il aurait bién cherché à deflorer
sa Future, ou à se donner Une des Nièces; ou la Cuisiniére, ou
la Femmedechambre. Mais il trouva que tout-cela avàit ses
inconveniens. Il reserva ce-supplément de ressources, pour
aprês son marìage. La Première qu'il attaqua, ce fut sa
Bellemère future. Il Lui fit un-jonr un présent de deux-mille
écus en espèces: Et La voyant dans l'extase de la
reconnaissance, il iui mit la maìn sous la jupe, en Lui
disant: "Autant tous les six mois, si Je vous Le mets. Et ne
craignéz pas de faire du tort à votre Fille! Elle n'en aura
que trop de reste... Comme il étàit extrémement fort, tout en
parlant, il La renversàit, L'enfilàit. La Dame se trouva prise
sans l'avoir prévu. Elle fut rabatelée une dixaîne de fois,
tant Elle étàit vigoureusement contenue... Enfin devenue
libre, Elle Luì dit; "Hô, quel Homme! "Je suis tel (repondit-il),
que votre Fille ét vous, quand vous m'auréz toutes-deux,
me donneréz vous-même des Maîtresses, pour vous reposer". La
Dame, qui aìmàit le jeu d'amour, sourit, en rougissant
d'esperance ét de plaisîr.

Elle fnt exploitée tous les jours, en attendant celui du
mariage de sa Fille. Quand ce jour fut arrivé, effrayée pour
Une jeune Vierge, Elle pria l'inépuisable Fysîtère de La
menager? "Six-fois: repondit-il, pas plûs, si vous me
promettez de me recevoir ensuite, ou de me donner Lucie,
l'Aînée de vos Nièces? "Non; mais je vous donnerai Geoline, ou
Marète, celle que je pourrai avoir le plus facilement... Le
soir des noces, Fysitèré, quoiqu'il eût toutes les nuits
fourbi Mad. Linars, était impatient à trépigner, d'avoir sa
Mariée. Il L'enIeva commé une plume, dès qu'on eüt soupé, se
jeta sur Elle, ét Lui fit pousser des cris effrayans. La Mère
alarmée, accoutut avec Geoline, au moment où Fysitère, sans
trop s'embarrasser des gèmissemens de la Jeunepersone, La
recommençàit. La Mère Le laissa L'achever. Puìs, sur
l'instante prìère de sa Fille, Elle La retira du lit, pour
laver le sang ét le suc d'homme, dont sa conque martyrisée
était remplie. Fysitère saisit alors Geoline, ét La viola,
malgré ses clameurs. Il La retint sous Lui quatre à cinq
fois.:. Elle profita d'un intervala, pour s'échapper Mais
Fysitère menaça Mad. Liuars, si elle ne remplaçàit pas sa
Fille, de tourmenter Celle-ci jusqu'au jour... La Dame étàìt
fatiguée: Elle ala chercher Marète, qu'elle enferma dans la
chambre-nuptiale. Fysitère La viola, ét La contint sous Lui
quatre-fois: puis il Lui permit de dormir.

Dans le Jour, il assoupit les plaintes des deux Filles-domestiques,
ét même il Les gâgna, en leur constituant Douze-cents
francs de rente à chaqu'une. Mais elles demandèrent du
repos, pour la nuit suivante.... Le soir, Fysitère ramona
six-fois sa Nouvelle-Epouse, qui prit un-peu de gout à la chose:
puis sa Mère reposée, fut à son tour fourgonnée six âutres
fois. Ce qui suffit à l'Homme-à-queûe.

Le soir du troisième jour, il ne ramona sa Femme qu'une-fois;
car Elle demanda grâce. Il eüt ensuite Geoline, six fois; puis
Marète, cinq fois. Ce qui fut la dose à laquelle il se règla.
Il eüt le quatrème soir, sa Femme, une fois; sa Bellemère
quatre; Geoline trois; Maréte quatre: douze en tout. Il en
agit ainsi pendant deux mois.

"Mais, Lui dit Mad. Linars, vous vous èpuiséz! A quoi bon nous
Le mettre tant de fois? "Mon but est de faìre des Enfans, pour
en repeupler une Ile des Indes, dont les Hommes de mon Espèce
sont originaires. Dès que vous seréz grosses, je ne vous Le
mettrai plus; vous m'en donneréz d'Autres; mais surtout vos
Filles ét vos Nièces, parceque vous êtes toutes d'un beau
sang. Je Leur ferai à chaqu'une six-mille francs de revenu, ét
douze-cents francs seulement aux Etrangères que vous
procureréz-... Mad. Linars fut très-étonnée de cette
proposition! Mais les six-mille francs de revenu pour ses
Filles ét ses Nièces La tentèrent.

Aubout des deux mois, ét de six semaines de mariage, Mad.
Linars, la Nouvelle-Epouse, Geoline ét Marète se trouvèrent
enceintes. Fysitère Leur déclara, qu'il ne les verràit plus,
qu'aprês Leurs couches. Et il pressa Mad. Linars de Lui donner
ses Nièces, ét deux de ses filles?... Elle fut obligèe d'y
consentir. Elle Les conduisàît elle-même, aprês Les avoir
instruites, ét assistàít à Leur defloration, calmant leurs
cris par ses discours ét ses caresses. "Ma ràisonable Enfant,
disàit-elle à Lucie renversèe sur le dos, ét qu'On troussàit,
il est doux d'avoir 6 mille fr. de rentes?... Cinq-cents
francs par mois, ajoutà-t-elle en La pomadant?.. Et foncières,
ma chère Nièce! dirigeant le gros Membre dans sa fente". Aussi
la belle Lucie, quoique vierge, ne cria-t-elle pas.

Vint ensuite Aunête la seconde. Sa Mère L'exhorta, La pomada,
inserant son index onctué le plüs profondement possible, pour
fràyer la route. Elle introduisit le Membre dans la fente
ainsi prèparée. Cependaut Annète perforée, jeta les hauts-cris.
Mais ils n'arrêtèrent pas Fysitère, dont Mad. Linars
caressàit la queùe poilue, qui fretillait vivement. Hâ! Maman!
(Lui dit-il), mets-toi sur moi, ét te l'enfonce dans ta
conque; tu auras bién du plaisir"! Elle le fit, ét fut si
ravie, qu'elle appela sa Fille-aînée ét les Chambrières, pour
Leur procurer les mêmes delices.

Annète suffisamment ramonée, ét demandant grâce, Geoline la
remmenà, pour laver le sang ét le sperme, dont son Bijou étàìt
barbouillé: ét Mad. Linars ala chercher Sophie, sa seconde
Fille. Geoline et Marète l'apportèrent nue assise sur leurs
mains jointes. Mad. Linârs La pomada; puis elle intromit.
Geoline s'enfila avec la queùe poilue, au refus d'Alaïde
l'épouse. Sophie ne poussa que quelques gémissemens, an
premiér Assaut; elle riposta aux deux autres. Elle fut
cependant ensanglantée. Geoline se fourgonna de la queùe-à-poil
durant toute la séance.

Fysitère n'avàit joui que neuf fois: Il Lui en falàit trois
encore. On ala Lui querir Julie la troisîème Soeur, âgée de
dixsept ans. Sa Mère La pomada. Ce qui ne l'empêcha pas de
crier, parcequ'elle était fort étroite. Julie ét sa cousine
Annète furent les deux qui n'émirent pas dans le coït, les
quinze premiérs jours. Lucie fut prise tout-de-suite, ét
Sophie trois jours après. Mais elles n'en dirent rién, aimant
le piaisìr. Quant à Julie ét Annette, il s'écoula trois mois
avant qu'elles fusseut enceintes... Marète se farfouillàit
avec la queùe poilue, pendant les assauts de Julie.

Lorsqu'il fut bién décidé que les quatre Belles avàient le sac
rempli, Mad. Linars fut requise de donner ses trois dernières
Filles, ét une Cousine du côtè-gauche, fille hors mariage de
son Mari, nommée Naturelle-Linars? Elles Lui furent livrëes,
et Justine, Aglaé, Emilie même, qui n'avàìt pas quatorze ans
accomplis, se virent enfilées dans une seule nuit, malgré
leurs cris ét la dechirure de leurs jeunes appas. Naturelle
avàit vingt-un ans: ce fut une delicieuse jouissance, que
l'Homme-à-queûe fatigué avàit réservée pour la dernière.
Celle-ci fut engrossée surlechamp; ét les trois Autres, malgré
leur jeunesse, ne l'échappèrent pas dans le cours du mois.
Elles étàient regulièrement fourgonnées trois fois par nuit:
mais soìt qu'elles eüssent moins de temperament, soit qu'étant
plüs étroites, elles souffrîssent toujours, elles furent
ravies, lorsqu'elles fudeclarèes enceintes. L'Homme-à-queûe
avàit en ce moment de fecondées, 14 Femelles, qui Lui
promettàient aumoins 14 Enfans.

A cette époque, Mad. Linars accoucha d'une Fille. Un moìs-ét-demi
aprês, Adelaïde, ou Mad. A-queue, mit également une Fille
au monde. Puis Geoline ét Marète eürent chaqu'une un Garson.
Annète èt Lucie chaqu'une une Fille. Toutes-six voulurent
nourrir. Ce qui fut executé dans une Terre écartée, du-côté de
Seignelài, éloignée des routes, comme de l'Yonne, mais sur la
petite Rivière de Serin.

Cependant comme les Unes nourrissàient, ét que les Autres
étàient encore enceintes, il falàit de nouvelles Femmes à
Fysitère. Il demanda permission à Mad. Linars de reféconder
ses trois premières Concubines, Màd. Guae, sa soeur Doucète, ét
la Carmelite, qui n'étàit plus hystere, depuis ses couches. La
Bellemère y consentit avec la plüs grande joie: car Elle étàit
fort embarrassée pour trouver à son Gendre des Sujets
fecondables. Elle avàit deja bién marqué les quatres Pucelles
les moins làides du Village, ét même une cinquième la plüs
jolie, femme mariée, sterile avec son Mari; Elle les avàit
presque gâgnées, au moyén des douze-cents francs par année,
mais Elle n'etait pas encore sûre de leur discrétion... Les
trois Concubines étàient mandées. Elles arrivèrent.

Dès le même soir, Elles furent mises toutes.trois dans un
grand lit propre à cinq Persones: Fysitère s'y coucha au
milieu: Il Les palpa Toutes; puis il prit Mad. Guae, la plüs
voluptueuse, qu'il fourgonna trois-fois avec fureur. Il saisit
ensuite Doucette, que ses tendres gemissemens Lui firent
ramoner en Enragé. En la quittant, il sauta sur la Carmelite,
qu'il exploita six fois, sans desarçonner. Mais Elle l'assura
qu'Elle étàit tguerie de sa maladie, ét Elle Le pria de se
parrager également entr'elles trois? Ce qui fut arrêté.

Le lendemain, Mad. Linars, qui avàit tout écouté pendant la
nuit, demanda aux trois Parentes, Comment elles appartenàient
à Fysìteres! Mad. Guae repondit: "Nous alons vous faire notre
Histoire qui vous paraîtra singulière! en.même-temps qu'elle
vous donnera une idée juste de notre Mari à Toutes, qui est Un
Homme d'une nature particulière. Mad. Linars ne demanda pàs
mieux que de l'entendre: Mais elle fit observer à Mad. Guae,
que ce Recit ne seraìt pàs moins agreable aux 12 autres Femmes
de Fysitère? Mad. Guae en convint, ét Adelaïde, Sophie, Julie,
Justine Aglaé, Emilie, Lucie, Annète, Geoline, Marète,
Naturelle, appelées par Mad. Linars, vinrent avec elle
assister à la narration que fit la belle Mad. Guae,
en-présence de Doucette sa soeur, ét de de Victoire la Carmelite
leur cousine.




XXXV Chapitre.

Chap. Des la Garse insatiable.


"Vous me voyéz; J'ai toujours été desirée des Hommes: A huit
ans, un Ouvriér qui travaillàit dans la maison à de la
menuiserie, me prit le bijou; ét comme je ne criai pas, il me
mit son membre entre les cuisses, me les fit serrer, ét me les
inonda, en dechargeant. Je le dis à ma Mère, qui me lava les
fesses, ala menacer le Menuisiér, ét le fit deguerpir... Ce
debut annonce que le Recit sera un-peu libre; mais il faut
être sincère.

"A dix ans, mon Père déculoté m'asséyàit à crû sur ses cuisses
nues, fesàit aler son membre entre les miénnes, comme le
batant d'une cloche, ét, bién échauffé, il alàit enfiler ma
Mère, une jeune Tante soeur de Celle-ci, ou ma Gouvernante.

"A treize ans, j'avàis le Bijou cotonné, ét si joli, que mon
Père venàit me Le lècher la nuit pendant mon sommeil. Enfin il
me sentit riposter à ses coups de langue, ét comprit que
j'avàis du plaisir. Il dardàit plüs fort, ét je partàis...
Aussitôt mon Père se mettàit sur moi, me suçàit mes petîts
Tetons naissans, posàit son membre à l'orifice de ma petite
Conque, ét me barbouillàit toute la Mote de sperme.. Il me
lavàit à l'eau-rose.

"A quìnze ans, un Jeunehome, frère de ma Maîtresse de modes,
me prit le Con à la poignée, an moment où je regardàis par la
fenêtre, ét voulut me chatouiller le Clitoris avec son doigt:
mais il me fit mal, ét je Lui donnai un soufflet.

"A cette époque, mon Père n'osàit plus m'asseoir à cùl-nu sur
ses genoux, ni me faire decharger en me lèchant le Con; il se
retiràit dès que je donnàis le premiér signe d'éveil: Mais
comme j'ai le piéd joli, ét que M. Dardevit, aìnsi que tous
les Hommes delicats, est infiniment sensible à cet attràit-là,
il fesàit faire mes chaussures par un habile Cordonniér, Celui
de ma Mère ét de la Marquise De-Marignì; le Voluptueux ne me
les donnàit neuves, que lorsque j'alàis chéz Lui; il me les
fesàit mettre aprês un pédiluve, avec des bas de fin coton, me
fesàit marcher chaussée, mettre à la fenêtre, pour mieux voir
ma jambe ét mon piéd, qu'il baisàit; il me fesàit ensuite
asseoir, me tiràit un soliér, s'en coîfàit le vît, me fesàit
Lui patiner les couilles avec mon piéd chaussé, poussàit de
profonds soupirs, cognàit au planchér, ce qui fesàit monter
Mad. Mezières voisine d'audessous; Elle Lui arrachàit mon
souliér, ou ma mule; Elle se renversàit sur le dos; il La
troussàit, èt La fourgonnàit, en me fesant relever ma jupe en
perspective d'une glasse jusqu'au genou. "Votre Père me fàit
ce qu'il ne peut vous faire, me disàit La Mezières, parceque
tu es sa Fille; mais c'est Toj qui Le fais bander... Hâ! si Tu
Luì montrais ton joli Conin, comme il me rabâteleràìt, ét me
donneràit des coups de vit en Con"! Touchée de ce langage,
souvent je me troussàis, ét montràis une mote à poil folet ét
soyeux, que mon Père trouvait adorable! Je m'en apercevais aux
vives estocades qu'il donnait à la Dame... En La quittant, il
venaít me rechausser. Mais quelquefois La Mezières L'en
empêchait, ét furieuse de luxure, Elle me renversait, me
lèchait le Connin, ét mettait dans le sién la pointe de mon
solliér, ou de ma mule, comme un Godmiché... Pendant ce temps-là,
mon Père me palpait doucement les fesses ou les tetons.
"Tu La foutras, Bougre (tu La depuceleras, ét biéntôt! ét Elle
deviéndra grosse de Toi, si Tu ne La maries"! Ce propos,
souvent repeté, fit que je demandai vivement à me marier.

"J'avais un Oncle, mari de ma Tante. L'escaliér de leur
demeure était obscnr. Un-jour que je le montais, mon Oncle me
suivait. Au beau milieu, il me glissa la main sous la jupe, ét
me hâpa ce qu'il nommait mon Connôt. Je me recriai! "Tais-Toi
donc (me dit-il): vas-tu troubler mon ménage"?... Je me tus.
Et il me patìna le Connôt, le cùl, d'une main, les tetons de
l'autre; me mit son membre dans la main, me le fit serrer en
jurant, ét tout en me suçant les tetons, me dechargea dans les
doigts.

"J'entrai toute rouge chéz ma Tante. Mais je ne dis mot. Quand
je m'en retournai, mon Oncle me guettait; il m'accompagna, ét
me dit: "Tu veux Te marier; J'ai un Parti, ét il n'y a que moi
qui puis gâgner ton Père; Je Le gâgnerai, si je te le mets
seulement trois fois avant le mariage, ét lorsqu'il sera bién
sûr? "Que me mettréz,vous? (je fesais l'ignorante, puisque
j'avaîs vu mon Père ét La Mezières). Nous étions dans l'alée.
Il mit son vít à l'air, ét m'empoigna le Con: "Ceci, dans ce
que je te tiéns". Je me debarrassai, ét ne repondis rién.
J'étais à la porte de mon Père: J'entrai. Il était absent:
J'attendis.

"Seule avec moì-même, je resolus de pressentir mon Père, à son
arrivée, sur mon mariage? Il arriva: Je fus moins sevère avec
Lui qu'à mon ordinaire, ét lorsque je l'embrassai, aulieu des
ieux, j'appuyai sur ses lèvres. Il fut ravi. Je dardai la
langue, comme je l'avais vu faire à La Mezières. Il me mit la
main entre les cuisses, mais sur les jupes. Je m'abandonnai,
en Lui disant: "Je voudrais me marier? Et comptéz que vous
seréz bién caressé, si vous y consentéz? "De tout mon coeur, à
cette condition... As-tu un Parti? "Mon oncle en a Un, que je
n'ai jamais vu. "Bon! ce n'est pas une amourète... Il faut
dabord que je Te gamahuche aujourd'hui? "Qu'est-ce que c'est?
"Te lêcher-là (me prenant le Bijou). Je fis une petite
grimace. "Alons, prens cette éponge fine, ét lave le bién,
à-cause du joli poil, qui commence à l'ombrager? Le plaisir que
tu auras, te dedommagera de la contrainte que Tu te fais? Il
me suça légèrement les bouts des tetons, pendant que mes
fesses, mon cùl et mon Connin nageaient dans un bain tiéde.

"Mon amoureux Père ne me donna pas le temps de reflechir: Dês
qu'une serviète fine eüt pompé l'eau, il me renversa sur le
piéd de son lit, troussee audessus des reins, appliqua sa
bouche sur la fente de mon Connôt, qu'il lècha vivement, en
dardant sa langue, jusqu'à ce que je donnasse des symptômes de
decharge. Ce quì arriva aubout d'un demi-quart d'heure. En me
sentant prête à émettre, mon Père me quitta, me mit gros comme
une noix de beurre frais dans le bas de la fente du Connôt,
m'y insera son vit, avec beaucoup de peine. Il saccada: Je
dechargeais, et J'avais tant de plaisir, que je Le secondai,
malgré quelques douleurs. Heureusement le vit de mon Père
n'était pas gros, mais il était long; il me donna un plaisir
complet; car il penetra si avant, qu'il me chatouilla le fond;
ét au moyén de ce que j'étais très-étroite, il m'emplissâit le
con, comme si j'y avais eü un Vit de Mulet... Voilà comme je
fus depucelée.

Je priai mon Père, pendant qu'il me lavait le Con, de ne pàs
differer son consentement, que je ne voulais pas devoir à mon
Oncle; ét je Lui en dis la raison. "Il ne faut qu'il te le
mette! me repondit-il vivement: Le Bougre a le Vît trop gros:
il t'élargirait! Au lieu qu'aprés moi, ton Futur, on tout
autre Fouteur, Te trouvera comme Pucelle". Je promis qu'il
n'obtiéndrait rién. "Des bagatelles cependant, reprit mon
Père: Branle-Le, quand il Te prendra le Con. Tu pourrais même
Te laisser enculer, s'il était asséz raisonable pour s'en
tenir-là. "Comment fait-on ça? "Je vais Te le montrer". Et il
m'encula. J'eüs du plaisir; car je dechargeai. Mon Père me dit
ensuite: "Quant à mon consentement, envoie-moi ton Prétendu:
Si c'est Un certain Drôle que je soupçonne, Tu n'en deviéndras
pas folle, ét... Suffit". Je m'en retournai contente chéz mon
Oncle, où sa Femme ét Lui me présentèrent leur Protegé, une
sorte de Mulâtre, qu'ils nommèrent M. Guae.

Dês le même soir, ayant eü, avec ce M. Guae, un entretién
très-vif, pendant lequel je Le vis prêt à me prendre le Con,
sa laìdeur ét sa sotise ne me rebutèrent pas, attendu que mon
Oncle ét ma Tante m'avaient prèvenue qu'il était terrible pour
les Femmes; ce qui m'avait bién tentée! aucontraire, je Lui
dis, Que j'avais obtenu le consentement de mon Père, ét qu'il
pouvaìt se présenter. Il me pria de Le conduire, n'en étant
pas connu. Je remis au lendemain midi.

"Nous arrivames au moment où mon Père alaìt sortir. Guae
m'avaìt pris le cùl dans l'escaliér, ét m'avaìt fait empoigner
son Vit; ce qui me donnait un coloris brillant; j'étaìs
ravissante! Je présentae Guae, comme mon Futur. Sa figure
hideuse ét basse fit sourire mon Père, dont elle calma la
jalousie. Il nous dit: "Mes Enfans, j'ai une affaire pressée:
mais elle sera courte; attendéz mon retour". Aprês son depart,
Guae me dit: "Il paraît, à son ton, qu'il vous tiéndra sa
parole, de consentir? "Je le crois; car il ne se contraint
pas, quand une chose Lui deplaît. "Ma Belle! (ajouta Guae,
dont l'oeil noir petillait de luxure, permettéz de vous Le
mettre icy, sur le piéd du Lit de votre Père?... Consentéz-y"?
Je ne demandaìs pas mieux, à-cause de mon depucelage, ét
parceque le Bijou me demangeàit, depuis que mon Père m'avàit
perforée: Mais je repondis: "Hô-non! mon Père n'auràit qu'à
rentrer! "Hé! quand il rentrerait? vous voir enfilée, ne
feràit que hâter notre mariage".

"Il me renversa sur le piéd du Lit. Je me defeudis gaûchement.
Il me mit le Vit entre les babines du Con, ét poussàit à
m'enfondrer... Mais il ne put penetrer, quoiqu'il se mouillât
le gland. Il redoubla d'efforts, qui aboutirent à me decharger
une chopine de sperme sur la mote, le ventre ét les cuisses.

"Je me debarrassae, pour aler laver. "Hô! vous êtes bién
Pucelle!, me disàit Guae, en se reculotant. Comme je
m'essuyàis, j'aperçus mon Père caché... Je n'en fis pas
semblant Un instant aprês mon retour vers Guae, ce Père rusé
entra auprês de nous. Guae me demanda en mariage? Mon Père Lui
repondit, Qu'il me laissaìt la maîtresse absolue. Et il signa
les bans. Il dit ensuite à Guae, qu'il avàit à me parler, ét
qu'il le priàit de s'en retourner seul; qu'il me remèneràit
chéz ma Tante, à Laquelle il avàit à parler aussi. Guae s'en-ala.

"Dês qu'Il fut sorti, mon Père me dit: "As-tu été foutue"? Et
il me prit le Con à la poignée. "Vous avéz bién entendu que
non. "Où donc a-t-il dechargé? "Sur le poil. "Un-peu entre les
lêvres? "Oui. "Il suffit: On peut devenir enceinte avec cela
seulement, êt Tu n'äs plus rién à craindre. Mais va Le voir
chéz Lui, ét qu'il ait toute-facilité. En attendant, je vais
en frayer encore un peu-. Il me renversa, ét a-l'aîde du
beurre-frais, il m'enfila... avec quelque facilité: ce qu'il
repeta trois-fois, excité par ce qu'il venait de voir, ét
parceque j'étais extrêmement bién chaussée, en soliérs de soie
neufs. Je dechargeae trois fois a chaque enconnage, comme
dísaìt mon Père. Cela fit neuf fois. Mon Père me dit, que
j'avais beaucoup de temperament, ét que j'alàis être une bonne
Fouteuse!... Je me lavae soigneusement, ét il me remena.

"Nous trouvâmes Guae chéz ma Tante. J'étaìs plütót mise en
appêtit que rassasiée, par le triple fourgonnage de mon Père:
Je dis bas à mon Prétendu: "Aléz chéz vous; j'ae à vous
parler". Il y courut. Mon Père parlaìt à ma Tante, prenant des
mesures pour accelerer: car il craignait, à la manière dont
j'avais dechargé, que je ne devinsse grosse de Lui; ét il le
desirait en-même-temps: Mais il falait que je fûsse mariée...
Ma Tante sortit avec Lui.

"J'alais sortir aussi, pour laisser essayer à Guae un
enconnage complet, lorsque mon Oncle rentra. J'étais si
envoluptée, que je n'en fus pas fâchée, quoiqu'il me deplût.
Il ferma la porte au verrouil, ét vint à moi: "Tu vas donc te
marier? me dit-il: Alons, il faut en decoudre à nous-deux?
Aussi-bién Guae a le Membre si gros, qu'il te feraìt souffrir
le maryre". (Ceci acheva de me determiner)... Il me saisit.
"Laisséz-moi! Laisséz-moi! dis-je faiblement). Mon Oncle ne
m'écouta pas, ét voyant que je ne criais, ni n'égratignais, il
me renversa sur le Lit, me troussa, ét dirigea son vit dans le
vagin de mon Con. J'eüs l'art de paraître me defendre, en le
secondant. Il me fit mal; je criae, ét m'apercevant que les
cris Le facilitaient, je me mis à crier de toutes mes forces.
Ce qui Le fit enfoncer jusqu'a la garde, avec tant de plaisir
de ma part, que mes gemissemens étaient de volupté. Je me
debattais, mais mon Con supait le gros Vit, donnant de si bons
cups de cùl, que je dechargeae avec des convulsions terribles,
et des contractions des trompes qui pinçoient le gland de mon
Oncle. Il se recrîa,... ét se pâma de plaisir... "Hâ! pour une
Pucelle, que Tu fous bién! me dit-il ensuite: Que sera-ce donc
un.jour?... Recommençons"... Il me recommença trois-fois,
malgré mes pleurs; car je sentis qu'il falait pleurer...

Quand il fut rassasié; il deconna. "O celeste Fouterie, me
dit-il, si le merite de ton Con était connu, Il ferait ta
fortune! "Oui! vous me L'avéz bién accomodé! répondis-je en
sanglotant, sur un bidet préparé par mon Oncle. Il ôta le
verrou, jeta l'eau mélée de sang ét de foutre; puis craignant
le retour de sa Femme, il sortit, en disant: "Remerciéz-moi!
sans cette préparation, Guae vous aurait estropiée; et revenéz
à moi, s'il le faut"?

Je ne fus point effrayée de ce Langage. Dês qu'il fut sorti,
j'essuyai bién-vite mes larmes, ét je pris un air riant. Ma
Tante revint. Je La prévîns de l'attaque de son Mari, mais non
du succês, pour Lui faire presser mon mariage; La priant de ne
Lui en rién temoigner, depeur qu'Il ne levât le masque. Je
promis de toujours bién me defendre, comme je venais de faire;
ét tout en parlant, le Con étant venu à me redemanger, je
courus chéz Guae, esperant que préparée comme je l'étais, il
me L'enfoncerait enfin. Il m'attendait.

"J'ai bién des choses à vous dire"... Ce fut mon debut. Il ne
me laissa pas continuer; il me prit la Motte: "Foutons dabord,
me dit-il, en me renversant. Je n'en fus pas fâchée; car je ne
savais trop que Lui dire de-nouveau. Je me defendis
gaûchement, comme avec mon Oncle ét mon Père. Mais quoique je
fusse élargie, ses tentatives furent encore inutiles. Je
n'osais Lui dire de prendre du beurre, depeur de paraître
instruite: Je m'attendais qu'il y songerait. Cela ne Lui vint
point en pensée. "Tu ês diablement Pucelle! me dit-il, en me
tutoyant... Il me tourna sur le ventre, me cracha au trou du
derrière, ét m'y enfonça son engin, avec des efforts infinis.
Je poussais des cris horribles! mais il me tenait si ferme, en
m'empalant, que je ne pouvais remuer. Je Le secondae, pour
souffrir moins, ét mes ripostes me firent decharger. Je
croyais avoir un timon de carrosse dans le cùl... Le retiré ne
fut pas sans plaisir... "Tu vaux ton pesant d'or! me dit Guae,
même en cùl! Suffit"! Il me demanda ensuite pardon: "Votre
beau Con, votre beau cùl, vos blancs tetins m'avaient mis
comme un Enragé; ne pouvant vous enconer, je vous ai enculée:
Pardon, ma belle Maîtresse! j'ae plüs d'un projet, pour vous
dedomager". Le cùl me fesait mal: Guae me le mit dans l'eau
tiéde; puis il me le baisa, me le lècha, alant quelquefois au
Con. Il rebanda: mais je voulus m'en-aler. Il fut obligé de me
remener en fiacre; je ne pouvais marcher qu'avec douleur. Ce
qui n'empêcha pas qu'il ne me fit Le branler dans le carrosse,
Lui ayant le néz dans une mule mignone, qu'il m'avait arrachée
du piéd, ét dans laquelle Il dechargea. Dans le delire du
plaisir, Il me dît: "Ma Reine: j'ae le Vit trop gros pour Toi;
choisis de l'oeil un joli Jeunehomme pour Te depuceler, ét je
trouverae le moyén de Te Le faìre avoir, sans Te
compromettre". Ceci me fit plaisir.... Guae me descendit, ét
me porta. Je me mis au Lit; le sommeil calma mon cùl.

"Le lendemain, j'alae chéz mon Père, auquel je racontae tout
ce que Guae m'avait fait, ét dit. "Bon! me repondit-il: Tu as
du temperament: Tu seras foutue, en con, en cùl, en bouche, ét
Tu seras heureuse... Vous seréz mariés dans huit jours, ét je
t'aurae un Fouteur plüs gros que moi. En attendant, je vais Te
Le mettre; On ne saurait trop élargir un Connin si mignon".
Mon père m'enconna, recomença trois fois. "Tu ês toujours
Pucelle! me dit-il. "Et pourtant, m'écriae-je, mon vilain
Oncle, avec son gros Membre, m'a hier violée trois fois!
"Trois-fois! reprit mon Père: quel Connichonnet as-tu donc? On
pourra vendre mille fois ton Pucelage!... Il faut que je Te
refoute". Et il me refoutit...

"Tandis que je me rinçais le Con avec de l'eau tiéde, mon Père
s'était mis à la fenêtre, ét causait avec un jeune Procureur
son voisin, gros ét beau garson de 30 ans. Le Con lavé, j'alae
regarder, en soulevant le rideau. Mais le jeune Procureur
m'ayant aperçue, je me retirae. "Quelle est donc cette celeste
Persone? demànda-t-il. Mon Père ne repondit que par un geste,
qui, je crois, signifiait que j'étais sa Maîtresse. Ils
gesticulèrent encore. Puis le Procureur disparut. Mon Père me
dit aussitôt: "Veux-tu que ce bel Homme Te Le mette, en
payant? "Hô! hô! mon Père! "Appelle-moi Monsieur, devant
Lui"!... On frappa. Mon Père ouvrit; ét j'entendîs qu'il
disait tout-bas au Jeunehomme: "Aportéz-vous les 50 Louis?
"Les voilà. "Mademoiselle? me dit àlors mon Père; vous savéz
que je vous aime pour vous même: Voici un bel Homme de mes
Amis, qui veut vous faire un présent; je sors; temoignéz-Lui
votre reconnaissance". Mon Père se cacha, ét le Procureur le
crut sorti.

"As-tu été foutue aujourdhuy, me dit-il, en venant pour me
prendre les Tetons. Je Le regalae d'un soufflet. "Apprenéz que
je suis icy chéz mon Père. "Vous êtes Mademoiselle..... "Oui,
Monsieur. Je dois être mariée dans huit jours. C'est un
mariage de raison, ou d'interêt. Mais mon Père ayant été
instruit que mon Futur est... monstrueux;... ce bon Père a...
pris sur Lui de... me faire prépârer. Je vous ae cru son Ami;
j'ae consenti, aprês vous avoir vu". Le Procureur était à mes
genoux. Il me demanda mille pardons! "Soyéz donc honnête?
repris-je. Alors il me caressa. Je Luy rendis enfin un baisér.
Il me renversa. Il avait le Vit comme mon Oncle, mais il était
moins adroit. "De la pomade! Luy criai-je: Mon Prétendu
m'ayant fait entrer chéz Luy par surprise, il ferma les
portes, ét voulut me violer... Ne le pouvant, il me pomada, ét
ne réüssit pas encore. Vous, pomadéz-...moy"... En parlant
ainsi, ses tentatives me fesaient decharger. Je soupirais de
volupté. Mon Père crut que c'était de douleur. Il arriva; me
pomada; dirigea le Vit de mon Fouteur dans mon Con, ét dit, à
Lui: "Pousséz". A Moi: Soulève le cùl; étreins dans tes bras;
seconde ton Depuceleur, à chaque coup, par un coup de croupe
en-avant; passe tes jambes sur ses reins, ét serre, en remuant
du cùl... Bon! Bon! Saccadéz, vous!... Bon"! "Hâ Dieu! quel
plaisir! s'écriait le Fouteur: comme Elle a... le Con
étrait!... le... mouvement... delicieux"! Je Lui dardae ma
langue, en murmurant, "Mon coeur!.. Mon Roi!... Mon Dieu! je
t'adore!... "Hâ! la chère Petite Amie! elle est tendre!... Je
decharge! Je La fous... Hâh!... "Il me fout, mon Père!... Tous
les Hommes foutent-ils?... Hâh!... Mon Père!... quel
plaisir!... Mon âme... va sortir par... le trou qu'il me
fait"!... Je dechargeais, en me roidissant. "Hô! la Petite
Reine!... s'écria le jeune Procureur: Elle decharge!... Mon
Pére... donnez La moi pòur Femme; je l'ae depucelée; je
L'épouse"?.....

"Mon Pére, qui avait ses desseins sur Moí; refusa. Il en
resulta que le Procureur enragé, s'acharna sur Moi, ét me
foutit 18 fois... Mon Père fut obligé de l'ôter de sur Moi, ét
de Le porter chéz Luy; il ne pouvait marcher... Quant à Moi,
j'étais à-peine fatiguée. Mon Con lavé, rafraîchi, il n'y
parut plus. Au retour de mon Père, Le voyant tout ému, à la
vue de mes Tetons, je Lui dis: "Si vous bandéz, satisfaites-vous,
en me foutant deux ou troìs fois?" O quelle scêne!
s'écria-t-il: Mais Tu as un Con ét un temperament impayables!
ils feront notre fortune... Voyons si Tu dechargeras encore:
foutons"?... En m'enconnaut, il me loua fort de m'être avouée
sa fille, ét du soufflet donné! "Les Fouteurs dedaignent les
Foutues; mais ave Toi, ce sera le contraire; je veux te mettre
audessus de ces Bougres-là! "Je decharge! m'écriae-je. "Et moì
aussi! repondit-il en me saccadant. Il me re-enconna trois
fois, ét toujours je dechargeae.. Je lavae, en Lui disant:
"J'épuiserais dix Hommes". Je Lui recommandae d'instruire mon
Futur de ce qu'il falait faire, pour m'enconner. Je Lui dardae
ma langue, ét je partis.

"J'avaís été foutue 25 fois dans la journée, sept par mon
Père. Je retournaís chéz ma Marchande. Mais tous les Hommes
que je rencontrais, me tentaient. "Que les Putains sont
heureuses! (pensae-je) elles attaquent qui elles veulent"!
Tout-à-coup une idée me viént: "Alons chéz Guae; je Lui dirae
de me pomader: Qu'il m'estropie; mais qu'il me foute". J'y
volae.

Il était avèc un beau Jeunehomme, qu'il fit cacher, au bruit
de mes talons. Mais j'entrevis par le trou de la serrure. Guae
me reçut mysterieusement, ét me conduisit dans la Pièce-obscure,
où je Luy avais vu cacher le Jeunehomme. "Ma Reine!
ma belle Future (me dit-il), je crois que je pourrae vous
enfiler aujourdhuy: Ayéz seulement de la complaisance? "Oui!
mais, pomadéz... Ma Tante... "J'entens.. j'entens"... Je
sentis qu'il me remettait à une main plüs douce. On me prit
les Tetons, le Con; On me darda la langue. Je caressae. On me
troussa. Je fis beau Con. L'On se mit sur Moi, je sentis qu'On
m'ìnserait un morceau de beurre-fraìs à l'entrée de la vulve,
ou trou du Con. On poussa. Je ripostae un-peu. L'On entra. Je
secondae, m'apercevant avec étonnement, qu'On ne me fesait
presque pas mal. Enfin l'On parvint au fond sans m'avoir
blessée, ét l'On y dechargea. L'abondance ét la douce chaleur
du foutre me firent partir aussi, mais avec un plaisir, des
élans, des transports incroyables! Je m'écriais: "Chër Amant!
divin Amant... j'expire... de bonheur... ét de volupté... Je
t'adore"!...

"Le Jeunehomme deconna. Il me suça les Tetons, les Lêvres, me
fit darder la Langue. Ce que je fis tendrement... Aussitôt Il
me re-enconna avec fureur. J'eüs autant de plaisir que la
première fois... Bref, il me recommençait sans-cesse, ét ce
fut Guae qui Le renvoya: car pour Moi, deja foutue 25 fois
dans la journée, je crois que j'aurais laìssé aler ces deux
Hommes jusqu'à 50, si tousdeux avaient pu me Le mettre. Guae
me voyant quelque difficulté à marcher, envoya chercher un
fiacre, pendant que je me lavais le Con. "Hé-bién, ma
charmante Reine, T'ai-je bién foutue? me dit-il. Je rougis.
"Loin d'être épuisé, je me meurs encore d'envie de T'enculer?
"Hô-non, non! (m'écriae-je avec effroy). "Hé-bién, branle-Moi
des deux mains, comme te voilà, le cùl dans l'eau". Je branlae
son Vit, qu'à-peine je pouvais empoigner. Quand le foutre fut
prêt à venir, il heurlait de plaisir. "Ta bouche? (me disait-il),
ta bouche... ou je T'encule"? Je decalotai le gland, je
le pressai de mes lêvres. Le foutre arrive, ét depeur qu'il ne
tombe dans mes Tetons, j'ouvre la bouche, ét il m'est lancé au
fond du gosiér. Je l'avale comme un Laìt-de-poule. Il y en eüt
une chopine: "Foutre! foutre... (s'écriait Guae), je me
pâme,.. Hâ... celeste Garse... Tu vaux mieux que toute la
Terre... Est-ce bon? "Ce qui fait tant de plaisir en-bas, doit
faire du bién en-haut. "Hâ, divine Putain... je T'en
nourrirae". Le fiacre arrivait; Guae m'y porta.

"On me L'avait mis 37 fois. Le Frère de ma Marchande se trouva
seul à la maison, lors de mon retour. "Mademoiselle
Convelouté! me dit-il, que vous êtes cruelle pour Moi?... On
dit que vous aléz vous marier? Vous devriéz bién favoriser un
Jeunehomme qui vous adore, aux dépens du Futur? C'est Un Veuf,
Un Laìd... Vous ètes Pucelle, ét si jolie?... Dailleurs, il
l'a três-gros (dit votre Oncle), ét il vous fera bién mal? Si
un plûs menu que le sién vous préparait? Voyéz? (Il mit à
l'àir un vit charmant); c'est un veritable croque-pucelage,
sans faire mal.... Je sais m'y prendre: Le Mary de ma Soeur èst
Un Bandàlaîse, ét elle se fait de-temps-en-temps ôter par Moi
les Aràignées du Bijou". Ce langage me plut, ét son vit me
tentàit: Je luy repondis, en riant: "Je n'ai pas d'Araignêes à
ôter". Il vit, à mon àir que je n'étais pas de mauvaise-humeur.
Il me prit les Tetons. "Finisséz donc, Libertin! (Luy
dis-je doucement et sans presque Le repousser). Il me prit la
Motte. "O c'est trop fort, ceci... Vouléz-vous bién finir"!...
Il était deculoré; il bandait ròide; il me renversa sur le Lit
de sa Soeur, me retroussa, ét se mit sur Moi tandis que je
disais nonchalamment: Hé-mais... c'est donc une violence"! ét
que je me defendais d'une maniére qui me lìvrait. Il me dit:
"Hâ! celeste Innocente! je vous Le mettrae"!... Il m'enfila.
Je ripostais, en haussant du cùl, comme pour Le repousser. Il
n'en dardàit son vit que plüs fort. "Non! (s'écriàit-il en
dechargeant), il n'êst rién tel que d'enconner
l'Innocence"!... Cependant cràignant que je ne Me derobasse,
il Me foutit trois-coups sans deconner, (ce qui fit mes 40
fois dans la journée), ét ne Me quítta, qu'en entendant du
Monde.... Je courus Me laver.

"C'était la Marchande. Elle dît à son Frère: "Heureusement que
c'êst avec Convelouté! Toute-autre aurait sauté le pas,
Poliçon?... Mais L'as-Tu attaquée? "Oui. En ce cas, Tu dois
n'en pouvoir plus... Viéns que je Te soulage"? Il y avait
encore de l'huile dans la Lampe: Le Jeunehomé mit le verrouil,
nous enfermant ainsi Tous-trois, ét il se jeta sur sa Soeur,
qu'il enfila d'un seul traìt. Hâ! quels coups-de-cùls elle
donnait! "Lime (Luy disait-elle)... je decha...arge... Sors
à-moitié, ét... rentre... vivement... Fous-Moy vingt fois... en
une"... Je Les voyais. Ranimée par-là, mon insatiable Connôt
redesiraît un vìt, lorsqu'On frappa doucement. J'ouvris, en
tirant le verrou plüs doucement encore. J'esperais que ce
serait le Mari de ma Marchande, qui depuis longtemps brûlait
de me Le mettre. Je me proposais de le pousser dans une autre
Pièce. Point-du-tout! C'était un beau Jeunehomme, qui avait
beaucoup d'air de Celui par quî Guae venait de Me faire
foutre.

"Mademoiselle (me dit-il), se nomme Agnès-Convelouté? "Oui,
Monsieur. "Mademoìselle êst la Prétendue de M. Guae? "Mais,
oui, Monsieur. "Aiméz-vous, fort ce M. Guae? "Monsieur, la
raison, ét non la passion, fait mon mariage. "En ce cas,
Mademoiselle, je ne vous ferai pas de peine, en vous revelant
un secret? "Quel êst-il, Monsieur? "C'êst que tout-à-l'heure,
vous avéz cru être possedée par votre Futur... "Quel conte
vous me faites-là, Monsieur? "J'étais présent, mais caché,
Mademoiselle: son Timon de carrosse ne pouvant vous perforer,
il m'a vendu votre Pucelage cent Louys, ét c'êst moy qui vous
ai deflorée... Me préfereriéz-vous? "Ce que vous me dites êst
impossible, Monsieur! "Cela êst: Il l'a trop gros; On viént de
vous Le mettre, ét c'ést Moi. (Je le savais bién). "Il n'êst
qu'un mot à dire, Monsieur: Pouvéz-vous m'épouser?
"Mademoiselle, je suis marié à une Vieille de 78 ans, qui m'a
fait ma fortune, ét je suis obligé d'attendre qu'elle soit
morte. "Et si je devenais grosse, Monsieur?... J'épouserais M.
Guae. "Vouléz-vous être ma maîtresse? "Cela ne conviéndrait
pas. "De son consentement? "Comme vous m'avéz eüe dejà, ét que
ce soit de son consentement, je m'y prêterais; pourvu qu'il
ignorât que je le sais... "Hô! de tout mon coeur! Ceci marque
votre honnêteté... Etes-vous seule? "Non; la Marchande êst là.
"Pourrais-je vous avoir à coucher? "Hâ-ciel! Je ne saurais
decoucher que sous le prétexte d'aler veiller mon Père, en Le
supposant indisposé: Ainsi, cela êst impossible. "J'irae, si
vous le permettéz, parler tout-unîment à votre Père: Je suis
riche; il vaudrait mieux que je vous donnasse le prix de vos
faveurs, qu'à Un vil Malheureux, comme Guae? "Hé-bién, parléz
à mon Père. "Je reviéndrae vous chercher, s'il m'accorde ma
demande? "Mais ne revenéz pas seul: Je veux voir Quelqu'un à
Luy, ét que je connaisse? "Vous seréz tranquilisée".

Il ala chéz mon Père: Il luy raconta comment Guae n'ayant pu
me depuceler, Lui avait vendu mon Pucelage cent Louys, en
quatre seances, vingtcinq Louys par chaqu'une, dont la
première était payée: Qu'il m'avait enconnée, en me pomadant.
ét qu'il avait trouvé mon Bijou si delicieux, si satiné, qu'il
n'en voulait plus d'autre; Qu'il m'avait demandé de coucher
avec Moy, ét que c'était par mon conseil, qu'il s'adressait à
Luy. Il offrit ensuite les 75 Louys restans pour les trois
nuits suivantes. Mon Père repondit: "Puisque Guae a voulu être
cócu, qu'ainsi soit. Je consens que vous couchiéz icy avec ma
Fille, si vous avéz cueilli sa Rose; ce qu'elle me dira. Aléz
La chercher, avec un Billet, par lequel je vais La demander".
Et il écrivit. Puis il accompagna le Galánt jusqu'à la porte
de ma Marchande, que son Frère foutait encore.

"Cependant je M'amusais à voir conniller le Frère ét la Soeur.
J'étais en feu, quand le Jeunehomme reparut, avec le Billet de
mon Père: je vis par la fenêtre, Celui-cì quì nous attendait
dans le carrosse de mon Depuceleur prétendu. Je partis, en
avertissant que j'alais veiller mon Père malade- A notre
arrivée, le Galant pàya un heau soupér, ét remit vingtcinq
écus-d'or à mon Père. On mangea; On but; puis je fus mise au
Lit. Le Jeunehomme exigea que mon Père me deshabillât, ét me
lavât la Motte. S'étant ensuite Lui-même mis nu, en un
instànt, il entra dans une chemise, fort large, ét qu'il avait
apportée, afin de me palper mieux. Il appela mon Père, pour
qu'il Lui mît le vit dans le trou de mon Con; puis il
poussa... Il eüt autant de peine que chéz Guae (ce qui
m'étonna Moi-même!) Aussi dit-il: "Elle a reellement le Connin
étroit: Elle se repucelerait en huit jours, si On La laissait
tranquile". Il me foutit six coups; mon Père, couché à-côté de
nous, Lui mettant tonjours le vit dans mon Con. Il s'endormit
ensuite, ét Moy aussi.

"Le lendemain-matin, il fit faire d'excellent chocolat, qui Me
refit. Je refusae la voiture pour retourner chéz ma Marchande.
On ne se douterait pas pourquoi! J'avais ouï-dire, que le
foutre avalé chaud, était excellent pour la poitrine,
fortifiait, ét blanchissait le teint. Je voulais aler en
avaler ma chopine en suçant le Vit de Guae. J'y courus, dês
que je me vis libre. Il alait sortir. "Je viéns vous donner du
plaisir (Luy dis-je), mais sans en prendre: vous m'avéz trop
fatiguée hiër". Alons, ma Toute-belle, que faut-il faire? Vous
enculer? vous encuisser, vous endosser, vous enaisseller, vous
enoreiller, vous encoller, vous entetonner, vous decharger sur
le nombril, me faire serrer le Vit entre vos deux mollets,
faire un Con de votre solliér, ou de votre jolie mule: Tout,
je ferae tout, hors vous enconner; je ne le saurais, parceque
nous sommes, vous trop belle, ét Moi trop beau"? Aulieu de
repondre à ce Langage, qui était de l'Arabe pour Moy, j'avais
deboutonné sa culote, ét je Le branlais d'une main, ét
chatouillant par instinct les couilles de l'autre. Il se
recriait de plaisir; "Déesse!... Sacrée Garse!... Divine
Putain!... Branle!... branle!... Chatouille! chatouille les
couilles?... Hô! hô! quelles delices!... Bougresse!...
Gueuse!... Putain!... Divinité! le foutre... viént"!... A ce
mot, j'embouchae le gros Vit, le palpotant de ma Languè ét du
Palaìs. Ce fut àlors que Guae en delire blasphêma; "Foutu
Dieu! Bougre de Dieu! Sacré Con de la Vierge Marie! Con de la
Magdelène connillé par Jesus! Con de Sainte Thècle, de Sainte
Theodore, de Sainte Catherine, de Sainte Cecile, d'Agnès-Sorel,
de Marion-Delorme, de Ninon, de La-Daubigné, de La-Vallière,
de La-Pompadour, de La Duté, de La Lange, de La
jolie Mars, de l'adorable et provocante Mèzéray, de la jeune
et naïve Hopkins, de la belle Henry, vous ne valéz pas...
cette Bouche-là... Je fou..ou..ous... Je.. decha..a..arge!...
Ava..ale!... gorge-Toi de foutre, ma Reine"! Il deboucha
vivement, quoique je Luy suçasse encore lé Vit. "C'êst trop de
plaisir! (dit-il); On mourrait". Il me fit prendre quelques
cuillerées de café. pour me rincer la bouché. Puis je me remis
à Le branler. Il me suça les Tetons, me fit Luy darder ma
Langue, ét voulut me gamahucher. Je m'y refusae, devant être
foutue le soir.... Il rebandait. Je secouai, je chatouillai;
le foutre revint, ét j'en avalai une nouvelle dose. Ce qui eüt
lieu trois fois de-suite. Le manque de temps nous obligea seul
de nous separer.

"Le soir, à 9 heures, une voiture vint me prendre, ét me
conduisit chéz mon Père. On y soupa, coucha ét foutit comme la
veille. Le lendemain, après le chocolat, j'alai faire mon
déjeûner de foutre chéz Guae. J'en pris quatre doses...
De-retour chéz ma Marchande, son Mary. sans-doute instruit par le
Frère de sa Femme, voulut me le mettre. Je m'y refusae
absolument. Il s'en plaignit à sa Femme, qui m'en fit des
reproches. Mais Luy ayant dit que mon Prétendu me l'avait mis
six fois, en gardant mon Père avec Moi, elle fit mes excuses à
son Mary, en Le priant d'attendre son tour.

"Le soir, On vint me prendre. Mad. Viédase ma Marchande, Me
dit à l'oreille: "Tâche de ne pas être foutue; afin que mon
Mary puisse Te le mettre demain? il s'en meurt"?... Je trouvae
mon Amant chéz mon Père. En soupant, On parla de Guae, Mon
Amanr dit, qu'ayant été enconnée devant Luy, je ne devais pas
redouter la grossesse. "C'êst pourquoi (ajouta-t-il,
j'enfourne à plein Con, ét decharge au fond. "Je vous mets le
vit dans le Connin de ma Fille avec plaisir (dit mon Père);
afin de mieux cocufier ce Jean-foutre de Guae, qui vous a
vendu son Pucelage. "C'êst ce qui me met aussi en fureur
érotique, quand jé fous sa Future (reprìt mon Galant): Je
pense: Encore une corne à ce bougre de Guae... ét je me trouve
intarissable... Il m'a même passé une idée par la tête: C'êIt
de vous donner à chaqu'un 50 Louys, pour que vous foutiéz
ensemble tous-deux; pour que le Mâtin soit recocu, ét surcocu?
"Top! (s'écria mon Père); àprès votre affaire faite. Vous me
mettréz le vit dans le Con de ma Fille... "Non! non!
(m'êcriai-je). "Vous me La tiéndréz, si elle recalcitre. "Je
n'ai pas ces idées (Leur dis-je): Si je remue du cùl, comme je
le fais, àlors que mon Amant Me fout, c'êst que je l'aime:
Qüant à M. Guae, je Luy dois beaucoup de reconnaissance! il
êst ma Nourrice, ét c'êst Luy que je téte". On ne comprit pas
le sens de ce mot. On Me coucha.

"Au Lit, mon Amant me foutit six fois. A la sixiême, mon
Fouteur dit à mon Père: "Mets-Toy sur ta Fille. ét fous.La: Je
vais T'introduire le vit"? Mon Pére me grimpa, le Jeunehomme
Luy mit le vit dans mon con, ét il poussa. Comme j'étais
amoureuse de Luy plûsque de tout autre Homme, je remuai de la
charnière, comme Une Princesse foutant avec un Page... Le
Jeunehomme ranimé, entra dans un tel érotisme, en nous voyant
decharger, qu'il nous fit mettre sur le côté, èt il m'encula,
tout enconnée que j'étais... J'alai laver, ét nous dormîmes.

Le matin, au dejeûnér, le Jeunehomme paraissait yvre de joye!
"Hâ! qu'il êst cocu, le Bougre! (s'écriait-il.)... Bonhomme,
voilà un effet de cent Louys: Il faudra que Tu La foutes,
àprês le Mariage, ét il y aura vingtcìnq Louys à chaque fois".
Il partit, ét je courus chéz Guae, que je commençais à aimer
presque autant que mon Père.

"Il Me reçut avec transport, Me traìtant de divine Garse, de
celeste Putain... Il M'alaita de foutre six copieuses fòis. Ce
qui me mit dans un tel érotisme, que je retournai chéz mon
Père: "Ton Procureur? (Luy dis-je essoufflée): Il doit être
remis, depuis l'autre jour? Je brûle... Cours-y, si Tu
M'aimes". Il y vola, en M'appelant, Cleopâtre! Clepâtre!... Il
trouva le Jeune Procureur à la fenêtre, son vit bandant à la
main. "Je viéns de voir entrer votre Fille (Luy dit-il), ét
j'alaìs Me branler à son intention. "Gardéz-vous en bién!
Apportéz un petit présent, ét venéz le Luy mettre? "Vingtcinq
Louis? "C'êst trop pour une Pratique: Un Louys par coup.
"Soit: mais je n'en remettrai pas: Elle gâgnera peutêtre la
somme". Il vint avec Moi. En entrant, il jeta la bourse sur le
piéd du Lit. "Alons, ma Fille (Me dit mon Père), Tu ês à tes
pièces; autant de coups foutus, autant de Louys: Mais il ne
faut pas tuer Un Amy! Il alait se branler à ton intention,
quand je suis entré". A ce mot, je Me jetai à son cou, ét Luy
dardai ma langue) en dîsant: "Chër! Chër Amy! "Hâ je T'adore i
(Me repondit-il). Et il Me prit les Tetons, le Con. Je Me
renversai. Il se mit sur Moi. Je Me fourai son vit dans le
Con, ét en quatre coups de cùl, je Le mis au fond. Il
dechargea, en Me sentant émettre... Il Me foutit dix coups.
"J'ai quinze Louys à-compte (Luy dit mon Père, en Le voyant
laver ét se reculoter: Vous reviendréz quad il vous plaîra".

"Nous en étions à l'avantveille du Mariage. Tous les matins,
Guae m'avait alaitée, ou plütôt affoutrée; ce qui M'avait
rendu la peau plüs blanche, le teint plüs brìllant, le Con
plüs satiné, ét me donnait un temperament si violent, que je
n'étais à Mon aise, qu'un VIT au CON. Le Jeunehomme dit, en
dejeûnant: "Guae doit être surpris de ne pas Me revoir! Cela
pourrait faire tort dans son idée, au Con de ma belle
Fouteuse: Ainsi, je veux Luy acheter la première nuit de sa
Mariée, puisque l'impayable Agnès veut absolument l'épouser.
(Je le Luy avàis dit, en foutant). Mon Père applaudit. Mais en
Me reconduisant chéz Guae, que j'alàis teter, ce bon Père
ajouta: "Tu n'ês pas une Mariée ordinaire: ce qui éteindràit
la soìf d'Une-autre, n'êt qu'une goutte de foutre, pour Toy:
J'ai une idée, C'ést de M'arranger à Te regaler, aprèsdemain,
en Te Le fesant mettre jusqu'à extinction de forces, par
Tous-ceux qui T'ont foutue; Moy dàbord; Ton Oncle; Ton Procureur;
le Frère de Ta Marchande, ét peutêtre son Mary: S'il se trouve
quelques nouveaux Bougres, ils T'enculeront, sous prétexte de
reserver Ton Pucelage à Ton Epoux: c'êst un delice que
d'enculer une Mariée, le jour de ses noces, ét ils le pàyeront
bién. Je M'arrangerai avec Guae pour tout-cela". Nous
arrivions. J'embrassai mon Père transportée de reconnaissance,
en Le priant de tâcher de Me suivre secrêtement, pour Me voir
teter. J'entrai, puìs je L'introduisis.

"Guae courut à Moy, en se deculotant. Il Me baisa dabord pied,
jambe, cùl, con ét Tetons: Il Me fit ensuite Luy darder ma
langue; àprês quoy, il Me mit son Vit en main. Je Le secouais
vivement, lorsqu'il Me dit: "Garse, je suis raisonnable: Je ne
T'enconne pas; il faut que Ton Père ét Ton Oncle te foutent le
jour du Mariage: Je T'aurai ensuite, pour la nuit, trois vits
frais, dont celuy qui T'a depucelée sera Un... Hâ! l'idée que
Ton Père T'enconne va Me faire Te decharger une pinte de
foutre, ét Te l'entonner dans le gosiér"... Alons, Garse, je
sens que ça viént: embouche-Moi le Vit... Hâ-hâ-hâ... le
Bou...ougre fout... sa Fille... Ton Père Te fout, Garse! Te
fout, Putain... Hâ! je decharge, à cette divine Idée!...
Hónh"!... Il se pâma presque... Pendant l'interruption forcée,
j'alai prendre Mon Père à sa cachette: "Fous-Moy, Luy dis-je;
puisqu'il le faut pour le bonheur de Mon chër Prétendu! "Hâ!
Deesse! (s'écria Guae, en se précipìtant à genoux, Tu incestue
pour Moy! je T'adorerai toute ma vie"... Il intromit le vit
paternel. Remue du cùl! (Me criàit-il), saccade! "Je
de..cha..arge (Luy dis-je)... Viéns, chër Amy.. que je Te
branle"? Guae blasphêmaìt de plaisir, en sentant venir le
foutre... Il M'emboucha, sans que Mon Père me quittât, ét
en-même.temps, j'avalai du foutre, j'en reçus dans le Con, ét
j'en donnai. Mon Père Me foutit quatre coups, èt Guae M'avàit
embouchée quatre fois, quand On frappa. Guae courut ouvrir,
tandis que je Me rinçaìs bouche ét con. C'était mon Oncle.
"Vous arrivéz à point (Luy dit-il): On essàye Ma Future, ét
vous aléz L'essàyer". Mon Père expliqua la chose; Guae Me
renversa sur le foutoir, ét mon Oncle M'enconna. Il Me foutit
six coups, je tetai six nouvelles foìs le VIT de Guae; aprês
quoy, On Me làîssa respirer. Il fut ensuite convenu, que douze
Fouteurs me passeràìent sur le corps le jour de mon Mariage,
en con ou en cùl, à mon choix, ét que Guae, qui seul auràìt la
bouche, Me feràit foutre la nuit, ét dans l'obscurité, par
trois VITS nouveaux de son choix. Mon Oncle emerveillé,
s'écria: "Mais elle sera Putain? "C'êst ce qu'il Me faut, pour
que je l'adore.... Et ne vous en faîtes faute, ny son Père, ny
vous; puisque vous seréz les seuls qui ne payeréz pas". En
achevant ces Mots, il se prosterna devant Moy, en Me traîtant
de Deesse.

"Je retournai chéz ma Marchande. Son Mary, ét elle-même Me
tourmentaient, pour que le Premiér M'eût une seule foìs avant
Mariage. Ils Me pressèrent plüs fort que jamaîs; ét je cédai.
La Femme Me mit dans le con le VIT de son Mary. Je ne fus
foutue qu'une fois, cet Homme étant faible, ét sa Femme le
voulant être après Moy. Ce fut de ma main, qu'elle regut dans
son Con brûlant le VIT Marital..... Cette operation faite, ét
repetée, je Les quittais, en Leur disant Adieu. Ils
pleuraient: "Ce qui Me console de ta perte (Me disait ma
Marchande), c'est que mon chër Mary T'a foutue... Ta
voluptueuse idée Me lé fera mettre plüs souvent". Je partais,
quand le Frère entra. Sa Soeur Luy dit ce qui venait de se
passer. Il ne repondit rién: Mais il Me ramena du-côté du Lit,
M'y renversa, ét Me foutit devant eux, sans prononcer une
parole. Il voulait Me recomencer. Je M'y refusai, en
L'invitant, ainsi que son Beaufrère, à venir Me le mettre le
surlendemain jour de mon Mariage. On Me remercia.




XXXVI Chapitre.

Chap. De l'Homme-Poilu, la Convelouté, Linars &c.


"A mon arrivée chéz mon Père, je Luy con-racontai Tout ce que
je venais de faire. "Il ne faut pas (Me dit-il), quand On a
tant d'ouvrage pàyé, en faire qui ne rapporte rién. Il viént
de M'arriver Un Homme d'asséz agreable figure, três-vigoureux,
car il êst brun ét tout poilu, qui offre une forte somme, pour
t'avoir cette Nuyt? "Que rién ne vous empêche de Le prendre!
(repondis-je en souriant): Je ne suis pas fatiguée par si peu
de chose".

"Mon Père rassuré Me fit deshabiller nue, prendre un bain
tiéde, puis un froid, mettre au Lit, avec une chemise large;
Me fit avaler un excellent consommé: ensuite il Me laissa
dormir. Il était àlors 5 heures du soir. A minuit, je
M'éveillai, en Me sentant lècher le con. Je priai l'Homme de
se montrer? Il leva la tète, et je vis un Basané d'une fort
belle figure. Je souris. Il Me suça les Térons, en Me disant
des choses agreables: "Vous avéz un beau Con... une superbe
Motte... un Ventre de Pucelle... un Cùl d'albâtre... des
Tétons blancs comme neige.... un col degagé... des lêvres
voluptueuses... de belles dents... les plüs beaux ieux... les
cils, les sourcils ét les cheveux comme la Deesse de la
Beauté... la jambe parfaite... le pied le mieux fait... Quand
je vous aurai foutue, je vous dirai le reste".

"Mon Père Me dit de Me lever pour souper. Le Basané Me porta
toute-nue dans ses bras auprês du feu: Là, je vis Guae avec
grande surprise! Je mis mon corpset souple; Fysitère (le
Basané) Me laça, Me priant de bién faire refluer mes Tetons.
Mon Père Me chaussa une Jambe ét un Piéd, Guae l'autre Jambe
ét l'autre Piéd, en bas ét en solliérs de soye d'une
éblouissante blancheur. On se mit à table. Mon Fouteur voulut
que je restasse les Tetons decouverts. Nous soupâmes. J'avaís
appêtit, Le Basané but ét mangea comme Un Hercule. En sortant
de table, il dit à mon Père ét à mon Futur: "Vous ne M'avéz
pas trompé; Elle êst audessus de vos éloges. Sí l'interieur du
Con ressemble à l'exterieur, Elle êst à Moy, coûte qui coûte.
"Voyons votre Vit (repondit Guae).... Elle ne sera que trop
parfaite!... Voici le mién; ét vous savez que je n'ai pu
l'enconner, puisque c'êst ce qui vous a fait parler à M.
Convelouté mon beaupère. "Je verrai si Elle a le merite de ce
beau nom... Mais vous avéz un Vit épouvantable, M. Guae!...
Empoignéz-le, la Belle, que je voye comme il êst bién
bandant"? Je saisis le Vit de Guae, qui se recria de
plaisir... "Je bande (reprit Fysitère): Mais faites bander
votre Père, ét comparons". Je Luy prîs cependant le Membre,
qui grossit en le serrant dans ma main. On compara ensuite.
Guae l'avait le triple de l'Homme-velu, qui Luy-même était le
double de mon Père. "Je voudrais Luy dire un mot"? (demanda
Guae furieux de luxure). Il Me poussa vërs une fenêtre. Me
cacha derrière le rideau, et me dechargea dans la bouche. Mon
Pére seul devina ce que Guae venait de me faire. Pour Moy, je
fus singulièrement fortifiée par cette bavaroise! Je
brûlais... Aussi, je fus ravîe, lorsque Fysitère dit: "Il faut
dabord que je la foute habillée". Il Me porta sur le piéd du
Lit, ôta ses culores, ét nous laissa voir un corps velu, comme
celuy d'un Singe. Il me fit Luy prendre son braquemart, ét Me
dit: "Introduis-moi cela dans le trou de ton con, ét tève du
cùl come il faut, à chaque fois que je pousserai". Je
M'enconnai. Aussitôt il poussa. Je fis un cri: car il Me
dechirait, étant plüs gros que mon Oncle, ét que tous les vits
qui M'avaient foutue. "Ce n'est rién (Me disait-il): je te
deflore... je te depucèle: Remue du cùl". Je remuais de mon
mieux, tout en soupirant, ét Luy rendant en coups de cùl, tous
ses coups de vits. Il parvint au fond. Mes trompes Luy
pincèrent la tête du gland. Il heurla de volupté. "Garse
adorable! (s'écriait-il), ton Con satiné pince le vit! Ta
fortune est faite, ainsi que celle de ton Père ét du Futur,
qui t'ont vendue à Moi!... Alons, fous bién"!... Je remuai, je
tortillai du cùl, je soubresautai, de la manière dont Me le
disaient mon Père, ét Guae Luy-même. "Je suis ravi! (s'écriait
le Basané): Elle decharge!... Hâ! Elle me fera un petit
Bougre-à-queûe!.... Il dit à mon Futur: "Viens-ça, Jean-foutre:
Passe-moi la main sous le croupion, ét chatòuille-moi
d'une main ce que tu y trouveras, ét les couiiles de l'autre"?
Guae obéït. J'ai su depuis qu'au croupion, le Basané avait une
queûe, de la même forme qu'un vit, mais velue comme son corps,
ét que ce fut cette queûe que mon Futur chatouilla).... "Je ne
quite pas d'une heure ce con celeste! (disait l'Homme-à-queûe,
en Me saccadant): chatouille, chatouille, Bougre! les couilles
ét ma queûe"! Il dechargea six fois, sans deconner... Je
demandai àlors à laver. Mon Futur M'épongea le con, ét Me le
baisa, en l'appelant Con d'Or. Mon Père Me suça les Tetons.
Guae dit au Basané: "Elle êst à vous: Mais je bande comme un
Carme: permettéz que je L'encule?... "L'enculer, non; c'êst du
foutre perdu. Encore moins l'enconner; je veux qu'Elle Me
fasse un Petit-à-queûe: Mais si Elle avalait le foutre, comme
j'ai vu certaines Femmes temperamenteuses, je consentirais que
tu l'embouchasses". A ce mot, je saisis le Vit de mon Futur,
ét je l'aurais avalé, s'il n'avait pas eté si gros. Il me
dechargea au fond du gosiér, en rugissant, ét le foutre Me
descendit bouillonnant dans l'estomac. "Hâ! Elle aime le
foutre! (s'écria le Basane); Elle a toutes les perfections!...
Et Elle sera aussi longtemps belle, que feconde!..... Alons,
Papa, embouche-la aussi: De tous les foutres, le paternel est
le meilleur". Je Me jetai sur mon Père, Le renversai sur le
Lit, saisit son vit bandant, que je fis aler ét venir dans ma
bouche, jusqu'à ce qu'il dechargeât. Je suçai son foutre avec
delices... "Bon! (s'écria le Poilu); Elle est dans les bons
principes; Elle est impayable"! Le Basané Me deshabillait, Me
dechaussait: Mon Père ét Guae Luy aîdaient. Je fus mise nue,
patinée, baisée du haut-en-bas, tandis que je Me rinçais la
bouche: On Me passa la grande chemise; l'Homme-à-queûe velu ét
tout-nu, y entra, Me suça les Tetons, Me fit Luy darder la
Langue, puis dit à mon Futur de Luy intromettre le vit dans
mon Con.

"Le Basané Me foutit six nouveaux coups, sans deconner. Je Me
sentis fatiguée: Je voulus laver. Je restai une heure sur le
bidet le Con dans l'eau. Le Basané qui, pendant tout ce emps-là
s'était amusé à faire bander Guae, ét à Luy faire Me
decharger trois fois dans la bouche, M'appela, en Me disant:
"Tu es asséz rafraîchie; reviéns sur le foutoir, que je te
donne le bouquet"? Il se le fit introduire par mon Père; qui
Me dit: "Courage, mon Enfant! Voicy un Fouteur qui en vaut
dix: Mais je tâcherai de Te faire soulager, si cela continue".
Je fus encore foutue six fois; mais avec tant de véhémence,
que je n'en pouvais plus. Sur ma plainte, le Basané dit, que
le bouquet etait te double des autres assauts. "Hé! combién
donc l'aléz-vous foutre de coups? (Luy demanda mon Père).
"Vingtquatre est ma dose. "C'êt trop, ét Elle ne ferait pas
d'Enfans: Elle a une Cadete, aussi jolie que l'Aînée est
belle; je vous La donnerai, pour soulager sa Soeur? "Je
l'accepte! (s'écria Fysitère): Et il m'en faudra bién
d'Autres! car je ne les fout plus, dês qu'Elles sont plèínes,
ni pendant qu'Elles alaitent leurs petits. La jeune Garse
est-elle là? (Or il Me foutait toujours).. "Non: Vous ne pouvéz
l'avoir que demain-soir. "En ce cas, j'achève de foutre Celle-ci
mes 24 coups: Je déconne; qu'elle lave; Elle n'en a plus
que cinq. Si son Futur se trouve en état, qu'il luy donne à
teter du foutre cela la fortifiera"? Aussitôt Guae M'apporta
ses couilles à chatouiller, ét son Vit à branler. Je M'en
aquittai si bién, qu'il hennit aubout de quelques minutes, ét
qu'à-peine eüs-je embouché son Vit, qu'Il dechargea, en
sacrant. "Elle a toutes les qualités... Elle est parfaite!
(s'écriait le Poilu, en Me re-enconnant): Si sa petite Soeur la
vaut, ce sont deux connins impayables"! Il acheva de Me foutre
cinq foîs, sans deconner. Je puis Me rendre le temoignage, que
je dechargeai, à chaque assaut, plütôt deux ét trois-fois
qu'une: Aussi Fysitère en était-il émerveillé! ét Me nommait-il
la seule Fouteuse digne de luy. Mon Père Luy dit alors: "Cé
ne sera pas encore asséz de ma Cadete: Mais j'ai votre
affaire: Il Me reste une Nièce Religieuse, qui a des vapeurs
hysteriques; je vous La donnerai, pour reposer mes Filles? "Je
leur ferai à Toutes-trois 12 mille francs de rentes (repondit
le Basané). Amenéz-les moi chaque soir, demain excepté, que
j'ai à fourgonner une grande Blonde, qui a ouì parler de moy,
ét qui veut en tâter. Il s'en-ala.

"Cette scêne changea tous nos projets. Je dormis jusqu'à midy,
qu'On M'habilla. Je fus mariée à une heure. La noce fut gaye.
Ma Soeur y était, ainsi que ma Cousine la Carmelite hysterique,
mon Père ayant trouvé le secret de l'avoir, au moyén d'une
permission de prendre les Eaux, qu'Il sollicitait depuis
long-temps. J'eüs reellement pitié du Connichon de ma Soeur
Doucette, ét je resolus de le voir dans la journée. Mon Père
Me le montra, ét le gamahucha devant Moy, en allegant le motif
de prévenir une maladie. Hâ! qu'il étaît mignon!... Je
l'aurais gamahuché, à mon tour. sans ma coîfure d'Epousée, car
son joly petit Foutre virginal Me tentait... Notre Père La
prévint qu'il falait qu'Elle Me soulageât la nuit de mes
noces, ét l'aimable Enfant y consentit avec naïveté. Je vis
aussi le Con de ma Cousine la Carmelite, ou la belle Victoire-Londò.
Il n'était pas si mignon, mais il avait une superbe
perruque noire. Elle entra en fureur érotique dês qu'On le Luy
eüt touché du bout du doigt, ét mon pauvre Père fut obligé de
le Luy mettre devant ma Soeur, ét devant Moy. Ce qui ne La
calma que pour un instant. Nous appelames mon Oncle, qui La
foutit trois fois. Puis le Jeunehomme fut introduit. Ensuite
le Procureur. Tous ceux qui devaient Me le mettre ce jour-là.
Les Enculeurs vinrent aprês. Elle fut foutue, refoutue,
enculée, re-enculée, ét calmée. Mais On n'appela pas M. Guae;
j'en étais jalouse... Pendant ce temps-là, mon Père branlait
ma Soeur; l'enculage de la Religieuse Le fit entrer dans une
telle érection, qu'il La poussa dans un cabinet, où je Les
suìvis, La renversa, et La depucela. J'insérai le vit paternel
dans le joly Connin, en disant à Doucète, que c'était une
ponction necessaire.

"On lavait la Religieuse. M'étant aperçue que Guae la
convoitait, je Luy temoignai une jalousie qui le flata. Il Me
promit de reserver son foutre azuré, ét son gros Vit pour ma
bouche, en attendant que les Enfans M'eüssent élargi le Con.
"Mais vous m'aviéz vendue )Luy dis-je), avant de m'avoir
livrée à l'Homme velu, pour être foutue ét enculée ma nuit des
noces: Combién de Fouteurs ét d'Enculeurs devais-je avoir?
"Six, à 2 mille écus chaqu'un. "Vous voyéz que je n'ai besoin
que de repos: Mais il ne faut pas manquer une aussi jolie
somme: Vous avéz demandé le silence ét l'obscurité? "Ouy, ma
Reyne adorée: Je ne me suis engagé qu'à te faire voir toute-nue
sans chemise, comme en jouant avec Toy, nu aussi, dans la
chambre. Au-reste, le silence ét l'obscurité sant essenciels,
puisqu'ils eüssent passé pour Moy. Les six Bougres placés
chaqu'un dans une chambre separée, devaient répàître leurs
regards de tes charmes, ét t'esperer chaqu'un comme possesseur
unique, à un signal donné. "Tout-cela se fera. Je serai
remplacée par 3 Persones. Nous donnerons le plüs delicat ét le
plüs petit vit à ma Soeur: Le plüs vigoureux ét le plüs brutal
à la Carmelite: Je vaîs vous avoir ma Marchande, qui ne
demandera pas mieux que d'être foutue, sans être compromise.
Vous arrangeréz tout, pour qu'elles reçóivent chaqu'une deux
Hommes; ce qui sera d'autant plüs facile, que vous n'auréz que
les Hommes à tromper: ce qui sera facile". Guae admira mon
entente ét mon économie! Il Me promit une soumission entière à
mes ordres, ét Me demanda la permission d'appeler ma Soeur, ou
la Religieuse, pour Le branler. Je Les appelai Toutes-deux. Je
dis à la Carmelite, en Luy decouvrant les Tetons, de prendre
le Vit ét les couilles de mon Mary. Je mis ensuite ma Soeur en
position, troussée jusqu'audessus des reins, ét comme Elle
avait le plüs joly cùl du monde, Elle montra le derrière. Je
Me mis à côté d'Elle, troussé de-méme, je montrai le devant.
Guae chatouillé par une main douce, ét jouissant d'une triple
perspective aussi belle, en y comprenant la superbe gorge de
la Religieuse, ne tarda pas à hennir de plaisir. Biéntôt il
entra en fureur, ét il alait enconner la Religieuse, si je ne
Luy avais sauté sur le Vit, que j'embouchai. Il Me dechargea
dans le gosiér, en rugissant. Nous sortimes Tous-quatre, pour
aler danser, ét ma Soeur, ma Cousine ét Moy nous fumes reçues
avec transport.

"Mes 6 Fouteurs pour la nuit suivante, étaient de la noce:
Guae qui se fût bién gardé de Me Les montrer, si j'avais dû
Les avoir, s'en fit une fête, quand ce furent d'Autres qu'On
Leur alait livrer. Il Me Les designa. C'étaient 6 Monstres de
laìdeur. Guae trouva le moyén de Les faire mettre nue
successivement dans une Pièce isolée, sous le prétexte de Les
froter d'un baume fortifiant. Le Premiér était un squelete
decharné, ayant le vit comme mon Père. Il avait un long néz
qui touchalt à son menton, les joues creuses, l'oeil vif, des
verrues noires sur le corps. Je te reservai pour ma Soeur,
à-cause de son vit, n'esperant pas mieux. Il se nommait Widewit.

"Le Second était un gros petit Homme, três-ventru, ayant le
vit de mon Oncle, la peau comme une Ecrevice cuite, pour néz
une grosse bèterave, de gros sourcils gris, une bouche évasée,
ét les lèvres hâlées, gersées des gros Mangeurs. Ce fut le
second de Doucette, si je ne trouvais pas mieux. On l'appelait
en russe Wiwitencoff de-la-Cowilardière.

"Le Troisième était fait come un Héron ét un Dromadaire: Il
était juché sur de longues jambes sans mollets; il portait sur
ses épaules une colline en cône aigü; son visage était noir ét
sec; ses cuisses grêles n'étaient distinguées de ses jambes
que par d'énorme genoux: Tout ce qui manquait à ces parties se
retrouvait dans son Vit, plüs gros que celui de notre
Homme-à-queûe, ét moins que le double Wit de Gwae. Je destinai
Towtenwit à ma Marchande, qui était chaude, large ét sterile.

"Le Quatrième etait un gros Marchand de bléd, aussi large que
haut, tout noir, tout bourgeanné, ayant quelques livres de
cowilles, ét un vit trèslong, gros comme celui de mon Oncle.
Je destinai Witplongeardow à ma Cousine, à-cause de ses
couilles.

"Le Cinquième avait le visage de la teinte d'un ventre de
Crapaud, la tête monstrueuse, le ventre de Desessarts, le vit
come Gwae (il devait m'enculer, de convention faite): Son
regard était affreux, sa bouche degoûtante, ét son néz encore
plûs: Witcrwel fut voué au large Con de ma Marchande.

"Le sixième ét derniér était grand, voûté, noir, bancroche,
roux, chassieux; il avait un wit à bourelet, tant il était
long; aussi en avait-il apporté un, qu'il devait écarter, pour
m'enculer. Perceawant fut le second de mon ardente Cousine.

"Le soir arrivé, l'On Me mit au Lit, ét chaqu'un des six
Monstres crut qu'il alait avoir le plaisir d'être mon
bourreau. Guae Me conduisit dans la chambre nuptiale, ét parut
Me mettre au Lit: Mais il nous disrribua dans quatre Pieces,
ét les lumières furent exactement retirées. Quant à Moy,
j'étàis restée debout, fesaut à chaqu'une des Lieutenantes de
mon Con, le portrait ét l'éloge du beau Jeunehomme qu'elles
alaient presser dans leurs bras. Je me croyais obligée en
conscience de Leur donner des plaìsirs imaginaires, à defaut
de la realité. "Ma Toute-belle! (dis-je à ma Soeur), avec quel
plaisir tu me sacrifierais ton repos, si tu voyais le
jeunehomme charmant, qui doit froisser. tes appas? C'est un
Sylphe; c'est un Amour"..... J'alai ensuite à la Religieuse:
"Tu vas sentir le difference de la couchète de ta cellule, au
lit d'un Nouvelle-mariée, ma chaude Cousine: Un Bel-homme, un
gros vit... Crie, mais ne parle pas, puisque tu vas passer
pour Moy"... Je me rendis ensuite auprês de ma Marchande;
"Vous aléz être rassasiée de ce que vous aiméz tant, mon
aimable Maitresse: Un Jeunehomme superbe, ét... peutètre deux,
qui me desirent avèc emportement, vont me le mettre dans votre
Con brûlant, jusqu'à-extinction de forces. Les Vits sont gros!
ainsi faites-vous pomader comme une Pucelle, ét remuéz du cùl,
pour avaler plüs vîte ces énormes morceaux"... Ma Marchande me
remercia, en me priant de La mettre promptement aux prises. Je
courus Luy chercher Toutenwit, le Troisiême... Mais je vais
mettre de l'ordre dans mes recits.

"Guae m'attendait. Dês que je parus, il me fit parler, ét
conduisit par la main Wìdewit, le premiér Monstre, auprês de
ma Soeur. "Mon chër Mary (dis-je doucement, la tête appuyée sur
l'oreiller de Celle-cy), menagéz-moy? "Oui, oui; mais ne parle
pas: j'ai decouvert que toute la Noce nous écoutait, à-cause
de mon gros Vit"..... Durant ce court Dialogue, Witdewit,
deshabillé d'avance, fourageait deja ma Soeur. Guae par mes
ordres, prit ensuite Witplongeardow le Quatriême, ét Le
conduisit, avec les mêmes précautions, auprês de la
Religieuse: Je parlai sur son oreillér... Towtenwit le
Troisiême, fut le lot de ma Marchande. Les 3 Autres avaient
rendéz-vous quelques heures plütard.. Il faut à-présent donner
chaque scêne particulière, en 6 Tableaux de la NUIT DE LA
MARIEE




XXXVII Chapitre.

Chap. Des six Fouteurs pour troìs Foutues.


"Hâpée par le Monstre, Qu'elle croyait un Ange, ma timide Soeur
soupirait. J'entendais qu'On la gamahuchait, qu'elle
dechargeait. "Je me meurs! (murmura-t-elle). "Comme tu as la
voix douce, belle Mariée! (luy dit Widewit bién bas). Et
aussitôt il grimpa sur elle, ét l'enconna. La pauvre Petite,
quoique depucelée, fit un cri! Je parlai pour la deguiser. Le
vieux Monstre la menageait ét la caressait. Elle le secondait
de tout son pouvoir, ét redechargea. Grâces à moi, elle avait
lé même plaisir que si elle eût foutu avec Un beau Garson....
La voyant bién enfilée, j'alai à la Religieuse.

"Witplongeardow s'était avisé de ne pas mettre son bourrelet:
je m'en doutai aux gemissemens de la pauvre Martyre. Je le dis
à Guae, qui le desarçonna, ét luy donva quelquec soufflets.
J'entendis qu'il luy disait bién bas: "Bougre! vas-tu
m'estropier ma Femme? Ton bovrrelet"? Le Fouteur le prit, ét
la Foutue n'eüt plus que du plaisir.

"Je courus à ma Marchande, que Toutenwit ne pouvait enconner
par maladresse. Je mis la tête sur l'oreillér, ét je dis en
soupirant: "Priéz donc mon Père de vous l'introduire"?...
Guae, qui me suivait doucement, vint faire l'intromission, ét
tout ala bién.


"Chaqu'une des 3 Belles fut foutue deux-fois en con. Ensuite,
comme de-concert, les 3 Bougres retournérent la medaille.
Toutes-trois avaient leur pucelage de cùl. Ma Marchande crut
qu'On alait le luy mettre en levrette; mais les deux Autres ne
s'attendaient à rién. On leur perça le cùl à toutes-trois au
même instant, ét elles s'écrièrent, malgré la defense,
toutes-à-la-fois: DOUC. Hô le fondement! LA RELIG. Hô l'anus! LA
MARCH. Hô le tròu du cùl!... On n'y fit pas attention.
Heureusement ma Soeur avait le cùl large; elle souffrit moins.
Quant à la Religieuse, que Witplongeardow enculait sans
bourrelet, elle avait une aune de vit dans ses entrailles, ét
elle sentait celui de son Enculeur luy chatouiller le nombril.
Elle souffrait beaucoup de son farfouillage; car il retirait
ét reenfonçait brutalement. Elle n'éüt de plaisir qu'à la
decharge, par la douce chaleur du foutre, qui luy onctua le
gros boyau. Ma Marchande était la plüs maltraitée par
Towtenwit. Elle avait le trou-du-cùl aussi étroit, qu'elle
avait le Con large: le Vit enorme la pourfendait. Elle jurait
entre ses dents. Enfin la decharge l'abreuva, et elle fut
soulagée.

"Les 3 Vieillards en avaient autant qu'il leur en falait. Guae
vint les faire retirer, de-sorte qu'ils ne se rencontrassent
pas... On étuva les 3 cons ét les 3 cùls: On fit les lîts, On
changea les draps, recoucha la triple Mariée, ét Guae
introduisit les trois nouveaux Acteurs.

"Il ala chercher Wiwitencoff, que je mis dans les bras ét sur
le ventre de ma Soeur. Un peu agguerrie, elle caresse
tendrement le Monstre, qui l'enconna, le vit introduit par
Guae, qui profita de l'occasion, pour patiner ma Soeur, ét la
chatouiller. Ce qui fit tellement tressaillir la pauvre
Petite, que son Fouteur s'ecria, croyant parler à moi: "Hâ!
que tu es putain"!... Voyant Guae acharné sur ma Soeur,
j'întroduisais les deux Autres. Je donnais Perceawant à la
Religieuse, ét j'eüs soin qu'il eût son bourrelet. "Voilà une
main bién douce qui me touche", dit-il en voulant saisir la
miénne); mais j'échappai. "Remue du cùl, Bougresse, (disait-il
à sa Monture); je te tiéns, je suis dans ton con; ainsi tu ne
saurais m'échaper. Je ne suis pas ton Mary; j'ai payé pour
coucher avec toy, ét te depuceler; ainsi tu es ma Putain.
Fous, Garse, ét remue du cul; j'ai payé pour ça".... Guae
l'entendit. Il vint à luy, le saisit à l'étouffer. "Tu manques
à nos conventions! (luy dìt-il); je ne les tiéndrai pas non-plûs:
fous-moy le camp, Malhonnête-homme! "Ouy; mais quand je
l'aurai enculée". Et il encula la Carmelite, malgré les coups
de poing dont Guae le gourmait. La Religieuse, poussait dés
cris horribles... J'étais aupres de ma Marchande, que
j'accouplais avec le gros Witerwel. Il ne devait qu'enculer:
mais la chaude Coquine se dirigea elle-même le vit dans le
con. "Tu n'es donc pas pucelle, Garse, crut-il me dire, que tu
connais si bién la route des vits?... Alons, fous, Putain, ét
comme il faut! j'ay payé ton Maquereau de Mary"! Comme elle
ripostait bién, il alait disant: "Hô! elle est putain! elle
est putain! j'ay le reste des autres"! Et tout en dechargeant,
il la pinça, la souffleta. Elle se recria! "En bouche, sacree
Putain? (dit-il en deconnant); ét tu avaleras mon foutre; sans
quoy je t'assomme"! Guae, qui venait de laisser enculer la
Carmelite, ét de chasser son brutal Fouteur, entendit le
grabuge; il accourut, apostropha le sale Bougre d'un violent
coup de poing, en luy disant: "Lave-toy donc au-moins, sacré
Mâtin, avant de l'emboucher! Je ne l'embouche jamais que je ne
me sois lavé le vit à l'eau-rose, ét que je ne l'aye ensuite
trempé dans du lait. Execrable Bougre! vray Desades, tu veux
luy faire soulever le coeur?... Mais tu as manqué aux
conditions; tu ne merites plus de l'avoir. "Voila cent
louys... "Ils seront pour elle. Lave-toy... Voilà de
l'eau-rose... Voicy du lait..... Alons, souffre, m'Amie: Voilà tes
cent louys". Le vieux Reître, cru Un beau Jeunehomme,
emhoucha, encula, entetonna tant qu'il voulut. "Hâ que tu es
putain, sacrée Chiénne"! (repetait-il).... Guae se mourait
d'envie de luy montrer qu'il ne m'avait pas eüe. En le mettant
à ta porte, il me fit trouver sur son passage toute-habillée.
Ce fut comme une vision; car je m'enfuis. "Hâ je suis fait!
(s'ecria le Monstre): le Scelerat m'a donné une Putain, aulieu
de sa Femme"!... Et il jura, sacra.... Quant à moy, pendant
ces scènes, j'assistais à la fouterie de ma jeune Soeur. La
pauvre Petite fut enconnée, embouchée, enculée comme les
Autres, par son Adorè Witwitencoff de-la-Cowillardière, qui
ala jusqu'à extinction de forces. Il m'adorait. Ce qui le tua,
c'est que, lorsqu'i se sentait épuisé, il se fesait sucer le
vit bien approprié à l'eau-chaude, et baiser les couilles par
sa jolie Monture. Il luy mettait encore couilles èt vit sur le
cùl ou les tetons: Puis il se fesait donner au gland un suçon.
Il bandait alors, ét enculait. Au derniér culetage, il eüt un
priapisme, et crut ne faire que bander. Il fourgonna dans le
cùl de ma Soeur jusqu'à ce qu'il s'évanouît. J'appelai Guae,
qui la decula, en enlevant son Enculeur. On le porta évanoni
dans sa voiture. Arrivé chéz Luy, des cordiaux, que demanda
Guae, ranimèrent le vieuu Libertin: "Hâ! (s'écria-t-il), je
vis encore! je voulais mourir dans son cùl!.... je bande
encore... Qu'On me La rende... que je L'enfile... ét.. que...
j'expire.".... Et il expira......

["Hâ! la belle mort! (s'écria Traìtdamour ét toute la
Compagnie en dit autant)... Mad. Guae acheva.

"Voilà comme s'est passée la nuit de mon mariage. Gnae, à son
retour, était furieux de Luxure: Il voulait toutes nous
enculer, puis nous emboucher. On s'arrangea: Il m'emboucha;
encula ma Soeur ét ma Cousine, enconna ma Marchande, qui en fut
estropiée pour un mois, ét L'engrossa, deux choses qui
L'empêchèrent d'être achetée par Fysitére. Pour Guae, je suis
sa Maîtresse, ét son gros Vit me fortifie par son foutre qui
me nourrit. Je serai enconnée par Luy, de convention faite
avec Fysitère, apres mon douzième Enfant.




XXXVIII Chapitre.

Chap. De la Conclusion de l'Histoire des 3 Garses.


"Persone ne sait comment l'Homme-caud decouvrit que Guae avait
vendu la première nuit de ses noces. Il arriva furieux. Il me
demanda. J'étais au Lit. Ce fut la reponse de Guae. "Je le
crois! (repondit Fysitère), ét Un Homme est mort d'épuisement
dans ses bras. "Elle a vaqué toute la nuit: mais c'est pour
autre chose: Sa Cousine la Religieuse ayant été un-peu
courtisée dans le jour, ses vapeurs hysteriques l'ont reprise
la nuit, par un rêve, où elle croyait être foutue. J'ai été
appelé. N'ayant pu l'enconner, je l'ai enculée. "Je me fous de
son cùl: Mais si Tu l'avait enconnée. "Quant à ma Femme. elle
dort; ét vous pouvéz voir à la fraîcheur de son con ét de son
cùl, que je ne luy ai pas touché. "Voyons dabord la Carmelite?
"Elle dort aussi". Ils y alèrent. Guae la decouvrit, sans
l'éveiller. Elle etait couchée sur le côté, ne pouvant se
tenir sur le dos, à-cause de son cùl, qui luy fesait mal. Elle
l'avait en marmelade. "Comme Tu les accomodes!... Et le
con?.... Il n'êst pas si maltraité... "Je l'ai un-peu fatiguée
par mes inutiles efforts; ét-puis elle s'êst branlée. "Voyons
la Mariée"?... Ils vinrent à Moy. On sait que je me repucelais
par le bain, ét un-peu de repos. Mon con ét mon cùl furent
trouvés si appêtissans, si jolis, que Fysitère les baisa
tous-deux. Puis Il signifia au cupide Guae qu'il avait un logement
cloîtré, pour nous sequestrer, pendant tout le temps que nous
Luy ferions des Enfans, Moy, ma Soeur, ét ma Cousine. Il ne vit
Doucette qu'habillée! ét elle l'enchanta. Il nous emmena
toutes-trois, en disant, que jusqu'à notre grossesse bién
declarée, On ne nous verrait qu'à un parloir.

"Fysitère êst extrêmement riche. Il donne 20-mille francs par
an à Guae pour Moy, 40-mille à mon Père pour ma Soeur ét ma
Cousine. Le soir, aprês un excellent soupér, il nous fit
coucher Toutes-trois ensemble dans un large Lit, où il se mit
avec nous. Il me foutit dabord. Puis ma Soeur. Ensuite la
Carmelite, qui le fut deux-fois sans deconner. Il me reprìt.
Puis ma Soeur. Bref, nous fumes ainsi foutues 8-fois chaqu'une
dans la nuit. Ce qui fesait les 24 de Fysitère. Quand il en
foutait Une, les deux Autres luy chatouillaient, Une la queûe
du cùl, la Seconde les couilles.

"Nous devinmes grosses Toutes-trois à-la-fois. Alors il nous
declara, qu'il ne nous le mettrait plus qu'aprês nos coûches
ét l'alaitement. Il vint icy. Il vous vit, Madame; il vous
foutit. Il épousa votre Fille-Aînée, enconna les 5 Autres,
fourbit vos deux Nièces, ramona la Bâtarde de votre Mary,
viola vos 2 Chambrières, êt vous engrossa Toutes. Durant ce
temps-là, nous accouchâmes, nous alaitâmes, nous nous
trouvâmes libres, ét il nous refout. Tâchéz d'être libres
aussi, quand nous serons prises afin qu'Il nous refoute
alternativement.

"Telle èst notre Histoire: voìlà ce que nous savons sur
l'Homme à-queûe. J'ajoûterai seulement, que dans le temps où
M. Fysitère ne nous l'a plus mis, nous àyant des desirs, nous
avons eü recours à mon Père, à mon Oncle, à Guae, au
Procureur, ét à mon premiér Galant, qui nous ont fourbies,
Guae en bouche, les Autres en con. Cependant nous avons Toutes
voulu avoir Guae, à la première douleur pour l'accouchement;
son Vit, gros comme l'Enfant, frayait le passage, ét son
foutre l'onctuaìt.

"Après nos coûches, nous avons prié mon Père de nous choisir
de jolis petits Garsons non pubères, mais bandans roide, pour
nous ramoner le con: ces Enfans, dont les petits víts huilés
entraient calotés, ne dechargeaient pas, ét cependant
farfouillaient agreablement dans le connôt".

Les 12 BELLES furent très-excitées par ce Recit, ét QUELQUES-UNES
alèrent surlechamp ét successivement se faire ramoner par
Fysitère, qui fut trés-étonné de cette boutade! Il se servit
de ses 2 Queûes, en expediant ainsi 2 à-la-fois, Une dessous,
Une dessus.

Cette bourasque appaisée, Fysitère revint à ses Us ét
coutûmes. Mais biéntôt ses 3 Coucheuses parurent enceintes. Il
les pria, ainsi que Mad. Linars, de luy en procurer 3 ou 4
Autres, pour luy faire des Enfans, en attendant leur liberté?
Mad. Guae seule en procura 3, Une Tetonnette, son Amie d'étant
fille, ét deux Soeurs, Biénouverte, grande blonde, avec
Dardenbauche, aimable ét vive brunette, três-caressante,
dechargeant comme quatre. Tetonnette était Une de ces Brunes à
peau blanche, qui ont toujours Une si belle gorge. Fysitère
assura les 12-cents fr. de rentes à ces 3 Filles, se chargea
de leur ample entretién durant tout le temps de leur
fecondité, les fit coucher au grand Lit, ét les depucela 8
fois chaqu'une la première nuit. Il commença pàr Dardenbouche,
là plüs jeune. Elle étàit si amoureuse, bién-que pucelle,
qu'elle ripostà, dès le premiér coup de vit. Elle soutint les
8 Assauts de-suite avec Un couràge héroïque... Fysitère prit
ensuite Biénouverte. Elle fut plüs modérée. Elle crià,
quoique-peu étroite; pàrceque ne dechàrgeànt pàs dàbord, Elle
ne s'humectait que fàiblement le Conin. Elle étàit pucelle
neanmoins. Malgré sà langueur, elle fut foutue 8 fois, comme
Dardenbòuche; Fysitère auràit eü peur d'en mortifier Une... Il
prit ensuite la belle Tetonnette. Il l'enfilà plüs
difficilement que Biénouverte: màis elle remuà si
delicieusement du cùl, ses tetons étàient si appêtissans, Elle
avàit le connin si étrait, qu'Elle donnà autant de plàisir que
Dardenbouche....

Aprês les 24 Assauts, Fisitère làissà dormir. Le lendemain-màtin,
3 Valets-de-chàmbre entrèrent, pour lui demànder ses
ordres? Il s'éveillà; màis il feignit de dormir, là bouche sur
là gorge de Tetonnette, ét une màin sur les Tetons de
chàqu'une des 2 Autres. "Voilà Un Bougre biénheureux! (dit Un
des Vàlets). "Oui"! (repondit Un-Autre). Et ils se mirent
Tous-trois à se brànler. Alors FYSITERE feignànt de
s'éveiller, leur dit: "Je vous ai entendus, Jean-foutres: Vous
ne les enconneréz pàs; je veux qu'elles ne soient grosses que
de Moy: màis tournez-les sur le ventre, et m'en enculéz Une
chaqu'un". Il n'avàit pàs achevé, que les 3 Belles poussèrent
un cri simultàné, causé pàr les 3 vits, qui leur entràient
dàns le cùl. FYSITERE les exhorta à là pàtience, pàr l'idée
d'une bonne oeUVRE; il les assurà que ces 2 Hommes alàient
dechàrger pàr tèrre. Elles se rendirent à cette Ràison, ét
cùletèrent à Quî mieux mieux.


Explicit L'HOMME-A-QUEUE.


A cette longue Histoire, Tous & Toutes se recrièrent: -- Nous
ne sommes que de la Saint- Jean, auprês de ces Fouteurs & de
ces Fouteuses-là! Que ne sommes-nous à demain-! -- N'aléz pas
vous branler, Bougres! (leur dis-je). -- Nous nous en garderons
bién! notre foutre n'est pas à nous; il est à nos Belles. Qui
était étonné de nous entendre parler ainsi devant ma Fille,
c'étaient Brideconnin & sa Femme... Mais ils en verront bién
d'autres.


SUJETS DES ESTAMPES.


I. Cupidonet, & Jenovefette.

L'Adolescente à quatre, troussée, ét le jeune Cupidonnet
à-genoux, la couvrant cynîquement, tâchant de l'enfiler. Elle se
cambre les reins, pour être atteinte: "Hausse, hausse le cul".
p. 5

II. Cupidonnet, & le Con soyeux.

Cupidonnet sur Madelène, âgee de díx-sept ans, dont il lèche
le con poilu: Elle est sur le dos, les jambes ecartees, et se
prête en poussant sur la bouche de son jeune Frère, qui la
gamahuche. "Darde ta langue dedans, chër petit Ami". p. 9

III. La Mère foutue.

Cupidonnet enconnnant une Femme de quarante ans, au lit, les
draps à-terre: Il enconne pour la prémière-fois, et parait se
pâmer. La Femme: "Jamàis... jamais... vous ne m'avez donné
tant de pláisir". p. 12

IV. Cupidonnet, & la belle Marie.

Cupidonnet evanoui, le vit en l'air après avoir decharge dans
le con de sa Soeur la belle, mariée à Paris, & parée, un-jour
de Vierge, Marie detetonnée, & con & cul visibles. Elle dit:
"Hâ.. Grand-Dieu.. c'est Cupidonnet." p. 16

V. Cupidonnnet, & l'Orlogère.

Cupidonnet au lit, sans couvertures ni draps, foutant la belle
O logère, à laquelle son Mari, couché de l'autre côte d'elle,
dit: "Courage, ma Femme.. hausse le cul". p. 20

VI. Cupidonnet, avec sa Femme le cul decouvert. 20

Il est appele par sa Femme debout, mais courbée sur un lit,
troussee audessus des reins, & montrant le plùs beau cul: Il
court à elle, le vit bandant. "Si j'ai la verole (pense-t-elle),
fous-moi en cul".

VII. Cupidonnet, & Conquette.

Cupidonnet gamahuchant Conquette la nuit, sa lampe sur un
garde-sel: Elle est à-découvert, & se tremousse toute
endormie, quand elle sent la langue entre les lèvres de son
conin à poil naissant. "Hâ.. hâ.. hâ.. ça m'chatouille". p. 25

VIII. Conquette, et Cupidonnet.

Conquette qui vient d'être gamahuchée, & que Cupidonnet le vit
bandant, tâche d'enconner. p. 30 "Hâ! ce joli gamahuchage,
tant que vous voudriez".

IX. Cupidonnet, et Victoire.

Cupidonnet tenant Victoire troussée jusqu'aux dessus du genou,
& se fesant empoigner le vit, qu'elle ne voit pas: "Mignone..
serre moi le doigt, fort... fort". p. 32

X. Conquette, Culant, Vitnegre.

Conqette assise devant le feu, entre Vitnègre & Culant
deculotés, bandans; Elle troussée: p. 36 "Alons, Bougresse.
branle-nous Tous-deux".

XI. Cupidonnet, Conqette, Vitnègre, le Moine.

Cupidonnet dans un cabinet obscur, voyant Vitnègre le vit à
l'air, montrant à nu les appas de sa Femme: Un Moine debout
dans le cabinet, vu par le Père de Conquette, caché derrière
un Sofa, & qui n'est pas vu. Le Moine tenant en main son vit
monstrueux, regarde la scène: "Troussee, Putain, audessus des
reins". p. 39

XII. Cupidonnet, et Conquette en levrette.

Conquette le ventre appuyé sur le piéd d'un lit: Cupidonnet
l'a troussée audessus des reins; elle cambre la tâille, & il
l'enfile en levrette. "Remue du Croupion... mon Ange". p. 44

XIII. Conquette, Vitnègre, un Payeur.

Vitnègre debout à-côté du lit, caché par un rideau, tandis
qu'Un-autre le remplace sur sa Femme. Le Mari dit à Celle-ci:
"Decharges-tu"? p. 48

XIV. Cupidonet, Conquette, Vitnègre, le Jeunehomme.

Cupidonnet caché: Vitnègre une lumière en mains trouvant le
Jeunehomme sur sa Femme troussée: "He-bien, est-elle
enconnée". (dit-il). p. 53

XV. Le Fouteur à la Justine.

Le Moine Foutàmort, ayant mis Conillette nue, expirée &
dechirée sur une table, lui cerne les Tetons avec un bistouri,
&c: "Decharnons-la." p. 56

XVI. Cupidonnet, Conqette, Timorí.

Cupidonet caché dans le sofa, avançant la tête, pendant que
Conquette gamahauchee par Timori, lève les jambes en l'air, &
fait claquer ses talons: "Hâ.. Timori.. ta langue vaut un
vit". p. 62

XVII. Conquette enculée.

Cupidonet sous un Sofa: Timorì enculant Conquettte, courbée,
dont le cul est bien perfore: L'Enculeur s'ecrie: "Quel cul?
quel plaisir des Dieux". p. 63

XVIII. Conquette s'enconnant du Vit paternel. 67

Cupidonnet au lit avec Conquette, deux flambeaux sur la
Table-de-nuit: Il est sur le côté, le vit bién bandant: Il dit à sa
Fille nue, cherchant à s'enfiler: "Appuie lentement, ma
Reine".

XIX. Montencon, Cupidonnet, Hochepine, Vitsuçete.

Montencon embouchant Adelaide Hochepine en presence de
Cupidonnet & et de Vit suçète. "J'embouche la jolie Garse". p.
70

XX. Cupidonnet, Conquette, Montencou.

Cupidonnet sortant du con de Conquette: Montencon le vit en
main, alant se mettre sur elle dont le con & les cuisses sont
bien à-decouvert. "A toi, Bougre". p. 7

XXI. Les Moines verolés.

Tous les lits sont couverts de robes monacales: Vitnègre assis
auprès du lit de Foutàmort, qui lui montre un tableau,
représentant une Femme à laquelle il viént de ne faire qu'un
trou du cul & de la mote, & dont il cerne les Tetons: "Je me
suis fait accommoder son con". p. 81

XXII. Le Sommeil enconné.

Cupidonnet encormi, le vit dans le con de Conquette, qui dort
également encounée. En commençant à s'éveiller, elle dit: "Hâ!
Mon dieu! c'est mon Papa, qui me..." p. 83

XXIII. Cupidonet, Conquette.

Cupidonet devant Conquette assise, en court jupon, les tetons
decouverts: Il vient de se mettre le vit à l'air: Elle joue
avec sa mule mignone, qu'elle fait badiner avec le bout de son
piéd: "Je veux te griller". p. 88

XXIV. Conquette, Cupidonnet, Centlouis.

Centlouis prenant les tetons & le con de Conquette, en
présence de Cupidonet, auquel il dit de serrer les cinquante
louis. p. 91 "Ce con satiné, ces tetons touchés les valent".

XXV. Conquet:, Cupidonnet, Traitdamour. p. 95

Conquette renversée, troussée audessus du nombril, & à
laquelle Cupidonnet présente Traìtamour, qui tient à la main &
montre son gros & superbe vit. Conquette avançant sa main,
pour prendre le vit: "C'est donc toi qui m'as fait tant de
mal... & de plaisir"...

XXVI. Cupidonnet, Conquette, Traitdamour, Minone, Connète.

Cupidonnet foutant Conquette, qui lui darde sa langue:
Traitdamour tenant les tetons de sa Soeur, qui lèche le trou du
cul du Fouteur; tandis que Connète le suce dans la raie du
dos: "Quels delices!... Je suis rendu"... p. 100

XXVII. Minone, Connette, Cordàhoyau, Brisemotte (1 grouppe).
108

Connète chatouille les couilles de Cupidonet debout, tandis
que Cordàboyau enconne Minone, que Brisemotte encule couchée
sur le côté. "C'est une Fouterie de Princesse...".

XXVIII. Cupidonnet, Conquette, Traitamour. 110 (2 grouppe):

Conquette sur Traitdamour, qui la tient enculéé sur lui!:
Cupidonnet dans le con de la Belle, ainsi limée entre deux
feux: "Piquez... des deux: la Garse est enculée"....

XXIX. La Danse Negre. 114

Cupidonnet habillé, mais le vit à l'air, regardant la danse,
dans laquelle il pousse Conquette nue par les fesses.
Traitdamour danse avec Rosemauve, une nouvelle Actrice;
Cordaboyau avec Connette; Brisemote avec Minone; Tous six nus
de la tête aux piéds: Ils figurent les mouvemens voluptueux;
un Couple paraît prêt d'enconner; Un-autre d'enculer; le
Troisième, en se contournant, met les Tetons sous la bouche,
le vit sous la main, & montre le con qui l'appète. "Alons! Du
mouvement, Garses"?

XXX. La Piochée, & ses Piocheurs. 117

La Piochée sur le Foutoir; Piocheur-père enculant Piocheur-fils;
Piochencul les excitant, & se fesant bander, à l'aîde de
la main & des Tetons de la Jeunefille. "Bougre... encule ton
petit Garson".

XXXI. Piochette. 119

Le vieux Piochencul patinant les Tetins de Piochette, âgée de
14 ans, & fille du Frère & de la Soeur, pendant que ces 2
Individus sont enconés, & que le vieux Piocheur grand-père
encule son Fils. "Tu me depuceleras ta Fille, dès que ton
Grand-père t'aura deculé".

XXXII. Les Gourmets de Con. 123

Conquette enconnée par Cordaboyau, seulement comme Gourmet du
satiné de son con, est enlevé de sur elle, prêt à decharger,
par Traitdamour & Brisemote, le vit bandant et decaloté, pour
le plonger tout-brandi dans le Con de Rosemauve, étendue sur
un Foutoir haussant du cul: "Le Sacrébougre alait partir"....

XXXIII. Honnête Entretién du Pere et de la Fille.

Cupidonnet prenant le con de sa Fille d'une main, les Tetons
de l'autre: Elle dît: 133 "Mon Dieu: je vous remercie d'un si
bon Père".

XXXIV. L'Homme enfilant deux cons d'une volte.

L'Homme-à-queûe foutant Sophie-Linars de son vit, tandis que
Geoline s'enconne avec la queûe velue qu'il a au croupion.
Celle-ci dit: 141 "Et moi, je vais me servir de cette queûe
raide".

XXXV. La Fouteuse insatiàble. 157

La belle Agnès, livrèe par son Père, enfilèe par le jeune
Procureur, qui se loue de ses delicieux mouvemens: Elle
s'ècrie, en dechargeant: "Hâ... mon âme va sortir... par le
trou qu'il me fait".

XXXVI. Indicibles Fouteries! 175

Agnès, après souper, ayant un corpset refluant, cachèe
derrière un rideau de fenêtre, desorte que l'Homme-à-queüe
seul, qui lui prend le con, ne voit pas son visage: Elle tient
d'une-main le vit de son Père; de l'autre, elle retient à
l'entrèe de sa bouche, & presse de ses lêvres, le Gros Membre
de Guae qui decharge, & lui lance le Fontre au fond du gosier.
Fysitère leur dit: "Il faut dabord que je foute
habillèe.......".

XXXVII. Les Six Fouteurs des Trois Foutues.

Agnès, Doucette, la Carmelite, & la Marchande-de-modes
maîtresse d'Agnês-Conveloutè. La 1re en deshabiller de gaze
transparente, avec le chapeau de Marièe; les 3 autres nues,
sont instruites par Agnês, [] Coupure. Six Vieillards, le Vit
en main, nus, endoctrinès separement par Guae, nu assi, â
l'entrée d'une autre pièce, où il les attire les Uns aprês les
Autres.... Le premier est Un grand, maigre, dont le nez touche
au menton; vit ordinaire. Le second, gros, très-ventru; le nez
comme une grosse betterave (le vit long. Le troisième monte
sur de longues jambes sèches; ayanr un pain-de sucre sur les
èpaules; le Vit gros comme celui de l'Homme-a-queûe aumoins.
Le quatrième aussi large que haut, a le vit de l'Oncle
d'Agnês. Le cinquième a la tête monstrueuse, le ventre comme
un tonnneau, le Vit comme celui de Guae. Le sixième est grand,
voûté, bancroche; ayant un bourelet à son long Vit. Quant au
laid Guae, On voit son Vit, gros comme Un Timon de carrosse
soulever sa chemise... "Chaqu'un des 6 monstres crut qu'il
alait avoir le Plaisir d'être mon Bourreau". 183

XXXVIII. Fysitère au grand lit avec ses 3 Fouteuses.

Elles sont nues: Fysitère nu enconne Doucette; Agnès lui
chatouille les couilles; la Carmelite lui branle le queûe
velue, dont elle se dispose à s'enfiler. Le mot est pris de
l'Histoire par Agnês "Nous fumes ainsi foutues 8 fois
chaqu'une dans la nuit; ce qui fesait les 24, ordinaire de
Fysitère" p. 192


Table des Chapitres


La Préface. 3

I. Chapitre De l'Enfant qui bande. 5

II. Chap. Du Con soyeux. 8

III. Chap. De la Mère foutue! 11

IV. Chap. D'un autre Beaufrére Cocu. 14

V. Chap. Du bon Mari spartiate. 18

VI. Chap. De l'Epouse qui se fait enculer. 20

VII. Chap. Du Conin au Poil-Follet. 25

VIII. Chap. Des Conditions de mariage. 28

IX. Chap. Des Dedommagemens. 31

X. Chap. De l'infame Mari. 33

XI. Chap. Pucelage destiné aux gros Vits, pris par un petit.
39

XII. Chap. Du plus delicieux des Incestes. 41

XIII. Chap. Du Con & du Cul vendus. 46

XIV. Chap. Le Jeunehomme, la Fille, le Moine. 51

XV. Chap. Du Fouteur à la Justine. 54

XV.I Chap. Foutoir: Petit Magasin: Enterrement: Amour. 58

XVII. Chap. Du Pucelage du Cul: Le Père enconneur. 63

XVIII. Chap. Des Avis paternels, tenant sa Fille enconnée. 67

XIX. Chap. Du Père juste, & du Vit grisonnant. 70

XX. Chap. Du, Hâ, comme elle fut foutue! 74

XXI. Chap. Du Ressouvenir, & De l'Episode. 80

XXII. Chap. De la Fouteuse mise en appêtit. 83

XXIII. Chap. De la Tendresse Filiale: & de l'Amour Paternel.
86

XXIV. Chap. Du Chefd'oeuvre de Tendresse-paternelle. 91

XXV. Chap. Du bon Pere qui fait foutre sa fille. 93

XXVI. Chap. d'AVIS três-utile au Lecteur, & à l'Auteur. 98

XXVII. Chap. Du commencement des grandes Fouteries. 101

XXVIII. Chap. De l'Enculo-connillerie. 106

XXIX. Chap. D'une nouvelle Actrice: Danse Nêgre. 112

XXX. Chap. Le Pioché, la Piochée, le Piochard. 116

XXXI. Chap. Suite des Mêmes, Piochette. 119

XXXII. Chap. Du Conin goûté. 122

XXXIII. Chap. La Fouteuse sensée. 130

XXXIV. Histoire de l'Homme-â-Queûe. 134

XXXV. Chap. de la Garse insatiable. 144

XXXVI. Chap. Des Fouteries de la Convelouté, &c. 174

XXXVII. Chap. Des six Fouteurs pour trois Foutues. 185

XXXVIII. Chap. Conclusinn de l'Histoire des trois Foutues. 191

XXXIX. Chap. Du Fauteuil. 207


Fin de la Table de la I Partie.




EPILOGUE de la Ire PARTIE.


Jaî lóngtemps hésité, si je publierais cet Ouvrage posthúme du
trop fameux Avocat Lingüët. Tout consideré, le câsement deja
commencé, j'ai resolú de ne tirer que quelques Exemplaires,
pour mettre deux ou tròis Amîs éclaîrés, et autant de Femmes
d'esprît, à-portée de juger sainement de son effet, et s'il ne
fera pas autant de mal que l'oeuvre infernale à laquelle On
veut le faire servìr de contre-pòison? Je ne suis pas asséz
depouroú de sens, pour ne pas sentir que l'ANTI-JUSTINE est Un
pòîson: màîs ce n'est pas là ce dont il s'agît. Serà-ce le
côntre-pòîson de la fatale JUSTINE? Voilà ce que je veux
consulter, à des Hommes, à des Femmes desinteressés, quì
jugeront de l'effet que le Livre imprimé prodúîra súr eux et
súr elles. L'Auteùr a prétendú élóîgner de la crüaúté, de la
sòîf dú sàng et de la mort de la Femme pòssedées: A-t-il
reüssi? Il a prétendú ranimer les Marîs blâsés, pour les faire
joüïr de leurs Femmes avec goût, à l'aîde de la lecture d'ún
demi-Chapître de son Ouvrage: A-t-il atteint ce bùt? C'est ce
qu'On decidera.

On a vû, par la Table seule, combién cet Ouvrage est sálàce!
mâîs il le falàìt pour produîre l'effet attendû. Jügéx-le, mes
Amîs, et cràîgnéz de m'indüïre én erreur!

L'ANTI-JUSTINE aurà VII ou VIII Partîes comme celle-cy.


FIN de la I. Partie.






L'ANTI-JUSTINE,

OU

LES DELICES DE L'AMOUR.


Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem.


Avec Figures.


[Seconde Partie.]


AU PALAIS-ROYAL

Chez feue la Veuve GIROUARD, très-connu

1798.




Je suis parvenu au IId Volume de cet Ouvrage, destiné à
ranimer les Maris blasés, auxquels leurs Femmes n'inspirent
plus rién: Tel est le but des nequices de cet excellente
Production! que le nom de Lingüet rendra immortelle.


L'ANTI-JUSTINE.




XXXIX Chapitre.

Chap. Du Fauteuil.


Le Dimanche arrivé, il y eút un joli dînér, qui fut servi dans
mon Magasin. J'y avais fait mettre, oûtre le Lît & le vîeux
sofa, un 3me Foutoir commode, que j'avais trouvé par-hazard
chéz un Serruriér de la ruë de-la-Parcheminerie, qui l'avait
acheté pour le fér & l'aciér seulemt, à l'inventaire de
certain Duc. J'en fis l'histoire à ma Société:

"Ce Fauteuil, ou Foutoir, se monte. Le Serruriér le monta
un-jour, pour en voir le mecanisme. Il alait s'y asseoir, au 1er.
La jeune Femme trè-potelée de son vîeux Voisin Aupetit le
Perruquiér arriva. La jolie Voisine essoufflée, se jeta sur le
diable de Fauteuil. Aussitôt elle fut saisie par les bras. Un
ressort la troussa, & un-autre lui écarta les cuissee.
Un-autre lui fit faire beau con; un troisième la fit osciller. --
Hé! qu'est-ce donc que ce machin-là? s'écriait-elle. -- Ma
bonne-foi si je le savais! repondit le Serruriér: j'aí monté
la Machine pour la connaître; maîs je voîs que c'est celle
avec laquelle le Duc de-Fronsac essayait les Filles
recalcitrantes, que des Parens maladroits lui avaient vendues.
Si vous vouléz, ma Voisine, je vais vous essáyer? -- Alons
donc! Est-ce qu'On viole jamais Une Femme malgré elle? Je
mordraîs-... L'Homme-de-forge se deculote; se met sur elle. La
Traquenardée veut le mordre. Un ressort asséz doux lui fait
ouvrir la bouche, & en l'angoissant un-peu, la force à darder
sa langue. Le Suppôt de Vulcain profite de tout-cela, & enfile
la Perruquière, qui ne put l'empêcher, ni même crier...
L'operation faite, la machine se trouva aubout de ses
rouleaux, & Mad. Aupetit ne fut plus contenue. C'est alors
qu'elle se mit à pleurasser, à criasser, comme si elle avait
été au-desespoir. -- Grand'bête! (lui dit le Cyclope), je vous
aí trop bién operée, pour que vous ne deveniéz pas grosse:
vous auréz un Enfant, que votre vîeux Jeanfoutre ne vous
aurait jamaîs fait. Maîs il faut un-peu de ruse: Dês
aujourdhui dites-lui que vous achevéz une neuvaine à St
Julién, qu'il vous travaille ç'te nuît, & que le Saint benîra
ses travaux. Remuéz du cul, quand il vous le mettra; dites-lui
des foutèses, & s'il dechargeote un-peu, pâméz-vous, en disant
qu'il vous inonde-. Mad. Aupetit s'en-ala munie de ces
instructions, qu'elle mit en pratique. Le Fauteuil me fut
prêté le lendemain.

Le Cyclope m'áyant vu passer, m'appela, me montra la Machine,
me la vanta, & me mit au-fait de son usage. Elle me fut donnée
à-l'essaì, & je la destinaí aux Begueules, s'il nous en venait
à nos Orgyes. Je remis à monter la machine, quand il seraît
à-propos, afin de ne pas en éventer le secret. Nous nous y
assimes trois en dînant, Mad. Poilsoyeux, une jolie Chapelière
de la ruë Bordet ou Bordel, amenée par Traìtdamour, & nommée
Tendrelys; j'étais au-milieu. In petto je reservais le
Fauteuil monté à la jolie Tendrelys, encore pucelle, quoique
Traìtdamour lui eût quelquefois dechargé entre cuisses; ou, si
la Chapelière était docile, à Rosemauve, ou à sa Soeur Rosalbe
la blonde, ou enfin à notre Hôtesse Mad. Brideconin, que je
voulais mettre de nos fêtes, ainsi que son Mari, voulant le
faire cocu en sa présence.. Nous dînames bién, mais sans trop
manger, ni trop boire. Nous avions dailleurs de la volaîlle, &
toutes choses de facile digestion. On ne tardera pas à voir
comment j'executerai tous mes projets.




XL Chapitre.

Chap. Des Cons Rasés.


En sortant de table, Traìtdamour nous dit: -- Toute la semaine,
il m'a roulé dans la tête de rendre le connin de Mad.
Conquette-Ingenue-Pòilsóyeux ce qu'il doit être; c'est-à-dire,
PUCEL: car je suîs sûr que depuîs huit jours qu'elle n'a
foutú, il s'est retréci en Diable!.. Brisemote, Cordaboyau,
vîts implacables, trousséz-moi Minone & Conète; il ne serait
pas seant qu'elles se troussassent elles-mêmes-. On les
troussa jusqu'audessus du nombril. Pas un pòil! Je les ai
rasées ce matin (dit Traìtdamour, pour voir l'effet, avant de
proposer la même chose à notre Deesse. Vous voyéz comme elles
sont propres? Tout le corps l'est de-même: Elles se sont
baignées tous les jours, depuis qu'elles savent que la belle
Fouteuse met tous les jours son Con dans l'onde limpide, & y
plonge entiér son corps appêtissant. Elles m'ont assuré que,
lorsqu'elles étaient en chaleur, l'eau-fraîche dans laquelle
trempaient leurs Cons brûlans, leur donnait un plaîsir presque
fouteùr... Maîs vôyéz-moi ces Cons-là? Ne dirait-On pas des
connins de Fillètes de 12 à 13 ans? On en convint.

En-consequence, je priae ma Fille de se laisser raser la Mote.
Elle se cacha le visage dans mon sein. Traìtdamour aussitôt la
renversa sur un Foutòir, le Con au grand jour. -- C'est
pourtant domage! (dit-il eu le maniotant;; la perruque en est
superbe!... Je vais dabord employer les cîseaux: Nous mettrons
ce pòil sóyeux sous verre dans un câdre doré: ce seront de
précieuses Reliques-. Il coupa. Ensuite il tira d'une jolîe
boîte une savonnète parfumée, & savonna longtemps le Connin.
Comme cette operation excitait Conquète, elle me pria
d'appuyer mes lêvres sur sa bouche. Elle me dardota sa langue,
pendant tout le temps qu'On fit la barbe à son Con, &
lorsqu'il fut rasé, On le lui lava d'eau-rose; On lui sècha
les cuisses avec des linges doux, & Tendrelys mit le beau pôil
de la depouille sous le verre-à-câdre. Puis le Conin sans
barbe fut livré à l'admiration de l'Assemblée. Tout le Monde,
surtout les Filles, jusqu'à la modeste Tendrelys, qui, disait-elle,
n'était venue que pour voir, & rougissait de tout, le
trouvaient si appêtissant, qu'elles demandèrent à le baîser, &
qu'elles se jetèrent dessus. La jolîe Chapeliére cola ses
lêvres vermeilles sur le Con rasé, & sa langue ala dans la
fente exciter la volupté: Rosemauve, qui arrivait, vint sur
elle comme Une Enragée, la debusqua, & gamahucha si vivemt la
Deesse, qu'elles émîrent toutes-deux. Les Hommes éurent leur
tour; ils sucèrent le Conôt dechargeant, & le firent decharger
encore.. Pour Mòi, j'admiraîs, les deux mains plongées dans
les Tetîns de Tendrelys, qui les avait charmans, & n'ôsait se
deffendre, -- Hâ! quelle partie? me dit-elle. -- Tu ne vòîs
rién! lui repondit Minone.

En-effet, Traìtdamour áyant fait retirer les Gamahucheurs du
Con de Conquette-Ingenue, qu'ils ne quittaîent pas, dit à ses
Camarades: -- Imitéz-mòi-? Aussitôt tous les vits en érection
furent à l'aîr. -- Alons! alons! au Con! au Con-! Tendrelys
baissait ses beaux ieux: maîs Conquette ètendue sur le
Foutóîr, la Mote legèremt branlée par Rosemauve, soulevait la
tête pour vòîr les vîts. -- Laquelle enconnéz-vous, me dit mon
vigoureux Secretaire: Laquelle enconnéz-vous de la voluptieuse
Conquette, de moi, ou de la pucelle Tendrelys-? J'hésitaîs
pour ma reponse, lorsque tout-a-coup j'entendis ma Fille
s'écrier faiblemt: "Le vît! le vît"? Traìtdamour se précipita
sous elle, la prit sur son dós, me la présentant oscillante: --
Enconnéz, me dit-il, la Fouteuse fait beau con-... J'enfonçae.
Je bandaìs si ròide, que je la fis crîer en la perforant. Maîs
elle foutit aussitôt, en me disant: -- Bon... (haussant le
cùl), bon!... Hâ! que tu bandes bién!.... Fous... fou----
fourgonne... Fou---fourage, chër Pap.. je dech----a----a----
(Traìtdamour la secouait) arge-... Je dechargeaîs aussi. Son
delicîeux Connin me pinçait. La Deesse m'enivrait. Traìtdamour
la fesait osciller, comme le Corax de PETRONE son Maître
Eumolpe... Cependant Brisemote avait mis sur son dos Rosemauve
nue, que foutait Cordabóyau sans chemîse: Les 2 petites
Enragées Mînone & Connette nues comme la maîn, venaîent de
mettre Tendrelys nue comme elles, & la tenaîent entr'elles, se
frotant le côn sur ses cuisses d'albâtre, en lui chatouillant
l'Une la mòte, l'Autre le trou du cùl: Elles dechargérent
Toutes-trôîs avec les 2 Foutûes: "Grand-Dieu! s'écîa la jolîe
Chapelîére, comme vous savéz être heureux"!




XLI Chapitre.

Chap. Vit inatendu.


En ce moment, l'On entendit frapper des maîns à la porte.
(C'était un signal que j'avaîs donné.) J'avaîs deconné; j'alaí
ouvrir. C'était le Cyclope. Il ne devait pas entrer: maîs il
me poussa Un Homme qui avait les îeux bandés & les maîns lîées
derrière le dôs. Il était couvert d'un grand surtout de laine
blanche, sous lequel îl était nú sans chemîse. Je le prîs par
le corps: je le poussaí vërs le Foutòîr à Fronsac, sur lequel
Traìtdamour jeta sa Soeur; On le monta, & dês que l'Enfant fut
prîse, On fit tomber sur elle, en lúi arrachant son
couvretout, l'Inconnu que je venaîs d'intrôdúire. Quand il fut
nú, son grôs Vît épouvanta tout le Monde, & il se fit Un Hâ!
universel. Conquette le reconnut, & pâlit. (Observéz que Tous
pouvaîent parler, excepté Conquette & Môi). Minone (la
Traquenardée), fut la seule que ce Vît, qui ne le cedait qu'à
Foutamort, n'effráya pas. Elle le saisit courageusement, & lui
mit la tête entre les lêvres de son Côn, en lúi dîsant: --
Pousse, Bougre-. Il estocada, comme un Beliér de siége. Maîs
il ne penetrait pas. -- Soulève du cùl, Pútain! lúi dit le
Brutal; je suîs trop-haut-. Minone souleva. Le Vît trouva
l'ouvertúre; & quôîqu'elle ne fût que la môîtié de qu'il lùi
falait, il la força. Minone souffrait le martyre. La sueur &
les larmes sillonnaîent ses joues. Enfin, le grós Vît, parvenú
au fond, injecta son baume-de-vîe, & adoucit, en les onctuant,
les paròîs dilacerés: Mînone qui venait de clamer de douleur,
s'exclama de plaîsir: -- Hâh! hâh!.. il m'inonde!... je fous...
je decharge... je me pâme-! Et la jolîe Petite remuait du cùl
comme Une Garse, foutue par Un Moine au bordel.

Nous étions dabord tous stupefaits d'admiration! Puîs nous
bandames tous comme des Enragés. Brîsemote le mit en levrette
à Rosemauve; Cordaboyau enfila Conette par-devant; Traìtdamour
consulta mes îeux, en me designant Conquette ou Tendrelys: je
permis la Ire, ajoutant fort-bas: -- Il fout ta Soeur; fous-mòi
sa Femme. -- C'est Vîtnègre-! Et îl se jeta comme Un Fúrieux
sur l'Epouse du Jeanfoutre, si brutalemt enconnée, qu'elle en
crîa... Maîs elle dechargea presqu'aussitôt: ce qui changea sa
douleur en plaîsir. "Toute Femme qui decharge comme ça,
balbúcîait Traìtdamour, en la fourgonnant, est bonne; il n'y a
que Celles qui ne dechargent jamaîs, qui sont mechantes-.

Cependant Vîtnègre refoutait, sans deconner, & Mînone
redechargeait: Rosemauve hennissait sous Brîsemote; Conette
sous Cordaboyau; Tendrelys émue, appúyée sur mon épaule, me
présentait sa jolîe bouche, & Conquette martyrisée par
Traìtdamour, pleurant, cùletant, émettant, crîotant de doleur
& de volúpté, envîait encore les tòurmens de Mînone. Son
Fouteùr me crîa: -- Sacre-Dieu! pomadéz donc,... & depúceléz-mòî...
cette Garse de Tendrelys-? L'aîmable Enfant me lança Un
lông regard, en se mettant la maîn devant le Còn, comme pour
le deffendre. Nous avîons-là du beûrre-fraîs; j'onctúaí le
Connîn, renversae la Vîerge sur Un Foutòîr, malgré ses tendre
prîères, & mon vít pénetra. -- Aumoîns, me dîsait-elle, en le
sentant entrer, vous ne me lîvreréz pas au Bourreau de Mînone,
nî à ces au----tres-là? ---- Remue du cùl, Bougresse! lúi crîa
l'împitòyable Traìtdamour. Est-ce comme ça qu'On fout? Regarde
ma Belle, & ces... 3 autres ---- Garses?... Tiéns, ---- Putaîn
---- pucelle, ---- nous de----char----geons! ---- La pauvre
Petite, à cette exhortatîon énergique, gigota sous mòî comme
elle put. Je pénetraîs doucemt; je caressaîs, dardotant la
langue, dîsotant des tendresses... ---- Vous la menéz tróp
bellemt, s'écrîa Traìtdamour, fouragéz cómme mói, ou cómme ce
Côcú, que voila sur le Fauteuil?... Tenéz? il mord les Tetôns
qu'il ne saurait patiner?.. Ne va pas lúî faire trop de mal,
Bougre! c'est ---- ma Soeur, & ---- je t'assommeraîs.... Je de----
charge..... ---- Hâ! qu'il me devôre, s'écrîa Mînone; pourvû
qu'il ---- me foute!.... Je decha----arge-.... "Je fous..? je
décha----arge! s'écrîa Rosemauve. ---- Je dechârge!... crîa
Conette. ---- Hâhahah-! fit Conquette... Pour Tendrelys, dont
j'ateignaîs le fond du Connin, elle dít: ---- Ze suîs
depúcelée! ze deçarze!... Que dìra Maman? ---- Elle ne le verra
pas, jolîe Fouteuse: Le vit de mon Maître conserve les
púcelages (crîa Traitdam.)

En ce moment, Vîtnègre deconna Mînone trop fatiguée. On lúi
pomada Rosemauve, que Brîsemote deconnait (car les tourmens de
la courageuse Mînoue avaîent épouvanté toutes nos Bellles. Le
Vît de Mulet l'enconna plüs vîte; maîs elle n'en souffrit pas
moîns: Elle pleura, sanglota, & enfin... dechargea.... Elle
fut ramonée 3-foîs sans deconner. Mînone l'avait été quatre.

C'était le tour de Conète. Elle fut pomadée avec plüs de soin
que Rosemauve; & cependant elle jeta les hauts-crîs: Si elle
n'avait pas été sur le Fronsac, elle aurait desarçonné son
Bourreau.... Elle dechargea enfin, & les plaîsirs succedèrent.
Maîs On ne s'attendait pas à l'effet qu'ils produisîrent!

C'est que Mad. Poilsoyeux eüt envîe du gros Vît de son Mari.
Elle demanda tout-bas et voulàit qu'On la mît sur le Fronsac,
aumoment où Vîtnègre deconna la Conète, quoique Celle-ci eût
le Con aussi barbouillé de sang que de foutre. Maîs
Traìtdamout la hâpant, la renversant & l'enconnant, lui dit
tout-bas: ---- Garse! je suîs jaloux de toî pour mon Maître &
pour moî: je t'étrangleraîs plütôt, que de te laîsser foutre
par ton Cocù de Mari en ma présence. -- Pardon! Vît dívin!
leurs douleurs m'ont tentée! Fourgonne-moi, à m'en ôter
l'envie? Car je ne compte plus que sur toi: voila M. Lingüet
qui donne son fou----outre... je decha----arge.... à la ----
sacrée Ma----âtine... de Teudrelys... -- Hâ! Reîne des Pútaîns,
tu es jalouse! Tiéns, tiéns, voila des coups de Vît dans ton
Connin-dieu... Hah!... hah!... ze redeza----arze-! murmura-t-elle...

Cependant, que fesait Vîtnègre? Il prenait du repos & quelques
liqueûrs brûlantes, tout en patinant les Tetons de ses 3
Foutües, qui le branlaîent pour s'amuser. Tout-à-coup Mlle
Lîngüet dit à son Foutant: "Maîs ce Bougre est Un-autre Guae?
il faut qu'il me restaure? Qu'On lui lave bién le Vît à l'ëau-rose;
je veux le teter, comme fesait Mad. Guae le gros Vît de
son Mari-? Nous ne pouvions nous refuser à Une proposition
aussi raîsonnable. On lava le Vît monstrüeux; 2 des 3 Garses
soutinrent Vîtnègre de chaque côté, en lúi livrant leurs
Tetons; Rosemauve lúi chatoüilla les covilles & le trou du
cùl; Traìtd'amour se coucha par-terre sur le dos sous ma Fille
à genoux qu'il enconna; Mlle Lîngüet baisa 5-à-6-foîs le gros
Vit, tout en ripostant aux saccades de son Fouteûr: Prête à
decharger, elle emboucha, fesant aler & venir l'énorme Wit du
bord de ses lêvres de corail, au fond de son gosiér satiné. En
dechargeant, elle mordit... Telle la voluptüeuse Femelle du
Serpent-Geant écrase dans sa gueule, la tête de son Mâle trop
amoureux... Vitnègre mordú se recria de volupté! Il émit Un
torrent, quoiqu'il eût deja foutú 9 coups, & Mlle Lingüet fut
inondée de foutre au même instant dans la bouche & dans le
con... Elle voulut teter 3-foîs Vitnègre, que les 3 Garses qui
le chatoüillaîent, secouaîent tellemt, qu'il rebandait
aussitôt. Dailleurs, il s'écriait à tout-momt: -- Ma Femme
n'est pas morte! c'est elle que j'embouche; je le sens au
veloûté de son palaîs-?... Et cette idée le fesait decharger à
flots... Mlle Lingüet fut obligée de cesser ce jeù, dans
lequel On voulait faire expirer Vitnègre; maîs Mlle Conquette-Lingüet
avait sucé le double Wit avec tant de fureùr, qu'elle
avait la bouche tout en feù... On obligea Winègre d'encùler
ses 3 Foutües; ce qui lui fit 15 copieuses decharges, parceque
les Belles de-relaîs lui manipulaîent impitoyablemt les
covilles.. Les excessives douleurs de l'encùlage n'en
effráyérent Auqu'Une; aucontraire, les tourmens de la Patiente
excitaîent leur passion, & elles la pinçaîent; pour la forcer
à s'agiter, & à faciliter ainsi l'intromission du gros Wit
dans son cùl.

Vitnégre n'en pouvait plus. Ce fut précisémt ce qui excita
Mlle Lingüet: Elle exigea de nous qu'il dechargeât Une 16me
fois, & que ce fût dans son cùl, à elle? Traìtdamour se vit
obligé de ceder. On manipula Vitnègre, On lúi chatoüilla les
covilles; On l'assura qu'il alait encùler Mlle Lingüet sa
Femme. A ne nom, il érectionna. On lui fit sucer les Tetons de
Rosemauve, comme ceux de Conquette. Il banda roide. Aussitôt
On coucha l'Encùlande sur le ventre; On lui beûrra la rosette,
puîs le rectom avec Une grosse canule; Tendrelys prit
délicatemt le gros Wit avec ses doîgts de rose; pour le
diriger dans l'anùss, tandis-que Minone & Conéte écartaîent
chaqu'Une Une Fesse: Rosemauve, prête à manipuler les
covilles, fráyait avec son doîgt beûré l'entrée du Wit-monstre
dans le cùl de la Patiente... Enfin, il penetra, en
dechirant... Mad. Vitnègre poussait des cris sourds, que son
Mari crut reconnaître. Ce qui lui fit redoubler ses estocades.
Alors l'Encùlée jeta Un cri,... qui logea le Monstre
tout-entiér dans son gros-boyau.... Vitnègre ne doutant presque
plus, y fourgonnait avec rage.. Il ne decùla pas après
avoir-dechargé; Rosemauve lui chatoüillait les couilles, l'anùs, &
s'appûyant du con sur son cùl, foutait avec lui, en poussant à
chaque-foîs... Vitnègre dechargea 3-ondées de foutre dans les
boyaux de sa Femme; ce qui fesait 18 pour la seance. Il tomba
en faiblesse à la dernière...

On le tîra du cûl de Mlle Lingüet, qui ala se le mettre dans
l'eau-fraîche, pour se le raffermir. On jeta Vitnégre dans Une
aûge d'eau-de-puîts qui était dans la cour, pour lui faire
reprendre ses sens: Le Cyclope parut. On porta Vitnègre dans
son Fiacre. Il le le remena. -- Saís-tu quî j'aí foutu (lui
dîsait-il en route), dans ton sacré Fronsac?..... Ah! comme
elle fout!... Elle a bién appris, depuîs qu'elle m'a
quitté!... Je l'aí foutúe 16-foîs, tant en con, qu'en bouche &
eu cûl-... Le Serruriér, après avoir remis Vitnègre à sa
Filleule, s'évada.

Vitnêgre rencontra le Serruriér quelques moîs aprês. -- Veux-tu
m'y remener? lui dit-il. -- C'est l'impossible, répondit le
Cyclope; tout est disparu. -- Ah! la Garse! si je la retenaîs,
je passeraîs le reste de ma vîe dans son cûl & dans son con-.
Ainsi finit cette Aventúre.




XLII Chapitre.

Chap. La Jalousie de deux Connins.


Nous restions tous sept émerveillés des 16
enconnades-embouchades-enculades de Vitnègre! quand Traîtdamour regardant
la jolie Chapelière, nüe comme toutes les Autres, lui dit: --
Te voila depucelée, Mignone, & mon divin Maître a cueilli ta
rose? C'est Un grand honneur & bonheur à toi & à moi! Je te
regarde à-présent comme les Devôts regardent leur
Vierge-Marîe, qui, foutûe par l'Ange-Gabriël, puîs par le
Saintesprit, dont elle fut la Pûtain, n'en était que plûs
vierge: Te voila consacree au vit de mon Maître; conserve-lui
religieusemt ton Connin, ou ne le prête qu'avec sa
permission... A-présent, celeste Mignone, votre jolie Mote va
être savonnée & rasée-? Tendrelys objecta sa Mère, qui toutes
les nuits lui visitait le Con, pour voir si l'On ne touchait
pas à son pucelage, deja vendu, & qu'On devait biéntôt livrer.
-- Je m'en-fous, Deesse, repondit Traìtdamour, en me voyant
monter le Fronsac; On lui dira tout-. Et il la poussa sur le
Fauteuil, qui l'étreignit. Il la savonna, & prépara son
rasoir.

En ce moment, artiva Mlle Conquette-Ingenue-Lingüet, qui
venait de se laver le cùl à l'eau-de-puîts, pour se le
raffermir. -- On va donc aussi raser le con de Mlle? (dit-elle
avéc un-peu d'humeur). -- Ah! ma belle Deesse! empêchéz-en,
à-cause de Maman, qui ne saura ce que ça veut dire? s'écria
Tendrelys suppliante, en lui baisant une main, qu'elle était
parvenue à saisir. -- Non, Mlle, je ne m'y opposeraí pas!
Votre con rasé laessera mieux voir à votre Maman que mon
Infidèle vous a deflorée... Nous verrons aussi, aprês qu'On
lui aura enlevé cette charmante perruque, si votre Bijou,
Mlle, l'emporte sur le mién, tout fatigué qu'il est? -- Ah!
mon adorable Amie! il n'est pas besoin de cela: Rién ne vous
égale. -- Alons, Mr, raséz donc? Et je crois bién qu'aprês,
mon infidèle Amant qui a depucelé cette jolie conque, vous
permettra bién de vous y loger-? Traîtdamour tout en coupant
la belle Toison-d'Or, représentait à Conquette-Ingénue, que
tous les Pucelages m'étaient devolus, & que j'étais obligé en
conscience de les prendre, sous peine de mortifier la
Neophite. Conquette ne savait que repondre: mais elle bouda.
Je m'approchaí d'elle, & comme elle était nue, je lui baisaí
les Tetons, & lui mit mon vit en main. -- Vous aimeriéz mieux
qu'il fût entre les jolis doigts de Tendrelys! -- Non: Persone
ne me faît bander comme vous; mais aprês vous, Tendrelys. On
lui rase la Mote; il le faut bién, pour comparer vos Cons
celestes, abstraction faite de la fatigue du vôtre. On les
gamahuchera dabord: Ensuite je verraí auquel des 2 mon
Vit-Sultan donnera le mouchoir: Le mieux rempucelé l'obtiéndra.

Mlle Conquète fit une petite grimace de Jolie-femme sûre
d'elle-même, & se tût. Le Rasemote acheva. Le Connin de
Tendrelys fut lavé à l'eau-rose; Mlle Lingüet fit rafraîchir
le sién, & les deux Cons furent comparés... Ils furent
desinteressémt trouvés égaux. Ce qui était bién donner la
supériorité au Conin de la belle Conquète, deja tant foutüe...
Ce fut l'avis general. Rosemauve, Minone vinrent se comparer.
Mais leurs Cons étaient loin d avoir cette physionomie
virginale de ceux de ma Fille & de Tendrelys. -- Vos Cons sont
aimables (leur dit Traîtdamour), cent-fois audessus des
Conasses de Putains; mais ils ne peuvent se comparer à ces 2
Connins de Houris-. Conquette se pavana. Mais genereuse comme
elle l'était, elle prit vîte son parti. -- Puisque nos Cons
sont égaux, me dit-elle, en baisant Tendrelys sur la bouche,
lui patinant le Con, redépuceléz la, & que votre Lieutenant me
refoute, s'il en a la force-. Elle n'avait pas achevé la
derniére sillabe, qu'elle était enconnée. -- Fous-la! me
cria-t-elle, fous la Garse-! J'enfilaí la jolie Nymphe... Mais
prête à decharger, Mlle Conquéte-Ingenuë entra en fureur
érotique (& je compris par-là comment les Héros de Dsds,
sur-le-point d'émettre, deviénnent cruëls), l'Enconnée s'écriait:
-- Foutéz-moi tous cette Putain de Tendrelys!... Brisemote! ne
fais qu'un trou de son cùl & de son con-!... Elle dechargea; &
un-peu calméé, elle se mit à dire: -- Pardon! pardon, ma
petite Soeur!... c'est le foutre.. qui me portait à la tête, &
me rendait cruelle!... Qu'On lui conserve son joli con...
toujours pucel,... pour les plaisirs de mon... Papa-
fouteur;... c'est bién asséz.. du mién qui est...
martyrisé!... Alons pousse... fous... ne me ménage plus!
(dit-elle à son Bourreau)..... Et elle se mit à coupdecùler plûs
fort que jamais. Ce qui fit re-enconner Rosemauve & Conète,
dont les cùls étaient moins malades que celui de Minone: Cette
bonne Soeur de Traîtdamour vint me chatouiller les covilles, &
j'émis.




XLIII Chapitre.

Chap. Minone et Conette jadis depucelées: Vieille.


Cette scène achevée, il y eút du répos. Nous avions legèremt
dîné, exprês pour faire colation. Nous mangeames des fraîses
au vin-muscat, avec des pains-mólets du Pont-Michel: Puis nous
primes d'excellent café, fait par Traîtdamour, & nous goûtames
aux liqueurs. Ensuite, nous jasames... -- Mon Ami (me dit
Conquète-Ingenue, en montrant Minone & Conète), vous avéz eú
ces 2 jolies Compagnes, ainsi que Rosemauve, & vous venéz de
depuceler Tendrelys sous nos ieux: Faites-nous le recit de
votre première-fois, & dites-nous coment vous les avéz
seduites? -- Ah! oui, oui? s'écriérent Tendrelys, Rosemauve, &
tout le Monde. -- Je feraí ce recit très-volontiéts; mais
à-condition qu'On ira chercher Mad. Brideconin notre hôtesse,
pour qu'elle y assiste: Nous comencerons à l'apprivoiser
par-là-? Mes 3 Sacripands, pour quî elle était un Morceau nouveau,
ne demandérent pas mieux: Ils l'enlevérent à son Mari, qui en
ce moment, lui tenait les tetons; sans même daigner lui
repondre, l'assirent à-cru sur les mains jointes de deux,
tandis que le 3me la soutenait par-derrière, & l'apportérent
ainsi moitié troussée & detetonnée. On la pósa sur le Fronsac,
& si je n'en avais empêché, On lui fesait une históire, aulieu
d'écouter la miénne. Lórsque tout fut tranquille, je
commençaí:

-- Je m'étais mis en pension chéz la Bellemère de Traìtdamour,
blanchisseuse, rue d'Ablon, pendant que ma Femme courait la
Provînce avec un Galant; le même qui la foutait avec tant de
passion, qu'il se mettait dans sa chemise, pour la palper &
l'enconner mieux. Traìtdamour m'apportait á dînér les
jours-ouvrables; maîs j'alais dîner à la maison de la bonne
Mère-Wallon les Dimanches & Fêtes. Un-jour, que nous y alìons
ensemble, il me pria de montrer à écrire à sa petite Soeur? Je
le voulus bién. En montrant à Minone, J'avais souvent sous les
ieux ses tetons naissans, blancs come lys... [-- Faites entrer
mon Mari; je suis bién-aise qu'il ait sa part de cette
histoire-là-? interrompit la Brideconin. Aussitôt Traitdamour,
sur un signe de mes ieux, l'ala chercher; tandis que sur
un-autre signe, Brisemote & Cordaboyau prirent l'Un la mote,
l'Autre les tetons de la Dame. Elle était ainsi ráyonnante
entre 2 Mâles, quand son Mari parut. Brideconin fut dabord
ébaubi: puis il n'en fit ni un ni deux, il ala s'emparer du
con de Rosemauve, & des tetons de Conette; Traitdamour prit le
con & les tetons de sa Soeur: Quant à moi, je fis asseoir
Conquette & Tendrelys l'Une sur l'Autre entre mes jambes,
laissant de-temps-en-temps tomber mes mains sur la gorge de ma
Fille, oú de sa jolie Rivale... Je repris:]

"Je dis à Traitdamour, en-particuliér: -- Il ne faut plus que
je montre à la Petite; elle me fait tròp bander, & je la
foutrais au Ier jour. -- Ah! mon chër Maître! quel bonhr pour
elle & pour moi, si vous la depuceliéz! La pauvre Orpheline!
elle n'a aucun plaîsir! (c'est que leur Mère était morte, &
que le Père, remarié à une Bonne-amie de feue son Epouse, à
l'instante prière de Celle-ci, avait mourant lui-même, laissé
pour bellemère aux 2 Orphelins la Bonne-amie de leur tendre
Mère). Je repondis, Que cela était bién difficil!... que la
petite Soeur parlerait. -- Non, je vous en repous: Minone a deja
des desirs pour vous. Elle m'a dit, qu'elle aimait bién quand
vous lui tonchiéz le Chose par-dessus la jupe- Ce discours
m'enhardit.

Un-Dimanche que j'étais seul avec Minone, à la faire écrire,
je ne pus résister à l'envie de lui baiser sa jolie bouche;
puis un tetin; & de-là má main descendit rapidemt à son
Connichon sans pòil. J'éprouvaí une érection terrible! Mon vit
me gênait. Je me deboutonnaí. Il s'élança audehors. -- Qu'est-ce
que c'est que ça? me dit la Petite. -- Un vit, mon Enfant. --
A quoi cela sert-il? -- A mettre dans un Con. -- Mais j'aí un
Connin, à ce que dit mon Frère, & ma Bellemère a une Connasse.
Depuis qu'il est grand, & qu'il a ce qu'il nomme du Foutre, il
met son engin dans la Connasse de ma Bellemère, que ça fait
tremousser & crioter... Il a voulu me le fourrer, à moi: mais
j'ai le conin trop étroit, ou il a l'engin trop gros: jamais
il n'a pu... Ma Bellemère l'a surpris, & elle l'a bién grondé!
Il lui a dit: -- Alons, foutéz-nous la paix: venéz que je vous
enconne, vieille Truande: car je ne saurais m'en passer, en ce
moment-. Et elle s'est aussitôt renversée sur son lit, en se
troussant; il l'a, ce qu'il appelle foutue... Hô! comme elle
gigotait! comme elle jurait des B. & des F. comme elle était
contente!... Et il me disait: -- Voi, Minone, comme c'est bon!
Comme la vieille Garse se deméne, en supant le bâton de
sucre-d'orge... Montre-moi ton petit connin, que je decharge à ton
intension-.....

Ce recit de Minone acheva de me faire bander outre mesure. Je
demandaí à la Petite, S'il y avait du beurre à la maison? Elle
m'en donna. J'alais la beurrer, quand la Bellemère, bonne-femme
au possible, rentra, áyant oublié son éventail. Elle vit
mon trouble, & la rougeur de la Petite. Elle me dit: -- Gage
que vous alez la tourmenter?... Ça n'est pas mûre. Venéz-. La
Vieille m'entraîna sur le piéd de son lit, se troussa, me tira
sur elle, & m'engloutit, malgré ma defense..... Pour sauver le
pucelage de sa Bellefille, elle me retint une heure à
conâiller. Je ne dechargeaí cependant qu'une-fois, contre la
Vieile une dizaine; car je m'aperçus qu'elle m'aimait. Ensuite
elle s'en-ala, sans laver, en disant? -- J'en marche mieux, la
charnière graissée-.

Dès qu'elle fut partie, je fis mettre Minone, qui avait tout
vu, à la fenêtre: je la troussaí audessus des reins; je lui
beurraí le connin, & je rebandaí roide. Je dis à la Petite, en
la commençant, de se cambrer la tâille, pour mettre son petit
trou bién à la portée du vit qui l'alait percer? Elle le
présenta de son mieux. Avec des peines infinies, à l'aîde des
douloureuses oscillations de son joli cùl, & parceque la
decharge était retardée par le degoût que m'avait causé le Con
gris de la Vieille, je parvins en levrette jusques au fond;
car je sentis sa celeste petite matrice me pincer... L'Enfant
s'agitait par mes ordres, mais sans décharger.

Son Frére arriva dans ce moment. Il fut transporté de joie...
-- Ah! vous la depuceléz! quel honneur & quel bonheur, pour
elle & pour moi!... Decharge-t-elle?... As-tu du plaisir, ma
petite Soeur? -- Elle ne decharge pas (repondis-je), la chère
Mignone; elle souffre: mais c'est avec un courage!.. Voi ce
tortillonnemt de croupion-... Traitdàmour touché, glissa une
main sous le ventre de la Petite, & lui chatouilla le haut de
la fente de sa motinette imberbe... Les ieux de l'Enfant se
vîtrèrent; elle se roidit. & tournant sa j lie bouche de mon
côté, elle me darda sa petite langue, déchargea pour la Ire_
fois, & se pâma... Je déchargeaí comme elle: je n'avais jamais
eú tant de plaisir...

Quand j eús deconné, son Frère me demanda, Si j'en étais
jalous? -- Oui, de tout Autre que de toi -- Hé-bien, votre
foutre va servir de pomade à son joli conichet-. Cependant
Minone voulut pisser. Son Frère la renversa sur le dos, au pi
d du lit, & l'enconna vìgoureusemt, malgré la grosseur de son
Membre. La Petite cria. -- Remue du cùl, & decharge avec
delices, pauvre Orpheline, lui disait-il, en la saccadant; tu
es enconée avec amour-. La Petite dechargea 3-fois; mais elle
n'en pouvait plus... Il me lava, & je la re-enconnaí... J'eús
encore plûs de plaisir, parceque la Petite avait aquis de
l'usage, & que le gros Vit de son Frère avait fráyé la
route... Depuis ce jour-là, nous foutimes Minone tous les
Dimanches & Fêtes. La Bellemère s'en-aperçut pour moi; mais
elle ne dit mot.

Enfin un-jour Traitdamour me demanda, Si je voudrais aussi
montrer à écrire à Conète, sa Maîtresse pour le mariage,
depuis que la Mère de Tendrelys, qui craignait un depucelemt,
lui avait absolumt ôté toute esperance. -- Soit (lui repondis-je).
Je montraí donc à Conète. Aubout de 2 mois, cette
Jeunefille étant un-jour à la fenêtre, fort panchée en-dehors,
& montrant une jambe fine, que mes ieux devoraient, Minone qui
prenaìt son exemple d'écriture, le remarqua. Je lui tenais les
tetins, & la priais de me prendre les couilles. Elle me
quitte; va vers Connète; lui dít tout-bas, -- Laisse-toi
faire- .... La trousse; me mène sur elle; lui beurre le con & à moi
le vit; lui dit: -- Cambre-toi, ma Fille-... Et à moi: --
Enfiléz jùste; vous voila dedans-... Conète se cambra, &
suivit toutes les indications de son Amie: Desorte que quoique
la Púcelle fût très-étroite, je penetrais. Traitdamour arriva.
Il nous fit ôter de la fenêtre; se coucha sur le ventre au
piéd du lit; fit étendre sa Maîtresse sur son dos, cùl sur
cùl: Il me dit d'enconner, le vit dirigé par la màin de sa
Soeur; et á chaque sacade que je donnais, il me repoussait d'un
coup de son cùl le con de sa Maîtresse, à me faire avancer
d'un pouce. Conète éprouvait des souffrances inouïes.... Mais
étant parvenu au fond, par un violent coup-de-croupion de
Traitdamour, qui ne donna plus que de petits coups de
trot-de-cheval, Conète clignota de l'euil, et biéntôt émit avec
d'ineffables delices.....

Je croyais que Traitdamour alait se jeter sur elle et
l'enconner tout-chaud? -- Non, me dit-il; c'est ma Future: si
j'avais le bonheur qu'elle me fît un Petit de vous, cela
ennoblirait ma Race-. Et il foutit sa Soeur, pendant que je
refoutais sa Maîtresse. Aussi depuis aí-je partagé avec lui Ce
que j'avais de plüs précieux-.




XLIV Chapitre.

Chap. Du Bouquet de Fouterie.


Il le merite! Il le merite! (s'écrièrent tous les Hommes, et
surtout Brideconin, qui patinait à 2 mains le Con de
Rosemauve, tandis que Brisemote et Cordaboyau maniaient l'Un
le Con, l'Autre les tetons de sa Femme... Mon Recit fesait
bander tous mes Droles comme des Carmes, malgré les fatigues
de la journée. Les Belles, même Celles éconnées par Vìtnègre,
étaient en rut. -- Comme vous avéz su les rendre aimables! (me
dit Conquette, en me dardant sa langue). -- Ah-oui! (ajouta
Tendrelys, en me baisant de-même).... En cet instant, Mad.
Brideconnin était tiraîllée par Brisemote et Cordaboyau, qui
tous-2 la voulaient enfiler à-la-fóis. -- Je n'aí qu'un chose,
mes chërs Amis! si j'en avais 2, ils seraient bién à votre
service; mais l'Un après l'Autre-... Elle fut empallée par
tous-2, Cordaboyau en con, Brisemote en cùl. Brideconnin
s'écrie: -- On enconne, On encule ma Femme! Moi, je fous
Celle-ci-. Et il renverse Rosemauve, qu'il empale. Traitdamour, le
plüs furieux des Ribauds, saisit Conquette: Je crus qu'il
l'alait enconer. Point! Il se coucha sur le dos, la tira sur
son vit, tenue par-dessous les bras par Conête et Minone; elle
se baissait avec lenteur sur le Vit bandant dirigé par la main
de Tendrelys, Conquète s'enculant ainsi elle-même par le seul
poids de son beau Corps. Lorsque le gros Vit fut enfoncé
jusqu'à la garde, Traitdamour me dit: -- Alons! le plüs beau
des cons vous appelle-.... Je me précipitaí dans le bijou de
ma Fille, la jolie Tendrelys me dirigeant le vit. Mad.
Brideconnin, putaîn comme Persone, puisqu'à cet instant, On
lui bourrait les 2 trous, fit 3 signes-de-croix. On luí
demanda, Ce qu'elle avait: -- On me fout devant mon Mari; mais
je suis sur le Fauteuil à ressort, qui m'empêche de me
defendre: Mon Mari voyant que je le fais coquú, me fait
coquète; c'est dans l'ordre: Mais notre Maître, fout,...
enconne sa Fille enculée! -- Sa fille?... sa fille-!...
(s'écria-t-On 5-fois). -- Oui, sa Fille (balbucia Rosemauve,
qui dechargeait sous Brideconnin): Aprês?... -- Ah! dirent les
4 Fouteurs et les 4 Fouteuses, ceci nous met en rage de
vit.... en rage de con... et nous foutrons jusqu'à extinction
de forces-. Et les Enconeurs, les Enconnées; les Enculeurs,
les Enculées, s'agitaient à quî mieux, dessus, dessous, comme
des Diables & des Diablesses dans un benîtiér. Tendrelys me
chatouillait les couilles & celles de Traìtdamour; Minone
celles de Brisemote et de Cordaboyau; Conète celles de
Brideconnin, et fourráit son index dans le trou du cùl de
Rosemauve. Le Fouteur qui n'était pas accoutumé à ce rafinemt,
se recriait de volupté: -- Ah que vous foutéz bién ici!
(disait-il en dechargeant); On ne fait que connailler
ailleurs. -- Oh! vous anéz bién raison, mon Mari? (lui repondit
sa Femme en dechargeant aussi), onc je ne fus ramonée comme je
le suis en ce moment, par les deux Vits qui Vous plantent
chacun une corne, l'Vn dans mon con, l'Autre dans mon cul-.

Conquète remarquant que j'alais mieux, lorsque Tendrelys me
chatouillait les couilles, l'en remercia tendremt: -- Chère
Amie?... ma main en fera... autant à ton Fouteur,... quand tu
seras enconnée... Et Vous, ma chère Hotesse, Vous êtes donc
bién foutue-?... Ce joli mot, foutue, avait tant de grâces
dans la belle bouche de Conquète, que je l'alais refourgonner,
si Traitdamour, qui la deculait et qui alait laver, ne m'avait
pas prié instanment de la lui laisser enconner... Mais j'étais
trop ému pour rester spectateur; j'ordonnaí à Tendrelys de me
faire beau con? Minone et Conète la renversèrent sur le dos et
lui écartèrent les cuisses. Ma Fille, avant d'être enconnée
par son Fouteur, voulut inserer mon vit; elle baisa la
Patiente sur la bouche, en lui disant: -- Tendrelys! remue du
cul, et donne bién du plaisir à mon Père-! Et comme elle avait
remarqué que le mot foutue, m'avait fait beaucoup
d'impression, dans sa bouche, elle s'écria, tout en secondant
son Enconneur: -- Fou...ou... outre!..... Sacré Vit!...
perce-moi... dechire-moi le conot!... mon Père! poignarde...
estropie ta Tendrelys!... ze decha... arge-!........... Ah!
cette Femme si modeste, s'écria la Bridecononin, comme elle
fout-!... Ce fut le Bouquet. On ala souper.




XLV Chapitre.

Soupér d'Adieux; Graces que dit Mad. Vitnegre.


On soupa. Les tetons étaient couverts; les propos furent
decens..... -- Mais, me dìt Minone, On dit que vous avéz-eú 8
jolies Femmes connues, et On les nomme? -- Hôh! Interrompit
Conquète, ne faites plus lire de ces Histoires-là: La journée
de volupté est finie, et nous sommes à-présent des Persones
ordinaires. -- Il faut donc les remettre, repondit Traitdamour,
pour une interruption de seance-.

Comme on se disposait à sortir, et qu'il n'y avait plus de
dangér de nous faire bandocher, On me pria d'exiger que nos 6
Cons et nos 12 Tetons fussent mis à l'air, et baisés à
discrétion pour les Adieux? J'y consentis. Aussitôt Conquète,
Tendrelys, Rosemauve, Minone, Conète et La-Brideconin, furent
defichutées, troussées et renversées sur les foutoirs par les
4 Dernières, qui se defichutèrent, se troussèrent et se
renversèrent elles-mêmes. On leur lecha le Con; Les 5 Hommes
sucérent les 12 Tetons: Les Belles prirent, décalotérent et
baisérent les 5 Vits, embouchérent seulemt le mién, en disant:
Vit incomparable..... adieu... pour Huit jours...

On alait sortir, quand On vit la belle Epouse de Vitnègre se
prosterner toute detetonnée, en s'écriant:

"Sainte & jolíe Vierge MARIE; que PANTHERE, branlait,
gamahuchait, enculait, entetonnait, embouchait, & qu'il
enconna enfin une nuit, à-côté du Cornard endormi le bon S.
Joseph; duquel cocufiage provint le doux Jesus, ce bon fouteur
de la Putain publique la belle Madelene, Marquise de Bethanie,
dont le vagabond JESUS était en-outre le souteneur, autrement
le maquereau, lequel, au grand regret de la sainte Garse,
enculait encore S. Jean son giton: S.te & jolie MARIE, Vierge
comme moi, nous vous remercions de cette heureuse journée de
fouterie. Faites-nous la grâce, par les merites de votre Fils,
d'en avoir une pareille Dimanche-prochain!.... Et vous, Sainte
MADELENE, que foutait l'Abbé JESUS, ainsi que Jean l'enculé,
Obtenéz-moi la grâce de foutre autant que vous, soit en con,
soit en cul, 15 ou 20 fois par jour, sans être épuisée, mais
toujours dechargeant...... Vous foutiéz avec des Pharisiens,
avec Herode, & même avec Ponce-Pilate, pour avoir de-quoi
nourrir le gourgandin JESUS, votre greluchon, & les Vagabonds
qui lui servaient de Chouans: Obtenéz-moi de votre Maquereau
JESUS, qui étant dieu, a sans-doute quelque pouvoir, d'avoir,
sous peu, ce riche Entreteneur, qui est un-jour descendu de
carrosse bandant à mon intension, comme je revenais de chéz
mon Amie Mad. Congrêlé; à-celle-fin, qu'au-moyén de l'argent
que je gâgnerai, à votre imitation, avec mon con, mon cùl, mes
tetons & ma langue dardée, je puisse soulager mon digne Père,
dans sa vieillesse; non-seulement en foutant avec lúi, pour
lúi donner le plaisir, mais en me laissant vendre, comme la
pieuse Fille d'Eresictton le famelique, ou la pieuse Ocyrhoé,
fille du Centaure Chiròn, qui toutes-deux devinrent cavales,
c'est-à-dire Montures d'Hommes ou saintes Putains!... Modèle
des Maquereaux, doux JESUS! fouteur acharné, Greluchon
complaisant de la brûlante & exemplaire Putain Madelène, qui
était si amoureuse de votre Vit divin & de vos sacrées
Couilles, maintenéz, par votre toutepuissance, mon conin
toujours étroit & satiné, mes tetons toujours fermes, ma peau,
mon cùl, mes fesses, mes bras, mes mains, mon cou, mes
épaules, mon dos ou mes arrière-tetons, toujours blancs, mes
reins toujours élastiques; les Vits de mes Amans, celui de mon
Père compris, toujours roides, leurs couilles toujours
pleines; car vous teniéz en cela du saint Roi David, si fort
suivant le coeur de Dieu, parcequ'il était le premiér fouteur
de son temps!... Faites, ô JESUS! que mes hauts talons, qui me
prêtent tant de grâces, & font bander tant de monde, ne me
donnent jamais de cores aux piéds, mais que ces piéds
tentatifs restent toujours foutatifs, comme ils le sont!...
Amen! -- Amen! s'écria toute la Société, Vits et Cons.

Tout le monde sortit édifié de la piété éclairée de ma Fille,
et en s'en-alant, on disait: -- Voilà ce qui s'appelle
connaitre la vraie religion, et prier Dieu comme il conviént,
en Lui demandant des choses raisonnables! Hoh! c'est une Fille
exemplaire-!




XLVI Chapitre.

Chapitre. Premiere Negociacion du con de ma Fille.


Le surlendemain, quand je vis Conquette [que j'avais évitée le
Lundi], je La trouvai coîffée en batant-l'oeil: Ce qui, avec
ses grands ieux à longs cils La rendait charmante... Elle
avait des souliérs de coutil de soie neufs, qu'elle essayait.
Je me jetai à ses genoux, en Lui disant: -- Coquette: Ton piéd
est le mieux-fait possible; mais il est un-peu grand, & ce
soliér bién pointu, ces talons minces, très-élevés, le font
paraître plüs petit de-moitié: Il est divin!.... & je bande...
comme tu vois?.... -- Mon cher Papa: comme je sais à quel point
vous m'àdoréz, j'ai voulu consacrer cette chaussure, avant de
vous la préter pour orner vòtre cheminée... Voici les blancs
d'hiër, avec lesquels j'ai tant été..... ce que vous
savéz....... Voyéz la jolie forme que leur a donnée mon piéd?
Ils sont plûs voluptueux qu'avant d'avoir été mis... Je
flairai avidemt le dedans de ces divins soliers: -- Hah! je
bande! m'écriai-je; Les sacrés-bougres sont embaumés... Je
suis perdu... j'aurai la colique, si je ne t'enconne une
pauvre fois?... Laisseras-tu decharger par-terre ce
Vit-paternel? -- Mon cher Papa, mettéz-vous le cùl & les couilles
dáns cette grande terrine, préparée pour mon cón & mon cùl;
l'eau froide vous ferait debander. C'est mon remède quand j'ai
le còn brûlant-. Ce qu'elle me disait me parut raisonnable, et
je Le fis: Elle cacha ses piéds comme une Dame Espagnole, et
je fus calmé. -- J'en ai fait autant tout-à-l'heure: Timori
vìént de venir: J'étais encore au lit; Il m'a pris les tetons,
puis le còn: La vue de son Vit, qui bandait ròide, m'a fait
impression. Mais mon coeur n'a rién senti. Cependant il voulait
me gamahucher, me priant de le branler après? -- Je ne suis
pas une Putain. -- Tu es bien fròide-? (C'est que reellement
je ne l'aime plus; vous êtes mon amant, cher Père? &
Traìtdamour est votre lieutenant dans mon còn; il est votre
double Vit, & c'est encore Vous qui me foutéz, quand il me
l'enfonce)... J'ai cependant eú des remords de ma dúreté: Je
lui ai saisi le Vit, & me le mettant dans la bouche bién
decaloté, je l'y ai fait decharger, avalant son foutre avec
delices. Ce qui m'a fortifiée. Mon chocolat m'a rincé la
bouche...... Mais revenons. Si Vous vouléz que votre Fille
cherie ait ún plaisir ineffable, caressez-La, quand on La
fout. Langue en bouche, la siénne dans la vôtre... Vous
prenant les couillètes, vous serrant le vit à la poignée, elle
dechargerait au double? -- Hoh! tu es trop adorable... Foutons
un petit coup? -- Je m'étais rafraichi le con: mais tu y remets
le feu, cher Papa, et le foutre seul peut l'éteindre...
Foutons... Enconne ta Fille... Mais va doucemt, que je
decharge plusieurs-fois, tout en te racontant quelque-chose-.

Elle se renversa, me mit le vit dans son con, me fit entrer
lentemt, par de petits coups-de-cul insensibles. La fraîcheur
de l'eau m'avait fait roidir, ét retardait l'émission. Enfin,
elle ne fut plus maîtresse de se retenir; elle coupdecula,
elle saccada, en s'écriant: -- Ze deça--arse-!... Elle resta
ensuite immobile, en me disant: -- J'ai oublié de vous remettre
l'adresse que l'Entreteneur d'avant-hier m'a glissée, pour
l'aler voir, ét... foutre avec Lui... Hah! fourgonne... je
redeçarge... Tu pars... Hah divin Père!... Et elle se mit à
soubresauter, en gigotant, comme jamais ne gigota Fouteuse...
Après une copieuse decharge, elle reprit: -- La voila. Dis-Lui,
ou écris-Lui, Que je ne vais chéz Persone. Et laissez-Lui
votre adresse. -- "Oui, Deesse Fututrix", Lui repondis-je. La
Brideconin nous apporta notre excellent chocolat; et je
partis.

Aprês les affaires, j'alai chéz le futur Fouteur de ma Fille.
Je Le trouvai: je Lui donnai un mot de Conquette-Ingenue, par
lequel elle Lui marquait, Que s'il avait un mot a repondre, il
pouvait tout dire a son Père... Je fus bién reçu. Le Richard
me dit, Qu'il demandait une Maîtresse aimable, et qui sût
donner, en foutant, bién du plaisir. -- Monsieur (Lui repondis-je),
ma Fille a été mal-mariée; elle peut vous apartenir,
à-condition qu'elle gardera son logement voisin du mién. Vous y
mangeréz, coucheréz avec elle, sans que je m'en mêle. Quant à
la volupté, ét aux mouvemens. du cûl ou des reins, un Mari
libertin ne Lui a donné que de trop douloureuses Leçons...
Mais en vous La livrant, je veux que son sort soit assuré,
qu'il s'améliore même un-peu chaque année... Je vous répons
d'être alors le Gardién de sa fidelité. Dailleurs, elle est
sage: L'assûrance d'un sort independant de son monstre de
Mari, peut seule La déterminer-. Ceci convint fort! et la
decision definitive fut remise après un voyage d'affaires et
d'argent, dont il devait être de-retour dans 8 ou 10 jours.

Je revins apporter ces nouvelles à ma Conquette-Ingenue. -- Mon
Papa, repondit-elle, pour peu qu'il me foute, vous me sufiréz
vous ét Lui; vous seréz mes deux pères. Je renoncerai même à
votre beau Secrétaire, si vous me promettéz de n'enconner que
Moi? Oû trouveréz-vous un Con qui vaille le mién?... Garde-moi
tout ton foutre, comme tout ton coeur, ô le plûs ribaud des
Papas-? Ie vis qu'elle était jalouse, ét je l'en aimai
avantage. Mais j'étais encore trop libertin, pour me borner à
foutre uniquemt Celle que j'aimais le mieux.

La Brideconin nous apporta de la limonade. Elle boitait de
naissance, mais d'une maniére voluptueuse. Elle êtait coifée
en cheveux, ét quoique grêlée, três-provoquante. Ie le dis à
ma Fille. Conquète-Ingenue me repondit: -- Dês avant nos
parties, son Mari voulait me le mettre; mais il me deplaît. La
Femme a demandé, depuis qu'ils ont tout vu, á me gamahucher.
Tous-deux m'adorent. Je ne leur avais, jusqu'au boulevari
d'hiër, laissé baîser que mon piéd. Le Mari enconne sa Femme
dês que je le veux. C'est un amusement que je me donnais dans
la semaine; je n'avais besoin que de m'asseoir en vue de
Brideconin, les jupes troussées jusqu'au mollet; il est
tellement excité par ma mi-jambe ét mon piéd, qu'il se jète
sur la Putain, ét la fout tant que je veux; en haussant
toujours un-peu la jupe. Enfin, s'il aperçoit un commencemt de
la cuisse, il heurle de luxure. Un-jour, trop échauffée par ce
que je voyais, je me donnai de l'air au con, en le découvrant.
Le Fouteur s'est mis â braire, en fourgonnant avec fureur. Il
dechargeait, refourgonnair, ét alait se tuer, quand sa Femme
me regarda.... Elle se hâta de decharger, ét vint me baisser
les jupes. Alors Brideconin épuisé se trouva mal-. A ce recit
de Conquète, je rebandais. Mais je me remis le Vit et les
Couilles dans l'eau, ét bién rafistolé, je sortis sans
finaler. Nous fumes Tous sages le reste de la semaine.




XLVII Chapitre.

Chapitre du Rabachages á Faire bandocher.


Le Dimanche arrivé, tout notre Monde accourut, à-l'exception
de Rosemauve, qui se dit malade. Tendrelys vint seule, &
d'elle-même: Traîtdamour ne l'avait pas trouvée chéz elle, &
il était déja fâché. Maîs il fut ravi, en entrant avec sa Soeur
& sa Maîtresse, de la voir auprès d'Ingenue, qui lui suçait le
sein decouvert!... Il l'en remercia, en lui baisant le cùl &
le con. Cordaboyau & Brîsemote arrivèrent les derniérs. On se
mit à Table, dês que Cordaboyau, envoyé chéz Rosemauve, eút
annoncé, qu'elle ne viéndrait pas. Il remit en-même-temps un
Billet de la Malade pour ma Fille. Ingenue le parcourut bas
dabord: puis elle nous le passa. Traítdamour lut par mes
ordres. Le voici:

Divine Amie! Reçoi les actions de grâces que je rens à ton
Conin et à tes Soliérs... Hiër jeudi fêtedieu (la Lettre était
du vendredi), j'avais mis la chaussure que tu m'as prêtée,
pour faire bander un Clerc de No aire, amant de ma Soeur
Rosalbe, à laquelle je le voulais enlever. J'avais aussi ton
grand bonnet battantl'oeil, qui me va si bién, à cause de mes
grands yeux noirs, la robe, la jupe blanches sur fond rose,
comme toi. Je m'avisai de me donner ton joli tourdecùl. Dans
la rüe des Cinqdiamans, j'entendis derrière moi: "C'est
elle!... Oui, c'est elle! c'est ma Deesse"!... On m'aborde.
"Hâ! ma Belle! vous voila si prês de chéz moi, que vous y
monteréz, puisque votre Père y est venu"?... Il m'a pris le
bras; je me suis laissée mener; pensant bién qu'en me
reconnaissant, il me laisserait aler, surtout aprês m'avoir
foutue. Point! il ne se desabuse pas!... Il est vrai qu'il
m'avait introduite dans un appartement au premiér à très
sombre jour. Il tombe à mes genoux, ou plütôt aux vôtres "Vos
traìts, belle Saxancour, sont un peu differens de ce qu'ils
m'avaient paru; mais vous n'en êtes pas moins une Brune
adorable. C'est que j'ai toujours plûs regardé vos piéds, dont
je suis fou, que votre visage, tout charmant qu'il est. Aussi
les reconnais-je parfaitement, ainsi que tout le reste de
votre parure... M'aimeréz-vous"? J'ai cru devoir repondre,
"Ouî. "Hâ! je suis trop heureux"! Il m'a pris mille baisérs,
en me fesant darder la langue, m'a patiné les tetons, saisi la
mote, renversée sur un large sofa, troussée, foutue... J'ai
remué du cùl! je lui ai donné du plaisir... hâ! vous me
connaisséz?... Ça fait, il m'a présenté à laver, m'a fait lui
verser de l'eau sur le vit, m'a essuyé còn et cùl, m'a baisé
la mote et les fesses: puis a dit à sa Femme de charge: "Le
dînér est-il prêt? "Dans un demi-quart d'heure. "Aprês le
verre d'Alicaute, descendons, ma Belle"! Nous sommes descendus
chéz le Notaire voisin. Six-mille francs par an, 500 francs
par moi, d'avance.... J'ai signé la minute, ét je suîs
remontée dotée, comme j'étaîs descendue foutue. Nous avons
dîné tête-à-tête. Des que les Domestiques ont été retirés, il
m'a fait mettre à nud mes tetons; puîs il m'a enyvrée de
champagne. Il s'êst lavé le vit dans un verre mousseux. Je
l'aí aussitôt avalé... Enchanté de ce traìt, il m'a mis son
vit sur les lêvres. Je le lui aí embouché, suçé! Il s'êst
recrié de plaîsir, en me dîsant: "Tu ês ma deesse, la putain
faite pour moi. Je ne veux pas te decharger en bouche; je veux
garder mon foutre pour ton Còn. Montre-le moi, que je le
baîse; ét adieu jusqu'à demain... Mon carrosse? (a-t-il dit à
sa Femmedecharge, qui m'épongeait le cùl ét le côn]. Il m'a
remenée.

J'auraî mon apportement chéz lui ce soìr. Je suîs restée tard
au lit, y étant toute embaumée, et envelopée dans deux peaux
de veaux, qui m'ont été apportées hîër-soìr encore chaudes;
afin d'avóír la peau des cuîsses ét des fesses presqu'aussi
satinée que vous. Ainsi, belle Conquète! je vous dòis ma
fortune. J'en remercie votre adorable Cón, ét surtout votre
voluptueuse chaussure. En chemin, mon genereux Fouteur m'a
promis que dans três-peu de temps, il me ferait enculer en sa
présence, par un joli Jockey, auquel il s'êst deja fàit
enculer Lui-même 2-fois, dans deux circonstances, où il avait
ressenti au trou du cùl un violent prurit. C'a été son
expression. Adieu... ou Avit, ô divine Fouteuse!

Nous fumes tous ébahis! Tendrelys embrassa Conquète-Ingenue,
en s'écriant: -- Hâ! si l'On vous connaîssait-!... Je voulais
aler détromper mon Gendre volé. Ma Fille m'en empêcha: -- Il
n'était l'amant que de ma chaussure; il ne lui est pas
infidèle; il a tout ce qu'il lui faut-. Tendrelys applaudit à
cette réponse: -- Je ne dis mot: mais je n'en pense pas moins-,
ajouta-t-elle.

La Brideconin, pour être plûs à nos parties, qui lui donaient
des plaisirs inconnus, avait fait venir chéz elle, ce jour-là,
Une Soeur de son Mari, fort-grêlée; mais la plûs provocante
Tetonnière de 18 ans qu'On puisse voir. La Garse ne croyait
pas que la Laideron tenterait, toutes nos Dames étant jolies,
& 2 parfaitemt belles. Ce fut cette Tetonière, faite-au-tour,
à tâille guêpée, comme les Comtoises, qui nous servit. Mais
dês qu'elle eüt fait bander, pour lui éviter de la peine, les
Hommes alèrent chercher les assiètes...... Au dessert, On me
somma de raconter l'histoire des Cons depucelés dont avait
parlé Minone, & que Mad. Ingenue-Conquète m'avait empêché de
faire à soupér, depeur qu'elles ne fussent trop savoureuses?
J'y consentis.


HISTOIRE des Phénixs dénichés.


"Je vais (dis-je en m'essuyant la bouche, ét baisant les
tetons de mon active Fouteuse, vous conter comment j'ai
depucelé Victoire-Beauxtalons; Virginie-Moteblonde;
Rosalie-Con-Rose, ainsi que Suzonète sa soeur-cadète;
Manon-Aurore-Sourismignard; Léonor-Robé, femme de Margâne le
Parfumeur; la Seconde ét la Troisième Consfriands, Saccadine ét
Voixflûtée.

La première-fois que je vis la voluptueuse Beauxtalons, elle
était en deshabillér brun, bas fins de coton, soliérs de
maroquin noir; talons plüs hauts que ceux de Conquète. Elle me
donna des desirs violens; je la suivis: c'était le soir: Elle
entra dans l'alée à-côté de la boutique de sa Mère. L'escaliér
était obscur. J'étais sur ses talons. Elle ouvrit le premiér,
dont les volets étaient fermés. Nuit profonde. J étais entré
avec elle. "Hâ! c'est vous, Monsieur Copahü, dit-elle en
m'entendant réspirer... Je Lui mis la main sous la jupe. "Hô!
voila toujours come vous faites!... Laissons donc les volets
fermés". Je cherchais un Lit. Elle y recula. Je L'y renversai.
"Mon dieu! aléz, que vous êtes tèrible"! Et elle s'arrangeàit
néanmoins commodément pour tous-deux. J'insère. Elle riposte,
en disant: "Il faut bién faire comme ça, sans quoi vous dites
qu'On ne vous aime pas". La jouissance fut delicieuse, quoique
simple ét sans accessoires. Mais Victoire était si belle, ét
je L'avais tant desirée!... Je voulais sortir sans être connu.
On frappa. Je suivis ma Monture effrayée qui courait ouvrir,
quoique je La retînsse. en disant: "C'est mà Mère, ou mà Soeur:
Restéz ou sortéz, come il vous conviéndra"? "Je sors". Elle


[ici s'arrête le volume imprimé]






Transcription en français moderne:


Quelle excuse peut se donner à lui-même, l'homme qui publie un
ouvrage, tel que celui qu'on va lire? J'en ai cent, pour une.
Un auteur doit avoir pour lui le bonheur de ses lecteurs.. Il
n'est rien qui contribue autant au bonheur, qu'une lecture
agréable. Fontenelle disait: "Il n'est point de chagrin qui
tienne contre une heure de lecture". Or, de toutes les
lectures la plus entraînante est celle des ouvrages érotiques,
surtout lorsqu'ils sont accompagnés de figures expressives.
Blasé sur les femmes depuis longtemps, la Justine de Dsds me
tomba sous la main. Elle me mit en feu; je voulus jouir, et ce
fut avec fureur: je mordis les seins de ma monture; je lui
tordis la chair des bras... Honteux de ces excès, effets de ma
lecture, je me fis moi-même un Erotikon savoureux, mais non
cruel, qui m'excita au point de me faire enfiler une bossue
bancroche, haute de deux pieds. Prenez, lisez, et vous en
ferez autant.


L'ANTI-JUSTINE.




Personne n'a été plus indigné que moi des sales ouvrages de
l'infâme DsDs; c'est-à-dire, de Justine, Aline, le Boudoir, la
Théorie du Libertinage, que je lis dans ma prison. Ce scélérat
ne présente les délices de l'amour, pour les hommes,
qu'accompagnées de tourments, de la mort même, pour les
femmes. Mon but est de faire un livre plus savoureux que les
siens, et que les épouses pourront faire lire à leurs maris,
pour en être mieux servies; un livre où les sens parleront au
coeur; où le libertinage n'ait rien de cruel pour le sexe des
Grâces, et lui rende plutôt la vie, que de lui causer la mort;
où l'amour ramené à la nature, exempt de scrupules et de
préjugés, ne présente que des images riantes et voluptueuses.
On adorera les femmes, en le lisant: on les chérira, en les
enconnant; mais l'on en abhorra davantage le vivodisséqueur,
le même qui fut tiré de la Bastille avec une longue barbe
blanche le 14 juillet 1789. Puisse l'ouvrage enchanteur que je
publie, faire tomber les siens!


Mauvais livre fait dans de bonnes vues.

Moi, Jean-Pierre Linguet, maintenant détenu à la Conciergerie,
déclare, que je n'ai composé cet ouvrage, tout savoureux qu'il
est, que dans des vues utiles; l'inceste, par exemple, ne s'y
trouve, que pour équivaloir, au goût corrompu des libertins,
les affreuses cruautés, par lesquelles Dsds les stimule.


Floréal, an 2.

Chapitre I De l'enfant qui bande.


Je suis né dans un village près de Reims, et je me nomme
Cupidonet. Dès mon enfance, j'aimais les jolies filles.
J'avais surtout un faible pour les jolis pieds et les jolies
chaussures; en quoi je ressemblais au Grand-Dauphin, fils de
Louis XIV, et à Thevenard, acteur de l'Opéra.

La première fille qui me fit bander, fut une jolie paysanne,
qui me portait à vêpres la main posée à nu sur mes fesses;
elle me chatouillait les couillettes, et me sentant bander,
elle me baisait sur la bouche avec un emportement virginal:
car elle était chaude, parce qu'elle était sage.

La première fille à laquelle je fis des attouchements, en
conséquence de mon goût pour une jolie chaussure, fut ma
première puînée, qui s'appelait Jenovefette. J'avais huit
soeurs, cinq aînées d'un premier lit, et trois puînées. La
seconde de celles-là, était jolie au possible; il en sera
question. La quatrième avait le poil du Bijou tellement
soyeux, que c'était une volupté seulement de le toucher. Les
autres étaient laides. Mes puînées étaient toutes trois
provoquantes.

Or ma mère préférait Jenovefette, la plus voluptueusement
jolie, et dans un voyage qu'elle fit à Paris, elle lui apporta
des souliers délicats. Je les lui vis essayer, et j'eus une
violente érection. Le lendemain dimanche, Jenovefette mit des
bas fins blancs et neufs de coton, un corset qui lui pinçait
la taille; et avec son lubrique tour de cul, elle faisait
bander, quoique si jeune, mon père lui-même; car il dit à ma
mère de la renvoyer. (J'étais caché sous le lit, pour mieux
voir le soulier et le bas de la jambe de ma jolie cadette)...
Dès que ma soeur fut sortie, mon père renversa ma mère, et la
carillonna sur le pied du lit sous lequel j'étais, en lui
disant:

-- Oh! prenez garde à votre fille chérie! Elle aura un furieux
tempérament, je vous en avertis... Mais elle a de qui tenir;
car je baise bien! et voilà que vous m'en donnez, du jus de
con, comme une princesse...

Je m'aperçus que Jenovefette écoutait et voyait... Mon père
avait raison. Ma jolie cadette fut depuis dépucelée par son
confesseur; ensuite foutue par tout le monde. Mais elle n'en
est que plus sage à présent... Dans l'après-dîner, Jenovefette
vint au jardin, où j'étais seul. Je l'admirai; je bandai.
L'ayant abordée, je lui pressai la taille, sans parler; je lui
touchai le pied, les cuisses, un connin imberbe et joli, s'il
en fut jamais! Jenovefette ne disait mot. Alors, je la fis
mettre à quatre; c'est-à-dire, sur les mains et sur les
genoux, et, à l'imitation des chiens, je la voulais enfiler
ainsi, en hennequinant et saccadant de toutes mes forces,
comme fait le chien, et lui comprimant fortement les aines de
mes deux mains: je lui faisais cambrer les reins, de sorte que
son connin était aussi à ma portée que le trou de son cul: je
l'atteignis donc et je mis le bout entre les lèvres, en
disant:

-- Hausse, hausse le cul, que j'entre.

Mais on sent aussi qu'un connichon aussi jeune, ne pouvait
admettre un vit, qui ne décalottait pas encore (Il me fallait
une connasse, comme je l'aurai bientôt). Je ne pus
qu'entr'ouvrir un peu les lèvres de la fente. Je ne déchargeai
point, je n'étais pas assez formé... Ne pouvant enfiler, je me
mis, aussi à l'imitation de mes modèles, à lécher le jeune
connin... Jenovefette sentit un chatouillement agréable sans
doute; car elle ne s'ennuyait pas du jeu, et elle me donna
cent baisers sur la bouche, lorsque je fus debout. On
l'appela, et elle courut.

Comme elle n'avait pas encore de gorge, dès le lendemain elle
se mit des tétons postiches, sans doute parce qu'elle avait
ouï vanter ceux de sa mère, ou de ses aînées. Je les
remarquai: je la fis chausser, et l'ayant placée commodément
sur son lit, je m'escrimai près de deux heures. Je crois en
vérité qu'elle émit; car elle s'agitait comme une petite
enragée à mon lèchement de con... Dès le surlendemain, on
l'envoya en apprentissage à Paris, où elle remplit l'horoscope
tiré par mon père.

Chapitre II Du con soyeux.


Mes autres soeurs étaient l'une sérieuse; elle me retint dans
les bornes; mais j'ai depuis foutu ses deux filles à Paris. Ma
troisième était encore trop jeune: ç'a été une superbe fille à
dix-huit ans! Je me rejetai néanmoins sur cette enfant,
lorsque je m'aperçus que Cathos, jumelle de Jenovefette, était
inabordable. Il me fallait un con, depuis que j'en avais palpé
un: je patinai Babiche. Enfin un dimanche, qu'elle était bien
arrangée, et que ma mère l'avait baignée, je la gamahuchai.

Ce fut à cette bénigne opération, que je fus surpris par
l'ardente Madeleine au con soyeux. Elle nous examina longtemps
avant de nous troubler, et voyant que la petite avait du
plaisir, elle fut tentée. Elle parla. Nous nous remîmes
décemment. Madeleine ne dit mot. Elle renvoya Babiche. Puis
elle hasarda de badiner avec moi. Elle me renversa sur la
paille de la grange, où j'avais attiré Babiche; et lorsque je
fus par terre, elle me chatouilla, passant par-dessus moi,
jambe de çà, jambe de là. Par hasard, je portai la main sous
ses jupes, et j'y trouvai l'admirable con soyeux. Ce poil
divin détermina mon goût pour elle. Je devins fou du con de
Madeleine Linguet: je lui demandai à le baiser!

-- Petit coquin! (me dit-elle), attends un moment.

Elle alla au puits, tira un seau d'eau, et s'accroupit
dessus... Elle revint, et badina encore. Enflammé, hors de
moi, je lui dis, dans ma petite fureur érotique:

-- Il faut que je lèche ce joli trou.

Elle se mit sur le dos, les jambes écartées. Je léchai; la
belle Madeleine hocha du cul.

-- Darde ta langue dedans, cher petit ami! (me disait-elle).

Et je dardais, et elle haussait la motte. Je fourgonnais avec
rage!... Elle eut tant de plaisir, qu'elle se récria. Je
bandais comme un petit carme; et comme je ne déchargeais pas,
j'avais toujours la même ardeur. Aussi m'adorait-elle. Obligée
de me quitter, Madeleine me donna des friandises, que je
mangeai avec Babiche.

Un soir, ma soeur au con soyeux me dit:

-- Cupidonet! ta jolie broquette est toujours bien roide, quand
tu me lèches! Il me semble que si nous étions dans le même
lit, tu pourrais la faire entrer dans la bouche de ma petite
marmotte, que tu aimes tant à sucer, et dont le poil est si
doux! j'aurais sûrement bien du plaisir! et peut-être toi
aussi? Viens c'te nuit...

Quand tout le monde fut endormi, je me glissai dans le lit de
ma grande soeur. Elle me dit:

-- J'ai vu mon père, un jour qu'il venait de caresser ma soeur
la belle Marie, qui partait pour Paris, courir sur ta mère, sa
grosse broche bien roide, et lui fendre la marmotte: je vas te
montrer; tu feras comme lui.

-- Et moi aussi, je l'ai vu.

-- Bon! bon!

Elle se disposa, me plaça sur elle, me dit de pousser, et
riposta. Mais elle était pucelle, et quoique bandant roide, je
ne pus introduire; je me faisais mal. Pour Madeleine Linguet,
elle déchargea sans doute; car elle se pâma.

Oh! que je regrettai ce joli con soyeux, que je léchais et
fourgonnais depuis six mois! Mon père, Claude Linguet, qui ne
me ressemblait pas, éloignait ses filles, dès qu'elles
l'avaient fait bander. On prétend que Madeleine avait tenté de
se le faire mettre par lui... Quoi qu'il en soit, trois jours
après, elle partit pour la capitale, où notre frère aîné,
l'ecclésiastique, lui avait trouvé une place de gouvernante
d'un chanoine de Saint-Honoré. Ce cafard ne tarda pas à
connaître ce qu'elle valait. Il y avait une porte dérobée, de
lui seul connue, qui donnait dans la chambre de ses
gouvernantes, qu'il allait patiner durant la nuit. Mais il
n'avait jamais trouvé de con aussi joli, que le con soyeux de
Mlle Linguet! Il voulut le voir. Sa beauté le ravit, et il
n'eut plus de repos qu'il ne l'eût foutu. Une nuit, qu'elle
dormait d'autant plus fort qu'elle en faisait semblant, il la
gamahucha. Elle déchargea sensiblement. Aussitôt le chanoine
monte sur elle, et l'enconne. Elle le pressa dans ses bras, en
remuant du cul.

-- Ha! Mignonne! (lui dit-il), que tu as le mouvement bon!...
Mais n'as-tu pas de mal? car je te crois un peu putain?...

Sa chemise et les draps ensanglantés lui prouvèrent qu'elle
était pucelle. Il l'adora! Elle foutit saintement avec ce
saint homme pendant deux ans, et le mit au tombeau. Cependant
il la dota. Ce qui fit qu'elle épousa le fils du premier mari
de ma mère.

Chapitre III De la mère foutue!


Comme après le mariage de Madeleine et son retour à Reims
j'étais un peu plus formé, je désirai vivement de le lui
mettre. Depuis plus de deux ans, j'en étais réduit à patiner
et gamahucher ma soeur Babiche, avec quelques-unes de nos
cousines germaines. Mais, ou mon vit grossissait, ou tous ces
connins imberbes rétrécissaient... Je demandai un rendez-vous
nocturne à la nouvelle Mme Bourgelat! Elle me l'accorda pour
le soir même. Nous étions à notre ferme, et son mari venait de
partir, pour se rendre à Reims, où une affaire l'appelait. Je
ne sais par quelle aventure, cette même nuit, mon père se
trouva incommodé. Ma mère, après l'avoir secouru, craignant de
le gêner, alla se mettre auprès de sa bru. Celle-ci, la voyant
endormie, se leva doucement, pour venir coucher avec moi,
tandis que de mon côté, j'allais à elle. Nous ne nous
rencontrâmes pas, malheureusement!... Je me mis à côté de la
femme que je trouvai dans le lit. Elle était sur le dos: je la
montai, toute endormie; et l'enconnai. J'étais surpris
d'entrer aussi largement! Elle me serra dans ses bras, hocha
quelques coups de cul, moitié assoupie, en disant:

-- Jamais! jamais vous ne m'avez donné tant de plaisir!...

Je déchargeai aussi; mais je m'évanouis sur ses tétons encore
fermes, parce qu'elle n'avait pas nourri, et qu'on ne les lui
avait jamais patinés. Mme Bourgelat revint auprès de nous, au
moment où je m'évanouissais.

Elle fut bien étonnée des mots que venait de prononcer sa
doublement belle-mère! Elle comprit que je l'avais foutue, et
elle me reporta dans mon lit encore évanoui... Ainsi donc
c'est dans le con maternel que je venais d'émettre ma première
semence!... Ma mère, entièrement éveillée, dit à Madeleine:

-- Mais, que faites-vous donc, ma fille?

J'étais revenu à moi. Ma soeur retourna au lit de ma mère, qui
lui dit tout bas:

-- Ma bru! vous avez de drôles de façons?

-- Mon mari (répondit Mme Bourgelat), me fait souvent mettre
dessus; je rêvais, et je l'ai fait. Eveillée, je suis sautée
du lit.

Ma mère crut cela.

Cependant le coup porta: Mme Linguet devint grosse, et
accoucha secrètement d'un fils, beau comme Adonis; et elle eut
l'adresse de le substituer à un garçon de son fils, cet enfant
étant mort en naissant. C'est de lui dont il sera un jour
question, sous le surnom de Cupidonnet, dit Petitcoq, mon
neveu.

Huit jours s'écoulèrent. Après quoi, bien remis de mon
évanouissement, j'eus un autre rendez-vous. Mais admirez mon
malheur! Nous avions été entendus d'une grosse tétonnière,
notre moissonneuse, qui dormait dans la grange. Comme Mme
Bourgelat devait venir dans mon lit, Mammelasse, qui m'aimait,
car elle se branlait souvent à mon intention, et qui
d'ailleurs n'était pas méchante, se contenta de dire à mon
frère, de fermer les nuits la porte de sa chambre à la clef,
et de la cacher, pour cause... Il le fit. Mais jugez de mon
étonnement, quand au lieu d'un con soyeux, et de tétons ronds
et délicats, je patinai une connasse à crins de cheval, et
deux gros ballons bien gonflés. Elle se le mit; je poussai, et
j'eus assez de plaisir. Mais je fus encore prêt à m'évanouir.

Enfin, je le mis à Madeleine, dans le grenier à foin. J'allais
comme un fou, en l'enconnant. Mais au troisième coup de cul
qu'elle donna, je m'évanouis...

Chapitre IV D'un autre beau-frère cocu.


Madeleine évita de m'accorder des faveurs, dont les suites
l'effrayaient! Mais je ne sentis pas longtemps cette
privation. Huit jours après la dernière scène, je partis pour
venir à Paris. J'y allais pour apprendre. Mais il ne sera pas
ici question de mes études. Je fus logé chez la belle Marie,
la seconde de mes aînées.

J'avais, pour mon pucelage, fait cocu mon père; j'avais
cornifié mon frère utérin, en faisant décharger, et foutant
enfin avec émission une soeur paternelle, qu'il avait épousée,
et que j'engrossai: car Bourgelat n'a jamais eu que cet
enfant, venu au monde neuf mois après ma fouterie au grenier à
foin. Mais j'avais encore bien de l'ouvrage, avec huit soeurs,
dont six, ou du moins cinq, étaient souverainement
enconnables. Mais revenons à Marie, la plus belle de toutes...
Un jour de Vierge, Marie était parée, chaussée avec ce goût
particulier aux jolies femmes, et un superbe bouquet
ombrageait ses blancs tétins. Elle me fit bander. J'avais
quatorze ans; j'avais déjà foutu et engrossé trois femmes; car
Mammelasse avait une fille, qu'elle se vantait que je lui
avais faite, et qui ressemblait comme deux gouttes d'eau à
Jenovefette Linguet. Ainsi, je n'eus pas des désirs vagues; je
tendais directement au con de ma provoquante aînée. Après le
dîner, elle alla dormir, dans une alcôve obscure, et s'étendit
sur le lit conjugal. Elle avait vu bander son mari, dont la
culotte blanche était juste, et elle voulait lui donner le
plaisir de le lui mettre parée. Je me cachai pour les guetter.
Mais mon beau-frère, après avoir pris les tétons et le con de
ma soeur, avoir admiré ce dernier, en éclairant l'alcôve, se
réserva sans doute pour la nuit suivante. Il se retira
doucement. Je lui vis prendre sa canne, son chapeau, et
sortir. J'allai pousser un verrou. En revenant, je refermai
les rideaux; le mari les avait laissés ouverts, et sa femme
troussée. Je me mis sur elle déculotté, bien bandant, et
j'enfilai sa fente, suçant tantôt ses tétons découverts,
tantôt ses lèvres entr'ouvertes. Elle me croyait son mari. Un
bout de langue me chatouilla. J'étais entré tout calotté. Le
filet, que je n'avais pas encore coupé, recourbait mon vit, et
le faisait paraître gros comme celui de l'époux. Je poussai.
Ma belle s'agita, et mon long vit atteignit le fond. Alors ma
soeur, demi-pâmée, se trémoussa. Je déchargeai... et je
m'évanouis...

Ce fut ce qui me fit reconnaître. La belle savoura les
dernières oscillations de mon vit. Mais dès qu'elle eut
éprouvé tout le charme d'une copieuse décharge, elle se
déconna en me jetant sur le côté. Elle ouvrit les deux rideaux
de l'alcôve; et, me regardant:

-- Ha! Grand Dieu! c'est Cupidonet! Il m'a déchargé tout au
fond! Il s'est évanoui de plaisir!...

Je revenais à moi. Elle me gronda, en me demandant qui m'avait
appris cela?

-- Ta beauté (lui dis-je), adorable soeur.

-- Mais si jeune?

Je lui racontai alors toute ma vie: comme j'avais patiné,
léché le connin de Jenovefette: comme j'avais gamahuché, enfin
enfilé le con soyeux de Madeleine; foutu Mme Linguet, la
croyant Mme Bourgelat: comment Mammelasse s'était fait
enconner par moi; comment, ne pouvant me passer de con, je
léchottais le connichon de Babiche; comment j'avais engrossé
les trois femmes que j'avais enconnées.

-- Ah ciel!... Mais tu es bien indiscret!

-- Je ne le suis avec toi, que parce que tu es ma soeur aînée,
que je t'ai foutue (le récit que je venais de débiter, les
tétons de ma soeur, sa chaussure me faisaient rebander), et que
je vais, divine Marie, te foutre encore.

-- Mais mon mari...

-- J'ai poussé le verrou...

Elle me pressa la tête contre son beau sein, en me disant tout
bas:

-- Petit coquin, fais-moi aussi un enfant?...

Je la re-enconnai, j'émis sans m'évanouir. La belle Marie
n'avait pas encore eu d'enfants: je fus père de Mlle
Beauconnin, fille unique de mon beau-frère de ce nom.

[Je passerai toutes les fouteries communes; ce n'est qu'à
force de volupté, de tableaux libidineux, tels que les
savoureuses jouissances qui vont suivre, qu'on peut combattre
avantageusement dans le coeur et l'esprit des libertins blasés,
les goûts atroces éveillés par les abominables productions de
l'infâme et cruel de Dsds! Ainsi, je réserve toute ma chaleur
pour décrire des jouissances ineffables, au-dessus de tout ce
qu'a pu inventer l'imagination exquisement bourrelle de
l'auteur de Justine.]

Chapitre V Du bon mari spartiate.


Il faut néanmoins, avant de passer aux tableaux que je viens
de promettre, rapporter en peu de mots, une aventure
extraordinaire, que j'eus, rue Saint-Honoré, à vingt ans
accomplis, en faisant mon droit.

J'étais voisin vis-à-vis d'un vieil horloger, qui avait une
femme jeune et charmante. C'était sa troisième. La première
l'avait rendu parfaitement heureux pendant douze ans; c'était
une ivresse. La seconde, durant dix-huit ans, à l'aide d'une
soeur plus jeune, par laquelle la dame se faisait remplacer au
lit dans ses moindres indispositions, pour que son mari ne
foutît jamais avec dégoût. Cette excellente épouse ayant cessé
de vivre, l'horloger avait épousé, âgé de soixante ans, la
jolie, la délicieuse Fidelette, putative d'un architecte, et
fille naturelle d'un marquis. La beauté de cette troisième
femme n'avait pas d'égale, pour le moelleux et le provoquant.
Son mari l'adorait; mais il n'était plus jeune! Cependant,
comme il était riche, il lui prodiguait tout ce qu'elle
paraissait désirer. Mais il n'atteignait pas le but, et
Fidelette était chaque jour plus triste. Enfin, un soir, ce
bon mari lui dit:

-- Mon ange! je t'adore, tu le sais! Cependant tu es triste, et
je crains pour tes jours précieux! Tout ce que je fais ne te
flatte en rien? Parle! c'est un ami tendre qui t'en conjure!
Dis-moi ce que tu désires? Tout, tout ce qui sera en mon
pouvoir, va t'être accordé!

-- Oh! tout (dit la jeune femme).

-- Oui, tout, fût-ce... Est-ce à ton coeur? est-ce à ton divin
connin, qu'il manque quelque chose?

-- Tu remplis mon coeur, cher mari! Mais j'ai des sens trop
chauds, et, quoique blonde cendrée, mon bijou a des
démangeaisons... terribles!

-- T'est-il indifférent qui le satisfasse; ou aurais-tu un
goût?

-- Sans aimer, j'ai un goût... un caprice... Mais je n'aime que
toi.

-- Qui excite ta main, que je vois en ce moment chercher ton
gentil petit chose?

-- Tiens! ce voisin... qui me regarde... et dont... je me suis
déjà plainte...

-- J'entends!... Tu as dû me trouver bien bouché!... Passe au
bain, mon ange adoré.. je reviens dans l'instant.

Il courut me trouver.

-- Jeune voisin! On dit que vous aimez Mme Folin l'horlogère?

-- Ma foi, on dit vrai; je l'adore.

-- Venez.

-- Il en arrivera ce qu'il pourra. Allons.

Il me prit la main, et nous allâmes chez lui.

-- Déshabillez-vous; passez dans ce bain, que ma femme quitte.
Voilà de mon linge. Régalez-la en nouvelle mariée - ou
ménagez-vous pour différentes nuits; à votre choix et au
sien.... J'adore ma Fidelette; mais, pour cette épouse chérie,
je suis content dès que je la vois satisfaite, heureuse. Quand
vous l'aurez foutue, que son petit connin aura bien déchargé,
je l'enconnerai à mon tour, pour lui porter mon petit présent.

Et il me fit entrer dans le lit où sa femme était depuis le
bain. Il s'en allait.

-- Mon cher mari! (s'écria cette timide Colombe), tu me laisses
seule avec un inconnu! Oh! reste! et si tu m'aimes, sois
témoin des plaisirs que je ne devrai qu'à toi!...

Et elle nous baisa tous deux sur la bouche... Le lit était
vaste. Le bon Folin s'y mit avec nous... Je grimpai sur le
ventre de la jeune épouse, aux flambeaux allumés, au vu du
mari, et j'enconnai roide... Elle répercutait avec fureur.

-- Courage, ma femme! (criait l'excellent mari, en me
chatouillant les bourses) ... Décharge, ma fille! Hausse le
cul!.. darde ta langue... ton fouteur va t'inonder!... Toi,
jeune vit, plonge... plonge!... Lime... Lime-la...

Nous déchargeâmes comme deux anges... Je la foutis six fois
dans la nuit, et les deux époux furent très contents de moi...
J'ai eu cette jouissance céleste, et plus qu'humaine,
jusqu'aux couches de Fidelette, qui perdit la vie, en la
donnant au fruit de notre fouterie.

Chapitre VI De l'épouse qui se fait enculer.


Je passerai sous silence mes connilleries avec ma femme
clandestine, puisque je n'ai jamais avoué ce mariage.
Conquette-Ellès était une jolie grêlée, faite au tour, ayant
un con tellement insatiable, que je fus obligé de lui mettre
la bride sur le cou, et de la laisser foutre avec qui elle
voudrait. Elle était fille d'un traiteur de la rue Saint-Jacques,
et soeur du libraire PetiteBeauté. Elle est morte
syphilisée, longtemps après m'avoir donné deux filles... Ah!
qu'elle foutait bien! jamais femme enconnée n'a brouetté son
cavalier comme Conquette!... Elle est la seule créature que
j'aie enculée, mais sur son invitation, quand sa santé fut
douteuse. Elle me donna ensuite le cul de sa soeur cadette, en
me disant que c'était encore le sien. Et je le croyais. Mais
la jeune personne se faisant enconner, je m'aperçus de la
tricherie, dont je ne témoignai rien... Cela fut délicieux!
mais ce n'est que de la fouterie ordinaire... Quand ma
belle-soeur fut mariée, ma femme séduisit sa coiffeuse, à laquelle
elle recommanda bien de se faire enculer, alléguant que j'y
étais accoutumé. Mais cette fille m'ayant averti dans la
journée, je l'enconnai la nuit, sans que Conquette s'en
aperçût. J'eus ainsi successivement six coiffeuses, toutes
jolies, pendant douze ans, ma femme, qui les payait, croyant
me cacher, par ce moyen, qu'elle avait la vérole. Ce fut ainsi
que j'attendis les connins délicieux qui m'étaient destinés
par la nature... C'est après la dernière coiffeuse, que
Conquette mourante, ayant remarqué qu'un de mes cadets
courtisait ma fille-nièce Beauconnin, qu'on ne voulait pas lui
donner, et qu'il en était aimé, proposa à Mariette de se le
laisser mettre par son amant! Mais, craignant que le jeune
homme ne pût la dépuceler, elle me dit que la dernière
coiffeuse m'envoyait une de ses élèves, qu'il fallait
enconner, et sans parler, parce que, ma nièce couchant dans la
chambre voisine, il y avait des raisons pour ne pas envoyer
l'élève-coiffeuse dans la mienne... Pourvu que je foutisse un
jeune con, que m'importait? J'allai nu au lit. Je trouvai des
tétons naissants, un connin qui tressaillait. Je dépucelai...
J'avais enconné trois fois, lorsqu'on vint me faire retirer.
Je crus que c'était la convention. Mais, ayant écouté, je fus
très étonné d'entendre éperonner de nouveau ma monture, et ma
femme instruire, en les encourageant, son neveu et sa
nièce!... Je me remis dans mon lit tout pensif... Le
lendemain, je demandai une explication à Conquette.

-- Eh bien, quoi? (me répondit-elle) vous avez dépucelé votre
nièce Beauconnin avant que son cousin le lui mît parce que je
craignais qu'il ne pût la déflorer...

Je fus enchanté! J'avais eu les prémices de la fille que
j'avais implantée un jour de Vierge dans le con de la belle
Marie Linguet. Mais je dissimulai ma joie. C'était un
excellent pronostic pour les plaisirs dont je me flattais de
jouir depuis longtemps! et dont le moment approchait. J'y
touche enfin.

Chapitre VII Du connin au poil follet.


On sait que j'avais deux filles, ou que du moins ma
clandestine les avait; car je me rappelle qu'elle prétendait
que ses véritables filles étaient mortes en nourrice, et
que... et que... Elle parlait du Roi... d'une princesse...
Mais elle était si menteuse que c'eût été une folie de la
croire.

Conquette-Ingénue, ma fille aînée, me causait des désirs dès
l'âge de dix ans. Pendant que sa mère non encore vérolée
couchait et foutait avec un galant, elle envoyait Conquette
dans mon lit. Cette enfant avait la plus jolie conque. Je me
fis une règle dès lors de la lui baiser tous les soirs, après
lui avoir écarté les cuisses, durant son premier sommeil.
J'introduisais légèrement la langue, mais sans lécher. Je
m'endormais ensuite, elle remise sur le côté, ses fesses sur
mes cuisses, et mon vit pressé entre les siennes. Dans le
jour, j'enconnais, ou la maîtresse d'un certain Mivière,
avocat, ou une jolie bossue toujours bien chaussée, qui
demeurait dans la maison; ou une boiteuse des deux côtés, mais
d'une délicieuse figure, et prête à se marier. Elle s'était
laissée déflorer par son futur, et depuis ce temps-là, elle ne
ménageait plus un très joli con blond. Quand ces trois
fouteries me laissaient chômer trop longtemps, je fourgonnais,
le vit serré entre les cuisses de Conquette-Ingénue, qui, se
sentant gênée, l'empoignait toute endormie, et me faisait
éjaculer. Elle avait onze ans. Elle sentit quelque chose, et
parla. On la mit dans un cabinet fermé.

Elle apprit à dessiner. Lorsqu'elle eut treize à quatorze ans,
après une interruption de plus de deux ans, je me trouvai
veuf, et elle revint à la maison. Elle coucha dans une petite
chambre à côté de la mienne. Elle était grandie, faite au
tour; elle avait le pied le plus parfait. Je la fis chausser
par l'artiste le plus habile, sur la forme de sa mère, qui
était celle de la marquise de Marigni. Puis je devins
éperdument amoureux de mon ouvrage.

Mais personne jamais ne fut plus chaste que cette céleste
fille; quoique ses mères, soit réelle ou putative, fussent
putains, et soient toutes deux mortes de la vérole.
Conquette-Ingénue ne souffrait pas qu'on prît sur elle la moindre
liberté... La Providence le voulut sans doute, pour qu'elle en
fût un jour plus désirable et plus voluptueuse... Ainsi, je me
trouvai réduit à la gamahucher pendant son sommeil, qu'elle
avait profond, heureusement! Je profitais de son premier somme
pour la découvrir, admirer son délicieux connin, qu'un joli
poil follet commençait d'ombrager, et la gamahucher
modérément. Ce ne fut qu'à la dixième nuit, que je la sentis
me riposter. Je redoublai les coups de langue, et elle
émit.... La lumière était éteinte, quand Ingénue s'éveilla, en
disant:

-- Ah! Ah! Ah! ça me chatouille! Ahh!...

Elle crut qu'elle avait rêvé. Cependant elle dagua sa jeune
soeur, couchée avec elle, de plusieurs coups de coude, comme si
elle eût pensé que cette enfant l'avait chatouillée.

Je me remis dans mon lit, enchanté que ma fille eût déchargé.
Cette émission me fit espérer qu'ayant éveillé son
tempérament, je pourrais l'enconner bientôt, en faire ma
maîtresse, et me trouver le plus heureux des hommes. Mais que
j'étais loin de compte! et combien de vits devaient tenter de
martyriser ce divin connin avant le mien! Hélas! il fut prêt
d'essuyer une Iliade de malheurs!..... Quoi qu'il en soit, ç'a
été ma véritable inclination, la plus constante, la plus
voluptueuse, que cette adorable fille, qui n'a eu de rivale
que sa soeur... Non (je le dis, d'après l'expérience), il n'est
pas au monde de plaisir comparable à celui de plonger son vit
bandant, jusqu'au fond du con satiné d'une fille chérie,
surtout si remuant du cul avec courage, elle décharge
copieusement! Heureux! heureux qui cocufie, et fait cocufier
un gendre également détesté de tous deux!

Conquette-Ingénue eut ses règles la semaine suivante de celle
où elle avait enfin déchargé. Ainsi elle était parfaitement
nubile. Mais, éveillée, je ne pouvais lui ravir aucune faveur
essentielle. Ma soeur Marie, qui me connaissait, la mit en
apprentissage de modes et du commerce de la bijouterie, chez
une jolie marchande, dont le mari était chef de bureau; et le
bijou de la belle Conprenant me dédommagea, mais sans m'en
consoler, des rigueurs de celui de ma fille. Je le mis aussi à
ma nièce Beauconnin, alors mariée à son cousin. Et, sans ce
double soulagement, aurais-je pu m'empêcher de violer la
provocante Conquette-Ingénue? Eperdument amoureux d'elle,
n'osant lui prendre de jour son joli poil follet, et ne
l'ayant pas la nuit, je me contentais de la faire regarder
dans la rue, par une fenêtre à large rebord, ce qui lui
mettait à découvert un pied exquisement chaussé, une partie de
la plus belle jambe; de sorte qu'en me baissant, je voyais la
cuisse, et le connin dans certains mouvements, ou lorsqu'elle
se disposait à descendre. Je bandais comme un carme. Mais en
ce moment arrivaient à point nommé, ou la maîtresse de
Conquette-Ingénue, ou ma jolie nièce Beauconnin, que j'allais
enfiler dans ma chambre, après avoir dit à ma fille de se
remettre à la fenêtre, pour les voir arriver; et, au moyen de
ma porte entr'ouverte, je voyais le pied provoquant, la jambe
voluptueuse de celle qui me faisait bander, en foutant soit sa
maîtresse, soit sa cousine.

Quatre ans s'écoulèrent ainsi; et je n'eus plus de fouteries.
Alors, plus amoureux que jamais de Conquette-Ingénue, qui
était superbe à dix-huit ans, je résolus de la faire coucher
quelquefois chez moi, en la retenant tard, sous prétexte d'une
indisposition subite. Elle avait toujours le sommeil aussi
profond. Ainsi, dès qu'elle était endormie, je la gamahuchais,
et je la faisais copieusement décharger. Elle avait une motte
superbe, ombragée d'un poil noir doux et soyeux. Je brûlais
d'envie de le lui mettre. Mais elle s'éveillait toujours en
déchargeant. Aussi me disait-elle:

-- Je ne fais que chez vous de singuliers rêves, qui me rendent
toute je ne sais comment!...

La seule chose que je me permisse était de demander à baiser
son joli pied chaussé; quelquefois sa jambe. J'allai un jour,
en la tourmentant beaucoup, jusqu'à obtenir de toucher le poil
satiné de son bijou. Mais elle fut ensuite si fort
effarouchée, craignant que je ne parvinsse à la déflorer avant
mariage, qu'elle précipita, aidée de sa maîtresse Mme
Conprenant, un mauvais établissement avec un infâme. Ce fut ce
que j'ai eu tant de peine à lui pardonner!... Mais la pauvre
enfant en a trop souffert... elle s'en est assez repentie...
son charmant connin a depuis trop bien mérité de moi, pour que
des torts de jeunesse et d'inexpérience ne soient pas oubliés.
J'y étais obligé d'ailleurs par un autre motif: c'est que je
dois à cet exécrable mariage d'indicibles délices (comme on va
le voir), ainsi que ma fortune présente.

Chapitre VIII Des conditions de mariage.


Le dimanche suivant, Conquette-Ingénue étant chez moi, suivant
son usage, elle ne put s'empêcher de voir que je bandais à
n'en pouvoir plus! Elle tremblait pour sa virginité!... Je lui
avais baisé le pied, la jambe; mais elle avait défendu son
connin. Tout à coup je me lève, et m'appuyant sur le dossier
de sa chaise, je plonge les deux mains dans son corset; je lui
prends les tétons.... Ah! qu'ils étaient jolis!... petits,
mais fermes! et d'une blancheur... Elle ne put se dérober...
Elle me déclara pour lors sérieusement, qu'elle voulait se
marier. A ce mot, je passai devant elle, le vit à l'air et
bien bandant. Elle devint rouge comme une cerise. Elle
bouillait. Enflammé d'amour et de luxure, je lui notifiai, que
je ne signerais rien, qu'à la condition de la dépuceler
auparavant. Elle se récria!... Je lui pris le con par force.
Elle se recueillit, et me dit:

-- Signez du moins pour ceci!

-- Oui; si je te gamahuche.

Elle ne m'entendait pas. Je m'expliquai, ajoutant:

-- Et jusqu'à la décharge, ou le plaisir, de ta part,
inclusivement!

Elle réfléchit... Puis soupirant:

-- Ah! combien vous me l'avez fait! Mes rêves étaient causés
par vous!...

Elle se mit à la renverse sur le lit, en me disant:

-- Satisfaites-vous! et... ne me... trompez pas!...
Gamahuchez... mais je veux être pucelle le jour de mon mariage
avec M. Vitnègre; c'est un homme veuf, et Mme Conprenant dit
qu'il s'y connaît.

Pendant ce discours, je rassasiais mes yeux d'abord de la vue
du plus ravissant des connins; de celle d'un ventre uni comme
l'ivoire; d'une cuisse d'albâtre; d'un cul de satin.

-- Dépêchez-vous!

-- J'inventorie ce que nous devons livrer à ce M. Vitnègre, et
tout est bien conditionné, une chose que je te dirai exceptée.
Gamahuchons.

J'étais enragé! Je la léchais avec fureur, guettant l'instant
de l'émission de sa liqueur virginale, pour me jeter sur elle,
et l'enfiler. Elle émit dès le sixième coup de langue; de
sorte que je ne le pouvais croire. Mais bientôt ses
trémoussements m'en convainquirent. Alors, quittant le connin,
je me jetai sur elle. Enivrée de plaisir, il est certain
qu'elle m'aurait laissé tout faire; mais son jeune connichon,
quoique bien humecté de son foutre et de ma salive, ne put
être pénétré. L'expérience qu'il faut, pour enfiler certaines
pucelles, de la pommade ou du beurre frais, ne m'était pas
encore acquise... A la fin, elle me saisit le vit, pour me
débusquer. Pressé, de sa main douce et blanche, il déchargea,
et couvrit d'un foutre azuré son con, son ventre, ses cuisses
et sa main. Propre comme elle le fut toujours, elle se
débarrasse, et court se laver.

-- Qui ne dirait (m'écriai-je en la voyant s'éponger cul,
cuisses et conniche), que je l'ai enconnée!...

-- Ah! si vous étiez raisonnable! (répondit Conquette-Ingénue)
ce joli gamahuchage, tant que vous voudriez; car j'ai eu bien
du plaisir!

-- Voilà un joli mot!

Et je lui fis darder la langue dans ma bouche, moi lui tenant
le connin.

-- Mais (reprit-elle), pas ce qui m'a salie, dans ce que je
viens de laver! je veux être honnête femme.

-- Tu dois ton joli con à ton père, ma charmante fille!

-- Si vous étiez plus riche, je renoncerais au mariage, et je
me dévouerais à vos plaisirs. Mais il me faut un mari, pour
cesser de vous être à charge.

Touché, je la baisai des pieds à la tête, soulier, jambe,
front, oeil, bouche, cou, tétons, cuisses, cul, enfin motte,
jusqu'à ce qu'elle déchargeât... Ensuite, je signai tout ce
qu'elle voulut... Elle était adorée, en ce moment.. Elle se
maria, sans me revoir, et m'évita pendant trois mois. Une
pareille conduite me rendit furieux contre elle, et je jurai
de la foutre et faire foutre, si elle retombait entre mes
mains, mille et une fois, avant que de lui pardonner!... Mais
savais-je alors qu'elle était malheureuse?

Chapitre IX Des dédommagements.


Victoire-Conquette, ma seconde fille, était en province,
depuis la mort de sa mère, chez sa tante Jenovefette, alors
mariée avec son dernier entreteneur. N'ayant plus de con à ma
dévotion, je redemandai Victoire. En attendant qu'elle
arrivât, je m'accommodai de deux petits connins encore
imberbes, ou du moins à poil follet, que je parvins à
perforer, en les pommadant. C'étaient la soeur et la maîtresse
de mon secrétaire, qui lui-même me les livra, comme on le
verra par la suite. Nous foutions jusqu'à sa vieille belle-mère;
ne voulant pas aller aux putains.

Dès que Victoire fut arrivée, je la fis chausser comme sa
soeur, à talons minces élevés; et cette enfant, qui atteignait
quinze ans, me fit autant bander que son aînée. Mais je ne
cherchai pas à la déflorer; elle ne me servait qu'à me mettre
en humeur, et à me faire enconner plus vigoureusement et
Minone, et Conette, soeur et maîtresse de Traitdamour mon
secrétaire, ou leur belle-mère. Pour cela, quand Victoire
rentrait parée, chaussée, je la saisissais par la jupe, et je
l'asseyais sur mes genoux, à crû, moi déculotté, quand je le
pouvais; je me faisais caresser, donner de petits coups de
langue. Si j'étais à crû, mon vit lui allait entre les cuisses
comme le battant d'une cloche; si elle n'était pas troussée,
comme elle était fort innocente, je me faisais empoigner le
vit, en lui disant:

-- Mignonne, serre-moi le doigt, fort! fort!

Minone, Conette, ou la belle-mère arrivaient toujours,
Traitdamour en allant chercher une dès qu'il me voyait
m'enfermer avec Victoire. En les entendant, je remettais la
charmante enfant dans sa chambre par une porte dérobée;
j'ouvrais, et je foutais délicieusement, les couilles
chatouillées par Traitdamour. Il enconnait ensuite la même,
soeur ou belle-mère, et je lui maniais les couilles.

Je me serais contenté de cette vie pendant longtemps, quoique
toujours amoureux de Conquette-Ingénue, devenue Mme Vitnègre,
si mes soeurs Marie et Jenovefette n'eussent trouvé indécent
que je gardasse Victoire seule chez moi. Elles m'obligèrent à
la mettre en apprentissage pour le linge chez des dévotes
qu'elles m'indiquèrent. Mme Beauconnin l'y conduisit.
Heureusement que la chère enfant m'avait, depuis quelques
jours, donné la connaissance d'une grande et superbe femme
séparée, son amoureuse éperdue, sans que la naïve Victoire
s'en doutât, et que cette belle femme m'en croyant amoureux
aussi, foutît sous moi avec fureur. Car elle m'appelait alors
son papa, et me disait:

-- Enconne; enconne... enconne ta... provocante Victoire! ta...
passionnée, ta... tendre fille!

Chapitre X De l'infâme mari.


Mais le moment approche où je dois recouvrer Conquette-Ingénue.
Mon désir le plus vif, même dans les bras de Mme
Moresquin (l'amie de Victoire), était de faire Vitnègre cocu!
Un jour, ma Conquette me rencontra sur le pont Notre-Dame.
Elle était malheureuse; elle vint se jeter dans mes bras. Je
fus si ému, que toute mon ancienne colère s'évapora. Ma
délicieuse fille était encore embellie dans les douleurs. Mon
premier mouvement fut de lui prendre le con. Mais nous étions
dans la rue... J'allai la voir dès le lendemain soir, à
l'heure où elle m'avait dit que son mari, ou plutôt son
monstre, n'y était jamais. Je la trouvai seule en effet; et
dès cette première visite, elle m'avoua qu'elle avait un
amant. Ravi de cette confidence, qui m'annonçait le cocuage de
Vitnègre, je la flattai, je l'amadouai; je l'engageai à se le
laisser mettre par Timori (son galant). Mais je compris
bientôt que c'était, des deux côtés, un amour absolument
platonique, où Conquette-Ingénue se consolait, auprès d'un
bandalaise, des brutalités d'un débauché. Elle aimait à parler
de son amant. Et, comme j'étais le seul avec qui elle le pût
en sûreté, que je promis de leur procurer des entrevues, je
fus chéri.

A la seconde visite, Conquette me découvrit quelques infamies
récentes de Vitnègre. Un jour qu'elle se baissait, pour
ramasser quelque chose, il lui fit prendre le con par un de
ses amis. Elle s'écria.

-- Ce n'est rien qu'un con de pris (dit froidement Vitnègre)...

(à son ami):

-- Ne t'avais-je pas bien dit qu'elle avait le poil du con plus
satiné que de la soie?... Eh bien! le dedans est plus doux
encore...

Conquette voulut se retirer. Il la retint brutalement, la fit
mettre sur lui, la troussa jusqu'aux cuisses, et lui tint le
con, s'efforçant de le faire voir, ou de la branler, pendant
tout le temps qu'il fut à raconter combien, quand elle le
voulait, elle donnait de plaisir à son caresseur.

-- Mais (ajouta-t-il), elle est comme les putains; il faut la
rosser, pour lui faire faire son devoir.

Il voulut ensuite lui découvrir la gorge. Elle s'échappa. Mais
il l'atteignit d'un coup de pied... Quelques jours après, le
même étant venu dîner, après le café, Vitnègre s'étant aperçu
que sa femme, après avoir pissé, avait fait bidet, dit à
Culant son ami:

-- Voilà un con bien propre! il faut le gamahucher tous les
deux, d'adresse ou de force! Mais, dans ce dernier cas, ne
t'étonne pas du bruit!... Pour le premier, voilà une clef;
elle ouvre la porte du cabinet qui donne sur le corridor. Tu
entreras quand, lassé, je dirai très haut:

-- Allons, Madame, faites-moi beau con, et recommençons. Et
donne-t'en! car je voudrais que toute la Terre foutît la
garce; elle n'est pas assez large...

Conquette fut rappelée. Le mari la fit asseoir au milieu
devant le feu, mit à l'air son vit, ses couilles de mulâtre,
et dit à son ami d'en faire autant. Comme il hésitait:

-- Déculotte-le tout à l'instant, bougresse, ou je t'arrache
les poils du con à la poignée!

Et il y porta la main. Elle fit un cri. Culant mit aussitôt à
l'air son vit et ses couilles, en demandant grâce pour elle.

-- Allons, bougresse, branle-nous tous deux, un de chaque
main!...

-- Je suis son maître (ajouta le scélérat); elle m'est
abandonnée.

Conquette pleurait. L'ami demanda encore grâce pour elle...

-- Eh bien, qu'elle me suce le vit, là, à genoux devant moi,
que je lui décharge dans la bouche! Je déchargeais dans celle
de ma première femme, qui en est morte, et c'était mon délice.

Culant observa, que ce serait gâter la plus jolie des bouches.

-- Hé bien donc, je vais la gamahucher.

-- Je banderais trop! (dit Culant) passez dans ce cabinet.

Vitnègre y poussa Conquette, et se substitua Culant. Puis il
sortit pour aller jouer. Culant gamahucha, et n'osa foutre
Conquette, ayant le vit si petit, qu'il ne pouvait être pris
pour Vitnègre. Mais il déchargea six fois, et Conquette le
double. Il se retira, en lui donnant un coup de poing, afin
qu'elle fût persuadée que c'était Vitnègre. Mais le soir, à sa
rentrée, le monstre dit à sa femme:

-- Eh bien, bougresse? as-tu été assez gamahuchée? ce n'était
pas moi; je ne t'aurais fait l'honneur de décharger six fois;
c'était mon ami. Mais, garce, tu l'as reconnu, puisque tu en
as déchargé douze, et que tu ne bandes pas pour moi. Et le bon
coup de poing qu'il t'a donné, hein? l'as-tu senti? (l'infâme
éclata de rire). Allons, garce de bâtarde d'avocat, te voilà
putain; j'entends que ton con me rapporte.

Effrayée, Conquette se promit de le quitter. Ce fut le
lendemain qu'elle me rencontra, et de ce moment elle prit de
la fermeté contre le monstre.

Ce récit de ma fille, quoique plus gazé dans sa bouche,
m'avait révolté! je lui promis un prompt secours... Mais en
même temps il me faisait bander en carme, comme tous les
récits de brutalités libidineuses. Je demandai des faveurs. On
rougit; mais on me laissa baiser un joli soulier vert, qu'on
portait pour la première fois. Je m'en tins là. Cependant, à
la visite du lendemain, je glissai, en riant, une main dans
son dos; insensiblement j'en vins aux tétons, qu'elle
défendit, mais qui me restèrent enfin. Je me fis ensuite
donner de ses cheveux; puis, voulant voir jusqu'où je pourrais
la mener, sans l'effaroucher, je la tourmentai pour avoir une
petite touffe des poils de son con soyeux. Elle me la donna;
mais en tremblant que son mari ne s'en aperçût! Pour la
remettre, je la fis parler de son amant; et pendant cet
entretien, de libertés en libertés, je parvins au con. Elle
était si parfaitement á son sujet, que je crois en vérité
qu'elle s'imagina que c'était Timori qui lui tenait la
motte!... Je lui dis, en la patinant, que je lui avais trouvé
une pension, pour quand elle aurait quitté Vitnègre. Elle
rougit de plaisir, et m'embrassa. Je lui dardai ma langue, et
elle me fit sentir la sienne... Ravi, j'allais lui demander le
récit de la manière dont elle avait été dépucelée, quand,
Vitnègre s'étant fait entendre, je me jetai dans le cabinet
obscur, me proposant de m'évader par la porte du corridor.
Mais je fus étrangement surpris de voir un moine introduit par
cette porte! Il ne m'aperçut pas; je me cachai derrière un
grand sofa. Vitnègre entra aussitôt par la porte de la pièce
que je quittais:

-- Mon révérend Père, voulez-vous la foutre avant dîner?...

Le moine, qui dévorait des yeux la belle Conquette à travers
les vitrages, parut concentré... Au bout d'un moment, il
répondit:

Chapitre XI Pucelage destiné aux gros vits, pris par un petit.


-- Non: comme nous en sommes convenus, passez dans la chambre
éclairée; faites-moi voir, en badinant avec elle, tétons, cul
et con; je me réserve pour la nuit.

-- Oh! ce coup-ci serait par-dessus le marché.

-- Non: j'aime à foutre au lit, à suçoter langue et tétons; à
enconner, enculer, entétonner, etc., à mordre, arracher les
bouts... Allez... Ayez le vit à l'air, et qu'elle soit bien
chaussée... De la brutalité!

Vitnègre rentra déculotté auprès de sa femme toujours
tremblante devant lui.

-- Allons, bougresse, il me faut du plaisir! Vois comme je
bande, à la vue de ce joli soulier vert!... J'ai entendu hier
un jean-foutre derrière toi qui disait qu'il aurait voulu
décharger dedans... A bas ce fichu, que je voie tes tétons...
Comme ils sont jolis! blancs!... fermes! Ah! garce!
j'arracherais ce joli bouton, si je ne craignais de les
gâter!... Marche.... Quel tour de croupion foutatif!...
Troussée, putain, au-dessus des reins et du nombril, que je
voie ce mécanisme-là!... Marche en avant, présentant le con...
Retourne-t'en montrant le cul... Ah! le joli mouvement!...
Continue, garce à cul et à con, jusqu'à ce que je te dise,
Holà... (Elle fit ainsi cent tours, montrant alternativement
son cul, son con)...

Cependant le moine disait:

-- Ce bougre-là n'a pas le vit si gros que moi, et il n'a pu la
dépuceler! Oh! comme elle criera cette nuit!... Mais je n'y
tiendrais pas; je la tuerais; elle crierait à faire venir le
voisinage... Je m'en vais.

Et il sortit doucement, en murmurant:

-- Elle est à tuer; elle le sera!...

Au même instant, Vitnègre dit:

-- Holà, garce engarcée.

Et il vint dans le cabinet...

-- Qu'en dites-vous? (dit-il) la voulez-vous essayer?

Je bandais à n'en pouvoir plus. Je répondis bien bas pour le
moine:

-- Oui.

Vitnègre alla chercher sa femme; et, la poussant brutalement:

-- Allons, de par Dieu, garce, putain, que je te foute... Ah!
comme tu vas crier! Mais songe, sacré connin de poupée, à ne
pas faire venir ici les voisines! ou je les laisse tous
entrer, sans me déranger de sur ton sacré ventre!...

En achevant ces mots, il me la renversa troussée sur le
foutoir mis là exprès, et se retira. Je me précipitai sur ma
fille, qui se sentant enfilée presque sans douleur, ne criait
pas.

-- Crie donc! (lui dis-je bien bas).

Et elle cria à tue-tête, en se reconnaissant enconnée par un
étranger. Dès que j'eus déchargé délicieusement, en lui
faisant osciller le con, je m'échappai, avant que les voisines
arrivassent; et comme elle continuait à crier, je les envoyai
à son secours. On la trouva debout.

-- C'est ma femme que je baisais (dit Vitnègre). Regardez-y; il
en est encore tout barbouillé. Mais elle est du naturel des
chattes; elle mord et crie, quand on la fait bien aise.

Les voisines rirent, et se retirèrent. Vitnègre dîna, et fut
assez honnête; il craignait que sa femme n'eût connu qu'elle
était foutue par un moine, et qu'elle ne parlât. Je dînais
dans un cabaret en face. Je le vis sortir, et aussitôt je
retournai chez ma fille, qui me conta tout. Je me tus d'abord.

Je lui fis raconter la manière dont je croyais qu'elle avait
été dépucelée; parce que ce récit avait du haut goût pour moi,
et qu'il me ranimerait assez, pour me la faire foutre encore.
Elle le fit, dès que je l'eus mise en goût, en lui rappelant
de son amant.

-- Notre première nuit et les trois suivantes ont valu chacune
cinq cents louis à Vitnègre, à ce qu'il m'a dit par la suite.
Dès que nous fumes arrivés à sa demeure, il alluma quatre
bougies, qu'il mit autour du lit, sur lequel il me renversa
troussée jusqu'aux reins. Il me tourna, retourna, m'examinant,
me baisant partout. Il me faisait lever les jambes en l'air,
puis mettre debout sur le lit.

-- Remue du cul (me disait-il), ainsi, ainsi (me montrant),
comme si je te foutais.

Je lui observai que cela était indécent.

-- Bast! une femme est la putain de son mari...

Il me gamahucha. Il s'écria de toutes ses forces:

-- Elle décharge!

Et il me fit empoigner son gros membre, de la couleur et de la
grosseur de celui d'un cheval.

-- Allons! allons, que je te foute, à présent.

Il se jeta sur moi. Mais il ne put rien.

-- Foutre! Celles qui disent que ton père t'a dépucelée sont
des garces! tu es pucelle comme quatre. Je voudrais que tout
le monde fût là, pour en être témoin...

Il me pommada... devant, derrière. Il éteignit les bougies
(mon pucelage était vendu), et il parut se coucher. Mais ce
fut un autre; car toute la nuit je fus tourmentée par un gros
membre, qui ne put rien...

Depuis le mot de son récit, Elle décharge! elle décharge!
j'avais glissé une main entre les cuisses de ma fille, sans
qu'elle s'en plaignît. Ici, je lui happais le con.

-- Ah! Papa! ne me ménagerez-vous donc pas plus que les autres,
un jour où... j'ai été dépucelée!

-- Dépucelée! Ah! céleste fille!... Est-il bien vrai?

-- Jamais on n'est entré... dans ce que vous me tenez...
qu'aujourd'hui!

-- O fille adorée! je suis un dieu, et non pas un homme... Mais
tu m'as fait trop bander: ta précieuse faveur!... ou...
j'aurais... une colique spermatique épouvantable!

Et je l'enlevai vivement dans mes bras; je la portai dans le
cabinet obscur.

Chapitre XII Du plus délicieux des incestes.


-- Vous voilà tous! (me dit-elle); et mon papa lui-même ne me
recherche que pour ce trou-là!

-- Et pour ton cul, tes tétons, ta bouche, tes yeux, ta taille
voluptueuse, ton tour provocant, ta jambe, ton pied foutatif,
ton âme naïve et virginale, malgré tout ce qu'on a fait, pour
te rendre putain.

En parlant ainsi, je la troussais par derrière, courbée
qu'elle était sur le foutoir, et je me disposais à le lui
mettre en levrette; mais il la fallut pommader. Elle reprit:

-- Mais c'est ma faute! ces récits-là enflamment tous les
hommes. Timori n'a été prêt à me déflorer qu'une seule fois;
et ce fut après ce même récit moins détaillé.

Cependant elle faufuyait, pour que je ne l'enfilasse pas. Je
m'en plaignis tendrement:

-- Tu veux donc me rendre malade, ma chère enfant?

Elle s'attendrit; ses beaux grands yeux bleus devinrent
humides; elle se cambra, pour me l'insérer elle-même, et me
dit, en me secondant, malgré quelque douleur, adoucie par la
pommade:

-- Quand ma soeur et moi nous vous l'avons vu tant de fois
mettre ainsi à ma mère, sur le pied de votre lit, vous criiez
de plaisir!.... n'allez pas en faire autant! Vitnègre peut
revenir!

Je lui promis le silence, telles délices que j'éprouvasse...
J'enconnais. Ma belle faisait de petits mouvements de
contraction du connin. Jamais satin ne fut aussi doux que
l'intérieur de ce connin céleste; connin encore imberbe n'est
pas plus étroit!

-- Ah! si ton gueux avait connu le prix de ton divin con, il
t'aurait défoncée, eusses-tu dû en périr!

-- Non: comme il l'a trop gros, il craignait de m'avachir. Il
se branle, ou me fait le branler, en me tenant le poil, ou une
fesse, et décharge... en... blasphémant (Elle se contracta, et
déchargea).

Je partis alors délicieusement, en me récriant, malgré ma
promesse.

-- Remue du croupion (ne cessais-je de dire), remue du connin,
mon ange!... Bon... bon!... encore! encore!...

Et elle se contractait, en redéchargeant, au point que le fond
de son con me pinçait, et me suçait le bout du vit... Je
déchargeai trois fois sans déconner; et elle, peut-être dix
fois. Ce que je sentais à ses trémoussements convulsifs.
Enfin, elle se pâma... Je déconnai, dès qu'elle cessa
d'émettre. Elle se lava aussitôt, craignant que Vitnègre, en
arrivant, ne lui prît et ne lui flairât le con, suivant son
usage, même devant le monde qu'il amenait.

Pour nous reposer, nous allâmes causer à la lumière. Je lui
révélai là toute l'aventure du moine, pour lequel Vitnègre lui
avait fait si longtemps tenir en vue tétons, cul, connin. Je
lui peignis la grosseur du vit du moine, le double de celui de
son monstre; la joie barbare qu'avait marquée l'exécrable
moine, à côté duquel j'étais caché, de la pourfendre et de la
tuer, la nuit prochaine, avec son vit comme un timon de
carrosse... Elle se jeta dans mes bras:

-- O mon cher papa? sauve-moi! et je te suis dévouée à jamais!

-- Je te sauverai...

Je lui expliquai comment et pourquoi le gros moine s'en était
allé; l'assurant que je l'aurais poignardé, s'il avait
entrepris de la violer sur-le-champ. Je lui détaillai comment
son abominable mari me l'avait livrée, comptant la donner au
moine, auquel elle était vendue.

-- Tu sais, ma ravissante fille comme je te l'ai mis? c'est
moi, contre tout espoir et toute vraisemblance, qui ai ravi à
nos ennemis, ton céleste pucelage!

Conquette me donna un joli baiser sur la bouche.

-- Mais comment me sauveras-tu?

-- Je viendrai te prendre dans une heure; je t'emmènerai; tu
coucheras dans ta pension. Aussitôt que tu seras en sûreté, je
ferai entrer dans le cabinet obscur, avec ta clef, et coucher
dans ton lit, la jolie putain du Port-au-Blé, déjà prévenue,
comme pour y coucher avec moi. Je guetterai. Dès que Vitnègre
et le moine seront arrivés, je m'échapperai. J'écouterai; et
nous verrons demain.

Ma fille fut ravie. Je la sauverai: mais j'aurais dû l'emmener
au moment même. Au lieu de cela, je m'amusai à lui faire
raconter la seconde et la troisième nuit de son mariage.


Chapitre XIII Du con et du cul vendus.


Voici comme ma céleste fille reprit la narration que je
désirais:

-- Le second soir, Vitnègre recommença les mêmes choses. Il me
prenait légèrement la gorge:

-- Ferme comme un gland! (disait-il)...

Il me plaçait comme s'il m'avait montrée à quelqu'un (ce qui
n'était que trop réel!). Après avoir mis en vue ma conque, il
me tournait pour faire voir mes fesses.

-- Elle est encore pucelle (dit-il, comme s'il se fût parlé à
lui-même); pour la perforer, il faudrait la pommader en
diable, et se pommader à soi-même le v...

Il me gamahucha violemment; et quand j'eus émis suffisamment,
selon lui, il me laissa reposer. Après un court sommeil, je
m'éveillai couchée sur le ventre, ayant sur moi un homme, qui
s'efforçait de m'introduire dans le fondement un fort gros
membre. Mais quoiqu'il n'eût aucun égard à mes soupirs
douloureux, il ne put jamais s'ouvrir le passage par la
rosette de mon anus (ce fut son expression, prononcée très bas
à quelqu'un). J'entendis ensuite, dans cette pièce-ci:

-- Il faudrait qu'un v... moins gros que le mien me la fraye...
Voyons, toi! Trop gros, de beaucoup!...

Je n'y comprenais rien. Je m'endormis, et ne m'éveillai plus.

Le lendemain, dans la journée, Vitnègre m'ayant beurré la
rosette, et plongé son membre dans l'huile d'olive, me fit
coucher sur le ventre et retrousser. Il se mit sur moi, en
disant:

-- Il faut que j'en tâte de ce ragoût de bougre.

Je lui représentai, qu'il m'avait essayée toute la nuit.

-- Ça va jusqu'à toi (me répondit-il), et ça te passe.... Ah!
que d'argent me vaudraient ces deux bijoux-là, s'ils étaient
connus!

Il fit tous ses efforts, me martyrisa deux heures durant sans
succès, et finit, parce qu'une copieuse déch--ge... lui ôta sa
roideur et ses forces...

Le troisième soir, il répéta encore tout ce qu'il m'avait
fait... A mon réveil, dans mon premier somme, je me trouvai
sur le dos, ayant un homme sur moi, qui m'attaquait le bijou
de toutes ses forces. Je m'écriai! Vitnègre me dit:

-- Décharges tu, ma fille?

On me quitta, et Vitnègre ajouta:

-- Si tu cries comme au feu dès que je voudrai te le mettre,
nous voilà bien!.. Allons, empoigne-moi le vit, que je
déch-- ge... Chatouille-moi les couilles de l'autre main... Tiens,
comme je fais à ton c-n. Va, va, va... vaah (Il ne m'appelait
encore ni putain, ni garce; ce ne fut qu'au bout de six
semaines).

Mais ce n'était pas lui que je maniais; j'en ai fait
l'observation depuis. On émit six fois de suite, je secouai
cet homme plus d'une heure. Il en fut une autre à me
gamahucher. Je n'en pouvais plus!... Il me fit ensuite lui
pisser dans la bouche, et n'en perdit pas une goutte, il avala
tout. Il me laissa enfin.... Si je n'avais pas été dans une
sécurité parfaite, je me serais bien aperçue, que Vitnègre le
reconduisait, en disant:

-- L'opération, l'opération!

Mais me doutais-je de rien?...

Je rebandais, malgré quatre décharges, et déjà je disais à ma
fille:

-- Connin céleste, je n'en puis plus!... Je ne te cacherai pas,
ma délicieuse amie, qu'outre ma passion pour toi, qui est
inexprimable comme ta beauté, j'ai un excitatif puissant:
c'est de faire cocu Vitnègre. Je voudrais, s'il était possible
sans triturer tes charmes divins, que toute la Terre te passât
par le con, pour qu'il fût le cornard universel... Viens me
donner le bonheur!

Et je l'emportais, quand nous entendîmes tourner la clef. Je
me cachai aussitôt dans le cabinet obscur... C'était Vitnègre,
qui rentrait avec un jeune homme. Nous entendîmes clairement,
qu'il lui disait avant d'entrer:

-- Tu as le vit comme il le faut; c'est ce qui me fait te
donner pour six bougres de louis un pucelage qui en vaut
mille. Il est essentiel que je te surprenne, et veuille la
tuer. Tu me supplieras, et je n'accorderai sa grâce, qu'autant
qu'elle te secondera, pour l'enconner. Mes gros vits
s'ennuient de ne pouvoir la foutre ou l'enculer. Ils me paient
une grosse pension. Aussi je la nourris bien, et tu vois comme
elle est mise. Tu me l'enconneras d'abord: c'est le plus
pressé. Demain, tu l'enculeras. Sache que son mari l'adore;
s'il la rudoie, c'est pour la rendre souple à toutes ses
volontés. Elle me vaut trente mille francs, en trois mois de
mariage. Entrons; elle va te ravir: mais point de pitié!

Tel fut le discours du monstre.... Je poussai Conquette devant
moi; je la conduisis à sa pension, d'où elle revint avec moi.
Il était nuit. Je pris Conillette, la putain, arrangée,
appétissante. Conquette nous précédait. Rassurée par ma
présence, elle ouvrit le cabinet obscur. Elle entra. Nous la
suivions. Je dis à Conillette de s'étendre foutativement sur
le pied du lit... Cependant ma fille se présentait. Elle fut
reçue avec transport. Le jeune homme, appelé Lenfonceur, et
Vitnègre lui-même, la couvrirent de louanges. On ne lui baisa
que la main. Vitnègre, néanmoins, qui (de même que les trois
fouteurs à gros vits, et le moine), était fou de sa chaussure
à talons minces élevés, lui baisa le pied. Il lui dit ensuite:

-- Ah ça, ma fille, allons-y par la douceur. Il serait
malheureux pour moi de renoncer à te le mettre; il faut se
faire une raison: mon vit est trop gros; non préparée, il te
déchirerait. Voici un vit mieux proportionné, qui va te
perforer, sans décharger; ainsi percée, mon gros vit pénétrera
cette nuit au fond de ton con. Vois-moi ce vit-là!...

Et il mit à l'air le vit de l'Enfonceur, ou plutôt de
Timori... Il fallait que Vitnègre eût découvert, on ne sait
comment, l'inclination de sa femme inspirée par le beau blond,
pour en user comme on va le voir.


Chapitre XIV Le jeune homme, la fille, le moine.


Ma fille, en reconnaissant son amant, que son mari lui amenait
pour l'enconner, avait rougi de pudeur, ou de désir. Elle
trouva moyen de venir à moi, pour me dire:

-- Faites disparaître la fille; on ne l'emploiera que cette
nuit.

Je vis bien qu'elle voulait être foutue par son galant. Je
cachai la putain. Voici maintenant le récit de ce qui va se
passer.

Dès que Conillette se fut commodément arrangée derrière le
grand sofa, Conquette retourna auprès des deux hommes, qui la
rapportèrent au foutoir, assise à cul nu sur leurs mains
unies.

-- Allons, ma petite garce de femme (lui disait Vitnègre), tu
vas pourtant être dépucelée, foutue! Mais ce n'est rien! c'est
quand tu auras un gros vit, cette nuit!...

Il la troussait, l'arrangeait.

-- Lenfonceur, que je te mette le vit dedans!

-- Non, non; ma belle se le mettra elle-même.

-- Tu as raison. Il faut qu'elle s'y accoutume.

Vitnègre sortit, et j'observai qu'il laissait la porte
ouverte. J'en augurai quelque noirceur. Mais j'étais là...
Timori, bien bas, dit à ma fille:

-- Vous le mettrai-je, ma bonne amie?

-- Non, non! il est allé chercher des écoutants [ce mot glaça
Timori].

-- Mais il vous estropiera?

-- Je ne couche pas ici.

Alors l'amant satisfait, se mit à la gamahucher doucement.
Cependant la Voluptueuse déchargea...

Elle était aux anges, quand j'entendis Vitnègre revenir. Je
crus qu'il amenait le moine. Il entra, passa rapidement, suivi
de trois voisines, auxquelles il disait:

-- Je vas vous montrer ça.

Effectivement, il leur montra quelque chose dans sa chambre...
Cependant mon amoureuse fille, gamahuchée par un amant aimé,
fit un profond soupir. Les trois voisines prêtèrent l'oreille.

-- Ce n'est rien (dit Vitnègre); ma femme est rentrée, et je ne
le savais pas. C'est pour elle cette étoffe-là.

-- Oh! il faut la lui montrer! (s'écrièrent les trois
voisines).

Le monstre retint celle qui allait la chercher. Il prit la
lumière, en disant:

-- Je vais auparavant voir si elle ne dort pas.

Il ne fut qu'à la porte, où il s'arrêta d'un air de surprise
et d'horreur!... Il recula. Mais les trois voisines avaient vu
comme lui, par-dessus son épaule, Conquette troussée, étendue
à la renverse sur le pied du lit, la tête d'un homme entre ses
cuisses... Il les fit sortir par le corridor, en se frappant
le front...

Il avait rempli son but. Si sa femme criait pendant la nuit,
les trois voisines, qui se croyaient bien au fait, y
mettraient les autres. Si Mme Vitnègre périssait écalventrée
par le timon du moine (qui, étant extrêmement riche, devait la
payer 60 mille francs, et qui en avait déjà tué plusieurs,
choisissant toujours les plus étroites), ce serait la morte
qui aurait tort... Cependant Vitnègre rentrait auprès des deux
amants, qui avaient changé de position: Lenfonceur, après
avoir déchargé par terre, s'était remis sur le ventre de ma
fille:

-- Eh bien? (dit l'infâme mari) est-elle enfilée? bien
enconnée?... Déchargez-vous? décharge-t-elle?

Nous avons déchargé (répondit Timori-Lenfonceur).

-- Je vas sortir (reprit Vitnègre). Ramone-la-moi encore
pendant une bonne demi-heure, que je serai dehors... Et ne
vous étonnez pas de ce que vous allez entendre. J'ai mes
raisons.

Il alla dans le corridor, dont il ouvrit doucement la porte,
et se mit à crier sourdement, comme s'il avait bourré sa femme
à coups de pieds:

-- Ah garce! ah putain!... Tu fous, sacrée salope! Quand je
suis sorti, tu raccroches!... Je vais chez le commissaire!

Il ouvrit la porte bruyamment, et la referma de même. Mais il
dit tout bas, avant de s'éloigner:

-- Remue du cul, ma petite femme!... Courage, Lenfonceur!
fraye-moi la bien!

-- Voilà un rusé scélérat! (dis-je à ma fille, pendant que
Timori observait la sortie de Vitnègre) Le moine t'aurait
tuée, et il ne néglige rien pour motiver ta mort.

-- Sauvons-nous! (me dit-elle).

-- Non, non; nous sommes assez pour te défendre. Feins à Timori
que j'arrive...

Le jeune homme rentra.

-- Voici mon papa, arrivé à propos!

-- Ah oui! (répondit Timori), sa présence pare à tout; car
j'allais proposer de nous enfuir. Mais, à présent, voyons ce
qui arrivera.

Je lui montrai Conillette, et je lui fis entrevoir notre plan,
que Timori trouva merveilleux!... Le temps s'écoula vite. Nous
entendîmes revenir. Timori reporta la lumière dans la chambre;
nous nous cachâmes ma fille et moi; tandis que le jeune homme
s'étendait sur le ventre de Conillette troussée...

-- Que ton vit ne m'approche pas! (lui dit-elle) je suis gâtée;
que tes couilles ne me touchent pas le poil; j'ai des
morpions!...

Vitnègre entrait, suivi du moine, que le voisinage aux
fenêtres prit pour le commissaire.


Chapitre XV Du fouteur à la Justine.


Le moine ôta d'abord sa robe. Mais nous l'avions tous vu. Il
mit ensuite à l'air un vit, si monstrueux que ma fille
tremblante m'étreignit dans ses bras.

-- Oh! qu'il est gros (dit Vitnègre).

-- Il a tué deux de mes soeurs religieuses, qui avaient fait
chacune deux enfants de notre Prieur. J'ai tué toutes les
femmes que j'ai enconnées; il n'y a que ma mère que je n'ai
pas écalventrée; mais je n'eus pas de plaisir; la vieille
garce ne saigna presque pas! j'eus peu de plaisir... Pour ta
femme... Ah, quelle rage!... Mais elle est foutue... elle sera
morte avant que j'aie achevé de l'enconner... Je l'enculerai
expirée... Je t'en apporte le prix: 60 mille francs en billets
de la caisse...

Vitnègre le compta; les serra.

-- Si je pouvais l'enconner une pauvre fois!

-- Tu te fous de moi!... Après, après; elle sera encore
chaude...

Je frémissais! et comme j'avais deux pistolets chargés, je fus
tenté de brûler la cervelle à ce monstre; mais il allait avoir
la vérole...

-- Voulez-vous, avant qu'elle soit abîmée, lui voir le con? sa
jolie figure?

-- Non! cela m'amollirait le vit.... Conduis-moi sans lumière.

Ils vinrent à tâtons.

Vitnègre précédait, pour éloigner Lenfonceur. Trouvant une
femme seule, et troussée, il voulut lui mettre, en soupirant,
sa langue dans le con. Elle l'en empêchait, quand le moine
faillit de l'écraser, en tombant sur la fille. Vitnègre fut
obligé de se retirer a quatre. Le premier acte du Père
Foutamort (comme Vitnègre le nomma), ce fut de mordre le bout
des tétons de sa monture, en lui dardant son engin, qui ne
pouvait entrer dans ce vaste con, encore élargi par une
éponge, que la fille venait d'en ôter. Conillette fit un cri
perçant! Et, se sentant déchirer le con, elle voulut se
dérober, en égratignant des deux mains. Foutamort, qui savait
bien qu'elle ne pouvait en échapper, et dont le plaisir était
d'autant plus grand à tuer une femme, qu'elle était plus belle
et plus étroite, ne la ménagea pas; tout en l'écartelant, il
lui arracha le bout des seins avec ses dents. Un profond
évanouissement, ou la mort, fit cesser ses cris... Je me
repentis de n'avoir pas d'abord tiré un coup de pistolet à
bout portant dans la tête du moine... Mais les voisins au
bruit auraient peut-être enfoncé les portes; ce fut ce qui me
retint... Foutamort, parvenu au fond du con de la fille
écalventrée, déchargea enfin en jurant et rugissant.

-- Fous un coup (dit-il à Vitnègre), avant que j'encule la
garce!

Le scélérat vint; mais, sentant un cadavre plein de sang, il
se retira.

-- Elle est morte! (dit-il).

Foutamort la tâta:

-- Non; le coeur bat encore; vite que je l'encule.

Le cul de Conillette était bien plus étroit que son con; le
moine haletait. Il en vint cependant à bout, car il dit à
Vitnègre:

-- Je n'ai fait qu'un trou des deux.

Et il déchargea horriblement!...

Ma fille, épouvantée, m'étreignait par le milieu du corps.
Vitnègre pleurait:

-- Ma pauvre femme! je t'ai livrée à ton bourreau!

-- Ne te l'ai-je pas payée? (dit le moine) Elle est bien à
moi... Ainsi, va te coucher, et fous tes 60 mille livres; tu
me gênes. Pour moi, pendant qu'elle est encore chaude, je vas,
pour mon argent, foutre cinq à six fois le cul et le con de ma
putain.

Vitnègre alla se coucher dans un petit cabinet, où il
s'enferma.

Aussitôt Foutamort s'acharna inépuisablement sur sa victime
expirée... Enfin, épuisé, il alla chercher la lumière, pour en
repaître ses cruels regards... J'ai dit que la fille était
jolie.

Elle est belle encore! (dit le monstre) Mais la figure de la
putain est toute bouleversée; elle ne se ressemble plus à
elle-même...

Il lui regarda le con, en lui soulevant le cul... Il la laissa
retomber, en éclatant de rire:

-- Ma foi, la gueuse n'a plus qu'un cul, ou qu'un con... je ne
sais lequel... Mais est-elle bien morte?

Il la déshabilla, l'emporta nue dans l'autre pièce, la mit sur
une grande table; alla prendre un vaste saladier; tira un
bistouri [Nous le voyions par la cloison vitrée].

-- Décharnons-la.

Il lui cerna la partie charnue des seins, la motte tout
entière, la chair des cuisses; lui fendit le ventre, lui
arracha le coeur, les poumons, le foie, la vessie, la matrice;
la retourna, lui enleva la chair des fesses, lui coupa les
pieds chaussés, qu'il mit dans une poche, les mains, qu'il
serra dans l'autre. Il la retourna encore; lui coupa la
langue, la tête, ôta la chair des bras. Il vint ensuite
chercher sa chemise et un drap du lit, en disant:

-- Voilà un bon régal pour nos moines et pour moi.

Le terrible anthropophage mit le saladier dans la chemise;
ensevelit le corps dans le drap; fit lever Vitnègre pour le
coudre; puis il lui dit de publier le lendemain que sa femme
se mourait; de la mettre le soir dans une bière, et que lui
moine se chargeait de la faire enterrer. Et, après lui avoir
recommandé de bien effacer au grand jour toutes les traces de
sang, il sortit vers les 3 heures du matin, emportant son
saladier de chair humaine.

Vitnègre pleura d'abord. Mais, nous ayant entendu remuer pour
sortir, le lâche eut une frayeur si grande qu'il alla
s'enclore dans son petit cabinet. Nous sortîmes donc tout à
notre aise. Comme nous traversions la petite cour, nous
entendîmes les voisins qui disaient fort bas:

-- Il ne l'a pas tuée; voilà qu'on l'emmène!...

Nous nous mimes à fuir par de petites rues, dès que nous fumes
dehors, de peur d'être suivis. Et bien à-propos! nous
entendîmes courir. Mais on ne prenait pas notre chemin. Je
remenai ma fille à sa pension, laissant là Timori, pour
observer, et lui promettant de revenir dans une demi-heure.

-- Voilà donc (me dit-elle), quel serait à présent mon sort,
si, en vous accordant mes faveurs, je n'avais pas reculé votre
départ! O mon cher papa! tout mon corps est à vous, pour en
faire ce que vous voudrez!

Je lui demandai sa bouche. Elle me darda sa langue; et nous
arrivâmes. Je lui dis de se coucher.

-- Non, non! et mes malles.. mes bijoux; si nous pouvions les
avoir?

J'admirai sa présence d'esprit!... Il était près de 5 heures.
Je courus rejoindre Timori, qui se promenait devant la porte.

-- Rien encore (me dit-il).

Un instant après, nous vîmes sortir Vitnègre. Timori le
suivit, et j'allai chercher ma fille, sa présence nous étant
nécessaire, si d'officieux voisins nous arrêtaient. A mon
retour avec ma fille et deux crocheteurs, je retrouvai Timori,
qui nous dit que Vitnègre avait passé le boulevard. Ma fille
ouvrit. Nous chargeâmes quatre malles préparées, mais cachées;
nous sortîmes sans être vus, et nous allâmes par des rues
détournées, chez mes affidés.

Ce fut alors que ma Conquette fut tranquille! Elle se coucha,
et nous allâmes reposer chacun chez nous, Timori et moi.


Chapitre XVI Foutoir; petit magasin; enterrement; amour.


Nous en sommes aux fouteries par excellence; à celles qui vont
aguerrir ma délicieuse Conquette-Ingénue, ma ravissante
Victoire-Conquette, faire leur fortune, la mienne, en leur
ôtant une fausse délicatesse, et découvrir une chose
admirable, qu'on ne verra qu'à la fin. La route que je vais
prendre, pour former ces deux belles et leurs compagnes,
étonnera d'abord! mais en toutes choses, il faut attendre le
dernier résultat... Reprenons ce charmant récit, en faisant
précéder quelques fouteries préparatoires, qui amèneront les
grandes. Mais il n'y aura plus, dans le reste de l'ouvrage,
aucune horreur qui ressemble à celle du moine Foutamort. Les
horreurs à la Dsds sont aisées à présenter; c'est la peinture
de la douce volupté qui est le chef-d'oeuvre du génie.

La première visite que reçut Conquette, le lendemain, jour de
son enterrement, et à la même heure, fut celle de Timori. Il
la trouva chez ses hôtes. Il venait lui raconter comment,
après être morte la nuit précédente, elle venait d'être
enterrée. Mais Il ne pouvait parler devant le monde. Or,
j'avais dans cette même maison, à quelques marches au-dessous,
mais sur le derrière, un petit magasin, où je cachais chaque
numéro de mes Annales, que supprimait le gouvernement d'alors.
Ma fille y devait faire mettre son lit, le soir même. Il y
aurait sans doute été déjà; mais elle ne faisait que de se
lever. J'y avais placé pour mon usage, celui de mon
secrétaire, de sa soeur, de sa maîtresse et de sa belle-mère,
un foutoir commode, dans le ventre duquel on pouvait
parfaitement se cacher. [Vitnègre en avait un tout pareil,
dans lequel il se mussait, quand un de ses trois payeurs
venait, pour essayer de dépuceler le con ou le cul de sa
femme, qu'il appelait, sa poule aux oeufs d'or; il voulait tout
voir, craignant qu'un des trois ne la lui enlevât. C'était
aussi par volupté; il était passionné pour la chaussure de sa
femme. Lors donc que, tendrement gamahuchée par un des trois
bougres (car ils l'adoraient, et ils vont bien la regretter),
elle émettait, il lui tirait un soulier qui, se trouvant
étroit vers la pointe, lui servait de con. Aussi disait-il à
ses intimes:

-- Je n'ai jamais foutu ma femme qu'en soulier.

Conquette, sentant bien que Timori avait bien des choses à lui
dire, et qu'il ne pouvait parler, prétexta qu'elle avait
laissé dans mon magasin une lettre à lui montrer. Elle avait
une double clef. Ils y descendirent ensemble.

Je venais d'y arriver. J'entendis la marche de ma fille, sa
voix basse, et celle de Timori. Je me cachai dans le foutoir.
Ils entrèrent. Conquette ferma soigneusement la porte, la
couvrit du matelassement qui empêchait qu'on ne fût entendu au
dehors, et ils s'assirent sur moi.

"Ah! Madame (dit Timori), quelles scènes!... Il avait
découvert que je vous aimais, à mes regards, et parce qu'un
jour étant avec lui chez vous, pendant qu'un de vos acheteurs
vous caressait sous son nom, il me vit baiser à la dérobée une
de vos chaussures. Mais il paraissait ignorer non seulement
que vous m'aimiez, mais que je vous fusse connu. Hier, à 3
heures, m'ayant trouvé au café, il me dit:

-- Je ne saurais dépuceler ma femme; j'ai le vit trop gros. Tu
es beau garçon; je t'ai choisi, pour la dépuceler aujourd'hui,
à l'instant; je te demande seulement six louis, qu'elle aura
pour ses épingles.

Je les lui donnai sur-le-champ, et nous partîmes... Vous savez
le reste... Ce matin, après vous avoir quittée, j'ai été me
reposer jusqu'à 10 heures, que j'ai été à mon bureau. Mais,
passant devant sa porte, j'y ai frappé. J'ai entendu deux
voisines qui se disaient fort bas:

-- Le confesseur y est! ce n'est donc pas elle qu'on a emmenée
cette nuit...

L'infâme m'a ouvert. L'horrible moine était avec lui. Un frère
avait apporté la bière bien enveloppée, et il récitait tout
haut des prières auprès du cadavre dans le cabinet obscur.

-- C'est un ami (a dit Vitnègre)... Ma pauvre femme est morte!

-- Morte! (ai-je dit)

-- Elle est expirée dans les bras du révérend père.

J'ai frémi de l'expression!... Le moine a dit:

-- J'ai fait toutes les démarches; nous avons la permission de
l'enterrer sans bruit; ce sera pour 3 ou 4 heures.

Je suis sorti...

En revenant de dîner, vers les 4 heures, je suis repassé. Deux
prêtres, quatre porteurs, le moine et le frère, ont emporté le
corps, sans chanter. Il est inhumé. Nous verrons la suite des
événements... Je les observerai.

-- Ma belle amie! On vous croit morte: vous êtes libre.
M'accorderez-vous vos précieuses faveurs?

-- Mon ami! (répondit modestement Conquette) je commence par
vous remercier de l'important service que vous m'avez rendu!
mais un autre m'en a rendu un plus important encore. Seul il
m'aurait sauvée. Si mes faveurs étaient encore à moi, elles
seraient à vous. Mais elles sont à mon premier amant, qui,
caché, a découvert toute la trame. Il venait de me déflorer;
il me l'a mis encore après. C'est votre unique rival: mais il
est adoré; son nom, que je vais vous dire, va vous prouver
toute mon estime, et que vous avez toute ma confiance. C'est
mon papa...

A ce mot, Timori tomba aux genoux de son amante:

-- Fille angélique! Fille divine! (lui dit-il) je reconnais là
votre piété filiale et la beauté de votre âme! Foutez avec
votre père; que lui seul vous enconne! Vous seriez digne de
foutre avec Dieu, si Dieu foutait!... Mais je demande à vous
gamahucher, et, si votre papa le permet, à vous enculer!

-- Mon aimable ami! (lui répondit Conquette, en le caressant de
la main) vous êtes bien raisonnable!

Timor se déculotta, lui mit dans la main un vit à pucelage,
plus petit que le mien, se fit chatouiller les couilles, et la
voulut branler. Elle s'y refusa. Alors Timori la renversa, la
troussa, et lui supa savoureusement le con... Non, jamais l'on
n'entendit de pareils soupirs!...

-- Ah! Timori... ta langue vaut un vit.

Elle avait émis dès le troisième coup de langue, et, dans son
délire, elle élevait ses jambes en l'air, faisait claquer ses
jolis talons, haussait du cul, pour favoriser l'application de
la bouche de son gamahucheur, et l'intromission de la langue
qui lui chatouillait le clitoris. Elle imitait sa mère, dans
ce claquement de talons; car je ne foutais celle-ci que de
jour, soit en con, soit en cul, soit en bouche, pour être
excité par ce qu'elle avait de mieux, la jambe et le pied. Je
lui demandais le claquement des talons, parce qu'il imitait la
marche de femme, son qui me faisait toujours bander... Lorsque
ma fille eut amplement déchargé, elle écarta Timori.


Chapitre XVII Du pucelage du cul: le père enconneur.


La céleste Conquette-Ingénue fut toujours aussi juste que
belle et sensible: qu'on ne soit donc pas surpris de ce qui va
suivre.

Elle se mit sur le ventre, et lui dit:

-- Mon second ami! pommade-moi. Mon premier ami a eu le
pucelage de mon bijou; il est juste que tu aies celui de ma
rosette; mon papa sûrement m'approuvera!

-- O déesse! (répondit Timori, en lui insérant de la pommade
dans l'anus avec une canule) que tu es raisonnable! Il aura le
connin, moi la rosette, et nous jouirons chacun d'une fouterie
à nous seuls.

Timori enfonça, malgré quelques petits cris de ma chère fille,
et après de vives saccades, il déchargea, en s'écriant:

-- Foutre! foutre! quel cul.. quel plaisir des Dieux!

Et il se pâma... Il fut épuisé, et de sperme et de forces, par
ce coup seul... Aussi se rappela-t-il, à mon grand
contentement, qu'il était attendu à 7 heures. Il laissa
l'amoureuse Conquette-Ingénue étendue sur le lit, après
l'avoir remise sur le dos, afin de lui donner quelques coups
de langue au con, pour baiser d'adieu. Il alluma sa bougie,
sortit, et tira la porte.

Aussitôt je quittai ma cachette, et je m'élançai sur mon
adorable fille, que les trois dardements de langue avaient
émue, et dont le con oscillait vivement.

-- Quoi! vous étiez là?

-- Oui, ma divine. Il encule; moi j'enconne. Tu me causes une
érection terrible!

-- Adoré Papa, foutez... foutez-moi! (et c'est la première fois
de sa vie qu'elle prononçait ce mot) je n'en puis plus moi-même...

Elle me saisit le vit, et se le mit dans le connin:

-- Pousse! (me disait-elle) Il entre.. Pousse! vit de Dieu! vit
paternel! émets du foutre dans le con de ta fille!...

En parlant ainsi, elle remuait tellement du cul, que je me
trouvai bientôt au fond de son connin. Vive la fouterie
ordinaire! c'est la meilleure manière des quarante! J'avais la
bouche, la langue, les blancs tétins de ma fille, ses
caresses, la vue de son charmant visage, toujours joli au
double dans une femme qu'on fout, ses doux propos:

-- Cher vit! vit divin! comme il me chatouille le con!...
Pousse!... Ah! bougre! je me pâme... Je déchar...arge du
fou...outre!... Ta langue! cher amant! Enconneur adoré!... Oh
je redécharge! Fous, sacré bougre! Suce... mordille-moi les
tétons!...

Je déchargeai délicieusement à la seconde émission de ma
céleste fille. Au fond de son étroit connin, je me sentis
adorablement pincé par ce que le vulgaire appelle le clitoris,
et les gens de l'art, le bas du conceptoire ou de la matrice;
cet organe de volupté, qui n'est atteint que par un vit long,
me suçait le bout de l'engin déchargeant... Et cette idée
délirante, en me voyant sur la plus belle des femmes,
renversée sur le dos, bien enconnée, se pâmant de plaisir,

-- Je fous ma fille... Je lui décharge dans le con... Nos
foutres mêlés peuvent lui faire un enfant tout de moi... Je
fais cocu le gueux, le scélérat de Vitnègre! Je fous sa femme,
qu'il croit morte, qu'il n'a jamais foutue... Nous la foutons,
Timori et moi, l'un en con, l'autre en cul, tandis que le vil
jean-foutre se branle le vit à sa divine intention... Il la
croit écartelée par le vit-timon de son exécrable moine... et
son étroit connin décharge avec nous, comme celui d'une
princesse, foutue par un jeune garde du corps!...

Ces idées, rapidement roulées dans mon imagination,
doublaient, triplaient ma volupté...

Ma fille me fit déconner:

-- J'en suis pleine, me dit-elle; le devant, le derrière; il
faut que je me purifie.

Je courus lui chercher de l'eau tiède chez son hôtesse, Mme
Brideconnin, que je trouvai seule auprès du feu, des tétons
blancs comme neige découverts. Je les baisai, pris l'eau qui
chauffait pour elle. Son mari me dit:

-- Je viens de le lui mettre, à l'intention de votre fille, la
charmante Mme Poilsoyeux (nom que je lui avais donné, pour
qu'elle ne portât pas celui de son infâme mari).

Je rentrai. Je lavai moi-même avec une fine éponge les charmes
secrets de ma déité. Il y avait un peu de sang à la rosette,
et même au connin.

-- Eh! quoi, ma délicieuse, tu as donc encore souffert?

-- Oui, mon cher bourreau; mais le plaisir l'a toujours
emporté, même en cul...

Conquette, purifiée, me dit:

-- J'étais si pressée de jouir avec vous que je n'ai pas pris
le temps, papa-sauveur, de vous demander votre sentiment sur
ce qui s'est passé entre moi et Timor?

-- J'ai aussi bien des choses à vous dire là-dessus, mon ange;
mais nous allons souper. Vous avez besoin de repos, et moi
aussi; ce sera pour demain...

Je lui donnai la langue; elle me darda la sienne; je baisai
les boutons rose de ses tétons, et nous allâmes nous mettre à
table.

Pendant le souper, je racontai à M. et Mme Brideconnin ce
qu'il fallait qu'ils sussent de la prétendue mort de Mme
Poilsoyeux afin qu'ils ne la compromissent jamais. Pendant le
repas, notre porteur d'eau et sa femme placèrent le lit de ma
fille dans mon magasin; et, dès qu'il fut arrangé, nous y
descendîmes ensemble. Ma belle amie me dit:

-- Je crois que j'aurai peur; priez Mme Brideconnin de venir
coucher avec moi!

-- Je vais rester, ma reine.

-- Ah! j'aime bien mieux cela! non pour jouir; mais pour que
mon amant-papa s'endorme sur les tétons de la femme de
Vitnègre, pendant qu'il se morfondra, ou qu'il ne ... qu'un de
mes vieux souliers.

-- Ma divine fille? (repris-je) je vais, dès ce soir, te dire
ce que je voulais remettre à demain. Couchons-nous.

Je déshabillai ma déesse comme une nouvelle-mariée, baisant
tout ce que je découvrais. Tous deux au lit, je l'assis sur
mon vit.


Chapitre XVIII Des avis paternels, tenant sa fille enconnée.


Ami lecteur! j'éprouve encore les oscillations de la plus
savoureuse volupté, en me rappelant ces moments enchanteurs,
que m'a procurés ma Conquette-Ingénue-L**!

-- Appuie lentement, ma reine; que je t'enfile sans limer!

Elle le fit. Lorsqu'elle fut parfaitement enconnée, je lui
dis:

-- Tu sais, très chérie fille, que j'ai tout vu, tout entendu.
Tes sentiments divins à mon égard, m'ont pénétré de
reconnaissance et d'admiration... J'approuve entièrement que
tu aies donné à Timori le pucelage de ton beau cul. J'accepte
avec transport ton dévouement pour moi. Mais, céleste fille!
c'est à ton intérêt, à ton bonheur, que je me propose de le
faire servir. Je ne prétends pas, tel qu'un sultan, te garder
pour mes plaisirs exclusifs. Tu auras un payeur. Lequel des
trois hommes auxquels ton pucelage était vendu aurais-tu
préféré?

-- Le plus honnête, incomparable papa; mais c'est justement
celui qui l'a le plus gros.

-- Je te ferai donc élargir le bijou par un gros homme de ma
connaissance. Il n'est pas aimable; mais un homme aimable
pourrait t'épuiser, en te faisant trop décharger; outre qu'il
pourrait te prendre le coeur; ce qu'il ne faut pas; un fouteur
préparatoire ne doit te prendre que le con... Ni moi, ni
Timori ne te suffirions point; nous n'avons pas le vit assez
gros; ce ne sont que des vits à pucelage. Mais j'ai plusieurs
ressources... Je sonderai celui que tu préfères; puis les deux
autres, s'il ne fait pas ton affaire. Je les ai épiés. Je sais
leur adresse; je ne nous compromettrai pas. Je ne te demande
que de la soumission!

-- Entière! divin papa.

Elle se trémoussa un peu, et déchargea.

-- S'il te survient beaucoup de tempérament, comme je crois
l'entrevoir, j'aurai soin que tu ne manques pas de vits. Tu
verras comme tu seras régalée!... Je ne suis plus d'un âge à
te rassasier de volupté. Ainsi, je te le ferai mettre par de
jolis jeunes gens, graduant la grosseur des vits.

Ici, ma provocante fille s'agita, en me disant:

-- Mon cher vit-papa! permets que je foute en con à l'intention
de Timori, le vit de mon cul! Tu m'as convertie; il
m'enconnera, mais en ta présence.

-- Oui. oui...

Je la saccadai. Elle s'écria:

-- Fourgonne.. vit de mon cher Timori! fourgonne mon con!
Fais-moi pâmer! bougre.. foutre.. Ramone.. ramone!... ze déçarze!

Et elle déchargeait, en se roidissant:

-- Ahahah, mon papa! Ahahah! Ahahahh! (avec un long soupir)...

Je n'ai jamais eu tant de plaisir qu'à cette décharge... Nous
avions de la lumière; ma fille se mit sur le bidet pour se
rafraîchir le bijou, tandis que je me mettais le vit et les
couilles dans l'eau froide, pour me faire débander. Je
demandai à ma fille, Qui lui avait appris les expressions dont
elle s'était servie, en déchargeant? "Dès la troisième semaine
de notre mariage (me répondit-elle), Vitnègre fit coucher avec
lui sa filleule, femme d'un espion de police; cette femme, par
les ordres de son parrain, feignait de délirer, quand il
l'enfilait; et voilà quels étaient ses propos, avec beaucoup
d'autres, qui n'auraient pas été placés pour nous, comme
gros-bondon, chien de vit de mulet, Foutamort le cadet! etc. Nous
nous remîmes au lit, et nous nous endormîmes enlacés.

Le matin, je renouvelai mes instructions à ma fille. On
frappa. C'était Mme Brideconnin, qui parla. Je me cachai dans
le foutoir. Elle apportait le déjeuner de Mme Poilsoyeux.

-- On cherche une fille du Port-au-Blé (dit-elle), disparue
depuis avant-hier soir. Une de ses pareilles a dit, qu'elle
devait aller coucher avec un homme de 40 ans, qu'elle avait
dit avocat, mais qui est chirurgien; qu'ils l'ont tuée à deux
pendant la nuit, et disséquée. C'est peut-être votre histoire,
qu'on dénature comme ça? Mon mari doit aller s'informer.

Elle sortit; et je vins déjeuner avec Conquette. Je la
laissai, en promettant de la voir à dîner.

Je fus exact. Brideconnin était sorti. C'était effectivement
de Conillette dont il était question. Le commissaire et les
mouchards visitaient toutes les maisons de la rue; mais on ne
trouvait rien. Je changeai de costume par précaution... Je
revins le soir, et ne couchai pas. Je me reposai trois nuits,
et laissai reposer Conquette-Ingénue.

On sait que j'aimais ma fille autant pour elle-même, que pour
mon plaisir, et que je n'entendais pas régler son appétit de
19 ans, sur mes forces de 40. Mais j'avais encore d'autres
raisons. Je vais me conduire en conséquence.


Chapitre XIX Du père juste, et du vit grisonnant.


On sera sans doute surpris de ce qu'on va lire, d'après les
sentiments que je viens de professer!... Ne me préjuge pas,
téméraire! Pour me connaître et prononcer, attends.

Je connaissais un de ces gourmets de plaisir, gros homme
vigoureux, lubrique à l'excès, nommé Montencon. Il m'avait
donné souvent à dîner, rue Troussevaché, où il demeurait, m'y
avait fait enconner la petite Vitsucette, sa maîtresse, en me
la tenant lui-même. Il m'avait même procuré la fille de son
hôtesse, Petit Bijou, séduite par un noble, appelé de Foutâne,
qui l'avait ensuite rendue putain. Elle nous amusa toute une
après-dîner; Montencon ayant grisé la jolie Adélaïde
Hochepine, il eut la politesse de me la faire enconner le
premier, et chatouiller les couilles par sa maîtresse. Ensuite
il l'encula, également chatouillé par Vitsucette. Je la
refoutis, après que la Vitsucette de Montencon me l'eut lavée.
Mais celui-ci nous dit:

-- J'ai mes raisons. J'embouche la jolie garce.

L'ayant embouchée, et lui ayant fait avaler son foutre, en
haine de Foutâne, j'en fus dégoûté, ainsi que de la
Vitsucette, dite la Baiseuse, à laquelle il en faisait autant.
Je n'y étais plus retourné. Ce fut cet homme que j'invitai à
dîner dans mon petit magasin, pour aguerrir et m'élargir un
peu ma fille (car j'avais fait donner séparément aux trois
payeurs à gros vits de Vitnègre, MM. Lélargisseur, Percecul et
Cognefort, l'espoir de la retrouver, ou sa pareille).

Montencon était connu de Conquette, dont il avait foutu la
mère avant la vérole. Il n'en avait que plus envie de le
mettre à la fille. Je le trouvai dans l'escalier, en arrivant
moi-même. Je l'introduisis. Il demeura immobile de joie et
d'admiration, en voyant une femme si belle!... J'avais
affaire; je ne restai qu'un moment, en lui disant, que je lui
laissais ma fille pour compagnie. Il balbutia, en me
reconduisant:

-- Elle est ravissante! Quel goût dans sa parure! Comme elle
est chaussée! et quel dommage qu'un Vitnègre ait eu ce
pucelage-là!

-- Vitnègre? Elle est pucelle.

-- O mon ami! puis-je y tenter? et tâcher de mettre au moins
une corne à ce gredin-là?

-- Fais-y ce que tu pourras. Mais je doute du succès, avec ton
poil gris. Il n'y a que les catins blasées, qui souffrent les
barbons vigoureux et libertins; avec les pucelles sages, il
faut être tendre; et tu as la figure d'un satyre, ou d'un
réprouvé. Mais tente-z-y.

Après mon départ, Montencon essaya d'abord de la galanterie.
Mais n'y gagnant rien, il culbuta Conquette à l'improviste sur
le foutoir; et, comme il était vigoureux, il lui approcha, en
la contenant d'une main, le vit des lèvres du con... Cependant
il ne put l'enfiler; un coup de cul en arrière le
débusquait... Il allait la menacer de la poignarder, lorsque
je rentrai. Conquette se rajusta, sans marquer d'humeur. Je
dis tout bas à Montencon:

-- Le pucelage?

-- C'est un diable! J'en serai réduit à me branler!

-- Tu la foutras.

Nous nous mimes à table. Conquette parla comme à l'ordinaire à
son vellivioleur, et rit même avec lui. Tout haut, devant moi,
il lui demanda, d'où vient elle ne s'était pas laissée
enconner?

-- Fi donc! (répondit-elle). Eh! d'où vient l'aurais-je
souffert?

-- Parce que je bandais comme un carme.

-- Vous parlez comme un Vitnègre...

Montencon ne m'en raconta pas moins ses entreprises, en termes
savoureux. Il loua la beauté de la conque, le soyeux du poil,
la blancheur des fesses, la fermeté des tétins, le rosé du
bouton, l'éburnité ou l'ivoire du ventre et des cuisses: Il
extolla le pied, la jambe de la belle... Conquette, ainsi
louée, rougissait, et n'en était que plus modeste. Je
répondis, Que j'étais le seul qui foutît ma fille, à laquelle
j'avais sauvé la vie, et que j'avais déflorée, il y avait 8
jours. Et je racontai toute l'histoire.

-- Vous la foutez?

-- Eh! qui donc la foutra? Je suis deux fois son père...

Montencon se mordit les lèvres. Conquette m'embrassa.

Pendant tout le dîner, nous admirions le voluptueux tour de
hanches de Mme Poilsoyeux, à chaque fois qu'elle se levait,
pour aller demander un plat, ou qu'elle donnait des assiettes.
Elle avait un joli soulier rose à talons verts, élevés,
minces; des bas de soie blancs neufs, à coins roses. Je lui
demandai si elle était jarretée au-dessus du genou?

-- Certainement! (répondit-elle) toujours.

-- En ce cas (repris-je), montrez-nous la plus jolie jambe qui
soit au monde!

Elle refusait. Mais nous l'en pressâmes tant que, pour se
débarrasser de nos prières, elle mit le pied sur une chaise,
et nous montra, jusqu'au dessus du genoux, une jambe à faire
bander un moribond... Nous entrâmes en rut, Montencon et moi;
mais nous nous modérâmes. Cependant le grisonnant Ribaud, dans
un moment où ma fille était sortie, me proposa de l'enivrer,
en mettant du champagne, qu'il avait apporté, dans son vin
rouge, au lieu d'eau. Je feignis d'y consentir. Mais, avant
que Conquette rentrât, j'allai au devant d'elle, et l'avertit
de tout. Puis j'ajoutai:

-- Ma raisonnable fille, il faut qu'il te le mette; je l'ai
amené exprès pour cela; mais je ne savais comment faire. J'y
réfléchissais, quand sa proposition m'a tiré d'embarras. Tu
feindras de t'enivrer. J'en ferai autant; et, par ce moyen,
jamais il n'aura un pied sur toi. Il a l'engin assez gros,
quoique moyen. Après lui, je t'aurai Traitdamour, mon ancien
secrétaire, un joli garçon, qui achèvera de t'élargir
suffisamment pour l'engin du Payeur que tu préfères... Il est
averti de ton existence, et je n'ai demandé que quelques
semaines pour lui procurer ta vue. Laisse-toi donc faire, ma
reine; j'empêcherai tout ce qui ne conviendrait pas.

-- Je vous suis soumise; disposez de moi (répondit-elle). Je me
suis trop mal trouvée de vous avoir désobéi!...

Nous rentrâmes. Entre les deux portes, elle se découvrit un
téton, et me le fit baiser.

Montencon avait arrangé la carafe en vin de Champagne.
Conquette, prévenue, le remarqua; s'en procura une autre
d'eau, et réserva le vin, pour griser Montencon lui-même. Mais
le Ribaud était inenivrable, autrement que par les beaux yeux
et les autres charmes de ma voluptueuse Conquette-Ingénue.


Chapitre XX Du, Ah, comme elle fut foutue!


Dès que Mme Poilsoyeux, qui affectait une ivresse aimable,
parut dans l'état où le Montencon la désirait, je la saisis,
la première fois qu'elle se leva, par la taille d'une main, et
de l'autre, je lui pris le con (Outre que je désirais vivement
sa possession, je la voulais enhardir, et préparer son bijou à
l'admission d'un plus gros membre que le mien). Je la
renversai, en demandant un morceau du beurre frais resté sur
la table. Je lui en mis gros comme une noix à l'orifice; et je
poussai.

-- Laissez, laissez-moi donc! (me disait-elle doucement)

Cependant elle remuait admirablement de la charnière, et le
foutoir craquait sous nous... Je déchargeai, en me récriant de
plaisir!...

-- A toi, bougre...

Montencon, debout, son gros vit bandant à la main, nous
admirait!... J'eus à peine déconné qu'il se précipita sur ma
fille, dont le connin oscillait encore; et, doublement
favorisé par mon foutre et par le beurre frais, il pénétra.
Conquette fit un cri! Je m'avançai, alarmé. Mais elle me
sourit aussitôt.

-- Enfonces-tu? (dis-je au fouteur)

-- Oui, oui! sacredieu! (me répondit-il) et avec délices!..
Elle me pince le vit!... Mais... quel connin!... C'est un
satin!... Ah!... Ah!... je fous!... Remue du cul, céleste
houri!... Re..mue, divine bougresse!... Con délicieux!
remue... sous moi!... saccade... saccade!... Je pa..ars!... je
décha..arge!... Ahah!...!

Le grisonnant se pâma sur les tétons de ma fille, qui
elle-même nageait dans le foutre et la volupté. J'avais craint
qu'elle ne remuât pas assez avec un étranger; mais, dès
qu'elle fut limée, elle se mit à remuer, à saccader, à
osciller des reins, à décharger avec des soupirs et des
cris... Montencon se remit à la fourgonner, sans déconner,
criant, hurlant de luxure, et murmurant par intervalles:

-- Divine garce!... fais-toi putain... et... je te réponds...
de ta fortune!..

Il recommença ainsi trois fois sans désarçonner. Enfin, il
déconna.

-- Voilà un coup qui en vaut dix, et un con qui vaut cent, et
mille fois tous ceux que je t'ai fait enconner, même ma petite
hôtesse! On ne le quitte qu'à regret!... Mais refous-la, mon
ami. Une femme vaut seize hommes au jeu couillard; ne la
laissons ni refroidir, ni chômer.

A ce mot, Conquette-Ingénue, restée immobile, et se
contractant seulement un peu, comme si on la tenait encore
bourrée... d'un vit, sauta du foutoir, et courut se laver.
Elle trouva de l'eau tiède préparée. Nous fumes aussitôt à
genoux devant notre divinité, et nous lui épongeâmes l'un le
cul, l'autre le con, les fesses et les cuisses, car elle était
pleine de foutre et d'un peu de sang, prenant garde de
mouiller ni sa chemise, ni ses bas; nous la faisions se tenir
troussée au-dessus des reins.... Après une scrupuleuse
ablution, nous l'avons admirée; car elle était ravissante à
cul et à con découverts! Nous l'avons fait marcher ainsi, et
nous avons vu la magie de son divin tour de cul...

-- Moi (disait le Grison, en la regardant venir à nous), ce qui
me transporte, c'est ce con noir, sur une peau de lis; ce poil
soyeux, et cette raie de corail, qui le sépare en deux égales
parties!...

La belle se retourna, et montra d'autres charmes:

-- Ah! (s'écria Montencon ravi) le beau cul! il n'est pas
inférieur à l'admirable connin!

Elle revenait.

-- Ah! le beau con! Il est digne du divin cul!

Quand ma fille fut auprès de nous, il lui baisa le connin.
Puis, se levant (car nous étions restés à genoux pour mieux
voir), il l'emporta sur le foutoir, en me demandant la
permission de gamahucher tous ces charmes-là, avant que je les
refoutisse... Ah! comme elle fut gamahuchée!... Il lui
chatouilla de sa langue la rosette, à la faire tressaillir.
Puis il vint au con. La belle, chatouillée, se trémoussa, puis
émettant, elle hennissait, comme une jeune cavale, dans la
vulve de laquelle on insère pour la première fois l'engin
terrible et perforant de l'étalon vigoureux; les fesses
potelées de la jument pucelle tremblotent; elle frémit de tout
son corps, et répond, par l'émission de son hippomanès, aux
flots de sperme que lui lance le dominateur des haras... Telle
était ma voluptueuse fille, seulement gamahuchée... Montencon
déboucha, et moi, me précipitant sur ma fouterie, cambrée,
tenant son cul à trois doigts du foutoir, je plongeai
brutalement. Elle ne faisait que doucement osciller. Ce qui ne
s'accordant pas avec ma ribaude impatience, je dis à
Montencon:

-- Arrache-lui sa chaussure, et chatouille-moi-la sous les
pieds!

Il le fit. Mais le couillon s'amusait à les flairer, en
disant:

-- C'est Cypris, et le dedans de ses chaussures sent
l'ambroisie.

-- Chatouille donc, jean-foutre!

Il chatouilla; et, au second soubresaut, je déchargeai
copieusement!... Dans mon extase de plaisir, j'élevai mon âme
vers la divinité:

-- Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir donné une fille si
parfaite, dont le connin trémoussant vient de me donner une
idée du délice que vous éprouvez vous-même, en foutant votre
fille la Nature!...

-- Dieu de mon connin! (balbutia Conquette) sois béni! je
re-décharge encore! le cri de mon père a fait entrer son vit plus
avant!

-- Oh! quel digne père! quelle pieuse fille! (s'écria Montencon
édifié)...

Je déconnai.

-- Mais d'où vient (me demanda le vigoureux grison, en se
remettant sur ma fille, et l'enconnant sans laver), m'as-tu
fait chatouiller le dessous des pieds de ta céleste fouteuse!

-- Je tiens cette recette d'un imprimeur foutant la femme de
son confrère de l'aveu du cocu.

-- Que lui avez-vous donc fait, qu'elle m'a donné tant de
plaisir à la fin?

-- Vous avez bien vu qu'elle était déchaussée? Or j'ai ouï dire
que les fils de mesdames Quillenpoche et Radball, âgés de huit
ans, étant entrés dans la chambre où un avocat et un procureur
vitoeuvraient mesdames leurs mères, les petits babouins, ne
voulant pas les déranger, leurs ôtèrent à chacune une mule
délicate, et leur chatouillèrent le dessous des pieds. Ce qui
fit faire aux deux dames des soubresauts qui leur procurèrent
autant de plaisir qu'elles en donnaient à leurs opérateurs.
Aussi depuis se firent-elles toujours chatouiller les pieds en
pareille circonstance.

-- Tu vas me rendre la pareille...

Il saccadait.

-- Allons, le foutre de ton père... ce foutre dont tu es faite,
amalgamé au tien dans ton sacré connin de poupée, doit te le
pommader! Et j'ai de la peine!...

Je vis à la rougeur de ma fille qu'elle souffrait.

-- Déconne, bougre (dis-je à l'Enfonceur), ton vit d'âne, ton
vit de mulet donne les bouchées trop grosses à ce
connichonnet!

Il déconna, et je mis une boulette de beurre frais à l'orifice
du bijou de ma fille.

-- Oh! ça me le rafraîchit (dit l'aimable enfant)...

Montencon re-enconna avec fureur. Il entra mieux, et toucha le
fond, Conquette ayant saqué du cul:

-- Ah! je te sens, petit joli chien de pinçoir! Allons,
Vitnégrette, encorne ton jean-foutre de Vitnègre! Pince.. et
remue du cul, garce!

Ces mots grossiers me mirent en fureur érotique; je
chatouillai sans pitié les pieds de ma fille, en lui disant:

-- Fous, déesse! Donne-nous ton joli foutre!... Et toi, sacré
bougre, inonde-la! As-tu jamais percé con ou connin, qui
vaille le connin, le connichet de ma céleste, de cette divine
putain?...

Conquette saccadait à désarçonner son enconneur (comme faisait
Mlle Timon sous le grand homme Mirabeau). Mais Montencon se
tenait ferme. Cependant elle eut une décharge si convulsive
qu'il fut presque déconné. Mais, en retombant, le frottement
serré du connin velouté le fit décharger avec ravissement...

Il lima quatre fois sans déconner, et, à la quatrième, lui
ayant chatouillé les couilles, il émit aussi copieusement qu'à
la première. Mais il fut épuisé. "Ah! comme Vitnègre est cocu!
(disait-il en déconnant) car sa fouteuse de femme a déchargé
le triple de moi.

Conquette sourit.

-- Combien? (lui demandai-je).

-- Oh! dans les neuf, trois fois neuf.

Je la baisai sur le front, et elle alla au bidet. Je vis par
là qu'elle aurait un vigoureux tempérament. Ainsi, je résolus
de la faire un peu blaser, avant de la livrer à son gros vit.

Mme Vitnègre, voulant se rafraîchir quelque temps le con dans
sa cuvette à bidet, nous pria, avec une modeste rougeur, de la
laisser libre. Nous la saluâmes aussi respectueusement qu'une
déesse bienfaisante, et nous sortîmes. Montencon me dit:

-- Je vous rends grâces. Je serais plus glorieux d'être son
père que de la reine Marie-Antoinette. Elle est autant au-dessus
des fouteries ordinaires, que Mlle Contat ou Mlle Lange
sont au-dessus d'une putain des pauvres, qui branle les vits
derrière les charrettes sur le quai du Louvre.

Nous nous séparâmes, à ces mots.

-- Ah! (disait Montencon, s'éloignant), comme elle a été
foutue!


Chapitre XXI Du ressouvenir, et de l'épisode.


Oh! que les puristes ont dû se récrier au chapitre
précédent!... Eh bien, puristes, je m'en fous.

Le lendemain, je m'attendais à un peu de bouderie, ou de
sérieux. Non. Ma Conquette me parla comme à l'ordinaire... Je
fus huit jours, sans chercher à le lui mettre... Le samedi,
son bijou bien rétabli des fatigues données par Sourcilsgris,
dit Montencon, elle y sentit un chatouillement. Elle se
ressouvint alors de ce que je lui avais dit, qu'elle pourrait
se laisser enconner par Timori. Elle fit une toilette de
volupté, se couvrit d'une calèche, et sortit le soir. Mais je
l'observais, et la faisais soigneusement observer par Mme
Brideconnin, ou comme je l'appelais en badinant, Mme Conbridé.
Je fus averti; je la suivis, pour la préserver de malheur.
Elle monta. J'écoutai à la porte; et j'entrevis même par une
fente... Conquette se jeta dans les bras de Timori. Mais il
était malade. La belle fut gamahuchée seulement. Timori, au
lieu de la caresser, comme elle s'y attendait, se mit à lui
raconter la suite des événements relatifs à Vitnègre, à
Foutamort, et à Conillette:

-- J'ai été voir Vitnègre aujourd'hui, au lieu de me rendre à
mon bureau, étant malade. Je l'ai trouvé malade lui-même, tant
il avait été hier effrayé des menaces de son moine. Celui-ci
l'avait fait demander. Vitnègre est accouru. Il a trouvé toute
la communauté à l'infirmerie. Parvenu au lit de Foutamort,
celui-ci lui a dit:

-- Gueux! si j'en avais la force, je t'étoufferais... Mais si
je suis pour en mourir, comme On l'assure, je déclarerai tout
au Lieutenant de Police, et tu seras pendu... Tu m'as vendu ta
femme. Elle était si belle que j'ai eu un plaisir... infini...
à la faire expirer dans des douleurs plus fortes que celles de
l'accouchement... J'en bande encore, mais avec des douleurs
insupportables... Elle était si belle que j'ai voulu en
manger: je me suis fait accommoder son con, sa matrice, ses
poumons ses tétons et sa tête, que j'avais déguisée. Nos
moines ont mangé, sans le savoir, son cul, ses fesses, ses
mollets, ses pieds, ses bras, ses mains, ses épaules, son
coeur, son foie, etc... Tous, eux et moi, nous avons la vérole!
Or, ta femme, belle, fraîche, pucelle encore, ne l'avait
pas... Voici ce que tu as fait, coquin. Touché d'une fausse
compassion, tu as fait évader ta femme, que je t'avais payée
pour la foutre à mort, et tu lui as substitué une putain...
C'est une insigne coquinerie... Si j'en reviens, j'aurai ta
femme; si je meurs, tu seras pendu...

Vitnègre s'est donné à tous les diables que c'était vous qu'il
avait livrée. Le moine, qui venait d'être frotté de mercure,
et dont la langue enflait, a fait signe qu'il n'en croyait
rien. Le chirurgien a tiré Vitnègre à part:

-- Avez-vous quelque affaire à régler avec ce scélérat? il n'a
pas 2 heures à vivre, à la manière dont enfle sa langue. Il a
une vérole si terrible, que j'ai été obligé de le frotter au
triple des autres, que voilà dans leurs lits, et qui
commencent à saliver. Je le connais; c'est un monstre à ôter
du monde, et tout à l'heure, il ne pourra parler.

-- Empêchez qu'il n'écrive!

-- Oh! ne craignez rien! l'enflure lui... gagne les yeux; il
n'y voit plus, et la langue commence à lui sortir de la
bouche... Il... souffre... (lui tâtant le pouls) comme un
damné... et il n'a pas une demi-heure à vivre...

Alors, Vitnègre, enhardi, a dit au moine:

-- Gueux! Infâme!... c'est la putain Conillette que je t'ai
donnée, que tu as fait manger à tes moines, et dont tu as
dévoré la matrice vérolée!

Le moine s'est soulevé, et a lancé à Vitnègre un si terrible
coup de poing, qu'il l'aurait tué, si la colonne du lit
n'avait pas amorti une partie du coup, qui cependant a
renversé Vitnègre. On l'a fait sortir. Mais il a appris ce
matin, par le chirurgien, que la langue du moine, devenue
grosse comme celle d'un boeuf, l'avait étouffé un quart d'heure
après... On a brûlé, sans lire, tout ce qu'il avait écrit
durant sa maladie.

-- Voilà ce que Vitnègre, tranquillisé, vient de me raconter.
Il est tard; je ne saurais vous reconduire. Partez, ma belle
amie.

Tel fut le récit de Timori, fait à ma fille, que j'entendis
tout entier, et qu'elle me répétera. Elle s'en revint la tête
remplie d'idées noires. Je la suivais à vingt pas, la couvant
des yeux, pour la préserver de toute mauvaise rencontre. Je
bandais comme un carme, en voyant son joli tour de hanches...

Elle rentra. Je la précédai dans mon magasin, et je me cachai.
Elle revint avec de la lumière et de l'eau tiède. Elle se lava
la motte, et soupira, en se disant à elle-même: "Il n'existe
plus, le scélérat!... Je suis encore effrayée! Je frappai un
petit coup sur une commode. Conquette leva les yeux, et me
vit. Je lui contai tout ce qu'elle venait de faire. Je lui
causai un effroi salutaire, qui la guérit de l'envie de
retourner seule chez Timorì, en lui disant que j'avais aperçu
Vitnègre sur le quai des Ormes. J'ajoutai:

-- Vous alliez pour être baisée; vous le serez; car je couche
avec vous.

Elle bégueulait, disant que le récit de Timori lui avait ôté
ses désirs. Je ne l'écoutai pas; je me mis au lit, et elle
vint se coucher auprès de moi.


Chapitre XXII De la fouteuse mise en appétit.


L'appétit vient en mangeant (dit le proverbe); et l'on va voir
combien il a raison, pour Conquette!

Dès que ma fille fut à ma portée, je m'ancrai sur ses appas,
lui suçai les tétons, et l'enconnai. Je ne sais par quel
motif, humeur ou volupté, ma divine enfant ne remua pas. Je
fis de même, et la tins emmanchée, sans me donner aucun
mouvement... Je m'endormis, après m'être mis sur le côté, sans
déconner. Conquette, qui s'y était prêtée, s'endormit comme
moi, sans doute; puisqu'en m'éveillant, sur les 2 heures, je
me retrouvai dans son bijou. Je m'agitai pour lors. Elle me
serra dans ses bras, remua vivement du cul, et me dit:

-- Cher amant! pou..ousse".

Et elle saccada de toute la force de ses reins... Elle
déchargea... J'émis aussi...

-- Ah... mon Dieu (dit-elle), c'est mon papa, qui me...
caracole...

-- Qui te fous, ma déesse.

-- Ah... il n'y a que vous, pour ces choses-là... Je ne vous
contrarierai plus; car vous avez plus d'esprit que moi... J'ai
eu un plaisir... que je ne dois qu'à vous... Cher papa,
recommencez; que je décharge à votre intention! Je vous
adore...

Je la re-enconnai vigoureusement, en lui disant:

-- Et fous comme tout à l'heure, à l'intention de ton amant...

Elle remua du cul comme Cléopâtre ou Messaline, et elle se mit
à dire, en saccadant:

-- Bougre de Timori... fous... fous... fous-moi... Fous ta
garce... fais cocu mon sacré gueux de père... dont je suis la
femme... la maîtresse... la putain... Ah... je sens ton vit,
au fond de mon con... Ta langue... ta langue!... Je me pâme...
je dé...cha.arge... Foutre... Ah-a-a-ah... je n'en puis
plus...

Et, en finissant, elle alla se laver le con...

Dès qu'elle fut de retour, je remontai sur elle.

-- Remue du cul, du con! (lui dis-je) Trémousse des fesses...
Je sens ton pinçoir... Oh! que tu fous bien, fille de mon vit,
pour une novice!... Ayez un mouvement encore plus rapide!...
Bon... excellent!... Quels reins élastiques!...

Elle fit trois soubresauts, et déchargea, en disant:

-- O mon Dieu! mettez une tonne de foutre dans les couilles de
mon père, et que son vit divin le décharge au fond de mon con!

Dieu l'exauça, car j'émis aussitôt, et nos foutres se
mêlèrent. J'en espérai un Adonis... Elle resta ensuite
immobile, et moi aussi. Elle fit une copieuse ablution. Je me
rafraîchis le vit et les couilles; puis nous nous recouchâmes.
Je la re-enconnai.

Je fus là plus d'une heure, lui suçotant ses boutons de roses,
lui dardotant et lui faisant dardoter la langue; la faisant
déchargeoter, pâmoter, chatouilloter mes couilles. Je ne
pouvais me résoudre à déconner... Tout à coup ma fille, que je
croyais épuisée, se met à trémousser du cul, à convulsionner
du con, comme faisait autrefois sa mère, mais mieux que
celle-ci... Je rebandai roide, mais loin de la décharge! De sorte
que je la limai tant qu'elle voulut... Elle me disait:

-- Papa! je ne parlerai pas d'un Vitnègre, qui n'a de plaisir
sur une femme qu'autant qu'il brutalise sa monture; mais vous
foutez plus tendrement, plus délicieusement, que Timori ne
caresse. Vous limez mon con comme un dieu!... A votre
intention cette décharge-ci... Papa! Papa, fourgonne! tu es
dans le con de ta fille! Remue du cul, papa! Tu me fous... tu
me fous... tu m'enco..onnes!... Fous, bougre! fous ta fille!
incestue, jean-foutre!... Enfonce, enfon..once... dans le
con..on de ta fi..ille... pâ..âmée!...

Et elle resta comme morte, pendant une longue décharge...

Je la relimai, voulant décharger aussi, pour la dernière fois
de cette nuit-là. Elle se ranima:

-- Fous, maquereau! Je suis ta putain, ta raccrocheuse... ta
sacrée salope... ta passionnée fouteuse... ta tendre fille...
Engrosse-moi! (remuant du cul avec fureur) mets-moi dans le
con un garçon... une garce! si une fille, tu la...
dépucelleras un jour... si un fils, il me foutra...

-- Adorable fureur! (m'écriai-je)... Tiens, fille adorée, voilà
du foutre.

J'émis délicieusement; et ma fouteuse déchargea plus
délicieusement encore...

-- Ah! quelle nuit! (me dit-elle)... Timori ne me l'aurait pas
donnée si voluptueuse...

Elle s'ablua; je lavai, et nous endormîmes.


Chapitre XXIII De la tendresse filiale; amour paternel.


Etre réservée, modeste, ou voluptueuse et fouteuse à propos,
c'est la véritable sagesse.

Je ne raconte pas les bagatelles... Montencon ne put le
re-mettre à Mme Poilsoyeux, et il en fut très étonné! Elle était
aussi modeste, aussi retenue avec lui, qu'avant qu'il l'eût
foutue. C'est qu'elle suivait mon avis, de ne pas laisser
prendre un pied sur elle, par les faveurs accordées, ou
ravies.... Un jour qu'elle se baissait, pour arranger le feu,
il lui prit le con. Elle lui donna un soufflet. Je dis à
Montencon:

-- Moi, qui la connais, je ne lui touche jamais les fesses, ou
le poil du connin, sans sa permission, et sans qu'elle m'ait
dit: "Eh bien, faites donc vite!" Quand je lui demande cette
faveur, elle est parée, chaussée comme les Grâces... Je
commence par lui demander à lui baiser le pied. Puis, lui
glissant la main sur la jambe, je lui dis: "Tu l'as si jolie!
que je la baise!..." Je pousse à la cuisse, en disant: "Quel
satin!" Je lui passe délicatement la main sur la motte, et je
m'écrie: "Ma reine! qu'en te voyant marcher dans la rue, et
tortiller si joliment du cul! faire bander tous les hommes,
bisquer de jalousie toutes les femmes, je puisse me dire: 'Je
viens de patiner, de baiser ces foutatifs appas...' Je te
suivrai; j'entendrai les hommes dire: 'Que je la foutrais
bien!' Je verrai les femmes penser: 'Sacrée coquette! cette
parure, ce goût, ce tour de cul signifient: Je veux être
foutue! Vits, foutez-moi!' 'Bougresses! (leur répondrai-je
tout bas), je méprise vos cons et vous! Je ne bande que pour
le beau connin que vous jalousez'..."

Ma fille sourit à ces propos; se laisse patiner, puis baiser
tétons, fesses et connin... Montencon m'admira, et demanda
pardon à Conquette, qui n'avait entendu ce que je venais de
dire, qu'avec une modeste rougeur.

Un jour de fête, que je l'avais conduite avec précaution chez
une amie, et que j'étais retourné la chercher le soir, la
suivant à quatre pas, son lubrique tour de fesses me fit
bander si fort qu'en rentrant, je lui happai le con. Elle se
défendit, parce qu'elle entendait aller et venir Mme
Brideconnin.

-- En ce moment, déesse, je suis si enragé de lubricité, par ta
marche voluptueuse, que je te foutrais devant toute la Terre.

Et je grinçais des dents, lui tenant toujours le poil du con,
ce poil soyeux qui lui formait une longue et superbe perruque
à la Louis XIV.

-- Eh bien! (me dit-elle), allons: Mais ne me chiffonnez donc
pas?

-- En déshabillé, reine.

Je lui tenais toujours le con, et je la suivais à chaque pas
qu'elle faisait. Elle me donna un joli baiser à langue dardée,
pour me remercier de ce que je lui permettais de se mettre en
déshabillé.

-- Ne me quittez pas le poil; ça me prépare.

Une pareille complaisance me la faisait adorer. En un instant,
elle fut en corset, en court jupon piqué, les tétons bien
découverts:

-- Ma chaussure est-elle assez voluptueuse? ou voulez-vous des
mules, avec d'autres bas?

-- Des mules.

Je la déchaussai d'une main, lui chatouillant toujours le con.
Ah! quelle jambe blanche! quelle propreté! Elle se chaussa
debout. Je lui mis le pied dans une mule rose délicieuse, à
talons roses aussi, minces, élevés, à falbalas d'or, ainsi que
le bout du talon. Je lui quittai la motte, qu'elle lava.
Ensuite elle fit par la chambre quelques tours, pour m'exciter
davantage. Me voyant hors de moi:

-- Je veux te griller! (me dit-elle).

Tandis que je déculottais, elle s'assit, croisa ses genoux, et
fit badiner la mule du pied en l'air...

Je n'en pouvais plus... Me voyant prêt à m'élancer sur elle,
Conquette vint sur moi troussée, me fit tenir ses jupes,
appuya ses deux coudes sur mes épaules, et s'enfila doucement
elle-même, sans toucher mon vit de sa main délicate. Elle
descendit ainsi graduellement jusqu'à ce que je touchasse à
son pincevit:

-- Ne remue pas! (me dit ma reine) je veux me foutre moi-même!

Quand elle sentit le plaisir, la divine fouteuse, trop émue,
s'abandonna de tout le poids de son corps, en me disant:

-- Cher vit... pou..ousse!

Elle mit sa bouche brûlante sur la mienne, donna le mouvement
intérieur à son con, me darda sa langue, et se pâma, en me
lançant toute son âme... Je déchargeai, avec un si délicieux
frémissement, qu'elle foutait encore, au bout de cinq minutes
d'émission.

-- Ah! Fouterie adorée, l'éclair du bonheur dure... et se...
prolonge avec toi...

Je sentis, en cet instant, l'émotion de mes premières
décharges, où je perdais connaissance, et je crus que j'allais
expirer de volupté dans son con. Je le dis, en déchargeant.
Mon enconnée n'en frétilla que plus vivement:

-- Un fils?... une fille?... ou tous deux au fond de mon con
(me disait-elle), cher vit de mon père!...

Je jurais, je sacrais, je divinisais ma fille:

-- Con céleste... Con divin... Con de mon vit... est-ce moi?...
est-ce un roi?... est-ce un prince?... est-ce le beau commis
aux aides, qui t'avons foutue dans le con de ta putain de
mère?... Ah, mon vit te rend ma fille, en mêlant mon foutre au
tien... Divine, sacrée garce... Adorable bougresse enculée, il
faut que je t'encule aussi?

-- Non; ton foutre m'est trop précieux, pour que je le perde
sciemment. Fous-moi en con, tant que tu le voudras; mais non
en cul, en bouche ou en tétons.

Je l'approuvai avec respect.

Je lui dis ensuite pourquoi je la suivais toujours, en la
menant chez son amie, ou en la ramenant:

-- Mon premier motif est de mieux voir le danger. Le second,
d'entendre les discours des hommes et des jeunes gens que tu
fais bander. L'un dit: "Quel mouvement de cul!... O garce! si
nous étions seuls ici, je me jetterais sur toi, et je
t'enconnerais..."

-- Je l'ai entendu (me dit en souriant Mme Poilsoyeux).

-- Un autre (ce soir) se secoue le vit en pleine rue: "Maman...
(dit-il) délicieuse maman... je me branle... je décharge... à
ta divine intention."

-- Je l'ai entendu; j'ai souri. Il a aussitôt ajouté: "Oh, si
vous êtes putain... une divine putain? cinquante louis pour
trois coups en une heure?... ou chez moi, ou chez vous?... Je
demeure rue de Bussi au 3ème, n° 16."

-- Un joli fat (repris-je), disait assez haut: "Mon vit dans sa
bouche, et ma langue dans son con..." Et il se branlait,
branlait, branlait.

-- Je l'ai vu, et je lui ai donné un petit coup d'éventail sur
le vit... Il m'a bien touchée! Il m'occupait. Peut-être est-il
cause que j'ai montré un peu d'humeur, quand, à notre arrivée,
vous m'avez pris le con.

A ces mots, nous recommençâmes une scène, comme celle que je
viens de raconter; si ce n'est que je renversai ma fille sur
le dos.

-- Vit-papa... (me dit-elle) tu es le fat... c'est le fat qui
me fout... Tu me fais foutre par tous ceux qui m'ont
désirée... Je décharge à l'intention du fat... son vit dans ma
bouche, ses couillettes sur mes tétons, et l'engin de mon père
au fond de mon connin... J'avale son... joli foutre...
(convulsivant du con)... Je déchar..ge...

Jamais elle n'avait eu autant de passion. Elle était même
raisonnée; car, entre deux décharges, elle me dit:

-- Vos lèvres sont appétissantes; elles me rappellent; au lieu
que celles de Montencon... Je ne veux plus qu'il
m'encon..o..o..ne (dit-elle en s'agitant). Langue en bouche;
mon con pa..art... Ah, si j'avais là l'homme aux cinquante
louis, moi qui ne suis pas effrontée, je crois que je ferais
la putain, que je les exigerais d'avance, comme Vitnègre
disait que c'est l'usage des filles, que je le déculotterais,
et que mon con martyrisé gagnerait la somme!


Chapitre XXIV Du chef-d'oeuvre de tendresse paternelle.


Conquette était naturellement sage; elle n'éprouvait les
emportements du libertinage que dans le délire de la
jouissance, effet d'un vigoureux tempérament.

J'étais épuisé par deux coups foutus avec trop d'emportement.
Cependant je la voyais haletante de volupté. Je courus au
carrefour Bussi, n° 16, au 3ème. Je trouvai le jeune homme aux
cinquante louis. Je le reconnus; il me remit.

-- Je suis le père de la jeune dame à laquelle vous avez offert
50 louis.

-- Je les lui tiens. Trois coups en une heure?

-- Soit. En ma présence?

-- Et de tout Paris, si vous voulez. Mais, bougre, ne va pas me
jouer!

-- Non. Mais une heure, sans bruit?

-- Foi d'homme! Partons...

Il prit les 50 louis.

Arrivés tous deux, je dis à ma fille:

-- Voici l'homme qui t'a plu. Tu as besoin de 50 louis. Il te
les apporte. Il les faut gagner!

Conquette rougit, sans rien répondre. L'homme se déculotta,
lui vint prendre les tétons, le con. Il me dit:

-- Serrez les 50 louis; ce con satiné, ces tétons touchés les
valent.

Je les serrai, tandis qu'il renversait ma fille sur le
foutoir. Elle fit un cri:

-- O monsieur... mon cher monsieur... ne me faites pas trop de
mal!

-- Seriez-vous donc pucelle?

-- Hélas! oui...

Il l'enconna avec fureur. Elle soupira, criota, pinça du con,
déchargea.

-- Elle est adorable (disait le fouteur enragé; car il foutit,
et re-foutit, sans pitié, comme sans déconner, ses trois coups
de suite).

Ma fille, tantôt le caressait, tantôt lui demandait grâce:
mais elle déchargeait toujours... Il déconna ravi... Et voyant
quelques gouttes de sang, que ses brusques estocades avaient
fait couler, il dit:

-- Oui, vous êtes d'honnêtes gens. Un pareil pucelage n'est pas
assez payé de 50 louis. Je vais en envoyer 50 autres, papa...
(Ma fille était disparue pour s'abluer). Oui, si je n'étais
pas marié (ajouta-t-il attendri), je l'épouserais, et pour son
pucelage, et pour son amour... Vous allez recevoir 50 louis.
Je la regretterai toujours, et ne la verrai jamais.

Il partit. Ma fille me remercia, et me dit qu'elle était
rassasiée. Je lui remettais les 50 louis.

-- Non (me dit-elle), cher papa, c'est pour nos dépenses.

Les 50 autres louis arrivèrent, et je ne pus jamais l'obliger
à en mettre dans sa bourse plus de six. Je déposai les 94
autres à sa portée dans mon magasin.

Le Lendemain, à mon arrivée, ma fille me dit:

-- Je brûle aujourd'hui. Savez-vous la demeure du fat, ou du
vit découvert?

-- Non; ce sont des sots.

-- Eh bien, sortons. L'un ou l'autre me verra sans doute, et
vous le suivrez.

-- Divine fille... épuisé dans ton céleste connin, j'ai
toujours les mêmes désirs; et, si je voulais mourir de
plaisir, et dans le plaisir, je te prierais de remuer du cul,
et de me laisser expirer au fond de ton con satiné...
Foutons!...

-- Un seul coup. Vous m'êtes trop cher et trop nécessaire pour
que je ne vous ménage pas.

En montant sur le ventre de ma fille, et tandis qu'elle
m'arrangeait le vit à l'entrée de son con, je lui disais:

-- Te quitter, pour en suivre un, est trop scabreux, et malheur
peut arriver...

Et comme elle ne s'agitait pas,

-- Tu me ménages?... Remue du cul, mignonne! Saccade!
Décharge!... C'est mon seul coup... Mais j'ai de quoi te
satisfaire... Il le faut même, avant qu'un de tes trois gros
vits te martyrise.

Elle remua du cul et du con, comme Marie-Antoinette foutue en
levrette à la Conciergerie par un polisson de gendarme... Nous
déchargeâmes, Conquette, comme la reine, moi, comme le
gendarme... Je sortis. Elle lava.


Chapitre XXV Du bon père qui fait foutre sa fille.


Allez au but, et bravez le reste: c'est un con, qu'il s'agit
d'élargir; il faut donc qu'il soit foutu...

On sait que j'avais à moi un certain Traitdamour, mon
secrétaire, frère de Minone et amant de Connète, qu'il m'avait
fait dépuceler, l'ayant trop gros. C'était un vigoureux garçon
de vingt ans. Il demeurait à deux pas. Je l'allai chercher:

-- Veux-tu foutre quatre ou cinq bons coups, avec une femme
charmante, que je veux régaler, et à laquelle je veux donner
haute opinion de moi? Ainsi, tu n'auras pas de jour. Mais tu
l'auras vue avant de la foutre, pour la mieux servir.

-- Bon, bon! il y a quinze jours que je ne l'ai mis, ni à
Connète, ni à ma soeur, et je n'en fous point d'autres...

Nous arrivâmes.

Je lui fis voir, par une portière, Conquette, qu'il ne
connaissait pas.

-- Oh... qu'elle est... provoquante... foutative!...

J'entrai seul:

-- Dététonne-toi; trousse-toi toi-même (dis-je à Mme
Poilsoyeux). Tu es vue par un jeune homme de vingt ans, beau
comme l'Amour.

-- Mon fat?

-- Ton fat. Il se nomme Traitdamour. Ainsi, montre tout, en
abluant. Je retourne auprès de lui.

De retour auprès de mon étalon, je lui dis:

-- Regarde-la bien. Elle va s'abluer, et montrer con et cul...

L'âme de mon gendre momentané passa dans ses yeux. Conquette
se découvrit les tétons, épongea légèrement les bouts d'eau-rose.
Ensuite elle se troussa au-dessus des reins, se parfuma
le cul et le con avec une autre fine éponge; tendit le cul, se
faça bien le con. Puis elle se renversa sur le foutoir, avant
de fermer les rideaux. Je les allai tirer, en disant à
Traitdamour de me suivre dans un instant. Je me jetai sur la
délicieuse Poilsoyeux; et l'enconnai. Traitdamour me
chatouilla les couilles. J'émis avec fureur. Ma fouteuse se
récriait de volupté... Je me hâtai de déconner.

Traitdamour attendait tout déculotté. Il se précipita sur ma
fille, et je dis, en me penchant sur la tête de l'enconnant:

-- Allons, allons, ma belle! les reins souples! j'ai repris une
vigueur nouvelle!

Traitdamour cependant enfonçait à peine son beau vit dans cet
étroit bijou, encore que mon foutre y servît de pommade.
Conquette, de nouveau dépucelée, criotait en soupirotant, et
néanmoins remuant vivement du cul, à chaque dardement de vit.

Je rebandais. Mais Traitdamour foutit trois coups, et fit
trois copieuses éjaculations avant de déconner. Je le tirai,
pour le forcer à reprendre haleine.

-- Je vais pendant ce temps-là (lui dis-je très bas), faire une
petite partie de Trou-Madame.

-- Je vois (me dit-il de même), vous ne bandiez plus assez
roide, et je suis votre Boutentrain! Mais elle a le con plein
de foutre...

Ma fille se lavait... Je roidissais de plus en plus, par la
vue des cuisses de neige, de la jambe fine, du pied parfait,
du cul, du con, du ventre d'ivoire, du nombril bien fait, des
tétons de ma fouteuse. Je dis tout haut à Traitdamour:

-- Beau fouteur, montre-toi; que ma déesse voie le superbe vit
dont je la régale!

Traitdamour parut son trait à la main. Ce n'était pas le fat;
mais il était plus beau. Ma fille sourit. Puis, baissant la
vue sur le vit majeur, la belle dit en soupirant, et le
pressant de sa main blanche et potelée:

-- C'est donc toi qui m'as fait tant de mal... et de
plaisir!...

Traitdamour me la renversa; lui fit écarter les cuisses; me
coucha sur elle; me mit l'engin dans la brèche, en disant:

-- Votre belle a la main trop douce; elle pourrait vous mettre
à nage, et il faut enconner roide... Poussez, mon maître...
piquez des deux!... la cavale est belle... Allons, déesse
enconnée, haussez le con... Remuez du cul... C'est un homme
d'esprit qui va vous humecter la matrice de son foutre
honorable...

Cette harangue fit sourire la foutue, qui, pour en déguiser la
cause, s'écria:

-- Ah, monsieur Vitnègre, que de cornes vous voilà!...

-- Allons, déesse (reprit Traitdamour), songez qu'il faut que
vous fassiez les trois quarts de l'ouvrage... Du mouvement!...
Bon... Ah! ça va d'amitié... et... vous remuez du cul comme
une princesse... Allons, des reins souples! Avec votre connin
satiné, vous mettez votre fouteur aux anges!... Roide, mon
maître! aidez-vous... votre jolie monture va comme une jument
barbe... Gzee... gzee... Un coup de fouet... Ah! quels
soubresauts... Ma foi, elle décharge... Piquez des deux...
Comme elle trémousse des fesses, la céleste petite amie! comme
elle en donne!... Que je vous chatouille les couilles, pour
vous y faire correspondre!... Vous partez!... Quels coups de
cul!... Quels soupirs!... Elle redécharge!...

Ma modeste fille ne jurait jamais que très émue, et dans le
délire de la volupté. Aussi, en cette occasion, elle syncopa,
en s'écriant:

-- Bou..ougre!... fous..ous-moi! Mon... con a... toute... mon
âme!... Je fous... je fonds... en foutre... je décha..arge...
Que... n'ai-je... deux vits... dans... mon... sacré con!

-- Il est trop étroit, ma belle (lui répondit Traitdamour);
sans quoi l'on s'arrangerait à vous donner ce plaisir-là...
Mais on pourra quelque jour vous enculer, pendant que votre
fouteur vous enconnera...

Après une délicieuse décharge, je me crus épuisé. Je déconnai
sur-le-champ. Ma fille trémoussait encore. Traitdamour sauta
sur ce con fumant, et, tout en le re-enconnant, il me disait:

-- Vous avez foutu ma petite soeur; je l'ai foutue aussi, après
vous. Vous m'avez dépucelé Connète ma future. Dites-moi si
leurs cons valent celui que votre bonté me fait enfiler? c'est
un satin!..... Mais, à en juger par le soyeux du poil,
j'augure que l'intérieur du con de ma jolie chapelière de la
rue Bordet en approchera... Ma reine... vous fais-je mal?

-- Et plaisir... Va... va..a va..a donc! je fous.

-- Ahahahh, quel satin.. quelles délices!... J'enconne... je
fous... je décha..arge... Remue... divine... sacrée... céleste
enconnée!... Oh, l'aimable petite pincette qu'elle a au fond
du connin!... Pince... serre... sacrée petite
convulsionnaire... fais-moi... convulsiver dans ton joli
con!... Tu veux du foutre... Déesse?... Quatre décharges de
suite vont t'inonder le connin... connichon...
connichonnet!... Voilà ma seconde...

-- Fous... saccade (murmurait ma fille)... ne... me quitte...
pas, cher vitdamour!

-- Ne la quitte pas après avoir déchargé (dis-je à mon ancien
secrétaire); qu'elle sente les dernières oscillations de ton
gros vit!... Qu'elle est jolie, en foutant!... (disais-je à
Traitdamour); je rebande... Elle a l'air d'une déesse!...
Laisse-la achever... Farfouille... Lime.. lime-la!... Elle
gigote encore... Bon... bon! Elle se pâme?!... Ah, qu'elle est
jolie, pâmée!.....

-- Elle n'émet plus?

-- Elle a émis quatre fois dans le con, sans la désenconner.

-- Quatre et trois, c'est sept (disait Traitdamour, en me la
lavant); vous allez la refoutre; ça me reposera; j'irai à mes
douze.

-- Vous vous ferez mal (me dit Conquette); voilà quatre fois
que vous m'enconnez aujourd'hui; le reste de ses 12 me
suffira; ça fera mes 16!

Pour toute réponse, je me la fis renverser. Elle me darda sa
langue, et je la foutis roide... Traitdamour la prit ensuite,
et ne la quitta plus, quoiqu'elle l'en priât, qu'il n'eût
arrosé de foutre cinq nouvelles fois ce beau con.... Elle se
leva aussitôt qu'elle fut déconnée, en me disant:

-- Emmenez cet impayable jeune homme, et me laissez libre. J'ai
besoin de rafraîchir sur le bidet plus d'une demi-heure mon
pauvre bijou martyrisé...

Nous la laissâmes; j'allai prendre et faire prendre à
Traitdamour un bouillon chez Mme Brideconnin, que je priai
d'en tenir un prêt pour Mme Poilsoyeux. Ce qui la surprit...
Conquette rafraîchie arriva, et parut aussi décente, aussi
modeste, que si elle n'avait pas foutu. Traitdamour partit,
sans être instruit, Mme Brideconnin étant prévenue de ne
jamais découvrir les relations entre ma fille et moi.


Chapitre XXVI D'avis très utile au lecteur, et à l'auteur.


Nous en sommes enfin au temps si souvent annoncé des fouteries
majeures. Si je les avais rapportées sans préparation, elles
auraient étonné. Mais qu'on sache que j'étais sûr, en les
commençant, non seulement d'avoir pour mes filles deux des
trois payeurs qui soldaient Vitnègre, mais encore de les faire
précéder par la jolie chapelière de la rue Bordet, qui, vendue
au plus douteux, devait m'instruire de la moralité de tous les
trois. Il était donc essentiel, pour éviter qu'elles ne
fussent estropiées, de les faire prodigieusement élargir, en
évitant néanmoins de les prodiguer à trop de déchargeurs en
con. L'on verra comme je m'y prendrai pour cela.

On trouvera dans le récit un épisode, à chaque séance, tant
pour varier la scène, et reposer l'imagination, que pour
raconter quelques aventures, que j'ai cru devoir supprimer au
commencement. Chaque historiette lue ou racontée ne sortira
pas du genre. Rien de plus déplacé, dans un ouvrage comme
celui-ci, qu'une dissertation philosophique; elle y devient
insipide, et par là même dégoûte de la philosophie. Mon but
moral, qui en vaut bien un autre, est de donner à ceux qui ont
le tempérament paresseux, un Erotikon épicé, qui les fasse
servir convenablement une épouse qui n'est plus belle. C'est
ce que j'ai vu faire à plusieurs hommes, qui se servaient pour
cela du livre cruel et si dangereux de Justine, ou les
Malheurs de la Vertu. J'en ai un plus important encore; je
veux préserver les femmes du délire de la cruauté. L'Anti-Justine,
non moins savoureuse, non moins emportée que la
Justine, mais sans barbarie, empêchera désormais les hommes
d'avoir recours à celle-ci. La publication de la concurrente
antidotale est urgente, et je me déshonore volontiers aux yeux
des sots, des puristes et des irréfléchis, pour la donner à
mes concitoyens.

L'ouvrage aura deux parties. Après le récit formant la
première, succéderont des lettres, non moins assaisonnées,
composant la seconde. Les filles de Cupidonnet lui racontent
les parties de plaisir que leur faisaient faire leurs
entreteneurs; parties où, dans le délire de l'ivresse, leurs
payeurs les faisaient quelquefois posséder par 12 hommes...
Mais toutes ces lettres ne sont pas érotiques: il en est
d'intéressantes par un autre motif; tel est celui d'une
résurrection, avec la découverte importante de l'origine de
Conquette-Ingénue, et de Victoire-Conquette, noms de deux
filles que les miennes ont remplacées. Ce qui me justifiera
d'une certaine chose, qui sans doute a déjà effarouché plus
d'un lecteur... Je n'en dirai pas davantage là-dessus.

On ne peut trop multiplier les observations sur les scènes que
je vais mettre sous la vue du lecteur. Pour remplacer la
Justine, et faire préférer l'Anti-Justine, il faut que
celle-ci surpasse l'autre en volupté, autant qu'elle lui cède en
cruauté. Il faut qu'un seul chapitre lu par un homme, sur
l'inspection de la table, lui fasse exploiter sa femme, jeune
ou vieille, laide ou jolie, pourvu que la dame ait fait bidet,
et qu'elle soit bien chaussée.


Chapitre XXVII Du commencement des grandes fouteries.


Egayée comme elle l'avait été hier, ma fille devait avoir
besoin de repos le lendemain. Elle avait le bijou si fatigué
qu'elle ne pouvait quitter sa chaise. Elle resta constamment
auprès de Mme Brideconnin, de peur que personne ne vînt le lui
patiner. Le reste de la semaine, elle évita également, quoique
guérie dès le troisième jour, de se trouver seule avec moi.
Elle amassait elle-même du tempérament; car elle ne s'était
jamais branlée.

Le dimanche, à une heure, elle alla pour la dernière fois chez
son amie... Avant de partir, elle me présenta son joli pied à
baiser, et me livra sans bégueulerie le poil de son connin. Je
la conduisis jusqu'à la porte, promettant de la revenir
prendre avant 5 heures; ce qui la fit rougir; mais j'observai
qu'en montant, me croyant parti, elle souriait.

Je fus exact. En la ramenant, je la fis marcher devant moi,
m'apercevant qu'elle était observée par un homme, que je pris
pour un des payeurs de Vitnègre. Mais il ne pouvait
reconnaître que son joli tour de cul et sa marche provocante,
tant elle était bien encaléchée. J'observais l'inconnu. Je
demandai à ma fille si c'était là celui-ci qu'elle préférait?

-- Oui (me dit-elle).

Alors, je la nommai, distinctement, ma fille. Et l'homme
s'éloigna.

J'avais averti Traitdamour. Il avait une clef de mon magasin,
et nous l'y trouvâmes. Je le crus seul, malgré la
recommandation que je lui avais faite de m'amener quatre
acteurs des deux sexes. Je lui dis, en riant, que je bandais,
et que je voulais enconner.

-- Quoi! (dit Conquette) est-ce que vous allez faire tous deux
comme l'autre fois?... Je ne suis pas disposée, je vous en
avertis.

-- Nous vous disposerons, ma belle (lui dit ironiquement
Traitdamour, qui la crut ma putain); voyez-moi ce vit-là!...

Et il lui en montra un superbe...

-- Laissez-moi d'abord vous lécher le connin, Ma'm'selle?...
Mon maître vous enconnera, quand vous serez préparée! J'ai
tout disposé, pour lui donner aujourd'hui, ainsi qu'à vous, un
plaisir de fermier général.

Il la renversa brutalement, et la gamahucha, en lui disant,
comme s'il l'avait menacée:

-- Ne résistez pas! car je vous ferais mal...

Mais Mme Poilsoyeux, comme toutes les femmes à grand
tempérament, aimait, dans la fouterie et ses accessoires, une
sorte de brutalité. Ainsi, en croyant la contraindre, il la
servait admirablement... La belle commençait à décharger...

Tandis que je roidissais avec oscillation, à la vue du systole
et du diastole des fesses et du con de ma fille, j'aperçus
derrière un rideau de l'alcôve quelque chose qui remuait.
J'allai voir. C'étaient Minone et Connète, auxquelles deux
garçons amis de Traitdamour, excités par ce qu'ils voyaient,
léchaient le con. Je leur fis entendre, par signes, de ne pas
bruire, et je les encourageai d'un geste.

Cependant Traitdamour fellait ou suçait le connin de Mme
Poilsoyeux. Lorsqu'elle fut suffisamment en humeur, il se
dérangea, me tira sur la belle, et inséra mon vit bandant en
ce connin rempucelé par sept jours de repos.

-- Qu'avez-vous à me donner à vous sucer? (dit-il à
l'enconnée).

Elle lui présenta l'index de la main droite qu'il se mit à
sucer, après néanmoins avoir appelé sa soeur et sa maîtresse,
en leur disant:

-- Ici, bougresses, et qu'on montre son savoir-faire!...

L'une (Minone), qui avait la main aussi douce que ma fille
avait le con, me chatouilla les couilles; l'autre (Connète)
fourrait un doigt pommadé dans le cul de ma fouteuse, pour la
faire tressaillir sous moi... Mme Poilsoyeux hennissait de
plaisir. Elle me dardait sa langue, en m'appelant son cher
fat... son cher Centlouis... son cher payeur à gros vit... son
cher Traitdamour... Enfin, enivrée de fureur érotique, elle
s'écria:

-- Vitnègre!... Jean-foutre... Fous-moi! Pince-moi!... Que ton
gros vit de mulâtre me pourfende et m'encule!...

Et elle déchargea comme une énergumène. En ce moment, j'avais
dans la bouche la langue frétillante de mon enconnée; une des
deux filles me chatouillait de la sienne le trou du cul et les
couilles; l'autre me suçait dans la raie du dos entre les deux
épaules, précisément sur le sensorium... Je croyais connaître
le plaisir de la décharge; mais je ne l'avais jamais éprouvé,
comme cette fois-ci; et, de ce coup, je fus rendu.... --
Quelles délices!

Traitdamour m'enleva de sur ma fille, et se précipita dans son
con.

-- Voilà un connin! (disait-il, en poussant et retirant, allant
toujours plus avant, à chaque saccade) Il y a de la différence
de ce connin aux autres cons, comme du satin à la tapisserie
de Bergame... Les jeunes filles n'avaient plus besoin de
chatouiller, quand Traitdamour foutait; il avait assez de feu
pour lui-même, et ne faisait que trop bien trémousser sa
monture. Je fis signe aux deux garçons, Brisemote et
Cordaboyau, d'étaler les filles, l'une sur un vieux sofa,
l'autre sur un lit de sangle ayant un simple matelas, et de
les foutre à la portée du regard de la belle au con soyeux.
Par un effet du hasard, ma fille émettait sous Traitdamour
pour la seconde fois, et les deux enconnées déchargèrent au
même instant, ainsi que les trois hommes. La belle Poilsoyeux,
en roidissant les jarrets, faisait:

-- Hi hi-hi-héhé!...

Minone:

-- Han-han-hanh!...

Connète:

-- Houhi-houhin houah-houah-houâh!...

Les trois hommes disaient ensemble: Traitdamour:

-- Remue du cul, déesse!...

Cordaboyau:

-- Remue du cul, garce!

Brisemote:

-- Remue du cul, petite putain!...

En déchargeant, ils s'écriaient:

-- Foutre...

-- Foutre...

-- Foutre...

Traitdamour:

-- Ah, déesse...

Cordaboyau:

-- Ah, bougresse...

Brisemote:

-- Ah, mâtine!

chacun suivant son caractère et sa politesse...

Mme Poilsoyeux fut la plus longue à décharger; les deux autres
étaient déconnées et lavées, qu'elle émettait encore. Enfin
elle cessa. Traitdamour la lava. Et me voyant rebander:

-- Vous la foutrez sans doute autant que la dernière fois? (me
demanda-t-il).

-- Très certainement! (répondis-je). Je ne suis vigoureux
qu'avec cette jeune beauté. Je la foutrais jusqu'à extinction
de vie et dessiccation de couilles; et tu vas voir ce que je
vaux. Qu'on m'anime seulement par la vue d'enconnages
redoublés!


Chapitre XXVIII De l'enculo-connillerie.


Ma réponse fit sourire Traitdamour, qui sans doute n'y ajouta
aucune foi.

-- Eh bien (reprit Traitdamour), je vais vous donner un
plaisir, que vous n'avez jamais eu, ni ces bougres-là non
plus. Je tiens cette pratique de l'abbé Chouanche, ancien
Genovefain, qui m'a souvent enculé, avant que j'eusse de la
barbe au menton et du poil au vit. Un jour, voyant que je
m'ennuyais de son culetage, il me dit d'aller lui chercher la
petite Culfrayé la cadette, jolie comme un coeur, et non encore
vendue à un Lord. Il envoyait 12 francs à la mère, et la fille
devait en recevoir autant. L'abbé la fit s'appuyer un coude
sur une commode; il se mit derrière elle, et l'encula. J'étais
devant, et il me la fit enconner. Nous limions; nos deux vits
se sentaient, ou la jeune garce tortillait du cul de façon que
nous croyions le sentir. Chouanche la faisait tantôt pousser
du con sur moi, et alors son vit déculant à moitié, il avait
l'agrément de la re-enculer quand elle foulait du cul sur lui.
Je presque-déconnais alors, puis je re-enconnais. Ce joli jeu
dura tant que Chouanche put retenir son foutre. Car il ne
déchargeait pas; il se réservait pour mon cul. En conséquence,
il fit mettre la jolie Culfrayé sur le dos; je l'enconnai;
l'abbé m'encula, et nous déchargeâmes tous trois... Nous ne
prendrons pas la manière du Genovefain; elle est trop
fatigante pour la foutue. Mais il payait la jolie bougresse...
Payez-vous, Madame?...

-- Non certes: c'est une honnête femme.

-- Je m'en suis aperçu à sa fouterie. Une putain ne fout pas
comme Madame... En ce cas, je vais vous donner une expérience
physique sur une de ces deux fillettes... Allons, Minone...
Allons, Connète! laquelle des deux veut être enculée et
enconnée tout à la fois et en même temps! Qu'elle se trousse!

Durant cet entretien, qui la laissait tranquille, Conquette
s'était couvert le con et les tétons. Les deux filles étaient
assises à côté d'elle, dététonnées. Elle leur baisa le
boutonnet, et leur couvrit la gorge de sens-froid avec leurs
fichus (Mme Poilsoyeux redevenait toujours modeste, dès qu'on
ne la foutait plus)... Les deux filles répondirent ensemble:

-- Moi... Moi!

-- L'une après l'autre (dit Traitdamour)... Vous avez ici de la
pommade, ou du beurre frais?

-- Oui (répondit en rougissant la belle Consatiné). Tenez, ma
pommade est là... et voici du beurre.

-- Gardons ce beurre frais pour vous, belle dame, aussi belle
au cul et au con qu'au visage (reprit Traitdamour).

Minone se pommadait la rosette.

-- C'est donc toi qui passes la première, ma soeur?

-- Oui, si c'est toi qui me dépucelles le cul?

-- J'y suis pucelle aussi (s'écria Connète).

-- Ce ne sera pas moi qui aurai ton pucelage d'arrière
(répondit Traitdamour à sa soeur). Mon vit est aujourd'hui
entièrement réservé à Madame. Et, quoique le culetage m'ait
toujours fait peine, agent ou patient, le cul satiné de Madame
me tente autant que l'étroit fourreau de son con, qui se
rempucelle en une semaine, ou seulement en faisant bidet à
l'eau froide. Je suis sûr que Madame n'a jamais été enculée (à
genoux, il lui regardait au cul), et que c'est aussi un
pucelage?

Conquette rougissait.

Les deux camarades de Traitdamour tirèrent au premier roi à
qui dépucellerait le cul de Minone; car tous deux le voulaient
avoir. Ce fut Cordaboyau (un bellot à vit moyen) que le sort
favorisa. Il se pommada le vit jusqu'à la racine. Traitdamour
fit coucher Minone sur le côté. Il mit Cordaboyau devant son
cul, et Brisemote (un beau à gros vit) devant son con. Il la
fit ainsi enfiler des deux côtés; les jeunes gens se la
poussant l'un sur l'autre à qui mieux. Ce qui donnait un tel
plaisir à Minone, qu'elle se récriait:

-- Dieu... que j'ai de délices... c'est... une fouterie de
princesse... On dit... que la Reine... fout ainsi entre...
d'Artois et Vaudreuil... ce dernier a... le cul...

-- Allons (dit Traitdamour), tachez de décharger tous trois en
même temps!

Cordaboyau poussait; il retint la garce par les hanches, pour
enfoncer plus avant; Brisemote en fit autant; de sorte que,
rendue immobile, elle s'agitait néanmoins en tout sens.

-- Examinez bien.. (dis je à Conquette-Ingénue) pour faire la
même chose à votre tour; car il faut que vous expérimentiez
tous les genres de fouterie.

Elle considéra le jeu, à travers les bâtons de son éventail.
Minone haletait. Connète, ébahie, restait immobile à la
contempler.

-- Que fais-tu là, toi, bougresse? (lui dit Traitdamour, notre
grand maître des cérémonies) Patine-nous Madame... Suce-lui le
bout des tétins... Gamahuche-la; elle a le con propre comme un
visage de mariée...

Ces mots, énergiquement prononcés, mirent en danse la reine de
la fête, que je vais décrire.

Connète, tandis que Minone travaillait, et qu'elle était
travaillée, découvrit les tétons de Mme Poilsoyeux, et les
siens. Elle en suça les bouts; elle se les fit sucer. Ce
chatouillement de la bouche de Conquette, aussi satinée que
son con, mit la jeune Connète en fureur amoureuse. Elle
trousse Mme Poilsoyeux; lui insère sa langue dans le con; lui
chatouille le haut de la motte. La belle, émoustillée,
regardait cependant Minone. Celle-ci avertit ses deux fouteurs
qu'elle était prête à décharger. Ils redoublent le
fourgonnage. Elle s'écrie:

-- Vits de Dieu!

Et elle se pâme. L'enculeur et l'enconneur l'inondaient de
foutre; il ruisselait des deux côtés... Ma fille, vivement
gamahuchée par Connète, est hors d'elle-même, et cette modeste
beauté dit à la jeune fille:

-- Ote-toi, garce! Un fouteur! Un fouteur!... deux... cent
fouteurs!...

Traitdamour l'entend. Il dérange Connète acharnée, en la
tirant par la jolie crinière de son con blond. Il emplit le
trou du cul de Mme Vitnègre de beurre frais; s'en frotte le
vit décalotté; se met le bas-ventre sur ses fesses, enfile la
rosette, sans écouter les petits cris de l'enculée; l'étreint
vigoureusement, se retourne, en se mettant sur le dos, le vit
dans le cul de la belle jusqu'à la garde, son con bien facé...
Il crie à son maître:

-- A ce con béant qui vous supe! Enconnez roide... Piquez des
deux... la garce est enculée, et je vas vous donner les
mouvements... Pardon, déesse! je ne me connais plus...
Connète! boulonne, boulonne les couilles de mon maître...

Cependant j'enconnais ma délicieuse fille. Et, sentant le vit
de Traitdamour qui m'étrécissait encore le passage, et qui
donnait au connin des oscillations que jamais con n'a eues, je
délirai, en m'écriant:

-- Chien de Vitnègre! cocu tout à la fois du con et du cul.

Cette idée m'enflammait, et sa brutalité m'empêcha de
décharger trop tôt. Je parvins au charmant pinçoir du fond du
connin. Il me suça. Le vit de Traitdamour me communiquait tous
ses mouvements, et en faisait faire d'insolites à mon adorable
fouteuse. Déjà préparée par la langue de Connète, elle
s'écrie:

-- Ah-ah-ohh!... ze déça-arze.... Foutre!

-- En voilà... du foutre... plein votre con... Reine des
vits... et des dieux, s'écria Traitdamour!...

Et je sentais les oscillations de son gros vit qui
éjaculait... Enfin, je déchargeai moi-même. Ma fille, inondée
de foutre, trémoussait rapidement:

-- Con satiné de mon vit (m'écriai-je), que tu es délicieux!...

Mme Vitnègre émettait encore, quand Traitdamour décula...

Ce mouvement la fit redécharger... Le bougre se lavait d'eau
tiède. Conquette, dans le con de laquelle je laissais osciller
mon vit après décharge, gigotait, trémoussait, tremblotait
sous moi. Connète m'avait quitté les couilles. Traitdamour,
toujours bandant, était revenu vers nous.

-- Fous-la-moi tout chaud (lui dis-je); elle décharge encore...
Et toi (dis-je à Connète), boulonne-lui la bouteille-à-miel du
bourdon d'amour.

Elle m'obéit. Mais Minone, déculée, déconnée, lavée, était
libre. Elle vint remplacer Connète, en me demandant si cela ne
signifiait pas tout uniment de chatouiller les couilles de son
frère pendant qu'il foutait ma maîtresse?... Cordaboyau
cependant et Brisemote happaient Connète, le premier, cette
fois enconnant, tandis que l'autre enculait, pour donner une
perspective encourageante à ma fille.

Mais tout finit. Mme Vitnègre cessa de décharger. On la
déconna. Traitdamour la mit au bidet. Elle se couvrit
modestement le con et les tétons; puis elle dit aux deux
fillettes:

-- Mes bonnes amies, allons aider mon hôtesse, pour le souper!

Elles y coururent.

-- Si vous n'avez préparé (dit ma fille) que pour notre souper
ordinaire, je vous avertis qu'il faut le double.

-- Je n'ai pas assez donc (répondit Mme Brideconnin).

-- Vite au rôtisseur de vis-à-vis (reprit la belle Vitnègre);
et du bon vin! ou je ne boirai que de l'eau. Un bon mariage
paiera tout ça...

On alla chez le successeur d'Ellès, qui promit un copieux
souper pour dans une heure.

Conquette rentra auprès de nous avec les deux jolies filles.

-- Rebandez-vous? (me dit Traitdamour) Il ne faut pas laisser
languir nos cons avec l'expectative d'un bon souper!

-- Je brûle, à la vue du tour de cul et du pied de ma déesse;
mais je ne suis pas roide, lui répondis-je.

Traitdamour:

-- Je roule dans ma tête une idée, qui vous roidira.


Chapitre XXIX D'une nouvelle actrice. Danse nègre.


-- Allons, garces, dit Traitdamour à sa soeur et à sa maîtresse,
nues! Et vous, bougres, déshabillez-vous!...

Il se mettait nu lui-même.

-- Mais il nous faut encore une actrice... Je viens de voir
monter une jolie drôlesse, qui ferait notre affaire?

-- C'est Mme Brideconnin, l'hôtesse de notre belle dame, dit
Connète.

-- Non, non, mon amie. C'est une petite brune de fond de la
cour, cadette d'une grande belle blonde, que nous aurons
peut-être un jour, et qui se nomme Connindoré. La Cadette s'appelle
Rosemauve, et passe pour très rusée. Mais on la dit amoureuse
comme une chatte, quoiqu'elle soit peut-être pucelle encore;
car sa mère la couve des yeux. Cependant, quand un homme
l'embrasse, elle ne fait aucune difficulté de donner sa
langue.

-- Je la connais! dit modestement la belle Poilsoyeux; et elle
m'a... m'a...

Traitdamour:

-- Quoi? déesse?

-- Mais, donné sa jolie langue, et...

-- Et quoi?

-- Gam*******.

-- Gamahuchée... Va la chercher, Connète.

-- Non! dit vivement Conquette, j'y vais moi-même.

Elle sortit, et, ayant rencontré Rosemauve qui redescendait,
parce qu'elle n'avait pas trouvé un vieil oncle assez riche,
dont elle recréait l'impotente lubricité, en lui chatouillant
le croupion, le scrotum et les testicules; ce qui le faisait
bandocher, la belle Poilsoyeux la mit au fait, obtint son
aveu, et l'introduisit.

Les deux filles et les trois hommes étaient nus comme la main.
Sans rien dire à la brune Rosemauve, ils se mirent tous cinq à
la déshabiller. On lui enleva jusqu'à sa chemise. On lui
baigna cul, con, cuisses, pieds... Puis Traitdamour lui dit:

-- Ma belle, il faut, en tout, faire comme ma soeur et mon amie.

Aussitôt commença la danse nègre; où chaque fille faisait tous
les mouvements d'une Noire ardente qui fuit le vit dont elle
brûle d'être enconnée, que le vit attrape, et qui saccade
alors en trémoussant du cul, comme si le vit la fourgonnait.
Les garçons poursuivaient les garces le vit en main; et dès
qu'ils les avaient attrapées, elles se retournaient pour
l'enconnage, ou ils paraissaient les foutre en levrette;
culetant, criotant, jurotant, comme s'ils eussent perforé les
cons. La danseuse prenait le vit, au lieu de la main; l'homme
la saisissait par la barbe du con. Ils se faisaient ainsi
tourner de temps en temps.

Je bandais roide. Je fis trousser ma fille au-dessus des
reins, et je lui dis:

-- Conque de Vénus, imite tous les mouvements de cul et de con
que tu vois...

Elle était excitée; elle se mit au milieu de la danse, et les
exécuta rapidement... Traitdamour, me voyant en rut, et ses
camarades bien disposés, leur dit:

-- Au foutoir...

Il laissa Rosemauve, sa danseuse, qui en parut toute
mortifiée!

-- Votre tour va venir, ma belle danseuse.

Il étendit ma fille sur le sofa, dont il lui mit un des
oreillers sous le cul:

-- Allons, ma toute éveillée, dit-il à Rosemauve, gamahuchez-moi
ce connin-là, pendant que je vous le mettrai en levrette,
ou vous enculerai, à votre choix?

-- On ne dépucelle pas une vierge en levrette (répondit-elle
vivement): encule-moi, s'il le faut, tandis que je
gamahucherai ce connin d'amour...

Elle gamahucha la belle épouse de M. Vitnègre avec fureur, et
Traitdamour perça sans pitié, par des efforts redoublés, le
cul virginal de la gamahuchante. La belle Poilsoyeux appela:

-- le vit! le vit!

Je n'y pouvais plus tenir. Je dérangeai la Rosemauve enculée,
pour me précipiter dans le con de ma fille haletante de
volupté... J'enconnais vigoureusement, lorsque j'eus la
délicieuse surprise de me sentir gamahucher le cul, ainsi que
la racine des couilles, par la bouche et la langue veloutées
de Rosemauve!... Je cocufiai Monsieur Vitnègre aussi
copieusement que si j'avais eu les couilles d'un Dieu!... On
abluait.

-- Avec la permission de ma déesse (à Conquette), il faut que
je m'acquitte avec Rosemauve!...

Tout le monde s'écria:

-- Non, non, dimanche! Je ne les écoutai pas; j'enfilai la
pucelle, qui criota, sanglotina, et ils furent témoins de ma
nouvelle victoire. Mais Conquette me gronda sérieusement. On
alla souper.

La conversation fut sage, rassise. Brideconnin, sa femme, en
étaient édifiés... Mais je ne tarderai pas à les mettre de nos
amusements... Au dessert, Traitdamour me demanda une histoire
dans le genre de nos amusements! Je lui donnai à lire une
lettre, adressée à Vitnègre, par un de ses trois payeurs,
lettre que j'avais trouvée dans une des malles de ma fille. La
voici:


Chapitre XXX De la Piochée, du Pioché, du Piochard.


Nous avons un de nos confrères, qui avait une maîtresse de
seize ans, dont il jouissait à sa manière, comme je prétends
jouir de ta femme à la mienne, quand une fois je l'aurai
dévirginée. Tu seras alors présent à nos fouteries, à peu près
comme le père dont je vais parler. J'aime à écrire ces
histoires-là; elles me font bander. Le père de la jeune fille
était un riche marchand, qui l'avait délicatement élevée; mais
il était devenu si pauvre qu'il ne pouvait plus la nourrir, ni
un fils de douze ans. La fille ayant plu à mon confrère, il la
voulut acheter. Le père la lui vendit douze mille francs. Mais
comme Piochencul (c'est le nom du confrère) est un libertin
fort blasé, il lui faut un ragoût pour le ranimer. Ce ragoût
est de faire trousser et laver la fille par son père, avant
d'en jouir. Le père prend ensuite le vit du fouteur, et le
dirige dans le con sans poil de la jolie Piochée. Son père
l'avait pommadée la première fois. Pendant l'acte, il l'excite
à remuer du cul, à serrer le fouteur dans ses bras, etc. Quand
elle est déconnée, le père lave le vit de son gendre, le cul,
le con de sa fille, et les essuie.

Dans la conversation, Piochencul apprit bientôt que Piochée
avait un frère beau comme Adonis; c'est-à-dire parfaitement
ressemblant à sa mère, qui avait été très jolie femme. Dès que
mon confrère le sut, il l'acheta, comme sa soeur, et, pommadé
par le père, il l'encula. Peu de jours après, voulant foutre
la soeur avec plus de vigueur, il la fit laver par le père,
gamahucher par le jeune frère, et il l'enconna, quand elle fut
prête à décharger... Par la suite, il n'encula plus le joli
enfant:

-- Bougre! dit-il au père, je ne bande plus assez pour enconner
ta fille, sans être excité; encule-moi là ton petit garçon;
cela me fera roidir!

Le père est forcé, par son intérêt, d'obéir au blasé. Ce qui
fait tellement bander le vieux satyre qu'il enconne, et même
encule la jeune fille...

Il y a 4 ou 5 ans que cela dure. Quand le garçon a eu 15 ans,
il lui a fait enconner sa soeur. Il la fout ensuite sans laver,
pendant que le père encule le jeune homme. D'autres fois le
frère encule sa soeur, tandis que le vieux bougre l'enconne...
Voilà quelle est la vie que mène mon vieux confrère, et qu'il
trouve délicieuse à son âge... La fille est délicate et jolie.
Le garçon est beau. Le père est affreux. La fille est devenue
grosse. Le financier croit, avec raison, que c'est du jeune
frère. Il désire que ce soit une fille, espérant qu'elle sera
jolie, comme tous les enfants incestueux. Car il faut savoir
que ce joli garçon est fils d'un frère aîné, qui, devenu
éperdument amoureux de sa mère, donna la courante à son père,
en mettant de la manne dans son potage au lait du soir. Le
père fut obligé de se lever souvent, et le fils, à chaque
sortie, alla auprès de sa mère, qu'il enconna six fois au
moins pendant la nuit... Voilà d'où provenait le beau garçon,
ressemblance de sa mère avec une telle perfection, que, vêtu
des habits de la belle, qui n'est plus, on le prend pour elle.
C'est en conséquence qu'un amant, piocheur de la mère,
entretint le jeune homme sur le même pied que sa feu
maîtresse, à condition que, pour la jouissance, il prendrait
les habits de sa mère, en porterait le nom, Mme Brouette-vit;
qu'il ferait la petite voix, dirait mon con, au lieu de mon
cul; tandis que lui, Vitacon, se ferait illusion, en disant à
sa maîtresse:

-- Allons, ma chère Brouettevit, venez que je vous le mette en
levrette!


Chapitre XXXI Suite des mêmes. Piochète. Dix ans après.


Je vais donner la suite de cette aventure.

Piochée eut effectivement une fille, qui a 14 ans aujourd'hui,
et qui est jolie comme sa grand'mère. Elle sert aux plaisirs
du vieux traitant qui, ne pouvant plus enconner, s'en fait
caresser, tandis que la mère lui suce le vit. C'est dans les
extases de ce plaisir long et difficile, causé par le
chatouillement que faisait éprouver à son vit paralytique le
palais de Piochée, qu'il conçut le dessein de faire dépuceler
Piochète à 14 ans, par Pioché l'Adonis, son père et son oncle,
que justement la jeune enfant aimait incestueusement; puis
enculer alternativement.

-- Bande, bougre (dit-il à l'Adonis), et ne décharge pas! Tu me
dépucelleras ta petite garce de fille... dès que ton grand-père
t'aura déculé. La petite fut gamahuchée par le vieux
singe; puis pommadée par sa mère. Son père, déculé, bien
bandant, vint sur elle, et lui darda son vit dans le connin,
dont la mère écartait les babines. Le fouteur n'entrait pas;
la petite déchirée se récriait; le vieux satyre, émotionné,
bandochait, en s'écriant:

-- Oh! pousse donc, mâtin! ô pousse donc, bougre! Fends,
pourfends le connichon de ta fille!... et mets-y une petite
garce, que nous déflorerons un jour! Gzée, gzée, mon étalon!
fais-moi des cavales!...

Et le vieux décharné, par un phénomène, émit quelques gouttes
d'un foutre clair, dans la bouche de Piochée, au moment où
Adonis, forçant toutes les barricades, malgré les cris de sa
fille, lui déchargeait au fond de son connin ensanglanté! Le
bélître en fut si glorieux qu'il fit à Piochette mille écus de
rentes, et autant à Piochée, outre ce qu'elles avaient déjà.
Son grand délice, pendant qu'il fait servir la bouche de la
mère de con à son vit, qui ne décharge plus, est de voir
piocher Piochette, non seulement par le vigoureux Adonis
Pioché, qui pioche, soit en con, soit en cul, mais de faire
alors enculer le père, qui fout sa fille, par le grand-père
qu'encule un laquais, sur le cul duquel est assise Piochée,
foutue par un autre laquais... Il a soin qu'on fasse suivre au
vieux Piochard un régime échauffant, afin que ce monstre
tantôt enconne sa fille, tantôt encule son fils. Pendant cette
scène, l'impuissant Ribaud patine les tétons et le connin du
tendron, ou bien la gamahuche. Il lui prend quelquefois des
vertigôts de faire enconner la mère, enculer Adonis par douze
de ses amis en une seule séance. La jeune personne est alors
nue en perspective, montrant le cul aux enculeurs, et le con
aux enconneurs... C'est le vieux Piochard qui insère les vits
dans le con ou dans le cul.

Tu vois par-là quel parti nous pouvons tirer de ta femme,
lorsqu'une fois elle sera dépucelée. Tu ne seras pas privé; tu
mettras les vits dans le con et dans le cul de ta femme; tu en
seras le maquereau, et quand elle sera bien élargie des deux
trous, peut-être te permettra-t-on de la foutre en con ou même
en cul. Lélargisseur.

P.-S. J'apprends par une dernière visite faite à Piochencul
que Piochette a effectivement eu la plus jolie petite fille;
on me l'a montrée; elle a 3 ans. Mais, ce qui est le comble du
libertinage, le vieux Piochencul lui fait déjà téter son vit
flasque, pendant que la jeune mère lui chatouille les
couilles. Je lui en demandai la raison?

-- Je profite, répondit-il, du temps où l'enfant n'a pas encore
de discernement, ni de dégoût à me sucer.

Que dis-tu du vieux bougre?


Chapitre XXXII Du connin goûté.


-- Voilà quel aurait été votre sort, Madame, dis-je à
Conquette, si vous n'étiez pas décédée, et que vous fussiez
restée l'épouse de Vitnègre.

Expressions qui étonnèrent tout le monde, hors ma fille, et
les Brideconnin.

Cette lettre, qui avait été lue après le champagne, avait mis
les jeunes gens en rut. On descendit au magasin, pendant que
les hôtes serraient les débris du souper. Là, Traitdamour,
demi-grisé, me dit, en me désignant ses camarades:

-- Comment ces bougres-là peuvent-ils avoir une idée de notre
bonheur, et de ce qu'est le connin de votre maîtresse, s'ils
n'en tâtent pas?... Je n'entends nullement qu'ils y
déchargent; mais seulement qu'ils y plongent rapidement leurs
vits, pour en palper le satiné. Dès qu'un des enconneurs sera
retiré, le mieux en état de nous deux, vous ou moi, achèvera
Madame, et la fera décharger!

-- Je le veux bien (répondis-je).

Cordaboyau, bandant roide, se présenta. Nous renversâmes ma
fille sur le foutoir, nous la troussâmes, et nous déclarâmes
que nous nous tenions prêts à le désarçonner, dès qu'il aurait
senti le velouté de l'étroit connin de notre fouterie, et que
le clignotement de ses yeux annoncerait l'éruption du foutre.

-- En ce cas (s'écria le bougre), que l'une de ces trois garces
se couche-là le con pommadé, pour que mon vit convulsivant s'y
précipite et décharge!

On pommada Rosemauve. Cordaboyau enconna lentement Conquette,
dont le satiné le fit se récrier... mais il plongea jusqu'au
fond. On l'observait. Il clignota de l'oeil. Aussitôt Brisemote
et Traitdamour l'enlevèrent comme une plume, en jurant:

-- Le sacré bougre! il va partir...

Et ils le mirent sur la brune Rosemauve bien écartée, et
Conette dirigea le vit. Cette fille, la plus chaude des
garces, si Mme Vitnègre ne l'eût pas surpassée, engloutit le
vit en trois coups de cul sans intervalle. Cordaboyau
déchargea en hurlant de volupté, Rosemauve l'étreignant avec
une délicieuse fureur.

Cependant, ce que je voyais m'avait roidi, et j'enfonçais dans
le con humide de ma déesse qui, suffisamment limée, déchargea
deux fois, avant que je l'humectasse de mon foutre paternel...
Elle gigotait, criotait, soupirotait.

-- Ah! (s'écria Traitdamour) vous êtes le dieu de son con, cher
maître! il se fond en jus d'amour, quand vous le perforez!
Voyez comme elle en donne, l'adorable enfant!... Allons,
céleste coquine, trémousse, trémousse! Fous, divine garce!
décharge...

Ce fut ensuite le tour de Brisemote. Conette, pommadée, fut
étendue sur le foutoir... Il enconna ma fille. La grosseur du
vit et sa roideur lui arrachaient de sourds gémissements; elle
travaillait de toutes ses forces, mais le terrible engin avait
encore plus de trois pouces pour toucher le fond. Tout à coup
nous nous apercevons que le perfide Brisemote veut inonder,
d'un torrent de sperme, le connin qu'il martyrise. Nous ne
pouvions l'enlever et l'arracher, son vit lapait comme celui
d'un gros dogue dans la vulve enflammée d'une grande levrette.
En ce péril, nous implorâmes, Traidamour et moi, la pudeur de
Conquette! L'adorable fouteuse, fidèle à nos vits, donna un
coup de cul en arrière, et se déconna. Traitdamour plongea
rapidement son braquemart en furie dans le con béant...

Brisemote, enragé, se jeta sur Rosemauve, qui ne s'y attendait
pas, et la foutit en levrette, avec tant de brutalité qu'il la
fit crier autant de douleur que de plaisir... Et, voyant
Conette se lever:

-- Reste-là, garce! lui cria-t-il. Je suis dans une rage, par
ce con velouté que fout Traitdamour, que j'enconnerais la rue
Maubué et celle de la Tannerie...

En effet, Rosemauve, déconnée, il fondit sur Conette, la fit
crier; enfila Minone sans intervalle, et reprit Rosemauve...

-- Que n'ai-je là notre putain d'hôtesse! la garce boite avec
grâce, elle a de blancs tétons: qu'on me l'appelle!...

Nous lui préparions Rosemauve, qu'il encula.

Pendant ce temps-là, Traitdamour se délectait sur Mme
Vitnègre, qui se plaignotait tendrement, et déchargeait sans
cesse, parce que son enconneur ne la déconnait pas.

-- Que la bougresse qui est libre (nous dit-il), chatouille les
petons de ma déesse; ça la fera me secouer.

-- Allons! m'écriai-je, que Minone lui chatouille le haut de la
motte, la douce main de Conette les couilles du cruel
pourfendeur, et moi je chatouillerai les pieds délicats de la
belle enconnée!

Ce qui s'exécuta: de violents soubresauts, des cris, des
blasphèmes de volupté, Foutu Dieu... Sacredieu... Dieu-con...
Dieu-vit... marquaient l'égarement des deux conoeuvrants.

Cependant Cordaboyau flairait la chaussure mignonne de
Conquette-Ingénue, et allait y mettre son vit:

-- Laisse donc! lui dit Rosemauve, tout enculée qu'elle était;
cela est insensible; mon con est libre; que ne le fous-tu?

Le bougre lui mit le ventre en l'air, et, tandis que Brisemote
la sousaccadait en cul, Cordaboyau lui saccada le con.

Je bandais si fort, en entendant et voyant tout cela, que
j'allais enconner Minone ou Conette. Ma fille, qui
déchargeait, me dit tendrement:

-- Un autre con... que le mien... peut-il vous tenter?...

Cette tendresse vraiment filiale, me toucha au coeur.

-- Ote-toi (dis-je à Traitdamour); tu dois avoir déchargé!

Il déconna. Et moi, ému d'un amour paternel sans bornes,
j'enconnai ma fille, sans laver.

-- Mêlons nos trois foutres (lui disais-je en enfonçant); que
ton con filial engouffre le vit paternel avec délices!...
Remue du cul, adorable enfant! Rends-moi tout le foutre que
j'ai déchargé dans le con de ta mère... pour te faire!... Ah!
comme la garce remuait du cul, oscillait du con, le jour où je
l'engrossai de toi! Elle était chaussée, parée, un peu
chiffonnée, et si chaude qu'elle se mit sur moi et s'enconna.
Pour m'exciter davantage, elle me disait en saccadant:
"Pousse... Enfonce... mon con est frayé... je viens d'être
foutue par ce beau commis aux Aides, dont tu es si jaloux..."
Et elle saccadait... Pour moi... je foutis avec fureur...
comme je te fous à présent... C'est moi qui t'ai engendrée,
enfoutrée dans son con satiné... quoique tu ressembles à Louis
XV qui... dit-on, l'a aussi foutue...

-- Mon cher père... ô vit divin! (répondit Ingénue, oppressée
de foutre et de tendresse) je sens... à mon insatiable
connin... que je suis votre fille... je le sens au plaisir...
que me fait la céleste idée que mon... père me fout.... Décha--argeons
ensemble, cher papa!... j'ai... plus de... foutre
avec toi, qu'avec tout autre?... Ah! Ah!.. fourgonne...
fourgonne, vit-papa... Le foutre... est long... à venir...
J'ai tant foutu!... Mais je n'en ai que plus de plaisir... Ah!
Ah!... foutre!... Dieu! Délices!... Vitnègre!... ô monstre,
qui me déchirais, sans me pouvoir en--filer, que n'es-tu sur
moi... ton vit noir me pourfendant le con... Foutamort...
enfondre-moi... Cher papa... dieu-fouteur... je pars... je
décha--a--arge... à l'intention... de... Foutamort...

Et elle se pâma, dans un égarement, un délire ineffables.

Cependant elle avait croisé ses jambes sur mes reins, et elle
me faisait une jolie brouette de ses cuisses et de son con. Je
dis qu'on la rechaussât, et, à chaque coup de cul, elle fit
claquer l'un contre l'autre ses hauts talons, comme faisait sa
mère, pour me rappeler en foutant la beauté de son pied. Ce
spectacle parut si délicieux à mes trois drôles qu'ils
enconnèrent en furieux, Traitdamour Rosemauve, Cordaboyau
Conette, et Brisemote Minone, et qu'ils les firent crier comme
des dépucelées.

Dès que j'eus émis, je dis à mon secrétaire de déconner, de
m'enlever, et de me porter sur un fauteuil. Il m'obéit. Ma
fille palpitait. Je la montrai se chatouillant elle-même le
con. Traitdamour rebanda comme un enragé; il se précipita sur
elle.

-- Enculez-moi, s'il vous plaît, Monsieur (lui dit-elle), il me
semble que ça me fera mieux...

-- Décharger (s'écria le bougre). Vous avez le con trop
fatigué.

Et il lui perça le cul sans mouiller.

-- Je vais... redécharger (lui dit-elle, en continuant de se
branler elle-même).

-- Attendez! attendez! (lui cria le jeune et vigoureux
perforeur); je vous branlerai, en vous enculant.

Conquette enculée et branlée, roucoulait de plaisir...

En ce moment, Brisemote, qui finissait Minone, se jeta sur
Rosemauve, abandonnée par Traitdamour, pour ma fille. Elle se
fit enculer et branler. Cordaboyau retourna Connète, et lui en
fit autant. Minone, libre, alla gamahucher ma fille, que son
frère tenait enculée; et moi, je branlai Minone. Les trois
bougresses se récriaient que l'enculage branlé était divin.

Pour moi, j'étais sur mon fauteuil, un doigt dans le con de
Minone, que j'avais à peine la force de branler, tombant de
sommeil, et bandant encore pour toutes quatre; il me devenait
indifférent laquelle j'enconnasse. Je le dis. Brisemote
m'avança Rosemauve tout enculée. J'allais enconner la vive
Brune. Minone se retourna, mit ses fesses d'albâtre sur ce con
noir, et me présenta son con.

-- Que je te voie! (s'écria Conquette, en s'arrachant du cul le
vit de Traitdamour) si Cupidonnet doit mourir en rut, c'est
dans mon con!...

Elle se mit sur Minone, m'étreignit dans ses bras et
m'engouffra.

-- Ah! (s'écria Brisemote, qui nous portait tous quatre) que
n'ai-je le vit assez long pour les enculer toutes trois!

Ainsi finit cette belle soirée. La partie fut remise au
dimanche suivant. Conquette, après avoir fait amplement bidet,
se coucha modestement. Je ne pouvais marcher. Mes trois
gaillards remenèrent leurs belles, et revinrent me prendre,
pour me porter chez moi, où ils me mirent au lit.


Chapitre XXXIII De la fouteuse sensée. Histoire.


Le lendemain, après mon travail, je vins voir ma fille. Elle
était dans mon magasin. Elle m'embrassa la première, et me
dit:

-- Au nom de Dieu, cher papa, ménagez-vous! j'ai besoin de
votre tendresse paternelle plus que jamais... Que deviendrais-je
si je vous perdais? Vous êtes le meilleur des pères; vous
me donnez le nécessaire et la volupté. J'ai un bijou
insatiable; mais votre Traitdamour l'emplit et le satisfait au
delà de toute vraisemblance. Je suis bien sensible au don que
vous m'en avez fait. Aussi la reconnaissance et la tendresse
sont pour vous; je ne lui donne que du...

-- Foutre, mon adorable fille... Tu es toujours également
modeste.

-- J'ai aussi beaucoup d'obligation à Traitdamour d'avoir amené
sa petite soeur et sa jolie maîtresse; surtout d'avoir donné
celle-ci à ses deux vaillants camarades pour me rester plus
entier et vous soulager d'autant, vu mon extrême chaleur. Ces
jeunes filles sont de bonnes petites créatures, et valent
mieux que Rosemauve, qui cependant n'est pas sans mérite...
Ménagez-vous, cher papa. Ne voyez que moi; c'est bien assez.
Une partie, tous les huit jours, suffira pour vos forces.
Traitdamour me donnera le surplus de ce qu'il me faut. En ne
jouissant que les dimanches, les garçons, les petites, tout
comme nous, l'appétit et le plaisir seront plus grands; nous
passerons une demi-journée délicieuse... Mais je suis jalouse
de vous et du beau Traitdamour; ne le mettez qu'à moi.
Avertissez-les tous de cela. C'est mon caractère que la
jalousie. Et puis, où trouveriez-vous une femme ou fille qui
me vaille? Toujours propre, abluée à chaque pipi, autant par
volupté que par délicatesse; car j'ai cet endroit, que vous
avez la bonté de trouver charmant, toujours si chaud que je ne
le mets jamais dans l'eau qu'avec une volupté qui approche de
la jouissance. Ne me le mettez donc pas de la semaine, pour
avoir plus de plaisir, sans vous tuer, le dimanche. Ne me
touchez ni le bijou, ni le sein!

-- Non (répondis-je); durant la semaine, je ne baiserai que ton
joli pied. Et je veux toujours avoir une de tes chaussures au
trumeau de ma cheminée!

-- Rien de si flatteur, répondit-elle, que d'être ainsi adorée
jusque dans sa parure. Aussi mon pied est-il soigné, comme
vous l'adorez. Je le lave à l'eau-rose deux fois le jour matin
et soir, et après avoir marché.

-- Ah! céleste fouteuse, que je le baise, que je le baise!

-- Point de ces mots-là! dans la semaine: ils vous excitent...
Baisez votre idole! j'y ai autant de sensibilité qu'ailleurs;
mais restez-en-là... Du reste, je suis à vous. Vendez-moi,
livrez-moi, quand vous le voudrez; je me donnerai avec plaisir
pour vous; comme une autre Ocyrhoé.

[lacune]

Je me privai donc, malgré moi; mais par nécessité; je me
contraignais.

[autre lacune]

Mais j'avais à ma cheminée sa chaussure rose à talons verts, à
laquelle je rendais mon hommage tous les jours en l'honneur de
la fille la plus pieuse et la plus dévouée qui ait jamais
existé. Conquette-Ingénue, à qui je le dis le samedi, en fut
transportée de joie. Elle darda sa langue, me fit sucer ses
tétons, palper son poil soyeux, se mit à genoux, et dit avec
ferveur:

-- Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir fait naître d'un si
bon père! Nous ne vous offensons pas; je rends à mon papa en
plaisirs délicieux les soins qu'il a pris de mon enfance. Je
suis le baume et le charme de sa vie; il est le baume et le
charme de la mienne! Bénissez-nous!

Elle fit trois signes de croix, baisa la terre, et se releva,
en disant:

-- Doux Jésus, qui le mettiez à Madeleine, elle était aussi
votre fille; et en amour, vous le savez par expérience, rien
n'est si voluptueux que l'inceste!...

Je fus si édifié de cette prière que je me propose de la faire
recommencer, à la fin de nos parties.

Un instant après, à 8 heures et demie, toute la petite
société, Traitdamour, Minone sa soeur, Conette sa maîtresse,
Rosemauve, Cordaboyau et Brisemote, vinrent prendre langue
pour la réunion du lendemain. Je donnai le mot et les retins à
souper. Il y avait un excellent gigot de 18 livres, et du vin
de Bourgogne, avec un pâté chaud. Après le repas, voulant les
émoustiller tous, et moi-même, je fis lire par Rosemauve,
devant nos hôtes, l'histoire suivante:


Chapitre XXXIV De l'homme-à-queue.


-- Vous aimez les histoires, dis-je, ne voulant pas manger de
pâté; nous aurons demain toute autre chose à faire: je vais en
conter une, pendant que vous achèverez de souper.

Un rire d'aise précéda le silence.

Il y avait à Sens, une veuve encore belle, quoique mère de six
filles, dont l'aînée, qui atteignait vingt ans et se nommait
Adélaïde. La seconde, Sophie, n'en comptait pas encore
dix-neuf; la troisième, Julie, en avait près de dix-huit; Justine
dix-sept; Aglaé seize, et enfin Emilie, la cadette, quinze
ans. Quant à la maman, mariée à treize, accouchée de son aînée
à quatorze, elle avait trente-quatre ans. Mme Linars (c'est
son nom) avait en outre deux nièces de quinze et vingt-deux
ans, Lucie et Annette-Bar, une jolie femme de chambre de
dix-huit, outre une cuisinière, grande et belle fille de vingt
ans. Le mari avait mal fait ses affaires, avant que de mourir.
La veuve ne soutenait sa nombreuse famille qu'avec le revenu
de sa dot, qui rapportait cinq à six mille livres. On était
gêné; car les nièces n'avaient que quinze cents livres de
rentes entre elles deux. C'était onze jeunes personnes à
entretenir avec 7500 francs.

Il parut alors à Sens un gros et bel homme dont la physionomie
annonçait trente ans, encore qu'il n'en eût que 20. Il passait
pour très riche. Et, en effet, il l'était. Ses bras et sa
poitrine étaient couverts de poils. Il avait le regard dur et
presque féroce; mais son sourire l'adoucissait, et il souriait
toujours en voyant de jolies femmes. L'aînée des demoiselles
Linars était charmante; Fysitère la vit et en devint
éperdument amoureux, quoiqu'il eût alors dans son sérail une
femme mariée enlevée à Paris, de l'aveu du mari même; la soeur
d'icelui, vendue par son père, et une superbe carmélite, leur
cousine, qui s'était livrée elle-même, parce qu'elle était
hystérique. Mais toutes ces maîtresses étaient alors
enceintes, et Fysitère n'en jouissait que pour avoir des
enfants. Il alla chez Mme Linars, pour lui demander en mariage
Adélaïde.

Le velu, en voyant onze femmes dans une seule maison,
tressaillit d'aise... Il étala sa fortune, et proposa
d'épouser l'aînée. Trente mille francs de rente qu'il prouva
(il en avait bien davantage!) le firent accepter sur-le-champ.
Il rendit ensuite des visites jusqu'au mariage, et fit des
présents, tant à sa prétendue qu'à la mère, aux belles-soeurs,
à Lucie et Annette-Bar, les deux nièces, ainsi qu'à Geoline et
à Marète, la femme de chambre et la cuisinière. Ce fut avec
ces présents qu'il attaqua leur vertu... Mais il faut quelques
préliminaires, qui fassent mieux connaître ce personnage.

Fysitère était un de ces hommes poilus qui descendent d'un
mélange de notre espèce avec celle d'hommes-à-queue de
l'isthme de Panama, et de l'île de Bornéo. Il était vigoureux
comme dix hommes ordinaires; c'est-à-dire, qu'il en aurait
battu dix à armes égales, et qu'il lui fallait, à lui seul,
autant de femmes qu'à dix hommes.

A Paris, il avait acheté la femme d'un nommé Guae, un
scélérat, qui la lui avait vendue et l'avait livrée. Fysitère
la tenait exactement renfermée depuis. Il jouissait de cette
infortunée, la plus provoquante des femmes, et qui avait
beaucoup de tempérament, dix à 12 fois par jour. Ce qui la
fatiguait tellement qu'elle lui avait donné le conseil
d'acheter de leur père sa soeur cadette, nommée Doucète, qui
partagerait le travail. Il le fit. Mais ces deux femmes
avaient été bientôt sur les dents. Heureusement, un confesseur
de nonnes découvrit alors pour le velu la religieuse
hystérique, cousine des deux victimes; il la tira de son
couvent, sous prétexte de lui faire prendre les eaux, et la
livra au Fysitère, qu'elle occupa seule pendant quelques
semaines. Ce qui avait reposé ses deux cousines.

C'est à cette époque que l'homme-à-queue était venu à Sens, et
qu'il avait vu la famille Linars. Avant qu'il eût Mme Guae, on
lui amenait trois filles couturières chaque matin. Mais les
précautions qu'il était obligé de prendre pour sa santé, avec
des créatures qu'il laissait libres, le dégoûtèrent de cette
jouissance. D'ailleurs, comme il avait formé le projet de
multiplier l'espèce des hommes-à-queue et d'en peupler l'île
entière de Bornéo, pays originaire, il voulait pouvoir
surveiller tous les enfants qui lui naîtraient. Ses trois
femmes étant grosses, il ne voulait plus les fatiguer. Quand
il fut lié avec Mme Linars, il aurait bien cherché à déflorer
sa future, ou à se donner une des nièces; ou la cuisinière, ou
la femme de chambre. Mais il trouva que tout cela avait ses
inconvénients. Il réserva ce supplément de ressources pour
après son mariage. La première qu'il attaqua, ce fut sa
belle-mère future. Il lui fit un jour un présent de deux mille écus
en espèces. Et, la voyant dans l'extase de la reconnaissance,
il lui mit la main sous la jupe, en lui disant:

-- Autant tous les six mois, si je vous le mets. Et ne craignez
pas de faire du tort à votre fille! Elle n'en aura que trop de
reste...

Comme il était extrêmement fort, tout en parlant, il la
renversait, l'enfilait. La dame se trouva prise sans l'avoir
prévu. Elle fut rabatelée une dizaine de fois, tant elle était
vigoureusement contenue... Enfin devenue libre, elle lui dit:

-- Oh, quel homme!

-- Je suis tel (répondit-il) que votre fille et vous, quand
vous m'aurez toutes deux, me donnerez vous-même des
maîtresses, pour vous reposer.

La dame, qui aimait le jeu d'amour, sourit, en rougissant
d'espérance et de plaisir.

Elle fut exploitée tous les jours, en attendant celui du
mariage de sa fille. Quand ce jour fut arrivé, effrayée pour
une jeune vierge, elle pria l'inépuisable Fysitère de la
ménager!

-- Six fois, répondit-il, pas plus, si vous me promettez de me
recevoir ensuite, ou de me donner Lucie, l'aînée de vos
nièces?

-- Non; mais je vous donnerai Geoline, ou Marète, celle que je
pourrai avoir le plus facilement...

Le soir des noces, Fysitère, quoiqu'il eût toutes les nuits
fourbi Mme Linars, était impatient à trépigner, d'avoir sa
mariée. Il l'enleva comme une plume, dès qu'on eut soupé, se
jeta sur elle, et lui fit pousser des cris effrayants. La
mère, alarmée, accourut avec Geoline, au moment où Fysitère,
sans trop s'embarrasser des gémissements de la jeune personne,
la recommençait. La mère le laissa l'achever. Puis, sur
l'instante prière de sa fille, elle la retira du lit, pour
laver le sang et le suc d'homme dont sa conque martyrisée
était remplie. Fysitère saisit alors Geoline, et la viola,
malgré ses clameurs. Il la retint sous lui quatre à cinq
fois... Elle profita d'un intervalle pour s'échapper. Mais
Fysitère menaça Mme Linars, si elle ne remplaçait pas sa
fille, de tourmenter celle-ci jusqu'au jour... La dame était
fatiguée. Elle alla chercher Marète, qu'elle enferma dans la
chambre nuptiale. Fysitère la viola, et la contint sous lui
quatre fois; puis il lui permit de dormir.

Dans le jour, il assoupit les plaintes des deux filles
domestiques, et même il les gagna, en leur constituant douze
cents francs de rente à chacune. Mais elles demandèrent du
repos, pour la nuit suivante... Le soir, Fysitère ramona six
fois sa nouvelle épouse, qui prit un peu de goût à la chose;
puis sa mère, reposée, fut à son tour fourgonnée six autres
fois. Ce qui suffit à l'homme-à-queue.

Le soir du troisième jour, il ne ramona sa femme qu'une fois;
car elle demanda grâce. Il eut ensuite Geoline, six fois; puis
Marète, cinq fois. Ce qui fut la dose à laquelle il se régla.
Il eut, le quatrième soir, sa femme, une fois; sa belle-mère
quatre; Geoline trois; Marète quatre: douze en tout. Il en
agit ainsi pendant deux mois.

-- Mais, lui dit Mme Linars, vous vous épuisez! A quoi bon nous
le mettre tant de fois?

-- Mon but est de faire des enfants, pour en repeupler une île
des Indes, dont les hommes de mon espèce sont originaires. Dès
que vous serez grosses, je ne vous le mettrai plus; vous m'en
donnerez d'autres; mais surtout vos filles et vos nièces,
parce que vous êtes toutes d'un beau sang. Je leur ferai à
chacune six mille francs de revenu, et douze cents francs
seulement aux étrangères que vous procurerez...

Mme Linars fut très étonnée de cette proposition! Mais les six
mille francs de revenu pour ses filles et ses nièces la
tentèrent.

Au bout des deux mois, et de six semaines de mariage, Mme
Linars, la nouvelle épouse, Geoline et Marète se trouvèrent
enceintes. Fysitère leur déclara qu'il ne les verrait plus
qu'après leurs couches. Et il pressa Mme Linars de lui donner
ses nièces, et deux de ses filles?... Elle fut obligée d'y
consentir. Elle les conduisait elle-même, après les avoir
instruites, et assistait à leur défloration, calmant leurs
cris par ses discours et ses caresses.

-- Ma raisonnable enfant, disait-elle à Lucie renversée sur le
dos, et qu'on troussait, il est doux d'avoir 6 mille fr. de
rente!... Cinq cents francs par mois! ajouta-t-elle en la
pommadant... Et foncières, ma chère nièce! (dirigeant le gros
membre dans sa fente).

Aussi la belle Lucie, quoique vierge, ne cria-t-elle pas.

Vint ensuite Annette, la seconde. Sa mère l'exhorta, la
pommada, insérant son index onctué le plus profondément
possible, pour frayer la route. Elle introduisit le membre
dans la fente ainsi préparée. Cependant Annette, perforée,
jeta les hauts cris. Mais ils n'arrêtèrent pas Fysitère, dont
Mme Linars caressait la queue poilue, qui frétillait vivement.

-- Ah! maman! (lui dit-il) mets-toi sur moi, et te l'enfonce
dans ta conque; tu auras bien du plaisir!

Elle le fit, et fut si ravie qu'elle appela sa fille aînée et
les chambrières, pour leur procurer les mêmes délices.

Annette suffisamment ramonée, et demandant grâce, Geoline la
remmena, pour laver le sang et le sperme, dont son bijou était
barbouillé; et Mme Linars alla chercher Sophie, sa seconde
fille. Geoline et Marète l'apportèrent nue assise sur leurs
mains jointes. Mme Linars la pommada; puis elle intromit.
Geoline s'enfila avec la queue poilue, au refus d'Adélaïde,
l'épouse. Sophie ne poussa que quelques gémissements au
premier assaut; elle riposta aux deux autres. Elle fut
cependant ensanglantée. Geoline se fourgonna de la queue à
poil durant toute la séance.

Fysitère n'avait joui que neuf fois. Il lui en fallait trois
encore. On alla lui quérir Julie, la troisième soeur, âgée de
dix-sept ans. Sa mère la pommada. Ce qui ne l'empêcha pas de
crier, parce qu'elle était fort étroite. Julie et sa cousine
Annette furent les deux qui n'émirent pas dans le coït, les
quinze premiers jours. Lucie fut prise tout de suite, et
Sophie trois jours après. Mais elles n'en dirent rien, aimant
le plaisir. Quant à Julie et Annette, il s'écoula trois mois
avant qu'elles fussent enceintes... Marète se farfouillait
avec la queue poilue pendant les assauts de Julie.

Lorsqu'il fut bien décidé que les quatre belles avaient le sac
rempli, Mme Linars fut requise de donner ses trois dernières
filles, et une cousine du côté gauche, fille hors mariage de
son mari, nommée Naturelle-Linars! Elles lui furent livrées,
et Justine, Aglaé, Emilie même, qui n'avait pas quatorze ans
accomplis, se virent enfilées dans une seule nuit, malgré
leurs cris et la déchirure de leurs jeunes appas. Naturelle
avait vingt-et-un ans; ce fut une délicieuse jouissance, que
l'homme-à-queue, fatigué, avait réservée pour la dernière.
Celle-ci fut engrossée sur-le-champ; et les trois autres,
malgré leur jeunesse, ne l'échappèrent pas dans le cours du
mois. Elles étaient régulièrement fourgonnées trois fois par
nuit; mais soit qu'elles eussent moins de tempérament, soit
qu'étant plus étroites, elles souffrissent toujours, elles
furent ravies lorsqu'elles furent déclarées enceintes.
L'homme-à-queue avait en ce moment, de fécondées, 14 femelles,
qui lui promettaient au moins 14 enfants.

A cette époque, Mme Linars accoucha d'une fille. Un mois et
demi après, Adélaïde, ou Mme A-queue, mit également une fille
au monde. Puis Geoline et Marète eurent chacune un garçon.
Annette et Lucie chacune une fille. Toutes six voulurent
nourrir. Ce qui fut exécuté dans une terre écartée, du côté de
Seignelai, éloignée des routes, comme de l'Yonne, mais sur la
petite rivière de Serin.

Cependant, comme les unes nourrissaient, et que les autres
étaient encore enceintes, il fallait de nouvelles femmes à
Fysitère. Il demanda permission à Mme Linars de reféconder ses
trois premières concubines, Mme Guae, sa soeur Doucète, et la
carmélite, qui n'était plus hystérique depuis ses couches. La
belle-mère y consentit avec la plus grande joie; car elle
était fort embarrassée pour trouver à son gendre des sujets
fécondables. Elle avait déjà bien marqué les quatre pucelles
les moins laides du village, et même une cinquième, la plus
jolie, femme mariée, stérile avec son mari; elle les avait
presque gagnées, au moyen des douze cents francs par année,
mais elle n'était pas encore sûre de leur discrétion... Les
trois concubines étaient mandées. Elles arrivèrent.

Dès le même soir, elles furent mises toutes trois dans un
grand lit propre à cinq personnes; Fysitère s'y coucha au
milieu: Il les palpa toutes; puis il prit Mme Guae, la plus
voluptueuse, qu'il fourgonna trois fois avec fureur. Il saisit
ensuite Doucette, que ses tendres gémissements lui firent
ramoner en enragé. En la quittant, il sauta sur la carmélite,
qu'il exploita six fois, sans désarçonner. Mais elle l'assura
qu'elle était guérie de sa maladie, et elle le pria de se
partager également entre elles trois! Ce qui fut arrêté.

Le lendemain, Mme Linars, qui avait tout écouté pendant la
nuit, demanda aux trois parentes comment elles appartenaient à
Fysitère! Mme Guae répondit:

-- Nous allons vous faire notre histoire qui vous paraîtra
singulière! En même temps qu'elle vous donnera une idée juste
de notre mari à toutes, qui est un homme d'une nature
particulière.

Mme Linars ne demanda pas mieux que de l'entendre. Mais elle
fit observer à Mme Guae que ce récit ne seraì t pas moins
agréable aux 12 autres femmes de Fysitère! Mme Guae en
convint, et Adélaïde, Sophie, Julie, Justine, Aglaé, Emilie,
Lucie, Annette, Geoline, Marète, Naturelle, appelées par Mme
Linars, vinrent avec elle assister à la narration que fit la
belle Mme Guae, en présence de Doucette sa soeur, et de
Victoire, la carmélite leur cousine.


Chapitre XXXV De la garce insatiable.


-- Vous me voyez; j'ai toujours été désirée des hommes. A huit
ans, un ouvrier qui travaillait dans la maison à de la
menuiserie me prit le bijou; et, comme je ne criai pas, il me
mit son membre entre les cuisses, me les fit serrer, et me les
inonda, en déchargeant. Je le dis à ma mère, qui me lava les
fesses, alla menacer le menuisier, et le fit déguerpir... Ce
début annonce que le récit sera un peu libre; mais il faut
être sincère.

A dix ans, mon père déculotté m'asseyait à crû sur ses cuisses
nues, faisait aller son membre entre les miennes, comme le
battant d'une cloche, et, bien échauffé, il allait enfiler ma
mère, une jeune tante soeur de celle-ci, ou ma gouvernante.

A treize ans, j'avais le bijou cotonné, et si joli que mon
père venait me le lécher la nuit pendant mon sommeil. Enfin,
il me sentit riposter à ses coups de langue, et comprit que
j'avais du plaisir. Il dardait plus fort, et je partais...
Aussitôt mon père se mettait sur moi, me suçait mes petits
tétons naissants, posait son membre à l'orifice de ma petite
conque, et me barbouillait toute la motte de sperme... Il me
lavait à l'eau-rose.

A quinze ans, un jeune homme, frère de ma maîtresse de modes,
me prit le con à la poignée, au moment où je regardais par la
fenêtre, et voulut me chatouiller le clitoris avec son doigt;
mais il me fit mal, et je lui donnai un soufflet.

A cette époque, mon père n'osait plus m'asseoir à cul nu sur
ses genoux, ni me faire décharger en me léchant le con; il se
retirait dès que je donnais le premier signe d'éveil. Mais
comme j'ai le pied joli, et que M. Dardevit, ainsi que tous
les hommes délicats, est infiniment sensible à cet attrait-là,
il faisait faire mes chaussures par un habile cordonnier,
celui de ma mère et de la Marquise de Marigni; le voluptueux
ne me les donnait neuves que lorsque j'allais chez lui; il me
les faisait mettre après un pédiluve, avec des bas de fin
coton, me faisait marcher chaussée, mettre à la fenêtre, pour
mieux voir ma jambe et mon pied, qu'il baisait; il me faisait
ensuite asseoir, me tirait un soulier, s'en coiffait le vit,
me faisait lui patiner les couilles avec mon pied chaussé,
poussait de profonds soupirs, cognait au plancher, ce qui
faisait monter Mme Mézières, voisine d'au-dessous. Elle lui
arrachait mon soulier, ou ma mule. Elle se renversait sur le
dos; il la troussait, et la fourgonnait, en me faisant relever
ma jupe en perspective d'une glace jusqu'au genou.

-- Votre père me fait ce qu'il ne peut vous faire, me disait la
Mézières, parce que tu es sa fille; mais c'est toi qui le fais
bander... Ah! si tu lui montrais ton joli connin, comme il me
rabatellerait, et me donnerait des coups de vit en con!

Touchée de ce langage, souvent je me troussais, et montrais
une motte à poil follet et soyeux, que mon père trouvait
adorable! Je m'en apercevais aux vives estocades qu'il donnait
à la dame... En la quittant, il venait me rechausser. Mais
quelquefois la Mézières l'en empêchait, et, furieuse de
luxure, elle me renversait, me léchait le connin, et mettait
dans le sien la pointe de mon soulier, ou de ma mule, comme un
godmiché... Pendant ce temps-là, mon père me palpait doucement
les fesses ou les tétons.

-- Tu la foutras, bougre (tu la dépucelleras, et bientôt! et
elle deviendra grosse de toi, si tu ne la maries!

Ce propos, souvent répété, fit que je demandai vivement à me
marier.

J'avais un oncle, mari de ma tante. L'escalier de leur demeure
était obscur. Un jour que je le montais, mon oncle me suivait.
Au beau milieu, il me glissa la main sous la jupe, et me happa
ce qu'il nommait mon connôt. Je me récriai!

-- Tais-toi donc (me dit-il); vas-tu troubler mon ménage?...

Je me tus. Et il me patina le connôt, le cul, d'une main, les
tétons de l'autre; me mit son membre dans la main, me le fit
serrer en jurant, et, tout en me suçant les tétons, me
déchargea dans les doigts.

J'entrai toute rouge chez ma tante. Mais je ne dis mot. Quand
je m'en retournai, mon oncle me guettait; il m'accompagna, et
me dit:

-- Tu veux te marier. J'ai un parti, et il n'y a que moi qui
puis gagner ton père; je le gagnerai, si je te le mets
seulement trois fois avant le mariage, et lorsqu'il sera bien
sûr?

-- Que me mettrez-vous? (je faisais l'ignorante, puisque
j'avais vu mon père et la Mézières).

Nous étions dans l'allée. Il mit son vit à l'air, et
m'empoigna le con:

-- Ceci, dans ce que je te tiens.

Je me débarrassai, et ne répondis rien. J'étais à la porte de
mon père. J'entrai. Il était absent: J'attendis.

Seule avec moi-même, je résolus de pressentir mon père, à son
arrivée, sur mon mariage. Il arriva. Je fus moins sévère avec
lui qu'à mon ordinaire, et, lorsque je l'embrassai, au lieu
des yeux, j'appuyai sur ses lèvres. Il fut ravi. Je dardai la
langue, comme je l'avais vu faire à la Mézières. Il me mit la
main entre les cuisses, mais sur les jupes. Je m'abandonnai,
en lui disant:

-- Je voudrais me marier! Et comptez que vous serez bien
caressé, si vous y consentez!

-- De tout mon coeur, à cette condition... As-tu un parti?

-- Mon oncle en a un, que je n'ai jamais vu.

-- Bon! ce n'est pas une amourette... Il faut d'abord que je te
gamahuche aujourd'hui?

-- Qu'est-ce que c'est?

-- Te lécher là (me prenant le bijou).

Je fis une petite grimace.

-- Allons, prends cette éponge fine, et lave le bien, à cause
du joli poil, qui commence à l'ombrager! Le plaisir que tu
auras, te dédommagera de la contrainte que tu te fais!

Il me suça légèrement les bouts des tétons, pendant que mes
fesses, mon cul et mon connin nageaient dans un bain tiède.

Mon amoureux père ne me donna pas le temps de réfléchir. Dès
qu'une serviette fine eut pompé l'eau, il me renversa sur le
pied de son lit, troussée au-dessus des reins, appliqua sa
bouche sur la fente de mon connôt, qu'il lécha vivement, en
dardant sa langue, jusqu'à ce que je donnasse des symptômes de
décharge. Ce qui arriva au bout d'un demi-quart d'heure. En me
sentant prête à émettre, mon père me quitta, me mit gros comme
une noix de beurre frais dans le bas de la fente du connôt,
m'y inséra son vit, avec beaucoup de peine. Il saccada. Je
déchargeais, et j'avais tant de plaisir que je le secondai,
malgré quelques douleurs. Heureusement, le vit de mon père
n'était pas gros, mais il était long; il me donna un plaisir
complet; car il pénétra si avant qu'il me chatouilla le fond;
et au moyen de ce que j'étais très étroite, il m'emplissait le
con, comme si j'y avais eu un vit de mulet... Voilà comme je
fus dépucelée.

Je priai mon père, pendant qu'il me lavait le con, de ne pas
différer son consentement, que je ne voulais pas devoir à mon
oncle; et je lui en dis la raison.

-- Il ne faut qu'il te le mette! me répondit-il vivement. Le
bougre a le vit trop gros: il t'élargirait! Au lieu qu'après
moi, ton futur, on tout autre fouteur, te trouvera comme
pucelle.

Je promis qu'il n'obtiendrait rien.

-- Des bagatelles cependant, reprit mon Père. Branle-le, quand
il te prendra le con. Tu pourrais même te laisser enculer,
s'il était assez raisonnable pour s'en tenir là.

-- Comment fait-on ça?

-- Je vais te le montrer.

Et il m'encula. J'eus du plaisir; car je déchargeai. Mon père
me dit ensuite:

-- Quant à mon consentement, envoie-moi ton prétendu: Si c'est
un certain drôle que je soupçonne, tu n'en deviendras pas
folle, et... Suffit.

Je m'en retournai contente chez mon oncle, où sa femme et lui
me présentèrent leur protégé, une sorte de mulâtre, qu'ils
nommèrent M. Guae.

Dès le même soir, ayant eu, avec ce M. Guae, un entretien très
vif, pendant lequel je le vis prêt à me prendre le con, sa
laideur et sa sottise ne me rebutèrent pas, attendu que mon
oncle et ma tante m'avaient prévenue qu'il était terrible pour
les femmes; ce qui m'avait bien tentée! Au contraire, je lui
dis que j'avais obtenu le consentement de mon père, et qu'il
pouvait se présenter. Il me pria de le conduire, n'en étant
pas connu. Je remis au lendemain midi.

Nous arrivâmes au moment où mon père allait sortir. Guae
m'avait pris le cul dans l'escalier, et m'avait fait empoigner
son vit; ce qui me donnait un coloris brillant; j'étais
ravissante! Je présentai Guae comme mon futur. Sa figure
hideuse et basse fit sourire mon père, dont elle calma la
jalousie. Il nous dit:

-- Mes enfants, j'ai une affaire pressée; mais elle sera
courte; attendez mon retour.

Après son départ, Guae me dit:

-- Il paraît, à son ton, qu'il vous tiendra sa parole, de
consentir?

-- Je le crois; car il ne se contraint pas, quand une chose lui
déplaît.

-- Ma belle! (ajouta Guae, dont l'oeil noir pétillait de luxure)
permettez de vous le mettre ici, sur le pied du lit de votre
père!... Consentez-y!

Je ne demandais pas mieux, à cause de mon dépucelage, et parce
que le bijou me démangeait, depuis que mon père m'avait
perforée. Mais je répondis:

-- Oh non! mon père n'aurait qu'à rentrer!

-- Eh! quand il rentrerait? vous voir enfilée ne ferait que
hâter notre mariage.

Il me renversa sur le pied du lit. Je me défendis gauchement.
Il me mit le vit entre les babines du con, et poussait à
m'enfondrer... Mais il ne put pénétrer, quoiqu'il se mouillât
le gland. Il redoubla d'efforts, qui aboutirent à me décharger
une chopine de sperme sur la motte, le ventre et les cuisses.

Je me débarrassai, pour aller laver.

-- Oh! vous êtes bien pucelle! me disait Guae, en se
reculottant. Comme je m'essuyais, j'aperçus mon père caché...
Je n'en fis pas semblant. Un instant après mon retour vers
Guae, ce père rusé entra auprès de nous. Guae me demanda en
mariage. Mon père lui répondit qu'il me laissait la maîtresse
absolue. Et il signa les bans. Il dit ensuite à Guae qu'il
avait à me parler, et qu'il le priait de s'en retourner seul;
qu'il me remènerait chez ma tante, à laquelle il avait à
parler aussi. Guae s'en alla.

Dès qu'il fut sorti, mon père me dit:

-- As-tu été foutue?

Et il me prit le con à la poignée.

-- Vous avez bien entendu que non.

-- Où donc a-t-il déchargé?

-- Sur le poil.

-- Un peu entre les lèvres?

-- Oui.

-- Il suffit. On peut devenir enceinte avec cela seulement, et
tu n'as plus rien à craindre. Mais va le voir chez lui, et
qu'il ait toute facilité. En attendant, je vais en frayer
encore un peu.

Il me renversa, et à l'aide du beurre frais, il m'enfila...
avec quelque facilité; ce qu'il répéta trois fois, excité par
ce qu'il venait de voir, et parce que j'étais extrêmement bien
chaussée, en souliers de soie neufs. Je déchargeai trois fois
à chaque enconnage, comme disait mon père. Cela fit neuf fois.
Mon père me dit que j'avais beaucoup de tempérament et que
j'allais être une bonne fouteuse!... Je me lavai
soigneusement, et il me remena.

Nous trouvâmes Guae chez ma tante. J'étais plutôt mise en
appétit que rassasiée, par le triple fourgonnage de mon père.
Je dis bas à mon prétendu:

-- Allez chez vous; j'ai à vous parler.

Il y courut. Mon père parlait à ma tante, prenant des mesures
pour accélérer; car il craignait, à la manière dont j'avais
déchargé, que je ne devinsse grosse de lui; et il le désirait
en même temps. Mais il fallait que je fusse mariée... Ma tante
sortit avec lui.

J'allais sortir aussi, pour laisser essayer à Guae un
enconnage complet, lorsque mon oncle rentra. J'étais si
envoluptée que je n'en fus pas fâchée, quoiqu'il me déplût. Il
ferma la porte au verrou et vint à moi:

-- Tu vas donc te marier! me dit-il. Allons, il faut en
découdre à nous deux! Aussi bien Guae a le membre si gros,
qu'il te ferait souffrir le martyre (Ceci acheva de me
déterminer)...

Il me saisit.

-- Laissez-moi! Laissez-moi! (dis-je faiblement).

Mon oncle ne m'écouta pas, et, voyant que je ne criais, ni
n'égratignais, il me renversa sur le lit, me troussa, et
dirigea son vit dans le vagin de mon con. J'eus l'art de
paraître me défendre, en le secondant. Il me fit mal; je
criai, et, m'apercevant que les cris le facilitaient, je me
mis à crier de toutes mes forces. Ce qui le fit enfoncer
jusqu'à la garde, avec tant de plaisir de ma part que mes
gémissements étaient de volupté. Je me débattais, mais mon con
supait le gros vit, donnant de si bons coups de cul que je
déchargeai avec des convulsions terribles et des contractions
des trompes qui pinçaient le gland de mon oncle. Il se
récria... et se pâma de plaisir...

-- Ah! pour une pucelle, que tu fous bien! me dit-il ensuite.
Que sera-ce donc un jour?... Recommençons...

Il me recommença trois fois, malgré mes pleurs; car je sentis
qu'il fallait pleurer...

Quand il fut rassasié, il déconna.

-- O céleste fouterie, me dit-il, si le mérite de ton con était
connu, il ferait ta fortune!

-- Oui! vous me l'avez bien accommodé! répondis-je en
sanglotant, sur un bidet préparé par mon oncle.

Il ôta le verrou, jeta l'eau mêlée de sang et de foutre; puis
craignant le retour de sa femme, il sortit, en disant:

-- Remerciez-moi! sans cette préparation, Guae vous aurait
estropiée; et revenez à moi, s'il le faut!

Je ne fus point effrayée de ce langage. Dès qu'il fut sorti,
j'essuyai bien vite mes larmes, et je pris un air riant. Ma
tante revint. Je la prévins de l'attaque de son mari, mais non
du succès, pour lui faire presser mon mariage; la priant de ne
lui en rien témoigner, de peur qu'il ne levât le masque. Je
promis de toujours bien me défendre, comme je venais de faire;
et tout en parlant, le con étant venu à me redémanger, je
courus chez Guae, espérant que, préparée comme je l'étais, il
me l'enfoncerait enfin. Il m'attendait.

-- J'ai bien des choses à vous dire...

Ce fut mon début. Il ne me laissa pas continuer; il me prit la
motte.

-- Foutons d'abord, me dit-il, en me renversant.

Je n'en fus pas fâchée; car je ne savais trop que lui dire de
nouveau. Je me défendis gauchement, comme avec mon oncle et
mon père. Mais, quoique je fusse élargie, ses tentatives
furent encore inutiles. Je n'osais lui dire de prendre du
beurre, de peur de paraître instruite. Je m'attendais qu'il y
songerait. Cela ne lui vint point en pensée.

-- Tu es diablement pucelle! me dit-il, en me tutoyant...

Il me tourna sur le ventre, me cracha au trou du derrière, et
m'y enfonça son engin, avec des efforts infinis. Je poussais
des cris horribles! mais il me tenait si ferme, en m'empalant,
que je ne pouvais remuer. Je le secondai, pour souffrir moins,
et mes ripostes me firent décharger. Je croyais avoir un timon
de carrosse dans le cul... Le retirer ne fut pas sans
plaisir...

-- Tu vaux ton pesant d'or! me dit Guae, même en cul! Suffit!

Il me demanda ensuite pardon:

-- Votre beau con, votre beau cul, vos blancs tétins m'avaient
mis comme un enragé; ne pouvant vous enconner, je vous ai
enculée. Pardon, ma belle maîtresse! j'ai plus d'un projet,
pour vous dédommager.

Le cul me faisait mal. Guae me le mit dans l'eau tiède; puis
il me le baisa, me le lécha, allant quelquefois au con. Il
rebanda; mais je voulus m'en aller. Il fut obligé de me
remener en fiacre; je ne pouvais marcher qu'avec douleur. Ce
qui n'empêcha pas qu'il ne me fit le branler dans le carrosse,
lui ayant le nez dans une mule mignonne, qu'il m'avait
arrachée du pied, et dans laquelle il déchargea. Dans le
délire du plaisir, il me dit:

-- Ma reine: j'ai le vit trop gros pour toi; choisis de l'oeil
un joli jeune homme pour te dépuceler, et je trouverai le
moyen de te le faire avoir, sans te compromettre.

Ceci me fit plaisir... Guae me descendit, et me porta. Je me
mis au lit; le sommeil calma mon cul.

Le lendemain, j'allai chez mon père, auquel je racontai tout
ce que Guae m'avait fait, et dit.

-- Bon! me répondit-il. Tu as du tempérament. Tu seras foutue,
en con, en cul, en bouche, et tu seras heureuse... Vous serez
mariés dans huit jours, et je t'aurai un fouteur plus gros que
moi. En attendant, je vais te le mettre; on ne saurait trop
élargir un connin si mignon.

Mon père m'enconna, recommença trois fois.

-- Tu es toujours pucelle! me dit-il.

-- Et pourtant, m'écriai-je, mon vilain oncle, avec son gros
membre, m'a hier violée trois fois!

-- Trois fois! reprit mon père; quel connichonnet as-tu donc?
On pourra vendre mille fois ton pucelage!... Il faut que je te
refoute. Et il me refoutit...

Tandis que je me rinçais le con avec de l'eau tiède, mon père
s'était mis à la fenêtre, et causait avec un jeune procureur
son voisin, gros et beau garçon de 30 ans. Le con lavé,
j'allai regarder, en soulevant le rideau. Mais le jeune
procureur m'ayant aperçue, je me retirai.

-- Quelle est donc cette céleste personne? demanda-t-il.

Mon père ne répondit que par un geste qui, je crois,
signifiait que j'étais sa maîtresse. Ils gesticulèrent encore.
Puis le procureur disparut. Mon père me dit aussitôt:

-- Veux-tu que ce bel homme te le mette, en payant?

-- Oh! oh! mon père!

-- Appelle-moi Monsieur, devant lui!...

On frappa. Mon père ouvrit; et j'entendis qu'il disait tout
bas au jeune homme:

-- Apportez-vous les 50 louis?

-- Les voilà.

-- Mademoiselle? me dit alors mon père; vous savez que je vous
aime pour vous même: Voici un bel homme de mes amis, qui veut
vous faire un présent; je sors; témoignez-lui votre
reconnaissance.

Mon père se cacha, et le procureur le crut sorti.

As-tu été foutue aujourd'hui, me dit-il, en venant pour me
prendre les tétons.

Je le régalai d'un soufflet.

-- Apprenez que je suis ici chez mon père.

-- Vous êtes Mademoiselle...

-- Oui, Monsieur. Je dois être mariée dans huit jours. C'est un
mariage de raison, ou d'intérêt. Mais mon père ayant été
instruit que mon futur est... monstrueux... ce bon père a...
pris sur lui de... me faire préparer. Je vous ai cru son ami;
j'ai consenti, après vous avoir vu.

Le procureur était à mes genoux. Il me demanda mille pardons!

-- Soyez donc honnête! repris-je.

Alors il me caressa. Je lui rendis enfin un baiser. Il me
renversa. Il avait le vit comme mon oncle, mais il était moins
adroit.

-- De la pommade! lui criai-je. Mon prétendu m'ayant fait
entrer chez lui par surprise, il ferma les portes, et voulut
me violer... Ne le pouvant, il me pommada, et ne réussit pas
encore. Vous, pommadez-...moi...

En parlant ainsi, ses tentatives me faisaient décharger. Je
soupirais de volupté. Mon père crut que c'était de douleur. Il
arriva; me pommada; dirigea le vit de mon fouteur dans mon
con, et dit, à lui:

-- Poussez. (A moi) Soulève le cul; étreins dans tes bras;
seconde ton dépuceleur, à chaque coup, par un coup de croupe
en avant; passe tes jambes sur ses reins, et serre, en remuant
du cul... Bon! Bon! Saccadez, vous!... Bon!

-- Ah Dieu! quel plaisir! s'écriait le fouteur; comme elle a...
le con étroit!... le... mouvement... délicieux!

Je lui dardai ma langue, en murmurant:

-- Mon coeur!.. Mon roi!... Mon Dieu! je t'adore!...

-- Ah! la chère petite amie! elle est tendre!... Je décharge!
Je la fous... Ah!...

-- Il me fout, mon père!... Tous les hommes foutent-ils?...
Ahh!... Mon père!... quel plaisir!... Mon âme... va sortir
par... le trou qu'il me fait!...

Je déchargeais en me roidissant.

-- Oh! la petite reine!... s'écria le jeune procureur. Elle
décharge!... Mon père... donnez-la-moi pour femme; je l'ai
dépucelée; je l'épouse!...

Mon père, qui avait ses desseins sur moi, refusa. Il en
résulta que le procureur enragé, s'acharna sur moi, et me
foutit 18 fois... Mon père fut obligé de l'ôter de sur moi, et
de le porter chez lui; il ne pouvait marcher... Quant à moi,
j'étais à peine fatiguée. Mon con lavé, rafraîchi, il n'y
parut plus. Au retour de mon père, le voyant tout ému, à la
vue de mes tétons, je lui dis:

-- Si vous bandez, satisfaites-vous, en me foutant deux ou
trois fois!

-- O quelle scène! s'écria-t-il. Mais tu as un con et un
tempérament impayables! ils feront notre fortune... Voyons si
tu déchargeras encore; foutons!...

En m'enconnant, il me loua fort de m'être avouée sa fille, et
du soufflet donné!

-- Les fouteurs dédaignent les foutues; mais avec toi, ce sera
le contraire; je veux te mettre au-dessus de ces bougres-là!

-- Je décharge! m'écriai-je.

-- Et moi aussi! répondit-il en me saccadant.

Il me re-enconna trois fois, et toujours je déchargeai... Je
lavai, en lui disant:

-- J'épuiserais dix hommes.

Je lui recommandai d'instruire mon futur de ce qu'il fallait
faire pour m'enconner. Je lui dardai ma langue, et je partis.

J'avais été foutue 25 fois dans la journée, sept par mon père.
Je retournais chez ma marchande. Mais tous les hommes que je
rencontrais me tentaient.

-- Que les putains sont heureuses! (pensai-je) elles attaquent
qui elles veulent!

Tout à coup une idée me vient:

-- Allons chez Guae; je lui dirai de me pommader. Qu'il
m'estropie; mais qu'il me foute.

J'y volai.

Il était avec un beau jeune homme, qu'il fit cacher, au bruit
de mes talons. Mais j'entrevis par le trou de la serrure. Guae
me reçut mystérieusement, et me conduisit dans la pièce
obscure, où je lui avais vu cacher le jeune homme.

-- Ma reine! ma belle future (me dit-il), je crois que je
pourrai vous enfiler aujourd'hui. Ayez seulement de la
complaisance!

-- Oui! mais, pommadez... Ma tante...

-- J'entends... j'entends...

Je sentis qu'il me remettait à une main plus douce. On me prit
les tétons, le con; on me darda la langue. Je caressai. On me
troussa. Je fis beau con. L'on se mit sur Moi, je sentis qu'on
m'insérait un morceau de beurre frais à l'entrée de la vulve,
ou trou du con. On poussa. Je ripostai un peu. L'on entra. Je
secondai, m'apercevant, avec étonnement, qu'on ne me faisait
presque pas mal. Enfin l'on parvint au fond sans m'avoir
blessée, et l'on y déchargea. L'abondance et la douce chaleur
du foutre me firent partir aussi, mais avec un plaisir, des
élans, des transports incroyables! Je m'écriais:

-- Cher amant! divin amant... j'expire... de bonheur... et de
volupté... Je t'adore!...

Le jeune homme déconna. Il me suça les tétons, les lèvres, me
fit darder la langue. Ce que je fis tendrement... Aussitôt il
me re-enconna avec fureur. J'eus autant de plaisir que la
première fois... Bref, il me recommençait sans cesse, et ce
fut Guae qui le renvoya; car, pour moi, déjà foutue 25 fois
dans la journée, je crois que j'aurais laissé aller ces deux
hommes jusqu'à 50, si tous deux avaient pu me le mettre. Guae,
me voyant quelque difficulté à marcher, envoya chercher un
fiacre, pendant que je me lavais le con.

-- Eh bien, ma charmante reine, t'ai-je bien foutue? me dit-il.

Je rougis.

-- Loin d'être épuisé, je me meurs encore d'envie de t'enculer!

-- Oh non, non! (m'écriai-je avec effroi).

-- Eh bien, branle-moi des deux mains, comme te voilà, le cul
dans l'eau.

Je branlai son vit, qu'à peine je pouvais empoigner. Quand le
foutre fut prêt à venir, il hurlait de plaisir.

-- Ta bouche! (me disait-il), ta bouche... ou je t'encule!

Je decalottai le gland, je le pressai de mes lèvres. Le foutre
arrive, et, de peur qu'il ne tombe dans mes tétons, j'ouvre la
bouche, et il m'est lancé au fond du gosier. Je l'avale comme
un lait de poule. Il y en eut une chopine:

-- Foutre! foutre... (s'écriait Guae) je me pâme... Ah...
céleste garce... Tu vaux mieux que toute la Terre... Est-ce
bon?

-- Ce qui fait tant de plaisir en bas, doit faire du bien en
haut.

-- Ah, divine putain... je t'en nourrirai.

Le fiacre arrivait; Guae m'y porta.

On me l'avait mis 37 fois. Le frère de ma marchande se trouva
seul à la maison, lors de mon retour.

-- Mademoiselle Convelouté! me dit-il, que vous êtes cruelle
pour moi!... On dit que vous allez vous marier? Vous devriez
bien favoriser un jeune homme qui vous adore, aux dépens du
futur! C'est un veuf, un laid... Vous êtes pucelle, et si
jolie?... D'ailleurs, il l'a très gros (dit votre oncle), et
il vous fera bien mal! Si un plus menu que le sien vous
préparait? Voyez! (Il mit à l'air un vit charmant) c'est un
véritable croque-pucelage, sans faire mal... Je sais m'y
prendre. Le mari de ma soeur est un bandalaise, et elle se fait
de temps en temps ôter par moi les araignées du bijou.

Ce langage me plut, et son vit me tentait: Je lui répondis, en
riant:

-- Je n'ai pas d'araignées à ôter.

Il vit, à mon air que je n'étais pas de mauvaise humeur. Il me
prit les tétons.

-- Finissez donc, libertin! (lui dis-je doucement et sans
presque le repousser). Il me prit la motte.

-- O c'est trop fort, ceci... Voulez-vous bien finir!...

Il était déculotté; il bandait roide; il me renversa sur le
lit de sa soeur, me retroussa, et se mit sur moi tandis que je
disais nonchalamment:

-- Eh mais... c'est donc une violence!

et que je me défendais d'une manière qui me livrait. Il me
dit:

-- Ah! céleste innocente! je vous le mettrai!...

Il m'enfila. Je ripostais, en haussant du cul, comme pour le
repousser. Il n'en dardait son vit que plus fort.

-- Non! (s'écriait-il en déchargeant) il n'est rien tel que
d'enconner l'innocence!...

Cependant, craignant que je ne me dérobasse, il me foutit
trois coups sans déconner (ce qui fit mes 40 fois dans la
journée), et ne me quitta qu'en entendant du monde... Je
courus me laver.

C'était la marchande. Elle dit à son frère:

-- Heureusement que c'est avec Convelouté! Toute autre aurait
sauté le pas, polisson!... Mais l'as-tu attaquée?

-- Oui. En ce cas, tu dois n'en pouvoir plus... Viens que je te
soulage?

Il y avait encore de l'huile dans la lampe: Le jeune homme mit
le verrou, nous enfermant ainsi tous trois, et il se jeta sur
sa soeur, qu'il enfila d'un seul trait. Ah! quels coups de culs
elle donnait!

-- Lime (lui disait-elle)... je décha...arge... Sors à moitié,
et... rentre... vivement... Fous-moi vingt fois... en une...

Je les voyais. Ranimée par là, mon insatiable connôt
redésirait un vit, lorsqu'on frappa doucement. J'ouvris, en
tirant le verrou plus doucement encore. J'espérais que ce
serait le mari de ma marchande, qui depuis longtemps brûlait
de me le mettre. Je me proposais de le pousser dans une autre
pièce. Point du tout! C'était un beau jeune homme, qui avait
beaucoup d'air de celui par qui Guae venait de me faire
foutre.

-- Mademoiselle (me dit-il) se nomme Agnès-Convelouté?

-- Oui, Monsieur.

-- Mademoiselle est la prétendue de M. Guae?

-- Mais, oui, Monsieur.

-- Aimez-vous, fort ce M. Guae?

-- Monsieur, la raison, et non la passion, fait mon mariage.

-- En ce cas, Mademoiselle, je ne vous ferai pas de peine en
vous révélant un secret?

-- Quel est-il, Monsieur?

-- C'est que, tout à l'heure, vous avez cru être possédée par
votre futur...

-- Quel conte vous me faites-là, Monsieur?

-- J'étais présent, mais caché, Mademoiselle; son timon de
carrosse ne pouvant vous perforer, il m'a vendu votre pucelage
cent louis, et c'est moi qui vous ai déflorée... Me
préféreriez-vous?

-- Ce que vous me dites est impossible, Monsieur!

-- Cela est. Il l'a trop gros; on vient de vous le mettre, et
c'est moi (Je le savais bien).

-- Il n'est qu'un mot à dire, Monsieur. Pouvez-vous m'épouser?

-- Mademoiselle, je suis marié à une vieille de 78 ans, qui m'a
fait ma fortune, et je suis obligé d'attendre qu'elle soit
morte.

-- Et si je devenais grosse, Monsieur?... J'épouserais M. Guae.

-- Voulez-vous être ma maîtresse?

-- Cela ne conviendrait pas.

-- De son consentement?

-- Comme vous m'avez eue déjà, et que ce soit de son
consentement, je m'y prêterais; pourvu qu'il ignorât que je le
sais...

-- Oh! de tout mon coeur! Ceci marque votre honnêteté...
Etes-vous seule?

-- Non; la marchande est là.

-- Pourrais-je vous avoir à coucher?

-- Ah ciel! Je ne saurais découcher que sous le prétexte
d'aller veiller mon père, en le supposant indisposé. Ainsi,
cela est impossible.

-- J'irai, si vous le permettez, parler tout uniment à votre
père. Je suis riche; il vaudrait mieux que je vous donnasse le
prix de vos faveurs, qu'à un vil malheureux, comme Guae?

-- Hé bien, parlez à mon père.

-- Je reviendrai vous chercher, s'il m'accorde ma demande!

-- Mais ne revenez pas seul. Je veux voir quelqu'un à lui, et
que je connaisse!

-- Vous serez tranquillisée".

Il alla chez mon père. Il lui raconta comment Guae n'ayant pu
me dépuceler, lui avait vendu mon pucelage cent louis, en
quatre séances, vingt-cinq louis par chacune, dont la première
était payée; qu'il m'avait enconnée, en me pommadant, et qu'il
avait trouvé mon bijou si délicieux, si satiné, qu'il n'en
voulait plus d'autre; qu'il m'avait demandé de coucher avec
moi, et que c'était par mon conseil qu'il s'adressait à lui.
Il offrit ensuite les 75 louis restants pour les trois nuits
suivantes. Mon père répondit:

-- Puisque Guae a voulu être cocu, qu'ainsi soit. Je consens
que vous couchiez ici avec ma fille, si vous avez cueilli sa
rose; ce qu'elle me dira. Allez la chercher, avec un billet,
par lequel je vais la demander.

Et il écrivit. Puis il accompagna le galant jusqu'à la porte
de ma marchande, que son frère foutait encore.

Cependant je m'amusais à voir conniller le frère et la soeur.
J'étais en feu quand le jeune homme reparut, avec le billet de
mon père; je vis, par la fenêtre, celui-ci qui nous attendait
dans le carrosse de mon dépuceleur prétendu. Je partis, en
avertissant que j'allais veiller mon père malade. A notre
arrivée, le galant paya un beau souper, et remit vingt-cinq
écus d'or à mon père. On mangea; on but; puis je fus mise au
lit. Le jeune homme exigea que mon père me déshabillât, et me
lavât la motte. S'étant ensuite lui-même mis nu, en un
instant, il entra dans une chemise, fort large, et qu'il avait
apportée, afin de me palper mieux. Il appela mon père, pour
qu'il lui mît le vit dans le trou de mon con; puis il
poussa... Il eut autant de peine que chez Guae (ce qui
m'étonna moi-même!). Aussi dit-il:

-- Elle a réellement le connin étroit. Elle se repucellerait en
huit jours si on la laissait tranquille.

Il me foutit six coups; mon père, couché à côté de nous, lui
mettant toujours le vit dans mon con. Il s'endormit ensuite,
et moi aussi.

Le lendemain matin, il fit faire d'excellent chocolat, qui me
refit. Je refusai la voiture pour retourner chez ma marchande.
On ne se douterait pas pourquoi! J'avais ouï dire que le
foutre, avalé chaud, était excellent pour la poitrine,
fortifiait, et blanchissait le teint. Je voulais aller en
avaler ma chopine en suçant le vit de Guae. J'y courus, dès
que je me vis libre. Il allait sortir.

-- Je viens vous donner du plaisir (lui dis-je), mais sans en
prendre; vous m'avez trop fatiguée hier.

-- Allons, ma toute belle, que faut-il faire? vous enculer?
vous encuisser, vous endosser, vous enaisseller, vous
enoreiller, vous encoller, vous entétonner, vous décharger sur
le nombril, me faire serrer le vit entre vos deux mollets,
faire un con de votre soulier, ou de votre jolie mule. Tout,
je ferai tout, hors vous enconner; je ne le saurais, parce que
nous sommes, vous trop belle, et moi trop beau!

Au lieu de répondre à ce langage, qui était de l'arabe pour
moi, j'avais déboutonné sa culotte, et je le branlais d'une
main, et chatouillant par instinct les couilles de l'autre. Il
se récriait de plaisir:

-- Déesse!... Sacrée garce!... Divine putain!... Branle!...
branle!... Chatouille! chatouille les couilles!... Oh! oh!
quelles délices!... Bougresse!... Gueuse!... Putain!...
Divinité! le foutre... vient!...

A ce mot, j'embouchai le gros vit, le palpotant de ma langue
et du palais. Ce fut alors que Guae en délire blasphéma:

-- Foutu Dieu! Bougre de Dieu! Sacré con de la Vierge Marie!
Con de la Madeleine connillé par Jésus! Con de Sainte Thècle,
de Sainte Théodore, de Sainte Catherine, de Sainte Cécile,
d'Agnès Sorel, de Marion Delorme, de Ninon, de la Daubigné, de
la Vallière, de la Pompadour, de la Duté, de la Lange, de la
jolie Mars, de l'adorable et provocante Mézéray, de la jeune
et naïve Hopkins, de la belle Henry, vous ne valez pas...
cette bouche-là... Je fou..ou..ous... Je... décha..a..arge!...
Ava..ale!... gorge-toi de foutre, ma reine!

Il déboucha vivement, quoique je lui suçasse encore le vit.

-- C'est trop de plaisir! (dit-il) on mourrait.

Il me fit prendre quelques cuillerées de café, pour me rincer
la bouché. Puis je me remis à le branler. Il me suça les
tétons, me fit lui darder ma langue, et voulut me gamahucher.
Je m'y refusai, devant être foutue le soir... Il rebandait. Je
secouai, je chatouillai; le foutre revint, et j'en avalai une
nouvelle dose. Ce qui eut lieu trois fois de suite. Le manque
de temps nous obligea seul de nous séparer.

Le soir, à 9 heures, une voiture vint me prendre, et me
conduisit chez mon père. On y soupa, coucha et foutit comme la
veille. Le lendemain, après le chocolat, j'allai faire mon
déjeuner de foutre chez Guae. J'en pris quatre doses... De
retour chez ma marchande, son mari. Sans doute instruit par le
frère de sa femme, voulut me le mettre. Je m'y refusai
absolument. Il s'en plaignit à sa femme, qui m'en fit des
reproches. Mais, lui ayant dit que mon prétendu me l'avait mis
six fois, en gardant mon père avec moi, elle fit mes excuses à
son mari, en le priant d'attendre son tour.

"Le soir, on vint me prendre. Mme Viédase, ma marchande, me
dit à l'oreille:

-- Tâche de ne pas être foutue; afin que mon mari puisse te le
mettre demain? Il s'en meurt!...

Je trouvai mon amant chez mon père. En soupant, on parla de
Guae; mon amant dit qu'ayant été enconnée devant lui, je ne
devais pas redouter la grossesse.

-- C'est pourquoi (ajouta-t-il), j'enfourne à plein con, et
décharge au fond.

-- Je vous mets le vit dans le connin de ma fille avec plaisir
(dit mon père); afin de mieux cocufier ce jean-foutre de Guae,
qui vous a vendu son pucelage.

-- C'est ce qui me met aussi en fureur érotique, quand je fous
sa future (reprit mon galant). Je pense: encore une corne à ce
bougre de Guae... et je me trouve intarissable... Il m'a même
passé une idée par la tête. C'est de vous donner à chacun 50
louis, pour que vous foutiez ensemble tous deux; pour que le
mâtin soit recocu, et surcocu!

-- Top! (s'écria mon père) après votre affaire faite. Vous me
mettrez le vit dans le con de ma fille...

-- Non! non! (m'écriai-je).

-- Vous me la tiendrez, si elle récalcitre.

-- Je n'ai pas ces idées (leur dis-je). Si je remue du cul,
comme je le fais, alors que mon amant me fout, c'est que je
l'aime. Quant à M. Guae, je lui dois beaucoup de
reconnaissance! il est ma nourrice, et c'est lui que je tète.

On ne comprit pas le sens de ce mot. On me coucha.

Au lit, mon amant me foutit six fois. A la sixième, mon
fouteur dit à mon père:

-- Mets-toi sur ta fille, et fous-la. Je vais t'introduire le
vit.

Mon père me grimpa, le jeune homme lui mit le vit dans mon
con, et il poussa. Comme j'étais amoureuse de lui plus que de
tout autre homme, je remuai de la charnière, comme une
princesse foutant avec un page... Le jeune homme, ranimé,
entra dans un tel érotisme, en nous voyant décharger, qu'il
nous fit mettre sur le côté, et il m'encula, tout enconnée que
j'étais... J'allai laver, et nous dormîmes.

Le matin, au déjeuner, le jeune homme paraissait ivre de joie!

-- Ah! qu'il est cocu, le bougre! (s'écriait-il.)... Bonhomme,
voilà un effet de cent louis. Il faudra que tu la foutes,
après le mariage, et il y aura vingt-cinq louis à chaque fois.

Il partit, et je courus chez Guae, que je commençais à aimer
presque autant que mon père.

Il me reçut avec transport, me traitant de divine garce, de
céleste putain... Il m'allaita de foutre six copieuses fois.
Ce qui me mit dans un tel érotisme que je retournai chez mon
père:

-- Ton procureur? (lui dis-je essoufflée) Il doit être remis,
depuis l'autre jour? Je brûle... Cours-y, si tu m'aimes.

Il y vola, en m'appelant:

-- Cléopâtre! Cléopâtre!...

Il trouva le jeune procureur à la fenêtre, son vit bandant à
la main.

-- Je viens de voir entrer votre fille (lui dit-il), et
j'allais me branler à son intention.

-- Gardez-vous en bien! Apportez un petit présent, et venez le
lui mettre!

-- Vingt-cinq louis?

-- C'est trop pour une pratique. Un louis par coup.

-- Soit; mais je n'en remettrai pas. Elle gagnera peut-être la
somme.

Il vint avec moi. En entrant, il jeta la bourse sur le pied du
lit:

-- Allons, ma fille (me dit mon père), tu es à tes pièces;
autant de coups foutus, autant de louis. Mais il ne faut pas
tuer un ami! Il allait se branler à ton intention, quand je
suis entré.

A ce mot, je me jetai à son cou, et lui dardai ma langue, en
disant:

-- Cher! Cher ami!

-- Ah je t'adore! (me répondit-il).

Et il me prit les tétons, le con. Je me renversai. Il se mit
sur moi. Je me fourrai son vit dans le con, et, en quatre
coups de cul, je le mis au fond. Il déchargea, en me sentant
émettre... Il me foutit dix coups.

-- J'ai quinze louis à compte (lui dit mon père, en le voyant
laver et se reculotter). Vous reviendrez quand il vous plaira.

Nous en étions à l'avant-veille du mariage. Tous les matins,
Guae m'avait allaitée, ou plutôt affoutrée; ce qui m'avait
rendu la peau plus blanche, le teint plus brillant, le con
plus satiné, et me donnait un tempérament si violent, que je
n'étais à mon aise qu'un VIT au CON. Le jeune homme dit, en
déjeunant:

-- Guae doit être surpris de ne pas me revoir! Cela pourrait
faire tort, dans son idée, au con de ma belle fouteuse. Ainsi,
je veux lui acheter la première nuit de sa mariée, puisque
l'impayable Agnès veut absolument l'épouser (Je le lui avais
dit, en foutant).

Mon père applaudit. Mais, en me reconduisant chez Guae, que
j'allais téter, ce bon père ajouta:

-- Tu n'es pas une mariée ordinaire; ce qui éteindrait la soif
d'une autre n'est qu'une goutte de foutre pour toi; j'ai une
idée, c'est de m'arranger à te régaler, après-demain, en te le
faisant mettre, jusqu'à extinction de forces, par tous ceux
qui t'ont foutue; moi d'abord; ton oncle; ton procureur; le
frère de ta marchande, et peut-être son mari. S'il se trouve
quelques nouveaux bougres, ils t'enculeront, sous prétexte de
réserver ton pucelage à ton époux; c'est un délice que
d'enculer une mariée, le jour de ses noces, et ils le payeront
bien. Je m'arrangerai avec Guae pour tout cela.

Nous arrivions. J'embrassai mon père transportée de
reconnaissance, en le priant de tâcher de me suivre
secrètement, pour me voir téter. J'entrai, puis je
l'introduisis.

Guae courut à moi, en se déculottant. Il me baisa d'abord
pied, jambe, cul, con et tétons: Il me fit ensuite lui darder
ma langue; après quoi, il me mit son vit en main. Je le
secouais vivement, lorsqu'il me dit:

-- Garce, je suis raisonnable. Je ne t'enconne pas; il faut que
ton père et ton oncle te foutent le jour du mariage. Je
t'aurai ensuite, pour la nuit, trois vits frais, dont celui
qui t'a dépucelée sera un... Ah! l'idée que ton père t'enconne
va me faire te décharger une pinte de foutre, et te l'entonner
dans le gosier... Allons, garce, je sens que ça vient;
embouche-moi le vit... Ah-ah-ah... le bou...ougre fout... sa
fille... Ton père te fout, garce! te fout, putain... Ah! je
décharge, à cette divine idée!... Honh!...

Il se pâma presque... Pendant l'interruption forcée, j'allai
prendre mon père à sa cachette:

-- Fous-moi, lui dis-je; puisqu'il le faut pour le bonheur de
mon cher prétendu!

-- Ah! déesse! (s'écria Guae, en se précipitant à genoux), tu
incestues pour moi! je t'adorerai toute ma vie...

Il intromit le vit paternel.

-- Remue du cul! (me criait-il), saccade!

-- Je dé..cha..arge (lui dis-je)... Viens, cher ami... que je
te branle!

Guae blasphémait de plaisir, en sentant venir le foutre... Il
m'emboucha, sans que mon père me quittât, et, en même temps,
j'avalai du foutre, j'en reçus dans le con, et j'en donnai.
Mon père me foutit quatre coups, et Guae m'avait embouchée
quatre fois, quand on frappa. Guae courut ouvrir, tandis que
je me rinçais bouche et con. C'était mon oncle.

-- Vous arrivez à point (lui dit-il). On essaye ma future, et
vous allez l'essayer.

Mon père expliqua la chose; Guae me renversa sur le foutoir,
et mon oncle m'enconna. Il me foutit six coups, je tétai six
nouvelles fois le vit de Guae; après quoi on me laissa
respirer. Il fut ensuite convenu que douze fouteurs me
passeraient sur le corps le jour de mon mariage, en con ou en
cul, à mon choix, et que Guae, qui seul aurait la bouche, me
ferait foutre la nuit, et dans l'obscurité, par trois vits
nouveaux de son choix. Mon oncle émerveillé, s'écria:

-- Mais elle sera putain!

-- C'est ce qu'il me faut, pour que je l'adore.... Et ne vous
en faites faute, ni son père, ni vous; puisque vous serez les
seuls qui ne payerez pas.

En achevant ces mots, il se prosterna devant moi, en me
traitant de déesse.

Je retournai chez ma marchande. Son mari et elle-même me
tourmentaient pour que le premier m'eût une seule fois avant
mariage. Ils me pressèrent plus fort que jamais; et je cédai.
La femme me mit dans le con le vit de son mari. Je ne fus
foutue qu'une fois, cet homme étant faible, et sa femme le
voulant être après moi. Ce fut de ma main qu'elle reçut dans
son con brûlant le vit marital... Cette opération faite, et
répétée, je les quittais, en leur disant adieu. Ils
pleuraient:

-- Ce qui me console de ta perte (me disait ma marchande),
c'est que mon cher mari t'a foutue... Ta voluptueuse idée me
le fera mettre plus souvent.

Je partais, quand le frère entra. Sa soeur lui dit ce qui
venait de se passer. Il ne répondit rien. Mais il me ramena du
côté du lit, m'y renversa, et me foutit devant eux, sans
prononcer une parole. Il voulait me recommencer. Je m'y
refusai, en l'invitant, ainsi que son beau-frère, à venir me
le mettre le surlendemain, jour de mon mariage. On me
remercia.

Chapitre XXXVI De l'homme-poilu, la Convelouté, Linars etc.


A mon arrivée chez mon père, je lui con-racontai tout ce que
je venais de faire.

-- Il ne faut pas (me dit-il), quand on a tant d'ouvrage payé,
en faire qui ne rapporte rien. Il vient de m'arriver un homme
d'assez agréable figure, très vigoureux, car il est brun et
tout poilu, qui offre une forte somme, pour t'avoir cette
nuit!

-- Que rien ne vous empêche de le prendre! (répondis-je en
souriant) Je ne suis pas fatiguée par si peu de chose.

Mon père, rassuré, me fit déshabiller nue, prendre un bain
tiède, puis un froid, mettre au lit, avec une chemise large;
me fit avaler un excellent consommé; ensuite il me laissa
dormir. Il était alors 5 heures du soir. A minuit, je
m'éveillai, en me sentant lécher le con. Je priai l'homme de
se montrer! Il leva la tète, et je vis un basané d'une fort
belle figure. Je souris. Il me suça les tétons, en me disant
des choses agréables:

-- Vous avez un beau con... une superbe motte... un ventre de
pucelle... un cul d'albâtre... des tétons blancs comme
neige.... un col dégagé... des lèvres voluptueuses... de
belles dents... les plus beaux yeux... les cils, les sourcils
et les cheveux comme la déesse de la Beauté... la jambe
parfaite... le pied le mieux fait... Quand je vous aurai
foutue, je vous dirai le reste.

Mon père me dit de me lever pour souper. Le basané me porta
toute nue dans ses bras auprès du feu. Là, je vis Guae avec
grande surprise! Je mis mon corset souple; Fysitère (le
basané) me laça, me priant de bien faire refluer mes tétons.
Mon père me chaussa une jambe et un pied, Guae l'autre jambe
et l'autre pied, en bas et en souliers de soie d'une
éblouissante blancheur. On se mit à table. Mon fouteur voulut
que je restasse les tétons découverts. Nous soupâmes. J'avais
appétit, Le basané but et mangea comme un hercule. En sortant
de table, il dit à mon père et à mon futur:

-- Vous ne m'avez pas trompé; elle est au-dessus de vos éloges.
Si l'intérieur du con ressemble à l'extérieur, elle est à moi,
coûte qui coûte.

-- Voyons votre vit (répondit Guae)... Elle ne sera que trop
parfaite!... Voici le mien; et vous savez que je n'ai pu
l'enconner, puisque c'est ce qui vous a fait parler à M.
Convelouté mon beau-père.

-- Je verrai si elle a le mérite de ce beau nom... Mais vous
avez un vit épouvantable, M. Guae!... Empoignez-le, la belle,
que je voie comme il est bien bandant!

Je saisis le vit de Guae, qui se récria de plaisir...

-- Je bande (reprit Fysitère). Mais faites bander votre père,
et comparons.

Je lui pris cependant le membre, qui grossit en le serrant
dans ma main. On compara ensuite. Guae l'avait le triple de
l'homme velu, qui lui-même était le double de mon père.

-- Je voudrais lui dire un mot (demanda Guae furieux de
luxure).

Il me poussa vers une fenêtre, me cacha derrière le rideau, et
me déchargea dans la bouche. Mon père seul devina ce que Guae
venait de me faire. Pour moi, je fus singulièrement fortifiée
par cette bavaroise! Je brûlais... Aussi, je fus ravie,
lorsque Fysitère dit: "

-- Il faut d'abord que je la foute habillée.

Il me porta sur le pied du lit, ôta ses culottes, et nous
laissa voir un corps velu, comme celui d'un singe. Il me fit
lui prendre son braquemart, et me dit:

-- Introduis-moi cela dans le trou de ton con, et lève du cul
comme il faut, à chaque fois que je pousserai.

Je m'enconnai. Aussitôt il poussa. Je fis un cri; car il me
déchirait, étant plus gros que mon oncle, et que tous les vits
qui m'avaient foutue.

-- Ce n'est rien (me disait-il); je te déflore... je te
dépucelle. Remue du cul.

Je remuais de mon mieux, tout en soupirant, et lui rendant en
coups de cul, tous ses coups de vits. Il parvint au fond. Mes
trompes lui pincèrent la tête du gland. Il hurla de volupté.

-- Garce adorable! (s'écriait-il) ton con satiné pince le vit!
Ta fortune est faite, ainsi que celle de ton père et du futur,
qui t'ont vendue à moi!... Allons, fous bien!...

Je remuai, je tortillai du cul, je soubresautai, de la manière
dont me le disaient mon père, et Guae lui-même.

-- Je suis ravi! (s'écriait le basané) Elle décharge!... Ah!
Elle me fera un petit bougre-à-queue!...

Il dit à mon futur:

-- Viens-ça, jean-foutre. Passe-moi la main sous le croupion,
et chatouille-moi d'une main ce que tu y trouveras, et les
couilles de l'autre!

Guae obéit (J'ai su depuis qu'au croupion, le basané avait une
queue, de la même forme qu'un vit, mais velue comme son corps,
et que ce fut cette queue que mon futur chatouilla)....

-- Je ne quitte pas d'une heure ce con céleste! (disait
l'homme-à-queue, en me saccadant) chatouille, chatouille,
bougre! les couilles et ma queue!

Il déchargea six fois, sans déconner... Je demandai alors à
laver. Mon futur m'épongea le con, et me le baisa, en
l'appelant Con d'Or. Mon père me suça les tétons. Guae dit au
basané:

-- Elle est à vous. Mais je bande comme un carme; permettez que
je l'encule?...

-- L'enculer, non; c'est du foutre perdu. Encore moins
l'enconner; je veux qu'elle me fasse un petit-à-queue. Mais si
elle avalait le foutre, comme j'ai vu certaines femmes
tempéramenteuses, je consentirais que tu l'embouchasses.

A ce mot, je saisis le vit de mon futur, et je l'aurais avalé,
s'il n'avait pas été si gros. Il me déchargea au fond du
gosier, en rugissant, et le foutre me descendit bouillonnant
dans l'estomac.

Ah! Elle aime le foutre! (s'écria le basané) Elle a toutes les
perfections!... Et elle sera aussi longtemps belle, que
féconde!..... Allons, papa, embouche-la aussi. De tous les
foutres, le paternel est le meilleur.

Je me jetai sur mon père, le renversai sur le lit, saisit son
vit bandant, que je fis aller et venir dans ma bouche, jusqu'à
ce qu'il déchargeât. Je suçai son foutre avec délices...

-- Bon! (s'écria le poilu) Elle est dans les bons principes;
elle est impayable!

Le basané me déshabillait, me déchaussait: Mon Père et Guae
lui aidaient. Je fus mise nue, patinée, baisée du haut en bas,
tandis que je me rinçais la bouche. On me passa la grande
chemise; l'homme-à-queue velu et tout nu y entra, me suça les
tétons, me fit lui darder la langue, puis dit à mon futur de
lui intromettre le vit dans mon con.

Le basané me foutit six nouveaux coups, sans déconner. Je me
sentis fatiguée. Je voulus laver. Je restai une heure sur le
bidet le con dans l'eau. Le basané, qui, pendant tout ce
temps-là, s'était amusé à faire bander Guae, et à lui faire me
décharger trois fois dans la bouche, m'appela, en me disant:

-- Tu es assez rafraîchie; reviens sur le foutoir, que je te
donne le bouquet!

Il se le fit introduire par mon père; qui me dit:

-- Courage, mon enfant! Voici un fouteur qui en vaut dix. Mais
je tâcherai de te faire soulager, si cela continue.

Je fus encore foutue six fois; mais avec tant de véhémence que
je n'en pouvais plus. Sur ma plainte, le basané dit, que le
bouquet était le double des autres assauts.

-- Eh! combien donc l'allez-vous foutre de coups? (lui demanda
mon père).

-- Vingt-quatre est ma dose.

-- C'est trop, et elle ne ferait pas d'enfants. Elle a une
cadette, aussi jolie que l'aînée est belle; je vous la
donnerai, pour soulager sa soeur!

-- Je l'accepte! (s'écria Fysitère) Et il m'en faudra bien
d'autres! car je ne les fous plus dès qu'elles sont pleines,
ni pendant qu'elles allaitent leurs petits. La jeune garce
est-elle là? (Or il me foutait toujours)...

-- Non: Vous ne pouvez l'avoir que demain soir.

-- En ce cas, j'achève de foutre celle-ci mes 24 coups. Je
déconne; qu'elle lave. Elle n'en a plus que cinq. Si son futur
se trouve en état, qu'il lui donne à téter du foutre, cela la
fortifiera!

Aussitôt Guae m'apporta ses couilles à chatouiller, et son vit
à branler. Je m'en acquittai si bien qu'il hennit au bout de
quelques minutes, et qu'à peine eus-je embouché son vit qu'il
déchargea, en sacrant:

-- Elle a toutes les qualités... Elle est parfaite! (s'écriait
le poilu, en me re-enconnant) Si sa petite soeur la vaut, ce
sont deux connins impayables!

Il acheva de me foutre cinq fois, sans déconner. Je puis me
rendre le témoignage que je déchargeai, à chaque assaut,
plutôt deux et trois fois qu'une. Aussi Fysitère en était-il
émerveillé! et me nommait-il la seule fouteuse digne de lui.
Mon père lui dit alors:

-- Ce ne sera pas encore assez de ma cadette. Mais j'ai votre
affaire. Il me reste une nièce religieuse qui a des vapeurs
hystériques; je vous la donnerai, pour reposer mes filles!

-- Je leur ferai à toutes trois 12 mille francs de rentes
(répondit le basané). Amenez-les-moi chaque soir, demain
excepté, que j'ai à fourgonner une grande blonde qui a ouï
parler de moi et qui veut en tâter. Il s'en alla.

Cette scène changea tous nos projets. Je dormis jusqu'à midi,
qu'on m'habilla. Je fus mariée à une heure. La noce fut gaie.
Ma soeur y était, ainsi que ma cousine la carmélite hystérique,
mon père ayant trouvé le secret de l'avoir, au moyen d'une
permission de prendre les eaux qu'il sollicitait depuis
longtemps. J'eus réellement pitié du connichon de ma soeur
Doucète, et je résolus de le voir dans la journée. Mon père me
le montra, et le gamahucha devant moi, en alléguant le motif
de prévenir une maladie. Ah! qu'il était mignon!... Je
l'aurais gamahuché, à mon tour, sans ma coiffure d'épousée,
car son joli petit foutre virginal me tentait... Notre père la
prévint qu'il fallait qu'elle me soulageât la nuit de mes
noces, et l'aimable enfant y consentit avec naïveté. Je vis
aussi le con de ma cousine la carmélite, ou la belle
Victoire-Londo. Il n'était pas si mignon, mais il avait une superbe
perruque noire. Elle entra en fureur érotique dès qu'on le lui
eut touché du bout du doigt, et mon pauvre père fut obligé de
le lui mettre devant ma soeur, et devant moi. Ce qui ne la
calma que pour un instant. Nous appelâmes mon oncle, qui la
foutit trois fois. Puis le jeune homme fut introduit. Ensuite
le procureur. Tous ceux qui devaient me le mettre ce jour-là.
Les enculeurs vinrent après. Elle fut foutue, refoutue,
enculée, re-enculée, et calmée. Mais on n'appela pas M. Guae;
j'en étais jalouse... Pendant ce temps-là, mon père branlait
ma soeur; l'enculage de la religieuse le fit entrer dans une
telle érection qu'il la poussa dans un cabinet, où je les
suivis, la renversa, et la dépucela. J'insérai le vit paternel
dans le joli connin, en disant à Doucète que c'était une
ponction nécessaire.

On lavait la religieuse. M'étant aperçue que Guae la
convoitait, je lui témoignai une jalousie qui le flatta. Il me
promit de réserver son foutre azuré et son gros vit pour ma
bouche, en attendant que les enfants m'eussent élargi le con.

-- Mais vous m'aviez vendue (lui dis-je), avant de m'avoir
livrée à l'homme velu, pour être foutue et enculée ma nuit des
noces. Combien de fouteurs et d'enculeurs devais-je avoir?

-- Six, à 2 mille écus chacun.

-- Vous voyez que je n'ai besoin que de repos. Mais il ne faut
pas manquer une aussi jolie somme: Vous avez demandé le
silence et l'obscurité?

-- Oui, ma reine adorée. Je ne me suis engagé qu'à te faire
voir toute nue sans chemise, comme en jouant avec toi, nu
aussi, dans la chambre. Au reste, le silence et l'obscurité
sont essentiels, puisqu'ils eussent passé pour moi. Les six
bougres, placés chacun dans une chambre séparée, devaient
repaître leurs regards de tes charmes, et t'espérer chacun
comme possesseur unique, à un signal donné.

-- Tout cela se fera. Je serai remplacée par 3 personnes. Nous
donnerons le plus délicat et le plus petit vit à ma soeur. Le
plus vigoureux et le plus brutal à la carmélite: Je vais vous
avoir ma marchande, qui ne demandera pas mieux que d'être
foutue, sans être compromise. Vous arrangerez tout pour
qu'elles reçoivent chacune deux hommes; ce qui sera d'autant
plus facile que vous n'aurez que les hommes à tromper; ce qui
sera facile.

Guae admira mon entente et mon économie! Il me promit une
soumission entière à mes ordres, et me demanda la permission
d'appeler ma soeur, ou la religieuse, pour le branler. Je les
appelai toutes deux. Je dis à la carmélite, en lui découvrant
les tétons, de prendre le vit et les couilles de mon mari. Je
mis ensuite ma soeur en position, troussée jusqu'au-dessus des
reins, et, comme elle avait le plus joli cul du monde, elle
montra le derrière. Je me mis à côté d'elle, troussée de même,
je montrai le devant. Guae, chatouillé par une main douce, et
jouissant d'une triple perspective aussi belle, en y
comprenant la superbe gorge de la religieuse, ne tarda pas à
hennir de plaisir. Bientôt il entra en fureur, et il allait
enconner la religieuse si je ne lui avais sauté sur le vit,
que j'embouchai. Il me déchargea dans le gosier, en rugissant.
Nous sortîmes tous quatre, pour aller danser, et ma soeur, ma
cousine et moi nous fumes reçues avec transport.

Mes 6 fouteurs pour la nuit suivante étaient de la noce. Guae,
qui se fût bien gardé de me les montrer, si j'avais dû les
avoir, s'en fit une fête quand ce furent d'autres qu'on leur
allait livrer. Il me les désigna. C'étaient 6 monstres de
laideur. Guae trouva le moyen de les faire mettre nus
successivement dans une pièce isolée, sous le prétexte de les
frotter d'un baume fortifiant. Le premier était un squelette
décharné, ayant le vit comme mon père. Il avait un long nez
qui touchait à son menton, les joues creuses, l'oeil vif, des
verrues noires sur le corps. Je le réservai pour ma soeur, à
cause de son vit, n'espérant pas mieux. Il se nommait Widevit.

Le second était un gros petit homme, très ventru, ayant le vit
de mon oncle, la peau comme une écrevisse cuite, pour nez une
grosse betterave, de gros sourcils gris, une bouche évasée, et
les lèvres hâlées, gercées des gros mangeurs. Ce fut le second
de Doucète, si je ne trouvais pas mieux. On l'appelait en
russe Wivitencoff de la Cowilardière.

Le troisième était fait comme un héron et un dromadaire: Il
était juché sur de longues jambes sans mollets; il portait sur
ses épaules une colline en cône aigu; son visage était noir et
sec; ses cuisses grêles n'étaient distinguées de ses jambes
que par d'énormes genoux. Tout ce qui manquait à ces parties
se retrouvait dans son vit, plus gros que celui de notre
homme-à-queue, et moins que le double vit de Guae. Je destinai
Towtenvit à ma marchande, qui était chaude, large et stérile.

Le quatrième était un gros marchand de blé, aussi large que
haut, tout noir, tout bourgeonné, ayant quelques livres de
couilles, et un vit très long, gros comme celui de mon oncle.
Je destinai Vitplongeardow à ma cousine, à cause de ses
couilles.

Le cinquième avait le visage de la teinte d'un ventre de
crapaud, la tête monstrueuse, le ventre de Desessarts, le vit
comme Guae (il devait m'enculer, de convention faite). Son
regard était affreux, sa bouche dégoûtante, et son nez encore
plus. Vitcrwel fut voué au large con de ma marchande.

Le sixième et dernier était grand, voûté, noir, bancroche,
roux, chassieux; il avait un vit à bourrelet, tant il était
long; aussi en avait-il apporté un, qu'il devait écarter, pour
m'enculer. Perceawant fut le second de mon ardente cousine.

Le soir arrivé, l'on me mit au lit, et chacun des six monstres
crut qu'il allait avoir le plaisir d'être mon bourreau. Guae
me conduisit dans la chambre nuptiale, et parut me mettre au
lit. Mais il nous distribua dans quatre pièces, et les
lumières furent exactement retirées. Quant à moi, j'étais
restée debout, faisant, à chacune des lieutenantes de mon con,
le portrait et l'éloge du beau jeune homme qu'elles allaient
presser dans leurs bras. Je me croyais obligée en conscience
de leur donner des plaisirs imaginaires, à défaut de la
réalité.

-- Ma toute belle! (dis-je à ma soeur) avec quel plaisir tu me
sacrifierais ton repos, si tu voyais le jeune homme charmant
qui doit froisser tes appas! C'est un sylphe; c'est un
amour...

J'allai ensuite à la religieuse:

-- Tu vas sentir la différence de la couchette de ta cellule au
lit d'un nouvelle mariée, ma chaude cousine. Un bel homme, un
gros vit... Crie, mais ne parle pas, puisque tu vas passer
pour moi...

Je me rendis ensuite auprès de ma marchande:

-- Vous allez être rassasiée de ce que vous aimez tant, mon
aimable maîtresse. Un jeune homme superbe, et... peut-être
deux, qui me désirent avec emportement, vont me le mettre dans
votre con brûlant, jusqu'à extinction de forces. Les vits sont
gros! ainsi faites-vous pommader comme une pucelle, et remuez
du cul, pour avaler plus vite ces énormes morceaux...

Ma marchande me remercia, en me priant de la mettre
promptement aux prises. Je courus lui chercher Toutenvit, le
troisième... Mais je vais mettre de l'ordre dans mes récits.

Guae m'attendait. Dès que je parus, il me fit parler, et
conduisit par la main Wìdevit, le premier monstre, auprès de
ma soeur.

-- Mon cher mari (dis-je doucement, la tête appuyée sur
l'oreiller de celle-ci), ménagez-moi!

-- Oui, oui; mais ne parle pas; j'ai découvert que toute la
noce nous écoutait, à cause de mon gros vit...

Durant ce court dialogue, Vitdevit, déshabillé d'avance,
fourrageait déjà ma soeur. Guae, par mes ordres, prit ensuite
Vitplongeardow, le quatrième, et le conduisit, avec les mêmes
précautions, auprès de la religieuse. Je parlai sur son
oreiller... Towtenvit, le troisième, fut le lot de ma
marchande. Les 3 autres avaient rendez-vous quelques heures
plus tard.. Il faut à présent donner chaque scène
particulière, en 6 tableaux de la NUIT DE LA MARIEE.


Chapitre XXXVII Des six fouteurs pour trois foutues.


"Happée par le monstre, qu'elle croyait un ange, ma timide
soeur soupirait. J'entendais qu'on la gamahuchait, qu'elle
déchargeait.

-- Je me meurs! (murmura-t-elle).

-- Comme tu as la voix douce, belle mariée! (lui dit Widevit
bien bas).

Et aussitôt il grimpa sur elle, et l'enconna. La pauvre
petite, quoique dépucelée, fit un cri! Je parlai pour la
déguiser. Le vieux monstre la ménageait et la caressait. Elle
le secondait de tout son pouvoir, et redéchargea. Grâce à moi,
elle avait le même plaisir que si elle eût foutu avec un beau
garçon... La voyant bien enfilée, j'allai à la religieuse.

Vitplongeardow s'était avisé de ne pas mettre son bourrelet;
je m'en doutai aux gémissements de la pauvre martyre. Je le
dis à Guae, qui le désarçonna, et lui donna quelques
soufflets. J'entendis qu'il lui disait bien bas:

-- Bougre! vas-tu m'estropier ma femme? Ton bourrelet!

Le fouteur le prit, et la foutue n'eut plus que du plaisir.

Je courus à ma marchande, que Toutenvit ne pouvait enconner,
par maladresse. Je mis la tête sur l'oreiller, et je dis en
soupirant:

-- Priez donc mon père de vous l'introduire!...

Guae, qui me suivait doucement, vint faire l'intromission, et
tout alla bien.

Chacune des 3 belles fut foutue deux fois en con. Ensuite,
comme de concert, les 3 bougres retournèrent la médaille.
Toutes trois avaient leur pucelage de cul. Ma marchande crut
qu'on allait le lui mettre en levrette; mais les deux autres
ne s'attendaient à rien. On leur perça le cul à toutes trois
au même instant, et elles s'écrièrent, malgré la défense,
toutes à la fois:

-- Doucète: Oh le fondement!

-- La religieuse: Oh l'anus!

-- La marchande: Oh le trou du cul!...

On n'y fit pas attention. Heureusement ma soeur avait le cul
large; elle souffrit moins. Quant à la religieuse, que
Vitplongeardow enculait sans bourrelet, elle avait une aune de
vit dans ses entrailles, et elle sentait celui de son enculeur
lui chatouiller le nombril. Elle souffrait beaucoup de son
farfouillage; car il retirait et re-enfonçait brutalement.
Elle n'eut de plaisir qu'à la décharge, par la douce chaleur
du foutre, qui lui onctua le gros boyau. Ma marchande était la
plus maltraitée, par Towtenvit. Elle avait le trou du cul
aussi étroit qu'elle avait le con large; le vit énorme la
pourfendait. Elle jurait entre ses dents. Enfin la décharge
l'abreuva, et elle fut soulagée.

Les 3 vieillards en avaient autant qu'il leur en fallait. Guae
vint les faire retirer, de sorte qu'ils ne se rencontrassent
pas... On étuva les 3 cons et les 3 culs. On fit les lits, on
changea les draps, recoucha la triple mariée, et Guae
introduisit les trois nouveaux acteurs.

Il alla chercher Wivitencoff, que je mis dans les bras et sur
le ventre de ma soeur. Un peu aguerrie, elle caressa tendrement
le monstre, qui l'enconna, le vit introduit par Guae, qui
profita de l'occasion pour patiner ma soeur, et la chatouiller.
Ce qui fit tellement tressaillir la pauvre petite que son
fouteur s'écria, croyant parler à moi:

-- Ah! que tu es putain!...

Voyant Guae acharné sur ma soeur, j'introduisais les deux
autres. Je donnais Perceawant à la religieuse, et j'eus soin
qu'il eût son bourrelet.

-- Voilà une main bien douce qui me touche

dit-il en voulant saisir la mienne; mais j'échappai.

-- Remue du cul, bougresse, (disait-il à sa monture); je te
tiens, je suis dans ton con; ainsi tu ne saurais m'échapper.
Je ne suis pas ton mari; j'ai payé pour coucher avec toi, et
te dépuceler; ainsi tu es ma putain. Fous, garce, et remue du
cul; j'ai payé pour ça...

Guae l'entendit. Il vint à lui, le saisit à l'étouffer.

-- Tu manques à nos conventions! (lui dit-il) je ne les
tiendrai pas non plus; fous-moi le camp, malhonnête homme!

-- Oui; mais quand je l'aurai enculée.

Et il encula la carmélite, malgré les coups de poing dont Guae
le gourmait. La religieuse poussait des cris horribles...
J'étais auprès de ma marchande, que j'accouplais avec le gros
Vitcrwel. Il ne devait qu'enculer; mais la chaude coquine se
dirigea elle-même le vit dans le con.

-- Tu n'es donc pas pucelle, garce (crut-il me dire), que tu
connais si bien la route des vits?... Allons, fous, putain, et
comme il faut! j'ai payé ton maquereau de mari!

Comme elle ripostait bien, il allait disant:

-- Oh! elle est putain! elle est putain! j'ai le reste des
autres!

Et, tout en déchargeant, il la pinça, la souffleta. Elle se
récria!

-- En bouche, sacrée putain? (dit-il en déconnant) et tu
avaleras mon foutre; sans quoi je t'assomme!

Guae, qui venait de laisser enculer la carmélite, et de
chasser son brutal fouteur, entendit le grabuge; il accourut,
apostropha le sale bougre d'un violent coup de poing, en lui
disant:

-- Lave-toi donc au moins, sacré mâtin, avant de l'emboucher!
Je ne l'embouche jamais que je ne me sois lavé le vit à
l'eau-rose, et que je ne l'aie ensuite trempé dans du lait.
Exécrable bougre! vrai de Sade, tu veux lui faire soulever le
coeur?... Mais tu as manqué aux conditions; tu ne mérites plus
de l'avoir.

-- Voilà cent louis...

-- Ils seront pour elle. Lave-toi... Voilà de l'eau-rose...
Voici du lait... Allons, souffre, m'amie. Voilà tes cent
louis.

Le vieux reître, cru un beau jeune homme, emboucha, encula,
entétonna tant qu'il voulut.

-- Ah que tu es putain, sacrée chienne! (répétait-il)...

Guae se mourait d'envie de lui montrer qu'il ne m'avait pas
eue. En le mettant à ta porte, il me fit trouver sur son
passage toute habillée. Ce fut comme une vision; car je
m'enfuis.

Ah je suis fait! (s'écria le monstre) le scélérat m'a donné
une putain au lieu de sa femme!...

Et il jura, sacra... Quant à moi, pendant ces scènes,
j'assistais à la fouterie de ma jeune soeur. La pauvre petite
fut enconnée, embouchée, enculée comme les autres, par son
adoré Vitvitencoff de la Cowillardière, qui alla jusqu'à
extinction de forces. Il m'adorait. Ce qui le tua, c'est que,
lorsqu'il se sentait épuisé, il se faisait sucer le vit bien
approprié à l'eau chaude, et baiser les couilles par sa jolie
monture. Il lui mettait encore couilles et vit sur le cul ou
les tétons. Puis il se faisait donner au gland un suçon. Il
bandait alors, et enculait. Au dernier culetage, il eut un
priapisme, et crut ne faire que bander. Il fourgonna dans le
cul de ma soeur jusqu'à ce qu'il s'évanouît. J'appelai Guae,
qui la décula, en enlevant son enculeur. On le porta évanoui
dans sa voiture. Arrivé chez lui, des cordiaux, que demanda
Guae, ranimèrent le vieux libertin:

-- Ah! (s'écria-t-il) je vis encore! je voulais mourir dans son
cul!... je bande encore... Qu'on me la rende... que je
l'enfile... et... que... j'expire... Et il expira..."


[Ah! la belle mort! s'écria Traitdamour, et toute la compagnie
en dit autant...]


Mme Guae acheva.

"Voilà comme s'est passée la nuit de mon mariage. Guae, à son
retour, était furieux de luxure: Il voulait toutes nous
enculer, puis nous emboucher. On s'arrangea. Il m'emboucha;
encula ma soeur et ma cousine, enconna ma marchande, qui en fut
estropiée pour un mois, et l'engrossa, deux choses qui
l'empêchèrent d'être achetée par Fysitère. Pour Guae, je suis
sa maîtresse, et son gros vit me fortifie par son foutre qui
me nourrit. Je serai enconnée par lui, de convention faite
avec Fysitère, après mon douzième enfant."


Chap. XXXVIII De la conclusion de l'histoire des 3 garces.


"Personne ne sait comment l'homme-caud découvrit que Guae
avait vendu la première nuit de ses noces. Il arriva furieux.
Il me demanda. J'étais au lit. Ce fut la réponse de Guae.

-- Je le crois! (répondit Fysitère), et un homme est mort
d'épuisement dans ses bras.

-- Elle a vaqué toute la nuit; mais c'est pour autre chose. Sa
cousine la religieuse ayant été un peu courtisée dans le jour,
ses vapeurs hystériques l'ont reprise la nuit, par un rêve, où
elle croyait être foutue. J'ai été appelé. N'ayant pu
l'enconner, je l'ai enculée.

-- Je me fous de son cul. Mais si tu l'avais enconnée.

-- Quant à ma femme, elle dort; et vous pouvez voir à la
fraîcheur de son con et de son cul que je ne lui ai pas
touché.

-- Voyons d'abord la carmélite!

-- Elle dort aussi.

Ils y allèrent. Guae la découvrit, sans l'éveiller. Elle était
couchée sur le côté, ne pouvant se tenir sur le dos, à cause
de son cul qui lui faisait mal. Elle l'avait en marmelade.

-- Comme tu les accommodes!... Et le con?... Il n'est pas si
maltraité...

-- Je l'ai un peu fatiguée par mes inutiles efforts; et puis
elle s'est branlée.

-- Voyons la mariée!...

Ils vinrent à moi. On sait que je me repucelais par le bain et
un peu de repos. Mon con et mon cul furent trouvés si
appétissants, si jolis, que Fysitère les baisa tous deux. Puis
il signifia au cupide Guae qu'il avait un logement cloîtré
pour nous séquestrer pendant tout le temps que nous lui
ferions des enfants, moi, ma soeur, et ma cousine. Il ne vit
Doucète qu'habillée! et elle l'enchanta. Il nous emmena toutes
trois, en disant que jusqu'à notre grossesse bien déclarée, on
ne nous verrait qu'à un parloir.

Fysitère est extrêmement riche. Il donne 20 mille francs par
an à Guae pour moi, 40 mille à mon père pour ma soeur et ma
cousine. Le soir, après un excellent souper, il nous fit
coucher toutes trois ensemble dans un large lit, où il se mit
avec nous. Il me foutit d'abord. Puis ma soeur. Ensuite la
carmélite, qui le fut deux fois sans déconner. Il me reprit.
Puis ma soeur. Bref, nous fumes ainsi foutues 8 fois chacune
dans la nuit. Ce qui faisait les 24 de Fysitère. Quand il en
foutait une, les deux autres lui chatouillaient, une la queue
du cul, la seconde les couilles.

Nous devînmes grosses toutes trois à la fois. Alors il nous
déclara qu'il ne nous le mettrait plus qu'après nos couches et
l'allaitement. Il vint ici. Il vous vit, Madame; il vous
foutit. Il épousa votre fille aînée, enconna les 5 autres,
fourbit vos deux nièces, ramona la bâtarde de votre mari,
viola vos 2 chambrières, et vous engrossa toutes. Durant ce
temps-là, nous accouchâmes, nous allaitâmes, nous nous
trouvâmes libres, et il nous refout. Tâchez d'être libres
aussi, quand nous serons prises, afin qu'il nous refoute
alternativement.

Telle est notre histoire; voilà ce que nous savons sur l'homme
à queue. J'ajouterai seulement que, dans le temps où M.
Fysitère ne nous l'a plus mis, nous ayant des désirs, nous
avons eu recours à mon père, à mon oncle, à Guae, au
procureur, et à mon premier galant, qui nous ont fourbies,
Guae en bouche, les autres en con. Cependant nous avons toutes
voulu avoir Guae, à la première douleur pour l'accouchement;
son vit, gros comme l'enfant, frayait le passage, et son
foutre l'onctuait.

Après nos couches, nous avons prié mon père de nous choisir de
jolis petits garçons non pubères, mais bandant roide, pour
nous ramoner le con: ces enfants, dont les petits vits huilés
entraient calottés, ne déchargeaient pas, et cependant
farfouillaient agréablement dans le connôt".

Les 12 belles furent très excitées par ce récit, et quelques-unes
allèrent sur-le-champ et successivement se faire ramoner
par Fysitère, qui fut très étonné de cette boutade! Il se
servit de ses 2 queues, en expédiant ainsi 2 à la fois, une
dessous, une dessus.

Cette bourrasque apaisée, Fysitère revint à ses us et
coutumes. Mais bientôt ses 3 coucheuses parurent enceintes. Il
les pria, ainsi que Mme Linars, de lui en procurer 3 ou 4
autres, pour lui faire des enfants, en attendant leur liberté!
Mme Guae seule en procura 3, une Tétonnette, son amie d'étant
fille, et deux soeurs, Bienouverte, grande blonde, avec
Dardenbouche, aimable et vive brunette, très caressante,
déchargeant comme quatre. Tétonnette était une de ces brunes à
peau blanche qui ont toujours une si belle gorge. Fysitère
assura les 12 cents fr. de rentes à ces 3 filles, se chargea
de leur ample entretien durant tout le temps de leur
fécondité, les fit coucher au grand lit, et les dépucela 8
fois chacune la première nuit. Il commença par Dardenbouche,
là plus jeune. Elle était si amoureuse, bien que pucelle,
qu'elle riposta, dès le premier coup de vit. Elle soutint les
8 assauts de suite avec un courage héroïque... Fysitère prit
ensuite Bienouverte. Elle fut plus modérée. Elle cria, quoique
peu étroite; parce que, ne déchargeant pas d'abord, elle ne
s'humectait que faiblement le connin. Elle était pucelle
néanmoins. Malgré sa langueur, elle fut foutue 8 fois, comme
Dardenbouche; Fysitère aurait eu peur d'en mortifier une... Il
prit ensuite la belle Tétonnette. Il l'enfila plus
difficilement que Bienouverte; mais elle remua si
délicieusement du cul, ses tétons étaient si appétissants,
elle avait le connin si étroit, qu'elle donna autant de
plaisir que Dardenbouche...

Après les 24 assauts, Fysitère laissa dormir. Le lendemain
matin, 3 valets de chambre entrèrent, pour lui demander ses
ordres? Il s'éveilla; mais il feignit de dormir, là bouche sur
là gorge de Tétonnette, et une main sur les tétons de chacune
des 2 autres.

-- Voilà un bougre bienheureux! (dit un des valets)

-- Oui! (répondit un autre).

Et ils se mirent tous trois à se branler. Alors Fysitère,
feignant de s'éveiller, leur dit:

-- Je vous ai entendus, jean-foutres. Vous ne les enconnerez
pas; je veux qu'elles ne soient grosses que de moi; mais
tournez-les sur le ventre, et m'en enculez une chacun.

Il n'avait pas achevé que les 3 belles poussèrent un cri
simultané, causé par les 3 vits qui leur entraient dans le
cul. Fysitère les exhorta à là patience, par l'idée d'une
bonne oeuvre; il les assura que ces 2 hommes allaient décharger
par terre. Elles se rendirent à cette raison, et culetèrent à
qui mieux mieux."


Explicit L'HOMME-A-QUEUE.


A cette longue histoire, tous et toutes se récrièrent:

-- Nous ne sommes que de la Saint-Jean, auprès de ces fouteurs
et de ces fouteuses-là! Que ne sommes-nous à demain!

-- N'allez pas vous branler, bougres! (leur dis-je)

-- Nous nous en garderons bien! notre foutre n'est pas à nous;
il est à nos belles. Qui était étonné de nous entendre parler
ainsi devant ma fille, c'étaient Brideconnin et sa femme...
Mais ils en verront bien d'autres.




SUJETS DES ESTAMPES.


I. Cupidonet et Jenovefette.

L'adolescente à quatre, troussée, et le jeune Cupidonet à
genoux, la couvrant cyniquement, tâchant de l'enfiler. Elle se
cambre les reins, pour être atteinte: "Hausse, hausse le cul".
p. 5

II. Cupidonet et le con soyeux.

Cupidonet sur Madeleine, âgée de dix-sept ans, dont il lèche
le con poilu. Elle est sur le dos, les jambes écartées, et se
prête en poussant sur la bouche de son jeune frère, qui la
gamahuche. "Darde ta langue dedans, cher petit ami". p. 9

III. La mère foutue.

Cupidonet enconnant une femme de quarante ans, au lit, les
draps à terre. Il enconne pour la première fois, et paraît se
pâmer. La Femme: "Jamais... jamais... vous ne m'avez donné
tant de plaisir". p. 12

IV. Cupidonet et la belle Marie.

Cupidonet, évanoui, le vit en l'air après avoir déchargé dans
le con de sa soeur la Belle, mariée à Paris, et parée, un jour
de Vierge, Marie dététonnée, et con et cul visibles. Elle dit:
"Ah... Grand Dieu... c'est Cupidonet." p. 16

V. Cupidonet et l'horlogère.

Cupidonet au lit, sans couvertures ni draps, foutant la belle
horlogère, à laquelle son mari, couché de l'autre côté d'elle,
dit: "Courage, ma femme... hausse le cul". p. 20

VI. Cupidonet, avec sa femme le cul découvert.

Il est appelé par sa femme debout, mais courbée sur un lit,
troussée au-dessus des reins, et montrant le plus beau cul. Il
court à elle, le vit bandant. "Si j'ai la vérole (pense-t-elle),
fous-moi en cul". p. 20

VII. Cupidonet et Conquette.

Cupidonet gamahuchant Conquette la nuit, sa lampe sur un
garde-sel. Elle est à découvert, et se trémousse toute
endormie, quand elle sent la langue entre les lèvres de son
connin à poil naissant. "Ah... Ah... Ah... ça m'chatouille".
p. 25

VIII. Conquette et Cupidonet.

Conquette, qui vient d'être gamahuchée, et que Cupidonet, le
vit bandant, tâche d'enconner. "Ah! ce joli gamahuchage, tant
que vous voudriez". p. 30

IX. Cupidonet et Victoire.

Cupidonet tenant Victoire troussée jusqu'aux dessus du genou,
et se faisant empoigner le vit, qu'elle ne voit pas:
"Mignonne... serre-moi le doigt, fort... fort". p. 32

X. Conquette, Culant, Vitnègre.

Conquette assise devant le feu, entre Vitnègre et Culant
déculottés, bandants; elle troussée: "Allons, bougresse.
branle-nous tous deux". p. 36

XI. Cupidonet, Conquette, Vitnègre, le moine.

Cupidonet dans un cabinet obscur, voyant Vitnègre le vit à
l'air, montrant à nu les appas de sa femme. Un moine, debout
dans le cabinet, vu par le père de Conquette, caché derrière
un sofa, et qui n'est pas vu. Le moine tenant en main son vit
monstrueux, regarde la scène: "Troussée, putain, au-dessus des
reins". p. 39

XII. Cupidonet et Conquette en levrette.

Conquette, le ventre appuyé sur le pied d'un lit. Cupidonet
l'a troussée au-dessus des reins; elle cambre la taille, et il
l'enfile en levrette. "Remue du croupion... mon ange". p. 44

XIII. Conquette, Vitnègre, un payeur.

Vitnègre debout à côté du lit, caché par un rideau, tandis
qu'un autre le remplace sur sa femme. Le mari dit à celle-ci:
"Décharges-tu"? p. 48

XIV. Cupidonet, Conquette, Vitnègre, le jeune homme.

Cupidonet caché; Vitnègre une lumière en main trouvant le
jeune homme sur sa femme troussée: "Hé bien, est-elle
enconnée". (dit-il). p. 53

XV. Le fouteur à la Justine.

Le moine Foutamort, ayant mis Conillette nue, expirée et
déchirée sur une table, lui cerne les tétons avec un bistouri,
etc.: "Décharnons-la." p. 56

XVI. Cupidonet, Conquette, Timori.

Cupidonet, caché dans le sofa, avançant la tête, pendant que
Conquette, gamahuchée par Timori, lève les jambes en l'air, et
fait claquer ses talons: "Ah... Timori... ta langue vaut un
vit". p. 62

XVII. Conquette enculée.

Cupidonet sous un sofa; Timori enculant Conquette, courbée,
dont le cul est bien perforé: L'enculeur s'écrie: "Quel cul!
quel plaisir des Dieux". p. 63

XVIII. Conquette s'enconnant du vit paternel.

Cupidonet au lit avec Conquette, deux flambeaux sur la table
de nuit. Il est sur le côté, le vit bien bandant. Il dit à sa
fille nue, cherchant à s'enfiler: "Appuie lentement, ma
reine". p. 67

XIX. Montencon, Cupidonet, Hochepine, Vitsucette.

Montencon embouchant Adélaïde Hochepine en présence de
Cupidonet et de Vitsucette. "J'embouche la jolie garce". p. 70

XX. Cupidonet, Conquette, Montencon.

Cupidonet sortant du con de Conquette. Montencon, le vit en
main, allant se mettre sur elle dont le con et les cuisses
sont bien à découvert. "A toi, bougre". p. 7

XXI. Les moines vérolés.

Tous les lits sont couverts de robes monacales. Vitnègre assis
auprès du lit de Foutamort, qui lui montre un tableau,
représentant une femme à laquelle il vient de ne faire qu'un
trou du cul et de la motte, et dont il cerne les tétons: "Je
me suis fait accommoder son con". p. 81

XXII. Le sommeil enconné.

Cupidonet endormi, le vit dans le con de Conquette, qui dort
également enconnée. En commençant à s'éveiller, elle dit: "Ah!
Mon Dieu! c'est mon papa, qui me..." p. 83

XXIII. Cupidonet, Conquette.

Cupidonet devant Conquette assise, en court jupon, les tétons
découverts: Il vient de se mettre le vit à l'air. Elle joue
avec sa mule mignonne, qu'elle fait badiner avec le bout de
son pied: "Je veux te griller". p. 88

XXIV. Conquette, Cupidonet, Centlouis.

Centlouis prenant les tétons et le con de Conquette, en
présence de Cupidonet, auquel il dit de serrer les cinquante
louis: "Ce con satiné, ces tétons touchés les valent". p. 91

XXV. Conquette, Cupidonet, Traitdamour.

Conquette renversée, troussée au-dessus du nombril, et à
laquelle Cupidonet présente Traitdamour, qui tient à la main
et montre son gros et superbe vit. Conquette avançant sa main,
pour prendre le vit: "C'est donc toi qui m'as fait tant de
mal... et de plaisir"... p. 95

XXVI. Cupidonet, Conquette, Traitdamour, Minone, Connète.

Cupidonet foutant Conquette, qui lui darde sa langue.
Traitdamour tenant les tétons de sa soeur, qui lèche le trou du
cul du fouteur; tandis que Connète le suce dans la raie du
dos: "Quels délices!... Je suis rendu"... p. 100

XXVII. Minone, Conette, Cordaboyau, Brisemote (1er groupe).

Connète chatouille les couilles de Cupidonet debout, tandis
que Cordaboyau enconne Minone, que Brisemote encule couchée
sur le côté. "C'est une fouterie de princesse...". p. 108

XXVIII. Cupidonet, Conquette, Traitdamour (2ème groupe):

Conquette sur Traitdamour, qui la tient enculée sur lui!
Cupidonet dans le con de la belle, ainsi limée entre deux
feux: "Piquez... des deux; la garce est enculée"... p. 110

XXIX. La danse nègre.

Cupidonet habillé, mais le vit à l'air, regardant la danse,
dans laquelle il pousse Conquette nue par les fesses.
Traitdamour danse avec Rosemauve, une nouvelle actrice;
Cordaboyau avec Conette; Brisemote avec Minone; tous six nus
de la tête aux pieds. Ils figurent les mouvements voluptueux;
un couple paraît prêt d'enconner; un autre d'enculer; le
troisième, en se contournant, met les tétons sous la bouche,
le vit sous la main, et montre le con qui l'appète. "Allons!
Du mouvement, garces!" p. 114

XXX. La Piochée et ses piocheurs.

La Piochée sur le foutoir; Piocheur-père enculant Piocheur-fils;
Piochencul les excitant, et se faisant bander, à l'aide
de la main et des tétons de la jeune fille. "Bougre... encule
ton petit garçon". p. 117

XXXI. Piochette.

Le vieux Piochencul patinant les tétins de Piochette, âgée de
14 ans, et fille du frère et de la soeur, pendant que ces 2
individus sont enconnés, et que le vieux Piocheur grand-père
encule son fils. "Tu me dépucelleras ta fille, dès que ton
grand-père t'aura déculé". p. 119

XXXII. Les gourmets de con.

Conquette enconnée par Cordaboyau, seulement comme gourmet du
satiné de son con, est enlevé de sur elle, prêt à décharger,
par Traitdamour et Brisemote, le vit bandant et décalotté,
pour le plonger tout brandi dans le con de Rosemauve, étendue
sur un foutoir haussant du cul: "Le sacré bougre allait
partir"... p. 123

XXXIII. Honnête entretien du père et de la fille.

Cupidonet prenant le con de sa fille d'une main, les tétons de
l'autre. Elle dit: "Mon Dieu: je vous remercie d'un si bon
père". p. 133

XXXIV. L'homme enfilant deux cons d'une volte.

L'homme-à-queue foutant Sophie Linars de son vit, tandis que
Geoline s'enconne avec la queue velue qu'il a au croupion.
Celle-ci dit: "Et moi, je vais me servir de cette queue
raide". p. 141

XXXV. La fouteuse insatiable.

La belle Agnès, livrée par son père, enfilée par le jeune
procureur, qui se loue de ses délicieux mouvements; elle
s'écrie, en déchargeant: "Ah... mon âme va sortir... par le
trou qu'il me fait". p. 157

XXXVI. Indicibles fouteries!

Agnès, après souper, ayant un corset refluant, cachée derrière
un rideau de fenêtre, de sorte que l'homme-à-queue seul, qui
lui prend le con, ne voit pas son visage: Elle tient d'une
main le vit de son père; de l'autre, elle retient à l'entrée
de sa bouche, et presse de ses lèvres, le gros membre de Guae
qui décharge, et lui lance le foutre au fond du gosier.
Fysitère leur dit: "Il faut d'abord que je foute habillée...".
p. 175

XXXVII. Les six fouteurs des trois foutues.

Agnès, Doucète, la carmélite, et la marchande de modes,
maîtresse d'Agnès Convelouté. La 1re en déshabillé de gaze
transparente, avec le chapeau de mariée; les 3 autres nues,
sont instruites par Agnès [Coupure.] Six vieillards, le vit en
main, nus, endoctrinés séparément par Guae, nu aussi, à
l'entrée d'une autre pièce, où il les attire les uns après les
autres... Le premier est un grand, maigre, dont le nez touche
au menton; vit ordinaire. Le second, gros, très ventru; le nez
comme une grosse betterave; le vit long. Le troisième monté
sur de longues jambes sèches; ayant un pain de sucre sur les
épaules; le vit gros comme celui de l'homme-à-queue au moins.
Le quatrième aussi large que haut, a le vit de l'oncle
d'Agnès. Le cinquième a la tête monstrueuse, le ventre comme
un tonneau, le vit comme celui de Guae. Le sixième est grand,
voûté, bancroche; ayant un bourrelet à son long vit. Quant au
laid Guae, on voit son vit, gros comme un timon de carrosse,
soulever sa chemise... "Chacun des 6 monstres crut qu'il
allait avoir le plaisir d'être mon bourreau". p. 183

XXXVIII. Fysitère au grand lit avec ses 3 fouteuses.

Elles sont nues. Fysitère nu enconne Doucète; Agnès lui
chatouille les couilles; la carmélite lui branle le queue
velue, dont elle se dispose à s'enfiler. Le mot est pris de
l'histoire par Agnès "Nous fumes ainsi foutues 8 fois chacune
dans la nuit; ce qui faisait les 24, ordinaire de Fysitère" p.
192


Table des Chapitres


La Préface. 3

I. Chapitre De l'enfant qui bande. 5

II. Chap. Du con soyeux. 8

III. Chap. De la mère foutue! 11

IV. Chap. D'un autre beau-frère cocu. 14

V. Chap. Du bon mari spartiate. 18

VI. Chap. De l'épouse qui se fait enculer. 20

VII. Chap. Du connin au poil follet. 25

VIII. Chap. Des conditions de mariage. 28

IX. Chap. Des dédommagements. 31

X. Chap. De l'infâme mari. 33

XI. Chap. Pucelage destiné aux gros vits, pris par un petit.
39

XII. Chap. Du plus délicieux des incestes. 41

XIII. Chap. Du con et du cul vendus. 46

XIV. Chap. Le jeune homme, la fille, le moine. 51

XV. Chap. Du fouteur à la Justine. 54

XVI. Chap. Foutoir. Petit magasin. Enserrement. Amour. 58

XVII. Chap. Du pucelage du cul. Le père enconneur. 63

XVIII. Chap. Des avis paternels, tenant sa fille enconnée. 67

XIX. Chap. Du père juste, et du vit grisonnant. 70

XX. Chap. Du, Ah, comme elle fut foutue! 74

XXI. Chap. Du ressouvenir, et de l'épisode. 80

XXII. Chap. De la fouteuse mise en appétit. 83

XXIII. Chap. De la tendresse filiale; et de l'amour paternel.
86

XXIV. Chap. Du chef-d'oeuvre de tendresse paternelle. 91

XXV. Chap. Du bon père qui fait foutre sa fille. 93

XXVI. Chap. d'AVIS très utile au lecteur, et à l'auteur. 98

XXVII. Chap. Du commencement des grandes fouteries. 101

XXVIII. Chap. De l'enculo-connillerie. 106

XXIX. Chap. D'une nouvelle actrice. Danse nègre. 112

XXX. Chap. Le Pioché, la Piochée, le Piochard. 116

XXXI. Chap. Suite des mêmes, Piochette. 119

XXXII. Chap. Du connin goûté. 122

XXXIII. Chap. La fouteuse sensée. 130

XXXIV. Histoire de l'homme-à-queue. 134

XXXV. Chap. de la garce insatiable. 144

XXXVI. Chap. Des fouteries de la Convelouté, etc. 174

XXXVII. Chap. Des six fouteurs pour trois foutues. 185

XXXVIII. Chap. Conclusion de l'histoire des trois foutues. 191

XXXIX. Chap. Du fauteuil. 207

Fin de la table de la 1re partie.


EPILOGUE de la Ire PARTIE.


J'ai longtemps hésité si je publierais cet ouvrage posthume du
trop fameux avocat Linguet. Tout considéré, le casement déjà
commencé, j'ai résolu de ne tirer que quelques exemplaires,
pour mettre deux ou trois amis éclairés, et autant de femmes
d'esprit, à portée de juger sainement de son effet, et s'il ne
fera pas autant de mal que l'oeuvre infernale à laquelle on
veut le faire servir de contrepoison! Je ne suis pas assez
dépourvu de sens pour ne pas sentir que l'ANTI-JUSTINE est un
poison: mais ce n'est pas là ce dont il s'agit. Sera-ce le
contrepoison de la fatale JUSTINE? Voilà ce que je veux
consulter, à des hommes, à des femmes désintéressés, qui
jugeront de l'effet que le livre imprimé produira sur eux et
sur elles. L'auteur a prétendu éloigner de la cruauté, de la
soif du sang et de la mort de la femme possédées. A-t-il
réussi? Il a prétendu ranimer les maris blasés, pour les faire
jouir de leurs femmes avec goût, à l'aide de la lecture d'un
demi-chapitre de son ouvrage. A-t-il atteint ce but? C'est ce
qu'on décidera.

On a vu, par la table seule, combien cet ouvrage est salace!
mais il le fallait pour produire l'effet attendu. Jugez-le,
mes amis, et craignez de m'induire en erreur!

L'ANTI-JUSTINE aura VII ou VIII parties comme celle-ci.


FIN de la 1re partie.








L'ANTI-JUSTINE,

OU

LES DELICES DE L'AMOUR


Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem.


Avec Figures.


[Seconde Partie.]


AU PALAIS-ROYAL

Chez feue la Veuve GIROUARD, très-connue.

1798




Je suis parvenu au second volume de cet ouvrage, destiné à
ranimer les maris blasés, auxquels leurs femmes n'inspirent
plus rien. Tel est le but des nequices de cette excellente
production! que le nom de Linguet rendra immortelle.


L'ANTI-JUSTINE.




Chapitre XXXIX Du fauteuil.


Le dimanche arrivé, il y eut un joli dîner, qui fut servi dans
mon magasin. J'y avais fait mettre, outre le lit et le vieux
sofa, un 3me foutoir commode, que j'avais trouvé par hasard
chez un serrurier de la rue de la Parcheminerie, qui l'avait
acheté pour le fer et l'acier seulement, à l'inventaire de
certain duc. J'en fis l'histoire à ma société:

"Ce fauteuil, ou foutoir, se monte. Le serrurier le monta un
jour, pour en voir le mécanisme. Il allait s'y asseoir, au
1er. La jeune femme très potelée de son vieux voisin Aupetit,
le perruquier, arriva. La jolie voisine, essoufflée, se jeta
sur le diable de fauteuil. Aussitôt elle fut saisie par les
bras. Un ressort la troussa, et un autre lui écarta les
cuisses. Un autre lui fit faire beau con; un troisième la fit
osciller.

-- Eh! qu'est-ce donc que ce machin-là? s'écriait-elle.

-- Ma bonne foi si je le savais! répondit le serrurier; j'ai
monté la machine pour la connaître; mais je vois que c'est
celle avec laquelle le duc de Fronsac essayait les filles
récalcitrantes, que des parents maladroits lui avaient
vendues. Si vous voulez, ma voisine, je vais vous essayer?

-- Allons donc! Est-ce qu'on viole jamais une femme malgré
elle? Je mordrais...

L'homme-de-forge se déculotte; se met sur elle. La
traquenardée veut le mordre. Un ressort assez doux lui fait
ouvrir la bouche, et, en l'angoissant un peu, la force à
darder sa langue. Le suppôt de Vulcain profite de tout cela,
et enfile la perruquière, qui ne put l'empêcher, ni même
crier... L'opération faite, la machine se trouva au bout de
ses rouleaux, et Mme Aupetit ne fut plus contenue. C'est alors
qu'elle se mit à pleurasser, à criasser, comme si elle avait
été au désespoir.

-- Grand'bête! (lui dit le Cyclope) je vous ai trop bien opérée
pour que vous ne deveniez pas grosse; vous aurez un enfant,
que votre vieux jean-foutre ne vous aurait jamais fait. Mais
il faut un peu de ruse. Dès aujourd'hui dites-lui que vous
achevez une neuvaine à Saint Julien, qu'il vous travaille ç'te
nuit, et que le Saint bénira ses travaux. Remuez du cul, quand
il vous le mettra; dites-lui des foutaises, et, s'il
déchargeote un peu, pâmez-vous, en disant qu'il vous inonde.

Mme Aupetit s'en alla munie de ces instructions, qu'elle mit
en pratique. Le fauteuil me fut prêté le lendemain.

Le Cyclope, m'ayant vu passer, m'appela, me montra la machine,
me la vanta, et me mit au fait de son usage. Elle me fut
donnée à l'essai, et je la destinai aux bégueules, s'il nous
en venait à nos orgies. Je remis à monter la machine quand il
serait à-propos, afin de ne pas en éventer le secret. Nous
nous y assîmes trois en dînant, Mme Poilsoyeux, une jolie
chapelière de la rue Bordet ou Bordel, amenée par Traitdamour,
et nommée Tendrelys; j'étais au milieu. In petto je réservais
le fauteuil monté à la jolie Tendrelys, encore pucelle,
quoique Traitdamour lui eût quelquefois déchargé entre
cuisses; ou, si la chapelière était docile, à Rosemauve, ou à
sa soeur Rosalbe la blonde, ou enfin à notre hôtesse Mme
Brideconnin, que je voulais mettre de nos fêtes, ainsi que son
mari, voulant le faire cocu en sa présence... Nous dînâmes
bien, mais sans trop manger, ni trop boire. Nous avions
d'ailleurs de la volaille, et toutes choses de facile
digestion. On ne tardera pas à voir comment j'exécuterai tous
mes projets.


Chapitre XL Des cons rasés.


En sortant de table, Traitdamour nous dit:

-- Toute la semaine, il m'a roulé dans la tête de rendre le
connin de Mme Conquette-Ingénue-Poilsoyeux ce qu'il doit être;
c'est-à-dire, PUCEL; car je suis sûr que depuis huit jours
qu'elle n'a foutu, il s'est rétréci en diable!... Brisemote,
Cordaboyau, vits implacables, troussez-moi Minone et Conette;
il ne serait pas séant qu'elles se troussassent elles-mêmes.

On les troussa jusqu'au-dessus du nombril. Pas un poil!

-- Je les ai rasées ce matin (dit Traitdamour), pour voir
l'effet, avant de proposer la même chose à notre déesse. Vous
voyez comme elles sont propres! Tout le corps l'est de même.
Elles se sont baignées tous les jours depuis qu'elles savent
que la belle fouteuse met tous les jours son con dans l'onde
limpide et y plonge entier son corps appétissant. Elles m'ont
assuré que, lorsqu'elles étaient en chaleur, l'eau fraîche
dans laquelle trempaient leurs cons brûlants, leur donnait un
plaisir presque fouteur... Mais voyez-moi ces cons-là? Ne
dirait-on pas des connins de fillettes de 12 à 13 ans?

On en convint.

En conséquence, je priai ma fille de se laisser raser la
motte. Elle se cacha le visage dans mon sein. Traitdamour
aussitôt la renversa sur un foutoir, le con au grand jour.

-- C'est pourtant dommage! (dit-il en le maniotant); la
perruque en est superbe!... Je vais d'abord employer les
ciseaux. Nous mettrons ce poil soyeux sous verre dans un cadre
doré; ce seront de précieuses reliques.

Il coupa. Ensuite il tira d'une jolie boîte une savonnette
parfumée, et savonna longtemps le connin. Comme cette
opération excitait Conquette, elle me pria d'appuyer mes
lèvres sur sa bouche. Elle me dardota sa langue, pendant tout
le temps qu'on fit la barbe à son con, et lorsqu'il fut rasé,
on le lui lava d'eau-rose; on lui sécha les cuisses avec des
linges doux, et Tendrelys mit le beau poil de la dépouille
sous le verre à cadre. Puis le connin sans barbe fut livré à
l'admiration de l'assemblée. Tout le monde, surtout les
filles, jusqu'à la modeste Tendrelys, qui, disait-elle,
n'était venue que pour voir, et rougissait de tout, le
trouvaient si appétissant qu'elles demandèrent à le baiser, et
qu'elles se jetèrent dessus. La jolie chapelière colla ses
lèvres vermeilles sur le con rasé, et sa langue alla dans la
fente exciter la volupté. Rosemauve, qui arrivait, vint sur
elle comme une enragée, la débusqua, et gamahucha si vivement
la déesse qu'elles émirent toutes deux. Les hommes eurent leur
tour; ils sucèrent le connôt déchargeant, et le firent
décharger encore... Pour moi, j'admirais, les deux mains
plongées dans les tétins de Tendrelys, qui les avait
charmants, et n'osait se défendre.

-- Ah! quelle partie! me dit-elle.

-- Tu ne vois rien! lui répondit Minone.

En effet, Traitdamour, ayant fait retirer les gamahucheurs du
con de Conquette-Ingénue, qu'ils ne quittaient pas, dit à ses
camarades:

-- Imitez-moi!

Aussitôt tous les vits en érection furent à l'air.

-- Allons! allons! au con! au con!

Tendrelys baissait ses beaux yeux; mais Conquette, étendue sur
le foutoir, la motte légèrement branlée par Rosemauve,
soulevait la tête pour voir les vits.

-- Laquelle enconnez-vous (me dit mon vigoureux secrétaire),
laquelle enconnez-vous de la voluptueuse Conquette, de moi, ou
de la pucelle Tendrelys?

J'hésitais pour ma réponse, lorsque tout à coup j'entendis ma
fille s'écrier faiblement:

-- Le vit! le vit!

Traitdamour se précipita sous elle, la prit sur son dos, me la
présentant oscillante:

-- Enconnez (me dit-il), la fouteuse fait beau con...

J'enfonçai. Je bandais si roide que je la fis crier en la
perforant. Mais elle foutit aussitôt, en me disant:

-- Bon... (haussant le cul), bon!... Ah! que tu bandes
bien!.... Fous... fou----fourgonne... Fou----fourrage, cher
pap... je déch----a----a---- (Traitdamour la secouait) arge...

Je déchargeais aussi. Son délicieux connin me pinçait. La
déesse m'enivrait. Traitdamour la faisait osciller, comme le
Corax de Pétrone son maître Eumolpe... Cependant Brisemote
avait mis sur son dos Rosemauve nue, que foutait Cordaboyau
sans chemise. Les 2 petites enragées Minone et Conette, nues
comme la main, venaient de mettre Tendrelys nue comme elles,
et la tenaient entre elles, se frottant le con sur ses cuisses
d'albâtre, en lui chatouillant l'une la motte, l'autre le trou
du cul. Elles déchargèrent toutes trois avec les 2 foutues:
"Grand Dieu! s'écria la jolie chapelière, comme vous savez
être heureux"!


Chapitre XLI Vit inattendu.


En ce moment, l'on entendit frapper des mains à la porte.
(C'était un signal que j'avais donné.) J'avais déconné;
j'allai ouvrir. C'était le Cyclope. Il ne devait pas entrer;
mais il me poussa un homme qui avait les yeux bandés et les
mains liées derrière le dos. Il était couvert d'un grand
surtout de laine blanche, sous lequel il était nu sans
chemise. Je le pris par le corps; je le poussai vers le
foutoir à Fronsac, sur lequel Traitdamour jeta sa soeur; on le
monta, et, dès que l'enfant fut prise, on fit tomber sur elle,
en lui arrachant son couvre-tout, l'inconnu que je venais
d'introduire. Quand il fut nu, son gros vit épouvanta tout le
monde, et il se fit un Ah! universel. Conquette le reconnut,
et pâlit. (Observez que tous pouvaient parler, excepté
Conquette et moi.) Minone (la traquenardée) fut la seule que
ce vit, qui ne le cédait qu'à Foutamort, n'effraya pas. Elle
le saisit courageusement, et lui mit la tête entre les lèvres
de son con, en lui disant:

-- Pousse, bougre.

Il estocada, comme un bélier de siège. Mais il ne pénétrait
pas.

-- Soulève du cul, putain! lui dit le brutal; je suis trop
haut.

Minone souleva, le vit trouva l'ouverture; et, quoiqu'elle ne
fût que la moitié de qu'il lui fallait, il la força. Minone
souffrait le martyre. La sueur et les larmes sillonnaient ses
joues. Enfin, le gros vit, parvenu au fond, injecta son baume
de vie, et adoucit, en les onctuant, les parois dilacérées.
Minone, qui venait de clamer de douleur, s'exclama de plaisir:

-- Ahh! Ahh!... il m'inonde!... je fous... je décharge... je me
pâme!

Et la jolie petite remuait du cul comme une garce, foutue par
un moine au bordel.

Nous étions d'abord tous stupéfaits d'admiration! Puis nous
bandâmes tous comme des enragés. Brisemote le mit en levrette
à Rosemauve; Cordaboyau enfila Conette par-devant; Traitdamour
consulta mes yeux, en me désignant Conquette ou Tendrelys: je
permis la première, ajoutant fort bas:

-- Il fout ta soeur; fous-moi sa femme.

-- C'est Vitnègre!

Et il se jeta comme un furieux sur l'épouse du jean-foutre, si
brutalement enconnée qu'elle en cria... Mais elle déchargea
presque aussitôt; ce qui changea sa douleur en plaisir.

-- Toute femme qui décharge comme ça (balbutiait Traitdamour),
en la fourgonnant, est bonne; il n'y a que celles qui ne
déchargent jamais, qui sont méchantes.

Cependant Vitnègre refoutait, sans déconner, et Minone
redéchargeait; Rosemauve hennissait sous Brisemote; Conette
sous Cordaboyau; Tendrelys, émue, appuyée sur mon épaule, me
présentait sa jolie bouche, et Conquette, martyrisée par
Traitdamour, pleurant, culetant, émettant, criotant de douleur
et de volupté, enviait encore les tourments de Minone. Son
fouteur me cria:

-- Sacredieu! pommadez donc... et dépucelez-moi... cette garce
de Tendrelys!

L'aimable enfant me lança un long regard, en se mettant la
main devant le con, comme pour le défendre. Nous avions là du
beurre frais; j'onctuai le connin, renversai la vierge sur un
foutoir, malgré ses tendres prières, et mon vit pénétra.

-- Au moins, me disait-elle, en le sentant entrer, vous ne me
livrerez pas au bourreau de Minone, ni à ces au...tres-là!...

-- Remue du cul, bougresse! (lui cria l'impitoyable
Traitdamour) Est-ce comme ça qu'on fout? Regarde ma belle, et
ces... 3 autres... garces!... Tiens... putain... pucelle...
nous dé...char...geons!...

La pauvre petite, à cette exhortation énergique, gigota sous
moi comme elle put. Je pénétrais doucement; je caressais,
dardotant la langue, disotant des tendresses...

-- Vous la menez trop bellement (s'écria Traitdamour),
fourragez comme moi, ou comme ce cocu, que voilà sur le
fauteuil!... Tenez! il mord les tétons qu'il ne saurait
patiner!... Ne va pas lui faire trop de mal, bougre! c'est...
ma soeur, et... je t'assommerais... Je dé...charge...

-- Ah! qu'il me dévore (s'écria Minone); pourvu qu'il... me
foute!... Je décha...arge...

-- Je fous!... je décha...arge! s'écria Rosemauve.

-- Je décharge!... cria Conette.

-- Ahhahah! fit Conquette...

Pour Tendrelys, dont j'atteignais le fond du connin, elle dit:

-- Ze suis dépucelée! ze déçarze!... Que dira maman?

-- Elle ne le verra pas, jolie fouteuse. Le vit de mon maître
conserve les pucelages (cria Traitdamour).

En ce moment, Vitnègre déconna Minone trop fatiguée. On lui
pommada Rosemauve, que Brisemote déconnait (car les tourments
de la courageuse Minone avaient épouvanté toutes nos belles.
Le vit de mulet l'enconna plus vite; mais elle n'en souffrit
pas moins: Elle pleura, sanglota, et enfin... déchargea....
Elle fut ramonée 3 fois sans déconner. Minone l'avait été
quatre.

C'était le tour de Conette. Elle fut pommadée avec plus de
soin que Rosemauve; et cependant elle jeta les hauts cris. Si
elle n'avait pas été sur le Fronsac, elle aurait désarçonné
son bourreau... Elle déchargea enfin, et les plaisirs
succédèrent. Mais on ne s'attendait pas à l'effet qu'ils
produisirent!

C'est que Mme Poilsoyeux eut envie du gros vit de son mari.
Elle demanda tout bas et voulait qu'on la mît sur le Fronsac,
au moment où Vitnègre déconna la Conette, quoique celle-ci eût
le con aussi barbouillé de sang que de foutre. Mais
Traitdamour, la happant, la renversant et l'enconnant, lui dit
tout bas:

-- Garce! je suis jaloux de toi pour mon maître et pour moi; je
t'étranglerais plutôt que de te laisser foutre par ton cocu de
mari en ma présence.

-- Pardon! Vit divin! leurs douleurs m'ont tentée! Fourgonne-moi,
à m'en ôter l'envie! Car je ne compte plus que sur toi;
voilà M. Linguet qui donne son fou...outre... je
décha...arge... à la... sacrée ma...âtine... de Tendrelys...

-- Ah! reine des putains, tu es jalouse! Tiens, tiens, voilà
des coups de vit dans ton connin-dieu... Ahh!... Ahh!... ze
redéza...arze! murmura-t-elle...

Cependant, que faisait Vitnègre? Il prenait du repos et
quelques liqueurs brûlantes, tout en patinant les tétons de
ses 3 foutues, qui le branlaient pour s'amuser. Tout à coup
Mlle Linguet dit à son foutant: "Mais ce bougre est un autre
Guae! il faut qu'il me restaure! Qu'on lui lave bien le vit à
l'eau-rose; je veux le téter, comme faisait Mme Guae le gros
vit de son mari! Nous ne pouvions nous refuser à une
proposition aussi raisonnable. On lava le vit monstrueux; deux
des trois garces soutinrent Vitnègre de chaque côté, en lui
livrant leurs tétons; Rosemauve lui chatouilla les couilles et
le trou du cul; Traitdamour se coucha par terre sur le dos
sous ma fille à genoux qu'il enconna; Mlle Linguet baisa 5 à 6
fois le gros vit, tout en ripostant aux saccades de son
fouteur. Prête à décharger, elle emboucha, faisant aller et
venir l'énorme vit du bord de ses lèvres de corail, au fond de
son gosier satiné. En déchargeant, elle mordit... Telle la
voluptueuse femelle du serpent géant écrase dans sa gueule la
tête de son mâle trop amoureux... Vitnègre, mordu, se récria
de volupté! Il émit un torrent, quoiqu'il eût déjà foutu 9
coups, et Mlle Linguet fut inondée de foutre au même instant
dans la bouche et dans le con... Elle voulut téter 3 fois
Vitnègre, que les 3 garces qui le chatouillaient, secouaient
tellement qu'il rebandait aussitôt. D'ailleurs, il s'écriait à
tout moment:

-- Ma Femme n'est pas morte! c'est elle que j'embouche; je le
sens au velouté de son palais!...

Et cette idée le faisait décharger à flots... Mlle Linguet fut
obligée de cesser ce jeu, dans lequel on voulait faire expirer
Vitnègre; mais Mlle Conquette-Linguet avait sucé le double vit
avec tant de fureur qu'elle avait la bouche tout en feu... On
obligea Vitnègre d'enculer ses 3 foutues; ce qui lui fit 15
copieuses décharges, parce que les belles de relais lui
manipulaient impitoyablement les couilles... Les excessives
douleurs de l'enculage n'en effrayèrent aucune; au contraire,
les tourments de la patiente excitaient leur passion, et elles
la pinçaient pour la forcer à s'agiter, et à faciliter ainsi
l'intromission du gros vit dans son cul.

Vitnègre n'en pouvait plus. Ce fut précisément ce qui excita
Mlle Linguet. Elle exigea de nous qu'il déchargeât une 16ème
fois, et que ce fût dans son cul, à elle! Traitdamour se vit
obligé de céder. On manipula Vitnègre, on lui chatouilla les
couilles; on l'assura qu'il allait enculer Mlle Linguet sa
femme. A ce nom, il érectionna. On lui fit sucer les tétons de
Rosemauve, comme ceux de Conquette. Il banda roide. Aussitôt
on coucha l'enculande sur le ventre; on lui beurra la rosette,
puis le rectum avec une grosse canule; Tendrelys prit
délicatement le gros vit avec ses doigts de rose pour le
diriger dans l'anus, tandis que Minone et Conette écartaient
chacune une fesse. Rosemauve, prête à manipuler les couilles,
frayait avec son doigt beurré l'entrée du vit-monstre dans le
cul de la patiente... Enfin, il pénétra, en déchirant... Mme
Vitnègre poussait des cris sourds, que son mari crut
reconnaître. Ce qui lui fit redoubler ses estocades. Alors
l'enculée jeta un cri... qui logea le monstre tout entier dans
son gros boyau... Vitnègre, ne doutant presque plus, y
fourgonnait avec rage... Il ne décula pas après avoir
déchargé; Rosemauve lui chatouillait les couilles, l'anus, et
s'appuyant du con sur son cul, foutait avec lui, en poussant à
chaque fois... Vitnègre déchargea 3 ondées de foutre dans les
boyaux de sa femme; ce qui faisait 18 pour la séance. Il tomba
en faiblesse à la dernière...

On le tira du cul de Mlle Linguet, qui alla se le mettre dans
l'eau fraîche, pour se le raffermir. On jeta Vitnègre dans une
auge d'eau de puits qui était dans la cour, pour lui faire
reprendre ses sens. Le Cyclope parut. On porta Vitnègre dans
son fiacre. Il le remena.

-- Sais-tu qui j'ai foutu (lui disait-il en route) dans ton
sacré Fronsac?... Ah! comme elle fout!... Elle a bien appris,
depuis qu'elle m'a quitté!... Je l'ai foutue 16 fois, tant en
con, qu'en bouche et en cul...

Le serrurier, après avoir remis Vitnègre à sa filleule,
s'évada.

Vitnègre rencontra le serrurier quelques mois après.

-- Veux-tu m'y remener? lui dit-il.

-- C'est l'impossible, répondit le Cyclope; tout est disparu.

-- Ah! la garce! si je la retenais, je passerais le reste de ma
vie dans son cul et dans son con.

Ainsi finit cette aventure.




Chapitre XLII La jalousie de deux connins.


Nous restions tous sept émerveillés des 16
enconnades-embouchades-enculades de Vitnègre! quand Traitdamour,
regardant la jolie chapelière, nue comme toutes les autres,
lui dit:

-- Te voilà dépucelée, mignonne, et mon divin maître a cueilli
ta rose! C'est un grand honneur et bonheur à toi et à moi! Je
te regarde à présent comme les dévots regardent leur Vierge
Marie, qui, foutue par l'ange Gabriel, puis par le
Saint-Esprit, dont elle fut la putain, n'en était que plus vierge.
Te voilà consacrée au vit de mon maître; conserve-lui
religieusement ton connin, ou ne le prête qu'avec sa
permission... A présent, céleste mignonne, votre jolie motte
va être savonnée et rasée!

Tendrelys objecta sa mère, qui toutes les nuits lui visitait
le con pour voir si l'on ne touchait pas à son pucelage, déjà
vendu, et qu'on devait bientôt livrer.

-- Je m'en fous, déesse, répondit Traitdamour, en me voyant
monter le Fronsac; on lui dira tout.

Et il la poussa sur le fauteuil, qui l'étreignit. Il la
savonna, et prépara son rasoir.

En ce moment, arriva Mlle Conquette-Ingénue-Linguet, qui
venait de se laver le cul à l'eau de puits, pour se le
raffermir.

-- On va donc aussi raser le con de mademoiselle? (dit-elle
avec un peu d'humeur)

-- Ah! ma belle déesse! empêchez-en, à cause de maman, qui ne
saura ce que ça veut dire! s'écria Tendrelys suppliante, en
lui baisant une main, qu'elle était parvenue à saisir.

-- Non, mademoiselle, je ne m'y opposerai pas! Votre con rasé
laissera mieux voir à votre maman que mon infidèle vous a
déflorée... Nous verrons aussi, après qu'on lui aura enlevé
cette charmante perruque, si votre bijou, mademoiselle,
l'emporte sur le mien, tout fatigué qu'il est!

-- Ah! mon adorable amie! il n'est pas besoin de cela. Rien ne
vous égaler.

-- Allons, monsieur, rasez donc! Et je crois bien qu'après, mon
infidèle amant qui a dépucelé cette jolie conque vous
permettra bien de vous y loger!

Traitdamour, tout en coupant la belle Toison-d'Or,
représentait à Conquette-Ingénue que tous les pucelages
m'étaient dévolus, et que j'étais obligé en conscience de les
prendre, sous peine de mortifier la néophyte. Conquette ne
savait que répondre; mais elle bouda. Je m'approchai d'elle,
et, comme elle était nue, je lui baisai les tétons, et lui mit
mon vit en main.

-- Vous aimeriez mieux qu'il fût entre les jolis doigts de
Tendrelys!

-- Non. Personne ne me fait bander comme vous; mais, après
vous, Tendrelys. On lui rase la motte; il le faut bien, pour
comparer vos cons célestes, abstraction faite de la fatigue du
vôtre. On les gamahuchera d'abord. Ensuite je verrai auquel
des deux mon vit-sultan donnera le mouchoir. Le mieux
rempucelé l'obtiendra.

Mlle Conquette fit une petite grimace de jolie femme sûre
d'elle-même, et se tût. Le rasemotte acheva. Le connin de
Tendrelys fut lavé à l'eau-rose; Mlle Linguet fit rafraîchir
le sien, et les deux cons furent comparés... Ils furent
désintéressément trouvés égaux. Ce qui était bien donner la
supériorité au connin de la belle Conquette, déjà tant
foutue... Ce fut l'avis général. Rosemauve, Minone vinrent se
comparer. Mais leurs cons étaient loin d'avoir cette
physionomie virginale de ceux de ma fille et de Tendrelys.

-- Vos cons sont aimables (leur dit Traitdamour), cent fois
au-dessus des connasses de putains; mais ils ne peuvent se
comparer à ces deux connins de houris.

Conquette se pavana. Mais, généreuse comme elle l'était, elle
prit vite son parti.

-- Puisque nos cons sont égaux, me dit-elle, en baisant
Tendrelys sur la bouche, lui patinant le con, redépucelez-la,
et que votre lieutenant me refoute, s'il en a la force.

Elle n'avait pas achevé la dernière syllabe, qu'elle était
enconnée.

-- Fous-la! me cria-t-elle, fous la garce!

J'enfilai la jolie nymphe... Mais, prête à décharger, Mlle
Conquette-Ingénue entra en fureur érotique (et je compris par
là comment les héros de Dsds, sur le point d'émettre,
deviennent cruels); l'enconnée s'écriait:

-- Foutez-moi tous cette putain de Tendrelys!... Brisemote! ne
fais qu'un trou de son cul et de son con!...

Elle déchargea; et, un peu calmée, elle se mit à dire:

-- Pardon! pardon, ma petite soeur!... c'est le foutre... qui me
portait à la tête, et me rendait cruelle!... Qu'on lui
conserve son joli con... toujours pucel... pour les plaisirs
de mon... papa-fouteur... c'est bien assez.. du mien qui
est... martyrisé!... Allons pousse... fous... ne me ménage
plus! (dit-elle à son bourreau)... Et elle se mit à
coupdeculer plus fort que jamais. Ce qui fit re-enconner
Rosemauve et Conette, dont les culs étaient moins malades que
celui de Minone: Cette bonne soeur de Traitdamour vint me
chatouiller les couilles, et j'émis.


Chapitre XLIII Minone et Conette jadis dépucelées. Vieille.


Cette scène achevée, il y eut du repos. Nous avions légèrement
dîné, exprès pour faire collation. Nous mangeâmes des fraises
au vin muscat, avec des pains mollets du Pont-Michel. Puis
nous prîmes d'excellent café, fait par Traitdamour, et nous
goûtâmes aux liqueurs. Ensuite, nous jasâmes...

-- Mon ami (me dit Conquette-Ingénue, en montrant Minone et
Conette), vous avez eu ces deux jolies compagnes, ainsi que
Rosemauve, et vous venez de dépuceler Tendrelys sous nos yeux:
Faites-nous le récit de votre première fois, et dites-nous
comment vous les avez séduites?

-- Ah! oui, oui! s'écrièrent Tendrelys, Rosemauve, et tout le
monde.

-- Je ferai ce récit très volontiers; mais à condition qu'on
ira chercher Mme Brideconnin notre hôtesse, pour qu'elle y
assiste: Nous commencerons à l'apprivoiser par là!

Mes trois sacripants, pour qui elle était un morceau nouveau,
ne demandèrent pas mieux. Ils l'enlevèrent à son mari, qui, en
ce moment, lui tenait les tétons; sans même daigner lui
répondre, l'assirent à cru sur les mains jointes de deux,
tandis que le 3ème la soutenait par-derrière, et l'apportèrent
ainsi moitié troussée et dététonnée. On la posa sur le
Fronsac, et, si je n'en avais empêché, on lui faisait une
histoire, au lieu d'écouter la mienne. Lorsque tout fut
tranquille, je commençai:

Je m'étais mis en pension chez la belle-mère de Traitdamour,
blanchisseuse, rue d'Ablon, pendant que ma femme courait la
province avec un galant; le même qui la foutait avec tant de
passion qu'il se mettait dans sa chemise pour la palper et
l'enconner mieux. Traitdamour m'apportait à dîner les jours
ouvrables; mais j'allais dîner à la maison de la bonne mère
Wallon les dimanches et fêtes. Un jour que nous y allions
ensemble, il me pria de montrer à écrire à sa petite soeur! Je
le voulus bien. En montrant à Minone, j'avais souvent sous les
yeux ses tétons naissants, blancs comme lys...

[Faites entrer mon mari; je suis bien aise qu'il ait sa part
de cette histoire-là! interrompit la Brideconnin. Aussitôt
Traitdamour, sur un signe de mes yeux, l'alla chercher; tandis
que, sur un autre signe, Brisemote et Cordaboyau prirent l'un
la motte, l'autre les tétons de la dame. Elle était ainsi
rayonnante, entre deux mâles, quand son mari parut.
Brideconnin fut d'abord ébaubi; puis il n'en fit ni un ni
deux, il alla s'emparer du con de Rosemauve, et des tétons de
Conette; Traitdamour prit le con et les tétons de sa soeur.
Quant à moi, je fis asseoir Conquette et Tendrelys l'une sur
l'autre entre mes jambes, laissant de temps en temps tomber
mes mains sur la gorge de ma fille, ou de sa jolie rivale...
Je repris:]

Je dis à Traitdamour, en particulier:

-- Il ne faut plus que je montre à la petite; elle me fait trop
bander, et je la foutrais au premier jour.

-- Ah! mon cher maître! quel bonheur pour elle et pour moi, si
vous la dépuceliez! La pauvre orpheline! elle n'a aucun
plaisir! (c'est que leur mère était morte, et que le père,
remarié à une bonne amie de feu son épouse, à l'instante
prière de celle-ci, avait mourant lui-même, laissé pour
belle-mère aux deux orphelins la bonne amie de leur tendre mère)

Je répondis que cela était bien difficile!... que la petite
soeur parlerait.

-- Non, je vous en réponds. Minone a déjà des désirs pour vous.
Elle m'a dit qu'elle aimait bien quand vous lui touchiez la
chose par-dessus la jupe.

Ce discours m'enhardit.

Un dimanche que j'étais seul avec Minone, à la faire écrire,
je ne pus résister à l'envie de lui baiser sa jolie bouche;
puis un tétin; et de là ma main descendit rapidement à son
connichon sans poil. J'éprouvai une érection terrible! Mon vit
me gênait. Je me déboutonnai. Il s'élança au dehors.

-- Qu'est-ce que c'est que ça? me dit la petite.

-- Un vit, mon enfant.

-- A quoi cela sert-il?

-- A mettre dans un con.

-- Mais j'ai un connin, à ce que dit mon frère, et ma
belle-mère a une connasse. Depuis qu'il est grand, et qu'il a ce
qu'il nomme du foutre, il met son engin dans la connasse de ma
belle-mère, que ça fait trémousser et crioter... Il a voulu me
le fourrer, à moi: mais j'ai le connin trop étroit, ou il a
l'engin trop gros: jamais il n'a pu... Ma belle-mère l'a
surpris, et elle l'a bien grondé! Il lui a dit: 'Allons,
foutez-nous la paix; venez que je vous enconne, vieille
truande: car je ne saurais m'en passer, en ce moment.' Et elle
s'est aussitôt renversée sur son lit, en se troussant; il l'a,
ce qu'il appelle foutue... Oh! comme elle gigotait! comme elle
jurait des b. et des f.! comme elle était contente!... Et il
me disait: 'Vois, Minone, comme c'est bon! Comme la vieille
garce se démène, en supant le bâton de sucre d'orge...
Montre-moi ton petit connin, que je décharge à ton intention....'

Ce récit de Minone acheva de me faire bander outre mesure. Je
demandai à la petite, s'il y avait du beurre à la maison? Elle
m'en donna. J'allais la beurrer, quand la belle-mère, bonne
femme au possible, rentra, ayant oublié son éventail. Elle vit
mon trouble, et la rougeur de la petite. Elle me dit:

-- Gage que vous allez la tourmenter?... Ça n'est pas mûre.
Venez.

La vieille m'entraîna sur le pied de son lit, se troussa, me
tira sur elle, et m'engloutit, malgré ma défense... Pour
sauver le pucelage de sa belle-fille, elle me retint une heure
à connailler. Je ne déchargeai cependant qu'une fois, contre
la vieille une dizaine; car je m'aperçus qu'elle m'aimait.
Ensuite elle s'en alla, sans laver, en disant:

-- J'en marche mieux, la charnière graissée.

Dès qu'elle fut partie, je fis mettre Minone, qui avait tout
vu, à la fenêtre; je la troussai au-dessus des reins; je lui
beurrai le connin, et je rebandai roide. Je dis à la petite,
en la commençant, de se cambrer la taille, pour mettre son
petit trou bien à la portée du vit qui l'allait percer! Elle
le présenta de son mieux. Avec des peines infinies, à l'aide
des douloureuses oscillations de son joli cul, et parce que la
décharge était retardée par le dégoût que m'avait causé le con
gris de la vieille, je parvins en levrette jusque au fond; car
je sentis sa céleste petite matrice me pincer... L'enfant
s'agitait par mes ordres, mais sans décharger.

Son frère arriva dans ce moment. Il fut transporté de joie...

-- Ah! vous la dépucelez! quel honneur et quel bonheur, pour
elle et pour moi!... Décharge-t-elle?... As-tu du plaisir, ma
petite soeur?

-- Elle ne décharge pas (répondis-je), la chère mignonne; elle
souffre; mais c'est avec un courage!... Vois ce
tortillonnement de croupion...

Traitdamour, touché, glissa une main sous le ventre de la
petite, et lui chatouilla le haut de la fente de sa mottinette
imberbe... Les yeux de l'enfant se vitrèrent; elle se roidit,
et, tournant sa jolie bouche de mon côté, elle me darda sa
petite langue, déchargea pour la première fois, et se pâma...
Je déchargeai comme elle; je n'avais jamais eu tant de
plaisir...

Quand j'eus déconné, son frère me demanda, si j'en étais
jaloux?

-- Oui, de tout autre que de toi

-- Eh bien, votre foutre va servir de pommade à son joli
connichet.

Cependant Minone voulut pisser. Son frère la renversa sur le
dos, au pied du lit, et l'enconna vigoureusement, malgré la
grosseur de son membre. La petite cria.

-- Remue du cul, et décharge avec délices, pauvre orpheline,
lui disait-il, en la saccadant; tu es enconnée avec amour.

La petite déchargea 3 fois; mais elle n'en pouvait plus... Il
me lava, et je la re-enconnai... J'eus encore plus de plaisir,
parce que la petite avait acquis de l'usage et que le gros vit
de son frère avait frayé la route... Depuis ce jour-là, nous
foutîmes Minone tous les dimanches et fêtes. La belle-mère
s'en aperçut pour moi; mais elle ne dit mot.

Enfin un jour Traitdamour me demanda, si je voudrais aussi
montrer à écrire à Conette, sa maîtresse pour le mariage,
depuis que la mère de Tendrelys, qui craignait un
dépucellement, lui avait absolument ôté toute espérance.

-- Soit (lui répondis-je).

Je montrai donc à Conette. Au bout de deux mois, cette jeune
fille étant un jour à la fenêtre, fort penchée en-dehors, et
montrant une jambe fine, que mes yeux dévoraient, Minone, qui
prenait son exemple d'écriture, le remarqua. Je lui tenais les
tétins, et la priais de me prendre les couilles. Elle me
quitte; va vers Connète; lui dit tout bas:

-- Laisse-toi faire...

la trousse; me mène sur elle; lui beurre le con et à moi le
vit; lui dit:

-- Cambre-toi, ma fille...

Et à moi:

-- Enfilez juste; vous voilà dedans...

Conette se cambra, et suivit toutes les indications de son
amie. De sorte que, quoique la pucelle fût très étroite, je
pénétrais. Traitdamour arriva. Il nous fit ôter de la fenêtre;
se coucha sur le ventre au pied du lit; fit étendre sa
maîtresse sur son dos, cul sur cul. Il me dit d'enconner, le
vit dirigé par la main de sa soeur; et, à chaque saccade que je
donnais, il me repoussait d'un coup de son cul le con de sa
maîtresse, à me faire avancer d'un pouce. Conette éprouvait
des souffrances inouïes... Mais, étant parvenu au fond, par un
violent coup de croupion de Traitdamour, qui ne donna plus que
de petits coups de trot de cheval, Conette clignota de l'oeil,
et bientôt émit avec d'ineffables délices...

Je croyais que Traitdamour allait se jeter sur elle et
l'enconner tout chaud!

-- Non (me dit-il); c'est ma future; si j'avais le bonheur
qu'elle me fît un petit de vous, cela ennoblirait ma race.

Et il foutit sa soeur, pendant que je refoutais sa maîtresse.
Aussi depuis ai-je partagé avec lui ce que j'avais de plus
précieux.




Chapitre XLIV Du bouquet de fouterie.


-- Il le mérite! Il le mérite! (s'écrièrent tous les hommes, et
surtout Brideconnin, qui patinait à deux mains le con de
Rosemauve, tandis que Brisemote et Cordaboyau maniaient l'un
le con, l'autre les tétons de sa femme...)

Mon récit faisait bander tous mes drôles comme des carmes,
malgré les fatigues de la journée. Les belles, même celles
éconnées par Vitnègre, étaient en rut.

-- Comme vous avez su les rendre aimables! (me dit Conquette,
en me dardant sa langue).

-- Ah oui! (ajouta Tendrelys, en me baisant de même)....

En cet instant, Mme Brideconnin était tiraillée par Brisemote
et Cordaboyau, qui tous deux la voulaient enfiler à la fois.

-- Je n'ai qu'un chose, mes chers amis! si j'en avais deux, ils
seraient bien à votre service; mais l'un après l'autre...

Elle fut empalée par tous deux, Cordaboyau en con, Brisemote
en cul. Brideconnin s'écrie:

-- On enconne, on encule ma femme! Moi, je fous celle-ci.

Et il renverse Rosemauve, qu'il empale. Traitdamour, le plus
furieux des ribauds, saisit Conquette. Je crus qu'il l'allait
enconner. Point! Il se coucha sur le dos, la tira sur son vit,
tenue par-dessous les bras par Conette et Minone; elle se
baissait avec lenteur sur le vit bandant dirigé par la main de
Tendrelys, Conquette s'enculant ainsi elle-même par le seul
poids de son beau corps. Lorsque le gros vit fut enfoncé
jusqu'à la garde, Traitdamour me dit:

-- Allons! le plus beau des cons vous appelle....

Je me précipitai dans le bijou de ma fille, la jolie Tendrelys
me dirigeant le vit. Mme Brideconnin, putain comme personne,
puisqu'à cet instant, on lui bourrait les 2 trous, fit 3
signes de croix. On lui demanda ce qu'elle avait:

-- On me fout devant mon mari; mais je suis sur le fauteuil à
ressort, qui m'empêche de me défendre. Mon mari, voyant que je
le fais cocu, me fait cocuette; c'est dans l'ordre. Mais notre
maître, fout... enconne sa fille enculée!

-- Sa fille?... sa fille!... (s'écria-t-on 5 fois).

-- Oui, sa fille (balbutia Rosemauve, qui déchargeait sous
Brideconnin). Après?...

-- Ah! dirent les 4 fouteurs et les 4 fouteuses, ceci nous met
en rage de vit.... en rage de con... et nous foutrons jusqu'à
extinction de forces.

Et les enconneurs, les enconnées; les enculeurs, les enculées,
s'agitaient à qui mieux, dessus, dessous, comme des diables et
des diablesses dans un bénitier. Tendrelys me chatouillait les
couilles et celles de Traitdamour; Minone celles de Brisemote
et de Cordaboyau; Conette celles de Brideconnin, et fourrait
son index dans le trou du cul de Rosemauve. Le fouteur, qui
n'était pas accoutumé à ce raffinement, se récriait de
volupté:

-- Ah que vous foutez bien ici! (disait-il en déchargeant). On
ne fait que connailler ailleurs.

-- Oh! vous avez bien raison, mon mari! (lui répondit sa femme
en déchargeant aussi), oncques je ne fus ramonée comme je le
suis en ce moment, par les deux vits qui vous plantent chacun
une corne; l'un dans mon con, l'autre dans mon cul.

Conquette, remarquant que j'allais mieux lorsque Tendrelys me
chatouillait les couilles, l'en remercia tendrement:

-- Chère amie!... ma main en fera... autant à ton fouteur...
quand tu seras enconnée... Et vous, ma chère hôtesse, vous
êtes donc bien foutue!...

Ce joli mot, foutue, avait tant de grâces dans la belle bouche
de Conquette que je l'allais refourgonner, si Traitdamour, qui
la déculait et qui allait laver, ne m'avait pas prié
instamment de la lui laisser enconner... Mais j'étais trop ému
pour rester spectateur; j'ordonnai à Tendrelys de me faire
beau con! Minone et Conette la renversèrent sur le dos et lui
écartèrent les cuisses. Ma fille, avant d'être enconnée par
son fouteur, voulut insérer mon vit; elle baisa la patiente
sur la bouche, en lui disant:

-- Tendrelys! remue du cul, et donne bien du plaisir à mon
père!

Et, comme elle avait remarqué que le mot foutue m'avait fait
beaucoup d'impression, dans sa bouche, elle s'écria, tout en
secondant son enconneur:

-- Fou...ou... outre!... Sacré vit!... perce-moi... déchire-moi
le connot!... mon père! poignarde... estropie ta Tendrelys!...
ze décha... arge!...

-- Ah! cette femme si modeste, s'écria la Brideconnin, comme
elle fout!... Ce fut le bouquet. On alla souper.




Chapitre XLV Souper d'adieux; grâces que dit Mme Vitnègre.


On soupa. Les tétons étaient couverts; les propos furent
décents.....

-- Mais, me dit Minone, on dit que vous avez eu 8 jolies femmes
connues, et on les nomme!

-- Oh! interrompit Conquette, ne faites plus lire de ces
histoires-là. La journée de volupté est finie, et nous sommes
à présent des personnes ordinaires.

-- Il faut donc les remettre, répondit Traitdamour, pour une
interruption de séance.

Comme on se disposait à sortir, et qu'il n'y avait plus de
danger de nous faire bandocher, on me pria d'exiger que nos 6
cons et nos 12 tétons fussent mis à l'air, et baisés à
discrétion pour les adieux! J'y consentis. Aussitôt Conquette,
Tendrelys, Rosemauve, Minone, Conette et la Brideconnin,
furent défichutées, troussées et renversées sur les foutoirs
par les 4 dernières, qui se défichutèrent, se troussèrent et
se renversèrent elles-mêmes. On leur lécha le con; les 5
hommes sucèrent les 12 tétons. Les belles prirent,
décalottèrent et baisèrent les 5 vits, embouchèrent seulement
le mien, en disant:

-- Vit incomparable... adieu... pour huit jours...

On allait sortir, quand on vit la belle épouse de Vitnègre se
prosterner toute dététonnée, en s'écriant:

-- Sainte et jolie Vierge Marie; que Panthère branlait,
gamahuchait, enculait, entétonnait, embouchait, et qu'il
enconna enfin, une nuit, à côté du cornard endormi, le bon
Saint Joseph; duquel cocufiage provint le doux Jésus, ce bon
fouteur de la putain publique, la belle Madeleine, marquise de
Béthanie, dont le vagabond Jésus était en outre le souteneur,
autrement le maquereau, lequel, au grand regret de la sainte
garce, enculait encore Saint Jean, son giton. Sainte et jolie
Marie, vierge comme moi, nous vous remercions de cette
heureuse journée de fouterie. Faites-nous la grâce, par les
mérites de votre fils, d'en avoir une pareille dimanche
prochain!... Et vous, Sainte Madeleine, que foutait l'abbé
Jésus, ainsi que Jean l'enculé, obtenez-moi la grâce de foutre
autant que vous, soit en con, soit en cul, 15 ou 20 fois par
jour, sans être épuisée, mais toujours déchargeant... Vous
foutiez avec des Pharisiens, avec Hérode, et même avec
Ponce-Pilate, pour avoir de quoi nourrir le gourgandin Jésus, votre
greluchon, et les vagabonds qui lui servaient de Chouans.
Obtenez-moi de votre maquereau Jésus, qui, étant dieu, a sans
doute quelque pouvoir, d'avoir, sous peu, ce riche
entreteneur, qui est un jour descendu de carrosse bandant à
mon intention, comme je revenais de chez mon amie Mme
Congrêlé; à celle fin qu'au moyen de l'argent que je gagnerai,
à votre imitation, avec mon con, mon cul, mes tétons et ma
langue dardée, je puisse soulager mon digne père dans sa
vieillesse; non seulement en foutant avec lui, pour lui donner
le plaisir, mais en me laissant vendre, comme la pieuse fille
d'Eresictton le famélique, ou la pieuse Ocyrhoé, fille du
centaure Chiron, qui toutes deux devinrent cavales, c'est-à-dire
montures d'hommes ou saintes putains!... Modèle des
maquereaux, doux Jésus! fouteur acharné, greluchon complaisant
de la brûlante et exemplaire putain Madeleine, qui était si
amoureuse de votre vit divin et de vos sacrées couilles,
maintenez, par votre toute puissance, mon connin toujours
étroit et satiné, mes tétons toujours fermes, ma peau, mon
cul, mes fesses, mes bras, mes mains, mon cou, mes épaules,
mon dos ou mes arrière-tétons, toujours blancs, mes reins
toujours élastiques; les vits de mes amants, celui de mon père
compris, toujours roides, leurs couilles toujours pleines; car
vous teniez en cela du saint roi David, si fort suivant le
coeur de Dieu, parce qu'il était le premier fouteur de son
temps!... Faites, ô Jésus! que mes hauts talons, qui me
prêtent tant de grâces, et font bander tant de monde, ne me
donnent jamais de cors aux pieds, mais que ces pieds tentatifs
restent toujours foutatifs, comme ils le sont!... Amen!

-- Amen! s'écria toute la société, vits et cons.

Tout le monde sortit édifié de la piété éclairée de ma fille,
et, en s'en allant, on disait:

-- Voilà ce qui s'appelle connaître la vraie religion, et prier
Dieu comme il convient, en lui demandant des choses
raisonnables! Oh! c'est une fille exemplaire!




Chapitre XLVI Première négociation du con de ma fille.


Le surlendemain, quand je vis Conquette (que j'avais évitée le
lundi), je la trouvai coiffée en battant-l'oeil; ce qui, avec
ses grands yeux à longs cils, la rendait charmante... Elle
avait des souliers de coutil de soie neufs, qu'elle essayait.
Je me jetai à ses genoux, en lui disant:

-- Conquette, ton pied est le mieux fait possible, mais il est
un peu grand, et ce soulier bien pointu, ces talons minces,
très élevés, le font paraître plus petit de moitié. Il est
divin!... et je bande... comme tu vois!...

-- Mon cher papa, comme je sais à quel point vous m'adorez,
j'ai voulu consacrer cette chaussure, avant de vous la prêter
pour orner votre cheminée... Voici les blancs d'hier, avec
lesquels j'ai tant été... ce que vous savez... Voyez la jolie
forme que leur a donnée mon pied! Ils sont plus voluptueux
qu'avant d'avoir été mis...

Je flairai avidement le dedans de ces divins souliers:

-- Ahh! je bande! m'écriai-je; les sacrés bougres sont
embaumés... Je suis perdu... j'aurai la colique si je ne
t'enconne une pauvre fois!... Laisseras-tu décharger par terre
ce vit paternel?

-- Mon cher papa, mettez-vous le cul et les couilles dans cette
grande terrine, préparée pour mon con et mon cul; l'eau froide
vous ferait débander. C'est mon remède quand j'ai le con
brûlant.

Ce qu'elle me disait me parut raisonnable, et je le fis. Elle
cacha ses pieds comme une dame espagnole, et je fus calmé.

-- J'en ai fait autant tout à l'heure. Timori vient de venir.
J'étais encore au lit; il m'a pris les tétons, puis le con. La
vue de son vit, qui bandait roide, m'a fait impression. Mais
mon coeur n'a rien senti. Cependant il voulait me gamahucher,
me priant de le branler après: 'Je ne suis pas une putain' --
'Tu es bien froide!' (C'est que réellement je ne l'aime plus;
vous êtes mon amant, cher père! et Traitdamour est votre
lieutenant dans mon con; il est votre double vit, et c'est
encore vous qui me foutez, quand il me l'enfonce)... J'ai
cependant eu des remords de ma dureté. Je lui ai saisi le vit,
et me le mettant dans la bouche bien décalotté, je l'y ai fait
décharger, avalant son foutre avec délices. Ce qui m'a
fortifiée. Mon chocolat m'a rincé la bouche... Mais revenons.
Si vous voulez que votre fille chérie ait un plaisir
ineffable, caressez-la, quand on la fout. Langue en bouche, la
sienne dans la vôtre... Vous prenant les couillettes, vous
serrant le vit à la poignée, elle déchargerait au double!

-- Oh! tu es trop adorable... Foutons un petit coup!

-- Je m'étais rafraîchi le con; mais tu y remets le feu, cher
papa, et le foutre seul peut l'éteindre... Foutons... Enconne
ta fille... Mais va doucement, que je décharge plusieurs fois,
tout en te racontant quelque chose.

Elle se renversa, me mit le vit dans son con, me fit entrer
lentement, par de petits coups de cul insensibles. La
fraîcheur de l'eau m'avait fait roidir, et retardait
l'émission. Enfin, elle ne fut plus maîtresse de se retenir;
elle coupdecula, elle saccada, en s'écriant:

-- Ze déça--arge!...

Elle resta ensuite immobile, en me disant:

-- J'ai oublié de vous remettre l'adresse que l'entreteneur
d'avant-hier m'a glissée, pour l'aller voir, et... foutre avec
lui... Ah! fourgonne... je redéçarge... Tu pars... Ah divin
père!...

Et elle se mit à soubresauter, en gigotant, comme jamais ne
gigota fouteuse... Après une copieuse décharge, elle reprit:

-- La voilà. Dis-lui, ou écris-lui, que je ne vais chez
personne. Et laissez-lui votre adresse.

-- Oui, déesse Fututrix, lui répondis-je.

La Brideconnin nous apporta notre excellent chocolat; et je
partis.

Après les affaires, j'allai chez le futur fouteur de ma fille.
Je le trouvai; je lui donnai un mot de Conquette-Ingénue, par
lequel elle lui marquait que s'il avait un mot à répondre, il
pouvait tout dire à son père... Je fus bien reçu. Le richard
me dit qu'il demandait une maîtresse aimable, et qui sût
donner, en foutant, bien du plaisir.

-- Monsieur (lui répondis-je), ma fille a été mal mariée; elle
peut vous appartenir, à condition qu'elle gardera son logement
voisin du mien. Vous y mangerez, coucherez avec elle, sans que
je m'en mêle. Quant à la volupté, et aux mouvements du cul ou
des reins, un mari libertin ne lui a donné que de trop
douloureuses leçons... Mais, en vous la livrant, je veux que
son sort soit assuré, qu'il s'améliore même un peu chaque
année... Je vous réponds d'être alors le gardien de sa
fidélité. D'ailleurs, elle est sage. L'assurance d'un sort
indépendant de son monstre de mari peut seule la déterminer.

Ceci convint fort! et la décision définitive fut remise après
un voyage d'affaires et d'argent, dont il devait être de
retour dans 8 ou 10 jours.

Je revins apporter ces nouvelles à ma Conquette-Ingénue.

-- Mon papa, répondit-elle, pour peu qu'il me foute, vous me
suffirez, vous et lui; vous serez mes deux pères. Je
renoncerai même à votre beau secrétaire, si vous me promettez
de n'enconner que moi! Où trouverez-vous un con qui vaille le
mien?... Garde-moi tout ton foutre, comme tout ton coeur, ô le
plus ribaud des papas!

Je vis qu'elle était jalouse, et je l'en aimai avantage. Mais
j'étais encore trop libertin pour me borner à foutre
uniquement celle que j'aimais le mieux.

La Brideconnin nous apporta de la limonade. Elle boitait de
naissance, mais d'une manière voluptueuse. Elle était coiffée
en cheveux, et, quoique grêlée, très provocante. Je le dis à
ma fille. Conquette-Ingénue me répondit:

-- Dès avant nos parties, son mari voulait me le mettre; mais
il me déplaît. La femme a demandé, depuis qu'ils ont tout vu,
à me gamahucher. Tous deux m'adorent. Je ne leur avais,
jusqu'au boulevari d'hier, laissé baiser que mon pied. Le mari
enconne sa femme dès que je le veux. C'est un amusement que je
me donnais dans la semaine; je n'avais besoin que de m'asseoir
en vue de Brideconnin, les jupes troussées jusqu'au mollet; il
est tellement excité par ma mi-jambe et mon pied, qu'il se
jette sur la putain, et la fout tant que je veux; en haussant
toujours un peu la jupe. Enfin, s'il aperçoit un commencement
la cuisse, il hurle de luxure. Un jour, trop échauffée par ce
que je voyais, je me donnai de l'air au con, en le découvrant.
Le fouteur s'est mis â braire, en fourgonnant avec fureur. Il
déchargeait, refourgonnait, et allait se tuer, quand sa femme
me regarda... Elle se hâta de décharger, et vint me baisser
les jupes. Alors Brideconnin épuisé se trouva mal.

A ce récit de Conquette, je rebandais. Mais je me remis le vit
et les couilles dans l'eau, et, bien rafistolé, je sortis sans
finaler. Nous fûmes tous sages le reste de la semaine.




Chapitre XLVII Du rabachage à faire bandocher.


Le dimanche arrivé, tout notre monde accourut, à l'exception
de Rosemauve, qui se dit malade. Tendrelys vint seule, et
d'elle-même. Traitdamour ne l'avait pas trouvée chez elle, et
il était déjà fâché. Mais il fut ravi, en entrant avec sa soeur
et sa maîtresse, de la voir auprès d'Ingénue, qui lui suçait
le sein découvert!... Il l'en remercia, en lui baisant le cul
et le con. Cordaboyau et Brisemote arrivèrent les derniers. On
se mit à table, dès que Cordaboyau, envoyé chez Rosemauve, eut
annoncé qu'elle ne viendrait pas. Il remit en même temps un
billet de la malade pour ma fille. Ingénue le parcourut bas
d'abord; puis elle nous le passa. Traidamour lut par mes
ordres. Le voici:


'Divine amie! Reçois les actions de grâces que je rends à ton
connin et à tes souliers... Hier jeudi fête-Dieu (la lettre
était du vendredi), j'avais mis la chaussure que tu m'as
prêtée, pour faire bander un clerc de notaire, amant de ma
soeur Rosalbe, à laquelle je le voulais enlever. J'avais aussi
ton grand bonnet battant-l'oeil, qui me va si bien, à cause de
mes grands yeux noirs, la robe, la jupe blanche sur fond rose,
comme toi. Je m'avisai de me donner ton joli tour de cul. Dans
la rue des Cinq-diamants, j'entendis derrière moi: "C'est
elle!... Oui, c'est elle! c'est ma déesse!..." On m'aborde.
"Ah! ma belle! vous voilà si près de chez moi, que vous y
monterez, puisque votre père y est venu!..." Il m'a pris le
bras; je me suis laissée mener; pensant bien qu'en me
reconnaissant, il me laisserait aller, surtout après m'avoir
foutue. Point! il ne se désabuse pas!... Il est vrai qu'il
m'avait introduite dans un appartement au premier à très
sombre jour. Il tombe à mes genoux, ou plutôt aux vôtres. "Vos
traits, belle Saxancour, sont un peu différents de ce qu'ils
m'avaient paru; mais vous n'en êtes pas moins une brune
adorable. C'est que j'ai toujours plus regardé vos pieds, dont
je suis fou, que votre visage, tout charmant qu'il est. Aussi
les reconnais-je parfaitement, ainsi que tout le reste de
votre parure... M'aimerez-vous?" J'ai cru devoir répondre oui.
"Ah! je suis trop heureux!" Il m'a pris mille baisers, en me
faisant darder la langue, m'a patiné les tétons, saisi la
motte, renversée sur un large sofa, troussée, foutue... J'ai
remué du cul! je lui ai donné du plaisir... Ah! vous me
connaissez?... Ça fait, il m'a présenté à laver, m'a fait lui
verser de l'eau sur le vit, m'a essuyé con et cul, m'a baisé
la motte et les fesses; puis a dit à sa femme de charge: "Le
dîner est-il prêt?" -- "Dans un demi-quart d'heure" -- "Après le
verre d'Alicante, descendons, ma belle!" Nous sommes descendus
chez le notaire voisin. Six mille francs par an, 500 francs
par moi, d'avance... J'ai signé la minute, et je suis remontée
dotée, comme j'étais descendue foutue. Nous avons dîné
tête-à-tête. Dès que les domestiques ont été retirés, il m'a fait
mettre à nu mes tétons; puis il m'a enivrée de champagne. Il
s'est lavé le vit dans un verre mousseux. Je l'ai aussitôt
avalé... Enchanté de ce trait, il m'a mis son vit sur les
lèvres. Je le lui ai embouché, sucé! Il s'est récrié de
plaisir, en me disant: "Tu es ma déesse, la putain faite pour
moi. Je ne veux pas te décharger en bouche; je veux garder mon
foutre pour ton con. Montre-le-moi, que je le baise; et adieu
jusqu'à demain... Mon carrosse! (a-t-il dit à sa femme de
charge, qui m'épongeait le cul et le con). Il m'a remenée.

J'aurai mon appartement chez lui ce soir. Je suis restée tard
au lit, y étant toute embaumée, et enveloppée dans deux peaux
de veaux, qui m'ont été apportées hier soir encore chaudes;
afin d'avoir la peau des cuisses et des fesses presque aussi
satinée que vous. Ainsi, belle Conquette! je vous dois ma
fortune. J'en remercie votre adorable con, et surtout votre
voluptueuse chaussure. En chemin, mon généreux fouteur m'a
promis que dans très peu de temps il me ferait enculer en sa
présence, par un joli jockey, auquel il s'est déjà fait
enculer lui-même deux fois, dans deux circonstances où il
avait ressenti au trou du cul un violent prurit. C'a été son
expression. Adieu... ou avit, ô divine fouteuse!'


Nous fûmes tous ébahis! Tendrelys embrassa Conquette-Ingénue,
en s'écriant:

-- Ah! si l'on vous connaissait!...

Je voulais aller détromper mon gendre volé. Ma fille m'en
empêcha:

-- Il n'était l'amant que de ma chaussure; il ne lui est pas
infidèle; il a tout ce qu'il lui faut.

Tendrelys applaudit à cette réponse:

-- Je ne dis mot: mais je n'en pense pas moins, ajouta-t-elle.

La Brideconnin, pour être plus à nos parties, qui lui
donnaient des plaisirs inconnus, avait fait venir chez elle,
ce jour-là, une soeur de son mari, fort grêlée; mais la plus
provocante tétonnière de 18 ans qu'on puisse voir. La garce ne
croyait pas que la laideron tenterait, toutes nos dames étant
jolies, et deux parfaitement belles. Ce fut cette tétonnière,
faite au tour, à taille guêpée, comme les Comtoises, qui nous
servit. Mais dès qu'elle eut fait bander, pour lui éviter de
la peine, les hommes allèrent chercher les assiettes... Au
dessert, on me somma de raconter l'histoire des cons dépucelés
dont avait parlé Minone, et que Mme Ingénue-Conquette m'avait
empêché de faire à souper, de peur qu'elles ne fussent trop
savoureuses! J'y consentis.




Chapitre XLVIII Histoire des phénix dénichés.


Je vais (dis-je en m'essuyant la bouche, et baisant les tétons
de mon active fouteuse) vous conter comment j'ai dépucelé
Victoire-Beauxtalons; Virginie-Moteblonde; Rosalie-Con-Rose,
ainsi que Suzonète, sa soeur cadette; Manon-Aurore-Sourismignard;
Léonor-Robé, femme de Margâne le parfumeur; la
seconde et la troisième Consfriands, Saccadine et Voixflûtée.

La première fois que je vis la voluptueuse Beauxtalons, elle
était en déshabillé brun, bas fins de coton, souliers de
maroquin noir; talons plus hauts que ceux de Conquette. Elle
me donna des désirs violents; je la suivis; c'était le soir.
Elle entra dans l'allée à côté de la boutique de sa mère.
L'escalier était obscur. J'étais sur ses talons. Elle ouvrit
le premier, dont les volets étaient fermés. Nuit profonde.
J'étais entré avec elle.

-- Ah! c'est vous, Monsieur Copahü, dit-elle en m'entendant
respirer...

Je lui mis la main sous la jupe.

-- Oh! voilà toujours comme vous faites!... Laissons donc les
volets fermés.

Je cherchais un lit. Elle y recula. Je l'y renversai.

-- Mon dieu! allez, que vous êtes terrible!

Et elle s'arrangeait néanmoins commodément pour tous deux.
J'insère. Elle riposte, en disant:

-- Il faut bien faire comme ça, sans quoi vous dites qu'on ne
vous aime pas.

La jouissance fut délicieuse, quoique simple et sans
accessoires. Mais Victoire était si belle, et je l'avais tant
désirée!... Je voulais sortir sans être connu. On frappa. Je
suivis ma monture effrayée qui courait ouvrir, quoique je la
retinsse. en disant:

-- C'est ma mère, ou ma soeur. Restez ou sortez, comme il vous
conviendra?

-- Je sors.

Elle


[ici s'arrête le volume imprimé]









End of the Project Gutenberg EBook of L'Anti-Justine, by 
Nicolas-Edmé Restif de la Bretonne

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interpreted to make the maximum disclaimer or limitation permitted by
the applicable state law.  The invalidity or unenforceability of any
provision of this agreement shall not void the remaining provisions.

1.F.6.  INDEMNITY - You agree to indemnify and hold the Foundation, the
trademark owner, any agent or employee of the Foundation, anyone
providing copies of Project Gutenberg-tm electronic works in accordance
with this agreement, and any volunteers associated with the production,
promotion and distribution of Project Gutenberg-tm electronic works,
harmless from all liability, costs and expenses, including legal fees,
that arise directly or indirectly from any of the following which you do
or cause to occur: (a) distribution of this or any Project Gutenberg-tm
work, (b) alteration, modification, or additions or deletions to any
Project Gutenberg-tm work, and (c) any Defect you cause.


Section  2.  Information about the Mission of Project Gutenberg-tm

Project Gutenberg-tm is synonymous with the free distribution of
electronic works in formats readable by the widest variety of computers
including obsolete, old, middle-aged and new computers.  It exists
because of the efforts of hundreds of volunteers and donations from
people in all walks of life.

Volunteers and financial support to provide volunteers with the
assistance they need, is critical to reaching Project Gutenberg-tm's
goals and ensuring that the Project Gutenberg-tm collection will
remain freely available for generations to come.  In 2001, the Project
Gutenberg Literary Archive Foundation was created to provide a secure
and permanent future for Project Gutenberg-tm and future generations.
To learn more about the Project Gutenberg Literary Archive Foundation
and how your efforts and donations can help, see Sections 3 and 4
and the Foundation web page at https://www.pglaf.org.


Section 3.  Information about the Project Gutenberg Literary Archive
Foundation

The Project Gutenberg Literary Archive Foundation is a non profit
501(c)(3) educational corporation organized under the laws of the
state of Mississippi and granted tax exempt status by the Internal
Revenue Service.  The Foundation's EIN or federal tax identification
number is 64-6221541.  Its 501(c)(3) letter is posted at
https://pglaf.org/fundraising.  Contributions to the Project Gutenberg
Literary Archive Foundation are tax deductible to the full extent
permitted by U.S. federal laws and your state's laws.

The Foundation's principal office is located at 4557 Melan Dr. S.
Fairbanks, AK, 99712., but its volunteers and employees are scattered
throughout numerous locations.  Its business office is located at
809 North 1500 West, Salt Lake City, UT 84116, (801) 596-1887, email
[email protected].  Email contact links and up to date contact
information can be found at the Foundation's web site and official
page at https://pglaf.org

For additional contact information:
     Dr. Gregory B. Newby
     Chief Executive and Director
     [email protected]


Section 4.  Information about Donations to the Project Gutenberg
Literary Archive Foundation

Project Gutenberg-tm depends upon and cannot survive without wide
spread public support and donations to carry out its mission of
increasing the number of public domain and licensed works that can be
freely distributed in machine readable form accessible by the widest
array of equipment including outdated equipment.  Many small donations
($1 to $5,000) are particularly important to maintaining tax exempt
status with the IRS.

The Foundation is committed to complying with the laws regulating
charities and charitable donations in all 50 states of the United
States.  Compliance requirements are not uniform and it takes a
considerable effort, much paperwork and many fees to meet and keep up
with these requirements.  We do not solicit donations in locations
where we have not received written confirmation of compliance.  To
SEND DONATIONS or determine the status of compliance for any
particular state visit https://pglaf.org

While we cannot and do not solicit contributions from states where we
have not met the solicitation requirements, we know of no prohibition
against accepting unsolicited donations from donors in such states who
approach us with offers to donate.

International donations are gratefully accepted, but we cannot make
any statements concerning tax treatment of donations received from
outside the United States.  U.S. laws alone swamp our small staff.

Please check the Project Gutenberg Web pages for current donation
methods and addresses.  Donations are accepted in a number of other
ways including including checks, online payments and credit card
donations.  To donate, please visit: https://pglaf.org/donate


Section 5.  General Information About Project Gutenberg-tm electronic
works.

Professor Michael S. Hart was the originator of the Project Gutenberg-tm
concept of a library of electronic works that could be freely shared
with anyone.  For thirty years, he produced and distributed Project
Gutenberg-tm eBooks with only a loose network of volunteer support.


Project Gutenberg-tm eBooks are often created from several printed
editions, all of which are confirmed as Public Domain in the U.S.
unless a copyright notice is included.  Thus, we do not necessarily
keep eBooks in compliance with any particular paper edition.


Most people start at our Web site which has the main PG search facility:

     https://www.gutenberg.org

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including how to make donations to the Project Gutenberg Literary
Archive Foundation, how to help produce our new eBooks, and how to
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